La nouvelle ligne de métro à Rennes, qui devait ouvrir ses portes en juin 2021, ne le fera finalement qu'en 2022. La construction des rames, confiée au groupe Siemens, a pris du retard.

Le projet est d’actualité depuis 18 ans, puisqu'il a été lancé quasiment en simultané avec l’inauguration de la ligne A, mise en service en mars 2002. Les études ont duré de 2003 à 2013. Les travaux ont débuté en 2014 et devaient se clôturer initialement à l’automne 2020 ; mais ils ont pris du retard.

Nous avons interviewé Vincent Tournedouet, responsable projet ligne b à Rennes métropole.

La ligne sera constituée de 15 arrêts (de Gaîté à Saint Jacques jusqu’à Viasilva à Cesson-Sévigné) et l’on pourra rejoindre 2 stations déjà présentes dans la ligne A (Gares et Saint Anne). Elle aura une durée de 21 min en passant par 3 villes (Saint Jacques ; Rennes et Cesson-Sévigné) et aura une longueur de 14.1 km. Le coût du projet pour la ligne b est de 1,194 Milliard d’euros (HT), valeur janvier 2010.

Plusieurs architectes ont été sollicités sur le projet. Un design plus moderne et avant-gardiste a été adopté, avec des stations totalement repensées (couleurs, lumière, matériaux utilisés...).

L’artiste WAR a lui même ajouté son coup de pinceau à l'une des stations (Cesson viasilva) : des coquelicots et des bleuets géants sont apparus sur les piliers de la ligne. Nous sommes allés les découvrir.

Ethan TROISMOULINS,
Léo COUDRAY, Enzo LAUNAY,
1ère media

Depuis décembre dernier, les élèves de 2de pro B ASSP travaillent autour du livre "Notre Dame du Nil" de Scholastique Mukasonga.

Scholastique Mukasonga est une écrivaine franco rwandaise qui a remporté le prix Renaudot pour ce roman et reçu le prix Simone de Beauvoir pour la liberté des femmes 2021.

Les élèves participent au concours de carnets de voyages organisé par le festival "Etonnants voyageurs".

Ils ont ainsi découvert le Rwanda, sa géographie, son histoire et l'art Imigongo ; mais aussi travaillé différentes manières de se décrire à travers l'autobiographie, la lettre, le témoignage, le portrait chinois, le questionnaire de Proust...

Les gagnants du concours seront divulgués le 21 mai !

Béatrice le Bras, 
Marine Gilbert-Chaumont

Le thème d'année des classes de Seconde est nommé « Viva Africa 2021 ».

Dans les trois classes, les élèves se sont rassemblés par groupe de 3-4 personnes afin d'organiser un évènement à ce sujet. De nombreux projets sont mis en oeuvre. Dans une classe de seconde, un repas a été prévu avec la cantine du lycée sur le thème de l'Afrique avec des plats originaires d'Afrique. Dans une autre classe, par groupes, les élèves ont parlé des différentes villes en Afrique avec leurs habitudes et leurs coutumes... Enfin, la dernière classe s'est occupée des objets et des outils spécifiques de l'Afrique, ils ont comme objectifs de créer une exposition dans le lycée des objets typiques de là-bas.

Les élèves ont également pu bénéficier d'interventions, comme la présentation de Sénégazelle, une association qui récolte du matériel scolaire et le distribue à l'occasion d'une épreuve de course à pied.

Salomé PESNEAU, 1ère media

La classe de première Startup a pour but de créer une entreprise, chacun a un rôle bien déterminé au sein de celle-ci et ils prennent tous part à la création.

Chaque élève a une fonction précise et cela leur donne des idées sur le métier qu'il pratiquent en créant l'entreprise. Les élèves sont motivés grâce à leurs rôles attribués dans l'entreprise et, d'après certains élèves, cela les rend autonomes.

Les projets cette année consistent à développer une entreprise qui transforme un produit recyclé pour en produire un bien ou un service.

La première partie de la classe travaille sur un kit "covid" pour masque et gel hydroalcoolique.

La deuxième partie de la classe a basé son entreprise sur l'innovation de boîtes de rangement pour des chargeurs grâce aux matériaux recyclés.

Louane HOURMAND, 1ère media

Cette année, la classe de 1ère Unesco ne pouvait pas réaliser d’évènements avec les associations. C’était une belle opportunité pour communiquer sur le rôle de l’Unesco auprès des élèves du lycée.

