Deux graffeurs ont accompagné les élèves de 3ème dans leur réalisation d'une fresque originale dans le foyer.

Les métiers de l'agriculture se découvrent et s'apprennent sur le terrain. Rencontre avec le GAEC de Guimbert à Bains Sur Oust.

Les 4ème et 3ème ont participé à la fabrication de quelques 400 litres de jus de pommes qui alimenteront les petits déjeuners des internes.

Depuis la reprise des cours, les gestes barrières sont désormais des pratiques quotidiennes de l'ensemble de la communauté éducative.

Mme Paris : Lors du confinement, quels outils as-tu utilisés ?
Antoine  : Je disposais d'un ordinateur. Ma mère était en télétravail et donc j'avais celui de la famille. J'en ai un mais trop petit. J'ai utlisé Teams et Scolinfo. Et vous, qu'avez vous utilisé, ça a été compliqué ?
Mme Paris : Ça a été assez simple. J'avais un ordinateur fixe avec un très grand écran. A la maison, mon mari et mon fils avaient leur ordinateur. Par contre, je n'avais pas de webcam et j'étais obligée d'avoir un casque. Et j'ai la chance d'avoir une bonne connexion. Et toi ?
Antoine  : L'ordinateur ramait mais la connexion était bonne. Le problème venait de Scolinfo qui fonctionnait mal le lundi matin quand tout le monde consultait ses devoirs en même temps ! Ma mère imprimait la veille les devoirs à faire et je travaillais le matin.
Mme Paris : Ta maman t'a beaucoup aidé ?
Antoine  : Au début. Par la suite, je me suis organisé seul. Et vous, vous aviez des réunions pédagogiques ? Comment communiquiez-vous ?
Mme Paris : Nous communiquions par le réseau interne "Yammer". Nous nous sommes partagés des techniques informatiques, comment transformer un "pdf en word", comment faire un questionnaire en ligne. Au début je me suis sentie démunie. Ça m'a permis de progresser avec l'outil informatique.Mme Paris, professeure de Maths et Antoine Jouin, 2nd PA

Dans ce numéro, nos jeunes journalistes témoignent à la fois de leur vie pendant le confinement à la maison et des activités collectives vécues au lycée ces derniers mois, mettant en évidence que « vivre sa formation au lycée » c’est quand même bien mieux que le « distanciel ». "Distanciel", néologisme de l'année 2020 qui, en quelques jours au mois de mars, a envahi nos quotidiens. Comme en témoignent ci-dessous un élève et son enseignante, enseigner ou apprendre à distance n'a rien d’évident. Du point de vue des enseignants, comment adapter un cours expliqué en classe pour qu’un élève puisse se l’approprier ? Comment faire le lien avec des situations professionnelles ? Du point de vue des élèves, comment organiser son travail à la maison ?

Les technologies de l’information et de la communication (TIC) ont pris une grande importance pendant ce confinement. « Telécharger un document sur Scolinfo (école directe aujourd’hui) » « convertir un fichier en PDF », « se connecter à une visio sur Teams »…, autant de compétences qui sont devenues indispensables. La certification numérique PIX, engagée cette année dans le lycée répond à cette nouvelle exigence : maîtriser l’usage du numérique devient indispensable, à l'école comme dans nos vies quotidiennes et professionnelles.

Les outils numériques ne remplacent cependant pas le lien pédagogique entre l'enseignant et l'élève. Cette période l'a bien mis en évidence. « Garder le lien » est resté le fil conducteur dans notre mission éducative. Enseignants, tout particulièrement les professeurs principaux, se sont préoccupés du décrochage possible des élèves par des contacts téléphoniques. En effet, le sondage auprès des familles quelques semaines après le confinement montrait pour un quart des élèves des difficultés : connexion insuffisante à la maison ou problème d’ordinateur pour recevoir et envoyer les devoirs, difficultés d’organisation ou de motivation,…pour une autre moitié des élèves, au bout de quelques semaines, ils semblaient avoir trouvés une bonne organisation et même pour un quart d'entre eux trouvait un avantage à l'apprentissage des leçons à son rythme à la maison.

