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N° 2 - Juin 2024 | www.lyceejeannedarc.com |
Edito
C’est avec joie que je vois paraître le deuxième numéro du journal des lycées des élèves du lycée Jeanne d’Arc. Cette seconde édition est possible grâce à l’engagement de Mme Dubost Sakhi et de ses élèves, qui répondent présents et s’investissent au quotidien. Ce travail n’aurait pas vu le jour sans l’aide précieuse de M. Joël Cyprien, ancien journaliste du Courrier Picard, qui a accompagné nos élèves tout au long de ce travail de rédaction.
S’investir, ce n’est pas seulement cocher des cases dans le but de valoriser son profil sur Parcoursup. S’investir c’est donner de son temps, de son énergie, ses compétences pour aller à la rencontre de l’Autre. C’est dans cette rencontre que se noue le dialogue qui est essentiel, à toutes les échelles pour bâtir le monde de demain. S’investir, c’est partager nos différences dans cet objectif de dialogue et c’est que qu’ont fait nos élèves dans le cadre de la parution de ce deuxième numéro.
Dans ce numéro, vous pourrez voir les différents investissements de nos élèves au sein de l’établissement et à l’extérieur. C’est le cas par exemple de la course solidaire, ou des différents échanges et voyages en Suède ou en Allemagne. L’investissement de nos élèves se retrouve également les différents Prix auxquels ils ont participé.
Je remercie vivement les élèves rédacteurs et je tiens à leur part de ma fierté d’avoir pu contribuer à la formation des futurs adultes investis et engagés qu’ils deviendront.
Céline LEFEBVRE
Adjointe de direction
SOMMAIRE
Pages 2 et 3
La course solidaire
Page 4
Servir ensemble la Terre
Page 5
Le tri mis en scène
Le Service sanitaire au lycée
Page 6
Découvrir l'IMEC
Younivers et jeunes talents
Page 7
Quand la mode rencontre la Solidarité
Page 8
L'amitié franco-allemande récompensée
Page 9
Prix MangaCaen
Page 10
Des lycéens au concours de plaidoiries
Page 11
Jeux de rôles
L'univers d'Unity
Une course contre la faim
L'après-midi s'est divisé en trois parties. D'abord une première course de marcheurs et de coureurs avec la moitié des élèves, suivis d'une deuxième puis un défilé déguisé. Léo Dudouet a participé à la première course en marchant.
Tous les terminales ont été invités à participer. Etais-tu spontanément volontaire ?
Oui, agir pour des causes comme celle-ci me tient à cœur. C'est totalement en accord avec mes valeurs. La solidarité est primordiale pour moi.
Es tu content de ta participation ?
Oui, absolument. L'ambiance est bonne, il y a de la musique que demander de plus. Le système de financement donne un intérêt concret à la course. On ne tourne pas en rond sans but. C'est motivant.
Que penses-tu de l'organisation ?
Les bulletins d'inscription n’étaient pas très pratiques. Personnellement je l'ai perdu, donc ça m'a compliqué la tâche. Etant donné son statut obligatoire, une version numérique ne serait pas de trop.
Propos recceuillis par
Arthur BARRIER
Texte
Texte
Liste de gagnants
Meilleur coureur
•PRUNIER Oscar 18 tours
Meilleure coureuse
•JAUDARD Victoria 17 tours
Meilleur marcheur
•HUDAULT Eloi 11 tours
Gagnants du défilé déguisé
•L'équipe des minions
Principaux donateurs
•LETERTRE Camille
•MOREL--DORLEANS
Zoé
•SENOUSSI Yanis
Après quoi court-on ?
L'action solidaire, organisée par la terminale D, s'inscrit dans le cadre de la compétition interclasse.
La journée d'action solidaire, organisée au stade du Chemin Vert à Caen le 17 mai 2024, a permis de récolter des fonds pour l’association humanitaire Un Visage, Un Sourire, présidée par Pascal Lelièvre depuis 2020.
Pascal, quand ton dévouement associatif est-il né ?
Je me suis plongé dans l’humanitaire en 2017, l’année de ma retraite. Cette année-là, j’ai rencontré une trentaine de migrants soudanais à Ouistreham qui cherchaient à rejoindre l’Angleterre. J’ai fondé mon association ADMI (Aide des démunis et migrants) en me promettant de ne pas mettre un terme à mon action avant que chacun d’eux ait pu mener à bien sa traversée de la Manche. Cette mission d’aide alimentaire et au logement a duré 18 mois.
Comment est née l’association Un Visage Un Sourire ?
Après avoir achevé mon engagement humanitaire à Ouistreham, j'ai décidé de rejoindre un de mes amis qui avait besoin d’aide avec son association de ramassage. Il a attiré mon attention sur la précarité d'un certain nombre d'étudiants. Un jour, une étudiante m’a sollicité en attirant mon attention sur le fait qu’elle n’avait pas mangé de viande depuis plusieurs semaines. J'ai alors pris conscience de la nécessité de l’extension la distribution à l'alimentaire.
