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Indignez-vous page 7
Viol et tenue sexy, quel rapport ?!
Les femmes sont toujours critiquées sur leurs vêtements, trop couvrant ou au contraire pas assez. Et cela justifierait même les agressions sexuelles...
Sensibilisez-vous page 3
La transidentité Kézako ?
Comme chaque année, une affiche est apposée dans les établissements scolaires pour sensibiliser à l'homophobie. Cette année une attention particulière est portée à la transphobie.
Campagne de sensibilisation dans les lycées
Shootez page 11
Un mercato historique
Les Mercato se succèdent et ne se ressemblent pas. Cette année aura été marquée par la valse des " Goat " Messi, Mbappé et Griezmann.

N° 35 - Décembre 2021 | www.lycee-serusier.fr |
Gros plan page 4
Devenir prof aujourd'hui
La formation des enseignants a toujours suscité de nombreuses critiques. De nombreuses réformes se sont succédées. Découvrez la dernière réforme en date et les conditions de la première promotion en juin 2022 de ces " nouveaux " professeurs.
Lycéens ! Ce journal est le vôtre…
Certes, les numéros du P'tit Paulo sont réalisés pendant les heures d'accompagnement personnalisé avec les élèves de premières générales. Mais cela n'empêche nullement les autres élèves de participer.
Vous avez trois solutions pour participer à ce journal. Soit venir le mardi de 15h30 à 16h30 au CDI pendant que les rédacteurs de premières réalisent leurs articles. Soit en discuter avec la professeure-documentaliste Aude Pascoët les lundis et mardis au CDI. Soit envoyer un article et sa photo à ptitpaulo29@gmail.com.
La forme de l'article
Selon la place occupée dans le numéro, votre article devra comporter 1500 ou 2000 signes. Sur les logiciels de traitement de texte, on peut afficher le nombre de signes. Ne mettez pas votre texte en forme (gras, souligné, etc.). Indiquez le titre. Indiquez un chapô (ou une accroche) : une phrase ou deux permettant de comprendre ce dont vous allez parler et son intérêt. Bref, donnez envie de lire la suite. Votre article devra comporter des paragraphes donc des retours à la ligne mais ne sautez pas de lignes.
Et enfin n'oubliez pas de signer avec un prénom (ou pseudonyme) et niveau (2nde, 1ere, terminale, BTS, personnel).
Les photos
Vous devez joindre aussi une ou plusieurs photos. En format jpeg et pesant au moins 500 KO. Indiquez une légende : qu'est-ce que représente la photo, qui y figure (prénom et/ou nom) et à quel titre ? Indiquez les crédits : nom du photographe, si c'est vous, vous pouvez indiquer votre nom ou Lycée P. Sérusier.
Donc vous enverrez au minimum deux fichiers. Un fichier texte comprenant votre article et les informations sur vos photos. Et un ou plusieurs fichiers jpeg pour vos photos.
A tout moment vous pouvez bénéficier des conseils de notre journaliste référent, Edouard Maret.
Le comité de rédaction se réserve le droit de publier ou non votre article.
Calendrier
Le numéro 36 paraitra en janvier 2022. Pour y participer il faut envoyer vos articles avant le mardi 4 janvier. Pour le numéro 37 de mars 2022, la dernière limite est le mardi 22 février.
Dernière information, quand nous corrigeons les articles, nous appliquons l'orthographe réformée de 1992, référence depuis 2008 pour le primaire. Si vous souhaitez écrire en orthographe inclusive, vous le pouvez aussi.
Le lycée à l'heure du DD
En matière de développement durable au lycée, découvrez ce qui a déjà été réalisé l’an dernier et les projets envisagés en visionnant la vidéo réalisée par le groupe des éco-délégués à https://drive.google.com/file/d/1FCgEasB-5M0Ff_YUGoWKdwsFLV16rn6T/view
Refuge pour la biodiversité
Le projet du lycée Paul Sérusier comme refuge à la biodiversité a été retenu en juillet 2021 par la région. Viviane Troadec, chargée d’études à la LPO va nous accompagner dans cette démarche pendant un an. Certains volontaires sont déjà en activité pour créer le refuge et mener une enquête pour étudier la présence de hérissons sur le site. En parallèle, des groupes en SVT s’impliqueront dans une étude de science participative ou créeront les premiers aménagements (hôtels à insectes, nichoirs, mangeoires pour écureuil…). Pour plus d'information, contactez Nadine Pousset Stutz, Axelle Vedere et Yves Lévénez.
D'autres actions
Le CDI a relayé ce projet en proposant un mot croisé sur les notions du développement durable à travers 24 livres.
Un transport vers la société Cellaouate est prévue en novembre. Cette entreprise bretonne recycle les journaux en isolant écologique. Les fonds récoltés permettront aux éco-délégués de financer en partie leurs projets. Il vous est possible de soutenir cette initiative en déposant vos journaux et uniquement vos journaux dans la caisse qui se situe à la vie scolaire.

Les rédacteurs de ce numéro
Sept redacteur·rices inscrit.es en accompagnement personnalisé en classe de première ont participé à ce numéro. Une huitième personne n'a pas fini son article à temps pour cette parution. Dommage, il traitait d'un sujet très sensible : la maltraitance animale.
Deux autres élèves ont aussi envoyé par courriel à ptitpaulo29@gmail.fr, leur proposition d'articles. Un échange avec eux a permis de les mettre en forme et de les publier. Preuve que tout le monde est le bienvenu dans ce journal quelle que soit la façon de pratiquer.
Merci à tous ces apprentis journalistes et à Edouard Maret, le journaliste qui nous aide avec bienveillance.
Nous espérons que ce numéro aux sujets variés vous intéressera et vous apprendra une foultitude de choses.
L'équipe de rédaction
Transidentité, entre amalgames et reconnaissance
Une circulaire est parue fin septembre pour une meilleure prise en compte de la transidentité à l'école. Mais pour quelles réalités en fait ?
L'Organisation Mondiale pour la santé (OMS) a enlevé la transidentité de la liste des maladies mentales dans sa 11ème version de la classification internationale des maladies effective en 2022.
La France, en février 2010, avait été le premier pays au monde à retirer « le transsexualisme » et les « troubles précoces de l’identité de genre » de la liste des affections psychiatriques. De son côté, la chaire Unesco Santé sexuelle et droits humains interpelle notre président le 14 juillet 2021 sur l'urgence de développer une génération de citoyen.e.s éduqué.e.s à interagir sans violence de genre, sexuelle et sexiste. La France ayant ratifié tous les traités internationaux sur ces questions, elle se devait de traduire ces intentions en actions.
Mais de quoi parle-t-on ?
Comme le rappelle l'association Transat, " l’identité de genre est un donné psychologique, elle ne dépend donc ni du comportement, ni de l’apparence, ni du corps, ni des goûts ou de l’orientation sexuelle de la personne. L’identité de genre de quelqu’un, c’est simplement la façon dont elle se pense, et elle s’identifie ".
Transexuel ?
Le terme transgenre s'est imposé pour remplacer le terme transsexuel psychiatrisant et donc devenu inadéquat et péjoratif. D'autre part il évite toute confusion avec la sexualité. En effet, rappelons-le l'identité de genre n'a rien à voir avec l'orientation sexuelle (hétérosexualité, homosexualité, bisexualité etc).
