Dans le cadre de la Culture Des Arts et du Design, les étudiants de 2ème année en Diplôme national des métiers d'art et du design d'espace ont réalisé des structures emblématiques de l’histoire de l’architecture, sous forme de maquettes, appartenant à un mouvement artistique précis.

Ce projet par équipe, débuté en octobre, devait se terminer fin janvier pour les portes ouvertes. Il a donc fallu s'organiser pour répondre à ce défi. Tout d’abord, effectuer des recherches sur le mouvement dans lequel s’inscrivait notre structure pour comprendre les principes de cette architecture. Ensuite, à partir des plans et élévations trouvés sur internet, s'approprier le logiciel Autocad pour redessiner ces plans à l’échelle voulue. Puis, à partir de ces plans, découper chaque pièce qui allait composer notre maquette et les assembler par collage.

Mais, nous devions faire face à des contraintes : le délai, le soin, la propreté des finitions et la précision de la réalisation. Tout cela faisait partie des exigences de la notation. Or, nous avions d’autres projets en parallèle et peu de temps pour se voir en dehors des cours. Le transport de la maquette s'avérait difficile et les vacances nous dispersaient.

Wilhemine GARCON, ancienne élève en arts appliqués, devenue maquettiste d’architecture, nous conseillait sur les méthodes et nous livrait des astuces.

Mais quels étaient les objectifs à atteindre ? Maîtriser la technique des maquettes tout en affinant notre sens de la précision et de l’organisation. Découvrir les différents mouvements artistiques qui ont marqué l’histoire de l’architecture et comprendre leurs principes structurels. Aborder les différentes fonctions des bâtiments, ce qu’on appelle des programmes. Se familiariser avec Autocad, le logiciel des architectes. Travailler en groupe (ce qui n'est pas évident) mais, au fil des séances, on a pu apprécier « une réelle entraide y compris avec la classe entière ».

Cet exercice, très bénéfique, nous a fait découvrir la pratique de la maquette d'archi et certains sont si passionnés qu'ils envisagent d'en faire leur profession.

Eléonore GAMBIEZ, DNMADE 2, Quartier Ste-Geneviève.

De nos jours, l'espérance de vie progresse et le nombre de retraités augmente, sans oublier que la dette publique s'accroît.
Il existe aussi 42 régimes spéciaux, selon le statut et le métier et autant de modes de calcul différents.
La réforme des retraites vise à améliorer cette situation par la mise en place d'un régime universel et la suppression des régimes spéciaux.

Quels leviers ?

Le système par répartition sera maintenu : les actifs continueront à cotiser pour les retraités et la retraite sera désormais calculée par points. Chaque Français aura le même nombre de points par euro cotisé.
Si l’âge légal de départ à la retraite reste fixé à 62 ans, on parle de plus en plus d'un âge d'équilibre à 64 ans. Un nouveau système de bonus-malus sera mis en place.
En revanche, les salariés exerçant un métier pénible pourront bénéficier d’un départ anticipé.

Gagnants ou perdants ?

Dans le système actuel, la pension est calculée sur les 25 meilleures années pour les salariés du privé et sur les 6 derniers mois pour les fonctionnaires.

Si la réforme va jusqu’au bout, la retraite sera calculée sur toutes les années de travail. Les fonctionnaires seraient les perdants.

A l’inverse, les agriculteurs et les indépendants seraient gagnants : leur retraite serait supérieure à 1000 euros par mois. La génération née en 1975 serait la première concernée : elle commencera à cotiser à partir du 1er janvier 2025.

Pour conclure, la réforme des retraites modernise le pays.
Cependant, il reste de nombreuses contestations. Le gouvernement a fait jouer l'article 49.3 de la Constitution devant l'Assemblée nationale, paralysée par des milliers d'amendements.
La loi devait passer en lecture devant le Sénat en avril. Désormais suspendue pour cause de pandémie, la réforme des retraites n'a sans doute pas fini de faire parler d'elle !

Léa DANDACHI, 1re, Quartier Ste-Anne.

Selon l'article 11 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen, "tout citoyen peut parler, écrire, imprimer librement". Dans les faits, une liberté d'expression pas si facile à mettre en oeuvre.

Les lois ont changé au cours du temps, mais ce sujet a toujours fait l'objet de discussions. En France, depuis 1972, la loi Pleven condamne les délits d'injures, d'incitation à la haine, à la discrimination d'une ethnie... Il est donc possible de critiquer une religion ou une culture, mais pas de s'attaquer aux personnes individuellement. Mais la frontière est fragile entre liberté d'expression et prise à parti d'un individu ou d'un groupe et elle est souvent franchie. La liberté d'expression est aujourd'hui très controversée car elle suscite de nombreuses questions. Est-il notamment possible de critiquer une religion sans critiquer indirectement les personnes qui la pratiquent ? Où s'arrête la liberté d'expression ? Ce débat peut mener à de vives discussions. Aujourd'hui, le regard de la société pèse sur les propos de chacun. Ainsi, comptez le nombre de circonstances où vous vous êtes tu car vous aviez peur que votre pensée soit mal interprétée ! Maintenant tout le monde pèse ses mots, relit plusieurs fois ses écrits pour éviter une phrase tendancieuse. Ce phénomène s'intensifie à l'heure des réseaux sociaux où la moindre faute est dénoncée. L'alternative : l'anonymat permis par les réseaux, devenus pour certains d'entre eux, véritables défouloirs de haine ?

