Quels sont vos souvenirs
du lycée ?

Je garde un très bon souvenir de mon passage au lycée Saint-Joseph. Il s’agit d’un lycée à taille humaine. On y connaît presque tout le monde, alors on ne se sent jamais seul. J’ai suivi la filière S mais j’ai gardé contact tout au long du lycée avec les élèves qui étaient dans les autres filières. Comme c'est un établissement de taille raisonnable, tous les professeurs qui nous faisaient cours nous connaissaient personnellement, on pouvait donc échanger facilement avec eux à la moindre question.

Nous étions un groupe de six amis très proches et faisions tout ensemble. Je me souviens qu’on se dépêchait de descendre au self pour remonter le plus vite possible et pouvoir jouer au babyfoot et aux échecs au foyer, mais surtout passer du bon temps entre nous. Aux beaux jours, on profitait des grands espaces verts pendant les récréations ou la pause du midi.

"Pour moi Saint-Jo, c'est un lycée accueillant,
convivial et idéal"

Des souvenirs de
quelques profs ?

Je pense me rappeler de beaucoup de mes anciens professeurs et toutes mes excuses pour ceux que je vais oublier de nommer. Je me souviens de Mme Hamon, en mathématiques, MM. Le Moine, Jan et Gicquel, en physique-chimie, Mmes Le Berre en français, Dornadic en espagnol, Rouxel-Tohier, en histoire-géographie et Le Men, en anglais (où j’étais très mauvais).

Quelles études avez-vous suivies après votre bac S
en 2009 ?

Je me suis orienté en licence de physique à la faculté de Rennes 1 dans l'objectif d’obtenir un doctorat en astro-physique, discipline qui m’a toujours passionné et qui me passionne encore aujourd’hui. Néanmoins, je n’étais pas suffisamment mature pour l'université qui demande une autonomie et une rigueur que je n’avais pas à ce moment-là. Mon manque d’implication principalement et le manque d’encadrement ne m’ont pas permis d’obtenir ma licence.

Après deux années de faculté, je me suis ré-orienté en IUT mesures-physiques à Lannion. C'est un établissement que je conseille fortement. Son encadrement et son ambiance m'ont beaucoup rappelé le lycée.

Qu'avez-vous fait
après vos études ?

Après l’obtention de mon DUT en mesures physiques, j’ai effectué différentes missions en Intérim et de nombreux CDD en tant que technicien qualité. Le travail consistait principalement à vérifier que les protocoles mis en place étaient bien respectés et que la qualité du produit fini était conforme au protocole établi initialement.

Comment est venue l'idée de créer votre entreprise ? Quelles sont les étapes de la création d'une entreprise ?

Ma conjointe et moi avons découvert le concept en l’expérimentant à Paris durant l’été 2015. On est tous les deux devenu directement "accro" au concept. Devoir utiliser sa logique, son sens de l’observation et travailler en équipe pour pouvoir déjouer tout un enchaînement d’énigmes dans un temps limité, pour des esprits cartésiens, c’est un réel plaisir. Le tout dans un univers et des décors créés de toutes pièces.

Après cette superbe découverte, nous avons expérimenté beaucoup d’autres escape game et nous nous sommes décidés à créer le nôtre dans les Côtes d’Armor, là où cela n’existait pas encore. La phase de création fut relativement longue. Neuf mois se sont écoulés entre le moment où j’ai commencé une formation (avec l'organisme BGE à Guingamp) pour entreprendre, et l’ouverture des portes suivie de l'arrivée des premiers joueurs. J'ai également été accompagné dans ce projet par Initiative Armor. Il a fallu convaincre nos partenaires de la viabilité d’un tel concept et notre enthousiasme a été un atout.

En quoi consiste
votre travail actuel ?

Le travail d’un chef d’entreprise est pluridisciplinaire. Je ne m'ennuie jamais ! Mais concernant le volet de l’escape game précisément, il y a deux parties principales :

Le rôle de Game Master : le but est d’accompagner les groupes pendant la séance, de les guider grâce à des indices via une caméra qui nous permet de suivre le jeu en direct. Nous sommes leur joker, nous donnons un coup de pouce quand le groupe bloque sur une énigme. C’est à nous de donner le bon indice au bon moment car les joueurs disposent uniquement d’une heure pour tout résoudre. Nous devons aussi jauger l’indice à donner afin qu’il soit le plus probant pour le groupe.

La deuxième partie, celle que je préfère consiste à concevoir les salles et principalement à créer l’enchaînement des énigmes. J'aime réfléchir à l'arborescence qui définit l'élément par lequel les groupes devront débuter le jeu et comment ils comprendront que c’est par cet élément spécifique qu’ils devront commencer. Cette arborescence se poursuit jusqu’à la dernière étape, celle qui permet de sortir de la pièce. C’est un vrai casse-tête de concevoir une salle et cela prend plusieurs mois. Le fonctionnement d’une salle s’apparente fortement à un raisonnement scientifique.

Quels conseils donneriez-vous aux jeunes qui aimeraient suivre votre exemple ?

Tout est possible, tout est réalisable, il faut juste s’en donner les moyens quel que soit le domaine.

Pour ceux qui envisagent une orientation scientifique, reformulez l’éternelle question qui régit les sciences depuis toujours, qui est le fameux « pourquoi ? » et transformez-le en « pourquoi pas ? ». Cela vous ouvrira le champ des possibles et ne vous cantonnera pas à ce qui a déjà été trouvé mais vous orientera vers ce qu’il reste à découvrir.