Donc une personne trans est une personne qui ne s'identifie pas au genre qui lui a été assigné à la naissance. Donc rien à voir avec le ou la travesti.e qui aime s'habiller dans le genre différent de celui qui lui est assigné.
Et la non-binarité ?
Lorsque l'on ne s'identifie pas à un genre c'est aussi parce qu'on peut se sentir non-binaire. Soit par l’absence de genre (être " agenre "), ou le fait d’avoir un genre " neutre " en dehors des genre homme et femme, d’être " bigenre " donc de plusieurs genres à la fois, ou " genderqueer " en rejetant le système de catégorisation homme/femme, ou encore être du genre " fluide " quand son genre varie au cours du temps.
A ne pas confondre non plus avec les personnes intersexes lorsque le développement biologique ne correspond pas à la norme sociale mâle ou femelle (1.7 % de la population). Si on applique cette statistique à notre lycée, on aurait 12 à 15 personnes concernées ! Et pourtant cette situation n'a jamais suscité de circulaire... Peut-être parce que la France est adepte des traitements ou des opérations tôt dans l'enfance. Ce qui est considéré comme des mutilations infantiles par la Cour européenne des droits de l'Homme puisque l'enfant n'a pas la possibilité d'y consentir et pour lesquelles la France est régulièrement condamnée.
Mais combien ?
Difficile en revanche de chiffrer le nombre de personnes trans car seuls les chiffres de l'hôpital public sont connus et ne concernent pas la majorité des cas puisqu'on évalue à seulement 1/3 de personnes qui se font suivre médicalement. Si on a l'impression d'une augmentation du nombre de personnes trans c'est surtout parce que la parole se libère notamment sur les réseaux sociaux et que les médias s’intéressent davantage à ces questions. On trouve le nombre de 15 000 pour l'association ORTrans (Objectif Respect Trans), des études d'autres pays de l'OCDE indiquent une fourchette de 0,1 % à 0,3 % et 3 % pour la Belgique.
Mais est-ce si important ? Quelque soit leur nombre, elles ont toutes le droit à être traitée sans discrimination.
Une société transphobe
Si on en croit les remontées de terrain, 8 personnes trans sur 10 auraient été victimes de transphobie et 64 % l'auraient été de la part du monde médical et 44 % de la part de l'administration publique. Ces violences sont diverses : physiques, verbales, psychologiques, symboliques..., harcèlement, discrimination, invisibilisation, fétichisation... Le mégenrage est l'une des toutes premières, c'est le fait de ne pas respecter le pronom, les accords que la personne demande d'utiliser, de même pour son prénom. L'outer quand vous en parlez à d'autres sans son consentement. Sans compter toute la bienveillance maladroite ou déplacée comme en témoignent ces réflexions : " il y en a de plus en plus comme vous " , " ça a du être dur toutes vos opérations " , " si tu t'habillais vraiment comme une fille, on pourrait davantage y croire ".
Rappelons que c'est seulement depuis 2016 qu'il n'est plus obligatoire de fournir des preuves médicales de réassignation sexuelle (modifications des organes génitaux) pour obtenir un changement de sexe sur son état civil.
Et dans notre lycée
Suite à une réunion du conseil pédagogique où la circulaire a été évoquée, j'ai discuté avec la conseillère principale d'éducation, Grâce-Laëtitia Le Grand, référente égalité fille-garçon dans notre lycée. Suite à ses échanges avec des élèves, elle pourrait avancer le nombre de cinq élèves trans. Mais pour autant pas d'aménagements demandés à l'internat. Mais le proviseur assure que les collectivités locales se penchent sur la question d'espaces non genrés. Peut-être pas à temps pour notre nouveau gymnase. Alors quelle prise en charge à part le rappel aux professeurs à la loi et notamment de l'obligation d'utiliser le prénom d'usage quand celui-ci est accepté par les parents. Quid quand cela se passe mal dans la famille ? Sur cette question de l'autodétermination, la circulaire est d'ailleurs très contestée dans le milieu trans. Mais tous s'accordent à dire que c'est un premier pas.
Et au CDI
En tant que centre d'information, le CDI a organisé un rayon " Prenez soin de vous " centré sur la santé sexualité genre et discriminations où chacun.e peut trouver les réponses à ses questions au travers de BD, documentaires, témoignages etc. Un poster sur l'éducation à la santé et à la sexualité vous permettra aussi de repérer des sites internet, des chaines YouTube ou des comptes Instagram à suivre.
Reconnaitre la transidentité n'a donc rien à voir avec la morale, c'est la simple expression des droits humains. Et si vous y réfléchissiez... le premier pas serait peut-être d'arrêter de véhiculer des stéréotypes et préjugés de genre mais cela a plus à voir avec le sexisme...
Un numéro 0 810 20 30 40 pour dénoncer l'homophobie et la transphobie.
Quels chemins prendre pour devenir professeur dans le secondaire ?
Cette année est la première session du nouveau concours des enseignants. Gros plan sur cette voie d'apprentissage qui a changé régulièrement.
La profession consiste à enseigner un savoir, le professeur doit donc avoir pour cela les connaissances et les diplômes qui le rendent apte à cette fonction dans une ou plusieurs disciplines.
Il existe quatre types de professeurs avec pour chacun une voie d'apprentissage différente comme nous le verrons plus loin. Leurs salaires évoluent au fur et à mesure des années de carrière. Ils sont sources de débats ! D'ailleurs une revalorisation est en cours actuellement. Comptez environ 2067 euros, brut, pour la 1ère année de titularisation, jusqu’à approximativement 3889 euros brut après 30 ans de carrière.
Quelles voies suivre ?
Suite au baccalauréat, il faut s'inscrire dans une licence de votre choix. Dès votre seconde années de licence, une option s'offre à vous. Vous pouvez débuter un contrat de trois ans en supplément de votre cycle universitaire pour un temps de pratique de maximun huit heures par semaine. Le choix de votre licence devra se baser sur vos spécialités et la matière que vous voulez enseigner.
L'obtention de votre licence donne accès au master métier de l'enseignement, de l'éducation et à la formation (MEEF). Lors de la seconde année de master, il faut être reçu au concours.
Des concours
Le plus connu est le CAPES qui permet d'enseigner au collège et dans les matières générales au lycée. Il y également le CAPEPS pour devenir prof de sport, le CAPET pour enseigner les matières technologiques dans les lycées technologiques ou encore le CAPLP pour enseigner dans les lycées professionnels.
Il y a plusieurs voies de recrutement : les concours externes qui sont ouverts aux candidats d'un niveau de diplême déterminé pour la catégorie A (niveaux bac+3) ; les concours internes ouverts aux fonctionnaires et/ou agents publics qui ont une certaine durée de service ; les troisièmes concours ouverts à certains cadres de métiers, dont les individus postulants ont une expérience de responsable d'association ou d'activité professionnelle de droit privé d'une durée de quatre années au minimum.
Auparavant...
