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N° 23 - Juillet 2023 | www.issat.info |
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4e :Création de« Pnoufs »
En "stage découverte", des élèves de 4e ont participé à l'aménagement de leur cour et créé un mobilier original nommé : "Pnouf". Apprendre à travailler et agir ensemble.
Lycée Issat : olympique et solidaire
Les 6,11 et 12 avril 2023, les apprenants des classes de 1ère Laboratoire et Services Aux Personnes et Animation dans les Territoires ont participé à la Semaine Olympique et Paralympique dans le cadre du stage Santé et Développement Durable. L'occasion d'aborder, de rencontrer et de tester différentes pratiques du sport adapté (ici, leçon d'escrime en sport adapté).
Reportage photo en 4ème de couverture !
Pages 4 et 5
Zoom sur le patrimoine
Patrimoine bâti, espace naturel ou encore race bovine ancienne, le patrimoine local est riche et prend différentes formes. Exploration des ressources à protéger.
Page 7
Destination Brocéliande
Contes, mythes et légendes...Les 4e se sont rendus au Centre Permanent d'Initiatives pour l'Environnement (CPIE) de la Forêt de Brocéliande à Concoret.
Laura Renaux succède à Nicolas Jéhanno comme directrice
En septembre prochain, Laura Renaux succède à Nicolas Jéhanno comme directrice ; Nicolas Jéhanno était directeur du Lycée Issat depuis septembre 2018.
A son arrivée en 2018, l'équipe du Lycée avait un nouveau challenge avec le regroupement des sites de Redon de Saint-Jacut-les-Pins. Avec beaucoup d’enthousiasme, Nicolas Jehanno a su donner ce nouveau souffle que nécessitait ce regroupement. De nombreux projets ont vu le jour, d’ouverture de formations aux partenariats à l’international. Dans ce numéro, la "Une" met en valeur le sport « olympique et solidaire » symbolisé par le label Génération 2024 mis en œuvre à son initiative tout comme l’option VTT plébiscitée par de nombreux élèves (plus de 50 élèves inscrits chaque année). C’est aussi grâce à lui que les vaches bretonnes ont pris leur place dans le lycée et se lancent dans un prochain défi d’une présentation au Salon International de l'Agriculture en février prochain (p 3). Nicolas Jehanno prendra en septembre prochain la direction du lycée La Touche à Ploërmel, dont il a été l'adjoint pendant de nombreuses années, ainsi que celle du lycée Jean Queinnec à Malestroit.
Laura Renaux, 38 ans, est originaire du Pas-de-Calais. Elle avait en charge la direction du Lycée de Chauny depuis 2021, lycée agricole des Hauts de France, après avoir été formatrice et enseignante à l’Institut de Genech puis adjointe de direction, établissement accueillant 3500 élèves. Nous lui souhaitons la bienvenue pour poursuivre « la fabuleuse histoire du Lycée Issat » !
A ce titre,, le livre mémoire du Lycée Issat, recueil de témoignages sur son histoire, vient d’être édité aux Éditions Ouest France (disponible au Lycée sur demande).
Patrice SAUVAGE,
Directeur Adjoint
Un futur désirable pour nos campagnes
Le Lycée accueillait le 2 juin, Marc Dufumier et Valérie Joussaume, deux universitaires de renom. Témoignages :
"Pour moi, le message de Marc Dufumier était de ne pas perdre espoir. Faire moins de travail du sol et faire plus confiance aux forces naturelles, en utilisant les ressources naturelles. Faire une agriculture intensive en moyens naturels et en énergie renouvelable !"
Jérémiah Badin
" On produit assez mais on gaspille trop et la nourriture est mal réparti. L'agroécologie n'est pas un retour en arrière. Au contraire, c'est faire de l'agriculture de précision en mélangeant les nouvelles technologies et la base de l'agriculture".
Eloïse Journet
"On entend souvent qu'il faut baisser les cheptels. Marc Dufumier nous dit qu'il faut continuer à produire mais en diversifiant mieux et en répartissant mieux les productions sur toute la France. Et un enjeu important c'est la transmissibilité des fermes. Que le travail agricole soit plus rémunérateur pour les éleveurs : travailler beaucoup et être rémunéré en conséquence. Une agriculture intensivement écologique est un vivier d'emploi qui peut nourrir tout le monde, producteurs comme consommateurs."