Propos de Ruben Dos Santos recueillis par Valérie HERAULT.

Cet enseignement s’appuie sur quatre concepts : les données (textes, images, sons...), les algorithmes, les langages qui traduisent les algorithmes abstraits en programmes textuels ou graphiques et les machines qui exécutent des programmes en enchaînant des instructions et assurent le stockage des données.

S'ajoutent les interfaces qui permettent la communication avec les humains, la collecte des données et la commande des systèmes.

Une part importante de l’enseignement est réservée à la conception et à l’élaboration de projets conduits par des groupes de deux à quatre élèves.

Faire évoluer les élèves au niveau de leurs savoirs, leur rigueur méthodologique, leur soif de recherche et leur sens critique afin de les préparer au mieux à l’enseignement supérieur.

Augmenter l’exposition des élèves à la langue étudiée : fin de Première niveau B2 attendu, fin de Terminale niveau C1 attendu.

Importance de l’étude (grammaire / lexique / phonologie / orthographe) et de la compréhension de la langue.

Apprentissage approfondi d’une culture, approche actionnelle et création de projets.

Création d’un portfolio personnel de documents et d’œuvres.

La réforme des lycées est effective depuis la rentrée 2019 pour les classes de Seconde et Première puis le sera à la rentrée 2020 pour les Terminales.

Il faut comprendre que les séries disparaîtront du bac général. En revanche, elles demeurent pour le bac technologique et professionnel.

Enseignements communs

Les élèves suivront un tronc d'enseignements communs en Seconde (français, hist-géo, EMC, anglais, espagnol ou allemand, maths, physique-chimie, SVT, SES, sciences numériques et technologie, EPS), en Première et Terminale (français en 1ère, Philo en Term, hist-géo, EMC, anglais, espagnol ou allemand, enseignement scientifique et EPS).

Spécialités

En Première, les lycéens choisissent trois spécialités parmi les 9 spécialités (voir p.4 et 5) proposées par le lycée (4h/spé). En Terminale, ils n'en conservent que deux (6h/spé). Les spécialités choisies "teinteront" le baccalauréat de l'élève.

Options

En Seconde, ils ont la possibilité de choisir une option de la voie générale (voir p.5 et 6) ou de la voie technologique (voir p.7 et 8). Ils pourront la poursuivre en Première et, en Terminale, ajouter maths expertes ou maths complémentaires.

Les épreuves finales constitueront 60 % de la note du baccalauréat, le contrôle continu 40 % dont 10 % issus des notes des bulletins de 1ère et Term.

Valérie HERAULT.

Pour les élèves souhaitant s’engager dans les carrières de l’enseignement, de la culture, de la communication.

Liens entre les thèmes abordés et l’Histoire : les pouvoirs de la parole et Antiquité, l’art de la parole et Moyen Âge, les représentations du monde, la découverte du monde, l’homme et l’animal et Renaissance et Lumières, la recherche de soi, les métamorphoses, la sensibilité au XXe et époque contemporaine, création, continuité et recherche de soi, expériences contemporaines, l’humain et l’inhumain, l'individu et la communication et XXe-XXIe siècles.

Don­ner aux élèves les clefs de com­pré­hen­sion du monde passé et contem­po­rain sur le plan des rela­tions sociales, poli­tiques, éco­no­miques et cultu­relles. Pré­pa­ra­tion à la pour­suite d’études à l’uni­ver­sité (droit, his­toire…), CPGE, jour­na­lisme, IEP…

Com­prendre la démo­cra­tie, ana­ly­ser les dyna­miques des puis­sances mon­diales, étu­dier les divi­sions poli­tiques du monde, avoir un regard cri­tique sur les sources et les modes de com­mu­ni­ca­tion, ana­ly­ser les rela­tions entre les États et les reli­gions.

Les séances se déroulent sous la conduite du professeur de théâtre et de l’artiste (dans le cadre d'un partenariat statutaire).

Pratique personnelle des connaissances (acteur et spectateur), acquisition de savoirs, mise en relation de la pratique et des connaissances.

Au programme : le théâtre antique, le théâtre au Moyen Age, le théâtre occidental aux XVIIe et XVIIIe, le théâtre au XIXe, le théâtre moderne, le théâtre brechtien et post brechtien, le théâtre contemporain.

Evaluation : en contrôle continu (pratique du théâtre / carnet de bord / culture théâtrale).

Permettre, par la diversité des activités mathématiques proposées, de consolider ses acquis, de développer son goût des mathématiques, de prendre conscience de la richesse et de la variété des démarches et des objets mathématiques.

Développer des interactions avec d’autres enseignements de spécialité et situer la démarche mathématique au sein de l’activité scientifique.

Assurer les bases mathématiques nécessaires à toutes les poursuites d’études.

Le programme s’organise en cinq grandes parties : algèbre, analyse, géométrie, probabilités et statistiques, algorithmes et programmation.

Quatre thèmes : constitution et transformations de la matière, mouvements et interactions, énergie, ondes et signaux. Ces thèmes permettent de prendre appui sur de nombreuses situations de la vie quotidienne et de contribuer à un dialogue fructueux avec les autres disciplines scientifiques.

Sont abordés avec les élèves la finalité et le fonctionnement de la physique-chimie, des questions citoyennes mettant en jeu la responsabilité individuelle et collective, la sécurité pour soi et pour autrui, l’éducation à l’environnement et au développement durable.