Quelles sont les actions mises en œuvre ?
Nous distribuons des colis tous les quinze jours. Cela représente environ 30 000 repas par an. Chaque colis contient dix produits (pâtes, œufs fermiers, etc). On s'occupe aussi des hébergements d'urgence. Dès la rentrée prochaine, nous comptons accroitre nos capacités d'hébergement.
Quels sont les critères pour bénéficier de vos colis ?
En principe, le reste à vivre des bénéficaires est inférieur à 50 €. Nous ne demandons pas de justicificatif. Nous estimons que si quelqu'un attend plusieurs heures sous la pluie, c'est qu'il en a vraiment besoin. Par contre, les personnes qui s'inscrivent mais ne viennent pas récupérer leur colis alimentaire, sans raison valable, sont exclus.
Comment vous financez-vous ?
Nous ne touchons pas de subventions d’institutions (Région, Département, communes). Nous sommes en partenariat avec des entreprises comme Nocibé ou Ibis. L’année dernière, nous avons reçu du soutien de la Banque alimentaire pour supporter le poids des 250 colis que nous distribuions une fois tous les quinze jours.
Notre budget annuel s’élève entre 10 et 12 000 €. Il nous faut sans cesse des donateurs. Nous sommes inscrits sur Helloasso.
Notre projet est de se diriger vers une formule d’abonnement. Les adhérents s’engageraient à donner une somme fixe tout les mois d’1 €, par exemple, par le biais de la plateforme Teaming.
Actuellement, nous n’avons pas de locaux ; nous louons un box.
Propos recueillis par
Arthur BARRIER
Contact : Instagram @association_unvisageunsourire
06.30.37.45.30
unvisageunsourire@orange.fr
Merci aux partenaires participants !
•Biocoop Fréquence Bio
35 Av. Henry Chéron, 14000 Caen
•SCRC CAEN RUGBY CHEMIN VERT
47 Rue d'Alsace, 14000 Caen
•Skypark Normandie by AJ Hackett
viaducdelasouleuvre.com
•LE FOURNIL DE BEAULIEU
37 Rue Claude Chappe, 14000 Caen
•Lasergames Caen/Bretteville sur Odon
19 Av. de la Voie au Coq, 14760 Bretteville-sur-Odon
•Goût & Qualité
goutetqualite.fr
• Accrofury
Chem. de la Mine, 14320 Feuguerolles-Bully
•Société Nouvelle Yabon Verneuil
•Scolarest
•association culturelle du lycée JDA
Quel rôle pour l'éco-médiateur ?
En cette semaine du développement durable, nous avons rencontré un membre actif et impliqué, Hugo Balquet.
Pouvez-vous nous expliquer ce qu'est un éco-médiateur ?
C'est une personne ayant pour objectif de sensibiliser son entourage à propos des défis environnementaux par le biais de campagnes, de projets et d'actions.
Que faites-vous pour cette semaine du développement durable ?
En cette semaine spéciale, nous avons décidé de réaliser des affiches sur différents thèmes (les Jeux Olympiques 2024, les COP etc), de mener des actions comme du jardinage avec la mise en place d'un espace vert, ainsi que l'installation d'ateliers de recyclages (magazines, tee-shirts...).
Est-ce important pour vous de participer à cette semaine verte ?
C'est important de sensibiliser notre entourage afin qu'il comprenne les enjeux de notre génération. Nous savons que nous pouvons essayer de changer les mentalités et de contribuer à l'avancement de l'intérêt commun à notre échelle. Nous nous sentons alors obligés d'essayer, ça n'a jamais tué personne !"
Propos recueillis par Célestine Mayaud
Servir ensemble la terre, une semaine verte
Les éco-médiateurs du lycée Jeanne d'Arc de Caen ont préparé une semaine remarquable sur le développement durable.
Tout au long de la semaine du 8 au 12 avril 2024, le lycée Jeanne d'Arc a accueilli plusieurs ateliers portant sur le développement durable dans le but de servir ensemble la terre et de sensibiliser les élèves sur l'écologie, pour une troisième édition.
Une dizaine d'écos-médiateurs ont fait partie de cette grande organisation afin de mettre en place une semaine sensibilisante et marquante.
La grande participation des élèves, des professeurs ainsi que du personnel éducatif a permis de créer une semaine captivante et intéréssante, à la fois dans la création de projets collectivement que dans la sensibilisation environnementale.
Un atelier en laboratoire
L'atelier savon a été animé par M Gouteux, professeur de physique-chimie, et Mme Aubert-Papon, professeur d'histoire-géographie, qui ont partagé leur savoir-faire. Il a permis de réunir un certain nombre d'élèves dans l'objectif de savoir faire soi-même du savon,
de développer un vivre ensemble ainsi que de sensibiliser sur l'auto-création d'objets du quotidien...afin d'éviter la surconsommation.
