2018 marque la fin de la procédure, dite APB, de poursuite d'études dans le supérieur. Découvrons la nouvelle organisation annoncée par le Ministère avec la plateforme, Parcours sup.

Révisez avec nous votre Histoire bretonne, européenne et mondiale du mois de janvier. Les guerres bretonnes en 1488, l'Euro en 1999 et le calendrier Grégorien en 1582.

Damien s'est engagé avec passion dans une formation de jeune sapeur pompier accessible dès 12 ans à Brasparts pour se donner plus de chance de devenir pompier volontaire plus tard.

Doriane vous invite à la suivre sur le circuit Bugatti pour revivre la 33e édition des 24 heures du Mans Camions qui se sont déroulées ce mois de septembre 2017.

Le 20 Janvier 1488, les ducs d'Orléans et de Bretagne sont accusés d'atteinte à l'autorité du Roi Charles VIII par le Parlement de Paris. Cette décision survient en pleine invasion du Duché de Bretagne par le Royaume de France de 1487 à 1491. Cette intervention militaire mènera au traité de Rennes qui prévoyait l'union personnelle du Roi de France à la Duchesse Anne de Bretagne, marquant ainsi la fin progressive de l'indépendance du Duché et son rattachement aux Francs.

L’euro est mis en circulation le 1er Janvier 1999 en France, au Benelux, en Allemagne et en Autriche, ainsi que sur toute la péninsule Ibérique, en Italie, en Irlande et en Finlande. Onze pays adoptent donc l'Euro. Depuis cette date, huit autres pays ont adopté cette monnaie commune européenne, depuis la Grèce en 2001, jusqu’à la Lituanie en 2016.

Le Royaume-Uni (RU), qui est pourtant officiellement membre de l’Union Européenne (UE) depuis 1973, a toujours eu des réticences à faire siennes ses directives. Ce pays n’a jamais adhéré à la zone euro et a maintenant décidé de quitter l’UE. Au final, le RU n’aura pris que ce qui l'arrangeait avant de partir. Quand ils furent enfin satisfaits des immenses bénéfices qu’ils ont engrangés sans jamais rien donner en retour. Ils ont tout compris ces Britanniques ! Mais la facture du Brexit s'avère plutôt salée...

Mathieu

2nde

Le 1er janvier 1582, le pape Grégoire XIII impose le Calendrier Grégorien pour rattraper le retard de 10 jours avec le soleil.

Il prend la suite du Calendrier Julien, calendrier solaire utilisé dans la Rome antique, introduit par Jules César en 46 av J.C. ll reste encore utilisé par certaines communautés. Les premiers pays à avoir immédiatement adoptés le calendrier Grégorien sont l'Italie, l'Espagne, la Pologne et le Portugal.

En France, Henri III l'adopte le 9 décembre 1582 car les différents parlements ont accepté ce changement plutôt tardivement.

Les pays britanniques et protestants ne l'adoptèrent qu'au 18e siècle, préférant, selon l'astronome Johannes Kepler, « être en désaccord avec le soleil, plutôt qu'avec le pape ». D'autres pays ne dépendant pas du pape ne l’adoptèrent progressivement qu'à partir du XXe siècle.

C'est actuellement le calendrier le plus utilisé au monde et nous l'utilisons encore aujourd'hui.

Des allemands au lycée

A la mi octobre, des correspondants allemands ont passé quelques jours au lycée. L’échange entre le lycée Paul Sérusier de Carhaix et le Humboldt-Gymnasium de Eichwalde, dans le land du Brandebourg, est né à partir d’un projet Comenius existant depuis plusieurs années. 29 élèves de seconde du lycée Paul Sérusier et de troisième du collège Beg Avel y participent.

Le séjour des Allemands en France s'est déroulé du 12 au 19 octobre 2017. Ils ont visité Quimper, Concarneau accompagnés des élèves de seconde, puis Roscoff et l'île de Batz. Le séjour des Français en Allemagne aura lieu du 6 au 14 juin 2018. En France, Mmes Britta Moehring et Chantal Le Bellec sont les professeures organisatrices, elles accompagneront les élèves à Eichwalde. En Allemagne, M. Stephan Wesnigk, professeur principal de la classe concernée, et Mme Johanna Erdmann, professeure de SVT francophile, ont encadré le groupe en octobre et se chargeront de l’accueil en juin.

Projet Ty Film

Les élèves d’Ulis participent à un projet avec l’association Ty film, financé en partie par le conseil régional, ce projet est planifié sur deux ans. Il a pour but de créer un film avec le réalisateur Bruno Romy. Une projection de son dernier film « Quand j'avais six ans, j'ai tué un dragon », diffusé sur France 2 l'an dernier, s'est déroulée devant les élèves du lycée le 16 janvier.

