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N° 1 - Février 2025 | https://lycee-chartier.fr/index.php/fr/ |
Éditorial
Nous les secondes 4, avons pour mission d’écrire le journal du lycée pour vous informer des actualités diverses de cette année. C’est un projet que l'on peut réaliser grâce à Ouest France, notre partenaire journalistique et producteur.
Le concept de ce journal sera de faire participer la classe de seconde 4 pour vous informer et vous divertir. Grâce à cela, vous pourrez, vous, lycéens du lycée Alain Chartier, diversifier vos lectures car nous mêlerons images et textes, amusement et sérieux, interviews, photos et dessins, actualités du lycée, nationales voire internationales.
Nous sommes prêts à entendre vos idées et n’hésitez pas, participez vous aussi à nos interviews et photos. Nous parlerons de sujets qui vous touchent de près comme la journée de lutte contre le harcèlement scolaire ou le forum de l'orientation.
Nous sommes accompagnés par l’association pour le développement du Journal Des Lycées. Ils nous forment à l’écriture d'articles, nous enseignent les différentes étapes de fabrication, les techniques de rédaction et les contraintes de l'écriture journalistique.
Ce journal peut aussi servir à valoriser le travail de certains élèves et à faire découvrir des choses que vous ne connaissez pas sur le lycée. « C'est carrément bien ! » dit Arthur. Luca Potterie et Léane Charlier de Terminale 6 déclarent : « C'est une bonne idée, bien pour s'informer sur l'actualité du lycée. » Notre professeur d'histoire et géographie, Madame Agra, nous confie : « C'est un formidable projet, utile et qui va pouvoir ressusciter le journal du lycée qui existait déjà avant ». Monsieur Laborde, le Proviseur-adjoint du lycée, nous a inscrit à ce projet pour nous permettre de découvrir l'arrière de décor du métier de journaliste : « Ce projet va vous permettre d'être curieux et de vous ouvrir l'esprit ».
Edouard CRETU, Inès JORET,
Romane LEBOUTET,
Tiny LETONDU
Myriam Lotton, une actrice au grand cœur !
Le vendredi 8 novembre, nous avons eu la chance de pouvoir interviewer l'actrice de la pièce de théâtre « 1,2,3 insultes ! ». Myriam Lotton, de la compagnie "Foutu quart d’heure" nous explique qu’elle intervient dans les collèges et lycées pour représenter sa pièce et ainsi mobiliser les jeunes contre le harcèlement scolaire. Elle a accepté de répondre à certaines de nos questions pour que vous puissiez comprendre pourquoi et comment cette pièce a été montée.
Pourquoi vous êtes-vous engagée dans ce projet contre le harcèlement ?
« Je me reconnais dans mon personnage car il y avait une part autobiographique dans ce spectacle, [...] je n’étais pas populaire au collège, bien au contraire car j’ai été harcelée. Cette pièce a été montée grâce a des témoignages venant d’élèves harcelés, témoins et même de harceleurs ; avec toutes ces expériences le personnage principal, nommé Joséphine, a été créé. L’histoire de Joséphine débute par un pipi en classe qui va en fait déclencher son harcèlement scolaire, ce pipi en classe est en réalité MON souvenir et mon amie du moment l’avait dit à tout le monde à la rentrée en 6eme. C’est à cause de ça que j’ai été harcelée pendant toutes mes années de collège. Donc dans tout ce spectacle il y a une part autobiographique et une autre réalisée grâce aux témoignages des élèves. »
Que pensez-vous de cette journée contre le harcèlement ?
« Ça ne devrait pas être seulement une journée, mais plutôt un sujet sur lequel il faut lutter tous les ans durant toute la période scolaire. Malgré le fait que cette simple journée réunisse les associations, les collectivités, les établissements scolaires, tout le monde devrait en parler. Il faudrait mettre cette thématique en lumière. »
Combien de temps avez vous mis à apprendre cette pièce ?
« Ça dépend pour chaque projet, souvent quand on prépare un spectacle, c’est entre 5 à 8 semaines de travail. C'est pas forcément consécutif parce que chaque comédien, chaque metteur en scène et toutes les personnes avec qui on travaille n'ont pas forcément le même planning que nous, donc entre 5 à 8 semaines dispatchées dans l’année pour monter un spectacle et après tout dépend. Là par exemple, on ne le répète plus puisqu’on l’a dans le corps, on l’a joué plus de 170 fois donc on le connaît. Parfois il y a des metteurs en scène qui demandent à le retravailler avant la représentation pour modifier des petites choses ou peut être revoir des scènes avec des défauts. »
Comment décririez vous votre spectacle en 3 mots ?