Elise FIORCAPUCCI, TES, Quartier Ste-Anne.

La liberté d’expression est le droit de pouvoir exprimer son opinion qu’elle soit positive ou négative. Si cette liberté n’est pas autorisée, alors il s’agit d’une dictature. En effet, si on empêche des journalistes de faire leur travail correctement, ou tout autre métier permettant de divulguer des idées contraires au gouvernement, c’est qu’il y a de la censure. Lorsque la liberté d’expression meurt, la liberté de presse, d’information, d’opinion, de manifester et bien d’autres disparaissent en même temps. La liberté d’expression est garantie par la Convention européenne des droits de l’homme (article 10), mais également par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789.

Cependant, ce droit ne nous permet pas de dire tout et n’importe quoi. Cette liberté a ses limites qu'il faut savoir respecter. Voici quelques-unes de ses limites : l’injure, l’insulte, l’atteinte à la vie privée ou à l’ordre public, la diffamation ou encore le dénigrement, car évidemment notre liberté s’arrête là où celle des autres commence. La liberté d’expression est une des bases de la démocratie et par conséquent le contraire d’une dictature. Il faut prendre conscience que si on ne peut ni remettre en cause les décisions politiques ni les critiquer, alors il y a un problème. Tous les pays ne sont pas au même stade de liberté. Dans certains pays, elle est même inexistante. C’est pour cela qu’il faut lutter pour permettre au monde entier d’avoir les mêmes droits.

Cléa GUILLOU--CORCUFF, TS, Quartier Ste-Geneviève.

"Sans Hermione, Harry Potter serait mort au premier tome." Ces propos de l'actrice britannique Emma Watson, l'interprète de Hermione Granger dans la série de films Harry Potter, ont été brandis dans de nombreux pays lors de la Marche pour la femme du 8 mars 2020.

Des milliers de femmes et d'hommes se sont rassemblés pour rappeler au monde que l'égalité des genres était loin d'être acquise. En cette occasion, certaines personnalités utilisent leur notoriété pour donner une dimension internationale à ce message et prennent la parole.

Ainsi, Emma Watson révèle-t-elle un discours très engagé pour la cause des femmes qu'elle prononça en 2014, à 24 ans, à la tribune des Nations Unies. Elle y prônait l'égalité de tout être humain. En 2020, elle en appelle toujours à l'union de tous pour faire changer les mentalités.

Margot HANESSE, 1re, Quartier Ste-Anne.

Malala Yousafzai est née le 12 juillet 1997 au Pakistan. Dès sa jeunesse, elle a voulu aider les personnes en difficulté, suivant le militantisme de son père pour l'éducation des femmes et la lutte contre les talibans.

En 2009, elle dénonce les violences des talibans sur son blog, par son témoignage intitulé, Journal d'une écolière pakistanaise. Le 9 octobre 2012, elle est grièvement blessée, victime d'un attentat commis par ceux qu'elle dénonce. C'est ainsi que dès 2013, Malala, est devenue une personnalité importante en Occident et a reçu de nombreux soutiens. La même année, son livre, Moi, Malala, je lutte pour l'éducation et je résiste aux talibans, est sorti dans vingt-et-un pays. Elle reçoit de nombreux prix internationaux et notamment le Prix Nobel de la Paix 2014, qu'elle a reçu avec Kailash Sartyarti, militant pour les droits des enfants en Inde. Son engagement a également inspiré la création du Fonds Malala de l’UNESCO pour le droit des filles à l’éducation.

Elle ajoute qu'elle souhaite devenir une femme politique afin de changer l'avenir de son pays et rendre accessible l'éducation à tous les enfants pakistanais.

Fleur DE ABREU, 1ère, Quartier Ste-Geneviève.

Si la Journée Internationale des droits des femmes, le 8 mai, nous rappelle les inégalités subies par une partie de l'humanité, on est pourtant loin d'imaginer les souffrances encore endurées aujourd'hui par des milliers de femmes.

