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N° 18 - Mai 2022 | www.essfa.fr/ |

A la rencontre des secondes !
Nous avons rencontré trois classes de seconde dont deux 2nde GT (général technologique) et une 2de AEPA (animation enfants et personnes agées). Dans chacune de ces trois classes, les professeurs et les élèves nous ont présenté leurs projets de classe.
Commencons par les 2des 1 GT : leur projet est centré sur le "bien vivre ensemble". 3 élèves de cette classe travaillent sur une collecte pour l'Ukraine, avec la pastorale du lycée, pour essayer de récolter des vêtements, de la nourriture ou encore des produits d'hygiène. Ils veulent venir en aide de manière concrète aux ukrainiens dans cette période difficille. Ces éleves trouvent ce projet très intéressant et apprécient le fait de soutenir une cause et d'aider les personnes qui sont dans le besoin. Un second groupe de cette même classe souhaite organiser l'intervention d'une femme qui a survécu aux camps de concentration de la seconde guerre mondiale. Les élèves de ce 2e groupe veulent faire partager aux autres de la classe ce témoignage, pour les sensibiliser à cette période de l'Histoire.
Passons aux 2des 2 GT, dont le thème central de la classe est également le "bien vivre ensemble". Trois personnes de la classe font un travail avec l'association "La Feuille d'Erable" pour récupérer des déchets. Les élèves de ce groupe trouvent ce travail intéressant et apprécient de contribuer au bien-être de la planète. Un autre groupe de la classe travaille pour organiser une sortie aux Champs Libres, pour aller voir une exposition sur le fonctionnement du cerveau.
Les 2des 3 GT travaillent également autour du bien "vivre ensemble" et organisent par exemple une vente de gateau pour une association qui distribue des chocolats aux enfants qui n'en reçoivent pas d'habitude pour Pâques ou écrivent des mots en ukrainien pour accueillir des réfugiés.
Nous sommes aussi allées à la rencontre de la 2de AEPA qui a adapté un manga en Kamishibaï (theâtre japonais). Ils réalisent ce projet dans le cadre du concours "Etonnants voyageurs", qui se déroule à Saint-Malo. Ils iront jouer début mai devant 3 classes de CM1 à l'école Jeane d'Arc.
Parallèlement, dans le cadre de" jeunes en librairie ", des libraires sont venues leur présenter la chaîne du livre (manuscrit, édition, distribution et vente) et leur métier ; ils sont allés faire une visite privée de la librairie " Le Failler " où ils ont pu choisir des livres avec un budget de 30 euros chacun.
En résumé, tous les projets présentés sont attractifs, et motivants pour l'ensemble des élèves de 2de. En tant que rédactrices de cet article nous avons ressenti beaucoup d'enthousiasme à nous faire partager leur vécu.
Ines LEFEUVRE
et Lou LEGRAND 1ère Media
Tournoi de management et de gestion : une nouvelle victoire !
Après le prix de l'infographie en 2020, deux équipes de seconde sont en finale.
Mercredi 6 avril, au siège de la Banque Populaire Grand Ouest à St Grégoire, la tension monte....
Les équipes s'installent autour d'un jus de fruit et de viennoiseries en attendant d'être convoquées par les membres du jury du tournoi de gestion de l'Académie de Rennes, qui a rassemblé près de 500 participants des quatre départements bretons.
Chacune se prépare à présenter son projet devant un jury de 3 personnes. En compétition pour St François d'Assise, deux entreprises créées par les élèves : echocafé, un café socialement et écologiquement responsable, partenaire d'une entreprise qui transporte son café en voilier et Troti@net, un service cuturel de visite touristique de la ville de Rennes en trottinette électrique.
9h : les premiers groupes sont appelés : Clémence, Alix, Thaïs et Ivanie ouvrent le bal, suivies par Lucie, Lalie, Lilou et Marie.
Les jurys sont sympathiques mais leurs questions ardues : nos élèves ne se laissent pas démonter et y répondent brillamment !
Nous attendons maintenant les résultats, fières de leurs prestations et aussi tendues qu'elles !
14h : la remise des prix est présidée par Emmanuel Ethis, Recteur de l'Académie de Rennes, qui cite St Exupéry et son Petit Prince dans son discours d'introduction « Fais de ta vie un rêve et, d'un rêve, une réalité. s ; suivent des interventions des partenaires du tounoi.
L'impatience se fait sentir puis, enfin, les prix sont décernés...
... avec une belle victoire pour nos élèves qui décrochent 4 récompenses, dont deux premiers prix !
Charlotte Vallançon
et Vanessa Boulanger
Les projets des premières Monde et UNESCO : Une ouverture et un soutien
Le lycée Jeanne d’Arc propose en 1ère STMG six profils avec des projets différents. Ces projets sont mis en place le jeudi après-midi. Ils ont pour but de favoriser la cohésion de groupe dans la classe et d’apporter une ouverture d’esprit sur des thèmes que les élèves affectionnent.
1ère MONDE
Nous sommes allées à la rencontre de la classe des première Monde, afin de mieux comprendre leurs projets. Nous avons interrogé quelques élèves : Justine, Mailis, Maxence, Enzo.
De nombreuses personnes ont choisi ce profil pour l’ouverture d’esprit, la découverte d’intervenants avec des parcours atypiques, mais aussi de nombreuses associations comme SOS Handicap, AFS.
La classe a trouvé leurs témoignages grâce à des contacts privés ou directement en joignant les associations. Le groupe classe contacte lui-même les associations et organise les rencontres sous la supervision de leur professeur principal.