Lola Boucard

Que sont-ils devenus ?
Léa Bloyet, ancienne élève de l'Issat est devenue aide-soignante de bloc opératoire.
Quand avez-vous été élève à l'Issat ?
C'était à Saint-Jacut-Les-Pins dans les vieux bâtiments, je ne sais pas ce qu'ils sont devenus. Je suis arrivée en 3e professionnelle, ensuite j'ai intégré un CAP Sapver, je ne sais pas si il existe toujours et ensuite je suis passée directement en première en Bac Pro Sapat, au total j'ai passé 5 ans à l'Issat de 2013 à 2018.
Comment était l'Issat à l'époque ?
C'était sympa, je ne sais pas trop, comme maintenant j'imagine. Après à Saint-Jacut, c'était un peu paumé, tous les autres lycéens étaient sur redon, on était les excentrés, on avait pas le droit de sortir.
Quel est votre pire et votre meilleur souvenir ?
Mon pire souvenir c'est de m'être disputée avec une professeure parce que j'étais malade et que je n'avais pas fait mes devoirs, j'étais sortie de la classe... aujourd'hui je n'en suis pas fière. Et mon meilleur, c'est la rencontre avec toutes mes copines qui sont restées des amies aujourd'hui encore.
"Ma scolarité à l'Issat m'a beaucoup apporté grâce au côté professionnel, aux stages, aux professeurs à notre écoute."
Pensez-vous que votre passage à l'Issat vous a permis d'être embauchée facilement ?
Je pense que ça m'a aidé pour beaucoup de choses, grâce au côté professionnel que l'on peut avoir à l'Issat, aux stages, aux professeurs qui sont hyper à l'écoute, ça m'a beaucoup aidé pour ce que je fais maintenant.
Qu'est-que ce que vous exercez comme métier ?
Je suis aide-soignante au bloc opératoire sur l'hôpital de Saint-Nazaire. Ça rigole pas ! (Rires)
Après le Bac Pro Sapat, j'ai fait une prépa d'aide-soignante et ensuite j'ai passé le concours d'aide soignante. Puis je suis arrivée il y a 3 ans sur l'hôpital de Saint-Nazaire et ça fait maintenant 8 mois que je travaille au bloc.
Avez-vous eu des difficultés à l'école ? Avez-vous redoublé ?
Oui beaucoup de difficultés, je n'étais pas très forte, je n'aimais pas trop ça mais comme quoi on peut faire des beaux métiers plus tard... mais donnez-vous quand même à fond à l'école ! (Rires)
Oui j'ai redoublé mon CE1 et ma quatrième c'était juste, juste au niveau des résultats c'est pour cela que je suis venue à l'Issat, car c'était soit je redoublais ma quatrième, soit je venais en troisième professionnelle.
Est-ce que vous auriez voulu faire un autre métier ?
Oui j'aurais voulu devenir puéricultrice ou sage-femme mais il y avait trop d'années d'études alors je me suis arrêtée à aide-soignante. Mais par ailleurs j'envisage de reprendre mes études plus tard. Je me laisse un peu de temps car j'ai eu une petite fille qui a 18 mois donc je veux profiter d'elle et je pense qu'ensuite je ferai des études d'infirmière pour gagner en compétences et augmenter en salaire.
"Je n'étais pas très forte à l'école mais comme quoi, cela n'empêche pas d'exercer de beaux métiers plus tard."
Qu'est-ce qui vous plaît dans votre métier ?
Alors il faut savoir qu'aide-soignante, il y a plusieurs facettes dans les hôpitaux. Il y a soit dans les services, être en gériatrie, neurologie, cardiologie et au bloc opératoire c'est différent car on a moins de contact avec le patient. Ce qui me plaît au bloc c'est de voir les opérations, voir les fractures ouvertes, les grosses blessures, tous les trucs bien crassou, moi j'aime bien voir ça. (Rires). Et dans les services, c'est le côté humain, être avec les patients, prendre soin d'eux, les voir évoluer dans leur autonomie quand ils se sont fait opérés. Aussi les accompagner en fin de vie, accompagner les familles dans ces moments là, ça j'aime bien, c'était beau à vivre.
Vous travaillez en équipe ?
Au bloc opératoire, on est une équipe de 4 aide-soignantes pour la journée et pour gérer plusieurs salles que l'on se répartit, on est en lien avec les anesthésistes, les chirurgiens, les IBODE (Infirmiers de Blocs Opératoires Diplômés d'Etat) et les cadres.