« Nous avons travaillé sur plusieurs thèmes comme le réchauffement climatique, le dialogue interculturel, l’égalité des genres, l’éducation, le patrimoine mondial », déclarent Jules, Léna et Loëva. « Nous avons commencé par rechercher des documents, ensuite des images et nous avons rassemblé le tout sous forme d’affiches. »

L’exposition a eu lieu dans le hall du lycée, entre le 12 et le 25 mars 2021. Elle a recueilli de nombreux échos favorables, tant auprès des élèves et étudiants, que des adultes de l’établissement.

Pour les auteurs de l’exposition, le bilan du projet est très positif : « on a compris comment construire une affiche », « on a vu l’importance de bien présenter ses idées et de bien les formuler ». Et aussi, « on a appris à exploiter des sites web, à mieux accepter les critiques, et à travailler en équipe », des compétences qui seront certainement utiles plus tard.

Et, le 26 mars dernier, l’exposition a été installée à la Maison Internationale de Rennes dans le cadre d’une journée de rencontre Africa 2020, organisée par l’Académie de Rennes et la Fédération des Clubs pour l’Unesco. Le public a apprécié le travail réalisé !

La classe de 1ère UNESCO

La classe art est une classe de première stmg.

Tout au long de l'année, cette classe mène des projets autour du monde de l'art. Nous allons nous concentrer sur un projet qu'ils ont réalisé sur quelques séances du jeudi après-midi et qui consiste à rejouer une pièce de théâtre dont ils sont les propres acteurs : ils jouent le rôle des jurés.

Je suis partie à la rencontre du professeur principal de leur classe pour qu'elle m'explique en détail leur projet.

Leur pièce de théâtre est intitulée "La Terreur", la pièce a été écrite par Ferdinand Von Schirach. Elle décrit le procès de Lars Koch, qui est coupable d'avoir sacrifié 164 personnes pour en sauver 70 000. Lars est un pilote de l’armée allemande, il a abattu un avion en vol de la Lufthansa qui était détourné par des terroristes et qui allait se précipiter sur le stade de Munich un soir de match de football.

Le rôle des élèves est de décider de l'innocence ou de la culpabilité de Lars, en justifiant leurs choix.

Ce projet a été encadré par le Grand Cordel, qui est une maison des jeunes.

Le but de cette activité était de faire comprendre aux jeunes le mot "responsabilité".

Léna LE ROY, 1ère media

Nous sommes partis à la rencontre de trois élèves ayant choisi le profil "Passion sport" pour leur année de première. Ils ont décidé de choisir ce profil, car le sport passe avant tout pour eux et ils envisagent une orientation professionnelle dans le sport, journaliste sportif par exemple.

Malheureusement, la Covid 19 les a empêchés de mener à bien leur projet de classe. S'il n'y avait pas eu  la covid, leur projet aurait eu pour but d'aider en tant que bénévoles dans des événements sportifs tels que le tournoi de tennis de Rennes, ou encore la grande course "Tout Rennes Court". Néanmoins, ils ont pu cette année participer à l'organisation d’un cross pour des collèges et des écoles primaires. Ils ont également étudié les différents aspects du déroulement d'un événement sportif, un match de foot par exemple : organisation, financement...

Pour les épauler sur leur temps de projet, leur professeur de sport a fait appel à un parrain, qui se nomme Antoine Carré. Il travaille à la fédération française de kanoé kayak en tant que responsable administratif et financier des équipes de France. Lorqu'il était à Jeanne d’Arc, il avait choisi la 1ère Sport. Il leur donne des conseils sur leur future orientation professionnelle ou bien les aide à approfondir leurs projets de classe. Pour Antoine, il faut allier le côté pédagogique avec celui du plaisir.

Mewen RICHARD et
Stanislas GUYOT, 1ère media

Durant leur année, les premières media ont eu la chance d'accueillir Pierre-Louis Dupret, animateur travaillant chez Radio Laser.

Dans un premier temps, quelques élèves de la classe ont eu l'honneur de passer en direct à la radio, pour une émission dans laquelle on leur demandait d'expliquer la filière STMG et pourquoi ils avaient choisi le profil Media.

Par la suite, l'animateur les a mis en groupes pour que chacun puisse créer une émission de radio dans laquelle ils parlent de sujets divers, comme le racisme dans le sport, ou bien la sortie de la PS5 ou encore le phénomène de l'application TikTok durant le confinement. Ces émissions seront diffusées en direct sur la station de Radio Laser.

