Comme dans tous les collèges et lycées de France, une minute de silence a été observée le 16 octobre en hommage à Dominique Bernard, professeur de français assassiné lors de l'attentat d'Arras.

Un stage collectif a conduit les élèves de terminale Labo-Vente à Quiberon. Le séjour s'est organisé autour de plusieurs visites d'entreprises (productions artisanales), d'une découverte du littoral de la presqu'île, et d'une halte culturelle à Lorient.

Présentation du CAP services aux personnes et vente en milieu rural : originalité de sa double orientation et richesse des projets pédagogiques.

Les étudiants de BTS première année se mobilisent en faveur du don de sang et du don d'organes, aux côtés de l'Établissement français du sang et de l'unité de coordination des prélèvements d'organes et de tissus de l'hôpital de Quimper.

La découverte du milieu marin s'est organisée autour de trois ateliers.

LPO

Accompagnés de Manon Tripogney, animatrice LPO (cf. article ci-dessus), les observateurs ont procédé à l'identification des espèces d'oiseaux présentes à la pointe de Mousterlin, grâce à une clé de détermination : gravelot, bécasseau sanderling, aigrette garzette, goéland argenté, héron cendré et autre foulque macroule... Ils ont ainsi découvert les particularités et les adaptations au milieu des différentes espèces.

La laisse de mer

L'observation de la laisse de mer, accumulation par la mer des débris naturels, a fait l'objet d'un deuxième atelier. Garde-manger pour les oiseaux, mur naturel, elle fait barrage au sable et limite la montée des eaux.

Cependant, peu esthétique, elle subit des ramassages réguliers pour embellir les plages touristiques. L'atelier conduit à une réflexion sur comment allier le tourisme et la protection de la biodiversité.

ALAMER

Enfin les élèves ont participé au protocole ALAMER (Algues de la LAisse de MER). Ce projet de sciences participatives consiste à déterminer et à procéder au comptage des espèces d'algues présentes dans la laisse de mer (un carré de 1mx1m a été étudié par binôme).

L'objectif est de récolter des données pour les scientifiques du Muséum national d'Histoire naturelle qui souhaitent déterminer dans quelle mesure les espèces d'algues sont différentes d'une plage à l'autre.

Émilie Douguet-Piriou 1SAPAT2

Depuis l'année dernière, l'établissement est associé à la LPO pour préserver la biodiversité dans l'environnement du lycée.

Audrey, animatrice de l'association, est venue présenter le projet et activer sa mise en oeuvre avec les élèves de première Labo-vente encadrés par leurs enseignants, Mme Téolis et M. Raphalen.

Un constat alarmant

Une espèce de mammifère sur trois menacée, la fragilité des amphibiens, la baisse de la population des insectes et des oiseaux, notamment dans les milieux bâtis (mésanges, hirondelles, moineaux...) : les scientifiques annoncent la sixième extinction de masse, c'est-à-dire que 75 % des espèces sont voués à disparaître durant les siècles à venir.

Principal facteur de cette menace, l'activité humaine : l'agriculture, l'urbanisation, la déforestation, la chasse, les pièges et collisions avec les infrastructures comme les éoliennes...

Sensibiliser et aménager

Que peut-on faire ?

Depuis 1912, la LPO travaille à sensibiliser sur la nécessité d'allier la nature et l'humain.

Dans de nombreux endroits, l'association accompagne la mise en place de refuges de biodiversité.

La démarche est simple : établir un état des lieux de la biodiversité dans l'établissement (feuillus et résineux, insectes, oiseaux des jardins...), définir les points positifs et négatifs de l'environnement, et repérer les améliorations possibles.

Au terme de cette présentation les élèves se sont donc emparés des clés de détermination des végétaux et des oiseaux fournies par l'association et, munis de jumelles, ont commencé l'état des lieux.

Ils devront ensuite, lors de prochaines séances, dégager les éléments qu'ils souhaitent améliorer puis réaliser les aménagements nécessaires.

La rédaction

L’histoire du rucher de Kerustum-Sainte-Thérèse commence pendant l’année scolaire 2016-2017. Des enseignants des deux établissements forment le projet d’installer un rucher dans le parc de Kerustum en partenariat avec l’association L’Abeille finistérienne et l’apiculteur professionnel Patrick Pérès.

Un miel médaillé

En juin 2017, trois ruches sont installées où œuvrent quotidiennement environ 100.000 abeilles dans un écosystème riche, arboré, avec un cours d’eau.