Votre frère est actuellement scolarisé à l'Issat, est-ce un hasard ?
Il y a aussi notre frère Lukas qui avait fait une quatrième et une troisième ici et je pense qu'Ismaël est un peu comme nous, il n'aimait pas trop l'école, il a voulu faire un bac pro comme nous. Nos parents ont constaté que mes notes à l'Issat étaient largement meilleures et que faire des stages c'était beaucoup plus épanouissant pour moi, pour Lukas et je pense qu'Ismaël c'est pareil, il aime bien les TPs.
Propos recueillis par
les élèves de 3ème A.
Abbaye de Saint-Gildas-des-bois
L'abbaye de Saint Gildas a été construite à la fin du 12ème siècle. Ce monument est de style roman, style inspiré de l'antiquité. Il a été pensé et construit par l'ordre de Saint Benoit, un ordre bénédictin. Cette abbaye se démarque des autres grâce à son style unique et ces matériaux utilisés. Des populations du monde entier viennent en pèlerinage. Dans cette bâtisse, nous pouvons observer des vitraux réalisés en 2009. Sur ces vitraux, nous pouvons voir des figures d'enfants prisent il y a plus d'un siècle ; ces figures représentent des enfants atteints de maladies mentales et enfermés.
Evan Dutoit, 2nd NJPF.
L'orgue de l'église Saint-Nicolas de Pipriac
L’orgue de notre église, qui appartient à la commune, est remarquable. Construit en 1895 par la maison Louis Debierre, dont il est le 133e instrument et le 8e orgue à transmission électrique. Préservé par Gloton et Beuchet, des facteurs d'orgues qui succèdent Louis Debierre. Cet orgue témoigne de notre culture, de nos traditions et de notre histoire.
Pipriac a bénéficié de l’une des premières orgues Debierre à transmission électrique, ce qui est une totale innovation pour l’époque.
Ces multiples changements invisibles qui participent globalement au charme de cet instrument.
Cet orgue possède :
-812 tuyaux
-13 registres
-112 soupapes
-142 électro-aimants
-a nécessité plus de 1 400 heures de travail.
L’orgue de l’église Saint-Nicolas à Pipriac a été restauré et inauguré le dimanche 27 novembre 2022. Le conseil municipal a voté sa restauration en septembre 2020 pour un budget de 86 607 € hors taxes avec le soutien de l’Etat (45 400 €) et du département (22 194 €)*. Les derniers travaux qui avaient été réalisés sur celui-ci datent de 1963.
Il nous appartient aujourd’hui de préserver sa richesse patrimoniale et de le transmettre, comme d’autres l’ont fait avant nous, aux générations futures.
*(Ouest France, novembre 2022)
Maxence GORRY, 2nd NJPF.
Le patrimoine sous l'occupation
Le château de Boro est un édifice construit au 18e siècle sur les fondations d’un ancien bâtiment. Lorsque la 2e guerre mondiale éclate, le château est utilisé pour un accueil relais d’aviateurs anglais alliés. Cet accueil était possible grâce à l’aide du châtelain et de quelque Vincentais.
Le château servait aussi pour des actions de résistance jusqu’en juin 1944 lorsque les Allemands prennent possession de Saint-Vincent-Sur-Oust et découvrent le château. Après leur arrivée, les Allemands firent prisonniers les habitants du village au château, c’est alors que le château devient une prison.
Les premiers prisonniers sont voués à être fusillés. On les aligne le long d'une des façades des mitraillettes pointées sur eux. Finalement, les Allemands renoncent à la fusillade et décident deux jours plus tard de relâcher les hommes. Cependant, les femmes sont gardées prisonnières pour s’occuper de l’intendance du château. Elles seront aussi relâchées à leur tour.
Les prisonniers restant étaient des résistants capturés par les Allemands, mais également par des miliciens français qui investissent le château du 9 au 12 juin. Les derniers prisonniers furent déportés et 6 d’entre eux, âgés de 17 à 40 ans, furent amenés dans le bois de la Grée le 22 juin 1944 où ils furent fusillés par les nazis.