1ère UNESCO
Dans cette classe, les élèves de première se sont tout d’abord occupés du marché de Noël du lycée, après s'être longuement préparés. Un speed-dating a été organisé avec plusieurs associations afin d’en choisir cinq que la classe souhaite aider. Les premières Unesco ont aussi pu révéler leurs talents de pâtissier en réalisant des gâteaux. 400 euros ont ainsi pu être récoltés et ont été remis sous forme de dons à deux associations : " Fraternité africaine", qui collecte des papiers et journaux, les vend pour le recyclage et finance ainsi des projets sanitaires et d'éducation au Burkina Faso. De son côté, l'association "Le Rêve Extraordinaire de Louise", aide au financement des soins d'une petite fille polyhandicapée, Louise, atteinte de la maladie de Mowat Wilson.
Maude Lemonnier, 1ère Média
Première start-up, la classe pour apprendre à entreprendre !
La première start-up c’est quoi ?
C'est tout d’abord “un projet en lien avec le monde de l’entreprise” nous dit Théo, un élève de la 1ère start-up. Après avoir écouté l’intervention de chefs d’entreprise et de PDG, les élèves ont choisi puis élu 2 projets. Le premier, TROPZ, une application pour rencontrer des personnes pour faire du sport ensemble, des défis en lien avec le sport. Le deuxième, TROUVE TON VOISIN, une appli contre le gaspillage alimentaire, qui consiste à donner son repas à une personne qui manque de moyens, les étudiants par exemple.
Et pour se faire connaitre “on essaye d’avoir des partenariats avec des boulangeries, commerces du coin” nous explique Lisa, élève de la même classe.
Où les retrouver ?
Vous pouvez découvrir leurs applis sur instagram avec @tropz-off et @trouve-ton-voisin.
“Nos projets vont concourir avec d’autres, pour le concours des mini-entreprises de Bretagne.” nous disent les 6 élèves interrogés.
De plus, il y a un vrai lien avec les cours de management et de science de gestion, puisque l’entreprise est au coeur de la filière STMG.
Léane PINEL-1ère média
La 1ère media : Dans les backstage de l'info
Le jeudi 24 mars, nous avons interwievé des élèves de la 1ère Média, ainsi que leur professeur principal. Beaucoup d'élèves avaient mis la 1ère Média en second choix et se sont découverts des talents de jeunes reporters.
Les élèves ont su s'investir dans les projets en quasi totale autonomie, bien qu'ils pouvaient compter sur l'aide de Mme Vallançon et des intervenants pour apporter des conseils. Être en 1ère Média, c'est s'intéresser à l'actualité tout en découvrant des manières de la diffuser. Cette aventure a permis aux élèves de se rapprocher.
Les élèves de médias ont participé à trois projets. Nous avons débuté l'année en créant des vidéos en s'inspirant du Youtubeur "Hugo Décrypte" par binome ou trinome, ce qui a demandé un travail de recherche et de montage. Ensuite, nous avons participé à un projet Radio, en collaboration avec Radio Laser. Nous avons appris à monter un atelier de radio, à utiliser le matériel, à écrire des Podcast... Enfin, les élèves de 1ère Média ont eu l'honneur de rédiger des articles pour le Journal du Lycée, ce qui est, selon les élèves, un bon entrainement pour le Bac de Français. Ces projets ont laissé une grande autonomie : nous avons pu choisir nos thèmes, participer à des micro-trottoirs, interviews...
La 1ère Média a permis aux élèves de s'épanouir sur des sujets qui leur plaisaient.
Chloé JOUBARD, 1ère Média.
La classe sportive du Lycée Jeanne d'Arc au coeur des événements rennais
Classe sportive, les premières sport nous ont fait découvrir leur classe et leur projet d’année.
La majorité des personnes de cette classe ont choisi ce profil car ils aiment le sport et veulent faire un métier en lien avec le sport tel que dans l’évènementiel sportif ou encore militaire. Cette classe leur permet de découvrir un peu plus l’organisation et le déroulement des évènements sportifs.
Mais que font-ils réellement ?
Ils participent beaucoup à des évènements sportifs comme à “L’open de Rennes”, où ils sont bénévoles. Cette année ils créent des ateliers pour des enfants en rapport avec les J.O, par exemple sur le thème de l'handisport, des ateliers les yeux bandés, ce qui leur permet aussi de leur inculquer des valeurs importantes à travers des loisirs sportifs. Ils ont d'ailleurs eu une rencontre avec Thomas Postic un entraîneur à Rennes Triathlon,qui a pu leur montrer comment encadrer un groupe de jeunes pour des activités sportives pour leur projet avec les primaines de l'école Jeanne d'Arc. En conclusion, cette classe a particulièrement soif de découverte et d’envie de transmettre la passion du sport à d’autres.
Camille Vailland, 1ère média
Classe de 1ère Arts : au cœur du monde culturel
Le jeudi 10 mars, nous sommes allées à la rencontre de la classe de 1ère Arts.
Nous avons interrogé quatre élèves (Etienne, Kenny, Mathis et Laurine) et leur professeur principal (Mme Bienvenu) afin d’en apprendre plus sur leur classe.
Pour la plupart des élèves, la première Art n’était pas le premier choix, et pourtant on retrouve une classe épanouie dans leurs projets avec une bonne entente.
Quels sont les projets de la Première Arts ?
Au programme : Visite à l’opéra pour le visionnage de « la Dame Blanche », expositions sur le Mexique, participation au Grand Cordel (MJC) et au festival Travelling, goûters de classe (…). Lors des évènements, ils peuvent être chargés de s’occuper de la régie, de l’accueil, de la billetterie, de contrôler les pass-sanitaire, de s’occuper des personnes à mobilité réduite… Le défi pour les élèves lors des projets est l’organisation, car bien qu’ils soient encadrés, ils sont responsables de leurs projets de A à Z.
Pour la première fois cette année, la première Art a su trouver des partenariats pour ses projets. La classe a comme prochain projet en vue une activité de patinage artistique et une visite au musée des Beaux-Arts après les vacances de Pâques.
En résumé, il ressort de la 1ère Arts une bonne cohésion de groupe, une bonne ambiance et un total épanouissement.
Qu’apporte la Première Arts aux élèves ?
