Un ingénieur de Soyl est intervenu pour mesurer la conductivité des sols.

Le Bistromatik, une création qui donne une seconde vie à des robots abandonnés.

Pays-Bas,Maroc,Québec... les destinations pour des stages se multiplient.

Nos rencontres, créations et nos conseils de lectures, de films, de séries...

Grâce à un module de découverte de différents métiers, nous participons à aménager les espaces extérieurs de lycée. Depuis le début de l'année scolaire avec M. Pelegry, nous avons réalisé des croquis, pris les mesures et les tracés pour créer des sculptures métalliques. Nous avons ensuite assemblé les morceaux de ferrailles pour former des figures (des tracteurs, des fleurs).

Photos et films

Un nénuphar en acier flottera sur l'étang ! Les fleurs serviront d'ornementation dans les massifs végétaux.

"J'ai bien aimé utiliser le matériel de soudure", indique Antoine.

Un autre groupe a pris des photos et réalisé des courts-métrages sur notre activité. Il découvrait les techniques de prises d'images photographiques et vidéos.

Wilhem REDUREAU,
Louis ROUSSEAUX
et Antoine JOUIN, 3e A et B

Le lycée Issat s'est investi en octobre dernier sur le Salon de l'Innovation organisé sur la commune de Bains-sur-Oust. Une évidence pour notre lycée dont les formations aux métiers qu'il prépare sont en lien étroit avec les transitions de notre société : les transitions écologiques, énergétiques, numériques, sociales...

Plusieurs articles dans ce nouveau numéro d'Au Fil de l'info l'illustrent. Les nouvelles technologies sont entrées de plein fouet dans le monde agricole : la ferme du futur plus connectée, plus précise, se prépare. On en parle page 4 dans " La conductimétrie " qui permet de construire des cartes de potentiel des sols. La ferme plus sobre aussi, évolue, capable d'être autonome en énergie grâce à la production d'énergie solaire comme l'a montré la journée d'information sur le photovoltaïque (page 4) . L'espace biodiversité (page 4) préparé par nos élèves de 3e s'inscrit dans la nouvelle donne agroécologique tout comme l'option apiculture proposée dès cette rentrée (page 5).

L'avenir se construit

Les innovations et évolutions passent également par l'ouverture culturelle et les échanges : le séjour au Maroc de nos élèves de Bac Pro Sapat sera accompagné cette année d'un groupe de jeunes étudiants de BTS Anabiotec accueilli dans un centre de recherche à Marrakech (page 3). Yatharth, jeune Indien nous a également rejoint cette année (page 6) ; avec sa culture, il apporte l'ouverture propice aux innovations et initiatives. Au fil des initiatives, l'avenir se construit !

Patrice SAUVAGE
Directeur adjoint

Dans le cadre de notre BTS, nous réalisons début mars un stage collectif afin de construire, à partir d'un thème de recherche, un projet concrétisé par un protocole expérimental. Ce stage donnera lieu à la rédaction d'un rapport et sera présenté à l'examen terminal du BTS Anabiotec. L’occasion pour nous de découvrir une façon de travailler à l’étranger.

Nous sommes deux équipes de quatre étudiants à partir en stage dans deux laboratoires différents. La première effectuera son stage à l’ONSSA (l’Office National de Sécurité Sanitaire des Produits Alimentaires), un organisme public marocain responsable de la sécurité sanitaire des produits alimentaires et de la conformité des aliments importés au Maroc. Les services vétérinaires de l’ONSSA assurent le contrôle sanitaire des produits animaux et d’origine animale destinés à la consommation humaine (viandes et produits à base de viandes, lait et produits laitiers, produits de la pêche et de l’aquaculture) et à l’alimentation animale. Ils assurent le contrôle et le suivi sanitaire des conditions de production, d'entreposage, de préparation, de transformation, de transport et de mise en vente de ce produit.