Français Langue Seconde 

Trois élèves allophones, Moussa de 2OL, Besher de 2D et Emal de 2LOG sont pris en charge par Marylène Alleno, certifiée en FLE-FLS. Ils étudieront le Français avec elle pendant quatre heures par semaine, pour un total de cent heures, financées par la DSDEN. Depuis octobre dernier, des cours de Français Langue Seconde sont assurés auprès d'enfants et d'adolescents dits EANA, élèves allophones arrivés sur le sol français depuis moins de 2 ans, parlant mal ou pas du tout le français et inscrits en milieu scolaire. Les nouveaux arrivants reçoivent un enseignement intensif de Français afin d'acquérir des compétences langagières à l'oral et à l'écrit afin de communiquer avec leurs camarades de classe puis, peu à peu, s'intégrer dans l'établissement et dans la vie quotidienne en France. Vous l'aurez compris, le rôle du FLS est d'accompagner l'apprenant au cursus d'inclusion et d'intégration la plus rapide possible pour suivre les cours pluridisciplinaires. Et enfin, pour assurer l'autonomie et la pleine réussite scolaire, des cours et des ressources sont mis à disposition sur Moodle d'un niveau A0 à B1, les apprenants et leurs professeurs y auront accès.

Trophées des Projets Industriels de Bretagne

Cinq élèves de STI2D avec l'entreprise Quénéa Energies Renouvelables de Carhaix ont participés à la 13e édition des « Trophées des Projets Industriels de Bretagne » au Lycée Colbert de Lorient. Il s’agit d’un événement récompensant chaque année les meilleurs projets collectifs entre jeunes, écoles, et entreprises de Bretagne. Cette année, treize projet était en course. Celui de nos élèves concernait une interface domotique "Domoduino 4.0". Ils n'ont pas été primé mais félicitons-les pour leur participation de qualité.

Mathieu 2nde

Le lycée a fait l'acquisition d'un studio radio. Il est installé en A103, et comprend quatre casques et micros, une table de mixage, des amplis, bref, tout ce qu'il faut pour réaliser une émission complète de qualité « professionnelle » - au moins sur le papier !

Le projet d'une radio au lycée, qui serait diffusée sur le net, fait son chemin. M. Kerguillec et Mme Busson, tous deux anciens journalistes, ont déjà commencé à travailler avec les élèves, pour leur faire découvrir le fonctionnement des médias et d'une radio. Plus tard, il faudra lui trouver un nom, une identité, imaginer des sujets de reportages ou d'émissions originaux, des invité(e)s, etc.

L'objectif est que les profs, en classe, et les élèves, sur l'heure de midi ou le soir pour les internes, s'emparent peu à peu de cet outil, afin d'aboutir à une vraie radio de qualité dans un ou deux ans.

Avis aux (radios) amateurs !

Julien KERGUILLEC.

Professeur de lettres

Auparavant, sur la plateforme APB, on choisissait avant fin mars, 24 vœux. On envoyait ensuite les dossiers dans les écoles retenues avant mi avril. Puis on avait jusque fin mai pour changer l'ordre de nos vœux. Venaient ensuite les réponses en 3 phases en juin et juillet.

Pour 2017-2018

Désormais, il faudra se connecter sur la plateforme numérique Parcours sup et respecter 4 étapes : information, sélection de dix vœux, réception et acceptation des voeux et en cas de réponses négatives la procédure complémentaire. Pour chaque réponse, on peut avoir non, oui ou oui si. Le oui si sous-entend d'accepter un module de remise à niveau organisé différemment dans les universités. A chaque réponse de vœux, l'élève répondra oui ou non mais ne pourra garder qu'un seul choix au fur et à mesure des réponses.

Pour la 1ere phase, l'Onisep a développé un nouveau site pour aider les jeunes à choisir parmi les filières et formations, www.terminales2017-2018.fr

D'autre part, c'est maintenant deux professeurs principaux qui encadreront les élèves de terminales dans leur orientation.

Futurs étudiants, respectez bien les dates des phases.

Teddy 2MELEC et A. P.

Quentin, élève de la classe ULIS (unités localisées pour l'inclusion scolaire), passionné par la mécanique est venu se joindre à la classe des secondes maintenance véhicule voiture particulière. En équipe avec Eva et Yoann deux vendredis matin, il a participé à la vidange et au démontage d'un moteur, de quoi ravir notre mécanicien en herbe. Merci aux élèves qui ont échangé avec Quentin sous la houlette de Jean Pierre Clacbec, professeur de maintenance automobile.

Voici une petite présentation de la classe ULIS rédigée par les élèves.

"Nous sommes scolarisés dans le dispositif ULIS. Si nous sommes dans cette classe, c'est parce que nous avons des difficultés d'apprentissage qui sont reconnues par la MDPH ( Maison départementale pour les personnes handicapées). Parfois certaines familles peuvent être perturbées par cette orientation même si elle peut n'être que temporaire. Nous travaillons à notre rythme, c'est pour cela que nous sommes peu nombreux en classe, 10 élèves maximum. Nous sommes ici pour créer notre projet professionnel. Certains d'entre nous sont accompagnés par des éducateurs. Nous faisons beaucoup de stages en entreprise pour découvrir différents métiers et choisir notre voie professionnelle."

Vendredi 13 octobre, la remise des diplômes a débuté par un discours du proviseur, puis les professeurs ont accueilli les élèves qui ont pu récupérer leur diplôme. Cet événement a permis aussi aux anciens élèves d'évoquer leur orientation de cette année. Un pot d'amitié a clôturé cette cérémonie.