A travers les nombreuses visites, les premières Arts ont pu stimuler leur esprit critique et se munir d’un bagage culturel intéressant. Mme Bienvenu nous a expliqué que la participation aux projets est un moyen de nouer des relations différentes de celles qu’on retrouve en cours, ce qui explique une si bonne ambiance.
Chloé JOUBARD, 1ère Média.
Beau succès pour le bol de riz
Cette année encore, notre lycée s’est engagé pour un bol de riz au profit de deux associations s’occupant d’enfants défavorisés du Viet-Nam (Aide au Viet-Nam et à l’Enfance) et du Pérou (Crèches d’Aréquipa), en leur offrant un avenir grâce à une scolarisation tout en pourvoyant à leurs besoins.
Ce projet vous a inspiré puisque la quasi-totalité des élèves a souhaité se priver d’un repas complet pour permettre à ces enfants de vivre mieux. Grâce à vous, ce sont plus de 1000 euros qui ont été récoltés. Nous sommes fiers de ce résultat. Merci à chacun d’entre vous pour votre envie de rendre le monde meilleur. Et un merci tout particulier à Madame Dariel (crèches d’Arequipa) et à Monsieur Henry (AVE) pour leur présence. Ils m’ont écrit avoir été touchés par votre écoute attentive et les échanges chaleureux et solidaires partagés.
Diane Briant

Vivre une semaine autrement en terminale STMG
Pour finir la période précédant les vacances de Printemps, les professeurs principaux du niveau de Terminale STMG avaient concocté un programme pour vivre une "Semaine Autrement"
De nombreuses activités ou interventions ont donc rythmé cette semaine qui ont tourné autour de 3 axes : la préparation au Grand Oral, une ouverture culturelle et de la convivialité.
Pour la préparation à l'examen officiel du grand oral, chaque jeune a pu découvrir l'intérêt de la relaxation par le yoga, l'aisance à l'oral grâce à un atelier autour de la théâtralité et enfin l'aisance du corps au travers d'une initiation au Hip Hop.
Ils ont également pu approfondir leurs connaissances des matières technologiques en participant à un challenge de simulation de gestion d'une entreprise. 30 équipes de 5 élèves avaient en charge de gérer la même entreprise au départ : ils ont alors pu agir comme de vrais chefs d'entreprise sur les prix, les ventes/achats, salaires, .....
La dimension Culturelle a été abordée par le visionnage du documentaire "Les pépites" qui retrace la vie des enfants du Cambodge et notamment leur accès à l’éducation pour se construire un avenir ; ils ont également assisté à une intervention sur le Climat et la gestion des énergies.
Cette semaine a enfin été l'occasion de vivre des moments de convivialité et d'activité physique avec une initiation au golf et la traversée de la Baie du Mont Saint MicheL : moments de partage et d'échanges.
Cette semaine "Autrement" s'est achevée par un temps convivial qui a permis de récompenser les meilleures équipes du "Serious Game"
A en croire les sourires des jeunes, nous sommes assurés que ce genre de semaine est plus que bénéfique....
Frédéric Sauton
Les 1ère pro S2 à Paris
C’est le jour J, lundi 28 mars 2022, nous sommes tous réunis à la gare de Rennes, direction Paris en TGV pour un séjour de trois jours. 1h30 plus tard, les Rennais débarquent dans la capitale !
Durant ces trois jours bien chargés sur le thème entre “pouvoir et mémoires” nous avons eu l’opportunité de découvrir Paris sous un angle nouveau. Dès notre arrivée, nous avons eu la chance d’avoir une visite guidée de la place des femmes au Panthéon, de Marie Curie à Joséphine Baker.
Notre passage par l’Assemblée Nationale nous a permis de mieux comprendre le fonctionnement de cette institution tout en ayant le privilège de découvrir des pièces majestueuses de ce lieu chargé d’histoire et de s’asseoir dans l’hémicycle.
Grâce à ce séjour, nous avons pu découvrir aussi les principaux monuments en flânant dans les rues parisiennes comme le Sacré Cœur, l’Arc de Triomphe, la Pyramide du Louvre, les colonnes de Buren mais aussi des lieux emblématiques tels Montmartre, les quais de Seine, la Samaritaine, les Champs-Elysées... La Maison de Victor Hugo nous a permis de voir le lieu de vie d’un auteur que nous avions étudié en classe.
Nos soirées ont été bien animées avec une sortie au théâtre dont la pièce s’intitulait “Et pendant ce temps Simone Veille” qui nous expliquait l’évolution de la place des femmes au XXe siècle entre humour et chansons. Nous avons également profité de Paris la nuit en prenant de la hauteur pour admirer la place de l’étoile du haut de l’Arc de Triomphe ainsi que la Tour Eiffel qui scintille.
Des moments émouvants ont ponctué ce séjour comme la visite du mémorial de la Shoah qui retrace l’histoire des Juifs et le génocide en France pendant la Seconde Guerre mondiale.
Ce séjour nous a tous marqués et soudés, nous tenons à remercier nos professeures principales ! Nous en garderons des souvenirs mémorables.
Camille et Louane
Pour la classe des 1pro S2

L'émouvant périple d'une famille ukrainienne entre Kiev et la France
Ce jeudi 17 Mars, nous avons recueilli le témoignage émouvant de Victoriia, 33 ans, maman de Diana, 8 ans, qui nous a raconté son périple entre Kiev et la France.