Mise en perspective des savoirs avec l’histoire des sciences et l’actualité scientifique.

Notre lycée est en mesure de proposer aux élèves entrant en classe de Première, neuf enseignements de spécialités détaillés dans les articles précédents.

En fin de Seconde, le lycéen devra faire un choix parmi un certain nombre de combinaisons possibles. A lui de faire le point en amont sur ses motivations, ses projets d'études, ses compétences. Pour l'aider, le lycée met en place des sessions d'accompagnement personnalisé de sept heures. Il peut aussi solliciter un rendez-vous avec un accompagnant BDI. N'oublions pas les professeurs et professeurs principaux vers qui il peut se tourner pour demander conseil.

Valérie HERAULT.

En Première : mobilisation des connaissances, résolution graphique et chiffrée, collecte et traitement de l’information, construction d’une argumentation, maîtrise de l’expression orale et écrite.

En Terminale : construction d’une problématique, construction d’une dissertation.

Thèmes (sciences économiques, sociologie et sciences politiques) : comment un marché concurrentiel fonctionne-t-il ? quelles sont les principales défaillances du marché ? comment se construisent et évoluent les liens sociaux ? comment se forme et s’exprime l’opinion publique ?...

Compréhension d’objets et de méthodes scientifiques et éducation en matière d’environnement, de santé et de sécurité.

Thèmes : transmission, variation et expression du patrimoine génétique, dynamique interne de la Terre, écosystèmes et services environnementaux, variation génétique et santé, fonctionnement du système immunitaire humain.

Les activités expérimentales occupent une place centrale : pour répondre à un problème scientifique, l’élève examine la validité d’une hypothèse par la mise au point d’un protocole, il confronte les résultats de l’expérience aux attentes théoriques ou à un modèle.

L'option football rassemble filles et garçons qui se retrouvent un soir par semaine de 17 à 19h. Les jeunes doivent être licenciés quel que soit le club d'origine.

L'objectif est double

- Améliorer les capacités individuelles des joueurs sur le plan physique, technique, informationnel (bonne analyse du jeu sur le terrain) et tactique.

- Recevoir une formation pour devenir jeune animateur sportif. Pour le moment les lycéens ont été déjà formés aux modules U7 et travaillent actuellement les modules U9 et U11. A l'âge de 18 ans, ils pourront être animateurs sportifs en club.

Un partenariat avec
le club local

Le professeur qui assure cet enseignement alterne la théorie et la pratique pour atteindre ces modules. L'option football au lycée est possible grâce au partenariat avec le Lamballe Football Club (LFC) qui met à disposition des élèves son terrain synthétique et des catégories de joueurs. Ces joueurs du LFC, en l'occurrence des U9, permettent à nos élèves de s'entraîner concrètement en situation à la formation de jeune animateur sportif.

Les lycéens utilisent également la salle de musculation du lycée pour des exercices spécifiquement adaptés aux joueurs de foot.

Le professeur formateur apprécie la bonne cohésion du groupe et les progrès de ses élèves.

Valérie HERAULT.

Chaque année, le lycée propose aux élèves qui le souhaitent d’intégrer la section sportive équitation. Titulaires d’un galop 4 au minimum et motivés par l’amour de l’animal et le goût de la compétition, ils participent, en Seconde, à une heure d’hippologie en classe et à 2 heures de reprise à l’écurie de la Cassoire à Landéhen. Cette section se poursuit bien évidemment en Première et Terminale. L’objectif est de parfaire ses connaissances de l’animal et du monde équestre ainsi que de progresser techniquement à cheval dans des disciplines aussi diverses que le saut d’obstacles, le dressage ou le cross. Pourquoi pas ensuite se lancer dans le grand bain des compétitions hippiques ?

Emmanuel FERRON.

L’enseignement proposé est basé sur le mandarin, la langue officielle de la République populaire de Chine. L'objectif est double : apprendre à prononcer le chinois avec le pinyin (un système de romanisation du mandarin) et apprendre à écrire les caractères chinois selon un certain ordre et sens.

L’entraînement débute à l’oral, où aucun caractère n'apparaît, où le lien son-sens est renforcé par la compréhension et l’expression orales. L’écriture débute lorsque l’utilisation orale est maîtrisée. L’étymologie de certains caractères est proposée à cette phase-là en tant qu’un moyen mnémotechnique et une découverte “archéologique” dans le passé de cette seule langue figurative encore utilisée.

Qian ZHOU.

Pour les élèves souhaitant suivre une prépa scientifique ou commerce, une école d'ingénieur ou un IUT génie civil ou mécanique, une option « mathématiques expertes » de trois heures est proposée en Terminale en plus de la spécialité mathématiques de six heures.

Pour les élèves souhaitant entrer en médecine, en IUT biologie ou gestion, en école de commerce, une option « mathématiques complémentaires » de trois heures pourra être ajoutée aux deux autres spécialités de Terminale, s’ils ont suivi la spécialité mathématiques en Première et qu’ils l’ont arrêtée en Terminale.

Par exemple, un élève qui envisage de faire médecine, choisit idéalement les spécialités Sciences de la Vie et de la Terre (SVT), Physique-Chimie et Mathématiques en Première. En Terminale, il conserve les spécialités SVT et Physique-Chimie, arrête la spécialité mathématiques et complète avec l’enseignement « mathématiques complémentaires » pour préparer au mieux sa première année.