Le retour au lycée s'est fait avec le masque. La responsabilisation de chacun a permis de réaliser tout le premier semestre de la nouvelle année scolaire au lycée.

Merci aux nombreux rédacteurs et notamment à ceux qui témoignent de leur vie pendant le confinement. L’occasion de rappeler que ce journal est le vôtre et ouvert à votre expression sous toutes ses formes. Écrire est une expérience forte, être lu dans un journal est encore plus fort. Alors, merci à ceux qui font le pas. N'hésitez pas pour le prochain numéro à faire vos propositions. Hervé Chaplais, enseignant responsable de la rédaction vous attend !

Patrice Sauvage
Directeur Adjoint

A ceux qui désormais reposent en paix.

La guerre sanitaire, tu as déclaré,

Au confinement, tu nous as obligés,

Boucliers anti-virus, on a déployé. 

Une faim de loup tu as, vaccin te tuera.

Tu nous mangeras pas, on s'ra plus forts que toi.

Les habitants et les soignants feront la loi,

Médocs on trouvera, enfin tu partiras.

Les cours à la maison, faut s'en faire une raison,

Aucune autre raison d'éviter ce poison,

Monter dans un tracteur ne me fait pas peur,

Mais apprendre sur ordinateur, c'est l'horreur.

Marie MORIN. 2nde PA

Un confinement difficile même entourée de ses proches
Je me suis beaucoup interrogée sur la suite des études et sur le maintien de mon stage. Même si ma famille est un soutien moral, les cotoyer H24 sans sortir peut créer des petites frictions. Je suis restée des fois seule dans ma chambre, c'est assez frustrant car l'espace est assez restreint. C'était dur pour travailler mes cours.
Le dessin pour se ressourcer Hormis les cours, j'ai beaucoup dessiné. J'avais beaucoup de projets individuels ou collectifs. Les collaborations d'artistes sur les réseaux sociaux m'ont permis de rencontrer un tas de personnes. Certaines d'entre elles sont devenues de bons amis, ça nous arrive de nous 'appeler pour organiser des "lives" sur Instagram. En plus, de progresser et d'apprendre de nouvel technique (pastel, aquarelle), le dessin m'a libéré de tout stress et agacement.

Le dessin, une place aussi importante que les cours

Le temps passé en dessin dépendait de mes envies et de mes projets. Parfois, je dessinais 2 heures. Et d'autres fois où à 3h du matin je n'étais pas encore couchée ! L'art m'a aidé de m'évader au point d'en oublier la notion du temps.Gwendoline Levallois--Moreau, BTS2 Anabiotec

"Moi, je suis resté confiné chez moi sans voir personne et on devait rester en famille. Personnellement, dans ce confinement, je vois des points positifs et des points négatifs.
Les points positifs sont que j'ai pu aller à la ferme chez moi, que j'ai passé plus de temps en famille. Par contre, je devais sortir le moins possible, je devais porter un masque pour chaque déplacement, je ne pouvais pas aller voir les copains.
Il y a aussi le problème de ne plus aller à l’école. On travaille un peu à la maison sur l’ordinateur mais on retient beaucoup moins de choses que dans une salle de classe.
La plupart du temps j'ai aidé mon père à la ferme et ma deuxième activité était de faire mes devoirs. Au début, je me suis dit que ce n’était que du cinéma et que personne ne croyait à cela, et plus le temps passait, plus je commençais à avoir peur de l’attraper.
Mon point de vue est que je pense que les médias en disent beaucoup trop et je pense que c’est en partie pour faire peur aux gens qui écoutent, aussi pour énerver les gens. Tout le monde se rappellera du jour du déconfinement."Julien RATIVEL,
Seconde Agroéquipement

"Le lundi 11 Mai dernier, la France entière a été déconfinée, nous étions tous contents de pouvoir enfin ressortir de chez nous.
Quand le Président de la République a dit que nous allions bientôt être déconfinés, j'étais heureux, j'avais très hâte. Une semaine plus tard, quand la carte de France est sortie avec les trois couleurs : vert, orange et rouge, je voulais que nous soyons en vert.
Au cours de ce confinement, je suis resté chez moi faire mes devoirs et aller dehors, dans mon jardin. Chaque jour, la même chose. Pendant ce temps, le virus se propageait. J'espérais qu’aucun membre de ma famille ne soit touché."