En plus de leur projet radio, les élèves de première Media se sont chargés de rédiger cette édition du journal du Lycée. Pour cela, ils ont eu la chance de travailler avec un ancien reporter de Ouest-France. Cela leur a permis de savoir comment se rédige un article. Il les a aidés aussi à écrire leurs articles, qui n'étaient pas facile à faire.

Stanislas GUYOT, 1ère Media.

La classe de Première monde a pour projet "l'ouverture au monde".

Les élèves accueillent différents intervenants tout au long de l'année, comme deux personnes qui sont venues de Colombie en France. IIs ont aussi reçu un de nos surveillants, Elvio, qui est venu présenter son pays, l'Argentine, et expliquer sa vie là-bas. Les élèves ont adoré car ils connaissent tous Elvio et ont trouvé son intervention très touchante.

La classe de monde s'est aussi rendue à la bibliothèque de Villejean pour rencontrer deux jeunes filles qui ont fait un voyage en vélo de la France à l'Afrique, avec pour projet de créer des vêtements. Les élèves ont pu s'entrainer à cette occasion à la fabrication de pigments.

Ils sont aussi allés au Gaumont pour rencontrer différentes associations : chaque élève devait choisir l'association qu'il préférait pour ensuite faire un compte rendu à la classe sur cette association. Ils ont également pu faire venir des personnes de ces associations en classe.

Voilà en quoi consiste la classe "ouverture au monde" : cette classe sert donc à s'ouvrir à différentes cultures et à découvrir le monde à travers différents projets.

Léna LE ROY, 1ère media

Se relever et... vivre !

Ce sont les quelques mots mis en exergue par Fabio Casilli. Ce consultant en marketing et production touristique est à l'initiative du projet. Il orchestre le projet depuis le début de l'épidémie de COVID afin de réunir des professionnels du tourisme pour réfléchir au tourisme de demain. Il leur a exposé le projet et les a conviés à participer en tant qu'étudiants du secteur. Un petit groupe s'est vite dégagé, il se réunit depuis au lycée.

Un laboratoire à idées

Depuis environ un mois, les étudiants s'organisent. Ils sont conscients de la rupture survenue depuis plus d'un an dans le secteur touristique. Ils lisent des articles pour nourrir leur réflexion et tenter d'imaginer le tourisme de demain. Ce groupe de réflexion est organisé comme une association : ils se retrouvent lors de réunions, en classe ou en visioconférence et partagent ainsi leurs idées. En relation avec “Respire”, ils ont choisi un thème parmi cinq proposés. Celui qui a été retenu à la majorité par ces étudiants est “Les nouvelles façons de voyager”.

Un axe choisi

Après avoir sélectionné ce thème, les étudiants ont alors discuté d’une manière générale sur le sujet puis se sont tournés vers le sujet des camping-cars et des vans aménagés. En effet, ils représentent, pour eux, un moyen de transport intéressant et à développer. Lors de leurs réunions, ils discutent alors plus en profondeur sur le sujet et cherchent des moyens de développer cette façon de voyager. Beaucoup d’idées leur viennent : développer et agrandir les aires de camping-car ou encore le sujet du confort de ce moyen de déplacement.

Des réalisations en cours

Après quelques réunions, ils ont convenu de réaliser un questionnaire. Celui-ci est destiné à un public entre 20 et 35 ans. Le but est alors de savoir ce que pense ce public des camping-cars et vans aménagés comme façon de voyager, en les questionnant sur leurs motivations et ainsi les axes à développer. Les étudiants vont ensuite pouvoir orienter leurs idées vers d’autres sujets et en faire part au groupe de réflexion “Respire”.

Alors n’hésitez pas à y jeter un coup d'œil !

Wendy MOITTE, BTS Tourisme
2ème année.

En ces temps compliqués, la vie sociale de nos étudiants est malmenée et leur moral est mis à mal. Le port du masque limite la proximité et les interactions, les rencontres inter BTS se font rares. Apprendre à connaître de nouvelles personnes et nouer de nouvelles amitiés s’avère être une tâche de plus en plus complexe.

Alors, afin de redonner le sourire aux étudiants sortants d’une période d’examens blancs, l’équipe pédagogique s’est rassemblée et a rapidement mis sur pieds une sortie ludique et enrichissante, permettant aux BTS tourisme et aux BTS communication de se rencontrer.