Mardi 28 novembre, une visio-conférence d'après-bac « Les mardis d'Azimut » s'est tenue au lycée en direct avec l’UBO de Quimper. Cette conférence a rassemblé une cinquantaine de personnes. Le principal thème abordé a été « Préparation, organisation, perspectives : des repères pour les parents, discours institutionnel et témoignages d'étudiants ». Cette conférence est en lien avec le Salon Azimut de 2018. Le slogan de cet événement est « Salon Azimut : l'incontournable dans le parcours d'orientation vers le post-bac. ». Il aura lieu les 1, 2 et 3 février 2018 au Parc de Penfeld, à Brest.

Ce premier numéro de l'année scolaire 2017-2018 a été réalisé par 8 élèves de secondes professionnelles (conduite routière, logistique, électrotechnique et maintenance véhicule) et 7 élèves de différentes secondes générales.

Ils ont réalisé ce numéro 23 sur le temps scolaire de l'accompagnement personnalisé. Ils étaient encadré par Aude Pascoët professeure documentaliste et rédactrice en chef. Ce projet bénéficie du soutien d'un journaliste bienveillant, Edouard Maret, dans le cadre d'un partenariat avec l'association pour le développement du journal des lycées.

Avis aux lycéens

férus de journalisme et à toute l'équipe éducative, ce journal vous est ouvert, il suffit d'envoyer votre article rédigé avec une photo par mel à PtitPaulo29@gmail.com avant le 12 février 2018 pour le prochain numéro, N°24.

Il y a un club de foot au lycée mais c'est plutôt un passe temps car ce n'est pas pendant toute l'année. Ca démarre en décembre et tout dépend ensuite de nos succès. Je trouve cela un peu nul car je suis sûr qu'on pourrait faire des matchs toute l'année si on avait une équipe à l'UNSS.

Entretien à propos de l'UNSS

J'ai interrogé M. Marty, professeur de sport au lycée et organisateur de rencontres footballistiques.

M. Marty est professeur de sport au lycée depuis 15 ans. Il a voulu être professeur depuis tout petit. Ses sports préférés sont le foot, le handball. Il s'occupe aussi de l'UNSS, le sport scolaire de compétition. Son rôle est d'emmener les élèves en tournoi et les entraîner. Il pense que l'UNSS sert approfondir le sport, à jouer contre plusieurs adversaires. Jouer en compétition scolaire permet de mieux comprendre les règles des sports. C'est aussi une manière d'intéressé davantage les élèves à la pratique sportive.

Le foot un plaisir

Le foot me tient à cœur car j'en fais depuis je suis tout petit. Je joue dans le club US de Callac en senior. S'il y avait une équipe à l'UNSS, je pourrai voir comment cela se passe avec des jeunes de mon âge. Cela doit être différent que de jouer avec des adultes. Je suis sûr que de nombreux élèves seraient d'accord pour au moins 3 matchs ou entraînements par mois. Le foot ça passionne beaucoup de personnes même si certains disent que c'est pour les « tapettes » car certains joueurs professionnels simulent QUOI quelquefois. Il y a des personnes qui comparent le foot et le rugby et disent que le rugby c'est pour les VRAIS hommes. Ca me gène car ce n'est pas vrai, c'est juste que le rugby est plus physique.

Je suis sur que si vous venez au club de foot, vous pourriez vous y amuser. Vous pourriez y retrouver d'anciens amis de collège et jouer contre eux ou avec eux. Venez essayer, vous ne le regretterez pas.

Curtis 2MVP

Pourquoi je me suis lancé dans la formation de mécanicien ? Tout simplement parce que je suis passionné de mécanique depuis mon plus jeune âge, pourtant personne de mon entourage n'est mécanicien. Je pratique cette activité chez moi sur ma moto durant mon temps libre.

10 heures d'atelier !

Je suis en formation mécanique auto même si la mécanique moto m'intéresse. Je trouve que si on sait réparer une voiture on est capable de réparer une moto. Dans la semaine il y a dix heures d'atelier mais aussi des cours plus théoriques sur les techniques automobiles. Ce que je préfère à l'atelier c'est la partie moteur, je trouve ça plus intéressant que travailler sur la partie électrique. Je pense qu'il n'y a pas assez d'heures d'atelier au lycée. Si ça ne tenait qu'à moi je préférerais faire que de l'atelier car ce sont des travaux pratiques où on manipule. La formation de mécanique se déroule pendant trois ans pour un bac pro ou bien sur deux ans en CAP. Après le bac, on peut continuer ses études en BTS maintenance automobile ou en formation spécifique de constructeur automobile.

La formule 1

Plus tard j'aimerais ouvrir mon propre garage ou bien être mécanicien pour une écurie de formule 1. Pourquoi cet intérêt pour la F1 ? Tout simplement parce j'aime les voitures de formule 1, leur design et leur mécanique précise. Il existe des formations complémentaires de mécanicien de compétition.