Un élève souhaitant intégrer un IUT GEA peut choisir les spécialités SES et mathémathiques en Terminale ou SES, une deuxième spécialité et l'enseignement mathémathiques complémentaires.

Grégory DURAND.

Vous avez dit option européenne ?

C’est une proposition de DNL (discipline non linguistique) au sein de laquelle, tout au long de leur scolarité au lycée, les élèves ont la possibilité d’étudier les mathématiques ou l’histoire-géographie en anglais, en plus d’une proposition d’anglais renforcé en Terminale. Choisir la section européenne, c’est vouloir, à raison d'une heure par semaine, progresser en langue anglaise, être curieux, avoir envie de se donner le maximum de chances pour maîtriser une langue étrangère et se préparer aux exigences de l’enseignement supérieur.

Brieuc COBAC.

Au collège, le plus difficile (grammaire, déclinaisons) a été abordé. Au lycée, on peut récolter les fruits de ce travail et les engager dans la lecture de textes latins, tout en découvrant la civilisation et la mythologie. Le latin comprend : l’histoire du monde romain, la compréhension de la langue latine et son évolution, la connaissance de nos racines. Il a aussi des enjeux transversaux : travaux de groupes, exposés, travaux de recherches documentaires, réalisation de projets et productions variées. Le latin n’est décidément pas une langue morte ! Les actualités en latin, les concours multiples, les films et BD sortis dans cette langue en témoignent.

Elodie BARBIER.

Le russe ? C'est 280 millions de locuteurs dans le monde.

Cette langue est différente des langues latines. Elle utilise l'alphabet cyrillique. Apprendre l'alphabet cyrillique est un jeu d'enfants car c'est un alphabet phonétique. Chaque son n'a qu'une seule lettre et chaque lettre n'a qu'un seul son. En cours de russe, les lycéens découvrent aussi les traditions, la culture et la civilisation russes.

Tous les ans, un voyage en Russie est proposé aux élèves.

C'est pour eux l'occasion de découvrir la formidable architecture de ce pays et de parler la langue.

Evguenia TSVETKOVA.

« Le théâtre est un moment où je me sens dans une bulle au sein du lycée », confie une élève. Développer ses appuis corporels, assurer sa voix, développer sa réflexion sur la société, sont des enjeux de cet enseignement. Les élèves apprennent à entrer dans des textes de différents registres. Le théâtre, c’est aussi des rencontres avec des comédiens, metteurs en scène, auteurs, danseurs. L’esthétique de la mise en scène est aussi abordée par la fréquentation de spectacles avec des structures partenaires comme le Quai des rêves à Lamballe mais aussi la Passerelle à Saint-Brieuc. Cette option est riche en apprentissages, en découverte de soi-même mais aussi des autres.

Elodie BARBIER.

Les Premières suivent les 3 spécialités ci-dessous. En Terminale, il y en a 2 : "chimie, biologie et physiopathologie humaines" et "sciences et techniques sanitaires et sociales".

La BPH (Biologie et Physiopathologie Humaines) - 5 heures

... étudie le fonctionnement du corps humain : motricité, nutrition, transmission de la vie, défense de l'organisme... Chaque thème intègre l'apprentissage du vocabulaire médical spécifique (terminologie) et insiste sur les liens (ex : alimentation et diabète).

Les STSS (Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales) - 7 heures

... montrent les problèmes de santé et d'exclusion sociale (ex : causes et conséquences de l'alcoolisme) et les réponses apportées par la société (prévention, soins, protection sociale). Une heure est assurée en co-intervention avec un professeur d'anglais.

La physique-chimie pour la santé - 3 heures

... apporte des connaissances et des méthodes solides et réfléchit aux choix qui vont influencer la santé et l’environnement (ex : mesure des besoins énergétiques dans l’habitat, ondes sonores et audition, lumière et vision).

Sandrine GUEGUEN.

Pour qui ?

Des filles et des garçons, curieux, motivés par l'actualité des secteurs de la santé et du social, qui aiment le contact et ont envie d’aider les autres, des élèves prêts à fournir un travail régulier et à s’investir dans un groupe.

Pour quoi faire ?

La plupart de nos anciens élèves travaillent dans le paramédical : infirmiers, manipulateurs en électroradiologie médicale, diététiciens,… ou dans le social : éducateurs auprès d’enfants (éducateur de jeunes enfants) ou de personnes en situation de handicap (éducateur spécialisé), ou bien dans l'accompagnement des familles au quotidien (conseiller en économie sociale et familiale, assistant de service social) ou encore dans le domaine administratif. On s’engage en général sur deux à trois années d'études après ce bac technologique qui apporte un solide bagage théorique et méthodologique et qui permet aussi des études réussies en université.

Comment ?

Nous "baignons dans la culture médico-sociale" : un vocabulaire particulier, des connaissances spécifiques et l’acquisition de méthodes pour se préparer aux études supérieures : autonomie (travaux de groupes, recherches documentaires), analyse de notions, de documents, réflexion, rédaction, synthèse...

Sur quoi ?

En plus des matières générales classiques, il y a des enseignements plus spécifiques à la série : la biologie et physiopathologie humaines, les sciences et techniques sanitaires et sociales et la physique-chimie pour la santé qui se complètent autour des thèmes de la série.

Nous vous attendons en ST2S, une série où l'on ne s'ennuie jamais car l'actualité, les évolutions de la science et de la société nous fournissent tout le temps matière à discussion !

Sandrine GUEGUEN.

Les élèves de Seconde qui choisissent cette option font un premier pas vers la série ST2S.