Johan BONAMY, Seconde NJPF

Le vendredi 4 décembre 2020, les terminales paysagistes ont planté une haie bocagère au lycée. Ce projet a été mis en place par Mr Rault, professeur d’agronomie, ainsi que Mr Spencer et Mme Kernel, tous deux professeurs en aménagement paysager.

Cette plantation, financée par l’association “C’est qui le patron ?” permet de mettre en avant et préserver la biodiversité au sein du lycée. Elle a également comme but de faciliter la vie des abeilles présentes sur le site afin qu’elles puissent se nourrir et qu’elles ne quittent pas leur habitat. Les abeilles au lycée sont une richesse étant donné leur disparition dans le monde. Ce projet a aussi pour but de sensibiliser l'ensemble de la communauté éducative et les personnes extérieures. D'autres projets seront mis en place afin de développer la préservation de la biodiversité

E. Coine, J. Le Pabic, L. Averty, BTS1 Anabiotec

Dans le cadre d'un projet jus de pommes, encadrée notamment par M. Rault et Mme Weisse, une partie de notre classe s'est rendue à Pluherlin afin de récolter des pommes. Elles ont ensuite été triées. Et des élèves de troisième et quatrième se sont occupés de la mise en bouteille.

Désormais, les élèves internes ont la chance d'apprécier ce savoureux jus de pommes au petit-déjeuner.

La classe de seconde PA

Pendant le mois de novembre, nous avons eu la chance de pouvoir participer à nouveau au village des sources.

En effet, l'année dernière, nous avions déjà participé, en CAP SAPVER première année, à une première édition du village des sources à Pénestin. Nous avions vraiment beaucoup aimé ces deux journées.

Cette année, accompagnés de Mme Monnier-Bouland, Mme Aron et Mme Thomas, nous sommes partis à Derval, dans l'ancien collège saint Donatien.

Des objectifs

Les objectifs du village des sources sont multiples : créer une cohésion de groupe, prendre confiance en soi, apaiser les tensions s'il y en a...

Pendant deux jours, donc, nous nous sommes longuement promenés, nous avons fait des jeux de cohésion, des ateliers d'écriture... Nous avions aussi beaucoup de temps d'échanges en groupe, mais aussi des temps pour nous seuls, pour réfléchir, méditer...

L'année dernière, nous avions ressentis tout de suite les effets positifs dans la classe. C'est aussi pour cette raison que nous voulions y retourner cette année.

Allez-y !

Comme l'année passée, nous avons vraiment apprécié ces deux journées, et le cadre était magnifique. Si, à Pénéstin, nous avions pu profiter de la mer, cette année, c'est en forêt que nous avons passé beaucoup de temps.

Nous conseillons vivement à toutes les classes d'y aller. Ce sont deux journées souvent riches en émotions, mais toujours très bénéfiques pour tous.

La classe de CAP2 SAPVER

Quand nous sommes arrivés à la rentrée en 2nd NJPF, nous ne nous connaissions pas. Une semaine d'intégration a été organisée : Visite de la composterie de Bains sur Oust, visite de l'expo Photo et du Jardin botanique d'Yves Rocher à La Gacilly, rencontre avec l'équipe du Service des Espaces de Redon, visite de la ferme du Ménéhy où les 3ème et les 2nd ont planté une haie bocagère et enfin, Kayak à l'île aux Pies !

Ce qui nous plu, c'est d'être ensemble, parce qu'on a pu se connaitre dans une bonne ambiance. Nous connaissions peu le pays de Redon. Nous avons pu découvrir différents paysages et activités. Une semaine aussi fatigante, près 14 km à pied !

Valentin Bretéché-David
Alban Gloaguen, 2nd NJPF

Un stage 100 % écologique et durable et 101km avec des vélos et de l'entraide !