Célestine MAYAUD
Donner plutôt que jeter
À l'entrée du lycée, plusieurs piles de magazines issus d'un desherbage du CDI étaient disponibles, gratuitemen,t afin de leur donner une seconde vie. Les élèves ont ainsi eu la possibilité de se servir tant qu'ils le souhaitaient.
Atelier DIY de tee-shirts
Dans la grande rue se déroulait un atelier de DIY de tee-shirts avec Mme Dubost-Sakhi, professeur documentaliste, et Mme Enguerrand, responsable du BDI.
Les élèves avaient la possibilité d'apporter des tee-shirts afin de leur donner une nouvelle identité. Un atelier de fabrication de tawashi (éponge) permettait également de recycler ses chaussettes usagées.
Des étudiants engagés dans la prévention
Le service sanitaire est un projet initié par le ministre de la Santé. Ce projet sur deux semaines est obligatoire. C'est l'occasion pour les étudiants de se familiariser avec les enjeux de prévention en santé. Eux même s'enrichissent grandement et on le plaisir de pouvoir partager leurs connaissances et leur experience. Il y a une pluridisciplinarité puisqu'on peut retrouver des étudiants en médecine, pharmacie, infirmiers, kinésie.
Durant la première semaine, ils sont formés sur le thème qui leur a été imposé. Dans un second temps, ils interviennent dans toutes sortes d'établissements : écoles, collèges, lycées voire même centres spécialisés pour le handicap ou encore dans le cadre de la prostitution.
Prévention et éducation thérapeutique
De nombreux thèmes de prévention peuvent être abordés comme l'obésité, les addictions, l'anxiété, etc.
Depuis le 8 avril 2024 et jusqu'à la fin de la semaine, un groupe de cinq étudiants était présent. Leur rôle ? Nous sensibiliser sur tout le côté psychologique de la santé tel que le harcèlement, le stress, la dépression. En m'entretenant avec eux, ils m'ont notamment parlé de la prescription excessive d'antidépresseur par les thérapeutes auprès des jeunes. Leur mission était alors aussi de nous faire comprendre que ces traitements ne sont pas anodins et qu'ils représentent de réels risques pour notre santé. On peut déjà citer la dépendance qu'ils créent, des prises de poids indésirables, une hypertension artérielle.
Au delà de cette sensibilisation très enrichissante, ils se sont montré disponibles pour apporter des informations et initier le dialogue sur les études universitaires dans le domaine de la santé.
Ce projet est bénéfique pour tous. Il nous montre l'importance de sensibiliser les jeunes, dès leur plus jeune âge, sur de tels sujets.
Annaëlle LOHIER
Une représentation théâtrale pour les classes de seconde
Le vendredi 12 avril 2024, la compagnie de théâtre « Foutu Quart d'Heure » s'est produite au lycée Jeanne d'Arc dans le cadre de la Semaine verte.
Lucie Dumaine vous êtes l'une des comédiennes de la troupe, quel message lié au développement durable avez-vous trouvé le plus important à transmettre à travers votre performance ?
Le message le plus important, c'est de refuser et de réduire. C'est vraiment les choses les plus difficiles à mettre en place. Mais je crois que refuser des choses à la base et réduire ce qu'on peut avoir chez nous, ça nous permet de n'avoir ni à recycler, ni à réparer. Refuser, c'est très dur.
Quel impact espérez-vous que cette pièce de théâtre aura sur les spectateurs ?
J'espère toujours que les spectateurs se posent des questions. Nous allons peut-être répondre via la pièce à des questions qu'ils se posaient déjà mais je crois que le plus important pour nous, c'est de soulever des choses.
On dit des choses dans le spectacle, les spectateurs peuvent se demander "J'avais pas vu ça comme ça." "Ah oui, ça se passe vraiment comme ça." "Qu'est ce que je peux faire moi, comment je peux le mettre à ma sauce et dans mon quotidien ?".
L'idée, c'est que les gens se posent des questions sur leur mode de vie.
Qu'est-ce qui vous a motivé à créer cette pièce de théâtre ?
Nous avons répondu à un appel à projet du Syvedac (1) qui avait envie de mettre en place un spectacle puisque quand on leur demandait de venir faire des interventions pour parler du tri des déchets, ils sentaient bien que, avec leurs stands, ça n'attirait pas forcément autant de gens que ce qu'ils espéraient. L'idée du spectacle, c'était de rassembler des gens, 150 personnes par exemple sur des gradins avec 1 heure de représentation, et à la suite de ça, les stands sont là et les questions qu'on a soulevées, nous, dans le spectacle, eux pouvaient y répondre plus en profondeur. Donc, c'est né comme ça.
On a trouvé ça vraiment important. L'époque dans laquelle on vit, est complexe. Si on peut au moins aborder ce sujet-là, du retraitement des déchets, du plastique et du fait de faire quelque chose, et de tout ce qu'on génère, ça nous semblait important.
