Quels sont tes souvenirs de lycée ?

La première réponse qui me vient à l'esprit, c’est le Croq'Jo ! Ça a été une révolution du jour au lendemain. On y mangeait très bien !

On jouait beaucoup aussi : foot, jeux de cartes, billard... bref, on ne s’ennuyait jamais !

J'en garde de très bons souvenirs, sûrement grâce à ma classe de Terminale ES !

Te souviens-tu de certains professeurs ?

Ah oui ! Obligé de commencer par M. Le Bigot, notre professeur principal en Terminale ES. On a dû faire partie des élèves les plus turbulents de l'histoire de la série économique et sociale. Je pense qu’il se souvient très bien de nous aussi !

Mais il était habile. Il essayait de rendre ses cours ludiques. Je me souviens que pour éviter que l'on ait de trop mauvaises notes, il avait instauré un « SMIC » à 6 sur 20. On a vite compris ce qu’était un salaire minimum !

Je me souviens en partie des autres professeurs. Petite mention spéciale à M. Pécheur, dont je trouvais les cours très intéressants !

Quelles études as-tu suivies ?

Après le bac, je suis parti à l’UCO (Université Catholique de l’Ouest) à Arradon, pour préparer une licence d’information-communication. C'est un enseignement assez général qui ouvre à des poursuites d'études dans différents domaines, dont le journalisme, qui m'intéressait depuis le début.

J'ai choisi l’UCO parce que cette université propose un séjour Erasmus en troisième et dernière année de licence. Je rêvais depuis longtemps de partir à l'étranger, j’ai donc pu poursuivre mes études pendant six mois en Espagne.

Après la licence, j'ai préparé un master 1 en production audiovisuelle en alternance à Sup de Pub Paris, puis un master 2 que j'ai poursuivi en alternance à l’ESG, une école de commerce.

Parle-nous de tes expériences professionnelles.

J’ai débuté par quelques stages au Télégramme puis à Tébésud, la TV du Morbihan, en tant que journaliste reporter d’images. Un travail difficile, où tu as la caméra, tu réalises l’interview, tu montes le reportage, tu fais la voix off… tu fais clairement tout. Cette expérience m’a un peu dégoûté du journalisme.

En master, j’ai commencé une alternance à Eurosport, la chaîne TV, où j’étais en charge des bandes-annonces diffusées sur Eurosport Espagne. Merci Erasmus !

A ce poste, je m'assurais de la bonne traduction en espagnol des textes des bandes-annonces écrits en anglais et de l’enregistrement de la voix off avec le comédien espagnol. En plus de cela, chaque responsable de pays se voyait attitrer la production de certaines bandes-annonces en fonction des sports qu’il maîtrisait bien.Cela nécessitait un travail d’écriture avec le copywriter, puis de dérushage (sélection des images), de montage avec un monteur, d’étalonnage / graphisme avec un graphiste et enfin de son avec un ingénieur son. En fin de compte, il s'agit de tout le process pour réaliser une vidéo !

Quelles missions exerces-tu actuellement ?

Aujourd’hui je travaille toujours à Eurosport. Après mon alternance, j’ai été embauché au service créatif de la chaîne. Je suis maintenant spécialisé dans l’habillage.

Qu'est-ce que signifie l’habillage ? Je dis souvent que nous sommes les garants de la charte graphique de la marque. C’est-à-dire que l'on s'assure que tous les départements de la chaîne utilisent ce que l’on a créé au départ : logo, typographies (polices d’écriture), couleurs, etc. En plus de tous les éléments qu'on leur met à disposition, ces départements peuvent avoir des demandes spécifiques liées à un événement.

Par exemple, si Eurosport France veut créer une émission sur le Tour de France pour l’année à venir, ils vont nous contacter et nous briefer sur le concept de l’émission, nous dire s'ils ont des invités, si l'émission est tournée en plateau, etc… Par la suite, nous devrons développer un générique à cette émission et « habiller » le studio. À chaque fois il faut qu’il y ait une cohérence entre tous les éléments qui seront utilisés pendant l’émission : le générique, le studio et toute l’infographie.

C'est très stimulant de travailler sur des éléments aussi différents les uns des autres. De plus, nous avons de gros moyens. Cela nous permet d'être ambitieux et de travailler avec les agences créatives les plus renommées.

Depuis plusieurs mois, je me consacre exclusivement aux Jeux Olympiques de Paris 2024 et le traitement qu'en fera la chaîne pendant cette période.

Tout Eurosport va se mettre aux couleurs des Jeux Olympiques. C'est un travail important mais le résultat devrait être à la hauteur.

Quel conseil donnerais-tu aux élèves ?

Un de mes conseils serait de s'intéresser à un maximum d’œuvres culturelles. Personnellement, je ne suis pas un grand lecteur donc je ne vais pas parler de livres. Mais il peut s'agir de regarder des vidéos, d'être en veille sur YouTube, d'aller voir des expositions, d'aller au cinéma, de découvrir des séries, des documentaires…

Quand on vous demande de créer quelque chose à partir de rien, il faut avoir des références, savoir chercher et rebondir et vous allez obligatoirement partir de ce que vous connaissez.

D'autre part, je conseillerais aux élèves de pratiquer des langues étrangères. Au delà du travail où cela peut être une nécessité, il est très appréciable de pouvoir vraiment parler, échanger avec les habitants quand on voyage à l'étranger.

Propos de Gabin LE ROY
recueillis par Valérie HERAULT.

Dans cette spécialité orientée informatique, vous serez amenés à programmer avec Python sur des projets comme la bataille navale.