Ainsi, Tara Farès, blogueuse, influenceuse de mode et élue miss Irak, a été assassinée à Bagdad en 2018 pour avoir opté pour un mode de vie à l'occidentale. Ses meurtriers n'ont toujours pas été arrêtés. Au Salvador, les femmes risquent jusqu'à 50 ans de réclusion lorsqu'elles avortent : la pratique y est en effet interdite, même en cas de danger pour la mère et l'enfant. Au Burkina Faso, une fille sur deux est mariée avant ses 18 ans, alors que le mariage forcé et précoce est illégal. Enfin, en mars 2019, la célèbre avocate iranienne Nasrin Sotoudeh, qui soutient les droits des femmes, a été condamnée à un total de 38 ans de réclusion et à 148 coups de fouet pour avoir protesté pacifiquement contre le port du hijab. Des exemples comme cela, il en existe des milliers dans le monde. Aussi, ne restez pas insensibles : mobilisez-vous et signez les pétitions d'Amnesty international. Par ce geste, vous contribuerez à sauver une partie de l'humanité.

Paul-Erwan SINAUD, TL,

Quartier Ste-Anne.

Comme on se l'imagine, c'est très différent de la France.

D'abord les horaires de repas ne sont pas les mêmes. Ils ne mangent pas beaucoup au petit-déjeuner, mais ils peuvent préparer à manger pour la journée. Dans la famille de ma correspondante, on pouvait manger pendant les cours au lycée. A condition de ne pas faire trop de bruit et de nettoyer à la fin du cours. Dans certaines classes, une pancarte nous avertissait de ne pas manger de noix et d'arachides, pour une question d'allergies, je suppose. Pour le déjeuner, il n'y a pas d'horaires précis : on peut décider de manger à 11 heures ou se préparer une collation à 14 heures, voire les deux.

Les Américains grignotent beaucoup plus que nous, ce qui fait qu'ils mangent en général moins mais plus souvent. Dans les restaurants, il n'est pas dans les habitudes de prendre un dessert, car le plat est assez complet. Lorsque l'on achète une boisson, on nous propose, une fois nos verres vides, de nous resservir gratuitement.

Lorsque l'on paye l'addition, les taxes et le pourboire pour le personnel sont rajoutés en plus du prix initial fixé sur la carte. Le soir, il n'y a pas toujours de goûter, puisque l'on se sert quand on le désire, mais le dîner est généralement servi plus tôt, entre 17h et 19h.

Une des spécialités inconnue en France et que j'ai goûtée c'est le "sandwich ice cream" : on choisit deux couches de cookies ou de brownies ainsi que le parfum de la boule de glace. C'est une sorte de sandwich sucré.

NORMAND Katell, 2de4, Quartier Ste-Geneviève.

Chaparral est une école qui se trouve à Scottsdale, en Arizona. On ne parle pas de niveaux comme en France, mais de "grades". Elle accueille des élèves du grade 9 à 12, donc de la troisième à la terminale. 2200 élèves y sont inscrits, dont 600 étudiants.

Les enseignants font leur cours en classe et donnent un travail à rendre pour le lendemain. Mais certains cours sont disponibles en ligne, surtout l'été, parmi lesquels on découvre ceux de jazz band, robotique, criminologie, écriture créative, art, théâtre...

Pour obtenir un diplôme, il faut avoir suivi un nombre de cours imposé, auxquels s'ajoute un certain nombre de choix : maths = 4 ans, sciences = 3 ans, études sociales = 3 ans, PE = 1 an, anglais = 4 ans, beaux-arts = 1 an. 

Les élèves ont cours de 7h30 jusqu'à 14h30 et peuvent déjeuner sur place entre 10h 30 et 11h30.

Le sport tient une grande place et de nombreuses activités sont proposées : volley, foot, basket, piste, golf, cross, natation / plongée, tennis, softball, baseball, lutte, badminton, cheerleading...

Aujourd'hui, à cause du coronavirus, les élèves travaillent en ligne. Ils suivent les cours le matin avec des dates d'échéances comprises entre le lendemain et la semaine suivante. Un moyen de travailler qui fait partie de leur quotidien.

Elise DURUAL,
Zoë APPOURCHAUX, 2de2, Quartier Ste-Geneviève.

Ce jeu est apparu au XIVe siècle, en plein Moyen-Âge. Le principe est assez simple : il suffit de trois gobelets opaques et d’une petite boule qu’il faut retrouver après que le manipulateur a mélangé les gobelets.

Depuis qu’il existe, c'est le lieu d’un véritable théâtre. Jugez plutôt : le bonneteur invite un complice à miser sur un gobelet. Évidemment, ce faux passant gagne et les spectateurs se disent : “Si lui gagne, pourquoi pas moi ?”. Mais le manipulateur réalise un tour de passe-passe qui fait perdre de l’argent aux vrais joueurs.

Maintenant, l’arnaque peut être encore plus facile, car il existe des boules en mousse très molles à mémoire de forme. Le bonneteur l’écrase dans sa main et retourne un des gobelets non choisi par le joueur où il fait réapparaître la boule d’un geste rapide.