La classe de BTS tourisme s’est alors scindée en plusieurs groupes, dans le but de créer des parcours touristiques sur divers thèmes, tels que par exemple la gastronomie bretonne, le Street art, le sport, mais également d’autres thèmes plus atypiques tels que, par exemple, les crimes et autres phénomènes morbides inexpliqués.

Les étudiants de BTS communication se sont également divisés en groupes et répartis sur les différents parcours à thèmes, en fonction de leurs centres d’intérêts. C’est donc le jeudi 25 mars, dans l’après-midi, que de petites troupes pleines d’entrain s’élançaient à la recherche du savoir. Marchant, parfois même courant, les étudiants de communication découvraient la ville sous un autre angle, dans la bonne humeur et sous un beau ciel bleu. Chaque parcours comportait son lot de surprises et de petits jeux, soigneusement préparés, pour le plus grand plaisir de tous !

A la fin de l’après-midi, les étudiants étaient fourbus d’avoir tant marché (ou pédalé pour certains), mais de bonne humeur et forts de nouvelles rencontres.

Cette sortie à double finalité, aura permis de distraire et détendre les étudiants, tout en leur proposant des travaux dans la continuité de leurs cours, en permettant aux BTS tourisme de s’exercer et aux BTS communication de réaliser des petites vidéos récapitulatives.

Découvrir des anecdotes, des lieux cachés, mais aussi le patrimoine culturel et gustatif d’une ville que nous parcourons de long en large, nous apporte une autre vision de Rennes. Elle nous semble davantage chargée d’histoire, une ville pleine de vie, et de vécu.

Léa BOULLIER GUINEHEUX,
Zoë BARDINET,
Noémie CORIDON,
BTS COM 1

Florent Perrin est membre de la vie scolaire mais également guitariste, chanteur, auteur, compositeur et interprète. Il est quelqu'un de posé, patient, humble.

Il est passionné par la musique notamment le rock. Son 1er groupe était avec son frère et des amis. Aujourd'hui il en est à son 3ème groupe "Blockhaus", leurs titres tels que "Disease" ou encore "Boxing Club" sont disponibles sur la plateforme "Bandcamp".

Ils ont réalisé plusieurs scènes telles que : Le Galion un café-concert à Lorient, la scène Michelet à Nantes, le Sambre à Rennes... (environ jusqu'à 500-600 personnes). Ils ont leur propre matériel d'enregistrement.

Jusqu'ici, ils ont enregistré 2 EP (disque d'une durée entre le single et l'album). Ils ont de bons retours et d'excellents avis.

Gladys OGER, 1ère media

Johanna Gozland est professeur de biologie au sein du lycée Jeanne d'Arc.

Elle nous propose son savoir-faire dans la peinture à l'huile ou l'aquarelle. C'est une véritable passion pour elle, cela fait plus de 20 ans qu'elle peint.

Johanna Gozland est auto entrepreneur. Elle est cartoniste, c'est à dire qu'elle fabrique des meubles en carton, et aussi de la sculpture.

On peut retrouver toutes ses expositions dans la salle des professeurs au lycée Jeanne d'Arc.

Eva TOUZET-JAN, 1ère media

A défaut de pouvoir proposer à leurs clients leurs offres habituelles, les agences de voyage doivent réfléchir à une façon de se réinventer et cela même lorsque la situation sera rétablie.

Le contexte d’aujourd’hui pousse les professionnels du tourisme à s'investir en termes de créativité et d’innovation afin d’assurer la pérennité de l’activité.

Dans le cadre de l'option « Projet de Spécialisation » proposée par l'établissement, j’ai choisi de réfléchir à un domaine en pleine expansion depuis quelques années, mais encore plus depuis l’application des mesures sanitaires : la réalité virtuelle.

Un stage,
un projet

Au-delà des professionnels du tourisme en général, j’ai voulu adapter plus précisément cette technologie immersive à l’agence de voyage sur-mesure SUN CAP TRAVEL, où j'ai fait mon dernier stage. Sa gérante, Maud Fabulet, a décidé de créer une agence itinérante. A bord de son camping-car et dès cet été, elle sillonnera les routes du Finistère pour vendre ses voyages sur-mesure. Un projet hors du commun et ambitieux qui m’a beaucoup inspiré.

A côté de ça, je suis une grande amatrice de jeux vidéo et de nouvelles technologies. Une idée m'est alors venue assez rapidement : « Comment la réalité virtuelle peut-elle devenir une véritable valeur ajoutée pour les agences de voyage ? » C'est ainsi que mon projet a démarré.