Les cours constituent une approche des matières, Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales (STSS) et Biologie et Physiopathologie Humaines (BPH) de la filière ST2S.

Les thèmes variés permettent la découverte des domaines de la santé et du social tels que : action humanitaire, âges extrêmes de la vie, hôpital : images et réalités, pauvreté, logement et santé, santé et innovations, vivre ensemble sur un territoire, handicap au quotidien.

Si tu t'intéresses aux autres et que tu veux les aider, si tu aimes travailler en équipe, si tu es motivé par ces domaines, la formation est faite pour toi et tu pourras poursuivre tes études pour être infirmièr(e), éducateur(trice) spécialisé(e), psychologue, manipulateur(trice) radio...

Isabelle FERREY.

La filière STMG (Sciences et Techniques du Management et de la Gestion) offre une formation équilibrée avec la forte présence de l'enseignement général (mathématiques, histoire-géographie, français, langues vivantes et EPS) indispensable à la poursuite d'études et l'ajout de l'enseignement technologique pour une approche réelle et méthodique.

La réforme du lycée touche aussi la structure de ce bac, sans pour autant opérer un changement de fond. Dès la Première, il existe bien trois spécialités mais qui sont obligatoires.

Des enseignements diversifiés et complémentaires

Les enseignements technologiques partent de situations concrètes et d'études de cas pour mieux comprendre le fonctionnement des entreprises. De plus, les supports et modalités d'apprentissage sont variés (travail sur ordinateur ou documents, travail de groupes ou individualisé) afin de proposer une approche vivante au travers des nouvelles technologies.

Pour qui ?

Pour les élèves intéressés par l'actualité et le fonctionnement des organisations, ainsi que par la découverte et l'analyse des relations au travail, et la mesure de la performance. Les élèves devront s'investir dans le travail de groupes et l'expression orale.

Les études supérieures

Cette filière permet d'acquérir des compétences pour réussir ses études supérieures afin d'avoir de véritables perspectives d'emploi.

Elle offre des débouchés très diversifiés : les métiers de l'économie et la gestion, des ressources humaines, du marketing, de la communication, du commerce, de l'informatique, de la banque-assurance, de la logistique ou encore du tourisme. Depuis 2019, les bacheliers technologiques sont prioritaires sur les bacheliers généraux en IUT où 50 % des places leur sont attribuées.

La polyvalence de leur bac donne accès à une quinzaine de BTS, dans la continuité ou la complémentarité de la spécialité choisie en Terminale, comme le BTS Management des unités commerciales ou le DUT gestion des entreprises et des administrations.

Simon HELARY.

Les trois spécialités sont construites autour d'enjeux réels et de sujets d'actualité.

Sciences de gestion et numérique - 7 heures

La discipline permet de comprendre et d'analyser les mutations de l'activité humaine sous l'effet de la diffusion des technologies numériques, comme la prise en compte des réseaux sociaux sur le comportement des travailleurs. Elle expose aussi, entre autres, les moyens pour créer de la valeur et ses indicateurs de mesure (productivité, chiffre d'affaires, etc).

Management - 4 heures

C'est une introduction au fonctionnement interne et externe des organisations. Cet enseignement, à partir d'exemples concrets, consiste à montrer que chaque organisation a des caractéristiques propres, ainsi que des stratégies dirigées vers un but à atteindre.

Droit et économie - 4 heures

Cette spécialité regroupe deux disciplines ayant des objectifs communs : former des citoyens conscients du monde dans lequel ils vivent, notamment par la compréhension des mécanismes économiques et des procédures juridiques (types de droit, déroulement d'un procès, droits d'auteur, etc).

Simon HELARY.

Cet enseignement technologique optionnel (1 heure 30) a pour finalité de donner les connaissances de base du management et de la gestion dès la Seconde.

Il apporte, de manière générale, des compétences valorisées dans les études supérieures et la société, comme concevoir une démarche par objectif ou mener des projets. C'est un tremplin vers la filière STMG.

Exemple de thème abordé : l'économie numérique offre-t-elle toujours des opportunités de développement ? Ce thème invite à se questionner sur la place des entreprises telles que Google, l'utilisation des réseaux sociaux et les risques liés à internet.

Les sciences de gestion apportent au management des connaissances sur les dimensions humaines et technologiques des organisations, que celles-ci soient des entreprises ou des associations.

L'option management et gestion est donc faite pour les lycéens qui souhaitent se rapprocher du monde de l'entreprise et découvrir son fonctionnement.

Cet enseignement optionnel intéressera aussi ceux qui aiment le travail de groupe et la réalisation de projets à l'aide des outils numériques.

Simon HELARY.

Les bacheliers ASSP exercent au sein d'établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux : EHPAD, foyers logements, centres hospitaliers, crèches... Ils prodiguent des soins d'hygiène et de confort, et d'aide aux actes de la vie quotidienne. Le bac ASSP permet l'insertion dans la vie professionnelle mais aussi la poursuite d'études en BTS (ESF ou SP3S). Il offre des conditions d'accès spécifiques aux formations d'aide-soignant et d'auxiliaire de puériculture notamment.