(1) Syvedac : Syndicat pour la Valorisation et l’Élimination des Déchets de l'Agglomération Caennaise.
Célestine Mayaud
Le festival des jeunes talents normands
Du 24 au 26 mai a eu lieu la 2è édition du festival pluri artistique Younivers.
Peux-tu présenter ton rôle de JAC au sein de Tandem ?
Depuis le début d'année, j'ai principalement aidé à l’organisation du festival Younivers avec Caesar Souamy, mon référent. J'ai fait de la publicité pour le festival mais aussi pour les autres activités proposées par Tandem, au sein du lycée et dans mon entourage.
Est-ce que tu peux nous présenter brièvement le festival Younivers ? En quoi consiste-t-il ?
C'est un festival pluridisciplinaire qui dure trois jours et qui regroupe de nombreux domaines artistiques. Ce festival est destiné aux jeunes qui ont entre 15 et 25 ans. Ils y participent en tant qu'amateurs mais cette experience peut leur permettre de révéler leur talent et peut-être de se faire connaitre.
De plus chaque jour, des prix sont remis au coup de cœur de chaque pôle. En effet il y a trois pôles, le pôle musique, le pôle Art vivant avec tout ce qui est danse et cirque. Et il y a aussi le pôle art visuel donc photographie, vidéo, peinture, etc.
A la fin de ce festival est aussi organisée une battle de danse. Tout au long de cette experience, un accompagnement leur est proposé pour leur permettre de se professionnaliser.
Peux-tu nous parler plus précisément de ton rôle dans la préparation ?
Dès le début de l'année, il nous a parlé du Festival. Notre rôle était donc surtout de suivre son évolution. On a pu découvrir les candidats en même temps qu’ils s'inscrivaient. On a parfois donné notre avis sur certaines propositions. On a écrit des messages sur les réseaux sociaux pour donner de la visibilité au festival. On a réalisé des trophées pour les vainqueurs. Nous ne les donnerons pas, mais nous les transporterons.
Par rapport aux candidats, viennent-ils de toute la région ?
Oui, c’est un festival régional. Ils viennent de toute la Normandie. Il y en a même un qui vient du lycée. Il s'appelle Yanis Senoussi et il est sélectionné dans le pole art visuel.
Le festival arrive en fin de semaine. Toi, quel va être ton rôle pendant le Festival ?
Je suis JAC avec une une autre amie là-bas. Il nous a donné nos rôles en fonction de ce qu'on savait faire. Je serai donc à l'accueil. En effet, il y aura un point accueil et il faudra que je puisse répondre aux questions du public pour les aider, les rediriger, etc.
Mon référent m’a aussi mise à la gestion du risque. Je vais l'accompagner tout au long du festival, vérifier que tout se passe bien et, dans le cas contraire, essayer de régler les problèmes. Je serai aussi disponible pour aller chercher des personnes s'il faut. Cela va être dense, il va falloir courir. Mais ça va être sympa !
Propos recueillis par
Annaelle LOHIER
Un lieu insolite et de culture
Peu connue du public, l'abbaye d'Ardenne saura ravir les passionnés de littérature
L'Institut mémoires de l'édition contemporaine (IMEC) est une association présente depuis 1988 à Paris et depuis 2004 à l'abbaye d'Ardenne de Saint-Germain-la-Blanche-Herbe, près de Caen.
Chercheurs et professionnels de l'édition en sont à l'origine dans le but de rassembler des archives ou des études littéraires. On peut par exemple y retrouver les oeuvres théâtrales de Jean-Luc Lagarce ou encore les écrits de Marguerite Duras ainsi qu'Erik Satie dans le domaine musical. On ne peut y retrouver que des archives d'auteurs et éditeurs contemporains (à partir du XXe siècle). L'IMEC propose aussi une programmation diversifiée entre lectures, rencontres, expositions, ateliers et conférences.
Des grandes figures
de la littérature
Récemment, l'Institut a annoncé l'ajout à ses collections des archives de l'éditeur Calmann-Levy, qui a été crée en 1836 par deux frères, Michel et Kalmus Levy.
De grandes icônes de la littérature francaise ou internationale comme Gustave Flaubert, Marcel Proust, Charles Beaudelaire ou encore Hannah Harendt ont été publiées par cette maison d'édition.
Des auteurs plus récents comme Guillaume Musso ou Brandon Sanderson, auteur américain de littérature fantastique, sont également publiés par cet éditeur. C'est aussi le premier à avoir publié Le Journal d'Anne Frank.
Des jeunes au service
de l'IMEC
Plusieurs jeunes embassadeurs de la culture sont chargés de représenter cette association et de la faire connaître à leur entourage.
En effet étant peu connu, notamment des jeunes, il semble nécessaire de communiquer autour de ce lieu incontournable pour les fans d'art, de littérature ou encore de musique.
Annaelle LOHIER
Quand la mode rencontre la solidarité
Jeudi 4 avril, un défilé de mode, organisé dans l'établissement par les terminales AMC, a permis de récolter 1 100 € pour l'association Petits Princes.