Le miel récolté obtient, en 2019, la Médaille d’or dans la catégorie « Miel de fleurs ambré » au concours départemental de miels lors du Festival de l’agriculture et de l’élevage du Finistère.

Frelons asiatiques

Pour le cinquième été consécutif, le rucher est cependant confronté à la présence prédatrice agressive des Vespa velutina , les frelons asiatiques. Des colonies d’abeilles ont été décimées et perdues. Les autres ont été ponctuellement déplacées afin de les préserver.

Au printemps 2023, les équipes d’élèves engagé(e)s et des éco-délégué(e)s ont rencontré Denis Jaffré de l’entreprise finistérienne Jabeprode. Cet entrepreneur - et apiculteur - a conçu un piège à frelons original : une cage de capture dont le principe est d’être sélective. Il s’agit aussi de préserver la bio-diversité. Ce piège a remporté le grand prix du concours Lépine ainsi que la médaille d’or de ce même concours en 2018. Notre rucher est ainsi équipé de deux pièges en mai 2023. Un nouveau projet naît alors : procéder à la fabrication, par les élèves de Kerustum et en coopération avec ceux de Sainte-Thérèse, d’autres pièges du même modèle afin de mener des campagnes de piégeage raisonné à plus grande échelle dans l’espace du campus.

Eco-sensibilisation

Ainsi, depuis son installation en 2017, notre rucher constitue un matériau pédagogique vivant, précieux, fragile et unique. Un petit livre de nature à ciel ouvert qui doit permettre à tout un chacun, par l’observation et l’attention portée, de s’interroger sur le devenir de notre monde. Les abeilles étant les témoins privilégiés de l’état et de l’évolution de notre environnement, notre rucher pédagogique est destiné à développer une « éco-conscience » et une « éco-sensibilisation » renforcée chez nos jeunes.

Patrick Pérès vient chaque année dans nos établissements pour des rencontres de sensibilisation avec les jeunes. Le déplacement au rucher constitue toujours une leçon de nature appréciée, unique en son genre. Le rucher est ainsi devenu un outil nouveau pour les équipes pédagogiques du primaire comme du secondaire des ensembles scolaires de Kerustum et de Sainte-Thérèse. Un outil vivant pour une éducation citoyenne au développement durable qui est, de manière interdisciplinaire et transdisciplinaire, au cœur de nos programmes d’enseignement.

Frédéric Morvan-Houart Enseignant-lycée Ste-Thérèse

Dans le cadre de leur PIC (projet d'initiatives et de communication), les étudiants de 1ère année de BTS TC en alternance se sont penchés sur la pollution marine.

Surfrider

Créée en 1984 aux États-Unis par un groupe de surfeurs, Surfrider Foundation (60 000 adhérents) est une association mondiale à but non lucratif, chargée de la protection et de la mise en valeur des lacs, rivières et océans et du littoral.

Ses objectifs sont de lutter contre la pollution des océans (marées noires, rejets illicites d'hydrocarbures, déchets flottants, pollutions bactériologiques...), d'informer le public sur la qualité des eaux, les législations et les risques en cas de pollution, et faire prendre conscience de l'ampleur de la pollution et des enjeux de la protection des océans.

Des jeunes concernés...

Les quatre étudiants, professionnels de la vente des produits de la mer notamment, donc sensibles à la protection des fonds marins, ont pris contact avec l’association Surfrider afin de prendre part aux initiatives luttant contre la pollution de l'environnement marin.

Dans ce cadre, ils ont contacté la mairie de Treffiagat pour obtenir l'autorisation de réaliser une collecte de déchets sur les plages et à proximité du port.

L'accord enthousiaste obtenu, et à la recherche de volontaires pour effectuer cette collecte, ils ont présenté leur projet au groupe de CAP AEPE (accompagnant éducatif petite enfance) susceptible également d’encourager les plus jeunes à lutter contre la pollution et sauvegarder notre planète.

...et motivés

Ainsi, l'après-midi du 15 novembre, 28 jeunes motivés, équipés de leurs gants, ont ramassé verres, plastiques, filets mais aussi bacs de criée emporter par la tempête Ciaran… Ces déchets ont été triés et photographiés afin de rassembler des preuves et données pour les communiquer aux scientifiques de l’association Surfrider.

À l'issue de cette journée les jeunes ont remercié Christelle Buhannic, conseillère déléguée de l’environnement à Treffiagat.