Une autre version est aussi très pratiquée avec deux cartes noires et une dame rouge. Ce qui explique le nom du bonneteau anglais : Find the lady (trouvez la dame). Là encore, le bonneteur est accompagné d’un ou plusieurs complices qui misent sur la carte que vous auriez aussi choisie. Et ils gagnent à chaque fois. Mais lorsque vous essayez, vous perdez, car le manipulateur réalise une nouvelle passe invisible.

347 interpellations

Que ce soit avec le gobelet ou les cartes, le scénario reste toujours le même : les passants sont attirés par l’animation du jeu et se font escroquer de grosses sommes.

Les bonneteurs ont fait l’objet de 347 interpellations par la police en 2018, rien qu’à Paris. Cette pratique illégale de jeux d’argent est dénoncée par les touristes qui non seulement perdent, mais aussi se font parfois violemment agressés au moment où ils découvrent l’arnaque.

Si un jour vous voyez ce jeu dans la rue, passez votre chemin car vous perdrez à coup sûr !

Mattéo DUVAL, 1ère Quartier Ste-Anne.

Cette ethnie de plus de 10 millions de personnes vit dans la contrée de Xinjiang, à l'ouest de la Chine. Leur religion, musulmane, est minoritaire et leur attire beaucoup d'ennuis de la part du gouvernement chinois.

Les Ouïghours sont victimes depuis plus de 5 ans d’une persécution grandissante. Xi Jinping, le Secrétaire général du Parti communiste chinois, avait déclaré dès 2014 vouloir lutter « sans aucune pitié » contre le séparatisme religieux dans cette région.

Tragique persécution

En octobre 2019, le Consorsium international des Journalistes d'investigation publiait un rapport officiel décrivant des camps d’internement dans lesquels seraient détenus plus de 2 millions de Ouïghours, arrêtés pour port du voile, lecture du Coran ou même sans raison. Ces camps de rééducation politique ne respectent pas les droits de l’Homme. Les Ouïghours y sont enfermés, séparés de leur famille, contraints d’écouter des discours politiques, les yeux bandés. Le 2 mars 2020, nouveau scandale : un rapport publié par l'Institut australien de stratégie politique révèle que plus de 80000 Ouïghours ont été transférés de force dans des usines pour 83 marques connues mondialement. Parmi elles, Apple, H&M, Jaguar... De plus en cette période de pandémie, le cas des Ouïghours pourrait tourner au désastre. N’ayant pas recours aux soins, la maladie menace 2 millions de personnes.

Un drame silencieux

Cet internement de masse, le plus grand du XXIème siècle, est peu médiatisé et peu d’actions sont mises en place pour aider ces familles, d’autant plus que la Chine nie toutes les accusations. Les grands crimes ont besoin de grands silences et ce silence tue.

Lucie GUINET, 1ère, Quartier Ste-Anne.

Né en 2002, le journal La Plume d’Hermès est l’outil de communication et d’expression des lycéens. Pas de sujet imposé, nos journalistes s’expriment sur ce qui leur tient à cœur et c’est l'avantage. Accompagnés de la documentaliste et d’un journaliste d’Ouest-France, ils se lancent dans les recherches en vérifiant les sources pour alimenter leurs articles sans toutefois tomber dans le piège du plagiat. Objectifs : faire preuve d’honnêteté intellectuelle, aiguiser son esprit critique et rédiger en suivant les codes de l'écriture journalistique.

Mais l’article est incomplet, il faut y joindre une illustration ou une photo en respectant les droits d’auteur. Puis déposer les travaux sur la plateforme numérique d'OF. C’est un espace convivial où élèves, documentaliste et journaliste peuvent intervenir et communiquer.

En fin d’année, c’est la récompense ! Ils reçoivent une attestation de participation décernée notamment par Ouest-France et le lycée. Elle leur servira pour leur CV.

MC LEGAUD, documentaliste, Quartier Ste-Geneviève.

Comment dans le film, Fast and Furious, les réalisateurs ont pu continuer la saga malgré la mort de Paul Walker, l’un des personnages principaux ?

Le premier film de la saga Fast and Furious a été réalisé par Rob Cohen en 2001. Elle comprend neuf films et bientôt dix, car Fast and Furious 9 sort en avril 2020. Paul Walker, un des acteurs pricipaux, jouait le rôle de Brian O'Connor. Or, il meurt accidentellement le 30 novembre 2013. Durant cette période, Fast and Furious 7, réalisé par James Wan, est en production.

Il faut donc trouver une solution pour le finir.

Nouveau scénario

Le réalisateur décide de faire appel à Cody Walker, le frère de Paul. Cody n'a pas fait son deuil, ni pris conscience de la mort de son frère, mais accepte pour lui faire honneur.

Malgré la participation de Cody, le sénario du 7° Fast and Furious est totalement réécrit. Cela permet d'expliquer l'absence de Brian O'Connor ( Paul Walker ) et de Mia Toretto (Jordana Brewster), sa femme, dans le 8° opus.

Vin Diesel, l'acteur qui joue le rôle de Dom Toretto dans la saga, voulait que le 8° opus, réalisé par Felix Gary Gray, prenne une route plus sombre afin de rendre hommage à son ami, Paul Walker.