Le CAPES a été créé en 1950 pour le recrutement des professeurs des collèges et lycées généraux et techniques publics, en 1989 celui de professeur-documentaliste, et en 2019 pour le numérique et sciences informatiques. De 1991 à 2009, après la Licence on préparait le concours à l'Institut universitaire de formation des maîtres pendant un an puis on faisait une année de stage à mi-temps. De 2010 à 2020, le concours se préparait en première année de master à l'école supérieure du professorat et de l'éducation adossé à une université, la seconde année permettant d'exercer à mi-temps et de finir la formation. Depuis 2020 c'est en institut national supérieur du professorat et de l'éducation et toujours adossé à une université.
Face à tous ces parcours possibles, j'ai interviewé deux professeurs, Erwan Thomas, professeur de français et Yves Levenez professeur de sciences de la vie et de la Terre pour connaitre leur cheminement.
Depuis combien de temps enseignez-vous ?
E. Thomas : j'enseigne depuis plus de 25 ans.
Y. Lévenez : en septembre denier, c'était ma 20ème rentrée. J'ai commencé ma carrière comme stagiaire pendant un an au lycée de Quimperlé. C'était une très belle année et à la fin de cette première année je suis devenu titulaire. Ensuite, je suis parti pendant sept ans en région parisienne pour enseigner 2/3 du temps en lycée et 1/3 du temps en collège (très intéressant d'avoir dans la même journée des élèves de 6ème et de terminale). Puis je suis revenu au collège de l'Aulne (Spézet-Landeleau-Chateauneuf du Faou) pendant huit ans. Enfin me voici au lycée de Carhaix depuis trois ans.
Quelles ont été vos études et concours passés ?
E : j'ai fait des études de Lettres modernes (licence) avant de passer le CAPES de Lettres Modernes. Je suis formateur académique de professeurs (certification CAFFA) et j'enseigne aussi aux jeunes étrangers (certification FLS). Je m'occupe de l'option théâtre au lycée Paul Sérusier depuis la rentrée, suite au départ de Mme Stéphan.
Y : àprès un bac scientifique, je suis allé à l'université de Rennes 1. Deux ans de DEUG de biologie puis un an de licence de sciences naturelles filière enseignement, (ces 3 années correspondent à ce que l'on appelle maintenant la licence).
J'ai obtenu ensuite une maitrise de sciences de biologie/géologie (ce qui correspond à ce que l'on appelle maintenant à la première année du master). J'ai passé deux concours, le CAPES et l'agrégation spécialité géologie. La préparation se faisait en un an à la fois à l'université de Rennes 1 et à l'IUFM (ce que l'on appelle maintenant l'INSPE). Cette année de préparation au concours a été très enrichissante, passionnante, même si le concours à la fin de cette année sélectionne les candidats (donc aussi stress). La préparation à Rennes pour ces concours était l'une des plus reconnue de France, d'ailleurs la proportion de candidats reçus et venant de Rennes était importante. L'oral des concours s'est déroulé à Paris au mois de juillet.
Quelle est votre opinion sur la réforme actuelle pour devenir professeur ?
E : je trouve que la réforme actuelle ne donne pas assez de temps pour les jeunes profs ; or ils en ont besoin pour bien réfléchir à leur futur métier.
Y : depuis le début de ma carrière, il y a eu de nombreuses réformes, différentes évolutions. Dans chaque réforme des innovations peuvent-être intéressantes cependant elles doivent toujours être dans l'intérêt des élèves. Pour l'instant je n'ai pas assez de recul pour apporter un point de vue éclairé. Une question à se poser lors d'une réforme et donc de celle-ci : quelle est la plus-value pour l'élève ?
Quels changements apporteriez-vous à la formation des professeurs ?
E : je leur donnerais moins de temps de présence en établissement pour mieux se former.
Y : une année de stage en collège ou lycée avec des classes en responsabilité à raison d' 1/3 du temps soit 6 heures (un enseignant étant 18 heures hebdomadaires devant élève), un professeur tuteur volontaire et étant dans le même établissement, les 2/3 du temps restant, des formations à l'INSPE, des stages, des observations dans d'autres établissements, d'autres classes afin d'être formé au différentes techniques d'enseignement.
Pour plus d'informations, consultez le site https://www.devenirenseignant.gouv.fr
Yoen 1re
L'évolution informatique et de ses métiers au XXIe siècle
L'informatique existe depuis 1834. Elle a évolué et connaît, depuis le début des années 2000, une avancée fulgurante, créant, dans la foulée, un nombre croissant de métiers. Intéressons-nous à ces outils qui ont changé le monde.
Depuis cette révolution numérique, l'informatique prend une place accrue dans notre vie quotidienne. Aujourd'hui, nous sommes constamment connectés, par le biais de nos téléphones, nos ordinateurs, etc. Même nos aspirateurs ont droit aux évolutions.
Des métiers disparaissent...
Avec ce développement constant de l'informatique, il est donc normal de voir des métiers s'inventer, tandis que d'autres disparaissent à cause de cette avancée majeure du XXIe siècle. Par exemples, le métier de facteur, de libraire, sont en train de disparaître du fait des évolutions technologiques majeures au cours de cette dernière décennie. Aujourd'hui, plus besoin de libraire, puisqu'il suffit de commander un livre sur Internet... si on occulte les conseils avisés d'un vrai libraire.
La crise sanitaire du COVID n'arrange en rien les choses. En effet, la pandémie a eu un effet sur bon nombre d'entreprises, le manque de personnel a impacté le développement de plusieurs secteurs, les menaçant de disparition comme la restauration par et le tourisme impactés par les confinements et restrictions sanitaires. Le baromètre OMT (Organisation mondiale du tourisme) a indiqué une baisse de 98 % du nombre de touristes internationaux de l'avant Covid à mai 2020 d'après le site informatif UNWTO.
L'exemple des studios de développement de jeux
L'informatique, malgré de nombreux reports de projets décrits comme "révolutionnaires", telle que la célèbre Playstation 5, n'a eu presque aucun dégât causé par le développement du virus. L'effectif présent dans les entreprises n'a pas beaucoup décru puisqu'en 2016, l'effectif total moyen des studios était de 30.8 personnes, en 2019, alors au début de la période de pandémie, le chiffre est passé à 27.2 personnes.
Il s'agit donc d'une très faible baisse pour les employés dans les entreprises fonctionnant dans le monde de l'informatique. Selon un article du site LesNumeriques, entre 800 et 1200 emplois ont été crées fin 2019 dans ce secteur en france ?. Le baromètre du Syndicat National du Jeu Vidéo indique néanmoins que le nombre d'emplois crées baisse. Pour un studio de moins de 100 salariés, on comptabilise 8,6 emplois en 2019, contre 9,5 en moyenne en 2018, toujours en France, et ce dans la globalité du domaine du jeu vidéo. Cette baisse d'offre d'emplois touche l'informatique dans sa globalité, car la répartition des métiers est très différente autour du globe. Par exemple, en France, on ne compte que 133 organismes d'enseignements contre ( ) en Amérique du Nord, où la filière informatique est extrêmement présente (on notera les studios de développement très présents et en croissance comme Epic Games , Naughty Dog, Warner Bros. Games, etc.)
Ces entreprises développent des jeux vidéo en utilisant les avancées informatiques mises à disposition. Epic Games, par exemple, utilise l'Unreal Engine 5, un outil de développement informatique assez récent, résultat des évolutions du premier Unreal Engine.