Clervie,Erwann, Julie, Jeanne BTS TC

Texte

Dans le cadre du projet « Mémoire et Citoyenneté », les élèves de 1ère SAPAT ont rencontré les représentants de l’association Arkae qui, depuis une trentaine d’années, s’attache à valoriser l’histoire et le patrimoine d’Ergué-Gabéric.

Helmut Homilius

À cette occasion, Bernard Le Roux est revenu sur le parcours d'Helmut Homilius.

Ce soldat allemand fut un temps interné au camp de Lanniron, puis obtint le statut de « travailleur libre » en 1946.

Embauché à la ferme de Kerautret de Jean Le Mao, il restera en Bretagne jusqu’en1950.

Un livre

Les recherches de l’association ont permis de retrouver les dessins et écrits d’Helmut Homilius qui témoignent de la vie rurale après-guerre en Bretagne.

L'ouvrage a été publié une première fois en 2006. Epuisé, il est aujourd'hui réédité avec l'ensemble des dessins, peintures et photos qui accompagnaient son texte.(1)

Fronstalag 135

L'histoire de ce personnage fait aussi ressurgir l’histoire du camp de Lanniron–Fronstalag 135 où furent détenus par les autorités militaires allemandes 2000 soldats métropolitains et 7746 soldats issus des colonies françaises d’Afrique et d’Asie. Après la libération de Quimper, 3853 prisonniers allemands y furent internés, dont Helmut Homilius. Le camp fut démantelé en juin 1946.

(1) [Homilius, Helmut. Un prisonnier allemand en Bretagne. Editions Arkae, 2023, 205 p. ISBN 978-2-917877-25-8]

La rédaction

Les élèves de premières SAPAT se sont rendus à Saint-Rivoal le 26 septembre. Cette sortie "territoire" a eu pour objectif de comprendre comment les services s'intègrent dans leur environnement.

L'épicerie paysanne “Bro An Are ” (une vingtaine de salariés) est le centre de cette étude. En compagnie d'un animateur du patrimoine rural, les élèves ont également visité la maison Cornec, partie intégrante de l'écomusée des Monts d'Arrée, construite en 1702.

Après avoir rencontré Mme Sylvain, adjointe au maire, Youenn Daniel, animateur de l'association Addes Botmeur (association d'aide au développement économique et social) a clos la visite par une randonnée contée.

Enfin, l'étude s'est poursuivie en classe par une analyse des atouts et des contraintes de la structure de leur choix puis, dans une démarche de médiation, les élèves ont formulé des proposition d'amélioration.

Les 2, 3 et 4 octobre les élèves de terminales Labo-Vente ont eu l’opportunité de partir à la découverte d’entreprises de la presqu’île de Quiberon (56).

À chaque option ses objectifs

La découverte du savoir-faire traditionnel, l’authenticité des produits et les méthodes de vente ont particulièrement intéressé les élèves de la filière vente.

Repérer les procédés de contrôle qualité et les processus de fabrication ont complété les objectifs des élèves de la filière laboratoire-contrôle qualité.

Ainsi, les visites guidées de La Belle-Îlloise (conserverie de poisson), La Maison Lucas (poisson fumé), La Maison d’Armorine (sucreries, dont les fameuses "niniches" de Quiberon), La Brasserie de la Presqu’île (bières bretonnes) et de La Cour d’Orgères (confitures artisanales "haute couture") ont permis d’atteindre ces objectifs.

Outre la qualité des explications, les visites se sont agrémentées de dégustations très appréciées.

Écologie du littoral

À la pointe du Conguel, à l'extrême sud de la presqu'île, placée sous la protection du Conservatoire du littoral, Nicolas Le Garff, animateur nature au grand site de Gâvres (dunes sauvages) a sensibilisé les élèves à la richesse et à la fragilité du littoral : les dunes bien sûr, mais aussi la laisse de mer, les algues, la flore et la faune notamment les oiseaux du littoral.

Halte culturelle

De plus, cette sortie a été l’occasion de découvrir en chemin la base navale de Lorient et le musée du sous-marin Flore, ainsi que la Cité de la voile avec notamment l’histoire du navigateur Eric Tabarly.

L’ambiance du séjour a été sympathique et détendue.

L’hébergement au Relais Saint Joseph de l’Océan offre des conditions privilégiées de par sa situation face à la mer.

Mattéo SANCHEZ

Term Labo

Pour la deuxième année consécutive, douze élèves ont eu l'opportunité de réaliser une partie de leurs stages en Espagne.