L’église de Bruz n’est plus qu’une épave en feu à la suite du bombardement du 8 mai 1944. Parce que la ville veut s’épanouir, elle ne peut pas rester sans église. Sous la direction de Germaine Marquer, du ministère de la Reconstruction, et de Madame Le Maire de Bruz, un architecte est rapidement nommé. C’est le constructeur rennais Louis Chouinard, qui a conçu l’église Sainte-Famille.
Selon l’analyse des ruines, les murs sont trop lézardés et fissurés pour être conservés. Ensuite, trois trous sont creusés pour inspecter les fondations, dont la conservation semble excellente. La décision a été prise : les fondations de l’ancienne église seront utilisées pour construire la nouvelle.
L’absence de piliers, la dégradation du sol et la fragilisation des arceaux témoignent d'un souhait de sobriété, peut-on lire sur le site du conseil départemental d'Ille-et-Vilaine. Les vitraux violets marbrés de vert ont été extraits de la carrière du Verger. Créé par le Maitre-vitrier Gabriel Loire, deux vitraux situés sur le teco hauts de 7 mètres plongent jusqu'au sol. Les pièces de verre sont serties de ciment et non de plomb.
Lorick Mestrude et
Manec LE BOTERFF, 2nd NJPF
Des Bretonnes à Paris
Depuis juin 2022, l'Issat accueille quatre vaches bretonnes « Pie noir ». Tantôt, elles sont dans l'établissement, tantôt elles pâturent les terres de la ferme pédagogique de Saint-Nicolas-de-Redon. Nous les présenterons à Paris en février 2024.
Après avoir été l'une des grandes races françaises en 1900, la bretonne Pie noir voit ses effectifs chuter dans les années 1960. En 1976, elle bénéficie d'un plan de sauvegarde. C'est une vache de petite taille, de 1,17 mètre au garrot, de robe pie noir, avec de belles cornes en forme de lyre. Elle produit un lait riche en matières grasses, se prêtant particulièrement bien à la confection de beurre, de fromages et de yaourts. Elle s’adapte facilement aux milieux naturels et est résistante aux conditions de vie difficiles. La vache bretonne se contente de fourrages grossiers. Elle est rustique et peut vivre au pré toute l'année. Elle a, de ce fait, un impact sur la diversité floristique des prairies humides et des marais. Elle participe ainsi à l'entretien de nos paysages. Ses déjections sont favorables au maintien de la biodiversité, insectes et autres bousiers...
L'Issat engagé dans la préservation de la race
L'Issat est membre de l'association de sauvegarde des bretonnes Pie noir. L’établissement possède quatre femelles de cette race. La dernière génisse est née au lycée le 4 octobre 2022 en fin d'après-midi. Les trois autres, Parafine, Trésor et Salée, ont été achetées à la ferme des Sept chemins au Dresny, fin juin 2022. Nous nous occupons de nos animaux durant les séances de Travaux Pratiques ; le lycée entend participer à la préservation de cette race. Elle participe à notre fierté d’être Bretonnes et Bretons. C’est intéressant pour nous, futurs agriculteurs, de participer à une dynamique de préservation d'une race ancienne de bovins. Nous souhaitons participer au Trophée international de l'enseignement agricole l’année prochaine. Après l’éducation et le dressage en première, nous souhaitons valoriser notre investissement auprès de nos animaux durant notre année de terminale. Pour organiser ce trophée, nous sommes allés au salon de l'agriculture le 2 mars dernier. Nous avons pu ainsi rencontrer l'association de sauvegarde et Rim, son animatrice. Nous avons même savouré du veau Pie Noir et quelques fromages. C’est excellent !
Les élèves de 1ère CGEA.
Patrimoine : cap' ou pas cap' ?
Dans le cadre de l'action professionnelle en terminale SAPAT, nous avons participé à un "Défi Patrimoine" avec le Groupement Culturel Breton, association connue dans le Pays de Redon pour la Bogue d'Or. Cette animation consistait à faire connaitre le patrimoine breton aux élèves de l'école Notre Dame de Redon.
Le 28 février, nous avons organisé une intervention avec la Confrérie Piperia la Galette. Les enfants ont réalisé leurs propres galettes. Ils ont appris à maitriser le matériel nécessaire. Puis, le 21 mars a eu lieu le défi avec différents créations patrimoniales : du Land art, des galettes, des chants à reprendre, la création du port de Redon dans 30 ans. Les productions ont été appréciées par un jury spécialisé. Les élèves ont ensuite reçu leur diplôme "Défi Patrimoine Cap ou pas cap'. Une réussite !