Formé(e)s à la pratique

Le lycée dispose d'un vrai plateau technique : salle d'animation, cuisine pédagogique et salles de soins. L'emploi du temps des élèves est partagé entre les disciplines générales (sciences/mathématiques, français/histoire-géographie, anglais, économie-gestion, Prévention Santé et Environnement, arts appliqués et EPS) et professionnelles organisées autour de 3 pôles : biologie et microbiologie pour la partie théorique et ergonomie-soins pour la partie pratique / sciences médico-sociales et pratique de l'animation-éducation à la santé en partenariat avec un réseau de structures locales / nutrition et services à l'usager organisés autour de 2 activités : collation et entretien des locaux. Enfin, les élèves effectuent 22 semaines de PFMP (Période de Formation en Milieu Professionnel) au cours des 3 années.

La réforme du bac pro

Depuis septembre 2019, les élèves de 2de suivent des enseignements en co-intervention : ils travaillent 2 matières (générale et professionnelle), sous la houlette de 2 enseignants. En Première, dès septembre, ils initieront un "chef d'oeuvre" avec l'aide de leurs enseignants. En 2021, la Terminale préparera à une présentation orale de ce "chef d'oeuvre" et aux épreuves certificatives en Contrôle Continu en Formation (CCF) et en ponctuel. Motivé(e) pour travailler auprès de personnes de tous âges, valides, dépendantes ou en situation de handicap et doté(e) du sens des responsabilités, vous avez sans doute le profil d'un élève de bac pro ASSP !

Anne RAFFNER-BIGUET coordinatrice filière ASSP.

Lilou, 15 ans, est entrée en 2de ASSP après une 3e générale. Elle envisage de travailler auprès de la personne en situation de handicap. Elle apprécie particulièrement l'enseignement en ergonomie-soins, apprendre et parfaire ses postures et les gestes professionnels. Elle a effectué son premier stage dans un foyer accueillant des adultes en situation de handicap. Elle a été sensible aux échanges paisibles, qu'elle a pu avoir avec les résidents. Pour s'épanouir dans la filière, Lilou recommande d'apprécier le contact humain et les échanges.

Au cours du 1er trimestre, une dizaine d'élèves volontaires de 2de ASSP a pu assister à un atelier de séances de sophrologie d'1 heure 30 chacune, animé par Valérie Lidurin, sophrologue professionnelle. Ces séances avaient pour objectif de sensibiliser les élèves à la gestion de leurs émotions, et leur donner des techniques pour apprendre à gérer leur stress en situation d'examens et sur le terrain professionnel. Sarah, Eloïse et Marion reviennent sur leur expérience.

Pourquoi avoir choisi cet atelier ? "J'avais déjà fait de la sophrologie au collège et j'avais envie de recommencer", "Je voulais apprendre à gérer mon stress", "Je fais du théâtre, j'ai besoin d'apprendre à me relaxer et à me concentrer".

Quels en ont été les apports ? "J'utilise parfois les techniques enseignées, expérimentées, et ça marche !", "Je suis nerveuse et la sophrologie m'aide à mieux analyser une situation, à me poser", "Je gère mieux mes colères et j'ai appris à respirer".

La sophrologie en un mot : "Détente", "Apaisement", "Découverte de soi".

Cet atelier est actuellement proposé à des élèves volontaires de Terminale ASSP et de Terminale générale qui souhaitent aborder sereinement leur fin d'année scolaire et les échéances post-bac. Quant aux enseignants, une dizaine d'entre eux ont expérimenté ces pratiques l'an passé et en apprécient toujours les bénéfices dans leur vie personnelle et professionnelle.

A R-B.

Hugo, 16 ans, était au collège à Créhen. Son projet professionnel s'oriente pour l'instant vers la petite enfance. Il a voulu sortir de sa zone de confort en effectuant son 1er stage auprès de la personne âgée, à l'EHPAD de Ploubalay. Une expérience positive qui lui a permis de se rassurer quant à ses capacités à prendre soin des anciens. Au lycée, il apprécie de découvrir la pratique et d'apprendre les gestes techniques. Son conseil pour réussir en ASSP : être motivé(e), croire en soi, ne pas avoir peur de se tromper.

Depuis septembre 2017, notre lycée fait partie du programme d'échanges Erasmus. Dans ce cadre, il travaille avec cinq autres établissements : la Finlande, l'Allemagne, la Hongrie, la Pologne et l'Angleterre. Il s'engage à accueillir les élèves des lycées partenaires, et à s'y rendre en retour.

Grâce à ces échanges, les élèves donnent un sens à l'apprentissage des différentes langues. Les enseignants, ainsi que les lycéens, se rendent compte que voyager permet d'enrichir sa capacité d'analyse. Les procédés pédagogiques des autres pays peuvent être réutilisés en cours à Saint-Joseph.

Tous les ans, les six lycées partenaires se réunissent pour définir le thème qui sera abordé. L'orientation est l'axe de travail de cette année.

Comment se lancer ?

Les élèves intéressés par ce programme d'échanges doivent avoir un bon niveau de langue et une facilité d'adaptation pour s'intégrer facilement dans le lycée d'accueil. Il faut déposer sa candidature auprès du directeur et écrire une lettre de motivation ainsi qu'un CV.

Les voyages sont gratuits grâce à une subvention de l'Union européenne. Les élèves vivent dans une famille et suivent les cours avec leur correspondant. Le séjour dure 5 jours.

Evan DUGOR.

Qu'est ce que le BDI ? 
Et qu'y fait-on ? 

Le lycée dispose d'un BDI (Bureau de Documentation et d'Information) situé à proximité du CDI. Il est ouvert en continu tous les jours de la semaine.