Témoignage
« Le 24 février, en ouvrant notre fenêtre, nous avons entendu la sirene retentir, ainsi que les avions de chasse et les bombes qui explosaient près de chez nous. A partir de ce moment, nous avons dû rester confinés durant une semaine entière chez nous tout en couvrant les fenêtres pour nous protéger des éclats de verre et des balles qui pouvaient nous atteindre. Souvent, nous devions nous réfugier dans la salle de bain » J’avais préparé des sacs avant de partir avec nos papiers, de la nourriture et un peu d’argent et de l’eau. Ludmilla, ma belle- mère et moi n’avons rien bu pendent 2 jours car il nous fallait garder l’eau pour Diana. »
« Pendant le trajet jusqu’en Pologne, des avions de chasse sont passés au dessus du train et, pour ne pas attirer leurs attention, le convoi s’est arrêté et a éteint toutes les lumières. Nous sommes restés pendant 2 heures dans le noir. Dans un wagon pour Varsovie en Pologne ils étaient 30 entassés. »
Le mari de Victoriia, Oleg, et les deux frères et sœurs, Romains et Mona, n’ont pas eu le choix de rester en Ukraine ou de partir, sauf pour Mona qui est une femme et qui s’est portée volontaire pour combattre. Il faut savoir que tous les hommes sont réquisitionnés sauf ceux qui ont plus de 3 enfants, sont seul avec un enfant, un enfant handicapé ou malade . Victoriia a une grande admiration pour le président Zelensky car il a dit « nous allons gagner ».
Victoriia, Loudmila et Diana sont venues en Bretagne car leur voisin avait une connaisance qui habitait à Morlaix. Là, elles ont été hébergées par Madame Andler, une enseignante du lycée, à Bédée petite ville au Nord Ouest de Rennes pendant une quinzaine de jours. Cette dernière nous a raconté leur quotidien : elles jardinent, cuisinent ensemble, Diana dessine ... Victoriia et Loudmila ont ainsi fait découvrir des spécialités culinaires ukrainiennes. Madame Andler nous a raconté une anecdote qui l'a marquée : en pleine journée, un hélicoptere est passé près de sa maison ; en entendant le bruit de l'hélicoptère Diana, la petite fille, a eu très peur et est partie se réfugier dans la maison en attendant que l'hélicoptère soit assez loin.
Depuis notre rencontre la famille a obtenu leur visa pour 1 an et Diana va à l'école.
Cette histoire nous a beaucoup touchés, Matéo et moi. Nous entendons beaucoup de choses sur les chaines d’informations mais avec le témoignage d’une famille Ukrainienne, nous nous mettons à la place de ces personnes. Et on se rend compte réellement que la situation des Ukrainiens est dure. Leurs paroles nous font prendre conscience que notre devoir est d’aider le peuple ukrainien victime de l’agression russe.
Josse Langlade, Matéo Prodhomme 1ère Media
All Behind Ukraine
L'association “All Behind Ukraine” est venue à notre rencontre le jeudi 31 mars pour nous raconter comment ils avaient eu l’idée de fonder cette association. 'Admir FIDALGO-AMORIMs’est, au fur et à mesure de l’actualité, entouré d’une équipe, pour pouvoir être plus efficace pour accueillir les familles Ukrainniennes arrivant de plus en plus nombreuses. Nous avons décidé de les aider en créant une affiche publicitaire (ci-dessous).
Lou Legrand, 1ère media
Mondial de football : Les protestations n'ont pas suffi
L'arrière plan du Mondial du football n'est pas si rose : les travailleurs ont été traités comme des esclaves.
Durant la construction des stades pour la coupe du monde en 2022 au Quatar, de nombreux problèmes sont venus ralentir les constructions. La construction a duré 10 ans. Pendant cette période, on compte 6500 ouvriers morts et 37000 blessés venant d’Inde, Pakistan, Népal, Banghladesh ou de Sri Lanka...Ces morts ont été causées par la chaleur étouffante, qui monte jusqu'à 45 degrés l'été, les chutes et les insuffisances cardiaques, et autres accidents du travail…Une forte humidité est également présente. Cette chaleur explique le choix de décaler la coupe du monde en hiver pour que les joueurs puissent jouer dans les meilleures conditions. Le Qatar a voulu tout faire pour accueillir au mieux les pays présents dans cette coupe, mais le coût humain du chantier a été lourd .
Malgré les protestations de quelques pays la FIFA a décidé de sanctionner tout pays qui boycotterait le Mondial.
Nous sommes aller interroger des passants à ce sujet :
Fabrice 45 ans
Est-ce que vous suivez le football ? Oui cela m’arrive d’en regarder à la télé
Êtes-vous au courant des dégâts des constructions ? J’ai vu les conséquences des constructions, c’est terrible
Quel pays voyez-vous gagner cette compétition ? Je suis pour la France parce que je suis français, allez la France !!!
Etes-vous au courant des climatisations dans les stades ? Je n’étais pas au courant avec la clim dans le stade, je pense que ce n’est pas bien pour l’écologie, mais cela peut être pratique pour la grosse chaleur.
Arthur 25 ans
Est-ce que vous suivez le football ? Non pas souvent, je regarde seulement les gros matchs avec des amis.
Êtes-vous au courant des dégâts des constructions ? Oui c’est tragique, J’ai vu qu’il y avait de nombreuses morts.
Quel pays voyez-vous gagner cette compétition ? Je vois bien l’Angleterre la remporter, il y a de très bons joueurs et ils n’ont plus gagné de titre majeur depuis longtemps.
Êtes-vous au courant des climatisations dans les stades ? Pour moi la clim n’est pas un problème, nous devrions plutôt parler des constructeurs.
Notre point de vue :
Pacôme : pour moi ces conditions ne devraient pas exister pour un humain. Le football est un sport très reconnu dans le monde, encore plus une coupe du monde mais la vie de ces travailleurs doit passer avant le mondial du foot. Nous devons respecter ces gens.
Perig : pour moi cette édition devrait être annulée puisqu'il y a de nombreux décès, mais cela va être conservé parce que c’est qu'une histoire d’argent et les joueurs ne se révoltent pas puisqu'ils pourraient être éliminés de la compétition.
Pacôme Renou
et Perig Pasquier, 1ère médias
Journaliste de guerre : un métier...
Pendant la semaine de la presse qui a lieu du 21 au 26 mars 2022, quelques classes du lycée Jeanne d’Arc ont assisté à un “webinaire”.