La pandémie n'arrête pas l'évolution de l'informatique
Avec des améliorations informatiques de plus en plus nombreuses, on imagine donc notre avenir sous l'angle d'une automatisation de notre quotidien, et des expériences numériques plus que réalistes. On peut citer l'exemple de la Réalité Virtuelle (Virtual Reality) qui a su captiver des millions de personnes, malgré une décroissance lors de la pandémie. Cette technologie permet grâce à un casque spécialisé, de s'immerger dans des jeux ou des courts-métrages, en ayant la réelle impression, visuelle et sonore de vivre ce qui se passe.
Côté cinéma, malgré un ralentissement, le marché des films et des séries est resté actif avec seulement quelques reports de sortie en salles.
J'ai demandé l'avis de M. Gauthier, le professeur de Sciences informatiques et numériques du lycée Paul Sérusier, au sujet de l'avenir de l'informatique et de ses métiers.
Que pensez-vous du développement informatique ?
Je pense qu'il y a un peu de facilités de vie derrière ce développement, mais ce n'est pas plus mal lorsque l'on voit les besoins d'aujourd'hui, ou la société. C'est une preuve de l'avancée intellectuelle de l'Homme, car créer est difficile et demande réflexion. Cependant, au lieu de se tourner vers des moyens plus écologiques, nous nous tournons vers des matériaux non-recyclables, et donc polluants
Ils sont pourtant là au quotidien. Mais utilisez-vous les outils les plus récents ?
Oui, j'utilise même l'assistant Google en cours pour, parfois, poser des questions ou effectuer des calculs afin de répondre à ces questions. C'est pratique, ça se contrôle grâce à la voix, on a juste à parler. Et avec la société d'aujourd'hui, l'informatique est plus ou moins nécessaire, surtout la partie numérique, pour se tenir informé, pour prendre contact. Énormément de monde passe par les mails ou les SMS maintenant.
Quel est votre avis sur les conséquences que pourraient avoir ces outils sur notre société et notre planète ?
Au niveau global de la société, je dirai que la numérisation est un bon point, car elle ouvre de nouvelles portes aux communications et aux échange mondiaux. Si on parle de la planète, cependant, le grand inconvénient est que les matériaux utilisés ne peuvent pas être réutilisés. Ils sont donc jetés et brûlés. Sur le long terme, cela aura forcément une conséquence négative sur l'environnement. Mais nous n'avons pas encore les outils pour informatiser les matériaux renouvelables.
Pour finir, pouvez-vous nous dire, si, malgré tout ça, vous êtes pour l'informatique ou contre ?
Je suis pour, car l'informatique est devenue indispensable, avec ses nombreuses variations, même si j'ai indiqué le défaut de la pollution. Pour les studios de développement du jeu vidéo, ainsi que les ingénieurs, l'informatique est une très bonne source de revenus, car ils attirent grâce à la facilité.
Je dirai donc que, malgré ses défauts, l'informatique se développe très vite via ses nombreux secteurs Il est même une bénédiction pour les studios de développement les plus connus qui vivent au travers de leurs créations. Et ce cycle est loin d'être terminé. Avis à ceux qui se cherchent un métier !
Krpowe 1re
Covid, quels impacts dans les entreprises
Comment les entrepreneurs français ont vécu la période du Covid et s'en sont-ils relevés ?
Depuis deux ans, les restrictions du gouvernement français ont eu un impact sur la vie quotidienne des entreprises. Avec les couvre-feux et les confinements, le personnel a dû réorganiser ses journées de travail pour faire face à la pandémie.
Mesures prises pour éviter les faillites
Selon les périodes, c'est une grande majorité de professionnels qui ont été contraints de rester chez eux en télé-travail. Le travail était plus dur pour eux notamment avec l'inconvénient de la connexion internet, le matériel informatique puis la garde des enfants.
La baisse de revenus et des moyens des entreprises a eu un réel impact. Des aides gouvernementales pour aider les entrepreneurs ont été mises en place pour essayer de maintenir ces entreprises en activité comme la simplification de prêts directs par l’ Etat, l'accompagnement des artisans, commerçants ou entrepreneurs avec une plateforme en ligne,d'après le site economie.gouv, site officiel du gouvernement français.
Mais certaines entreprises ont dû néanmoins fermer leurs portes faute de pouvoir s'y rendre ou par le manque d'argent généré. Le chômage partiel a concerné environ 75 % des salariés. Le recrutement de personnel a été également bouleversé.
Avant la crise, l'employé se présentait physiquement devant l'employeur. Mais avec la crise, les entretiens ont dû être réalisés à distance, ce qui a impacté les relations entre l'employeur et le candidat. Le marché du travail est resté néanmoins très compétitif.
Bilan des entreprises
En métropole et dans les départements d'Outre Mer, à la fin de l'année 2020, 65 % des entreprises ont été confrontées à une baisse de leur chiffre d'affaire, ce qui est relativement élevé. 85 % des commerçants ont eu des commandes et ventes en baisse. Dans ce pourcentage, il y a les difficultés de livraison cliente, les ruptures d'approvisionnement en matières premières, une baisse des imports et exports et pour terminer la dévalorisation des stocks. Lors de cette crise le PIB mondial a chuté de 4,2 %.
Tous les secteurs économiques n'ont pas été touchés de la même manière : les services marchands, la restauration ou les secteurs à forte interaction sociale ont été durement touchés alors que celui de l'information et de la communication croissent.
Les grands gagnants
L'entreprise Amazon, elle, n'a pas eu de bouleversement durant cette période. Comme le signale un article du quotidien économique Les échos, au contraire, elle a réalisé un bénéfice record de 108,5 milliards de dollars lors du premier trimestre de 2020 notamment avec Amazon Prime Vidéo et le Clou. Ce service regroupe plus de 100 services répartis en diverses catégories telles que le stockage cloud, la puissance de calcul, l'analyse de données, l'intelligence artificielle ou même le développement de jeux vidéo. Avec la période du confinement, les personnes ne pouvant pas se déplacer, commandaient des objets sur Amazon.
Pendant la période du confinement, la plateforme vidéo Netflix a gagné 10 millions de nouveaux abonnés et a réalisé un chiffre d'affaire de 720 millions de dollars au deuxième trimestre de 2020. En avril 2020, la plateforme américaine comptait 183 millions d'abonnés.
J'ai interviewé une étudiante du BTS PME PMI. Elle a eu l'occasion de rencontrer M. Ricou, chef d'entreprise de l'entreprise SARL Ricou père et fils dans le domaine de maçonnerie.
Comment l'entreprise se portait-t-elle en début d'année 2020 ?
L'entreprise avait une activité classique, normale. Au niveau financier, on avait un équilibre, la situation était stable. Au niveau social, il y avait le même nombre de salariés. Les dossiers sont traités 6 mois à l'avance.
Quelle est la situation de l'entreprise après ces différents confinements ?
Nous avons énormément de demandes, de travail par contre on ne trouve pas à employer du monde, il y a une pénurie de manoeuvre dans le bâtiment aujourd'hui. C'est la troisième annonce que je publie, c'est compliqué de trouver des maçons ...
Avez-vous eu peur d'une fermeture de votre entreprise ?