« Je dirais courage, car il en faut beaucoup lorsque nous sommes victimes de harcèlement pour en parler et s’en sortir ; bienveillance, de la part de tout le monde envers les autres et accepter leurs différences ; bonnes attentions, car si nous recevons des rumeurs sur quelqu’un : Est ce qu'on les colporte ? Est ce qu'on va faire du mal a une personne ? »
Lilou VADELORGE,
Elfy PAYSANT,
Laurina DETHINNE
Chartier s'engage contre le harcèlement
Le jeudi 7 et le vendredi 8 novembre 2024 étaient organisées les journées nationales contre le harcèlement scolaire. Au lycée Chartier, plusieurs actions ont été mises en place.
Jeudi 7 novembre
Le jeudi 7 novembre 2024, journée nationale de lutte contre le harcèlement, les élèves du lycée Chartier ont porté des vêtements verts, couleur symbolisant cet engagement. Des membres de l'équipe ressource PHARE, des élèves ambassadeurs et le Proviseur ont distribué des rubans verts à mettre au poignet à l’entrée du lycée. Pour dire non au harcèlement, une photo avec un drone a été prise dans la cour, à la récréation de 10h. Les élèves étaient positionnés sur les lettres du sigle NAH ( Non Au Harcèlement ). Un mur d’expression a également été mis en place pour que les élèves puissent écrire des témoignages ou des mots d’encouragement pour les victimes de harcèlement par exemple. Un groupe de parole a été organisé mais, faute de participants suffisants, a été annulé. En amont de cette journée, le lycée Chartier avait mis sur l’ENT un questionnaire anonyme pour mieux savoir comment se sentent les élèves dans leur établissement scolaire.
Vendredi 8 novembre
La seconde journée a été très forte en émotion. Les élèves ont pris conscience qu'ils pouvaient devenir malgré eux des harceleurs. Une représentation de théâtre avec des effets sonores a fait l’œuvre d’une grande source d’implication chez les élèves car certains d’entre eux ont fait partie de la pièce. Des élèves volontaires ont pu monter sur scène et jouer avec des professionnels.
Avant la représentation, on a précisé aux élèves que des pancartes leur seraient montrées et que ce qui était affiché dessus pouvait ou pas être prononcé à voix haute. Les lycéens ont suivi pendant une heure l’histoire d’une jeune fille nommée Joséphine, de la fin de l'école primaire au lycée. Au début, tout se passait bien, Joséphine vivait heureuse avec sa meilleure amie Marlène. Mais un jour, Joséphine a eu le malheur d'uriner en classe et le harcèlement débuta. L’arrivée au collège empira les choses puisque Marlène la trahit et révéla son secret à tout le monde. Les moqueries prirent de l'ampleur. Joséphine changea de collège et rencontra Boyboy qui la manipula. Finalement, Joséphine s’enferma dans sa chambre en pleurs et... aux spectateurs d'imaginer la fin de l'histoire.
Dans une seconde partie, les élèves ont pu poser des questions sur la pièce mais aussi se rendre compte que durant la représentation eux aussi avaient été des harceleurs en clamant les insultes qui étaient écrites sur les pancartes : « l'effet de groupe nous a emporté et on s'est senti obligé de suivre le mouvement. Nous ne nous sommes rendus compte qu'à la fin de la pièce que nous avions été nous même des harceleurs. » confient des élèves de Seconde.
C’est une représentation que les élèves ont trouvée touchante et très intéressante.
Sinoë PEIGNE, Johanna CARDRON, Lola BACQUET-MARIE, Edouard CRETU
Les adultes face au harcèlement
Le harcèlement vise à isoler ; notre solidarité est la réponse.
Face au harcèlement, notre infirmière, notre AED Charlène, nos professeurs Madame Cougnot, Madame Le Dréau et Monsieur Lajoie se sont mis à votre disposition pour vous écouter et vous aider. Ils ont tous suivi des formations pour comprendre ce qu'est le harcèlement et comment fonctionne ce phénomène pour pouvoir réagir en conséquence face à votre situation. Ils sont investis et sont déterminés à résoudre les cas qu'ils ont et auront à traiter.
Leur action au lycée
Lorsqu'ils sont alertés sur une situation, ils reçoivent les élèves. « D'abord l'élève cible (victime de moqueries, brimades, rumeurs...) et ensuite des témoins et le ou les intimidateur(s) ». Plusieurs cas de harcèlement ont été résolus avec leur aide, « la MPP, Méthode de préoccupation partagée, a bien fonctionné » d'après Madame Le Dréau. Cette méthode se base sur l'écoute et le respect de la victime Elle est utilisée pour faire prendre conscience à l'intimidateur des conséquences de ses actes et développer son empathie.
N'hésitez pas à en parler
Beaucoup d'entre vous considèrent ces initiatives comme étant inefficaces du fait d'un manque de considération au collège, ou bien d'autres ont peur de parler de leur situation par honte ou par crainte des représailles. Sachez simplement que le seul but de nos référents PHARE est de vous écouter et de vous aider en toutes circonstances. Chaque cas est traité dans l'anonymat et la transparence la plus totale de la part de nos référents, vous pouvez clairement leur faire confiance !