Nous sommes allés visiter une ferme bio à Massérac, et nous avons pu comparer avec une ferme conventionnelle.

Ensuite, Accrobranche et Escalade pour faire des activités non polluantes. Enfin, nous sommes allés visiter d'une brasserie paysanne, La Bambelle à St Gravé à la découverte de la culture des céréales et comprendre les étapes de la fabrication de la bière. Pour finir la journée et nous donner du courage, nous avons dégusté un délicieux jus de pomme fait maison. Le dernier jour, nous avons ramassé des déchets dans une partie de Redon : nous avons trié et ramassé 73,74kg d’ordure en 2 heures.

Ce stage nous a permis de participer activement à des actions en lien avec le développement durable et également de mieux nous connaître, c’était aussi un stage d’intégration. Ce fût une expérience enrichissante pout tous !

Les Secondes Abil-Agro

« Le vendredi après-midi, nous sommes allés au GAEC de Guimbert : nous avons curé les niches individuelles des veaux et fait les logettes des vaches laitières. J’ai aimé les TP Élevage, car j’ai appris plein de choses ! »

Romane HAMON, 4^ème A

« De base, je ne voulais pas faire élevage... Au fil du temps, j’ai apprécié de travailler dans la ferme, s’occuper des veaux, passer du temps avec mes amies... J’ai un nouvel avis sur l’élevage : je trouve ça super sympa et instructif ! En plus, je trouve que cela rapproche les personnes. Si je devais refaire cette activité, je la referais sans hésiter. J’ai caressé les jeunes animaux ; j’ai entretenu la litière des niches des veaux ; j’ai tondu le dos de veaux... J’ai vraiment adoré ! Merci énormément pour cette chance de me faire découvrir cet univers ! »

Tifany YANNA, 4^éme B

« J’ai appris à faire un licol à un petit veau, je ne connaissais pas la race Bleu Blanc Belge. »

Corentin NICOLAS, 4ème B

e« C’est une ferme très propre avec des bâtiments fonctionnels et un très bon accueil des exploitants. On y fait le suivi de croissance des génisses laitières (pesées) et on entretien les litières pour leur confort. On s’entraîne à faire des licols et à les coucher pour leur mettre leurs boucles électroniques. Pour les écorner, on les anesthésie pour qu’elles ne sentent pas la douleur : on prend en compte le Bien-Être Animal. »

Jérémiah BADIN
et Quentin NOBLET, 2nde PA

Durant la semaine du 27 au 31 janvier 2020, nous avons réalisé une fresque dans notre foyer 4^ème 3^ème autour du projet graff en ESC avec Mme Launay. Nous n’avions aucune certitude sur la réalisation du projet : les financements ont été compliqués à trouver. Nous étions encadrés par deux professionnels : Jef (Jefgraffik sur le secteur de Redon) et François (Ezra Artiste Graffiti sur le secteur de Lorient). Pendant deux heures, Jef est venu nous parler de son travail et de son parcours professionnel.

Nous avons réfléchi à des idées de thématique que nous avions envie de représenter.

Nous avons choisi de représenter l’agriculture, les animaux menacés en voie de disparition, le « bike life » et une jeune fille qui rêve (d’inspiration manga). Puis, nous nous sommes lancés dans les préparatifs : protéger les lieux pour pouvoir peindre et aussi appliquer deux sous couches pour que la bombe adhère.

Jef et François ont commencé les traçages. On s’est entraîné à tenir et à manipuler la bombe. Puis, par petits groupes, nous avons commencé les remplissages. Petit à petit, nous avons appris à tracer, à faire des dégradés et à réaliser de petits détails. Jef et François ont fait les finitions le vendredi.

Nous retenons beaucoup de choses positives de ce projet : la bonne entente, la très bonne relation avec les deux graffeurs. Nous nous sommes senti soutenus et valorisés par les personnes qui venaient nous voir. On s’est tous impliqués dans le projet et nous étions à l’écoute des conseils donnés par les graffeurs. Nous sommes très satisfaits du résultat et sommes très heureux d’avoir pu donner nos propres idées. L'inauguration a eu lieu le 10 mars 2020 en présence des directeurs, des graffeurs et des personnes qui ont participé au financement.