Non, on avait juste peur d'une baisse économique du fait qu'on avait fermé un mois.
Y a-t-il eu des aides gouvernementales ?
Nous avons pu bénéficier d'un prêt garanti par l’État autour de 50 000 euros et le chômage partiel qui n'est pas négligeable en France, 84 % du salaire. Pour les salariés, celaéquivaut à une baisse d'environ 100 euros. Mais tout dépend du salaire.
Les matériaux de construction ont-ils augmenté avec cette crise ?
Aujourd'hui, nous avons un problème de matériaux en fourniture, une augmentation sur la ferraille, des éléments pré-fabriqués mais le gros poste impacté, c'est la charpente.
Certaines entreprises ont réussi à maintenir leurs activités alors que d'autres ont connu une baisse de leurs chiffres d'affaires ou même une fermeture.
Aurélien 1re
Une tenue trop sexy justifie-t-elle le viol ?
27 % des Français affirment que l'auteur d'un viol est moins responsable si la femme porte une tenue trop aguichante. Qu'en pensent les jeunes ? Micro trottoir au lycée.
Dans les premières questions qu'on vient à poser à une femme après quelle se soit faite agresser sexuellement est : « Tu étais habillée comment ? » ou « Tu es sure que ta tenue n'était pas trop aguichante ? »
Que dit la loi ?
D'après le site arretonslesviolences.gouv.fr personne n'a le droit de vous imposer un acte sexuel que vous ne désirez pas. Quelles que soient les circonstances du viol ou de l'agression, vous n'y êtes pour rien. L'auteur des faits est le seul responsable. Le coupable est l'agresseur. Aucune tenue, aucune parole ou aucun comportement de votre part ne justifie les violences sexuelles.
La réalité ?
Et pourtant, nombreuses sont les victimes qui témoignent d'un très mauvais accueil dans les commissariats. Quand elles décident d'aller porter plainte, elles sont souvent très culpabilisées ou ressentent de la honte due à la réaction des policier.es ou des gendarmes. Bien souvent, des questions assez douteuses ou sans lien avec le sujet fusent, comme si, dès le début les enquêteurs essayent de trouver un moyen de justifier ce viol alors que normalement ce n'est pas à la victime d'être transformée en accusée.
Culture du viol
Ce terme, "culture du viol", n'est pas seulement un terme sociologique ou journalistique. Il est repris par le site ONU femmes qui explique d'ailleurs que ce sont les pays à fort patriarcat et à forte érotisation des corps féminins et reproduisant les stéréotypes qui sont les plus prédisposés à la culture du viol.
De nombreuses voix dénoncent une société ou la culture du viol se transmet inconsciemment de génération en génération. D'après le site des Nations Unies unwomen.org, la culture du viol, c'est normaliser et justifier les violences sexuelles dues à l'inégalité des sexes. La preuve, la majorité des viols sont commis par des hommes sur des femmes.
Penser qu'une fille qui sort en jupe " prend un risque " c'est ça la culture du viol, dire à sa fille ou à son fils de ne pas mettre une certaine tenue pour ne pas attirer l'attention c'est aussi ça la culture du viol. Mais malheureusement l'expression " culture du sexe " n'a plus le même sens. Elle ne sert plus qu'à censurer des images érotiques des textes littéraires et, parfois même, comble de l'ironie, des articles féministes.
Comment en sortir ?
Pour en sortir, il faudrait déjà cerner la culture du viol en comprenant ses nombreuses formes. Il est important de réaliser qu'elle va au-delà de l’image étroite de l’homme qui agresse une femme marchant seule dans la nuit. En fait, dans une immense majorité, les viols sont commis dans la sphère amicale ou familiale.
Arrêter de normaliser et de banaliser les violences sexuelles et le harcèlement sexuel comme si ça faisait partie de notre quotidien serait un grand pas vers le changement. Lorsque l'on discute de cas de violences sexuelles, la sobriété, les vêtements et la sexualité d'une victime n'ont pas à entrer en compte.
Écoutons les témoignages des femmes et arrêtons de leur demander : « comment étais tu habillé ? » mais plutôt : « Nous vous entendons. Nous vous voyons. Nous vous croyons ».
Choisir d'arrêter d'user des expressions ou des paroles qui poussent à blâmer les victimes, de sexualiser le corps des femmes et à excuser le harcèlement sexuel est un choix que chaque homme et chaque femme peut faire pour participer à l'éradication de notre culture française du viol.
Et si on comparait
Pour illustrer mon propos, reprenons la phrase de Anouk : " Imaginons un bijoutier qui se fait voler, on n'ira pas lui dire que c'est de sa faute car ses bijoux étaient trop beaux " ! C'est la même chose pour la femme, on ne justifiera l'acte d'agression en arguant que sa tenue était trop aguichante. D'autre part, les femmes sont rarement des agresseuses sexuelles même quand elles sont séduites par des femmes ! Donc un homme ne pourrait pas se retenir face à une jolie " poupée " mais une femme, elle, le peut face à un beau mec ou à une belle fille ! Ridicule.
Qu'en dit-on au lycée ?
Voyons ce qu'on en pense au lycée. Voici quelques remarques d'élèves et de personnels à ce sujet.
Vous a-t-on déjà fait une réflexion désobligeante sur votre tenue ?
Aziliz, 16 ans : oui, du genre " mais tu vas pas sortir comme ça ; c'est un peu trop court ".
Anouk, 16 ans : oui, mon prof de sport m'a dit que c'était de la provocation car mon bas était trop transparent.
Aude, 53 ans : non, pas sur la mienne, seulement des regards.
F. 25 ans : oui ; et en général ; ce sont les hommes qui me font cette réflexion.
Dalie 16 ans : oui, " trop court ", " pas approprié ".
Les garçons ont éclaté de rire à cette question. Pourquoi ? Gêne ? Peu concernés ? Ou au contraire se sentent visés ?
Pensez-vous que la tenue excuse le viol ?
Aziliz : non, que tu t'habilles en court ou en long, les gens ne devraient rien avoir à dire sur ce que tu fais.
Dalie : non, car la victime ne devrait pas être la coupable.
Raphaël 18 ans : notre tenue reflète ce que l'on est, donc elle ne devrait pas provoquer des actes condescendants ou malveillants.
Le principal adjoint : non, chacun s'habille comme il le désire, le viol est quelque chose de compulsif.
Pensez-vous que la France a une culture du viol ?
Anouk : moins que d'autres pays ; mais oui.
Aude : oui, car la France est très engluée dans les stéréotypes "homme-femme" et la " séduction à la française " !
Dalie : oui, et je pense qu'il n'y a pas assez de prévention par rapport à ça.
Raphaël : oui, mais ça dépend de l'âge [NDLR : de celui qui exprime une réflexion déplacée].
Le principal adjoint : non, pas plus qu'un autre pays.
Léo, 16 ans : oui, mais tout dépend des familles.
Je ne suis pas étonnée par le nombre de femmes qui ont déjà reçu des réflexions ou des reproches sur leur tenue car nous vivons dans une société où les mentalités sont très restreintes. Mais on peut constater que les gens se manifestent de plus en plus sur ce sujet par le biais des réseaux sociaux comme Instagram où on peut retrouver des citations qui défendent ce sujet comme celle ci : " Elle n'est pas habillée comme une salope, tu penses juste comme un violeur ".