Tous unis
Restons unis face au harcèlement, réagissons avant qu'il ne soit trop tard, ne remettons pas cela à plus tard car plus tard, il sera trop tard. En cas d’harcèlement contactez un membre de l'équipe ressource PHARE.
Luna THOMAS
Les ambassadeurs Phare de Chartier
Le Mardi 21 Janvier, tous les élèves ambassadeurs Phare se sont réunis dans le cadre d'une formation dispensée par des professeurs de l'équipe ressource. C'est une formation théorique et pratique sur le phénomène du harcèlement, ses conséquences et sur le rôle et les missions des ambassadeurs.
Le harcèlement et ses conséquences
Le harcèlement est une violence répétitive physique, verbale ou psychologique perpétrée par un ou plusieurs élèves à l’encontre d’un de leurs camarades. Avec les réseaux sociaux, il dépasse le cadre scolaire : il y a le cyberharcèlement, le cybersexisme ou encore la vengeance pornographique (revenge porn). On peut considérer qu’il y a harcèlement quand il y a : rapport de force ou domination, répétition ou encore isolement et/ou abandon.
En 2023, 22 % des lycéens sont inclus dans une histoire de harcèlement et cela peut avoir de graves conséquences comme :
-le décrochage scolaire voire la déscolarisation
-l'anxiété, la dépression
-la somatisation
-la conduite autodestructrice voire suicidaire
Les ambassadeurs, des acteurs précieux du programme Phare
A la rentrée 2023, le programme PHARE a été déployé dans tous les lycées de France. Il prévoit de former des élèves pour lutter contre le harcèlement scolaire : les ambassadeurs.
Qui sont-ils et que font-ils ?
Les ambassadeurs sont des partenaires précieux de la prévention. Ils sont les interlocuteurs de l’équipe ressource de l’établissement. Ils se sont portés volontaires pour :
- sensibiliser leurs camarades au phénomène de harcèlement et, plus largement, au respect d’autrui
- repérer les signes du harcèlement et en parler à un adulte
- conduire des projets dans l’établissement pour mobiliser l’ensemble de la communauté éducative
- être porteurs des valeurs de l’école de la confiance.
Ce sont des élèves responsables, à l’écoute, là pour convaincre l’élève de parler à l’adulte, ou encore capables de collaborer avec les autres élèves élus. Cependant, ces élèves ne sont pas des justiciers, médiateurs, témoins passifs, ni le chef ou encore ceux qui vont régler des situations de harcèlement seuls.
Ils peuvent vous venir aide !
Simon DINAHET - POTHIER, Lysandre AJAAMOUD
Eliott Brachet, la passion dangereuse de journaliste de guerre
Il a couvert les zones de conflit comme le Darfour ou la bande de Gaza, Eliott Brachet est reporter de guerre.
Journaliste indépendant pour Le Monde, il est venu à la rencontre des élèves de 2nde du lycée Alain Chartier dans le cadre du Prix Bayeux des correspondants de guerre.
Il est venu présenter sa profession aux élèves de 2nde. Ils ont posé un grand nombre de questions, et ont appris beaucoup de choses sur cette profession et sur ses risques "Nous avons particulièrement apprécié sa sincérité et d’avoir pu découvrir la vie d'un journaliste de guerre" ont remercié les élèves impressionnés par l'échange. A l'issue de la rencontre, Eliott Brachet a lui aussi posé une question : « J’aimerais savoir comment vous faites pour vous tenir informés ? » Sans surprise, les lycéens ont répondu dans leur grande majorité : les réseaux sociaux, et, bien sûr, Tik Tok. Réponse qui interroge sa pratique actuelle de journaliste de presse écrite. Il se sait éloigné des plus jeunes lecteurs. Or il refuse de communiquer via TikTok, car pour lui la plateforme véhicule trop de fausses nouvelles, elle n’est pas digne de ses informations.
Une passion née au collège
Eliott Brachet, né lors de l’année de la création du premier Prix Bayeux des reporters de guerre (en 1994), a dès le collège, découvert une passion pour le journalisme.
Il a commencé très jeune à se soucier du monde qui l'entourait en se documentant par exemple sur le Printemps arabe. Ce sujet inconnu pour lui a engendré une curiosité inarrêtable qui l'a poussé à se renseigner davantage. Au fur et à mesure, Eliott Brachet a tracé sa voie dans le journalisme jusqu'à l'obtention d'un master.
Aujourd’hui, journaliste indépendant, il travaille pour différents médias, et notamment Le Monde. Comme journaliste indépendant et reporter de guerre, il a choisi d’exercer son métier dans la capitale du Soudan, Khartoum.