Un avenir prometteur
pour la VR*

Grâce à ce projet, j’ai voulu montrer que la réalité virtuelle peut intervenir à une des étapes les plus importantes du voyage : le choix d’une destination.

Avant le voyage, la réalité virtuelle est un véritable outil de promotion des ventes. Un film à 360° visionné avec un casque VR aura un impact nettement plus stimulant qu’un catalogue papier ou encore une vidéo traditionnelle.

Elle joue un rôle important dans la phase d’argumentation en permettant au futur voyageur de découvrir une destination, un hébergement ou même une activité et de se projeter directement dedans. Inimaginable il y a encore quelques années, nous avons la chance d’assister au développement de cette technologie qui nous permet aujourd’hui de « téléporter » le client dans une destination, afin d’en découvrir les paysages et le patrimoine.

La réalité virtuelle permet d’engager le client dans son futur voyage, et devient alors un vrai facteur dans l’acte d’achat.

En dehors de son utilité pour « teaser » un futur séjour, la réalité virtuelle devient une réelle solution pour les personnes en situation de handicap ou encore les établissements comme les EPHAD, les hôpitaux ou même les foyers.

En atelier de professionnalisation, nous avons eu la possibilité de manipuler des outils (casques, caméra, plateforme,…) pour nous sensibiliser à cette nouvelle tendance en plein essor. Cela m'a ainsi permis d'envisager de façon concrète mon projet et de réaliser une production : une maquette vidéo 360°.

Pour conclure

À terme, ce projet reliant ce que nous apprenons dans le cadre de la formation et le terrain m’a beaucoup apporté en terme de compétences : des atouts non négligeables pour mon projet professionnel dans la communication digitale et l’e-marketing.

Inès MAKDAD, BTS Tourisme 2ème année.

A l’occasion du Carême, la Pastorale, largement épaulée par la vie scolaire, a proposé aux élèves du lycée de participer à une collecte de denrées alimentaires à destination des gens de la rue avec l’ordre de Malte France.

Le 9 mars dernier, Alain du Mézeray, bénévole de l’ordre de Malte France, est venu présenter l’association et ses actions en faveur des plus démunis et a lancé l’opération auprès des délégués des différentes classes.

Les élèves ont ensuite individuellement ou collectivement fait preuve d’une grande générosité.

Ainsi, les chariots disposés dans le hall se sont largement remplis de leurs dons.

Le 9 avril, lorsque la collecte a été ramassée, le bénévole qui était venu en Clio, a été surpris et heureux de constater la grande générosité de chacun et il a bien cru que tout ne rentrerait pas dans sa voiture !

Marie GIAUME

Les étudiants de première année du BTS gestion de la PME ont eu l’opportunité de partager un moment privilégié, par groupes, avec des acteurs du théâtre de Pan.

Au cours de trois demi-journées, nos apprentis comédiens ont appris, grâce à des exercices d’expression corporelle, à poser les bases du travail vocal dans l’espace et dans le temps et à comprendre ce qui fait qu’une communication est plus ou moins bien réussie. Des bases indispensables à une bonne prise de parole en public ou devant un jury.

Plusieurs étudiants avaient beaucoup d’appréhension mais ont précisé que ces trois demi-journées « les avaient transformés ».

Se mettre en scène développe des qualités créatives, la concentration et l’expression corporelle, permet de mieux se connaitre, de découvrir des capacités insoupçonnées et de prendre confiance en soi, oblige à faire preuve d’ingéniosité. Ces compétences participent à l’épanouissement de chacun et peuvent être un outil précieux de développement personnel.

D’ailleurs, certains ont souligné que « l’activité leur a permis d’utiliser des outils qui leur serviront toute leur vie »

« Des demi journées intenses, fatigantes mais GENIALES !! »

Fabienne PINCEMIN

Le Brexit, retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, a été lancé par le referendum de 2016.

La sortie effective, prévue pour mars 2019, a été repoussée au 31 janvier 2020. Les nouvelles règles s'appliquent depuis le 1er janvier dernier.

La question du Brexit a suscité beaucoup d’avis différents et de mécontentements de la part du peuple britannique. Nous aborderons dans un premier temps les conséquences du Brexit pour les voyageurs, pour le commerce et notamment la pêche, puis pour les relations politiques et enfin pour les étudiants. Nous aurons sur ce dernier point un avis concret grâce à l’interview d’une étudiante de Jeanne d’Arc qui effectue un BTS Commerce International.