Ce projet initié par deux enseignants, Isabelle Candau et Cyril Allix-Desfautaux, s'inscrit dans la continuité d'un engagement traditionnel.
Elèves et enseignants, préalablement inscrits, défilent dans des tenues de leur choix prêtées par des boutiques locales. Tout le lycée est convié à assister, dans l'après-midi de ce jeudi 4 avril, aux deux représentations proposées. Une participation de 2 €, demandée à chaque élève présent, est reversée à l'association des Petits Princes.
Concrétiser son rêve
Cette association, créée en 1987 par Dominique Bayle, réalise les souhaits des enfants et des adolescents gravement malades. C'est le petit neveu d’Antoine de Saint-Exupéry, Frédéric d’Agay, qui a autorisé l'utilisation du nom "Petits Princes". Vingt-huit permanents et quatre-vingt-sept bénévoles assurent la concrétisation des rêves des enfants. Un soutien aux familles et un contact régulier avec le mineur est également assuré.
Les spécialistes AMC de terminale ont préparé avec autant de sérieux aussi bien la collecte des dons que la décoration de la salle.
Des organisateurs investis
Ils se sont chargé de trouver les sept enseignes de prêt-à-porter participantes, pour habiller les mannequins ainsi que quatre coiffeurs.
A 13 heures, les derniers préparatifs s'achèvent. Armand s'occupe de lister les musiques choisies par les participants. La tension est palpable chez les organisateurs. L'univers du conte de Saint-Exupéry prend vie dans la salle polyvalente. Le premier défilé est lancé.
Les 64 mannequins paradent les uns après les autres sur le catwalk, sous les applaudissements inarrêtable du public. Les plus téméraires émergent seuls d'un nuage de fumée dans des parures signées Hugo Queval, Intersport, Elle a dit oui, Entre cop'in, Casual 212, Essence ou encore Vintage Store.
Pour d'autres, c'est l'occasion d'arborer la désinvolture avec humour.
Arthur BARRIER
Stockholm, un voyage durable
Du 19 au 23 février, cinquante élèves de première ont visité la capitale suédoise.
Stockholm, capitale écologique d'Europe est aussi capitale de la Suède. C'est là qu'ont eu la chance de partir 50 élèves de première du 19 au 23 février 2024. Derrière les clichés possédés par la Suède (Ikéa, les boulettes, le saumon, le froid polaire et surtout le renne), nous avons ainsi pu voir ce qu'est réellement le pays.
Musées Nobel, ABBA, parcs écologiques, métro artistique, palais royal... les visites ont été nombreuses dans ce voyage placé sous le signe du développement durable, de l'anglais et de l'histoire.
Un reportage exclusif à regarder pour découvrir toutes leurs aventures et apprentissages.
Cette découverte a permis aux élèves de mieux comprendre la culture suédoise, ses spécificités et surtout ses différences notamment gouvernementales, par rapport à notre pays qu'est la France.
Alexandre BACQUEY-TANAFF
Des Playmobil pour l’amitié franco-allemande
Lauréats du Prix Tele-Tandem 2023, les élèves germanistes de 1ère ont reçu leur diplôme, le 6 mars 2024, en présence de M. Manson, proviseur du lycée, et de leur professeur d'allemand, Mme Tofolluti.
Le Prix Tele-Tandem récompense la création d’un projet commun et novateur entre jeunes Français et Allemands.
Il a été obtenu l’année dernière dans le cadre d’une rencontre en tiers-lieu entre une trentaine d'élèves germanistes du lycée Jeanne d’Arc et des élèves allemands, rencontre organisée par MmeTofolluti, professeure d'allemand, et son homologue d'outre-Rhin avec le soutien de l’Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ).
Cette organisation internationale a pour but de promouvoir la coopération entre la jeunesse allemande et française.
"Réfléchir sur le sens de l'histoire et de la souffrance"
La remise du prix a été l’occasion de revenir sur le voyage effectué par les élèves du 2 au 5 mai 2023, alors qu’ils étaient en classe de seconde.
Pendant ce séjour, ils se sont rendu à Strasbourg avec un groupe de jeunes Allemands afin de réfléchir ensemble sur les thèmes de la mémoire et du souvenir.
M.Manson, proviseur du lycée Jeanne d'Arc, a rappelé l’importance d’entretenir l'amitié franco-allemande. Cette rencontre a permis de « réfléchir sur le sens de l’histoire et de la souffrance pour construire l’amour et la paix », a-t-il déclaré.
Le choix de l’Alsace, comme lieu de retrouvailles, était également significatif en tant que « terre d’entre-deux ». Les élèves ont participé à de nombreuses visites comme celle du château de Kletenstein. Ils ont pu aussi se rendre sur des lieux de mémoire tels que les cimetières allemands.
De plus, ils ont construit ensemble une bande dessinée à partir de photos mettant en scène des playmobills autour des verbes « vivre, souffrir et aimer ».