Sa volonté : informer sur les atrocités de la guerre tout en restant, dans la mesure du possible, hors des zones de conflit direct. Quand la guerre civile éclate en 2023, après trois années passées dans le pays, il est évacué en France. Son désir d’informer reste intact, il choisit l’Egypte pays voisin du Soudan, pour continuer d’écrire sur les atrocités de la guerre au Darfour. La situation géographique de l'Egypte lui permet également de couvrir le conflit actuel israélo-palestinien.
Un danger permanent
Journaliste indépendant, Eliott Brachet a la volonté de prendre connaissance par lui-même de certains événements. Montrer, dire ce qu’il voit au plus près de la réalité, celle du Dafour. Une fois sa mission terminée, et parce qu’il n'a pas eu le temps d’anticiper son retour, les événements étant très imprévisibles en temps de guerre, quitter le pays s’avère compliqué. Pris de court, il peut alors faire appel à des passeurs pour son exfiltration. Mais les passeurs peuvent demander des sommes exorbitantes, "2000 à 5000 euros" comme cela a pu être le cas à Gaza. Il ne peut concevoir de rester là à attendre un renfort durement négocié, au risque de sa vie. Il lui faut sortir au plus vite de cette impasse. Livré à lui-même, il prend une option encore plus risquée : traverser les lignes de tirs pour se réfugier dans une zone sans danger. Elliot Brachet est sain et sauf. Trois jours plus tard, “d’autres se sont faits cribler de balles”, se remémore t-il, la voix encore empreinte d’émotion. Il a bien conscience d’avoir échappé de peu à la mort.
Prendre des risques avec raison
En reprenant ses termes, le "risque zéro" n’existe pas, mais il faut savoir évaluer le risque et la qualité de l’information recueillie. Il ne s’agit pas pour Eliott Brachet de prendre des risques inconsidérés. Le travail sur le terrain est préparé à l’avance avec des fixeurs. Un fixeur est une personne locale qui renseigne le pigiste sur les événements et sur l’environnement. Il sécurise dans la mesure du possible, les zones où le journaliste va intervenir. Le contact avec les populations locales est indispensable pour faire le métier correctement. C’est d’ailleurs une des choses qui le pousse à continuer dans ce métier, il aime le contact humain. Des hommes et des femmes qui vont lui raconter “leur” histoire, “leur” vérité qu’elles soient justes ou pas. Le journaliste à force d’écoute, et d’expériences, sera plus à même de comprendre les caractères humains, et déceler la réalité des faits.
Un métier difficile financièrement
"C’est un beau métier ; on voyage dans beaucoup de pays, on se fait des amis aux quatre coins du monde", s’enthousiasme Eliott Brachet qui reconnaît que "l’adrénaline du risque” (avec modération) est aussi une des facettes du métier qu’il apprécie.
Journaliste indépendant comme son nom l’indique, n’est pas salarié mensuel d’un journal, il est payé à l’article parfois commandé, parfois proposé sans être commandé.
Cela signifie des revenus qui fluctuent et des dépenses sur le terrain, souvent assumées par le journaliste lui-même. Frais d’hébergement, voyage, mais aussi frais hospitaliers ou de soins (la sécurité sociale n’existe pas dans tous les pays) sont souvent à la charge du journaliste indépendant. Une précarité synonyme également de salaire peu élevé en comparaison des risques encourus. “Entre 2 000 et 3 000 euros pour aller risquer sa vie”, explique Eliott Brachet. Outre le salaire, c’est le rythme de travail qui lui aussi laisse peu de place à la vie personnelle "Les périodes de travail suivent naturellement l'importance des évènements. On peut être amené à ne rien faire un jour ou deux, puis faire une nuit blanche pour 3 jours de travail ou plus, presque non-stop".
Sur place, là encore, souvent isolé, le journaliste indépendant, n’a pas de contacts préalablement établis par la direction d'un journal.
Il doit faire face, seul, aux différents évènements. Quand le journaliste est envoyé par un journal, celui-ci prendra en charge son rapatriement si nécessaire, mettra tout en œuvre dans la mesure de ses possibilités, pour l’aider à se sortir d’un mauvais pas.
Ce n'est pas le cas du journaliste indépendant. Au mieux, ce dernier a un contact téléphonique au quotidien pour faire le point sur l’avancée de son travail et quand il lui sera possible de livrer l’article.
Au plus près de la vérité
Mais alors, pourquoi devenir journaliste de guerre ?
Eliott Brachet justifie son choix par le devoir de vérité sur les événements et la vie des habitants. « Même à travers la guerre, le quotidien des gens doit être connu ».
Témoigner le plus honnêtement possible de ce que vivent les gens pour alerter l’opinion publique sur la réalité de la guerre, de la misère. Informer sur : comment l’homme vit dans ce monde pour aider à la prise de conscience de chacun de nous ? Pour un monde qui puisse réagir, pour un monde qui puisse se parfaire et même si cela peut souvent paraître utopique et toujours frustrant comme le dit parfaitement Eliott Brachet.