Le tournage de celui-ci était donc, comme Vin Diesel l’a dit, sans « fun ».

K. MARTINS, C.BRASSELET, 2de4, Quartier Ste-Geneviève.

Cette série a été réalisée par Matt Duffer, Ross Duffer et Shawn Levy. L'acteur principal est Millie Bobby Brown (Elfe).

C'est une série de science-fiction horrifique américaine qui intègre le décor des années 80. L'histoire commence lorsque Will Bayers disparaît mystérieusement. La quête de ses amis et de sa famille s'annonce alors surnaturelle.

Elle se déroule à Hawkins, dans l'Indiana, entre les années 1983 et 1985. La première saison a été diffusée en juillet 2016.

On se sent concerné

Stranger Things est une série phénomène. Elle a été reconnue meilleure série télévisée et a été aimée par 97 % des téléspectateurs. Le scénario est rempli de surprises et de tensions, ce qui crée du suspense. Elle « casse les codes » : d'un coté, il y a la vie normale des étudiants et d'un autre, un monde fantastique.

Le téléspectateur accroche dès le premier épisode puisqu'il veut savoir la nature de la disparition. On se sent concerné et on peut se retrouver dans un personnage.

La disparition d'un petit garçon touche les adultes en tant que parents et les adolescents en tant qu'amis. C'est cette adaptation de plusieurs points de vue d'âges différents qui explique ce succès.

Nous avons beaucoup aimé cette fiction, malgré le fait que le fantastique ne soit pas le genre cinématographique que l'on a l'habitude de regarder.

Z. SCIPION, M. NARDUZZI,
N. DEMIRDJIAN, 2de3, Quartier Ste-Geneviève.

Réalisé par le célèbre Hayao Miyazaki, Porco Rosso est un film d'animation d'aventure, haut en couleur. Accessible sur grand écran dès 1992, il a su trouver un regain d’intérêt et élargir son public grâce à Netflix.

C’est l'histoire d'un ancien aviateur de l'armée de terre, touché par un sort qui lui impose l’apparence d'un cochon. Il devient chasseur de prime. C’est alors qu’il rencontre une jeune mécanicienne de 17 ans, Fio, pour qui il éprouve vite de la sympathie. S’ensuit une série de folles aventures où se mêlent amour, combat, calme et compétition.

Ce qui rend Porco Rosso si attachant, c'est sa poésie ainsi que son atmosphère qui nous transporte. Ses musiques, soigneusement sélectionnées, sont dirigées par Joe Hisaishi. On est bercé par les vents frais et les vagues de l'Adriatique. Chaque aspect du film est peaufiné : les couleurs, les scènes d'action... C’est un portrait réussi de l'Italie. De nombreux indices sont dissimulés dans le film (uniformes, milice, armée répressive). Miyazaki prend parti au cours de l'histoire. Porco rosso signifie « porc rouge », surnom donné aux opposants communistes en Italie. On peut donc penser que derrière un simple dessin animé se cache une analyse politique poussée critiquant la société de l’époque. Ce film est touchant, riche en émotions, plein d’humour et romantique. Idéal pour les petits comme pour les grands !

I. PAPET, S. CHAUVEL, M. SENGER, 2de3, Quartier Ste-Geneviève.

L’art contemporain s’invite de plus en plus dans les lieux religieux, établissant une scénographie étonnante.

Le couvent des Jacobins de Rennes, est un ancien édifice religieux créé en 1229, devenu le centre des congrès en 2018.

L’artiste plasticien français, Laurent Grasso, a contribué à la modernisation de l’édifice en y intégrant son œuvre d’art.

En effet, il a revisité, modernisé, la façade, les fenêtres en ogives avec son œuvre, Revolving History.

Les murs s'animent

Si l'on se réfère au communiqué de presse de Rennes Métropole, le principe est le suivant : "Vingt-sept prismes triangulaires en laiton sont intégrés dans la forme ogivale des anciens vitraux. Ils sont animés d’un mouvement rotatif synchronisé".

Leur surface dorée reflète les éléments intérieurs et extérieurs. Le mouvement lent qui leur est imposé, réfléchit et magnifie, tel un miroir, le trajet du soleil. Lorsque nous pénétrons à l'intérieur de la nef, les murs s'animent par le jeu des reflets en mouvement.

L’oeuvre ne dénature pas l’édifice et reste discrète par son intégration sur la façade du couvent. Nous pouvons souligner la volonté de l’artiste de respecter le rapport à la lumière des vitraux originels.

C’est donc un travail subtil et précis que nous propose ici Laurent Grasso.

E. LEGROS, M. FRANCOU,
A. PIOLOT, 2de, Quartier Ste-Geneviève.

« Lisez », propose Emmanuel Macron aux Français, dans son discours du 16 mars. Mais que lire ? Et surtout, pourquoi lire ?