Si je travaille dans un garage, ce sera pour réparer des voitures et pas pour faire du tuning. Le tuning fait à mon goût trop « Jacky tuning », le Jacky tuning est un individu qui personnalise à outrance et de manière ostentatoire son véhicule automobile, et/ou qui en use de manière dangereuse pour les autres usagers de la route. J'aimerais, pour commencer, travaillé comme mécaniciens dans une concession.

Et vous, pourquoi ne vous lanceriez-vous pas dans cette formation ?

Bastien

2MVP

Avant la chute de l'Empire Romain d'Occident, certains habitants de l'Armorique s'étaient enrôlés dans une carrière militaire, de ce fait, lorsque l'Empire s'est effondré en 476 après Jésus-Christ, les habitants d'Armorique sont revenus s'installer en Bretagne.

Mais lorsque les troupes romaines se sont retirées, elles ont massacré beaucoup d'habitants Armoricains et par conséquent, le pays ne pouvaient plus fonctionner normalement.

Colonisation anglaise

Plus tard, des bretons venant de Grande Bretagne sont arrivés en Armorique et se sont mis à coloniser cet endroit, faisant un mixte de population avec les personnes qui habitaient déjà sur place.

Les Anglais arrivant en Bretagne ont cherché à recréer des morceaux de chez eux (par exemple en reprenant le nom de leur région d'origine, La Cornouaille).

C'est grâce à ce mélange de population et de culture que le site historique de l'Armorique est devenu la Bretagne. Une certaine langue avec quatre dialectes s'est imposée permettant aux habitants des divers pays bretons de se comprendre approximativement.

Une importance sociale grandissante

Après le VIe siècle, la Bretagne acquiert une importance sociale. Par exemple, la noblesse Bretonne était plus nombreuse et tout aussi importante que la noblesse Française ou Anglaise. A l'inverse, il y avait une vraie égalité homme-femme en Bretagne. En France ou en Angleterre, une femme ne pouvait pas gouverner seule le pays.

Les rois Français et Anglais étaient mariés à des femmes qui devenaient reines mais n'avaient quasiment aucun pouvoir de commandement.

A l'inverse, en Bretagne, il y a déjà eu une femme gouvernant elle même le pays comme, par exemple, la duchesse Anne de Bretagne.

Richesses...

Sous ce royaume féodal, la Bretagne se mit à avoir une importance économique. A l'inverse de la France, l'argent était bien réparti dans le pays, il y avait peu d'inégalités de richesses et donc par conséquent, moins de pauvreté. La Bretagne produisait énormément de lin dont le commerce lui assurait prospérité.

...Pillages

A l'inverse, les invasions normandes au IXe siècle ont fait considérablement baisser les richesses de la Bretagne. Lorsque les Normands arrivaient pour piller, les premiers bâtiments ciblés étaient les églises, chapelles et cathédrales car c'était à ces endroits où étaient regroupés le plus grand nombre de richesses. Il y eu aussi des guerres de religions et entre ducs qui, ont finalement, bien ruinées les trésors de la Bretagne.

Ces même invasions ont nuit également à la stabilité de la langue Bretonne. Tout simplement parce que quand les bâtiments religieux étaient attaqués, les moines, les abbés et les curés fuyaient et partaient s'installer ailleurs, et quittaient en général la Bretagne.

Lorsque ces attaques ont cessés, certains prêtres ou moines sont revenus en Bretagne connaissant mieux le Français et parlant maintenant plus Français que Breton. Mais malgré ça, la langue Bretonne a réussi à se maintenir.

Parenthèse culturelle

La culture celte était notamment implantée presque partout en Europe (France, Turquie, Hongrie, Espagne comme les Galiciens qui se désignent encore celtes actuellement...). Elle a réussi à percer lors des échanges commerciaux et culturels au fil des migrations.

Prenons le cas des celtes Gaulois. Dans l'age de Bronze, les Gaulois étaient forts doués pour travailler et fabriquer des outils en bronze. Du fait de ce commerce avec d'autres pays lointains, on retrouve encore des têtes de haches Gauloises en Turquie et on sait que de nombreux celtes s'y sont installés.

Religion et culture en dispersion

Les Bretons, dès la création de la Bretagne, sont devenus chrétiens. Avant, c'était la religion polythéiste romaine qui dominait la rase campagne. Ensuite, l'évangélisation a aussi aidé à disperser la

culture celte en Europe, comme en Espagne en Galice.

Marek.

2nde B

Description et explication de la carte

Venetes = Vanetais ; Namnetes = Nantais ; Riedones = Rennais ; Coriosolites = Carhaisiens.

Cette carte représente les différents pays sous leurs noms bretons ainsi que les principaux axes de déplacements.

Ce festival a débuté grâce à une quinzaine de copains, surveillants au collège Beg Avel ou au lycée Paul Sérusier dont Christian Troadec (actuel maire de Carhaix) qui organisent une fête à Landeleau en 1992 et la baptise alors ironiquement les Vieilles Charrues en clin d'oeil aux Vieux gréements de Brest. Ce festival organisé par ces jeunes bénéficie d'aide de bénévoles. Ainsi, une remorque de tracteur est utilisée en guise de scène. Cette toute première édition rassembla 500 invités car chaque organisateur pouvait emmener dix copains. Cette bonne ambiance donna l'envie de recommencer l'année suivante.