« Je partage les informations aussi bien que je le peux, pourtant rien ne change, c’est comme si je servais à rien. Mais en même temps, si je ne le fais pas, qui le fera ? […] C’est cela qui me motive, permettre aux gens de savoir ce qui se passe et de réagir […] Toutes ces guerres qui se passent en Ukraine, à Gaza, et au Soudan sont absurdes […] Tout cela est déprimant, on est tous dans le même camp […] Les qualités humaines sont partout ».
Edouard CRETU
Retour sur les réfugiés ukrainiens
L'invasion de l'Ukraine par la Russie a eu lieu le 24 Février 2022 sur ordre du président Russe, Vladimir Poutine. Depuis, l'Ukraine demeure une zone de guerre et de nombreux Ukrainiens sont donc contraints de quitter leur pays : ce sont des réfugiés de guerre. « J'habitais dans une ville à 30km de la Russie, donc on avait beaucoup de bombardements chaque jour et au bout du cinquième jour, ma famille a décidé de partir. » Les réfugiés ukrainiens ont dû faire face à des conditions de vie extrêmement difficiles et certains finissent parfois par se retrouver dans des pays étrangers avec peu de ressources. Le nombre de réfugiés de guerre ne fait que d'augmenter. D'après les Nations Unies, 6 021 400 réfugiés ukrainiens ont quitté leur pays après le déclenchement de la guerre :« C’était un grand voyage, de 2 000 km ou plus. ». Heureusement de nombreux pays européens en ont accueillis un grand nombre, souvent avec des efforts significatifs, bien que cette intégration ait parfois été complexe : « Le manque d'amis et la langue étrangère étaient les premières difficultés. ». Ainsi, les établissements scolaires se sont aussi mobilisés, comme le nôtre qui a accueilli 2 Ukrainiens, Denys et Tina.
Les citations de cet article proviennent d'une interview avec eux à découvrir via ce QR code :
Flavien BOËSSEL,
Mathys PICOT
Ana Verónica Rodrigues et son pays
À la découverte du Venezuela : Un paradis touristique à découvrir avec Ana Verónica.
Pendant un cours d’espagnol, nous avons rencontré une assistante vénézuélienne, qui se prénomme Ana Verónica Rodrigues. Ana est née le 12 janvier 1996 à Caracas, capitale du Venezuela.
Ana est traductrice. Pour exercer ce métier, elle a étudié les langues modernes avec une mention « traduction ». Elle parle espagnol, anglais et un peu français. Elle a vécu en Irlande presque 2 ans et a étudié le japonais, mais cette langue est compliquée pour elle. Dans le futur, elle aimerait voyager au Japon.
Caractéristiques du Venezuela
Le Venezuela ou « República Bolivariana de Venezuela » se situe en Amérique Latine, entre la Colombie, la Guyane et le Brésil.
Le drapeau du Venezuela est jaune, bleu et rouge avec 8 étoiles :
Le jaune représente les richesses du pays.
Le bleu, le ciel et la Mer des Caraïbes.
Le rouge, le sang versé durant la guerre d'indépendance.
Et les étoiles représentent les provinces.
La langue officielle est l’espagnol mais dans ce pays, il existe aussi plus de 30 langues indigènes (comme le Warao, Wazú, Pemón, ...).
Le Venezuela compte environ 28 millions d’habitants pour 916 455 km2 de superficie. Le climat est tropical (26 degrés) et il n’y a pas de saisons comme en France.
La monnaie vénézuélienne est le Bolivar (1 euro = 40 bolivars). Sur les billets, on peut voir le visage de Simón Bolívar, le libérateur du Venezuela le 5 juillet 1811.
Tourisme au Venezuela
Le Venezuela a de nombreux attraits naturels, tels que :
-Le Salto Ángel, cascade la plus haute du monde qui se situe au parc national Canaima, déclaré patrimoine mondial de l'UNESCO en 1994.
Pour l’anecdote, on retrouve cette chute d’eau (« les chutes du paradis ») dans le film disney « Là-haut »
-On peut également trouver un rongeur, le plus grand du monde, appelé « capibara ».
-Le lac de Maracaibo est une baie ouverte sur le golfe du Venezuela et la Mer des Caraïbes. Il est situé dans l’état de Zulia, capitale mondiale des tempêtes électriques.
-Nous ne pouvons pas quitter le Venezuela sans aller dans les archipels de Los Roques. C’est un ensemble d’îles appartenant au Venezuela. Cet archipel est devenu un parc national en 1972. Il est situé au nord de la ville de Caracas et représente l’une des principales attractions touristiques du pays.
Maëwenn MARIE
L'élection de Donald Trump, un bouleversement ?