Les deux professionnels de l’information ont répondu à cette question « Comment les journalistes arrivent-ils à rapporter l’actualité en temps de guerre ? »
Présentation des journalistes
Lors de ce « webinaire » il y avait 2 professionnels de l’information : Isabelle Bourdet qui est directrice du club de la presse France et Tony Comiti qui est PDG de Comiti Production.
Les journalistes sur le terrain de guerre
Lorsque les journalistes sont reporters de guerre, ils doivent être équipés d’un casque, d’un gilet par balle, ils ne doivent pas avoir d’arme sur eux ; ils sont accompagnés de soldats, de fixeurs (traducteurs / interprètes/intendants), salariés qui restent dans le pays et sont parfois menacés, de chauffeurs - guides.
Pour aller sur les terrains de guerre en Ukraine, les reporters doivent avoir une carte de presse et une accréditation. Il y a actuellement environ 2000 journalistes en Ukraine dont 40/50 journalistes de Comiti Production.
L’objectif principal du journaliste de terrain c’est de comprendre et de restituer ce qu'il voit. Ce sont les reporters qui doivent choisir les lieux de tournage et limiter les risques. Sur les terrains de guerre les journalistes peuvent être des cibles, des marchandises. Il arrive parfois qu’ils soient pris en otage.
Les images que l’on voit sur les réseaux sociaux et à la télé sont souvent celles de la population (films/photos par portable) surtout dans les zones de conflits ou dans les zones inaccessibles
Il y a des centres mis en place dans différents pays par « Reporters sans frontières » pour former les journalistes de guerre. En Biélorussie, les journalistes sont interdits : cependant, afin d’informer sur la situation de ce pays, une des journalistes de Comiti Production y est allée avec une caméra cachée pour faire officiellement du tourisme.
Le métier de journaliste
Il y a beaucoup de journalistes pigistes, indépendants qui vendent leurs reportages et qui sont payés à la tâche. Ils prennent parfois des risques inconsidérés. Pour devenir journaliste, il faut être curieux, volontaire, courageux, passionné. C’est un métier intéressant, nécessaire pour la démocratie mais parfois dangereux.
Rose Daniel et Chloé Herviault, pour la classe de 2nde AEPA.
Décathlon fait face à la crise du Covid
En 2020, Decathlon a degagé un bénéfice net de 550 millions d'euros. Malgré les deux longues périodes de fermeture des magasins, la baisse du chiffre d'affaire en France a été limitée à 9 %.
Décathlon impute cette baisse à la pandémie de Covid-19, qui a entraîné la fermeture de nombre de ses magasins pendant plusieurs mois.
Nous avons donc interviewé un vendeur du magasin :
le journaliste : Avez-vous vu les ventes du magasin diminuer pendant la crise sanitaire du covid ?
le vendeur : Oui, les ventes du magasins ont très nettement baissées car nous étions fermé. Heureusement la mise en place du click and collect nous a permis de " rebooster" les ventes.
le journaliste : Avez-vous mis en place de nouvelles mesures depuis le covid qui ont pour optique d'être installées à long terme ?
le vendeur : Depuis la réouverture physique du magasin nous avons tous d'abord changé le sens de circulation du magasin en mettant en place des nouvelles méthodes de marketing telles que des têtes de gondoles encore plus visibles et beaucoup mieux rangées.
En effet, le sport est le secteur qui présente la plus forte capacité de rebond post-crise. La durabilité des produits et la priorité accordée aux activités de loisirs après le confinement par les français confèrent un avantage aux produits de sport et de loisirs.
Flavie Dejean et Léa Duarté,
1ère Médias
3 infos à connaitre sur la Fashion Week !
La Fashion Week, c'est quoi ?
La Fashion Week est comme son titre l'indique une "semaine dédiée à la mode", pendant laquelle les marques de prêt-à-porter et maisons de couture présentent leurs collections aux journalistes et aux acheteurs du monde entier via des défilés de mode.
La Fashion Week, ça se passe où ?
La Fashion Week se déroule dans les quatre capitales de la mode qui accueillent pendant quatre semaines tous les défilés.
Ca commence par New York, suivie par Londres puis Milan et Paris. La Fashion Week Haute Couture n’a lieu qu’à Paris. Cet évènement a lieu du lundi 26 septembre au mardi 4 octobre 2022.
Est ce que tout le monde peut assister à la Fashion Week ?
La Fashion Week est un évènement réservé aux professionnels de la mode. En revanche, il est possible de suivre les défilés en temps réel sur des sites tels que "Nowfashion".
Cette année, la marque de pret à porter Balenciaga a fait rire lors de la fashion week. Les mannequins sont arrivés habillés de la tête aux pieds avec des sacs poubelles pour montrer l'importance des choses simples. Cet effet de mode restera longtemps dans la mémoire des journalistes !
Célia Johnson
La nationalisation du kebab en France
En France, d'après Planetoscope, 350 millions de kebabs sont consommés chaque année, soit 11 kebabs par seconde. Le kebab est un plat très tendance qui vient d'Allemagne, d'où provient la majeure partie de la viande servie. Depuis 2010, le kebab s'est démocratisé dans toutes les sociétés et est devenu l'un des sandwichs les plus consommés en France, notamment chez les jeunes et les étudiants. Nous sommes allés à la rencontre d'un chef kebab de Cesson pour en savoir plus sur la "nationalisation" des kebabs.
Il est 16h30 quand mon équipière et moi parcourons le Soleil Kebab à Cesson, une odeur de friture assez agréable chatouille nos sinus et c'est la découverte d'un monde nouveau. Nous rencontrons Farid, un employé du Soleil Kebab depuis 2 ans, agé de 24 ans, qui nous raconte son expérience au sein du restaurant. Il nous informe qu'ils sont présents à Cesson-Sévigné depuis 2015 et que ça marche très bien ! En effet cette "nationalisation" du kebab est présente même dans les petites villes... il nous apprend qu'il a une forte affluence le midi avec les ouvriers des chantiers aux alentours, qu'une clientèle familiale est en train de se développer et qu'autrement ses clients sont principalement des jeunes.