L'accueil de jour Albors et l'école Sagrado Corazon ont été ravis d' accueillir à nouveau les stagiaires (voir Ke l'info n° 3, décembre 2022).

Et cette année la crêche Les Petits (en français !) est venu agrandir le réseau des partenaires pouvant participer à la formation des élèves de terminale SAPAT.

Dans un premier temps, ceux-ci ont observé les pratiques puis, peu à peu, ils ont participé aux activités, encadrés par les professionnels. Ils ont rapidement observé la proximité du personnel avec les usagers, une approche très différente de celle de la France, et ont pu constater que cette proximité favorise l’épanouissement des enfants et rassure également les personnes âgées.

Enfin, les élèves de la filière vente ont vu le programme de mobilité s'ouvrir à eux.

C'est au Carrefour Express du quartier Roussafa que Tristan et Goulven se sont immergés dans le commerce espagnol.

Ils ont essentiellement réalisé de la mise en rayon et ont régulièrement été sollicités par les clients qui leur demandaient conseil.

Après une immersion totale dans la culture espagnole, les stagiaires ont profité de la ville de Valencia.

Tous nos partenaires ont félicité nos élèves et sont ravis d’en accueillir de nouveaux en stage l'an prochain.

La rédaction

Dans le cadre de notre Projet d'Initiative et de Communication nous avons choisi de promouvoir le don du sang et le don d'organes aux côtés de l'Etablissement français du sang (EFS) et de l'unité de coordination des prélèvements d'organes du Centre hospitalier universitaire (CHU).

Une heure pour trois vies

L'Etablissement français du sang est le service public qui organise la collecte des produits sanguins (sang, plaquettes, plasma) à l'échellle nationale. Il investit dans de nombreuses activités qui font de lui un maillon essentiel de la chaîne du soin au bénéfice des patients et de la science. Chaque année, cet organisme permet de sauver un million de vies.

Néanmoins, l'EFS manque de donneurs car les gens ont tendance à oublier l'importance de donner son sang. Pourtant une heure suffit pour sauver trois vies !

De ce fait, dans le cadre de notre module de communication en BTS1 Technico-Commercial, nous avons choisi d'inviter Magalie Bidon, développeuse de Territoire du Finistère service marketing, le 11 décembre afin qu'elle intervienne auprès des élèves de terminale SAPAT pour les inciter à devenir donneur dès leur majorité.

Aussi, une collecte de sang a été programmée le 14 décembre. Les volontaires, élèves majeurs, personnels, enseignants voire des parents sont attendus au 13, rue Emile Zola, en face de l'hôpital Laënnec, à Quimper. [Au moment où nous écrivons nous ne pouvons pas donner un bilan de cette collecte].

Don d'organes et des Tissus

Pour compléter notre action, nous avons également décidé de faire intervenir au sein du lycée l'équipe de coordination Hospitalière des Prélèvements d’Organes et de Tissus (unité du service des urgences à l'hôpital de Quimper) afin de sensibiliser les jeunes de premières SAPAT et Laboratoire sur le don d'organes. Cette action a déjà été faite il y a quelques années et nous réitirons cette sensibilisation, accompagnés de Mme Troadec et Mme Téolis, professeurs de biologie. L'intervention est fixée au 1er décembre.

Stevann, Baptiste,
Leny, Julien, Léa

BTS1

En septembre dernier, vingt trois élèves ont fait leur rentrée au lycée en classe de première année CAPA (certificat d'aptitude professionnelle de l'enseignement agricole) SAPVER (service à la personne et vente en milieu rural).

Deux secteurs professionnels

Cette formation a la particularité de dispenser des enseignements théoriques et pratiques et donc de qualifier les lycéens dans ces deux domaines professionnels.

Elle offre ainsi à ces derniers la possibilité d’une insertion professionnelle ou d’une poursuite d'études.

Dans le secteur des services aux personnes ce diplôme offre à son titulaire la possibilité de travailler en milieu hospitalier, en EHPAD, dans les organismes de services à la personne, chez les particuliers et en restauration de collectivité.

Dans le secteur de l’accueil et de la vente, le titulaire du diplôme exerce dans des commerces de proximité ou en grande surface, en villages vacances, en centres de loisirs.

La formation est ponctuée par douze semaines de stages, réparties sur les deux années.

"Cuisines festives"

Après une journée d'intégration début septembe, où les élèves ont pu s'essayer au kayak sur le plan d’eau de Créac’h-Gwen, c’est désormais collégialement qu’ils s’activent à la préparation du repas de Thanksgiving, premier temps fort du projet interdisciplinaire ”cuisines festives” qui se déclinera tout au long de l’année.