La deuxième équipe fera son stage à la Faculté de médecine et de pharmacie de Marrakech (FMP-Marrakech), établissement d’enseignement supérieur public marocain de médecine et de pharmacie. Il est affilié à l’Université Cadi Ayyad et contribue au rayonnement et l’évolution des Sciences au Maroc. Les étudiants travailleront avec l’équipe de Mme Naïma FDIL, première lauréate du prix Terre de Femmes d’Yves Rocher, originaire de Ait Majber, un minuscule douar à plus de 300 kilomètres de Marrakech. La vie dans ce petit village isolé est rude, particulièrement pour les femmes. Créée en 2005 par Mme FDIL, l’Association Féminine pour le Développement de la Famille (AFDF) donne l’opportunité aux femmes de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs enfants grâce à la culture, la récolte et la distillation des roses locales.

Gaëlle, Blandine, Camille, Lucas, Brice, Corentin, Hector et Hugo, BTS2 Anabiotec

Nous sommes allés au Pays-Bas du 12 juin au 13 juillet 2019 dans le cadre du stage de fin d'année de première à l'étranger. La première semaine de notre voyage était dédiée à la visite du pays : Rotterdam, Amsterdam, Utrecht, Gouda. Nous nous sommes rendus au Wellant College, un établissement possédant une filière du paysage. Nous avons visité le Marché du Fromage et nous sommes montés en haut de l'Euro Master, une des plus grandes tours de Rotterdam.

Les quatre semaines suivantes étaient dédiées au stage réalisé dans les services municipaux de Waddinxveen, proche de Gouda. L'accueil et l'ambiance de travail ont été excellents. Nos maîtres de stage nous ont vite mis à l'aise et faisaient des efforts de compréhension avec notre anglais moyen.

Nous conseillons à tout le monde de partir travailler à l'étranger pour les rencontres et l'expérience que l'on obtient !

T. FREHEL et H. THOMAS, Terminale Aménagements Paysagers

Nous avons réalisé notre stage principal de Terminale au Québec, découvert la culture de nos cousins outre-Atlantique et profité des douceurs de Montréal et du Mont-Royal. Nous avons intégré Les lucioles à Laval, une "Résidence pour aînés" du Groupe Lumain. Nous avons énormément gagné en autonomie et avons vécu une expérience hors du commun. Nous avons beaucoup appris sur un plan professionnel durant notre séjour et également sur le plan humain et culturel grâce à l'accueil des Québécois, leur générosité et leur accompagnement.

Amélia BERTHAUD,
Laurie LE FUR, Terminale S1

Le vendredi 6 décembre, Anthony Beliard, un ingénieur de Soyl France a présenté aux BTS2 Génie des Equipements agricoles et aux Licence PRO Eco-Technologies les avantages d'une agriculture de précision.

Il a montré le fonctionnement d'un conductimètre pour mesurer la conductivité des sols. Cette technologie répond à des enjeux économiques et écologiques.

Le principe est de faire des relevés sur le terrain grâce à un conductimètre attelé à un quad. Les données sont croisées avec plusieurs cartes. L'objectif est de pouvoir moduler selon les caractéristiques des sols les doses d'apports d'engrais ou de chaux ou encore la dose de semis. Insérées dans le GPS du tracteur pour adapter le plus précisément possible, les exploitants peuvent mieux maîtriser leur travail.

Les BTS2 GDEA

Le 28 janvier a eu lieu une journée de rencontre à l'Issat et au Gaec de Brandéha à Allaire pour sensibiliser les agriculteurs à l'énergie solaire. Nous avons participé aux réunions de préparation où nous avons rencontré les associations EPV et Etoile solaire qui travaillent à la promotion des énergies renouvelables (éoliennes, panneaux solaires). Ils accompagnent des projets citoyens pour localiser la production d'énergie. Ils réunissent des fonds grâce aux citoyens pour financer les projets comme celui en cours à Brandéha, une installation de panneaux photovoltaïques sur le toit d'un nouveau bâtiment où la toiture est exposée plein sud.