La spécialité NSI est compatible avec toutes les autres et s'adresse à tous les lycéens et lycéennes.

Les projets permettent d'explorer les domaines des données et de leur traitement, des algorithmes, des machines et des systèmes d'exploitation.

Plusieurs débouchés de métiers s'offrent à vous : développeur, métiers supports et tous les nouveaux métiers de l'informatique.

Per­mettre, par la diver­sité des acti­vi­tés mathé­ma­tiques pro­po­sées, de conso­li­der les acquis, de déve­lop­per le goût des mathé­ma­tiques, de prendre conscience de la richesse et de la variété des démarches et des objets mathé­ma­tiques.

Déve­lop­per des inter­ac­tions avec d’autres ensei­gne­ments de spé­cia­lités et situer la démarche mathé­ma­tique au sein de l’ac­ti­vité scien­ti­fique.

Assu­rer les bases mathé­ma­tiques néces­saires à toutes les pour­suites d’études.

Le pro­gramme s’or­ga­nise en cinq grandes par­ties : algèbre, ana­lyse, géo­mé­trie, pro­ba­bi­li­tés et sta­tis­tiques, algo­rithmes et pro­gram­ma­tion.

Pour des élèves curieux de déve­lop­per leur culture géné­rale, "huma­ni­tés" se situe au car­re­four de nom­breuses sciences humaines : lettres, his­toire, phi­lo­so­phie, anthro­po­lo­gie. Les pou­voirs de la parole et les repré­sen­ta­tions de l’Homme sont deux objets d’étude en Pre­mière qui per­mettent d’abor­der dif­fé­rents champs depuis l’An­ti­quité.

En Première, les élèves participent à la Plume lycéenne dans le cadre du Goncourt des lycéens. En Terminale, ils travaillent sur les thèmes de la recherche de soi et la notion d'humanité. Cette spé­cia­lité est au cœur des inter­ro­ga­tions actuelles et four­nit un socle de com­pé­tences clés pour le supé­rieur.

Donner aux élèves les clés d’analyse du monde contemporain afin de comprendre les principaux enjeux historiques, géopolitiques, politiques… et de poursuivre des études supérieures à l’université (droit, histoire, économie…), CPGE, journalisme, IEP, communication, commerce…

Objectifs

Comprendre la démocratie, avoir un regard critique sur les sources d'information et les modes de communication, analyser les relations entre les États et les religions, comprendre les enjeux géopolitiques du patrimoine, appréhender les enjeux planétaires de l’environnement…

Faire évoluer les élèves au niveau de leurs savoirs, leur rigueur méthodologique, leur soif de recherche et leur sens critique afin de les préparer au mieux à l’enseignement supérieur.

Augmenter l’exposition des élèves à la langue étudiée : fin de Première niveau B2 attendu, fin de Terminale niveau C1 attendu.

Donner de l'importance à l’étude (grammaire / lexique / phonologie / orthographe) et à la compréhension de la langue.

Proposer un apprentissage approfondi d’une culture, une approche actionnelle et des créations de projets.

Créer un portfolio personnel de documents et d’œuvres.

... culture sportive. Spécialité qui ouvrira en sept 2024, destinée aux élèves aimant le sport et désireux de poursuivre des études dans ce domaine.

Les savoirs théoriques et la création de projets s'ajoutent à la pratique approfondie d'activités physiques.

Au programme : connaissance des secteurs professionnels du corps humain et de la santé afin d'affiner son projet professionnel, effets du sport et de son absence sur la santé...

Cette spé préparant principalement l'accès aux métiers d'éducateur sportif des métiers de la forme, d'entraîneur, de professeur d'EPS, la principale offre de formation après le bac est la licence STAPS (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives).

On ne parle pas de "séries" pour le bac géné­ral.

Enseignements communs

Les élèves suivent un tronc d'en­sei­gne­ments com­muns en Seconde (fran­çais, hist-géo, EMC, anglais, espa­gnol ou alle­mand, maths, phy­sique-chi­mie, SVT, SES, sciences numé­riques et tech­no­lo­gie, EPS), en Pre­mière et Ter­mi­nale (fran­çais et maths en 1ère, philo en Term, hist-géo, EMC, anglais, espa­gnol ou alle­mand, ensei­gne­ment scien­ti­fique et EPS).

Spécialités

En Pre­mière, les lycéens choi­sissent trois spé­cia­li­tés parmi les neuf (voir p.4 et 5) pro­po­sées par le lycée (4h/spé). En Ter­mi­nale, ils n'en conservent que deux (6h/spé). Les spé­cia­li­tés choi­sies "tein­te­ront" le bac­ca­lau­réat de l'élève.

Options

En Seconde, ils peuvent choi­sir une option de la voie géné­rale (voir p. 5 et 6) ou de la voie tech­no­lo­gique (voir p. 7 et 8). Ils pour­ront la pour­suivre en Pre­mière et, en Ter­mi­nale, ajou­ter maths expertes ou maths com­plé­men­taires ou bien droit et grands enjeux du monde contemporain. Les épreuves finales consti­tuent 60 % de la note du bac­, le contrôle continu 40 %. Chacun des enseignements optionnels est pris en compte avec un coefficient 2 qui s'ajoute à la somme des coefficients portant sur les enseignements obligatoires.

Valérie HERAULT.

Depuis septembre 2022, le lycée propose une option volley-ball.

En partenariat avec l'association sportive Volley Est Armor, qui regroupe les clubs de volley de Plancoët et de Lamballe, nous accueillons 26 élèves de la Seconde à la Terminale pour cette année 2023-2024.