La lecture est une expérience universelle. Néanmoins, chacun la vit avec une approche qui lui est propre : comme un passe-temps, comme une passion, parfois comme un fardeau. Je doute que les lecteurs de La Plume d'Hermès soient atteints par cette allergie, mais il est toujours bon de rappeler les (nombreuses) raisons de lire.

On peut d'abord lire pour voyager, s'évader. Dans notre société dominée par l'image, il est nécessaire de laisser travailler notre imagination. Un roman, par exemple, ne nous impose aucun visuel : il nous fait voyager allègrement du réel au fictif. Un bon exercice pour la créativité.

La lecture prépare à la vie. Voilà qui peut sembler étrange, dit comme ça... Pourtant, tout comme les rêves qui seraient un moyen d'affronter diverses situations difficiles afin de pouvoir ensuite mieux y faire face dans la réalité, elle nous permet d'appréhender des situations très diverses. Un lecteur a vécu autant de vies qu'il a lu de livres ! Ainsi, la lecture procure une forme d'expérience. En outre, elle serait bénéfique pour l'empathie : le lecteur, en lisant, est en effet amené à comprendre des personnages aux profils variés.

Enfin, la lecture est une façon privilégiée d'accumuler des connaissances, de se construire une culture générale, d'apprendre à rédiger. Des avantages qui aident tout au long de la scolarité, mais aussi, et surtout, tout au long de la vie.

Alors... Qu'attendez-vous ?

Yoann CONTRI, 1ère, Quartier Ste-Anne.

Aujourd'hui, la technologie est omniprésente. Nous la retrouvons dans la littérature avec la liseuse numérique.

Depuis son lancement en 2007 et son apparition au grand public en 2009, la Kindle d’Amazon devient populaire, ce qui délaisse la lecture sur format papier. Elle nous permet d’accéder à des millions de livres facilement et simplifie la lecture en n’utilisant qu’un seul format. On peut télécharger divers contenus : magazines, romans, journaux...

Nous avons voulu nous interroger sur l’importance de la lecture numérique chez les lycéens, en réalisant un sondage dans notre classe de 2de. Nous avons relevé les informations suivantes : 65 % des élèves sont favorables au format numérique, mais seulement 40 % lisent avec un outil technologique et 36 % possèdent une liseuse électronique.

Nous avons pu en déduire que la majorité n’utilise pas de liseuse et que ce n’est pas l’arrivée des nouvelles technologies qui changera les habitudes des lecteurs.

Avantages, inconvénients

Que ce soit le format numérique ou le format papier, ces deux moyens de lecture présentent des avantages et des inconvénients.

La liseuse réduit l’encombrement des livres et diminue l’usage du papier tout en offrant une lecture agréable. Cependant comme pour tout objet numérique, il faut la recharger, ce qui limite ainsi le temps accordé à la lecture et puis, elle peut représenter un certain budget.

A. SCHIARITI, I. BEN ABDALLAH, S. ARAUJO, 2de 4, Quartier Ste-Geneviève.

Franz Kafka est un écrivain né à Prague en 1883. Il a fait partie du mouvement moderniste. Un de ses romans intitulé La Métamorphose, publiée en 1915, montre la tristesse de sa vie personnelle. Le monde de Kafka n’était pas agréable. Il reflétait, dans ses livres, les moments les plus sombres de sa vie.

Ce roman raconte l’histoire d’un jeune homme vivant avec sa famille, qui se retrouve un jour transformé en un gigantesque et dégoûtant insecte. A partir de ce jour-là, il reste enfermé dans sa chambre, laissé à l’écart. Personne ne se préoccupe de lui. Il finit par mourir de faim et sa propre famille est soulagée de le retrouver mort.

A travers La Métamorphose, Kafka a exprimé combien il s’est senti humilié, intimidé et blessé par la société, mais surtout par son père. Il avait également honte de son propre corps qui montrait à quel point il était fragile et peu sûr de lui. Son père le terrifiait et abusait psychologiquement de lui, mais il était trop timide pour lui répondre.

Afin de mieux comprendre ce roman et le message de Kafka, il est nécessaire de connaître sa relation au père. N’ayant jamais écrit directement sur lui, on peut cependant penser que le spectre d’Hermann Kafka a joué un rôle dans l’élaboration de ses écrits.

C.CANGARO, M. RODRIGUES, T. TISIKADZE, 2de4, Quartier Ste-Geneviève.

Selon un sondage réalisé en février 2020 sur 31 élèves de la seconde 3 âgés de 15 à 17 ans, seulement 13 élèves aiment les mangas.

Les jeunes qui ont répondu au sondage, ont expliqué aimer y découvrir de nouveaux univers, l’évolution des personnages et de l’histoire. Ils ajoutent aussi le fait que les histoires sont souvent plus matures et développées que celles de la bande dessinée.