Morgane 1re
Gros plan sur le syndrome DDX3X
Le gène DDX3X est connu depuis 1998, mais la mutation de celui-ci n’a été mise en évidence qu’en 2014. Mais qu'en est-il vraiment de cette maladie génétique ?
Mis en évidence pour la première fois chez une petite américaine de 8 ans, depuis 2015, de nombreuses filles sont désormais diagnostiquées suite à un retard de développement.
Le syndrome DDX3X ?
Ce trouble affecte le développement mental et/ou psychomoteur. Il se caractérise, chez le nourrisson, par le reflux et la constipation et, chez l’enfant, par des troubles de déficit de l’attention et hyperactivité (TDAH), hypotonie, épilepsie, autisme. Ces symptômes sont nombreux, variables et de degrés différents : certaines personnes parlent tandis que d’autres ne marchent pas. Cette différence viendrait de la catégorie de mutation mais cela reste une hypothèse en étude.
Qu’est-ce qui le provoque ?
C’est une mutation du gène DDX3X sur le chromosome X. Il en existe 122 classées en deux catégories : tronquante (coupe le gène en 2) et faux-sens (change juste 1 lettre). Chez les filles, les variants sur le gène sont dits « de novo » : les parents ne sont pas porteurs de la maladie. Lors de la conception de l’enfant, le patrimoine génétique des parents est transmis dans leurs gamètes. Mais la copie n’étant pas parfaite, il arrive qu’il y ait des erreurs et la maladie apparaît.
En France, 56 filles et 1 garçon, âgés de 1 à 23 ans, ont les symptômes décrits par la littérature scientifique. Evalué à environ 500 personnes dans le monde, ce chiffre est largement sous-estimé car cette mutation étant inconnue avant, elle ne pouvait pas être recherchée. Aujourd’hui, les nouvelles techniques de séquençage des gènes permettent un diagnostic plus facilement.
Quelle guérison ?
Il n’existe pas de traitement curatif. Cependant, les personnes atteintes sont suivies par des personnels de santé afin de stimuler leurs capacités d’apprentissages et de progression et éviter les rechutes. Aussi, des études sont en cours afin de mieux connaître la maladie, rechercher des médicaments capables de traiter des symptômes du syndrome, développer des thérapies géniques. De nombreuses équipes de recherches sont constituées dans le monde. En France, à Montpellier, elle s'intéresse aux performances cognitives des personnes malades, aux Etats-Unis au syndrome DDX3X à l'échelle moléculaire, cellulaire et développemental, en Australie, au langage des enfants. D'autres équipes sont présentes au Royaume-Uni, Pays-Bas, Canada, Japon, Chine, Taïwan… Ces études sont importantes car les scientifiques estiment que ce syndrome est à l'origine de 3 à 5 % des déficiences intellectuelles. Malgré leurs petites particularités, ces enfants et jeunes sont toujours souriants, joyeux, affectueux, aiment beaucoup l'eau, la musique, la danse, les animaux, l'humour... et surtout savent conquérir les cœurs !
Agathe Term
Que de plateformes de streaming !
Depuis peu, les sites de streaming envahissent nos écrans. Je vais vous aider à les décrypter pour que vous sachiez lequel est fait pour vous.
Je pense que vous en connaissez au moins une plateforme, surement Netflix, la plus connue et la plus répandue. Netflix fait énormément de créations originales comme La Casa del Papel , Stranger Things et bien d’autres encore.
Disney +, si vous voulez vous rappeler votre enfance avec les films cultes de Disney et de Pixar ou si vous êtes un grand fan de Marvel ou de Star Wars, Disney+ est faite pour vous.
Amazon Prime Vidéo propose plusieurs films et séries originales dont certaines sont 100 % françaises et même des séries ou des films avec des youtubeurs français.
Hulu est une plateforme, rachetée par Disney, a fini par tomber dans l’oubli mais garde quand même quelques créations originales.
Apple TV+ est une plateforme exclusive aux appareils IOS ; donc si vous possédez un Android, désolé, vous ne pourrez pas regarder les nombreuses créations originales d’Apple qui sortent assez régulièrement.
Crunchyroll et ADN permettent de regarder des animés. Ils ont de nombreuses séries en VF (version française) comme en VOSTFR (version originale sous-titrée en français). Ils ont souvent des épisodes 1h après leur diffusion au Japon.
Et en France ?
Salto est une plateforme de SVOD (service de vidéo à la demande) disponible qu’en France. Elle regroupe plusieurs chaînes françaises comme TF1, M6 et le groupe France télévisions, et propose des séries et des films qui sont diffusés en avant-première.
En France, certaines créations sorties au cinéma ne sont pas disponibles conformément à la loi sur les plateformes avant trois ans après leur sortie au cinéma. Pour les avoir plus tôt vous pouvez utiliser un VPN (réseaux privé) mais ça reste illégal !
Pour quels prix ?
Côté prix, les offres divergent. Cela dépend souvent du nombre d'appareils concernés par l'abonnement. Ainsi pour Netflix, le prix va de 8.99 € à 17.99 € par mois, pour Salto de 6.99 € à 12.99 €, ou Disney + à 8.99 € par mois. Ou bien du mode de visionnage. Par exemples, Adn va de 6.99 € à 14.99 € par mois selon que vous voulez télécharger ou juste regarder des animés et Crunchyroll de 4.99 € à 6.49 € et gratuit si on accepte les publicités. De même pour Hulu de 5.99 $ à 70.99 $. D'autres offrent incluent d'autres services comme Amazon Prime Vidéo disponible avec le service de livraison Prime au prix de 49 € par an, ou Apple TV+ qui ne coûte que 4.99 € par mois avec 12 mois offert, si vous achetez un appareil Apple et si vous effectuez la demande moins de 90 jours après l’achat.
Voilà, j’espère que cet article vous aura aidés à choisir entre les différentes plateformes et à trouver celle ou celles qui vous conviennent le mieux.
Aly 1ere
Enfin les boites de nuit rouvrent !
... mais sont-elles les mêmes après la crise sanitaire ? Qu'en pensent les fêtards ?
A cause de la crise sanitaire, pendant quinze mois, les boites de nuit étaient fermées. Le 9 juillet 2021 elles ont pu rouvrir leurs portes. Néanmoins elles doivent respecter un protocole sanitaire particulier. Il y avait une jauge à 75 % levée depuis le 11 novembre 2021. Le pass sanitaire est obligatoire pour les clients et pour les employés. Et le port du masque est recommandé mais n'est pas obligatoire.
Impacts du Covid
Les restrictions strictes ont fait fuir certains patrons qui ne rouvreront pas leurs boites de nuits. D'après les calculs du SNDLL (Syndicat national des discothèques et lieux de loisir), sur les 1 648 discothèques que comptait la France avant la pandémie, 25 % sont en difficulté, et 131 en liquidation judiciaire. Seules 1 500 boites de nuit auraient pu rouvrir.