Vendredi premier décembre, alors que les premières années se mettront aux fourneaux, pour ravir les papilles de leurs aînés, ces derniers s'attelleront quant à eux au dressage et à la décoration de la table.

Une belle journée en perspective !

Armelle Jouannet enseignante

Mélissa Da Costa est une jeune romancière française, née en 1990. Elle a grandi à la campagne dans l'Ain, près de Mâcon.

Elle est fille d'une mère assistante maternelle et d'un père qui travaille dans le bâtiment. Elle a également deux sœurs prénommées Janne et Clara. Depuis ses sept ans, Mélissa se passionne pour l'écriture qui devient son échapatoire . Elle n'envisageait pourtant pas de devenir autrice ne se sentant pas assez légitime pour l'être.

Une autrice reconnue

Tout d'abord, elle effectue des études d'économie et occupe par la suite un emploi de chargée de communication. Mais l’écriture reste importante dans sa vie et elle décide de publier une de ses œuvres sur une plateforme appelée monbestseller.com. Par ce biais, l'éditeur Carnets Nord la contacte et son premier roman, renommé Tout le bleu du ciel, paraît au printemps 2019.

Il crée la surprise et connaît un grand succès auprès des lecteurs. M. Da Costa est remarquée par les éditeurs d'Albin Michel : son livre est alors publié en format poche. Elle vend ainsi plus de 614 000 exemplaires et se trouve hissée à la huitième place des auteurs les plus lus en 2021.

Au cours de ces dernières années, sa popularité florissante l'amène à publier six autres best-sellers.

Tout le bleu du ciel

Ce roman suit le personnage d’Émile, un jeune homme atteint d'un Alzheimer précoce qui décide de partir en camping-car pour le peu de temps qui lui reste à vivre, fuyant par conséquent les soins qui lui sont proposés et la présence étouffante de ses proches.

Au passage, il poste en ligne une annonce dans le but de trouver un compagnon pour ce qui sera, a priori, son ultime périple. À son grand étonnement, il reçoit une réponse d'une jeune femme mystérieuse : Joanne.

Les deux personnages s'attellent alors à parcourir les routes de France, mais c'est en voyageant dans leurs passés respectifs qu'ils apprendront à se reconstruire et à se redécouvrir.

Mon avis sur ce livre

J'ai trouvé cette lecture bouleversante et d'une profonde sensibilité. Je pense qu'il est important de lire ce roman de Mélissa Da Costa qui possède une plume remarquable, autant en ce qui concerne l'écriture des rencontres entre les personnages que celle des descriptions, de la retranscription des sentiments et de l'importance que nous devons porter à la vie.

J'ai donc été extrêmement émue en le lisant, ébranlée par des sentiments très forts qui m'ont donné envie de prendre conscience de chaque petit instant de mon existence. Chaque page m'a tenu en haleine et j'ai été sublimée par la tournure que prenait le récit.

Louise Mallard Term SAPAT1

La Compagnie des Archers de l'Odet créée en 1975 a adopté son nom actuel en 1982.

Une rencontre fortuite

En 2014, le club n'a plus de salle pour la saison hivernale (fermeture du hall D de Penvillers) et s'accorde avec le lycée Kerustum pour occuper la salle de sport de l'établissement.

C'est cette proximité qui offre l'occasion aux enseignants d'EPS d' organiser avec les Archers des séances d'initiation pour les élèves.

C'est lors de ces séances que j'ai découvert le tir à l'arc l'année dernière.

Comme cela m'a beaucoup plu, je me suis renseignée pour pratiquer ce sport de façon régulière à partir de septembre.

Adhésion

Avant de prendre sa licence, le club demande aux futurs adhérents de réaliser un stage d'initiation de 4h30 en trois séances afin d'apprendre l'esprit du tir à l'arc, les règles de sécurité et les différentes techniques et disciplines. Ce stage coûte 40 euros et l'arc et le petit matériel (flèches, carquois, protège-bras et protège-doigts...) est fourni par le club. De même ce matériel est mis à disposition des adhérent lors de la première année.

Donc depuis septembre je pratique ce sport sur le mur de tir de la salle de sport de Kerustum deux fois par semaine de 18h00 à 20h00. Il faudra attendre le mois d'avril pour rejoindre le site extérieur de Creac'h Gwen.

Léa Prévost 1SAPAT2