Lors de la première année de création, les équipes engagées dans le championnat UGSEL ont été qualifiées pour les finales départementales (CJF, CG et JG), puis régionales (CG et JG) et enfin nationales (CG). Elles ont terminé sur le podium à la troisième place.

La sélection pour participer à cette option se fait sur tests sportifs et techniques et sur entretiens individuels en fin d'année scolaire.

Les entraînements ont lieu en dehors du temps scolaire tous les jeudis de 17h à 19h au gymnase du lycée et sont encadrés par un professeur d'éducation physique et sportive de l'établissement diplômé d'État de volley-ball.

Amélia CHANTRAINE.

L'option football rassemble filles et garçons qui se retrouvent un soir par semaine de 17h à 19h. Les jeunes doivent être licenciés quel que soit le club d'origine.

L'objectif est double :

- Améliorer les capacités individuelles des joueurs sur les plans physique, technique, informationnel (bonne analyse du jeu sur le terrain) et tactique.

- Recevoir une formation pour devenir jeune animateur sportif. Pour le moment les lycéens ont déjà été formés aux modules U7 et travaillent actuellement les modules U9 et U11. A l'âge de 18 ans, ils pourront être animateurs sportifs en club.

Un partenariat
avec le club local

L'option football au lycée est possible grâce au partenariat avec le Lamballe Football Club (LFC) qui met à disposition des élèves son terrain synthétique et des catégories de joueurs. Ces joueurs du LFC, en l'occurrence des U9, permettent à nos élèves de s'entraîner concrètement en situation à la formation de jeune animateur sportif. Les animateurs du LFC, qui assurent cet enseignement, alternent la théorie et la pratique pour atteindre ces modules.

Les lycéens utilisent également la salle de musculation du lycée pour des exercices spécifiquement adaptés aux joueurs de foot.

Valérie HERAULT.

Le lycée propose aux élèves qui le souhaitent, d’intégrer la section sportive équitation. Titulaires d’un galop 4 au minimum et motivés par l’amour de l’animal et le goût de la compétition, ils participent, en Seconde, à une heure d’hippologie en classe et à deux heures de reprise à l’écurie de la Cassoire à Landéhen. Cette section se poursuit en Première et Terminale. L’objectif est de parfaire ses connaissances de l’animal et du monde équestre ainsi que de progresser techniquement à cheval dans des disciplines aussi diverses que le saut d’obstacles, le dressage ou le cross. Pourquoi pas, ensuite, se lancer dans le grand bain des compétitions hippiques ?

Emmanuel FERRON.

En Pre­mière : mobi­li­sa­tion des connais­sances, réso­lu­tion gra­phique et chif­frée, col­lecte et trai­te­ment de l’in­for­ma­tion, construc­tion d’une argu­men­ta­tion, maî­trise de l’ex­pres­sion orale et écrite.

En Ter­mi­nale : déve­lop­pe­ment d'une argu­men­ta­tion et ana­lyse de docu­ments.

Thèmes (sciences éco­no­miques, socio­lo­gie et sciences poli­tiques) : quelles sont les prin­ci­pales défaillances du mar­ché ? Com­ment s'or­ga­nise la soli­da­rité ? Com­ment se construisent et évo­luent les liens sociaux ? Com­ment se forme et s’ex­prime l’opi­nion publique ?...

Compréhension d’objets et de méthodes scientifiques et éducation en matière d’environnement, de santé et de sécurité.

Thèmes : transmission, variation et expression du patrimoine génétique, dynamique interne de la Terre, écosystèmes et services environnementaux, variation génétique et santé, fonctionnement du système immunitaire humain.

Les activités expérimentales occupent une place centrale : pour répondre à un problème scientifique, l’élève examine la validité d’une hypothèse par la mise au point d’un protocole, il confronte les résultats de l’expérience aux attentes théoriques ou à un modèle.

La spécialité physique-chimie s'adresse aux élèves intéressés par les sciences, curieux de comprendre le monde qui les entoure et les lois physiques qui en modélisent le fonctionnement. Il est nécessaire d'avoir de bons résultats dans les matières scientifiques, d'être rigoureux, logique, précis, d'aimer les problèmes et surtout les résoudre.

La spécialité est fortement recommandée pour les élèves souhaitant faire des écoles d'ingénieur ou des prépas scientifiques, des études médicales ou paramédicales, des études de physique, de chimie, des études liées aux matériaux, à l'environnement, à l'énergie, à l'aéronautique, aux transports. Mais elle est aussi importante pour des études de mathématiques, d'informatique ou de biologie...

« Le théâtre est un moment où je me sens dans une bulle au lycée », confie une élève. Développer ses appuis corporels, assurer sa voix, développer sa réflexion sur la société sont des enjeux de cet enseignement. Les élèves apprennent à jouer des textes d'époque et de registres différents. Le théâtre, ce sont aussi des rencontres avec des comédiens, metteurs en scène, auteurs, danseurs. L’esthétique de la mise en scène est aussi abordée par la fréquentation de spectacles avec des structures partenaires comme la Passerelle à Saint-Brieuc et le Quai des rêves à Lamballe. Cette option est riche en apprentissages, en découvertes de soi-même et aussi des autres.

Elodie BARBIER.

Pour les élèves sou­hai­tant suivre une prépa scien­ti­fique ou com­merce, une école d'in­gé­nieur ou un IUT scien­ti­fique, un ensei­gne­ment facul­ta­tif « mathé­ma­tiques expertes » de trois heures est pro­posé en Ter­minale en plus de la spé­cia­lité mathé­ma­tiques de six heures.