Il faut désormais se munir d'un passeport pour voyager en Angleterre. De plus, l’assurance maladie européenne n’est plus prise en compte au Royaume-Uni : les Français voyageant au Royaume-Uni ne bénéficient plus de celle-ci depuis le 1er Janvier 2021.

Au niveau commercial, les pêcheurs britanniques réclamaient moins de chalutiers européens, mais un accord a été trouvé entre Boris Johnson et l’UE, et les chalutiers européens seront toujours aussi présents malgré le Brexit. Les pêcheurs britanniques ont tout de même leur petite victoire, puisque d’ici ces 5 prochaines années, 25 % de ces chalutiers disparaitront. Le commerce entre le Royaume-Uni et l’UE s’avère très difficile. Pour le seul mois de janvier, les exportations ont chuté de plus de 49 %, d'après les chiffres officiels de l'UE. Un record depuis 1997. Les produits les plus touchés sont les voitures et les médicaments.

Les Britanniques vont devoir faire plus d'efforts pour garder leur influence dans le monde.Et la question irlandaise est loin d'être résolue.

Le Brexit impacte aussi les étudiants. C'est le cas d’une étudiante au lycée Jeanne d’Arc, Fanny Guillouët en BTS commerce international. Elle affirme que le Brexit la touche directement, en nous expliquant qu’il impacte le secteur vers lequel elle se dirige, le commerce. Elle ajoute : “Il m’affecte au niveau de mes études puisque beaucoup de stages se font à l’étranger, et notamment au Royaume-Uni, qui est l’une des destinations préférées des étudiants”. Le programme Erasmus va aussi couper ses relations avec le Royaume-Uni : ce programme permet d’obtenir une bourse pour financer ses études à l’étranger.

En conclusion, le Brexit a beaucoup fait parler. Cette décision de quitter l’Union Européenne a divisé les partis britanniques et elle a de lourdes conséquences sur le commerce. Le Brexit crée des tensions entre pays européens et complique les échanges scolaires et universitaires, ce que nous pouvons déplorer.

Roman BEGASSE,
Alexis CANTAREL-TIREL,
1ère media

Joe Biden, né le 20 novembre 1942 était le vice-président de Barack Obama. Il est devenu le 46ème président des États-Unis le 20 janvier 2021.

Lors de sa campagne pour l'élection présidentielle, il a présenté les projets qu’il allait mettre en œuvre lorsqu’il serait élu. Donald Trump a refusé le résultat de l'élection en parlant de fraudes. C'est ce qui a entraîné l'assaut du Capitole à Washington par des milliers d'émeutiers qui refusaient la défaite de Trump.

4 projets annoncés
par Joe Biden

Rétablir la confiance avec les alliés des États-Unis. Une confiance qui s’est peu à peu fissurée pendant le mandat de l’imprévisible Donald Trump. Les pays comme la France, Allemagne, Mexique, Canada et Royaume-Uni ont moins confiance envers les États-Unis.

Joe Biden veut enlever tout ce qui a été fait par Donald Trump. Le programme de séparation à la frontière mexicaine devrait donc être aboli. Il en est de même pour l’interdiction d’entrée sur le territoire de musulmans pour certains pays listés par l’administration Trump. De plus, le taux annuel de réfugiés autorisés à rentrer dans le pays serait fixé à 125.000 par an.

Concernant la lutte contre l'épidémie de Covid 19, Biden s’est opposé aux paroles de Trump, qui ne jurait que par une sortie de crise avec un vaccin. La crise a notamment été l’occasion de remettre sur la table l’Obamacare, créée il y a dix ans par l’administration Obama, et que Donald Trump a tout fait pour supprimer durant son mandat.

La question climatique est au cœur du programme de Joe Biden, en tout cas en comparaison avec celui de son prédécesseur :

- Première mesure prévue : Se réengager dans les Accords de Paris dont Donald Trump était sorti. Il se trouve que Joe Biden connaît bien ce dossier puisqu’il y a participé en tant que vice-président de Barack Obama en 2015.

- Deuxième mesure prévue : S’investir dans une économie plus verte. Il a d’ailleurs repris une partie du "Green New Deal" proposé par la sénatrice de New-York. Le Green New Deal vise à répondre aux grands enjeux environnementaux et climatiques, tout en promouvant la justice sociale.

Mais Biden va t-il réussir à mettre en œuvre son programme avant que les oppositions ne se manifestent ? 