La qualité et l’originalité de ce projet créatif commun a été salué par l’OFAJ.
Le diplôme du prix Tele-Tandem 2023, qui récompense les projets franco-allemands novateurs chaque année, a été remis à l’établissement par M. Alexis Catelain, un Jeune Ambassadeur de l’OFAJ (JAO).
Des opportunités à saisir
Il en a profité pour présenter aux élèves les nombreuses opportunités qui s’offrent à eux et à tout jeune souhaitant s’engager pour l’amitié franco-allemande ou voyager.
• Les Jeunes Ambassadeurs de l’OFAJ : bénévoles âgés de 18 à 30 ans qui représentent l’OFAJ, proposent leurs idées, organisent des projets entre jeunes Allemands et Français.
• DiscoverEU : une action du programme Erasmus+ qui offre aux jeunes à partir de 18 ans, la possibilité de voyager dans toute l’Europe avec un pass interrail.
• L’échange Sauzey : un voyage d’immersion en Allemagne sous la forme d’un échange avec un correspondant.
• Eurodesk : un réseau européen d’information pour les jeunes souhaitant partir à l’étranger et une aide à la réalisation de projets.
A la suite de ces événements, un workshop en allemand, a été programmé au lycée, du 21 au 24 mai. Une belle occasion pour les germanistes de pratiquer l'allemand tout en enrichissant leurs compétences oratoires.
Alicia SAMSON
1ère H
« Ma passion est devenue mon métier »
Bonjour, est ce que vous pouvez vous présenter ?
Je m'appelle Tampopoeiki, je travaille dans le manga et le Webtoon. Celui qui est sur la plate forme Webtoon France s'appelle Sunshine.
Et c'est devenu mon métier, de ma passion à mon métier.
Est-ce que vous pouvez nous parler un peu de votre dernier webtoon ?
Alors mon dernier webtoon parle d'une jeune fille qui est mal dans sa peau et qui se cache derrière un masque. Elle, elle sourit tout le temps.
Mais au fond d'elle, elle est triste depuis que son petit frère est mort d'un accident et que sa famille est contre elle. Elle la rend responsable de cette mort.
On va donc la suivre dans le lycée et on va voir son évolution. On va voir la jeune fille enlever peu à peu son masque et se sentir elle-même.
Pourquoi ce sujet ?
Je l'ai choisi car moi-même je le porte facilement, donc je voulais montrer au lecteur qu'il faudrait s'accepter soi-même et voir que l'on peut aussi avoir des amis qui nous aiment, pour qui on est, et pas forcément pour le masque qu'on porte.
Ce matin, vous avez rencontré une centaine d'élèves dans le cadre du prix mangaCaen. Qu’en avez-vous pensé ?
Franchement, j'ai passé un bon moment. Déjà, ils étaient tous passionnés par le manga et le webtoon.
C'était vraiment agréable de partager mes connaissances et surtout leur proposer une voie encore très ouverte pour le monde du dessin.
Qu'est-ce que vous pourriez dire à un collégien ou lycéen qui souhaiterait devenir mangaka ou faire du webtoon ?
Ah surtout, de ne pas lâcher, de ne pas laisser tomber s'il a vraiment envie de réaliser son rêve, de devenir mangaka ou dessinateur de webtoon. Qu'il n'hésite pas à continuer dans cette voie en sachant qu'à un moment donné quand même, il faudra peut-être trouver un travail à côté.
Mais si on a vraiment la passion, si on se donne à fond, parfois on peut réaliser son rêve comme moi. Donc je leur souhaite la même chose.
Propos receuillis par
Déborah DUBOST-SAKHI
Palmarès du Prix MangaCaen
Texte
Prix MangaCaen : une journée sous le signe du manga
Le jeudi 18 avril 2024, une centaine de collégiens et lycéens ont rencontré Tampopoeiki, une mangaka d'origine belge.
Le matin, les collégiens et lycéens de dix-huit établissements de la région caennaise ont rencontré et échangé avec Tampopoeiki, une mangaka d'origine belge. Ils ont pu lui poser de nombreuses questions autour de son parcours, de son métier.
Tiphaine, élève de première, a beaucoup apprécié cette rencontre :"La conférence a été très intéressante. L’intervenante a abordé des sujets variés sur le monde du manga et le fait qu’elle ait eu des expériences dans le monde du webtoon et du manga a donné une véritable richesse à la conférence. Les conseils qu’elle a donné pour rentrer dans l’industrie du manga m’ont aussi intéressée bien que ce ne soit pas mon projet d’avenir. La conférence était donc complète et a abordé différents aspects tous très intéressants." Paul et Camille, en terminale, ont, eux aussi, beaucoup apprécié la conférence :"La rencontre avec la mangaka était très intéressante. Elle s'est montrée très enjouéeà l'idée de nous raconter son travail. Grâce à elle, nous avons eu l'occasion d'approfondir nos connaissances sur les modalités et les pré-requis du métier de mangaka."