Pour les élèves sou­hai­tant entrer en méde­cine, IUT bio­lo­gie ou ges­tion, en école de com­merce, un ensei­gne­ment facul­ta­tif « mathé­ma­tiques com­plé­men­taires » de trois heures peut être ajouté aux deux autres spé­cia­li­tés gardées en Term, s’ils ont suivi la spé­cia­lité mathé­ma­tiques en Pre­mière et qu’ils l’ont arrê­tée en Ter­minale.

Les professeurs de mathématiques.

En études supérieures, de plus en plus de lycéens s’orientent vers les filières du droit. Cet enseignement facultatif permet aux élèves de Terminale d’acquérir une culture générale et juridique plus qu’utile. Il est une première découverte de ce milieu, mais n'est pas pour autant réservé aux futurs étudiants en droit.

Les dispositifs pédagogiques sont nombreux : cours sur les bases juridiques, reconstruction de procès, débats... Le droit est pratiqué aussi bien à l’écrit qu’à l’oral.

Cet enseignement permet enfin de mieux comprendre le monde qui nous entoure en découvrant celui de la justice.

Romain GARANGER.

Véritable atout pour les lycéens souhaitant développer leur culture générale, le latin peut être commencé en Seconde ; la découverte des textes se fait en parallèle de la connaissance des civilisations antiques. Mythologies, histoire des mondes de la Méditerranée sont abordées, mais aussi la réflexion sur les racines des langues romanes, l’étude de faits fondateurs de notre civilisation. Les modalités de travail sont variées : lecture de textes authentiques, recherches, exposés, travaux de groupes, utilisation des outils numériques au service de l’autonomie. Un lien est fait avec l’université grâce à un projet de traduction collaborative en vue de l’édition de textes inédits : les planches anatomiques d'Eustache.

Elodie BARBIER.

Pourquoi apprendre le russe ? Il existe tant de raisons.

Notamment la beauté de cette langue slave ou encore la géographie de ce pays, le plus vaste du monde, et qui joue un rôle important dans l’histoire mondiale.

Si vous hésitez toujours, sachez que c’est l’une des langues les plus parlées au monde avec plus de 280 millions de locuteurs. Apprendre le russe constitue un premier pas vers d’autres langues slaves qui partagent les mêmes spécificités linguistiques, comme l'alphabet cyrillique.

Contrairement aux idées reçues, l’étude du russe n’est pas plus difficile que celle d’une autre langue.

Yana Le GALL.

L’enseignement proposé est basé sur le mandarin, la langue officielle de la République populaire de Chine. L'objectif est double : apprendre à prononcer le chinois avec le pinyin et apprendre à écrire les caractères chinois selon un certain ordre et sens. L’entraînement débute à l’oral, où aucun caractère n'apparaît, où le lien son-sens est renforcé par la compréhension et l’expression orales. L’écriture débute lorsque l’utilisation orale est maîtrisée.

L’étymologie de certains caractères est proposée lors de cette phase en tant que moyen mnémotechnique et découverte “archéologique” de cette seule langue figurative encore utilisée.

Qian ZHOU.

C’est une proposition de DNL (discipline non linguistique) au sein de laquelle, tout au long de leur scolarité au lycée, les élèves ont la possibilité d’étudier les mathématiques ou l’histoire-géographie en anglais, en plus d’une proposition d’anglais renforcé en Première et en Terminale.

Choisir la section européenne, c’est vouloir, à raison d'une heure par semaine en Seconde et de deux heures en Première et Terminale, progresser en langue anglaise, être curieux, avoir envie de se donner le maximum de chances pour maîtriser une langue étrangère et se préparer aux exigences de l’enseignement supérieur.

C'est un atout pour la poursuite d'études post-bac.

Emmanuel FERRON.

Tu découvres ici les trois spécialités de Première (deux en Terminale). Elles se complètent autour de thèmes communs (ex : le diabète) afin de « faire sens » dans les apprentissages en salle de cours ou en laboratoire.

La BPH (Biologie et Physiopathologie Humaine) -5 heures-

… étudie le fonctionnement du corps humain (nutrition, défense de l’organisme…) et ses maladies (dépistage, symptômes, vocabulaire médical). Ex : ce qu’il se passe quand on absorbe des aliments, pourquoi on a du diabète, quelles fonctions a le pancréas, l’insuline…

Les STSS (Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales) -7 heures-

… mesurent et expliquent les problèmes sanitaires et sociaux et les réponses apportées. Ex : combien de personnes souffrent du diabète, ce que l’on peut faire pour l’éviter si possible et le prendre en charge (professionnels et remboursements des soins). Une heure est assurée en langue anglaise.

La Physique-Chimie pour la Santé -3 heures-

… apporte les connaissances et les méthodes scientifiques en lien avec la santé de l’être humain et son environnement. Ex : en biochimie, comment les aliments se transforment pour produire l’énergie dont le corps a besoin

Sandrine GUEGUEN.

Pour qui ?

Cette filière s'adresse à des filles et des garçons curieux, motivés par l'actualité des secteurs de la santé et du social, qui aiment le contact et ont envie d’aider les autres, prêts à fournir un travail régulier et à s'investir en équipe et dont l'objectif est de poursuivre des études supérieures.

Pour quoi faire ?

La plupart de nos anciens élèves travaillent dans le paramédical : infirmiers, préparateurs en pharmacie, manips radio, et ont un bon niveau scientifique : ergothérapeute, opticien-lunettier… Dans le social, ils sont éducateurs auprès d’enfants, de personnes handicapées mais aussi dans le domaine sportif ou de l’animation. Ils accompagnent également les familles dans leurs démarches administratives.