Ils sont peu nombreux à en lire régulièrement. On peut conseiller, pour une première approche et pénétrer ainsi cet univers, My hero academia (Kohei Horikoshi), Assassination Classroom (Yusei Matsui), Beelzebub (Ryuhei Tamura).

Ce sont des mangas que l’on peut recommander du fait de la simplicité de leur narration et du dessin soigné des auteurs.

Quant aux élèves qui n’en font pas lecture, ils ont aussi donné leurs avis : « Les dessins sont beaux, mais je n’en ai jamais lus. », « Ça peut être attractif et changer des romans. », « Je comprends pas trop, et puis lire à l’envers, c’est bizarre. »

A. ROBIDOU, A. BOUGUET, 2de3, Quartier Ste-Geneviève.

Mais qui est Elon Musk et quels sont ses objectifs ?

Elon Musk né en1971 en Afrique du sud, près de Pretoria, est pdg de Tesla, de SpaceX et aussi le créateur de X.com, une banque en ligne qui fusionna avec Paypal. Sa fortune est estimée à 19,6 milliards de dollars. Il est la 24ème personne la plus riche des États-Unis. Son entreprise la plus importante est SpaceX.

Aujourd’hui, l’homme veut dépasser ses limites et les frontières du cosmos.

E. Musk a pour projet de « coloniser la planète rouge avec plus d'un million de personnes et beaucoup de fusées futuristes pour 2060 », selon National Geographic. La première à se rendre sur Mars sera la BFR, la Big Fucking Rocket. Selon la vidéo de Stardust, elle pourra accueillir 100 personnes et soulever, au décollage, 4 400 tonnes, pour coloniser la planète rouge.

Le but d’ Elon Musk est aussi de créer un « avant-poste lunaire », relié à la Terre pour réduire le temps de trajet. Car pour aller sur Mars, il faut environ 6 mois.

Ce voyage serait l’une des plus grandes découvertes de l'humanité avec celle de l'Amérique.

Cette exploration pourrait permettre à l'humanité de perdurer dans le temps.

I. PENNORS, G. HERRIAU, 2de4, Quartier Ste-Geneviève.

L'ASPAS a posté le vendredi 13 septembre 2019 une vidéo reportage sur l’élevage des animaux pour la chasse.

L'Association pour la protection des animaux sauvages a ainsi mis en lumière un fait peu connu du grand public, pour réclamer l'interdiction de ces pratiques.

D’après l’ASPAS, de 50000 à 100000 cerfs, chevreuils, mouflons, daims et sangliers sont élevés spécifiquement pour être lâchés dans des «  parcs d’attractions pour chasseurs  » qui payent pour des « parties de chasse », où leurs chiens entraînés poursuivent les animaux.

Les oiseaux aussi

Les oiseaux sont aussi victimes de ces pratiques. Relâchés quelques heures seulement avant la chasse, 19 millions sont tués chaque année. Ils sont élevés avant à la chaîne, dans des sites spécialisés, dans le noir ou dans des cages trop petites. Leur bec est perforé pour leur mettre des couvre-becs en plastique, pour éviter qu'ils ne s’entre-tuent et ne blessent les chasseurs.

La chasse est ainsi un moyen de faire du business pour certains, au détriment du bien-être des animaux.

M. BIENVENU, D. MALONGA,
K. NORMAND, 2de4, Quartier Ste-Geneviève.

En quoi le tatouage peut-il changer un complexe en un atout esthétique ?

Il existe aujourd'hui une nouvelle utilité au tatouage souvent perçu comme un simple dessin esthétique .

Certains tatoueurs se sont spécialisés dans le recouvrement de cicatrices, dans le but d'apporter un bien-être à des personnes complexées après un traumatisme .

Tatouage chirurgical

Les salons spécialisés appellent cette technique « le tatouage chirurgical ».

Par exemple, pour les femmes qui ont subi une opération suite au cancer du sein, le tatouage est un solution qui est de plus en plus utilisée, car il est esthétique et permet de donner l'illusion d'un relief.

Pour une cicatrice, le tatouage est aussi utile pour totalement effacer les traces d'un passé douloureux.

Avant de pouvoir remédier à cette technique, il faut patienter au moins deux ans pour que la cicatrice ne soit plus rouge et plus douloureuse.

Pour ce faire, il est aussi important de faire vérifier que la blessure ne soit pas trop fine, ni trop boursouflée, auprès d'un médecin. Cependant il est possible de faire des injections pour réduire le volume d'une cicatrice et ainsi de pouvoir se faire tatouer.

Un atout

Pour cacher une cicatrice on peut la recouvrir, mais aussi la garder visible pour qu'elle devienne l'élément principal du dessin ou un élément du tatouage. Elle devient alors un atout mis en valeur.

La technique du tatouage reste une technique coûteuse et demande une réflexion personnelle avant d'agir.