Lylou Crestot, Term SAPAT1.
A la découverte de la Brière
La Brière, espace naturel de marais est protégé par un parc naturel régional. Composée de canaux et de zones humides, elle est située au nord de l’estuaire de la Loire, sur l’océan Atlantique en pays de Guérande. Elle appartient à 21 communes françaises sur une superficie de 7000 ha.
Dans ce parc naturel, nous pouvons chasser, pêcher, faire des balades en barque avec ou sans guide. Dans la commune de Saint André des Eaux, se passe la fête des chalands qui attirent plus de 7000 personnes. Des chalands sont décorés de fleurs grâce à des structures métalliques. Plus de dix chalands défilent deux fois dans la journée. Dans le fond des canaux se trouve de la vase (tourbe). On peut fortement s’y enfoncer. L’endroit le plus profond est de 3m.Les canaux ont été creusés à la main en 1880. Pour se balader, on utilise des chalands qui sont tractés par des moteurs qui ne doivent pas dépasser 9.9 chevaux. Au coeur de la Brière, une réserve protège la faune et la flore.
Robin Blandin, 2nd NJPF.
Séjour au centre d'éveil aux arts plastiques de Cornouaille (CEAPC)
Quelques jours à Plogastel-Saint-Germain dans le Finistère, pour (re)découvrir les artistes qui sommeillent en nous.
Pendant le mois de janvier, accompagnés de Mme Marchand, Mme Thomas (enseignantes) et Monnier-Bouland (animatrice pastorale), nous nous sommes rendus au CEAPC à Plogastel-St-Germain.
Chacun sa technique
Durant deux jours, nous avons redécouvert plusieurs techniques liées aux arts plastiques : encre de Chine, fusain, peinture à l'eau, à l'huile, bombes de peinture... Mais ce n'est pas tout, nous avons également réalisé des sculptures, des gravures.
"Je n'avais plus pris le temps de dessiner depuis l'école primaire, finalement j'adore, en plus, cela détend ! Je vais tenter de convaincre mes parents de m'inscrire à des cours confie une élève."
Un séjour placé sous le signe de la créativité.
La classe de CAP2 SAPVER.
Aménagement de la cour des 4e-3e
Stage découverte pour les moins de 14 ans : création d'un espace convivial et détente avec des « Pnoufs » et des copaux de bois.
Du 6 au 10 mars, nous avons réalisé notre stage de découverte au Lycée encadré par Alain Le Lay. L'objectif était d’aménager la cour, apprendre à travailler en commun et se servir du matériel. Les 1ères "Aménagements paysagers" ont préparé le terrain en enlevant la terre végétale. Nous avons ensuite étalé les copeaux de bois. Nous avons utilisé des pneus de tracteurs pour créer des "pnoufs", mobilier à base de pneus : Après avoir été chercher les pneus, nous avons pris les mesures et réalisé les découpes. Ce chantier a été l'occasion de découvrir ce secteur d'activité !
Pierrick NIVELLE, Nathan LE DUC, Clément NOBLET,
Dylan LAIGUILLON, 4ème B.
Naruto : en film, série ou manga !
Naruto est un jeune ninja d'un village nommé Konoha.
En raison de ses relations avec un démon renard à neuf têtes, créature qui a déjà attaqué le village de Konoha par le passé, Naruto est rejeté par les villageois.
Sa grande ambition est de devenir Hokage, ce qui signifie être chef du village, afin de gagner le respect des habitants.
Accompagné de ses amis, il tentera tout, se sentira encouragé et continuera à faire de son mieux pour atteindre son but, devenir Hokage.
Parviendra-t-il à son objectif ?
Valentin MOINEAU
CAP2 SAPVER
Campus, une collection de 6 livres
Reed Brennan, 15 ans, entre, grâce a son père dans la prestigieuse académie d’Easton. Elle espère là bas y recevoir une bonne éducation et par conséquent, éviter de voir sa mère "accro" aux médicaments. A la place, elle ne rencontre que des drames. En effet, dès son arrivée, elle se retrouve dans le fameux dortoir Billings.
Elle y fait la connaissance de quatre filles et fera tout pour être acceptée par cette élite, au prix de nombreux sacrifices.