Ce « bac techno » apporte un solide bagage théorique et méthodologique qui permet également des études supérieures réussies à l’université : en STAPS, psycho… ce qui diversifie les débouchés.

Comment ?

Nous « baignons dans la culture médico-sociale » : être élève de ST2S suppose de mobiliser un vocabulaire particulier, des connaissances spécifiques. Au cours des deux années, tu vas acquérir des méthodes pour te préparer aux études supérieures : mémorisation, développement de l’autonomie (travaux de groupes, recherches documentaires), analyse de notions et de documents divers, rédaction, synthèse…

Sur quoi ?

En plus des matières générales classiques qui axent également les apprentissages autour de la santé et du social, il y a des spécialités qui se complètent et interagissent autour des thèmes de la série : la BPH (Biologie et Physiopathologie Humaine, les STSS (Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales) et la Physique-Chimie pour la Santé.

Nous t’attendons en ST2S, une série où l'on ne s'ennuie jamais car l'actualité, les évolutions de la science et de la société nous fournissent tout le temps matière à discussion !

Sandrine GUEGUEN.

Tu entres en Seconde et tu envisages une série ST2S, tu t’intéresses aux témoignages sur les maladies, tu aimes les documentaires sur les progrès médicaux, les problèmes de notre société. Tu as juste envie de tester ton intérêt pour ces domaines et découvrir les métiers qui s’y rapportent sans avoir de projet précis de filière pour le moment ?

Choisis l’option santé-social pour travailler sur différents thèmes : handicap, hôpital, prématurité, grand âge, logement,… grâce à des documents, des recherches internet, des vidéos, en groupe ou tout seul.

Chaque thème aborde des problèmes sociaux, des notions de biologie humaine sur le fonctionnement du corps humain, ses maladies, les examens pour les dépister. On y évoque les réponses apportées : prévention, prise en charge financière… Que fait l’Etat, que font les associations pour améliorer la santé et le bien-être de la population ?

En une heure et demie par semaine, tu testeras ton intérêt et créeras un premier contact avec les spécialités de la série ST2S avec déjà du vocabulaire spécifique, tu exploreras aussi les professions et les formations du secteur pour construire ton projet d’orientation.

Sandrine GUEGUEN.

La filière STMG (Sciences et Technologies du Management et de la Gestion) offre une formation équilibrée avec la forte présence de l'enseignement général (mathématiques, histoire-géographie, français, langues vivantes et EPS) indispensable à la poursuite d'études et l'ajout de l'enseignement technologique pour une approche réelle et méthodique.

Dès la Première, il existe bien trois spécialités qui sont obligatoires.

Des enseignements diversifiés et complémentaires

Les enseignements technologiques partent de situations concrètes et d'études de cas pour mieux comprendre le fonctionnement des entreprises.

Les supports et modalités d'apprentissage sont variés (travail sur ordinateur ou documents, travail de groupes ou individualisé) afin de proposer une approche vivante grâce aux nouvelles technologies.

Pour qui ?

Pour les élèves intéressés par l'actualité et le fonctionnement des organisations, ainsi que par la découverte et l'analyse des relations au travail, et la mesure de la performance.

Les élèves devront s'investir dans le travail de groupe et l'expression orale.

Les études supérieures

Cette filière permet d'acquérir des compétences pour réussir ses études supérieures afin d'avoir de véritables perspectives d'emploi.

Elle offre des débouchés très diversifiés : les métiers de l'économie et la gestion, des ressources humaines, du marketing, de la communication, du commerce, de l'informatique, de la banque-assurance, de la logistique ou encore du tourisme.

Depuis 2019, les bacheliers technologiques sont prioritaires sur les bacheliers généraux en IUT avec un objectif de 50 % des places.

La polyvalence de leur bac donne accès à une quinzaine de BTS, dans la continuité ou la complémentarité de la spécialité choisie en Terminale, comme le BTS management commercial opérationnel ou le BUT gestion des entreprises et des administrations.

Simon HELARY.

Les trois spécialités sont construites autour d'enjeux réels et de sujets d'actualité.

Sciences de gestion et numérique - 7 heures

La dis­ci­pline per­met de com­prendre et d'ana­ly­ser les muta­tions de l'ac­ti­vité humaine sous l'ef­fet de la dif­fu­sion des tech­no­lo­gies numé­riques, comme la prise en compte des réseaux sociaux sur le com­por­te­ment des tra­vailleurs. Elle expose aussi, entre autres, les moyens pour créer de la valeur et ses indi­ca­teurs de mesure (pro­duc­ti­vité, chiffre d'af­faires, etc).

Management - 4 heures

C'est une intro­duc­tion au fonc­tion­ne­ment interne et externe des orga­ni­sa­tions. Cet ensei­gne­ment, à par­tir d'exemples concrets, consiste à mon­trer que chaque orga­ni­sa­tion a des carac­té­ris­tiques propres ainsi que des stra­té­gies diri­gées vers un but à atteindre.

Droit et économie - 4 heures

Cette spé­cia­lité regroupe deux dis­ci­plines ayant des objec­tifs com­muns : for­mer des citoyens conscients du monde dans lequel ils vivent, notam­ment par la com­pré­hen­sion des méca­nismes éco­no­miques et des pro­cé­dures juri­diques (types de droit, dérou­le­ment d'un pro­cès, droits d'au­teur).

Simon HELARY.

Cet enseignement technologique optionnel (une heure trente) a pour finalité de donner les connaissances de base du management et de la gestion dès la Seconde.

Il apporte, de manière générale, des compétences valorisées dans les études supérieures et la société, comme concevoir une démarche par objectif ou mener des projets.