G. HOMO, Y. BEZIER, 2de4, Quartier Ste-Geneviève.

Lorsque l'on voyage et que l'on quitte la routine habituelle, on apprend à se découvrir sous un autre angle, grâce aux changements d'habitudes que l'exode entraîne et aux changements d’objectifs de la vie de tous les jours. Comment le voyage nous permet-il d’être en harmonie avec nous-même ?

Lors d'un périple, on apprend à se passer du superflu du quotidien et à savourer les moments vraiment importants que l'on néglige habituellement.

Prendre du temps pour soi

Que ce soit avec la famille ou les amis, nous avons tendance à être entraînés dans une routine quotidienne aveuglante, due au stress du travail ou de la vie de famille. Faire une pause de temps en temps et prendre du temps pour soi est important.

Que ce soit voyager par ses propres moyens, sans se préoccuper du lendemain, ou bien participer à un voyage organisé, le plus important est de se détendre.

Le voyage permet de s'ouvrir aux autres. On rencontre des personnes que l'on n'a pas l'habitude de côtoyer. On se forge des souvenirs inoubliables, on vit de magnifiques expériences et on découvre le monde qui nous entoure.

Que ce soit un voyage à petit budget ou un voyage plus conséquent, il y a toujours la possibilité de changer d'air et de sortir de sa zone de confort.

« Rester, c'est exister, mais voyager c'est vivre ! », selon Gustave Nadaud.

C. PITEL, J. GEFFROY, 2de3, Quartier Ste-Geneviève.

Au fil des siècles, la langue française s'est fortement masculinisée. Pour illustrer ce propos citons le mot « homme » devenu neutre. L'écriture inclusive peut changer cela. Initiée en 1958 à Alger par le Général de Gaulle dans son fameux "Français, Françaises", cette écriture est aujourd'hui couramment pratiquée. Elle innove avec la féminisation de certains noms, comme poétesse, l'apparition de mots identiques au féminin et au masculin, comme élève...

D'autres règles moins utilisées sont plus polémiques. C'est le cas notamment des formes contractées comme rédacteur·rice, ces formes s'écrivant alors via un point médian "·" pour faciliter la lecture. Pourtant ces formes annuleraient la règle selon laquelle le masculin l'emporte sur le féminin. Pour preuve, au Québec, cela fonctionne depuis vingt ans !

Aurore MOISAN, 1re,Quartier Ste-Anne.

C'est au sein de l'ancienne chapelle, reconvertie en CDI, que Marie-Christine a vécu depuis 1995. Elle a vu se succéder 5 directeurs et 4 documentalistes. Au fil des réformes, ont été proposés au collège les PPD, les IDD, les EPI et au lycée les TPE, tant d'occasions pour elle de former les élèves à la recherche documentaire. En 2002, elle oeuvre à la naissance et à la parution du JDL, La plume d'Hermès. Entraînés par son enthousiasme, élèves et enseignants participent à la rédaction d'articles et à leurs illustrations, fenêtres sur l'établissement ou le monde. Soucieuse d'établir un lien entre l'école et l'entreprise, elle obtient la confiance de la direction, organisant le Salon pro Avenir, rencontre annuelle entre lycéens et professionnels ou représentants de formation. « On a toujours à apprendre » : faisant sien ce credo, Marie-Christine a régulièrement accompagné au CDI les enseignants de nombreuses disciplines et se souvient de ce projet novateur d'écriture de nouvelles franco-américaines. Les élèves français et américains écrivaient des nouvelles par échanges de mails, en collaboration avec un professeur du lycée et un enseignant de Los Angeles. Lui revient aussi en mémoire sa surprise à l'irruption d'un couple en habits de noce dans le CDI : une ancienne élève souhaitait s'y faire prendre en photo, lieu cher à son cœur ! Après 25 années au CDI, Marie-Christine prendra sa retraite en septembre. Au programme : activités paroissiales, langues, jardinage et voyages... afin de goûter le plaisir du temps retrouvé !

Christelle PERSON, Quartier Ste-Geneviève.

A la rentrée prochaine, Marie-Christine Legaud, rédactrice en chef de la Plume d'Hermès, prendra sa retraite. Durant toutes ces années, sans jamais se départir de son exigence bienveillante et de sa disponibilité, elle aura aidé les élèves à donner le meilleur d'eux-mêmes pour produire des articles de qualité dans le respect des règles journalistiques. J'ai pris grand plaisir à travailler avec elle, poursuivant la collaboration déjà établie entre les 2 sites pour cette activité. Avec Marie-Christine, aucune difficulté n'était insurmontable. Manquait-il une photo ou un article ? "Attends, je vais te trouver ça dans mon restaillon ! ", annonçait-elle. Et elle dénichait toujours la pièce manquante dans ses inépuisables réserves ! Ainsi, dans l'effervescence du bouclage d'un numéro, tout finissait par trouver sa place sur le chemin de fer. Un grand merci à toi, Marie-Christine ! Jane ETIENNE, documentaliste,Quartier Ste-Anne.