En 1993 pour le financement de cette deuxième édition le syndicat d'initiative proposa une aide financière au cas ou ils ne rentreraient pas dans les frais, ce festival ce déroula au bord de mer et fut nommé « les Vieilles Charrues du bord de mer ». L'année suivante, une programmation ressemblant à un vrai petit festival apparaît avec en tête d'affiche Dolly & Co et Les Satellites. Le nombre de festivaliers se multipliera par dix par rapport à la première édition.

A Carhaix, dans la ville

C'est en 1995 que le festival se déplaça au champs de foire à Carhaix, avec un thème électrique et éclectique. A cause des élections municipales, cette édition aurait pu être annulée. Dans la presse, une annonce est publiée pour permettre l'augmentation de bénévoles et c'est plus de 450 personnes qui donneront réponse à cette annonce. C'est à ce moment que les Vieilles Charrues rajouteront un jour de fête passant de 2 jours à 3 jours, ce qui occasionna de fortes dépenses proches du million de francs. La programmation importante avec les Blues Brothers et Silencers en tête d'affiche, déplaça 5500 festivaliers. Le prix d'une place à cette époque était comprise entre 30 et 50 francs (4,50 € et 7,50 €), c'est donc 12000 festivaliers qui entrent dans cette édition marquante. Le camping de la vallée de l'Hyeres permettait de loger les festivaliers n'habitant pas le pays.

Édition de 1996, les Vieilles Charrues ont accueilli 8000 personnes dont 1000 personnes de plus pour assister au concert des Innocents sur la première journée. On peut alors constater une augmentation importante de festivaliers chaque année.

1997, pour la sixième édition, la place dans le centre ville croule sous 40000 personnes et 5000 en dehors car elles n'avaient pas de places mais en profitaient tout de même. A la première journée 12000 assistent au festival, à 18 heure la sécurité refuse l'entrée aux festivaliers car la foule est trop pressante. Suite page 8.

Le breton a été fortement parlé jusqu'au début du XXe siècle mais les élites ne le parlaient déjà presque plus. Sous Jules Ferry au XIXe, les gens étaient contraints à parler uniquement le Français. Les femmes pour assurer l'avenir de leurs enfants, ont adopté le français, nuisant ainsi à la stabilité de la langue bretonne. Depuis ce temps, le breton perd des locuteurs tous les ans. Durant la seconde guerre mondiale, parler breton était très mal vu et quand les combattants revenaient chez eux, ils avaient perdu l'habitude de le parler. aujourd'hui, nous perdons environ 5 à 6000 locuteurs Bretons par an. Cela peut être dû au fait que pour beaucoup, il n'y a plus aucun intérêt à parler et apprendre le breton.

Apprendre le breton, est-ce facile ?

Vous pouvez apprendre plutôt facilement le breton. Par exemple, à l'école mais pour cela, il faut encore être scolarisé. Plusieurs associations proposent des cours aux adultes comme KLT, Mammenn, Eco-Breton etc. Pour s'améliorer en breton, le mieux est de saisir chaque opportunité de parler et de rendre cette pratique quotidienne. Le fait d'être avec des formateurs et des gens qui parlent bien breton peut aussi beaucoup aider. Comme pour tout, la pratique est cruciale pour pouvoir utiliser cette langue, ne pas aussi hésiter de lire en breton ou écouter les émissions bretonnes.

L'option Breton au Lycée

L'option Breton au Lycée Paul Sérusier existe depuis en 1967 avec une interruption entre 2009 et 2016. L'option a connu bien des remous. Certaines années, il y avait plus de vingts personnes, et malheureusement, par moment, comme cette année de réouverture, trois élèves. Le but de l'option Breton est de donner envie de parler breton. Pour apprendre au Lycée, M. Marrec préfère une façon ludique pour enseigner à ses élèves. Faire des jeux de société permet aussi de travailler de façon "non standard" et de varier les plaisirs.

Entretien avec deux élèves

" Cette façon ludique et innovante d'apprendre est plutôt efficace. Le fait d'avoir des notes bien structurées et de ne pas avoir de longues phrases interminables aide à la compréhension. Je trouve que le breton est une langue plutôt intéressante mais que le professeur joue beaucoup sur la perception d'un cours. A vrai dire, vu le petit nombre que nous sommes cette année, si le professeur n'avait pas été sympathique, je pense sincèrement que j'aurai arrêté l'option." Marek

"Je trouve que la façon ludique aide à apprendre plus facilement mais il n'y a pas assez d'élèves, ce qui laisse un manque d'ambiance, même si on s'entend très bien ensemble. Comme mon camarade, si le professeur n'avait pas été agréable, je n'aurai pas continué le breton. J'ai choisi de suivre l'option Breton car j'étais curieux de voir à quoi ressemblait la langue bretonne." Audren

Marrek

2nde

J'ai pu m'entretenir par téléphone avec Christian Troadec à propos du festival.Avez-vous vu une évolution sur les Vieilles Charrues ?