C'est un tremplin vers la filière STMG.

Exemple de thème abordé : l'économie numérique offre-t-elle toujours des opportunités de développement ? Ce thème invite à se questionner sur la place des entreprises telles que Google, l'utilisation des réseaux sociaux et les risques liés à internet.

C'est aussi l'opportunité de développer son esprit critique et son expression orale autour de sujets tels que la gestion de conflits ou le télétravail.

Découverte du monde de l'entreprise

L'option management et gestion est donc faite pour les lycéens qui souhaitent se rapprocher du monde de l'entreprise et découvrir son fonctionnement.

Cet enseignement optionnel intéressera aussi ceux qui aiment le travail de groupe et la réalisation de projets à l'aide des outils numériques.

Simon HELARY.

L'Hospitalité Saint-Thomas de Villeneuve a ouvert en janvier, au sein de notre lycée, un institut de formations des aides-soignants (IFAS).

Une double formation

Pour cette première promotion, dix places sont disponibles en formation initiale et dix places en formation continue. Le cursus est d'une durée d'un an.

Cette offre permettra de créer un lien fort avec les élèves de la filière ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne) du lycée.

A terme, l'Hospitalité implantera sa formation IFAS en centre ville, rue Charles Cartel au sein du siège Saint-Thomas de Villeneuve. Les nouveaux locaux seront dotés d'équipements modernes tels que des chambres de simulation intégrant de la réalité virtuelle.

Une formation attendue

Le site de formation situé à mi-chemin entre Dinan et Saint-Brieuc, répond à un besoin du territoire lamballais en proposant aux étudiants une offre de proximité jusque-là inexistante.

Les acteurs de santé pourront ainsi recruter plus facilement.

Valérie HERAULT.

J'ai choisi la filière ASSP pour deux raisons. Ma mère travaille dans le médical, c'est donc un domaine qui m'est familier. Et j'ai un proche très malade que j’ai failli perdre. J'ai donc décidé de suivre une formation qui me permette d'aider et de prendre soin des autres.

L’année dernière, j'ai réalisé mes stages en EHPAD et en maternelle. Je me suis rendue compte que je préfèrerais travailler auprès des personnes âgées.

Pour réussir en ASSP, il faut être patient, aimer le contact et ne pas négliger le travail personnel, gage d'un bon niveau de connaissances et de compétences professionnelles.

Lou KERANTERFF.

J'ai choisi de faire un bac professionnel ASSP (Accompagnement, Soins et services à la Personne) pour aider les personnes dépendantes comme les personnes âgées ou les jeunes enfants.

J'effectuerai mon premier stage dans une école maternelle. Je veux attendre un peu avant de le faire auprès des adultes car on peut être confronté à des situations plus difficiles comme la souffrance.

Pour venir en filière ASSP, il faut avoir envie d'aider les autres. C'est la principale motivation qui doit nous animer.

Je n'avais ni peur, ni appréhension d'entrer en filière ASSP. J'avais plutôt hâte de suivre des cours de matières professionnelles.

Quentin URVOY.

Les bacheliers d'ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne) exercent au sein d'établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux tels que les EHPAD, les centres hospitaliers, les foyers logements ou encore les crèches. Ils prodiguent des soins d'hygiène et de confort, et d'aide aux actes de la vie quotidienne. Le bac pro ASSP permet l'insertion dans la vie professionnelle mais aussi la poursuite d'études en BTS, en IFAS ou en IFSI par exemple.

Formé(e)s à la pratique

Le lycée dispose d'un véritable plateau technique avec deux salles de soins et une salle d'animation. L'emploi du temps des élèves est partagé entre les disciplines générales (sciences/ mathématiques, français/ histoire-géographie, anglais, économie-gestion, prévention-santé-environnement, arts appliqués et EPS), et professionnelles organisées en quatre blocs : 1. Accompagnement de la personne dans une approche globale et individualisée. 2. Intervention auprès de la personne lors des soins d'hygiène, de confort et de sécurité, dans les activités de la vie quotidienne. 3. Travail et communication en équipe pluri-professionnelle. 4. Réalisation d'actions d'éducation à la santé pour un public ciblé dans un contexte donné. Enfin, les élèves effectuent actuellement vingt-deux semaines de PFMP (Période de Formation en Milieu Professionnel) au cours des trois années.

La rénovation du bac pro

Les élèves de 2de et de 1ère suivent des enseignements en co-intervention : ils travaillent deux matières (générale et professionnelle) sous la houlette de deux enseignants. En 1ère, ils initient un "chef d'oeuvre" avec leurs enseignants. La Terminale les prépare à une présentation orale et individuelle de ce "chef d'oeuvre" et aux épreuves certificatives en Contrôle en Cours de Formation (CCF) et en ponctuel.

Alors, motivé(e) pour travailler auprès de personnes de tous âges, valides, dépendantes ou en situation de handicap ? Doté(e) du sens des responsabilités et d'une écoute bienveillante ? Vous avez sans doute le profil d'un(e) élève de bac pro ASSP !

Amélia CHANTRAINE.
Responsable filière ASSP.

La promotion BNSSA (Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique) qui confère le statut de sauveteur aquatique est à nouveau complète avec ses douze élèves très motivés. A l'issue de leur formation qui s'achèvera en mai, ils se présenteront à l'examen qui, s'ils le réussissent, leur permettra de surveiller les plages ou les piscines dès l'été prochain.