Charlotte, Américaine d'environ 25 ans, venue travailler en France pour quelques mois, est déçue de ces élections mais contente qu’il n’y ait eu de grosses manifestations. Elle a pu voter alors qu’elle ne se trouvait pas dans son pays. Sa mère, aux États Unis, a voté pour elle. Elle insiste sur la peur qu’elle a à propos des lois proposées, comme par exemple la fin de l’immigration. Elle ne veut pas que se reproduisent les erreurs du passé. Malgré tout cela, elle reste positive. Selon elle, ni la guerre en Ukraine, ni la guerre en Palestine ne vont être impactées à la suite de l’élection de Donald Trump.
Luna 24 ans, qui vit aux États Unis, est désolée elle aussi. Énervée qu’il soit réélu. « Il est un criminel et ne devrait être considéré comme un candidat aux présidentielles ». Elle n’est pas d’accord avec les lois qu’il veut mettre en place ; avortement interdit, enlever le droit aux femmes, aux transgenres ... , augmentation des prix .... Même si elle essaie de rester positive, elle ne l’est pas concernant le futur.
Donald Trump est investi depuis le 20 janvier 2025. Quelle politique mènera-t-il et quelles lois proposera-t-il ?
Amélie LETOURNEUR--SCIPION
Voici notre mascotte
Cette mascotte à été créée à partir de plusieurs avis d'élèves de notre classe.
Le singe a été choisi par certains comme représentant notre classe. Il porte un t-shirt rouge car c'était la couleur des Secondes 4 lors de la journée d'intégration.
Réalisation de la mascotte : Camille LEFEVRE
et Mélina PSARROS
Chartier fait son forum de l'orientation
Quels bénéfices pour les lycéens ?
Le vendredi 20 décembre 2024, les élèves du lycée ont participé au forum de l'orientation. Grâce aux professeurs présents, aux étudiants et à certains professionnels de nombreuses filières ont été présentées : les fillières générales et technologiques, notamment les différents enseignements de spécialité dispensés dans les lycées bayeusains :
Arts Plastiques, HGGSP, HLP, LLCE, Mathématiques, NSI, PC, SVT, SES au lycée Alain Chartier et SI et AMC au lycée Arcisse de Caumont.
Est-ce bénéfique ?
Pour certains ce forum a été utile pour confirmer ou encore découvrir que certains enseignements de spécialité ne correspondaient pas à leurs envies pour leur futur.
"Pour les spécialités c'était utile car ça nous a permis de découvrir le programme et la spécialité en elle-même par contre sur les études d'après le lycée ça nous a pas beaucoup aidés" nous confie un élève de 2nde. Un élève de Première nous dit : "Bien mais long, les entrées dans les salles n'étaient pas accueillantes ce qui ne donnait pas forcément envie d'entrer et nous n'étions pas assez guidés vers les salles, je ne trouve pas qu'il y ait beaucoup de diversités dans les différentes filières. Mais j'ai trouvé ma filière future ; master en management et administration en entreprise."
Nous avons aussi recueilli les paroles d'un AED pour qui "ce forum est important car on y trouve des informations qui peuvent être intéressantes sans avoir besoin de se déplacer". Notre proviseur dit aussi qu'en Seconde on nous demande de faire des choix rapidement pour nos spécialités et que ce forum de l'orientation nous permet d'aller à la rencontre d'une centaine d'intervenants : des professeurs, des étudiants ou encore des professionnels. Tout cela peut nous permettre de nous guider dans nos choix. Il ne sagit pas que d'une présentation générale.
L'avis de Monsieur Fabre, Proviseur du lycée : Est-ce que ce forum vous aurait été utile lorsque vous étiez en seconde ?
"Moi ça m'aurait beaucoup aidé car à mon époque lointaine, on n'avait strictement rien. Or là, on vous propose une présentation des professeurs et ensuite on vous fait venir des intervenants et vous avez encore parcours sup, ou plein de sites. Encore aujourd'hui vous avez même trop d'informations c'est pour ça que l'aspect du forum qui me plaît c'est que vous discutez avec de vraies personnes qui peuvent vous conseiller et vous guider dans vos choix d'orientation."
Yaël DROUET - - LEBECQ
Nouveauté musicale
En ce 22 novembre 2024 Kendrick Lamar, un des artistes phares de la dernière décennie a décidé de prendre ses fans par surprise en révélant un album sans avoir prévenu personne.
En effet, le public se demandait comment le rappeur américain, connu pour aborder des thèmes complexes comme le racisme, les inégalités, la politique, la culture afro-américaine allait se relever d’un « clash » très médiatique avec Drake, un autre mastodonte du rap mondial. Ses œuvres sont souvent vues comme un miroir des luttes sociales et politiques aux États-Unis, et c’est donc un Kendrick Lamar plus explosif que jamais que nous découvrons sur cet album intitulé « GNX ». Toujours avec une variation de flow impressionnante, il nous délecte d’un superbe show musical.