Le BDI est un espace où l'on trouve des réponses aux questions que l'on se pose concernant notre orientation. Et il y en a beaucoup ! Quelles spécialités choisir, dans quelles écoles supérieures postuler, dans quel domaine souhaiterais-je travailler, pour quel métier suis-je fait ? Il est aussi possible de prendre rendez-vous avec un accompagnant BDI, seul(e) ou avec ses parents, afin d'être guidé(e) personnellement dans ces choix qui s'avèrent importants.

Qu'est ce que l'on trouve
au BDI ?

On y trouve des documentaires régulièrement mis à jour et constitués de la documentation de l'ONISEP, des fiches CIDJ (Centre d'Information et de Documentation Jeunesse), des documents fournis par les écoles post-bac ainsi que des logiciels d'aide à l'orientation.

De plus, un accompagnement personnalisé (AP) est proposé aux élèves de Seconde. A raison d'une heure par semaine pendant 6 semaines, on fait le point sur soi, sur ses aspirations, ses envies, ses capacités, ses motivations. Bref, on élabore peu à peu un ou des parcours d'études qui peuvent continuer à évoluer au cours des 3 années du lycée.

Esten LATRY.

Nous avons la chance d'avoir sur place un plateau sportif et un gymnase où l'on peut pratiquer les sports collectifs comme le foot, le basket, le volley, le badminton...

Nous avons également une salle de musculation dotée de quarante machines (20 vélos, rameurs, cages à squat, bancs de développé couché...) dont certaines ont été acquises très récemment.

Les vestiaires de la salle de sport sont équipés de douches.

Une association dynamique

Entre 12h20 et 13h45, l'association sportive (AS) du lycée propose aux élèves des tournois de badminton, futsal et volley entre élèves et parfois, avec les professeurs. La salle de musculation est également accessible aux lycéens durant cette pause méridienne. Elle connaît un réel succès puisque ce sont près de 15 jeunes qui pratiquent la musculation chaque midi que ce soit pour l'affinement de leur silhouette, l'augmentation de leur masse musculaire ou en complément d'un projet sportif extérieur pour certains d'entre eux. Par exemple, Yves, élève de Première, fait de la musculation deux midis par semaine au lycée en plus de la natation qu'il pratique en club.

Le mercredi après-midi, l'AS du lycée entraîne et présente ses élèves adhérents à de nombreuses compétitions sportives proposées par l'Ugsel (union générale sportive de l'enseignement libre). Les lycéens ont la possibilité de s'aguerrir en cross, athlétisme en salle, athlétisme outdoor, badminton simple ou en équipe, futsal garçons et filles, handball, natation et judo.

Un beau palmarès

A ce jour, en fustal, les lycéens sont champions départementaux Ugsel cadets filles et garçons et premiers ex-aequo cadets juniors garçons. En cross, Amédée Driencourt se classe deuxième au départemental et Agathe Gaudin est championne régionale au 200m.

Stan GUILLERMIC.

Depuis déjà quatre ans, le bureau des lycéens (BDL) anime la vie du lycée. Il est composé de douze élèves qui proposent et mettent en place différentes initiatives. Chacun a un rôle dans le groupe. Il y a un président, un vice-président, des secrétaires et des trésoriers. Comment en fait-on partie ? A chaque rentrée, les membres restants recrutent des Secondes pour composer le bureau des lycéens. Ils recherchent des élèves investis, motivés et désireux de changer des choses. Toutes les deux ou trois semaines, les membres se réunissent lors de commissions et travaillent en groupe sur des projets. Les petits projets ne demandent pas énormément de temps mais les projets plus importants, comme la création de la fête de la Saint-Jo exigent beaucoup d'investissement. Pour cette raison, il est important de se rendre disponible. Qu'est-ce qui a déjà été mis en place ? Une vente de produits à l'effigie du lycée (sweats, gourdes, thermos et tote bag), la radio un midi par semaine, la journée de Thanksgiving et, chaque jour de l'Avent, des défis Instagram.

Marion JOUCAN.

Chaque midi près de 750 repas sont servis au Croq'Jo, notre restaurant scolaire qui a ouvert en septembre 2010. Le concept avait été imaginé dès janvier 2009 dans le but d'avoir un espace de restauration dans l'enceinte du lycée afin de remplacer l'ancien self, rue Murigneux.

Des produits locaux et cuisinés sur place

11h45 : les premiers élèves entrent dans le self mais depuis déjà 5 h 30 toute l'équipe, composée de 7 personnes, emmenées par le chef Ludovic Calvez, est déjà aux fourneaux.

Pour pouvoir préparer tous ces repas, l'équipe fait appel à 12 producteurs locaux. « Les pommes de terre viennent de Saint-Aaron, les pâtes de Plérin. La plupart de nos produits viennent de Lamballe et de ses alentours depuis plusieurs années déjà, bien longtemps avant la loi alimentation » assure M. Calvez.

Des repas équilibrés

Tout d'abord, lorsque l'on rentre au Croq'Jo, on arrive devant plusieurs présentoirs, avec un choix important parmi les entrées, les plats et les desserts. Des salades très diverses, 4 à 5 smoothies de saveurs différentes. Au Croq'Jo, chaque élève peut personnaliser son plateau en fonction de ses envies et de son appétit. « Au début, on se précipite sur les pizzas ou les sandwichs mais très vite on essaye d'autres plats que l'on veut tester parce qu'ils sont bien présentés. » me confie un élève qui mange tous les jours au Croq'Jo. De plus, pour équilibrer les repas, le self a mis en place un "bar à légumes" en libre-service où l'on retrouve différents légumes de saison.