C’est une histoire passionnante, intrigante et remplie de mystères. Les livres se lisent facilement et on peut très bien s’identifier à Reed mais aussi aux autres personnages.
Ambre CERTAIN, 2nde SAPAT 1
Outer banks
Suite à la disparition de son père, John va se lancer avec trois amis dans la quête d'un trésor qui vaut environ 400 millions de dollars. Un somme qui pourrait bien leur permettre d'envisager l'avenir sereinement.
Synopsis
Sur une île où les inégalités sont accentuées, John B recrute ses trois meilleurs amis pour partir à la recherche de ce trésor légendaire lié à la disparition de son père.
Une série qui devrait plaire à tous les adolescents !
Léane TINEL et Yasmine JAGU
CAP2 SAPVER
Riverdale, une série qui sensibilise
Cette série est fictive même si elle évoque des sujets actuels. En revanche, elle est inspirée d'une adaptation des comics Archie et Mystère et compagnie.
Une série qui s'engage
Cette série évoque le harcèlement, elle cherche à sensibiliser les jeunes. On peut voir à travers une victime le mal être que cela peut provoquer, jusqu'à parfois penser au suicide.
Attention, si vous vous lancez dans cette série, soyez prévenus : elle compte tout de même 7 saisons d'une vingtaine d'épisodes.
Yasmine JAGU, CAP2 SAPVER
Voyage des 4e avec le CPIE Forêt de Brocéliande
Avec les deux classes de 4e, nous nous sommes rendus au CPIE de Concoret avec des professeurs du lycée et du collège. Le CPIE propose un hébergement et des activités autour de l'environnement et de la Forêt. Nous avons visité la forêt de Brocéliande pour connaitre son histoire, ses contes et ses légendes. Pendant trois jours, avec nos guides Jessica Petit-Pas et Jessica Moulinet, animatrices au CPIE, nous nous sommes empreignés de l'ambiance de la forêt.
Nous avons été hébergés dans l'auberge du CPIE pour y dormir. Nous avons passé de bon moment ensemble. Bonne ambiance avec des jeux de société, des activités en extérieur et des bons repas. Une soirée football avec le match du Barça contre le Bayern est venu clôturer ce séjour-découverte.
Enzo Caron, 4ème A
Un séjour à Lourdes au service des autres
En octobre dernier, quelques élèves de l'Issat se sont rendus à Lourdes afin de se mettre au service des pèlerins.
Nous sommes partis du 4 au 8 octobre 2022. Après dix heures de route, nous sommes arrivés, fatigués mais heureux.
Notre mission était d'aider les pèlerins non autonomes à se déplacer.
Une semaine
destinées aux autres
C'était une semaine très émouvante, nous avons partagé des moments très forts entre nous et aussi avec les pèlerins.
La procession aux flambeaux était un moment vraiment magnifique. Les garçons de notre groupe étaient en tête du cortège, portaient la vierge Marie, et nous, les filles, étions juste derrière à brandir les flambeaux avec le prêtre.
Quand nous nous sommes quittés, il y avait beaucoup d'émotions. Les pèlerins s'étaient attachés à nous et c'était réciproque.
Un séjour vraiment magique !
Léane TINEL, CAP2 SAPVER.
Temps fort olympique et paralympique
Plusieurs ateliers ont été proposés pour découvrir l'éventail des sports adaptés.
Du 04 au 08 avril avait lieu la SOP (Semaine Olympique et Paralympique) dans tous les établissements scolaires de France labellisés "Génération 2024".Objectifs : Sensibiliser les élèves à l’importance du sport pour la santé mais aussi de leur faire pratiquer des activités Paralympiques et Olympiques.
Les enseignants et les élèves de l'Issat ont donc été plongés toute la semaine dans l'univers des Jeux Olympiques et Paralympiques : sensibilisation à l'utilisation du vélo avec l'association La Sonnette de Redon, exposition sur l'histoire des JO et JP et enfin une rencontre avec de jeunes champions. L'après-midi, en partenariat avec les éducateurs sportifs territoriaux (35) et le CDOS, ils étaient conviés à participer à des activités paralympiques au complexe sportif Ricordel de Redon, cela entouré d'un public à besoins particuliers (handicap moteur ou mental).
Une SOP 2023, enrichissante, émouvante et dans le dessein des JO 2024 qui auront lieu à Paris.
Antoine Le Port, enseignant EPS