Après les cinq albums studios en solo ( Section.80 / Good Kid, M.A.A.D City / To Pimp a Butterfly / Damn / Mr. Moral & the Big Steppers), dix-sept grammy awards, et une influence mondiale tant en musique qu'à travers la société ; K.Dot comme il se fait appeler, nous gratifie d'un sixième album quelques mois seulement avant qu'il performe au Super Bowl 2025 qui aura lieu à la Nouvelle-Orléans. Cet évenement intervient à l'apogée de la carrière de l'américain, qui paraît "intouchable" en ce moment.
Ce nouvel album montre au monde entier que Kendrick Lamar est seul tout en haut de l’échelle du rap actuel et on se demande maintenant quelle est sa place dans le top des rappeurs all-time.
Anatole LEVAVASSEUR
Deux artistes à suivre en ce moment
DALI
Dalí a sorti un nouvel album ce 13 décembre 2024. Cet album se nomme "Marilyn".
Présentation de l'artiste : Dalí est un jeune artiste de 21 ans dont les inspirations s'étendent de la chanson Française au RNB US.
Ce que j’ai préféré dans cet album c'est le fait que ce soit un album très personnel qui parle de sa vie, de ses peurs, de ses doutes etc....
Le son le plus apprécié de son nouvel album est « Tout va bien ».
DAMSO
Damso a sorti un nouvel album le 15 novembre 2024. Il est sobrement nommé « J'ai menti ».
Présentation de l'artiste : Damso est un rappeur belge âgé de 32 ans qui a enflammé le rap Français.
Ce que j'ai préféré dans cet album est que l'on voit que notre cher Damso mûri et vieilli à sa façon certes, mais quand même...
L’album avait déjà fait 4,69 millions de streams en moins de 24h ce qui est un lancement exceptionnel !
Le son le plus apprécié par la critique est la chanson intitulée « Shema » avec presque 1 million de vues rien que sur Youtube. @elotana14_YT
Axel LENGAGNE
Films classiques
Aujourd'hui nous vous proposons des films à regarder.
Leurs enfants après eux
Le premier film, Leurs enfants après eux, inspiré du roman de Nicolas Mathieu est adapté par Ludovic Boukherma et Zoran Boukherma. Ce film retrace l'histoire d'un adolescent, Anthony, et de Stéphanie une adolescente qui ont eu le coup de foudre inattendu, mais d'un coup la vie d'Anthony bascule et par conséquent celle de Stéphanie aussi... Ce film est conseillé pour ceux qui aiment les films mêlant amour et drame. Bon visionnage !
La Boom
Ensuite nous avons le film La Boom, réalisé par Claude Pinoteau en 1980. C'est une comédie jouée par Brigitte Fossey, Claude Brasseur et Sophie Marceau (personnage principal, ce qui lancera sa carrière d'actrice). C'est l'histoire d'une adolescente nommée Vic qui vit à Paris avec ses parents, son arrière grand-mère et ses amis. Nous suivons ses aventures, y compris amoureuses, qu'elle confie à son arrière grand-mère (Poupette) avec qui elle est très fusionnelle. C'est un film culte des années 1980-2000.
Fast and Furious (1)
Pour finir, nous vous conseillons le film Fast and Furious (1) réalisé par Rob Cohen en 2001, un film mélangeant action et suspense sur le thème de l'automobile joué par Paul Walker, Michelle Rodriguez et Vin Diesel. Nous suivons les courses-poursuites à Los Angeles entre gangs.
Elia MELONI,
Juliette ALEXANDRE
Avis sur la littérature contemporaine
‘Un automne pour te pardonner’ est le premier tome de la saga ‘Season’. J’ai adoré cet ouvrage de Morgane Moncomble. Il retrace la vie d’un jeune homme, Lou McAllister, accusé du meurtre de son meilleur ami. Lors de l’enquête, son avocate, Camélia O'Brien, se trouve être sa pire ennemie.
‘Mille Baisers pour un Garçon’ est un livre de Tillie Cole que j’ai beaucoup apprécié. Poppy et Rune sont amoureux depuis qu'ils ont cinq ans. Un jour, la grand-mère de Poppy lui offre un bocal de mille cœurs en papier où noter ses meilleurs baisers. Poppy et Rune décident alors de s'embrasser mille fois, et plus encore. Cependant, avant que le bocal soit rempli, la famille de Rune déménage à l'autre bout de la Terre, et, sans explication, Poppy coupe subitement les ponts avec le garçon qu'elle aime. C'est seulement à son retour, deux ans plus tard, que Rune apprend la raison du long silence de Poppy.
‘Harry Potter et l’Ordre du Phénix’ est le cinquième tome de la saga Harry Potter écrite par J.K. Rowling que je n’ai personnellement pas vraiment pris le temps de lire . A quinze ans, Harry entre en cinquième année à Poudlard, mais il n'a jamais été si anxieux. L'adolescence, la perspective des examens et ces étranges cauchemars... Car Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom est de retour...