Leur cursus est composé d'un entraînement hebdomadaire en piscine, d'un stage de secourisme d'une semaine, le PSE1 (premiers secours en équipe de niveau 1) qui se déroule aux vacances de la Toussaint qu'ils ont tous validé et d'une préparation aux QCM relatifs à la législation des baignades. Pour celles et ceux qui souhaitent surveiller les plages, il leur faut en plus passer le PSE2 (premiers secours en équipe de niveau 2).

Pour s'inscrire à cette formation, il faut en prérequis avoir 18 ans l'année de l'examen, savoir nager au moins 200m en crawl sans s'arrêter, être motivé et assidu aux entraînements.

La demande de sauveteurs aquatiques est importante sur tout le territoire. Tous les diplômés des promotions précédentes ont trouvé facilement un emploi saisonnier. Il est également possible de postuler en piscine pour des week-ends ou pour les petites vacances en dehors de la saison estivale.

La nouveauté cette année est la formation de surveillant de baignade qui permet au titulaire de surveiller les baignades dans le cadre d'accueils collectifs de mineurs. C'est une compétence très recherchée et un indéniable atout pour les titulaires du BAFA qui souhaitent postuler à un job d'été.

C'est une formation continue sans examen final qui a eu lieu au lycée du 26 au 29 décembre. Les élèves ont suivi une formation au sauvetage, au secourisme (PSC1) et à la législation.

Eric ROCHER.

La prépa médecine est un coup de pouce pour accéder plus facilement à des études supérieures dans la médecine. Cette prépa, assurée par prépa-sup-22 de Taden, est organisée par le lycée pour les élèves de Terminale générale et technologique ST2S. Pour cela, pendant deux heures, le mercredi après-midi de novembre à avril, un professeur de mathématiques, M. Auffray ayant des connaissances dans d'autres matières, nous apporte les enseignements nécessaires pour augmenter nos chances de réussite en première année de médecine. La prépa médecine n'est pas gratuite ; elle a un tarif dégressif en fonction du nombre d'élèves. Ce tarif peut aller de 430 à 265 euros suivant le nombre d'inscrits.

Un pont rassurant entre lycée et médecine

Durant la prépa, quelques thèmes vus en première année de médecine sont abordés tels que des thèmes de chimie (structure des atomes, chimie organique), de physique (équations dimensionnelles, incertitude) et de mathématiques (statistiques et probabilités adaptées). Le but est de nous familiariser avec le vocabulaire et les connaissances scientifiques tout en faisant le lien entre les notions vues en classe de Terminale et les sujets abordés en médecine. Les élèves inscrits à cette prépa sont avantagés à l'entrée en première année de PASS (Parcours d'Accès Spécifique Santé) ou de LAS (Licence Accès Santé) ; ils connaitront déjà les méthodes à adopter en sortant de Terminale.

Des méthodes de travail

La prépa nous entraîne à prendre des notes rapidement pendant le cours du professeur et la projection du diaporama. Le but est d'essayer d'écrire l'essentiel. Le cours est ensuite envoyé par le professeur pour compléter ce qu'éventuellement nous n'avons pas eu le temps de noter. A chaque fin de thème, et entre quelques cours, nous faisons également des QCM provenant d'annales de médecine.

Des élèves moins stressés

Léa Rigourd, élève de Terminale, s'estime rassurée par cette prépa médecine qui lui apporte les connaissances de base pour aborder avec sérénité la première année de médecine.

Astrid LE DUC.

Le BAFA est un diplôme qui permet d'encadrer à titre non professionnel, de façon occasionnelle, des enfants et des adolescents en accueils collectifs. Il comprend la formation générale, le stage pratique et le stage d'approfondissement. Pour se présenter au BAFA, il faut avoir 16 ans minimum.

La formation a pour objectifs de :

Préparer l'animateur à ses futures fonctions

1- assurer la sécurité physique et morale des mineurs

2- participer à l'accueil, à la communication et au développement des relations entre les différents acteurs

3- participer, au sein d'une équipe, à la mise en place d'un projet pédagogique

4- encradrer et animer la vie quotidienne et les activités

5- accompagner les mineurs dans la réalisation de leurs projets

Accompagner l'animateur vers le développement d'aptitudes

Nous accueillons l'organisme CFAG35 pour les stages de base (formation générale) et d'approfondissement du BAFA, lors de la première semaine des vacances de février.

Amélia CHANTRAINE.

Le BDL est une association de 14 élèves volontaires de tous les niveaux. Les lycéens qui candidatent, passent un entretien en début d'année. Une sélection est ensuite réalisée pour sélectionner les meilleurs profils. Une réunion est proposée pour présenter l'association aux nouveaux arrivants et pour échanger sur les projets qui pourraient être réalisés au cours de l'année. Le BDL est organisé comme une véritable association. Une présidente et une vice-présidente coordonnent l'équipe. Un secrétaire assure l'organisation et le compte-rendu des réunions. Un community manager gère la communication via le compte Instagram. Une trésorière assure la comptabilité et gère le budget requis pour les événements.

Un bonus pour le lycée Le BDL anime la vie du lycée, assure des moments de détente conviviaux. Intégrer l'équipe du BDL permet une première prise de contact avec le monde associatif, incite à travailler en équipe, donc à s'ouvrir aux autres et à gagner en maturité.

Le planning d'année

Des événements jalonnent l'année scolaire, comme Halloween, le calendrier de l'Avent, la décoration du foyer pour Noël, la fête du lycée et le bal de promo. Pour financer ces animations, il faut que les élèves soient solidaires en participant aux ventes organisées en cours d'année (vente de sweats à l'effigie du lycée, boules de Noël, crêpes...).

Sacha LOGEAIS-JOUANNO.