Les élèves de 3^ème B (2019-2020)

La série Naruto raconte l’histoire d’un jeune garçon, Naruto, qui a perdu ses deux parents à la naissance. Un jour, un ex-habitant du village masqué et manipulé, invoque le monstre Kyubi. Le monstre, un renard à neuf queues a détruit en grande partie le village mais les parents de Naruto réussissent à le maîtriser en se sacrifiant. Kyubi, maintenant, vit à l’intérieur de Naruto faisant face à des épreuves très difficiles pour continuer de maîtriser le monstre.

Les images sont magnifiques. Chaque personnage possède un pouvoir spécifique. Nous retrouvons les valeurs de fraternité, de solidarité et de persévérance dans les difficultés.

Soig DUTEIL, 2nde NJPF

FIFA 21 est sorti le 9 octobre 2020, c’est le jeu le plus vendu au monde : 3,6 millions de joueurs qui l’utilisent. Ce jeu de football consiste à faire des matchs ou des entraînements pour soi ou en ligne.

Il est possible de jouer en mode Volta, le « FIFA street » en mode Coup d’envoi pour des matchs amicaux avec tous les clubs et nations du monde du football. Le mode Carrière consiste à mener une carrière avec plusieurs clubs, nations ou joueurs. Le mode Ultimate Team consiste à créer une équipe de rêve en achetant des joueurs sur le marché des transferts avec des crédits ou des points FIFA.

Parfait pour les passionnés du ballon rond !

Owen METAYER, 2nd NJPF

Anne Dauphine Julliand nous livre l'histoire de sa fille, malheureusement atteinte d'une maladie génétique orpheline. Un témoignage plein d'émotions qui souligne l'importance des proches et de l'amour que l'on peut recevoir, face à la maladie.

Marie MORIN.2nde PA

Entre fantastique, enquêtes, et aventures, cette saga se lit avec plaisir. On rencontre Sophie, 12 ans et élève de terminale. Sa particularité est de pouvoir lire dans les pensées depuis une chute. Cette histoire vous tiendra en haleine.

Lola BOUCARD. 2nde PA 

Nous avons réalisé une exposition photo pour mettre en valeur les femmes qui travaillent sur le territoire. Elle a été exposée dans le centre ville de Redon. L'objectif étant de mettre en lumière le travail des femmes sur le territoire, il a fallu trouver des femmes avec un métier qui était autrefois à connotation masculine. Cela a permis de casser les clichés dictant qu'’une femme devrait avoir un métier associé à une certaine idée de "La Femme". Malgré les stéréotypes, les femmes commencent de plus en plus à se diriger vers des métiers "masculins". Les femmes peuvent tout aussi bien que les hommes occuper une place importante. On a pu remarquer que sur le territoire, travaillent de plus en plus de femmes avec des métiers difficiles : ambulanciers, pompiers... des exemples à suivre !

Emma Bocquene,
Nolwenn Debarre,

Term SAPAT2

Pour célébrer la fête nationale de l’Espagne, les élèves de l'option espagnol ont organisé une exposition au CDI. Nous avons fait connaître la célébration du ”Jour de l’hispanité”. Les 2ndes ont créé des affiches. Les 1ères ont inventé le dialogue de la 1ère rencontre entre Christophe COLOMB et le 1er chef des indiens lorsqu'il est arrivé à Guanahani, le 12 octobre 1492. Les Terminales ont réalisé une affiche pour montrer l’origine américaine de fruits et légumes comme les pommes de terre, les tomates ou le maïs.

Nous avons bénéficié de la précieuse aide de Béatrice MARTINEZ, en Service Civique Européen originaire de l’Andalousie d’où sont parties les 3 caravelles “La pinta”, ”La niña” et ”La Santa María “.

Magie Hernandez Diaz, 1ère SAPAT1

et Julie Guibert, 1ère LCQ