L'après-midi, changement d'ambiance, seuls les représentants des lycées participants étaient présents afin d'élire les trois mangas finalistes du prix. Erwan, l'un des représentants du lycée, a beaucoup apprécié cet exercice :"Le débat de l'après-midi a été passionnant, car nous n'avions pas tous le même avis sur les oeuvres que ce soit en positif ou en négatif."
Tiphaine a aussi été enthousiasmée par ce débat :"Le débat de l’après-midi m’a beaucoup amusé. Les différents comptes-rendus m’ont permis de réaliser à quel point certains mangas touchaient des sujets sensibles ou défendaient des causes. Le classement final ne m’a pas vraiment surpris pour les deux premiers mangas cependant je ne m’attendais pas à ce que Evol arrive en troisième. J’ai également beaucoup apprécié de découvrir les dessins gagnants. L’affiche de l’année prochaine sera magnifique ! "
Deborah DUBOST-SAKHI
Texte
De l'écrit à la radio
Le vendredi 15 mars 2024, cinq élèves de l'AP média se sont rendu au concours des plaidoiries des lycéens, organisé au Mémorial de Caen.
Cette année, le Mémorial de Caen a organisé, le 15 mars 2024, la 27e édition du concours des plaidoiries des lycéens. C'est à la suite de deux phases de sélection, que quatorze lycéens du monde entier se sont retrouvés dans la ville normande afin de défendre un sujet d’actualité de leur choix, dans une plaidoirie d’une durée maximum de 8 minutes.
Cinq élèves de notre AP média, invités par le Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information Normandie (CLEMI), ont pu s’y rendre afin de réaliser une courte émission de radio sur l’événement.
C’est en collaboration avec quatre élèves de terminale du lycée Claude-Monet de Flers (Orne) que nos représentants ont travaillé sur une émission de radio qui s’est déroulée l’après-midi même, en parallèle du passage des candidats.
Différents groupes ont été constitués et, tels des journalistes chevronnés, tous les élèves se sont mis à la tâche. Après avoir préparé quelques questions, certains se sont retrouvés en « cool-room », pièce où les candidats attendaient leur passage. Armés de leur microphone, ils ont pu recueillir leurs impressions avant d'affonter le jury et s'expliquer sur le choix de leur sujet. Cela a été d’ailleurs un acte déstressant pour Inès Messad, du lycée français Charles-Lepierre à Lisbonne (Portugal), comme elle nous l’a confié après coup.
La présidente au micro
En fin de matinée, nos reporters sont aussi allés à la rencontre d'élèves et de personnes présentes au Mémorial. L’équipe a également eu le privilège d'interviewer la présidente du jury, Mme Juliette Méadel, avocate, ancienne secrétaire d'Etat chargée de l'aide aux victimes de 2016 à 2017.
Après une courte pause, le groupe s’est remis au travail afin de finaliser les derniers préparatifs pour l’émission. Un chemin de fer (plan permettant d'établir l'ordonnancement des sujets) a été créé avec les différentes interventions enregistrées le matin et avec comme point d’orgue une interview en plateau des deux candidats normands ayant atteint la finale du concours, Kenzo Yang, du lycée Augustin-Fresnel de Caen, et Maryne Anselin, du lycée Jean-Paul II à Coutances.
Retrouvez l'intégralité de notre émission en scannant le QR code ci-dessous.
Thibaud LE
Jeanne d'Arc a un incroyable talent
A l'occasion de la Sainte Angèle, le 12 avril 2024, les élèves du lycée se sont réunis en salle polyvalente pour assister à la fête des talents.
Entre animateurs dynamiques et présentations variées, nos élèves ont eu la chance d’assister à un spectacle hors normes.
Des talents ravis
Chanteurs, danseuses ou encore musiciens, nos stars du jour ont su mettre le feu à la salle. Nous avons eu la chance de recueillir plusieurs de leurs témoignages. Pour Nyla Asse-Legros et Jade Douchin, talentueuses danseuses tahitiennes, et pour Maxime Panone, illustre chanteur, qui tous les trois avaient déjà participé à l’édition 2023, « la fête des talents est une expérience incroyable, enrichissante et impressionnante. C’est l’occasion de prendre confiance en soi, de défier ses peurs et bien sûr de profiter un maximum ».
Un manque d'effectifs
D’ailleurs, il faut noter que cette année, le nombre de participants à la fête des talents était largement inférieur à l’année passée, ce qui explique notamment que certains de nos talents aient foulé plusieurs fois la scène au cours du spectacle. Il faudra sans doute, pour la prochaine édition, penser à adopter une autre stratégie afin de recruter un maximum de participants.
Un spectacle unique
Le spectacle s’est néanmoins clôturé en beauté par une chorégraphie de la team teacher.
Quoi qu’il en soit, l’ambiance festive était au rendez-vous. Nous espérons tous, professeurs et élèves, que la fête des talents sera de retour dès l’année prochaine.