Comme le dit Christophe Baron, exploitant à Brandéha : «  Le toit est disponible, autant qu’il serve !  ». La ferme recherche un maximum d'autonomie autant en alimentation animale qu'énergétique. La production d'électricité est revendue à EDF et permet une baisse du coût énergétique de l'exploitation. Il est possible de garder l'énergie produite sur place. La puissance prévisionnelle est de 30 000 kWatt. L'ensemble de l'installation est garantie pour 20 ans minimum et est amortie entre 15 et 20 ans.

Maëva TALLON,
Matthieu MATHURIN, Terminale CGEA

Avec notre professeur d'aménagement paysager, Alain Lelay, un groupe de treize élèves de 4e a réalisé un espace Biodiversité. Pendant le premier trimestre, nous avons construit un poulailler, des parterres pour un futur potager, un hôtel à insectes, une petite mare, des nichoirs et un composteur. C'est important pour nous de savoir entretenir cet espace pour conserver la nature et faire connaître le milieu naturel. Nous nous sommes ainsi formés sur un nouveau milieu professionnel.

Ce qui nous plu dans cette activité a été d'utiliser des outils comme la scie sauteuse, les visseuses, les règles et les niveaux et de construire un espace qui va servir aux insectes et animaux du lycée. Ce travail a été l'occasion de mieux se connaître et apprendre à travailler en équipe en s'entraidant.

Nolann CHIRON,
Ronan CHARRIER, 4e A

Le jeudi 17 octobre, la classe de première Labo s'est rendue au Salon de l'Innovation de Bains-sur-Oust. L'occasion de découvrir les avancées technologiques du moment et de rencontrer Nestor, un bras intelligent, fraîchement reconverti en barman : le Bistromatik.

Le Bistromatik est la création de Jean-Marie Ollivier. Titulaire d'un bac électronique et d'un BTS automatisme, ce bricoleur ingénieur redonne une seconde vie à des robots abandonnés, hors service, rebus de la modernité. C'est lui qui a offert une reconversion à Nestor.

Un robot ouvrier déclassé

Nestor a œuvré de nombreuses années sur les chaînes d'assemblage automobile. Consciencieux, fier de son travail, il a habilement posé les pare-brises de milliers de véhicules. Ce robot ouvrier a dû céder sa place, modernité oblige, à des machines de nouvelle génération.

Jean-Marie Ollivier a récupéré Nestor et lui a donné l'opportunité d'une nouvelle vie : satisfaire le visiteur assoiffé. Aujourd'hui barman, Nestor, le Bistromatik, ne boude pas son plaisir de reprendre du service, assurant son travail avec la même rigueur que par le passé.

Des secondes vies, Jean-Marie en a déjà offertes à quatre robots. Quatre robots reconvertis, réinvestis, réemployés, une initiative qui nous invite à réfléchir sur une application plus large du recyclage de machines industrielles.

C. GUILLAUME, C. BELLOEIL,
H. CATROUX, L. LECOMTE,
K. LEPAGE,

1ère Labo.

Depuis son arrivée début novembre, la présence de Yatharth nous apporte beaucoup de richesses et nous permet de mieux approfondir nos connaissances. Ce jeune homme a beaucoup de volonté car changer de culture et de mode de vie est perturbant : nous sommes admiratifs  !

Il parle le français, l’anglais, l'hindi et deux langues régionales. Il est facile de communiquer avec lui. Yatharth est d’une aide précieuse, lors des cours de soutien.

Grace à lui, nous pouvons apprendre davantage sur son pays, l’Inde, et sa culture. Nous avons appris qu’il existe trois religions importantes : l’hindouïsme 50 %, l'islam 40 %, le christianisme 5 %. Les 5 % restant sont le bouddhisme et le jaïnisme, des philosophies issues de l’hindouïsme.

Yatharth nous a également expliqué les différentes catégories sociales ; les castes. Les Shudras (femmes de ménages…), les Vaishyas (hommes d’affaire…), les Rajabuts (militaires…), les Brahmins (enseignants-prêtres mariés). Lui vient des Brahmins, la plus haute. Il dit, qu'aujourd’hui, la société indienne est moins catégorisée.