Capucine VARLOT
Brest n'a pas peur de l'Europe
Auteur d’une saison 2023-2024 aussi inattendue qu’exceptionnelle, le Stade Brestois 29 a réussi à décrocher son ticket pour la plus prestigieuse des compétitions, l’UEFA Champions League. C’est sous un nouveau format que les Brestois allaient goûter à la coupe d’Europe avec comme maîtres mots : prendre du plaisir.
Le club a dû faire face à des difficultés avant même de commencer la compétition, comme leur stade Francis Le Blé, trop petit et pas aux normes pour accueillir des matchs de cette envergure. C’est donc chez leur voisins guingampais qu'ils ont pris place.
Et à la surprise générale, les brestois font rayonner leur football plein d’envie à travers l’Europe .
Lors des 6 premiers matchs, les Brestois ont réussi l'exploit de gagner 4 fois. Avec 13 points au compteur ils sont, à l'heure actuelle, 8e du classement et en passe de se qualifier pour les 16e de finale. On retiendra de cette première partie de compétition la victoire 4 à 0 sur le terrain de Salzbourg, club qui a remporté 17 fois le championnat autrichien.
L’équipe sous la houlette d’Eric Roy compte encore deux matchs pour continuer de vivre son rêve éveillé pour pourquoi pas espérer un exploit encore plus immense. Rendez-vous face aux Ukrainiens du Shaktar Donesk et enfin au grand Real Madrid pour un match de gala au stade du Roudourou.
Thibaut DIERE,
Anatole LEVAVASSEUR
Le XV tricolore fait tomber les All-Blacks
Lors de la tournée d’automne 2024, le XV de France a remporté une victoire mémorable face à la Nouvelle-Zélande (30-29) au Stade de France. Ce match, marqué par une intensité exceptionnelle, a montré la résilience et le talent des Bleus, qui ont désormais battu les All Blacks pour la troisième fois consécutive, un exploit rare dans l'histoire du rugby français.
Les Bleus ont notamment affiché une efficacité défensive notable, avec un taux de plaquages réussis de 90 %. Paul Boudehent et Grégory Alldritt ont été impressionnants. Offensivement aussi c'était un festival nottament grâce aux 18 points de Thomas Ramos.
Importance de cette victoire
Ce succès flamboyant nous fait oublier la coupe du monde loupée à domicile et Fabien Galthié redort son blason. Il met en lumière la profondeur et la jeunesse de l’effectif, notamment avec l’émergence de talents comme Bielle-Biarrey. De plus, cette performance face à une équipe néo-zélandaise expérimentée démontre la capacité des Bleus à rivaliser avec les meilleures nations.
Avec cette victoire, le XV de France confirme son statut parmi les favoris des prochaines compétitions majeures et gagne en confiance à l’approche du Tournoi des Six Nations.
Thibaut DIERE,
Anatole LEVAVASSEUR
La parité aux Jeux olympiques
Le saviez vous ?
Les jeux de Paris 2024 sont les premiers jeux olympiques comptant autant d’athlètes hommes que d’athlètes femmes. Pour comparer, à Tokyo en 2021, 48,8 % d’athlètes étaient des femmes ce qui était le meilleur score de l’histoire. A Paris la parité atteint un taux record avec pile 50 % de femmes.
Il reste cependant des progrès à faire car les jeux paralympiques contenaient 4 400 athlètes et seulement 1 983 femmes (soit 45 %) et peut-être un jour verrons nous la parité aux jeux paralympiques et serait-ce à Paris car depuis le renouveau des jeux olympiques modernes Paris est au centre de l’évolution dans la parité homme femme car les premiers JO parisiens, en 1900, étaient déjà un renouveau puisque pour la première fois les femmes pouvaient participer.
Thibaut DIERE,
Anatole LEVAVASSEUR

Premier duo père fils à partager un terrain NBA
Cette année, Lebron James entamant sa 22ème saison NBA avec les Los Angeles Lakers s’est vu rejoindre par son fils aîné Bronny James âgé de 20 ans drafté au pick 55 de la draft 2024. Il a été choisi en 55ème position à un évènement où tous les jeunes joueurs essayent d'aller en NBA. Il rejoint donc la plus grande ligue du monde de basketball : la NBA ainsi que la franchise titrée à 17 reprises ( la 2ème plus titrée de l'histoire). A 40 ans, Le « King » ne partagera pas beaucoup de match avec celui-ci qui partira en développement en G league (sorte de deuxième division de la NBA) car il n’a pas encore le niveau minimum pour jouer dans une franchise. Beaucoup de gens affirment que Bronny n’aurait jamais dû être drafté et qu’il n’a pas et n’aura jamais le niveau nécessaire pour jouer un jour en NBA, que c’était juste un caprice de son père qui voulait réaliser son rêve. Cela est compréhensible mais aurait t-il dû se plier à la règle du plus fort ou son nom est t-il vraiment un « passe-droit » ? Et est-ce que Bronny nous fera mentir en revenant plus fort que jamais en NBA ?
Thibaut DIERE,
Anatole LEVAVASSEUR