Baptiste MONTAIGNE
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UNITY : un nouveau moyen de créer
La programmation à l'état simple pour débutants et experts.
Qu’est-ce qu’UNITY ?
UNITY est un logiciel de programmation et moteur de jeu dit multiplate-forme c’est-à-dire qu’il permet d’être utilisé sur téléphone, ordinateur, console et même sur Internet. En concurrence avec Unreal Engine, il reste l’un des moteurs de jeux les plus courants et les plus utilisés.
Beaucoup de jeux célèbres ont été développés et programmés à partir de UNITY : Temple Run 1 et 2, Pokemon Go, Hearthstone, Subnautica et Subnautica : Below Zero , Hollow Knight et même The Forest et Son of The Forest.
Comment fonctionne-t-il ?
UNITY est un logiciel qui fonctionne en utilisant le langage C#. Pour simplifier, c’est un mélange entre programmer avec Python et la visibilité et l’accessibilité de Scratch. UNITY contient également un visual scripting, c’est ce qui permet de faire de la programmation visuelle, ce qui ressemble énormément à Scratch avec des boîtes d’information que l’on relie entre elles. La programmation visuelle est la solution la plus simple pour les débutants.
Il convient aux artistes, aux graphistes et à ceux qui ne désirent pas apprendre un langage de programmation.
Quand au C#, c’est un langage de programmation crée par Microsoft. Il est également assez proche du langage JAVA script (langage utilisé pour la création de Minecraft) mais reste assez difficile à comprendre et à utiliser. Malgré sa complexité, le langage C# reste plus performant et utilisé que le visual script.
Comment s’en servir ?
En démarrant le logiciel, vous trouverez certains outils et éléments déjà présents, comme par exemple l'Asset Store (il s’agit du magasin d’actifs d’UNITY) ou alors l'Inspector (qui sert à la visualisation et à la modification des propriétés des gameobject). Vous trouverez également des fenêtres comme la Scène, Hiérarchie et Game. Chacune d'elles simplifie grandement la création de jeu et le confort des programmeurs.
UNITY est sans doute l’une des meilleures applications pour créer des jeux. Plus de 50 % des jeux ont été codés à partir d’UNITY, utilisable sans avoir de connaissance en programmation. Alors, pourquoi ne pas essayer ?
Baptiste BAGIEU
Rôliste un jour, rôliste toujours !
Préparation, scénario ou matériel : présentation des jeux de rôle sur table
Les jeux de rôles, qu’est ce que c’est ?
Les jeux de rôles sont des activités où l’on incarne un personnage fictif ou réel qui se développe dans un univers de fiction ou non. Pour le jeu de rôle sur table, il faut être plusieurs. Il en existe plusieurs formes, qui peuvent être plus ou moins distinguées par leurs fonctions. Il peut être notamment une méthode pédagogique, une méthode d'analyse ou bien une activité récréative.
Comment joue-t-on ?
Tout d’abord pour participer à un jeu de rôle de table, il vous faut un esprit créatif et coopératif. C'est une sorte de jeu de société coopératif où un maître de jeu (ou MJ), une personne extérieur à l’avancement de la partie, fait progresser l’histoire et les personnages des joueurs (aussi appelé rôliste) grâce à un scénario qu’il crée ou non. Les personnages se développent grâce à une fiche de personnage qui donne toutes les informations sur le profil d’un joueur. Maintenant, si vous voulez faire un jeu de rôle en tant que rôliste, vous n’avez besoin d’aucun matériel. Tout est géré par le MJ. A l’inverse, si vous voulez faire un jeu de rôle en tant que maître de jeu, vous aurez besoin d’un set de dés : dé de 20, de 12, de 10, de 8, de 6 et de 4 ; de fiches de joueur (elles sont toutes disponibles gratuitement sur Internet) et de personnes prêtes à jouer à votre aventure. Le scénario n’est pas obligatoire. Comme c’est votre aventure, vous pouvez en créer une comme en trouver une sur Internet ou ailleurs.
Où rencontrer des joueurs ?
Le jeu de rôle sur table peut se jouer en ligne ou en présentiel. Il y a une multitude de possibilités. Si vous voulez jouer en présentiel avec d’autre joueurs, des associations ou des clubs de jeu de rôle sont présents presque partout. Vous pouvez également jouer avec vos amis, chez vous, chez eux voir même au lycée.
Si vous voulez jouer en ligne, il y a également beaucoup d’options qui s’offrent a vous. Vous pouvez, par exemple, aller sur Roll20, c’est un site qui permet de jouer à des jeux de rôle style Donjon & Dragon, avec des amis ou seul.
Les jeux de rôles sur table peuvent être joués de toutes les manières possibles. Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise manière de jouer. Qu'on soit débutant ou expérimenté, on trouve toujours un moyen pour s'amuser et passer du bon temps.
Baptiste BAGIEU
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