Dans cet esprit de partager de nouvelles saveurs et de proposer des menus différents, le Croq'Jo organise chaque année une dizaine de repas à thème pour faire découvrir la cuisine de différents pays mais aussi des repas "légumes d'antan" ou "fromages".

Un restaurant modèle

Le self de Saint-Joseph fait partie des plus renommés de France. Des chefs d'établissements de toute la France sont déjà venus tester cette cantine peu commune, qui fait partie des fiertés du lycée. Un agrandissemment "snacking" est prévu à la rentrée 2020.

Amédée DRIENCOURT.

Le foyer est un endroit chaleureux et agréable du lycée. Il est fait pour vous détendre ou vous reposer, quelques instants. Moderne et lumineux, il dispose d'un nouveau mobilier (poufs, canapés, télé) et de grandes ouvertures qui apportent de la luminosité.

Pour tous les lycéens

Qu'ils soient en Seconde, Première ou Terminale, tous les lycéens peuvent y accéder. Le foyer est ouvert tous les jours, les midis, pendant les récréations et pendant la dernière heure de cours de la journée, en complément de la permanence.

Entre amis, venez vous amuser avec les différents divertissements tels les baby-foot, le billard ou encore toutes sortes de jeux de société. Vous pouvez aussi y acheter quelques en-cas, le matin, et des boissons chaudes ou froides.

Elina ZHENG.

Au mois d’avril, des élèves visiteront la ville de Saint-Pétersbourg. Avec le célèbre musée Ermitage, le palais des tsars, ses belles cathédrales, cette ville est une capitale culturelle de la Russie. Les élèves vont découvrir les monuments principaux de la ville, rencontrer des élèves de l’Académie de ballet Vaganov connue pour ses danseurs-étoiles célèbres dans le monde entier tels que Noureev et Barychnikov.

Evguenia TSVETKOVA.

En octobre, nous avons accueilli dans les familles vingt-cinq jeunes hongrois du lycée de Dabas et deux de leurs professeurs. Ils avaient échangé en anglais sur les réseaux sociaux pour faire connaissance. Séjour riche en découvertes pour nos élèves avec la présentation de leur pays et coutumes et pour les Hongrois qui ont assisté à des cours et visité la région. Tous ont bénéficié d’une initiation au golf à La Crinière ! Nous nous retrouverons en Hongrie début avril !

Isabelle FERREY.

L'échange avec la Finlande existe depuis de nombreuses années. En février, il permettra à 20 élèves de Saint-Jo de rencontrer leurs correspondants des lycées de Hitti et Lahti. Ils découvriront le système scolaire finlandais et assisteront à de nombreux cours en langue anglaise. Ils pratiqueront le ski de fond, les raquettes, le hockey sur glace et savoureront la traditionnelle baignade dans le lac glacé après le sauna !

Valérie HERAULT.

Nos élèves ont accueilli chaleureusement leurs correspondants allemands en novembre. Ils ont participé ensemble aux différentes activités et sorties. De nombreux souvenirs communs ont été vécus. Nous avons hâte de les retrouver en mars à Francfort, où nous allons sûrement apprécier notre séjour. Au programme : les visites du musée Gutenberg, de la ville de Francfort, de la vallée du Rhin romantique et ses châteaux.

Shahrzad PAKLEPA.

En pleine effervescence de la semaine sainte, les élèves s'envoleront direction l'Andalousie pour vivre au rythme des défilés des pasos religieux. Logés en famille à Cordoue, ils vont découvrir Ronda et ses arènes mais aussi Grenade et Séville, villes phares de la période de Al Andalus. Ils vont également déguster le délicieux "chocolate con churros", s'initier au flamenco, découvrir un élevage de taureaux et déguster l'excellente huile d'olive de la région.

Véronique BOUVET.

A la suite d’un travail commun dans le cadre d’Erasmus+, le lycée de Poznan et celui de Lamballe ont décidé d’aller plus loin en créant un échange qui a vu le jour en octobre 2019. Pour la première année, les enjeux sont multiples : apprendre à connaître nos établissements, nos styles de vie respectifs et découvrir nos villes. L’objectif fondamental est de communiquer en français ou en anglais afin de tisser du lien pour maintenant et pour le futur.

Emmanuel FERRON.

Dans le cadre du jumelage entre Lamballe et Oliveira do Bairro, 13 élèves portugais de l'Escola Secundaria d'Oliveira do Bairro sont venus découvrir notre région, une semaine en novembre 2019. Une immersion dans l'établissement, dans les familles, mais aussi de nombreuses visites incontournables leur ont été proposées. A notre tour, nous ferons cap vers le Portugal en mars 2020 avec 12 élèves de Première. Les retrouvailles avec les correspondants s’annoncent riches en émotions et nous sommes très impatients de voir le programme qui nous a été réservé.

Aurore PERRIN.

49 élèves voyageront vers l’Attique, à la découverte des mythes de l’Athènes antique mais aussi de la ville chaleureuse d’aujourd’hui. Au programme : l’Acropole, l’Agora, le quartier de la Plaka, le musée archéologique d’Athènes, le monastère d’Ossios Loukas, la cité de Delphes et son sanctuaire, la porte des Lionnes à Mycènes, la ville de Nauplie… Une ouverture sur la civilisation d’Homère, des Atrides, d’Alexandre Le Grand sous la regard vigilant d’Athéna !

Elodie BARBIER.