Tout particulièrement d'abord par l'importance du festival puisque il n'a pas cessé de grandir depuis sa création quand on a commencé il y a 25 ans en 1992. Aujourd'hui le festival enregistre des records de fréquentation. Cette croissance est exceptionnelle pour un si petit festival au départ et en si peu de temps. Il a grandit au fil du temps (à Landeleau -au champs de foire - et sur le site actuel de Kerampuil).

Voyez-vous une ambiance particulière en dehors du site ?

La ville change du tout au tout pendant et même avant le festival quasiment un mois avant l'arrivée des techniciens pour monter le site. L'ambiance apparaît dans l'avant du festival et dans la période du festival et évidemment pendant cette période ce sont des milliers et des milliers de jeunes qui débarquent dans les rues de Carhaix et qui envahissent les bars et les restaurants et aussi les grandes surfaces. C'est la fête dans toute la grande rue et la petite ville devient une grande ville qui accueille entre 60 000 et 80 000 personnes par jour.

Avez-vous du mal à loger toutes les personnes ?

Tout d'abord les campings installés pour le festival sont conséquents (40 000 campeurs tous les soirs) et puis il y a tous ceux qui logent chez les habitants, dans les maisons et les jardins. D'autres vont dans les hôtels et cela crée de la richesse aux alentours.

Mathilde 2nde

Interview d'un logeur ayant eu une expérience lors des deux éditions dernières.

Combien logez-vous de personnes durant les quatre jours du festival ? Nous logeons une vingtaine de personnes.

Quels sont vos tarifs ? Nous demandons quinze euros pour une nuit et cinq euros par petit-déjeuné.

Que mettez vous à disposition pour les festivaliers ? Nous mettons à disposition notre terrain et notre salle d'eau.

Viennent-ils en famille, en amis ou seul ? Pour les personnes que nous avions logés, ils étaient entre amis.

Participez-vous au festival également ? Oui, nous participons au festival pendant ces quatre jours intenses.

Avez-vous logé des journalistes, des bénévoles ? Non, malheureusement.

J'ai interviewé une jeune festivalière de 16 ans.

Pourquoi allez-vous au Vieilles Charrues ? J'y participe car étant Carhaisienne cela est un événement annuel qui nous permet de reprendre contact avec d'autres festivaliers, cette ambiance nous ne la trouvons nulle part ailleurs.

Allez vous en famille ou entre amis ? Pour mes premières Vieilles Charrues, j'y allais avec mes parents mais depuis mes 15 ans, j'y vais avec mes amis.

Dormez-vous sur place (camping) ou autre ? Je dors chez moi à Carhaix.

Qu'est ce qui vous plait ? Les Vieilles Charrue sont un ensemble, l'ambiance, les gens, le site.

Comment qualifieriez-vous les Vieilles Charrues ? Je dirai bonne ambiance, amitié et unique.

Puis à Kerampuil

En 1998, le champs de foire est trop petit et cela tombe bien car 30 hectares sont disponibles plus loin. Le festival déplaça ses dates du premier week-end de juillet au troisième, permettant aux jeunes de passer leurs examens et assister à la coupe du monde. Les bénévoles ne sont pas payés mais ont de nouveaux privilèges dont des concerts privés. 1999, la plus grande édition jamais faite, 6 jours de festival, tout s'agrandit, programmation impressionnante et 100 000 festivaliers. Les vieilles charrues deviennent le plus grand festival de France.

2000 une année difficile

En 2000, malgré une édition plus impressionnante que l'année précédente, le festival faillit disparaître. En 2001, Les Vieilles charrues sortent le grand jeu avec une édition plus que marquante pour leur 10 ans. En 2006, passage sur quatre jours avec, en tête d'affiche, Johnny Hallyday. En 2012, le plus grand festival de France fête ses 20 ans en couleur et en feu d'artifice leur anniversaire. Les éditions suivantes continuèrent ainsi en se développant chaque année et en laissant des souvenirs à chaque festivalier.

La programmation de 2018

Le festival 2018 se déroulera du jeudi 19 au 22 juillet avec une tête d'affiche impressionnante : le groupe mythique fin des années 70, Depeche mode. Ce groupe précurseur de la musique électronique, né à la fin des années 70, en pleine vague New wave, fera l'ouverture du festival le jeudi. La billetterie a été ouverte le 13 novembre. Le prix du pass augmente de 45 € à 54 € cette année (hors frais de location), 164 € pour les quatre jours avec, comme toujours, une billetterie de Noël dès mercredi 13 décembre. Le 24 novembre, le compte Instagram des Vieilles Charrues a annoncé le thème de cette nouvelle édition : ce sera l'été indien ! A part être le titre d'une chanson de Joe Dassin, c'est surtout une période de temps ensoleillé et radouci, après les premières gelées de l'automne et juste avant l'hiver. Bizarre, bizarre, en plein été ! Ils dévoilent, par la même occasion, l'affiche officielle de 2018. Une collaboration avec la marque française "Maisonmqg" qui a créé une large gamme de tee-shirts et accessoires pour se mettre dans l'ambiance et dans le style du festival.