En somme, nous remarquons que le kebab se "nationalise" en France et qu'il devient un sandwich très populaire.
Zoe Pereira et Thomas Batteux,
1ère media
Rue de la soif : de grands changements !
Interview de Marc Hervé, conseiller municipal de Rennes et départemental d'Ille-et-Vilaine
Tout d'abord que répresente St-Anne et la rue de la soif dans la vie de Rennes ?
Marc Hervé : La place Ste Anne et la rue de la soif sont un axe majeur car elles sont deux éléments importants de réaménagement (prévu pour 2030) de la ville. De plus Ste Anne est le deuxième endroit dans Rennes (avec la gare) à avoir les 2 lignes de métro, ça en fait un lieu de passage important.
Quels sont les réaménagements prévus pour la rue de la soif ?
Marc Hervé : Les réaménagements prévus sont de refaire les vieux bâtiments pour la sécurité des habitants car le bois des vieilles bâtisses est fragile. De ce fait, cela passe aussi par les bars au rez-de-chaussée, donc pendant quelques mois il n'y aura plus de bars.
Quels sont les projets prévus à la place de ces bars ?
Marc Hervé : Tout d'abord, le but n'est pas d'enlever les bars, au contraire les bistros vont rester pour garder le coté rock'n roll de la rue de la soif, seulement de nouveaux projets sont attendus : des magasins, des restaurants, des salons de thé, on espère aussi un village d'artisans ou d'artistes pour améliorer l'équilibre entre l'activité la nuit et le jour dans cette rue.
Pourquoi vouloir équilibrer l'activité de La rue de la soif ?
Marc Hervé : Car nous avons peur des débordements à Ste Anne, nous avons de plus en plus de plaintes. Aussi nous voulons que la vie de Rennes soit dispersée dans la ville et pas concentrée dans un seul endroit.
Nathan Drillet et Paul Lebas,
1ère média
La série Euphoria
La série Euphoria, raconte l'histoire de Rue Benett, une jeune fille de 17 ans, tout juste sortie de cure de désintoxication. De retour à son lycée, elle fait la rencontre de Jules, une adolescente trans.
Euphoria met en scène la vie d'un groupe d'étudiants entre les drogues, les drames, le sexe, leurs existences sur les réseaux sociaux, leurs histoires d'amour et l'amitié. Traitant tous les sujets tabous et les questionnements de la vie adolescente, la série est sans filtre. La production n'a pas peur d'être dans le « Trash » et au coeur de polémiques.
Le chiffre de ses audiences a doublé pour la sortie de la deuxième saison, atteignant 13 millions de téléspectateurs.
Deux témoignages de téléspéctatrices
Elena, 22 ans : « J'ai regardé seulement la première saison, j'ai n'ai pas continué parce que ça donne envie de se tuer. J'ai aussi trouvé que cela embellissait la prise de drogue et les violences faites aux femmes. »
Lucie, 17 ans : « J'ai regardé les deux saisons et j'ai adoré. Elle fait énormément de prévention sur tout type de sujets que cela soit en termes de consommation de drogue, leurs effets et conséquences. Je pense que le producteur a réalisé cette série dans le but précis de nous choquer pour créer un impact sur nos mentalitée et de nous informer sur les dangers auxquels nous sommes confrontés à l'adolescence et même plus tard. »
Y a t-il des risques pour les adolescents de visionner Euphoria ?
La série a pu faire polémique il y a peu de temps suite à ses scènes qui peuvent être parfois très dures et violentes . Si vous êtes une personne sensible à ce genre de contenu (drogues , violences physiques ou morales...) nous vous déconseillons de la regarder.
Adèle Corvaisier et Eva Berhault,
1ère média
Camel le sauveur des jeunes plongés dans l'enfer de la drogue !
Camel, originaire de Brest, ancien toxicomane, est venu nous sensibiliser en racontant son histoire émouvante devant les jeunes du lycée Jeanne d’Arc à Rennes. Traumatisé après le décès de son Papa, il plonge dans la drogue et devient addict. Sa fille de 9 ans lui fit prendre conscience de la réalité et de son addiction. Il nous a fait part du décès de ses amis suite à une overdose, un passage très triste et chargé en émotion. Camel nous explique son expérience de vie dans la rue et en prison. Après les situations tragiques et difficiles que Camel a vécues, il a créé l'association de prévention sur les conduites addictives à Brest : Il parcourt la France pour sensibiliser les jeunes !
Nous avons interviewé anonymement un jeune de 18 ans qui se drogue.
Depuis combien de temps vous droguez -vous et pensez-vous être addict ?
J’avais déjà essayé plusieurs fois au collège mais j’ai vraiment commencé au lycée à fumer habituellement et à essayer plusieurs sortes de
drogues (cannabis, ecstasy, cocaïne). Oui je pense être addict.
L'histoire de Camel vous touche-t-elle ?Je me sens concerné par certains passages de la vie de Camel. Ce qu’il fait aujourd’hui pour les jeunes est une super-bonne initiative car les “drogués” sont souvent vus comme des déchets de la société, son témoignage peut plus aider les personnes qui consomment des drogues dures et les personnes les plus vulnérables.
Lilou Auneau et Ines Benchikh, 1ere Média
Les nouveaux fléaux dans le monde de la nuit
Le“GHB” appelé aussi la “drogue du violeur” est un fléau en boite de nuit à Rennes et dans toute la France.
Le GHB (acide GammaHydroxyButyrique)
Le GHB (acide GammaHydroxyButyrique) appelé aussi "liquid ectasy", "drogue du viol" ou du "violeur" se présente sous forme d'une poudre blanche soluble ou de liquide incolore, inodore et sans goût. Il est conditionné dans de petites fioles en verre ou en plastique. Il peut être versé, à l'insu d'une personne, dans une boisson, sans en changer l'aspect. Le GHB est une drogue classée comme stupéfiant.