Une réouverture tardive
On peut s'étonner que les boites de nuit ne pouvaient pas rouvrir leurs portes alors que les bars de nuits ont pu rouvrir dès le 2 juin, comme les restaurants ou les cafés. D'après le quotidien France Normandie : en France, les établissements reçevant du public, les ERP, sont classés en différentes catégories : N et la P. La N inclut les restaurants, cafés, brasseries, les bars et donc, les bars de nuit. La P inclut les salles de danse et les salles de jeux et donc, les boites de nuit.
Le 31 mai dernier quand le président a publié son décret, l'État a choisi d'autoriser la première catégorie, la N, à rouvrir le 2 juin. Par contre, la deuxième catégorie, la P, ne pouvait pas reprendre son activité.
D'un point-de-vue sanitaire, l'ouverture des boites de nuit n'était pas souhaitable selon Olivier Véran, ministre de la santé. Maître Bouboutou, avocat explique : « Le gouvernement s'est heurté au fait qu'il n'y a pas de catégorie spécifique pour les bars de nuit. S'il avait dû faire une distinction, cela aurait fait émerger un changement dans les classements légaux. Cela aurait pris trop de temps. Il va sans dire qu'il faut maintenir ses efforts pour limiter la propagation du virus ». Les propriétaires de boites de nuit ne comprenaient pas ces décisions. Ils étaient en colère. Un patron de boite de nuit caennaise déplorait : « Il y a des bars ouverts qui accueillent plus de monde que certaines discothèques qui, elles, sont fermées ».
Paroles de fêtardes bretonnes !
J'ai interviewé deux étudiantes bretonnes fêtardes sur leurs pratiques.
Quand le président a annoncé, le 9 juillet, la réouverture des boites de nuits, vous étiez contentes ?
Léna : j'étais très heureuse que ça rouvre, ça nous manquait beaucoup.
Anna : je n'ai pas eu des réactions spéciales, j'étais plutôt contente.
Que pensez-vous des restrictions sanitaires ?
L : quand on est vacciné, on ne ressent pas les restrictions, rien n'a changé, on est toujours entassé les uns sur les autres.
A : ce n'est pas très contraignant, il y a peu d'attente dans les files.
Pour savoir si le fait d'avoir été privé de boites de nuit a donné encore plus envie aux jeunes d'y aller, je leur ai posé la question. Elles m’ont répondu qu'elles y allaient moins souvent : « On a perdu le rythme ».
Avez-vous constaté des changements par rapport à l'avant covid ?
L : l'ambiance est la même mais deux ans se sont écoulés et on a pris un coup de vieux, donc y a plus forcément la même ambiance vu que les personnes ont changé aussi.
A : pas forcément, enfin un tout petit peu.
Quels sont les avantages et inconvénients des boites de nuit ?
L : les boites de nuit rassemblent et rendent les gens heureux le temps d'une soirée ! ça manquait après ces deux années un peu moroses. L'inconvénient, c'est que les gestes barrières sont impossibles à respecter.
A : l'avantage, c'est qu'on est avec les copains ; l'inconvénient, c'est toujours aussi cher.
Au final, ce n'était pas si grave pour les jeunes car ils pouvaient avoir d'autres loisirs. En revanche ces restrictions ont coulé de nombreux établissements.
Romane 1re
La pole dance, à bas les préjugés
Même s'il est reconnu comme un sport, certains persistent à dire que la pole dance c'est " la même chose que le striptease ". Micro-trottoir dans mon lycée.
Les avis sur la pole-dance sont extrêmement nombreux. J'ai interrogé plusieurs personnes de mon entourage pour avoir leurs points de vue.
Quels préjugés ?
Beaucoup pensent que la pole est un sport réservé qu'aux femmes. Et pourtant ce n'est pas le cas car de plus en plus d'hommes s'y mettent et prouvent qu'eux aussi en sont capables. Aujourd'hui, en France métropolitaine, plus de 25 000 hommes pratiquent la pole dance. Dans les remarques qui reviennent le plus souvent : « Il faut être mince et musclé-e » . Eh bien pas du tout ! ce sport est ouvert à tous. Néanmoins il nous renforce et, au cours des séances, on s'améliore chacun à son rythme, on ne peut qu'évoluer. Ou encore, on entend souvent dire qu'il « faut être souple ».. Combien de personnes se privent de pratiquer la pole car elles pensent qu'elles ne sont pas assez souples ?
Les lycéens que j'ai interrogés reprennent d'ailleurs ces clichés et en ajoutent : « Les gens vont croire que je suis gay », ou encore « C'est mieux pour les femmes car elles sont plus sexy » . certains avouent qu'ils n'ont « pas envie d'exhiber leur corps » . Ce sont, là, les raisons principales pour lesquelles ils ne pratiqueraient pas ce sport. D'ailleurs nombreux sont leurs parents qui pensent de même, qui ne veulent pas que leur enfant fasse ce sport.
Qu'en est-il vraiment ?
Les jugements des autres sont parfois si forts et les préjugés si répandus que certaines personnes auraient peur d'être mal perçus si c'était connu sur leur lieu de travail, par exemple les enseignants, les puéricultrices... De même, la pole est souvent reliée à la prostitution.
Pourquoi l'opinion des gens est si négative ?
La seule raison pour laquelle ce sport a des connotations sexuelles est que les pole danceurs portent des vêtements courts. Il est courant de les voir ne portant qu'une brassière et une culotte. Et pourquoi ? La réponse est simple : la peau sert à coller à la barre. Ainsi, grâce à elle, les poleuses ne risquent pas de tomber sur le sol et pourront planer longtemps dans les airs. Par conséquent, vous comprendrez que plus il y a de peau, moins le corps glisse. Moins il y a de tissus, plus il y a de peau... N'est-ce pas logique ? Cependant, ces propos sont parfois très vicieux et choquants. Ainsi un étudiant m'a dit qu'il pensait que les danseuses n'étaient pas très habillée pour « se faire plus d'argent », aussi un autre m'a dit que c'était « pour attirer les hommes et leur donner envie ». Alors que les poleuses ne sont souvent pas rémunérées pour leurs prestations puisque c'est leur passion. En dehors de leurs représentations où elles sont invitées, elles ne sont pas payées et le font pour elles. On remarque que les avis sur la pole sont encore très fermé.. Est-ce que l'avis des gens vous influencerait sur la pratique de ce sport ?
Ce sport est assez mal vu. Donc les gens ont peur de se lancer par rapport au regard des autres. A force d'entendre à répétition des réflexions négatives, certains sont influencés et se découragent. Cela concerne beaucoup de garçons, notamment, mais certaines jeunes femmes n'osent pas de peur du jugement de leurs famille, amis, j'ai interrogée une lycéenne qui m'a dit : « J'en ai parlé avec ma mère car cela m'intéressait, et elle m'a dit immédiatement que ce n'était pas possible que j'en fasse mais elle ne m'a jamais donné de vraies raisons ».
Ce sport ne devrait pas être autant tabou juste parce que la tenue vestimentaire est fine. Et, d'après les gens, c'est comme le striptease. Or le striptease, c'est un spectacle dans lequel une ou plusieurs femmes se déshabillent de façon suggestive tandis que la pole est un sport. Il faut savoir faire des acrobaties autour de la barre. La pole exige un véritable travail physique et mental. Bien que la plupart des poleuses ne prêteront pas (ou plus) attention aux commentaires et remarques vulgaires qui peuvent leur être faites, certaines y sont encore sensibles et cela peut beaucoup les atteindre.