Lucile

2nde

Nous avons vécu une mauvaise expérience de l'organisation des Vieilles Charrues. Nous avons souhaité entrer en contact avec l'organisation des Vieilles Charrues. Nous avons donc tenté un premier appel téléphonique et réussi à communiquer. On nous a demandé nos noms et prénoms et nos téléphones et ont nous a promis un rendez-vous. Il n'a jamais eu lieu malgré les autres appels que nous avons effectués, sans, malheureusement, obtenir la moindre réponse. Dommage... Nous espérions, pourtant, bénéficier d'un entretien avec les organisateurs tant notre soucis était bien de valoriser le festival. Nous avions travaillé et bâti un questionnaire. Pour rien ! Nous sommes jeunes, certes, mais nous sommes aussi des festivaliers et nous aurions aimé un peu plus de considération de la part des Vieilles Charrues.

Oui, vraiment, dommage... D'autant que c'était déjà arrivé à d'autres élèves rédacteurs il y a cinq ans...

Lucile, Eva et Mathilde

Je commande sur internet car comme ça je peux rester chez moi tout en commandant mes habits sur mon site préféré « la boutique officielle » qui me propose un large choix. Je préfère cela car sinon j'y vais avec ma famille et cela prend trop de temps. Mes marques masculines favorites sont souvent celles à la mode telles que Nike, Lacoste, Ralph Lauren. Ces marques proposent des vêtements de qualité et je trouve que ça reflète bien ma personnalité. Je n'ai pas de couleurs favorites, j'aime autant les unis que les motifs. Mais ma garde de robe actuelle contient davantage des sweaters à motifs variés en couleurs. Je choisis mes vêtements pour moi mais je suis également attentif à ce que les autres pensent de mon look.

Un budget conséquent

Je dépense environ 200 à 400 euros par mois ce qui est beaucoup par apport à mes camarades. Mes parents sont plutôt cool sur le sujet et ils acceptent facilement de financer mes achats.

Qu'en pensent les autres ?

J'ai rencontré Damien, 15 ans, qui pense exactement l'inverse de moi. Pour lui, la mode n'est pas quelque chose d'important. « A chacun son style vestimentaire ». De plus, il trouve que dépenser autant par mois est peut-être un peu trop…

J'ai rencontré aussi plusieurs filles de 16 ou 17 ans. Voici ce qu'elles m'ont dit : « le style vestimentaire est important car effectivement on voit la personnalité du garçon. Mais dépenser autant est peut-être un peu excessif. Malgré tout si on avait autant d'argent, on le ferait ! »

Et vous, qu'en pensez-vous…

Mehdi 2MVTR

Depuis tout petit je rêvais de devenir pompier, depuis que la foudre a frappé ma maison et que les pompiers ont éteint l'incendie avec la grande échelle. En lisant le journal, j'ai découvert qu'il y avait une formation pour les plus de 12 ans. Je l'ai intégrée depuis trois ans pour avoir plus de connaissances afin de devenir sapeur pompier volontaire plus rapidement. J'ai pris connaissance des risques et je suis près à les confronter et à sauver les personnes en danger. Cette formation dure pendant quatre ans et se déroule un samedi sur deux de 8 h a 12 h. A la fin de la dernière année, il y a un brevet afin de valider le cycle comme en classe de troisième au lycée.

Entretien avec un formateur

Présentez-vous à nos lecteurs. 

Je m'appelle Stéphane Quentelle pompier à Brasparts, salarier agricole à Pleyben. J''ai 30 ans. J'ai signé mon engagement le 6 mai en 2009 et je suis caporal.

Depuis combien de temps êtes-vous pompier ?

Je suis sapeur pompier depuis 8 ans.

Pourquoi êtes-vous devenu sapeur pompier ?

Je suis devenu sapeur pompier par pur hasard. J'avais un peu de connaissance dans le milieu et je voulais rendre service à la population. 

Qu'est-ce qui vous a amené à être formateur ?

Quand la session a commencé avec l'un de mes collègues, on en a parlé ensemble. J'ai pris la seconde année. C'est pour transmettre un savoir et pour former des futures pompiers. 

Comment avez-vous ouvert cette formation ?

La formation a ouvert grâce au groupement de Morlaix qui a décidé d'ouvrir cette formation avec l'accord des chefs de centre de Brasparts, d'Huelgoat et de Carhaix.

Qu'est-ce qui vous plait dans cette formation ?

Transmettre un savoir aux jeunes et voir leurs évolutions de semaines en semaines. 

Aimeriez-vous changer et/ou ajouter des choses dans cette formation ?

J'aurai aimé qu'il y ait des journées complètes.

Et vous aimeriez-vous devenir devenir pompier plus tard ? Les casernes ont toutes besoin de pompiers volontaires...

Damien 2MVTR

Cette édition permettait de voir les 200 camions décorés et exposés dans les allées du village. Ils ont défilé le samedi soir et le dimanche midi. Dans le village, on trouvait aussi des boutiques des vêtements, des maquettes de camions, des accessoires.