Depuis son ouverture en 2010, le principal objectif du Croq'Jo est de réussir à faire manger sainement tout le lycée dans un temps restreint tout en maîtrisant le coût du repas. Pour garantir l'équilibre alimentaire et diététique des lycéens, le Croq'Jo travaille avec une diététicienne. On retrouve la proposition de repas équilibrés en vert dans les menus.

Mais le lycée doit également répondre à ses engagements vis-à-vis de la loi EGalim adoptée en 2021 qui a pour objectif de garantir une alimentation plus qualitative et durable dans la restauration collective. Concrètement le lycée a pour obligation de proposer 20 % de bio.

Engagements et valeurs : des producteurs locauxQuinze producteurs locaux livrent au quotidien le Croq'Jo. Il y a donc une interdépendance entre les réseaux d'agriculteurs et le Croq'Jo. Parmi ces producteurs on retrouve : la laiterie de Saint-Rieulait, la ferme du moulin Tisson, les pâtes d'Armor, les pommes de terre de Saint-Aaron...

Une gestion durable des déchets Il y a cinq ans le lycée a investi dans une station de compostage, dont l'objectif est de répondre à la loi EGalim en garantissant le compostage de tous les déchets organiques et donc d'éviter l'incinération. De plus, pour répondre à ses engagements environnementaux (Ecolycée), le lycée a décidé d'utiliser des produits ménagers fabriqués à Broons par l'entreprise Sanital.

Des labels qui garantissent une alimentation saine et durable La majorité des produits proposés au Croq'Jo sont labellisés Bleu-Blanc-Coeur. Ce label vise à améliorer la qualité nutritionnelle et environnementale de notre alimentation. Concrètement ces produits garantissent la bonne alimentation et le bien-être des animaux et ainsi une alimentation saine pour nous.

Une équipe jeune, motivée et volontaireAu quotidien huit personnes travaillent dans les cuisines du Croc'Jo à partir de 6h pour assurer la préparation des repas : Khadiaja, Francisco, Solène, Joana, Francoise, Emilienne, Marie et bien sûr le chef cuisinier Ludovic Calvez.

Elise FLOCH.

Depuis la rentrée, une jeune Argentine nous a rejoints dans l'enceinte du lycée. Son nom est Agostina, elle a 24 ans et vit en France depuis plus d'un an maintenant. Elle est assistante de langue.

Un soutien en cours

Agostina aide les élèves pendant les cours d'espagnol en assistant le professeur de langue. Elle peut prendre en responsabilité un demi-groupe de lycéens. Elle les fait participer et leur fait apprendre la grammaire et la conjugaison sous forme de jeux. En fait, son rôle est de faire parler les élèves le plus possible en espagnol en leur apprenant la langue d'une façon différente des cours. Ce n'est pas son premier poste. L'année dernière, elle était assistante de langue espagnole et anglaise dans un lycée briochin.

Différents publics

Agostina adore travailler avec des adolescents mais elle apprécie également les cours d'initiation et d'approfondissement qu'elle dispense tous les jeudis matin aux adhérents de l'université du temps libre (UTL) de Lamballe.

Une expérience personnelle

Agostina conçoit son séjour en France comme un plus dans sa formation professionnelle puisqu'elle est psychopédagogue.

Carla LE BRUN.

The European Bet...

In 2017, our high school decided to apply for the Erasmus+ program, an EU project allowing schools from different countries to set up exchanges between them. Our adhesion to this program gave birth to partnerships with Germany, Hungary, England, Poland and Finland. Thus, we welcomed teachers and students from the countries mentioned above and on the other hand, our partners hosted us in their respective countries. Thanks to them, we discovered their cultures, their languages and their cities. These trips lasted until 2020, when COVID-19 put an end to every single exchange. Besides, because of Brexit, the English high school couldn't work with us anymore. Thankfully, all the other partnerships resumed last year, with students and teachers being able to travel again. Moreover, new relationships with other countries have been built. Indeed, ties with Spain, Italy and Romania have been established.

... The Portuguese...

Furthermore, our city, Lamballe, had a twinning program with Oliveira Do Bairro, in Portugal, since 1998. A strong relationship was created, which gave rise to school exchanges with Portgual.

... And the Indian one

Saint Joseph and Sacré-Cœur middle school have built an amazing and durable link with Kolkata, in India. For the past seven years, our high school and the Sushila Birla Girls School created a durable friendship, despite the distance separating us.

David CRETU.

Notre salle de musculation est équipée de 14 machines, 10 vélos et 2 rameurs. En plus de cela, il y a aussi des bancs sur lesquels tu peux travailler avec des haltères et des barres.

La salle de musculation est utilisée pendant les cours d'EPS par les élèves de Seconde et de Terminale. C'est une excellente occasion pour les lycéens de découvrir et de pratiquer la musculation dans un environnement encadré.

De plus, la salle est ouverte pendant le temps de midi, de 12h à 13h ou de 13h à 14h. Les horaires sont adaptés aux besoins des élèves pour répondre au mieux à leurs demandes.

Dans cette salle de musculation, les lycéens viennent pour pratiquer une activité sportive afin de rester en bonne santé et de se maintenir en forme. Mais ce n'est pas tout. La salle est également ouverte aux élèves qui ont un projet sportif plus spécifique. Que ce soit pour améliorer leurs performances dans un sport en particulier ou pour participer à des compétitions, la salle de musculation est là pour les accompagner dans leurs objectifs sportifs. Avoir une salle de musculation aussi bien équipée et accessible, encourage les lycéens à avoir une vie saine et active. Igla PERKOLA.