Mais quel sont ses effets ? C’est : vision trouble ou aveuglement, vomissement et souvent malaise. Un compte instagram a été créé : @balance_ton-bar-rennes, dans le but de témoigner anonymement. Avec plus de 47,8K abonnés, ce compte permet de libérer la parole sur ce phénomène.
Le mouvement #balancetonbar prend de plus en plus d’ampleur en France et en Europe et la multiplication de témoignages de femmes droguées à leur insu a provoqué le boycott de plusieurs établissements de nuit.
L'une des solutions pour lutter contre ce fléau est le Drink Watch : un capuchon anti-drogue pour protéger son verre en soirée et des couvercles en plastique.
L'injection en boite de nuit, une autre inquiétude des jeunes
En février dernier, à Nantes plusieurs femmes ont porté plainte suite à des piqures en boite de nuit, qui pourraient avoir été causées par des seringues. Ces piqures, à l'image de ce qui s'est passé au Royaume Uni où des étudiantes ont été droguées au GHB par injection, inquiètent selon France info tant les autorités françaises que les jeunes.
Ce phénomène a pris une ampleur inédite sur tik tok, où certains utilisateurs ont relayé leurs craintes que ces injections puissent être des « piqures de sida », des seringues infectées par le virus du VIH.
En effet, sur ce même résau social, des fils d'actualités ont été envahis de témoignages de personnes allant se faire tester contre le VIH suite à une piqure lors d'une soirée. Ce fléau n'a pas fini de nous surprendre et risque de continuer son ascension fulgurante !
Abel Allaki et Lou-Anne Cottier,
1ère Media
En route vers le stage à l’étranger....
Quelques mots sur Zagreb
En parallèle avec notre formation en première année, nous devons effectuer un stage obligatoire à l’étranger. Pour celui-ci, nous avons choisi de le faire dans la ville de Zagreb, située en Croatie, pendant 10 semaines, et découvrir cet endroit. Nous avons effectué des recherches afin d’être préparées au maximum à cette culture différente.
Zagreb est connu de par ses différents monuments, comme la cathédrale de Zagreb, le tunnel Gric, l’église St Mark, mais également ses grands jardins et parcs.
Les traditions sont liées aux fêtes avec le carnaval célébré avant le grand carême de Pâques dans de nombreuses villes croates :
● Dubrovnik, pour mardi gras, des chars fleuris avancent en musique derrière le mannequin du roi Carnaval le long du Stradun ;
● Le carnaval Rijeka, le plus grand carnaval en Croatie du 17 janvier au 26 février, le dimanche qui précède le carême, la foule masquée envahit le Corzo, promenade au cœur de la vieille ville.
Nous avons dû également nous renseigner sur la communication verbale ou non verbale. Par exemple, il est courant pour les Croates de parler fort et d'être animés dans les conversations. Pour eux, le fait de parler doucement peut être perçu comme un manque d'assurance.
Sophia Merqi et Maïwenn Prigent-Cheneviere, BTS CI
Découvrons l'Allemagne
L’Allemagne est un pays possédant une culture riche et variée à travers les différentes régions appelées “Länder” par les allemands. Découvrez alors les différents aspects de ce pays fascinant. Les traditions allemandes sont différentes en fonction des régions.
Avec l’approche du mois de mai, nous pouvons parler de la fête du MaiBaum ou arbre de mai en français. Cette tradition consiste à ériger un arbre orné des couleurs et symboles bavarois le 1er Mai afin de célébrer l'arrivée de l’été. Avant cette cérémonie minutieuse, les hommes de la commune doivent couper l’arbre le plus haut possible d’une forêt et de le surveiller jusqu’au jour de la cérémonie car les communes sont en rivalités entre elles. En cas de vol de l’arbre, la commune se voit humiliée et doit verser une rançon souvent en bière et nourriture. Cependant il suffit seulement de toucher l’arbre afin d'empêcher les voleurs de prendre l’arbre, une tradition bien insolite !
Franc Lemeti et Lily Navarre,
BTS CI
Un chemin pour préparer Pâques
Dans le hall des élèves, une table retrace des épisodes de la vie de Jésus pour vivre ensemble ce Carême. Le jardin de Pâques est une invitation à suivre le Christ du désert à sa Résurrection, en suivant les évènements lus dans les évangiles le dimanche et lors des offices de la Semaine Sainte.
Voici une lecture de quelques scènes qui y sont représentées :
Au premier plan, le Christ s’isole au désert. Pendant quarante jours il se prépare à sa vie publique dans le jeûne et la prière. Il nous le dit « Revenez à moi de tout votre cœur ».
Au second plan, c’est la scène de la Tranfiguration. Le Christ apparaît en gloire à ses disciples. « Celui-ci est mon Fils, celui que j’ai choisi : écoutez-le ! »
Sur la gauche, le Golgotha. Ici, Jésus va souffrir sa passion et donner sa vie pour nous. Nous pouvons nous unir à son cri devant tellement de souffrances : « Mon Dieu, Mon Dieu, Pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Le jour de Pâques, la pierre du tombeau sera roulée pour marquer la victoire de la Vie. « C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut ».
Des paroles de saints et des paroles de l’Evangile sont disponibles, elles sont ici pour nous interpeller ou nous soutenir. « La mesure de l’amour c’est d’aimer sans mesure ». Saint Augustin.
Dans la parabole du figuier, un vigneron a un figuier qui ne produit pas de fruits. « Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier, peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas. »
Il en va de même pour chacun de nous, que faisons nous de nos dons ? Les faisons-nous fructifier ?
Diane Briant
Le projet "personal assistant", une expérience inoubliable
Le 9 mars dernier, les étudiants du BTS Support à l’Action Managériale 1ère année, ont pu partir à la découverte d’une ville en France pour réaliser leur projet « PA on the road » mené en cours avec leurs professeurs de gestion de projet.