Nicolas BAGOT, Mewen RICHARD, 1ère Média

Joysad, de son vrai nom Nathan Fernandez, originaire de Périgueux près de Bordeaux est un jeune rappeur français de 19 ans.

Pour se faire connaître, il utilise le moyen de sa génération : les réseaux sociaux. En effet, il s’est fait connaître avec les concours de rap de la page Instagram « 1minute2rap ». Il connait un succès fulgurant en gagnant trois des concours et cumule 100 000 abonnés sur Instagram. Par la suite, il fait sensation lors du Planète Rap de Marwa en interprétant le titre « Oh Ma Belle ». Le rappeur décentralise la musique urbaine grâce à ses chansons free-style chocs sur la vie en province.

Pour savoir ce qui ce cache derrière Joysad, il suffit d’écouter son dernier album Palindrome. Dans ses huit titres, il raconte son vécu, son environnement familial et puise dans ses rencontres pour raconter des histoires. Dans les textes ou sa façon de poser, on peut relever des influences d’Iam, d’Orelsan ou encore de Booba au début de sa carrière, dans une forme très moderne.

Un artiste humble, mais déterminé, qui va beaucoup faire parler de lui. En bref, il a tout pour devenir un grand nom du rap français. C'est un artiste à suivre.

Joji est un artiste complètement à l'opposé mais qui en vaut tout autant la peine.

De son vrai nom George Miller, l'artiste propose une musique au spleen profond. C'est un grand amateur de hip-hop passionné par la production. Il donne vie à une musique introspective et mélancolique, entre R&B, trap, folk et électronique, qu’il décrit comme de la « dirty sad pop ». Ancien youtubeur star, il se révèle sur la plateforme sous le pseudonyme de Filthy Frank, à l’origine du phénomène « Harlem Shake ». George Miller renaît par la suite sous le nom de Joji. Le chanteur et producteur australo-japonais de 27 ans, né et élevé à Osaka, est donc déjà bien habitué aux feux des projecteurs. En effet, la moindre de ses vidéos dépasse les millions de vues. Je conseille énormément : sa musique est très apaisante.

Tatiana LE PADELLEC,
1ère media

Le palais royal de Caserte est une résidence de la famille royale des Bourbons de Naples.

Ce monument est connu pour réunir un magnifique palais ainsi que des jardins et une partie naturelle boisée, des pavillons de chasse et une partie industrielle pour la production de la soie.

Le palais de Caserte est en termes de superficie la plus grande résidence royale du monde avec 61 000 m². En plus de cette résidence immense, le parc comportant les jardins et les zones naturelles boisées s’étend sur 120 hectares derrière le palais. Le parc est donc tout entier construit d'après le modèle italien, géométrique et rationnel.

La beauté de cette résidence royale n’a pas attiré que des touristes. En effet le palais de Caserte a été le lieu de tournage de nombreuses scènes de film. Les fans de "Star Wars" auront reconnu le palais royal de Theed sur Naboo dans les épisodes I & II de la saga.

Les amateurs de film d’action se rappeleront peut être cette résidence dans le film "Mission impossible".

Le palais de Caserte a aussi servi dans les films "Waterloo", "Anges et Démons" et "Le purificateur"

L'émission "Secret d’histoire" a aussi tourné plusieurs séquences au palais dans le cadre d’un numéro consacré à Caroline Bonaparte.

J'ai personnellement aimé ce palais pour sa beauté rappelant celle de Versailles dont il est inspiré. Le travail du batiment et des jardins font de ce monument une oeuvre architecturale remarquable.

Je suis aussi une grande fan de Star Wars, j'ai donc particulièrement aimé visiter le bâtiment qui a servi à représenter certaines pièces du palais royal de Theed sur Naboo.

Chiara JEFFREDO, 1ère media

Le Gouffre de Padirac, c’est un puits d’environ 75 mètres de profondeur, et des galeries à plus de 103 mètres sous terre. C'est une cavité naturelle située dans le département du Lot en région Occitanie.

C'est un endroit magnifique et très impressionnant : une fois à l'intérieur, on ne s'y attend pas forcement et c'est une belle surprise ; une expérience à faire au moins une fois dans sa vie.

J'ai choisi ce lieu comme coup de coeur car il m'a beaucoup marqué et j'en garde de très beaux souvenirs.

Gladys OGER, 1ère Medias

Face aux fêtes clandestines l’avis de la population est majoritairement qu'elles sont scandaleuses et irresponsables.