Concernant l’école, après la crèche pour les enfants, cela va de la "1re" (le CP) à 5-6 ans, jusqu’à la 12e l’équivalent de la terminale. Ensuite, viennent le collège puis l’université. Il existe une différence entre garçons et filles sur l’instruction même si 60 à 70 % des femmes travaillent.

Ses premières impressions en France 

Yatharth pense que nous avons une culture ouverte, l’expression est facile avec les gens. Il trouve les Français respectueux des lois dans la rue comme pour les feux rouges et les passages piétons. Il admire le niveau égalitaire entre hommes et femmes. Son impression négative est le manque de respect des enfants envers les parents et la consommation de drogues comme le tabac et l’alcool.

Et le lycée ? Impression négative : la discipline et le manque de respect comme les gros mots. Impression positive  : professeurs et élèves travaillent beaucoup et bien.

C’est grâce à des personnes comme Yatharth que notre connaissance s’enrichit. Sa détermination nous offre un bel exemple d’ouverture à d’autres cultures et d’envie de voyager à l’étranger.

Yasmin MOUMENI, 2nd ABIL

Nous avons d’abord appris à analyser une photo par ses différents plans (plan large, plan américain, gros plan…) ; la lumière (artificielle ou naturelle, son intensité, ses ombres) ; les couleurs ; la position des personnages (règle des tiers) ; les lignes de force ; le format. Ensuite, nous sommes passés à la pratique : chez nous, nous avons pris des photos, en ayant pour consigne d’appliquer ces règles. Les thèmes imposés étaient : la lumière, le travail…

Réussir des beaux clichés

Le contenu est très dense et les consignes sont exigeantes mais nous avons du plaisir à réussir de beaux clichés, harmonieux et équilibrés. Nous utilisons aussi nos connaissances pour nos photos personnelles. Nous travaillons notre imagination et notre créativité. Enfin, qui est intéressant, c’est que nous pouvons faire le lien avec le cours de français.

Le thème de la séquence présente est : « Des goûts et des couleurs, discutons-en ! » Nous savons maintenant qu’être capable d’exprimer un jugement esthétique est important pour notre culture personnelle mais, il faut avant tout se laisser surprendre et privilégier l’émotion artistique. Comme dit Max Jacob : « L’émotion artistique cesse où l’analyse et la pensée interviennent ».

Les élèves de seconde NJPF

Le mardi après-midi avant les vacances de Noël, nous (tous les élèves de quatrième) sommes allés au théâtre Le Canal de Redon pour assister à un spectacle de cirque. Deux hommes étaient sur scène et une jeune femme les a rejoints au milieu de la représentation.

Une démonstration impressionnante

Nous avons trouvé que la salle était grande et belle. Les artistes nous ont montré leurs performances physiques : le plus petit portait le plus grand sur une barre, le plus grand s'accrochait au plafond par les cheveux : ça devait faire mal !

Compréhension difficile

Malheureusement, tout le texte était en anglais, on ne comprenait pas non plus le message qu'ils voulaient nous transmettre avec leurs corps : leurs gestes étaient très répétitifs et, parfois, on avait l'impression qu'il fallait qu'on fasse quelque chose mais on ne savait pas quoi...

Nous pensons que les enfants de primaire qui étaient avec nous ont encore moins compris : ils étaient très agités.

Nous avons quand même apprécié de voir le théâtre et un spectacle original.

Les élèves de 4e A

En novembre, Alexandre Koutchevsky et sa troupe sont venus poursuivre le travail d'écriture de leur pièce, intitulée Rivages, qui traite d'esclavage à travers le commerce triangulaire.

Lors de ces quatre journées, ils ont eu l'opportunité de rencontrer certains membres du personnel de l'Issat, qui avaient des connaissances intéressantes et utiles à l'écriture de leur pièce. D'autre part, des élèves de 2nde Agro, 2nde PA, 3e, et 1re Sapat ont eu la chance d'assister à des ateliers théâtraux, mêlant discussion, écriture, et déclamation de leurs textes dans les champs du lycée.