Je suis allé interviewer des personnes de mon entourage pour avoir leur point de vue.
Pourquoi pensez-vous que la pole dance est si mal réputée ?
Morgane, 17 ans : parce que les gens ne sont pas assez ouverts d'esprit.
Quentin, 17ans : parce que c'est trop sexy.
Erwan, 19 ans : la pole dance est souvent reliée au strip-tease donc cela a fini par dénigrer la pole dance.
Charlotte, 17 ans : c'est trop stéréotypé, il y a trop de préjugés.
Emma, 16 ans : avec la société, on fait des cases et la pole est classée dans les mêmes catégories que les métiers du sexe ou autre. C'est donc la société qui caractérise les métiers aussi mal.
Pourquoi vous pensez qu'elles sont si peu habillées ?
Emma : je pense qu'elles sont peu habillées non pas pour attirer l'attention mais c'est leur " uniforme " comme les pompiers, médecins...
Youna, 16 ans : pour que l'on perçoive mieux leurs mouvements.
Gurvan, 17 ans : cela permet des mouvements plus amples, plus d'agilité, c'est plus pratique.
Léna, 15 ans : pour avoir une meilleure accroche et ne pas trop glisser.
Vous verriez-vous pratiquer ce sport ? Pourquoi ?
Léna : pourquoi pas ? ça travaille l'agilité pour les figures et les abdos, c'est un vrai sport à part entière.
Lorette, 16 ans : non, car il faut avoir confiance en soi et en son corps.
Alban, 19 ans : pas du tout.
Melissa, 17 ans : oui, c'est un super sport qui est à la fois sensuel mais très dur à pratiquer, ce qui le rend unique et très différent des autres sports.
Eloïse, 16 ans : je ne suis pas assez souple.
Pourquoi, d'après vous, ce sport est principalement pratiqué par les femmes ?
Gurvan : car la vision de ce sport, du point de vue des hommes, est sacrément misogyne.
Lorette : car les hommes ont une image efféminée de la pôle et donc croient qu'ils vont passer pour des gays.
Marvin, 16 ans : si les hommes en font, ils vont avoir peur du regard des autres gars.
Léa, 16 ans : le sexisme, toujours le sexisme.
Maëva, 16 ans : les hommes ont été stéréotypés, à dire que la danse c'est pour les femmes et les films montrent la plupart du temps beaucoup de femmes dans ce domaine.
Quel est votre point de vue personnel vis à vis de ce sport ?
Morgane : j'aimerais bien en faire car, pour moi, c'est une forme d'art, et c'est un sport comme un autre.
Léna : c'est un sport qui devrait être détaché des préjugés pour être, peut-être, moins mal vu.
D'après mon micro trottoir, ce sport est d'autant plus mal réputé qu'il n'est pas très répandu même s'il commence à vraiment s'installer en France. En Bretagne, il existe peu de clubs, mais ils sont assez bien répartis. On en trouve à Brest, Rennes, Hennebont, Lorient et, récemment, un a été créé à Châteauneuf-Du-Faou.
Aziliz 1re
Mercato estival 2021, le plus improbable et magnifique
Dans le monde du football, cet été a été fait de pleurs et de joies. Retour sur une période riche en émotions.
Un mercato est la période au football où les joueurs ont la possibilité de changer de club sur une période donnée. Ces changements de club sont appelés transferts et rentrent en jeux : le contrat du joueur, c'est à dire la durée et le salaire, les clubs intéressés pour le joueur et l'avis du joueur. Dans beaucoup de transferts, les clubs se mettent d'accord avant la fin du contrat, du jour, du prix pour pouvoir le vendre et récupérer de l'argent. Cet été, le mercato estival a débuté le mercredi 9 juin à 0h. Il s'est achevé le mardi 31 août. Il existe aussi un mercato hivernal.
Un mercato historique
Ce mercato a été grandement marqué par les changements de club de Lionel Messi et de Cristiano Ronaldo, les deux plus grandes stars du football actuel. Le 8 août, Lionel Messi, âgé de 33 ans, annonce qu'il ne prolongera pas avec le Barça (Barcelone). Il signe à Paris, le 10 août, gratuitement avec un salaire de 41 millions d'euros annuel pour deux ans et un an en option. Ce transfert a fait vibrer le monde entier.
Lee 27 août, pourtant annoncé partout au club rival, Cristiano Ronaldo, maintenant âgé de 36 ans, et Manchester united annoncent l'arrivée du Portugais dans le club où il a évolué entre 2003 et 2009. Il signe donc pour deux ans et une année en option pour 15 millions d'euros.
Pas le plus cher
Le transfert le plus cher de ce mercato est celui de Jack Grealish, 25 ans, d'Aston Villa à Manchester City, pour 117,5 millions d'euros. A noter aussi celui de Romelu Lukaku 28 ans, de l'Inter à Chelsea, 115 millions d'euros. Des gros chiffres mais pas les plus gros car le record du transfert le plus cher est toujours celui de Neymar, en 2017 : 222 millions d'euros.
Le gros coup du PSG
Le club de la capitale ne s'est pas contenté de recruter Lionel Messi, le dieu du football, il a aussi recruté Sergio Ramos, la légende du Real de Madrid, ainsi que Hakimi, Wijnaldoum, Donnarouma, le jeune gardien, champion d’Europe et Nuno mendes. Tous, à part Hakimi, sont arrivés gratuitement.
Le feuilleton Mbappé
Kylian Mbappé est toujours un joueur du PSG. Mais, lors du mercato de l'été dernier, comme l'a confirmé Leonardo, le Français voulait partir. Florentino Perez, le président du réal de Madrid a donc initié l'opération Mbappé et formula plusieurs offres mais cela n'a pas suffi à convaincre le Paris Saint-Germain.
Il reste à Kylian Mpappé un an de contrat et il a déjà annoncé qu'il refusera de prolonger avec le PSG.
Griezmann, la surprise de dernières minutes
Antoine Griezmann a créé la surprise en revenant dans son club de coeur l'Atletico de Madrid à la toute fin de ce mercato, deux ans après l'avoir quitté pour le FC Barcelone. Il est prêté un an avec une année supplémentaire en option et une option d'achat obligatoire. Mais face à ces changements dans ce mercato d'ampleur inédite, qu'en pensent les gens autour de moi ?
Des avis...
Que penses-tu de l'arrivée de Messi au PSG ?
Marie, 23 ans : c'est bien pour la France.
Guillaume, 24 ans : hyper dégoûté qu'il ait dû quitté le Barça.
Leo, 17 ans : c'est incroyable, je vais pouvoir voir Messi au stade Francis Le Blé de Brest !
Quel est le transfert qui t'a le plus réjoui ?
Marie : celui de Christiano Ronaldo, j'ai beaucoup aimé qu'il revienne dans son ancien club.
Guillaume : le transfert de Ronaldo, j'espère qu'il va continuer de battre des records à Manchester.
Leo : Messi ! Vraiment incroyable qu'il joue en France.
Le transfert des deux " GOAT " (acronyme de Greatest of all time) ont donc principalement marqué se mercato estival.
Pierrick 1re