Le chef du service infectiologie de l’hôpital Tenon à Paris appuie cela. En même temps, selon C News, 42 % des jeunes comptent faire des fêtes : on peut donc voir que les avis sont totalement différents selon la tranche d’âge. Ces fêtes clandestines ont un véritable impact social avec l’augmentation des cas et la création de situations explosives.

Les conséquences juridiques sont d'ailleurs très strictes car les organisateurs sont passibles de peines de prison, d’amendes allant de 150 à 300 € et de travaux d'intérêt général. Les fêtes dont on a le plus parlé sont la rave partie en Moselle du 20 juin 2020 et qui a accueilli 150 personnes, ensuite la fête sauvage à Joinville-le-Pont le 14 novembre 2020 qui a accueilli 300 personnes, puis la plus grande, la rave partie de Lieuron qui a eu lieu au nouvel an du 31 décembre au 2 janvier et a accueilli 2500 personnes.

L’organisateur de cette fête a été mis en examen et placé en détention provisoire, il risque 10 ans de prison. Deux tiers des participants ont été verbalisés.

D’autres pays acceptent les fêtes et rassemblements comme Venise en Italie où le carnaval s’est déroulé le 6 février 2021, mais des pays prennent d’autres restrictions comme le Brésil qui a annulé et décalé son carnaval. Les fêtes et rassemblements sont interdits dans le pays mais, selon France Culture, ces règles ne sont pas respectées, car dans les rues les habitants continuent à danser, avec la musique.

Romane GARABEDIA,
Julie LEFEUVRE, 1ère media

Les Fake News sont des informations fausses, des informations souvent truquées. On les retrouve principalement sur les différents réseaux sociaux, notamment sur Twitter mais aussi sur Instagram, Snapchat et Facebook.

Sur Twitter, les fake news se propagent beaucoup plus rapidement car il y a beaucoup de « retweet » et beaucoup plus de jeunes sont présents sur cette application.

On remarque qu'en ce moment, les fake news se tournent autour de la Covid-19. De plus, les fake news peuvent être assimilés aux théories du complot.

Les journalistes, parfois par manque de temps ou de rigueur, peuvent eux-mêmes contribuer à la diffusion de fausses informations, alors qu'on attend d'eux une vérification des sources et des faits qu'ils rapportent. Mais l'essentiel des fake news est diffusé sur les réseaux sociaux.

De plus, la rapidité de diffusion des informations a progressé au fil du temps donc aujourd'hui les "fake news" atteignent plus rapidement et plus de personnes.

Il faut donc être attentif et vérifier les sources, ne pas croire tout ce que l'on voit ou entend, afin d'identifier la véracité de l'information.

Saro GHAZARYAN,
Erwan NKINZE, 1ère media

L'une des catégories les plus touchées par la crise sanitaire est celle des étudiants. Ils sont complètement dépassés par la situation. D'après une étude réalisée par Opinionway en 2019, 9 étudiants sur 10 se disaient stressés durant leurs études. Et la crise sanitaire n'a pas arrangé les choses.

Parmi les 3 étudiants que nous avons interrogés au sujet de leurs études en distanciel, deux nous ont confié être extrêmement stressés concernant leurs examens. Ils disent aussi qu'ils ressentent un manque de vie sociale avec les restrictions liées au couvre-feu ou au confinement.

Nous avons également interviewé Nolwenn Granger, qui a réalisé un reportage sur ce sujet avec Jordan Jammet. Etudiants en BTS SAM, ils ont récolté des témoignages d'étudiants mais aussi d'enseignants, faisant apparaitre un sentiment général de démotivation face au distanciel.

Nolwenn a été touchée par des témoignages poignants d'étudiants qui n'ont plus de présentiel depuis un an déjà, révélant une grande souffrance psychologique, qui peut aller jusqu'au burn out, associée parfois à de grosses difficultés financières. Alors que certains autres n'ont connu que deux mois de distanciel, parfois qualifiés de "vacances".

Pour Nolwenn, ce travail lui a permis de développer des compétences professionnelles, comme le tournage de vidéos et la gestion du temps, mais ausi des qualités humaines, la compassion par exemple. 

Il est prévu que le reportage, dans un objectif de sensibilisation, soit diffusé aux étudiants de BTS SAM à la rentrée de septembre puis disponible pour tous sur youtube. 

Jules VILLIERAS,
Roméo FERRIER, 1ère media
Charlotte VALLANÇON