26 camions en piste

Un plateau exceptionnel de concurrents, des bagarres sur la piste, une ambiance qui a fait exploser l'applaudimètre, des rebondissements… Des grilles de départ affichant complet, du spectacle à toutes les courses… Cette édition 2017 a régalé un public venu en nombre au Mans. En 2017, l'épreuve du Mans de la Coupe de France camions a été l'une des plus belles depuis longtemps. D'emblée les courses se sont disputées à guichet fermés, avec 26 camions en piste pour 26 concurrents possible.

4 victoires sur 4 possibles

La nouveauté cette année a été le Bristish Truck Challenge qui a offert un beau spectacle.

Côté course, le grand vainqueur du week-end est Anthony Janiec qui, dans son MAN jaune Lion Truck Racing, a remporté quatre victoires sur quatre possibles, prouvant une nouvelle fois le talent du jeune garçon et le très haut niveau de la Coupe de France.

Les deux autres grands pilotes se sont Thomas Robineau (MAN) et Lionel Montagne (Renault Trucks) ont eux aussi prouvé que le spectacle était possible sans rimer avec passage en force.

Une femme

Le gagnant du Championnat d'Europe est de Steffi Halma ( la seule féminine du plateau). Elle gagne la première course devant Jochen Hahn et Norbert Kiss. Propres, exemplaires, ce sont des pros, et avec des exemples comme eux, la jeune génération a de quoi apprendre dans de bonnes conditions.

Un jeune espoir

La belle performance de Théo Calvet (Lion Truck Racing). Pour sa première participation à tout juste 16 ans, il confirme ses bons résultats de Nogaro, avec une quatrième place lors de la première course du samedi et une victoire en Challenge Espoir.

Doriane 2CTRM

Le handball est un sport collectif joué à la main où deux équipes de sept joueurs s'affrontent avec un ballon sur un terrain rectangulaire de 40 par 20 mètres. Il faut marquer des buts dans le camp adverse comme au foot.

Entretien avec Théo

« le handball pour moi est une passion depuis mes 10 ans. Je l'ai découvert à la fête du sport organisée à Paimpol. On pouvait participer pour tester beaucoup de sports différents. J'aime particulièrement ce sport parce que c'est un sport de contacts, plutôt vifs même si certains coups sont interdits comme les coups sur la tête et les croches pattes.

Je suis gardien de but car j'ai ainsi plus l'occasion de toucher la balle. Je porte le n° 1 comme de nombreux goals. Je joue en moins de 18 ans.

Mon club

Mon club est Paimpol et s'appelle CSAL Paimpol. Je l'ai choisi car c'est juste à côté de ma maison. L'ambiance est super bonne et les joueurs se connaissent tous. On est 11 dans mon équipe. Nous sommes allés trois fois en finale départementale et nous en avons gagné deux ».

Entretien avec la présidente Claire

Je suis présidente depuis deux ans. Il y a plus de 170 licenciés. Le club existe depuis 20 ans et évolue de plus en plus. Je trouve très intéressant de gérer les fonctions du club, les équipes et les matchs. Il y a trois équipes qui évoluent en région.

Theo D.

2LOG

On peut commencer la pratique du rugby à partir de 7 ans. Tous les 2 ans les joueurs changent de catégories jusqu’à la catégorie senior. Ces joueurs, qui ont généralement entre 18 et 25 ans, ont une bonne expérience sur le terrain.

Le club de Lannion

Les entraînements de rugby se font généralement le week-end ,le samedi entre 9h et 12h . Les jours de match se situent le dimanche ou le mercredi après-midi mais c'est rare car parfois les joueurs de l'équipe ont cours. Il est possible également qu'il y ait des matchs pendant les vacances. Parfois, le club organise des sorties pour aller voir des matchs de professionnels. Les entraîneurs du club de Lannion espèrent transmettre leur passion pour le rugby, certains dirigent jusqu'à cinq équipes.

Souvent des blessures

Malheureusement, il y a souvent des blessures au cours des matchs à cause de violents chocs ou de problèmes de santé. Certaines blessures peuvent laisser des traces à vie comme les côtes cassées, des mâchoires brisées… Pour pouvoir participer en compétition, une visite médicale est obligatoire tous les trois ans .Elle permet de voir si les joueurs sont en état de jouer. L'équipement recommandé pour ce sport sont des protèges tibias pour éviter les blessures au niveau des jambes très malmenées durant les matchs, les gants de protection, des protèges dents pour éviter de se les casser, et bien sûr un short, un t-shirt et de grande chaussettes pour cacher les protèges tibias. Sans oublier les chaussures à crampons comme celle du foot.

Parfois viril !

Au cours des matchs, il y a parfois des disputes entre certains joueurs. Dans ce cas, le match est interrompu et reprend peu après sauf si les joueurs ne veulent pas continuer le match par peur que cela tourne encore mal.

Je vous invite à découvrir ce sport. Car si vous êtes comme moi, une brute, et aimez vous défouler, c'est un sport pour ça. J'aime ce sport car quand je jouais au rugby, l'équipe dans laquelle j'étais, était très soudée car les joueurs s'entendaient bien. Le fait que le rugby est un sport que mes parents pratiquaient quand ils étaient plus jeunes, à force d'entendre mon père en parler en famille, je me suis dis pourquoi ne pas essayer moi aussi... Pourquoi pas vous ?

Théo J.