De retour en mai

Alexandre est en résidence, c'est-à-dire en immersion au sein du lycée depuis l'année dernière et encore pour deux ans. Il reviendra courant mai afin de poursuivre ses rencontres et son travail d'écriture.

Mme THOMAS, enseignante français

Dans le cadre de notre formation, nous avons eu l'occasion de visiter le théâtre de Redon nommé Le Canal.

Avec l'aide précieuse d'une employée du théâtre, qui nous a guidés tout au long de cette expérience, nous avons ainsi pu découvrir différents lieux : l'accueil billetterie, qui est très coloré et même décoré d'animaux aux murs qui indiquent la direction d'une pièce maîtresse : l'amphithéâtre. C'est l'endroit où les spectateurs peuvent assister aux différentes représentations. De là, nous sommes montés sur scène, où nous avons eu des explications, notamment sur les superstitions au théâtre (saviez-vous que certains mots sont interdits sur scène ?), et sur le vocabulaire technique. Nous avons aussi pu discuter avec des techniciens qui étaient en train d'installer le décor du prochain spectacle. A proximité, nous avons pu accéder aux coulisses puis aux loges.

Dans ces lieux, on peut se changer, se préparer, se pouponner... En loge, certains comédiens peuvent même se laver, manger, dormir.

D'autres lieux nous ont été exposés, comme la salle de repos, un studio insonorisé, une salle de répétition, un monte-charge afin de faire circuler de gros objets comme des pianos.

Cette visite du théâtre était une première pour la majeure partie de la classe.

Après l'observation,
place à l'action !

Avant les vacances de Noël, une demi-journée théâtre a été organisée au lycée. Au programme : jeux de rôles, improvisation, exercices de diction, le tout ponctué de beaucoup de rires.

Tous ces temps nous ont beaucoup plu.

C'était une expérience nouvelle et très enrichissante personnellement mais aussi pour le collectif. 

La classe de CAP2 SAPVER

Je suis allé voir Maléfique 2 au cinéma avec l'internat du lycée. Au départ, il ne me tentait pas du tout : style fantastique voire fiction avec des couleurs sombres... mais je voulais être avec mes amis ! Je les ai suivis et au final ce film m'a beaucoup plu. Par contre, j'ai vu le 2 avant le 1. J'ai donc acheté le premier DVD pour savoir le début de l'histoire tellement le film m'avait plu.

David DELANOE, 2nde PA

One punch man est un manga écrit par Yusuke Murata. Dans ce manga, Saitama devient un super héros. Un jour, il sort d'un rendez vous professionnel. Il croise alors un homme-crabe qui le menace, mais Saitama en a marre d'être une simple personne. Il entame alors un entraînement intensif qui consiste à faire 100 pompes, 100 abdos, 100 squats et 10 km de course à pied tous les jours pendant 3 ans. Il devient alors le plus fort des supers héros mais il a perdu tous ses cheveux... et personne ne le prend au sérieux ! Un manga décalé qui traite les super héros au second degré !

Salomon EYQUARD, 2nd NJPF

J’ai trouvé cette bande dessinée très bien car elle parle de la fille de Vercingétorix, un homme connu dans l’histoire. Ici, sa fille est emmenée dans le village des irréductibles Gaulois qui vont la protéger des bras d’Adiétochérix. Pour moi cette BD est un grand succès, elle est très intéressante. De plus, elle est facile à comprendre.

Emeric COURCOUL, 2nde PA

La série Tchernobyl de Craig Mazin diffusée sur OCS raconte avec un réalisme époustouflant cette catastrophe nucléaire avec des détails qui nous étaient jusque-là inconnus !

Dans la nuit du 26 avril 1986, le coeur du réacteur MB4 d'une centrale nucléaire explose à Tchernobyl en URSS. Les pompiers sont dépêchés sur place pour essayer d'éteindre l'incendie causé par l'explosion.

Après avoir pris conseil auprès d'un scientifique, Valeri Legasov, le gouvernement envoie des soldats et des mineurs pour mettre le graphite dans le réacteur puisque celui-ci est hautement radioactif.

Diego JOUIN et Tony GUILLOUËT