Ce projet consistait à organiser un déplacement professionnel dans une ville en France afin de découvrir ses aspects culturels et économiques avec un budget maximum de 400 €.
Durant la préparation de ce voyage, les étudiants devaient organiser toute leur semaine de visite, chaque groupe avait choisi une destination telle que Lyon, Bordeaux, Cannes, Lille ou encore Strasbourg.
Ils avaient un cahier des charges à respecter : pour cela ils devaient trouver des musées, un monument historique, un parc ou jardin, visiter deux entreprises et enfin assister à un évènement culturel de la ville. Puis ils devaient établir un budget prévisionnel, un planning détaillé des activités.
Suite à ce voyage, les étudiants ont donné leur ressenti sur cette expérience en rédigeant des newsletters sur chaque destination.
Ce déplacement leur a permis d’acquérir de l’expérience sur le plan professionnel mais aussi sur le plan personnel. En effet cela a permis d’un point de vue professionnel de savoir organiser un déplacement professionnel, de gérer les imprévus et de créer des documents professionnels. Les étudiants se sont rendus compte que la préparation en amont de ce voyage était primordiale pour mieux gérer le budget et se renseigner au mieux sur les activités culturelles et économiques. D’un point de vue personnel, cela a permis à l’ensemble des étudiants de gagner en autonomie, d’être plus responsables et d’enrichir leur culture.
Pour conclure, tous les étudiants ont particlièrement apprécié cette expérience.
Lena Aubert, Imane Azarhai et Enola Cottin, BTS SAM
L’entrepreneuriat au féminin en BTS SAM
Grâce à l’association 100 000 entrepreneurs et dans le cadre de la semaine de l’entrepreneuriat au féminin, les BTS SAM ont reçu 6 femmes entrepreneures ce vendredi 18 mars. Cette matinée était organisée sous la forme de forum, où les étudiants ont pu échanger avec les différentes intervenantes par petits groupes.
Les femmes rencontrées étaient :
Stéphanie LADEL : Assistante Sociale et Addictologue, Martine BUREL-PRIGENT : Coach pour femmes et jeunes, Marie SOREL : Coach-Mentor, Corinne TUAL : Accompagnatrice et Fondatrice de 4 NaturHouse, Anne-Marie PEINTURIER : Coach de vie et Lisa FERRER : créatrice d'une start-up permettant de valoriser les softs-skills par les jeux vidéo et l'obtention de badges.
Ces entrepreneures ont pu témoigner de ce qu'est l'entreprenariat, les différentes faces de leur métier ainsi que leur parcours pour y parvenir : des réussites mais aussi de nombreux moments compliqués.
Le message qu'elles ont transmis aux étudiants de BTS SAM est de croire en ses rêves et de tout faire pour les atteindre malgré les étapes difficiles rencontrées dans la vie professionnelle et personnelle. L’essentiel n’est pas l’arrivée mais le chemin pour y parvenir.
Merci à toutes ces femmes qui ont consacré leur temps à la transmission de leur message positif et sincère.
Anna et Olivia
BTS SAM, 2ème année
Les légumes sont à la fête : Des conseils pour les cuisiner
Manger moins de viande, tout en ayant une alimentation équilibrée, comment faire ?
Beaucoup d’étudiants se posent la question. Les légumes ont parfois mauvaise presse, les endives sont amères, la blette est triste et le topinambour difficile à cuisiner. Certains légumes sont aussi coûteux pour le budget des étudiants.
Les étudiants de BTS ESF ont relevé le défi et ont cherché comment associer céréales, légumineuses et légumes pour créer des menus équilibrés. Ils ont cherché des recettes en restant à l’écoute des goûts, des envies des jeunes. La recette du couscous végétarien a été choisie : Des légumes fondants et croquants, des pommes de terre, des pois chiche, de la semoule… Le plat idéal. Végétaliser son alimentation nécessite d’apprendre une nouvelle façon de cuisiner.
Les étudiants ont mis en forme des conseils permettant de réduire la consommation de viande tout en découvrant de nouveaux plaisirs gustatifs. Ils ont ensuite organisé une animation et ont invité 7 étudiants de BTS tourisme et communication. Durant l’atelier, ils ont expliqué comment créer des menus équilibrés en associant légumes, céréales, légumineuses et ont préparé tous ensemble un délicieux et savoureux couscous végétarien.
Le thème a permis beaucoup d’échanges sur le thème de la cuisine végétarienne et de l’équilibre alimentaire. Un bel après midi gourmand !
Sylvie Gérard
Tourisme : l'organisation du séminaire "Les Premières Rencontres GTTP France" au Lycée Jeanne d'Arc
Depuis 2016, le lycée Jeanne d’Arc de Rennes a noué un partenariat avec l’association GTTP (Global Travel and Tourism Partnership). Cette association internationale née aux États-Unis et au Royaume-Uni regroupe des acteurs et des experts de l’industrie du tourisme ainsi que des établissements scolaires offrant des formations en lien avec le tourisme et l’hôtellerie-restauration. Ce réseau a pour objectif de promouvoir le tourisme et d’encourager les jeunes à faire carrière dans ce secteur. Déjà présent dans 19 pays du monde, le réseau rassemble près de 3 millions d’élèves.
Désireux d’étendre à toute la France le partenariat créé quelques années plus tôt avec le lycée Jeanne d’Arc de Rennes, un séminaire intitulé « Les Premières Rencontres GTTP France » a été organisé le 25 mars 2022 au lycée afin de présenter le réseau à des acteurs du tourisme et enseignants français.
A l’occasion de cette journée, partenaires et experts sont intervenus sur la place du tourisme dans notre société, les évolutions du secteur et leurs impacts sur la formation. Les participants ont également pu découvrir les différents propositions et ressources offertes par l'adhésion à GTTP. Le réseau a lui été présenté par ses diverses propositions pédagogiques et par les ressources qu’il met à disposition.
Étudiante en deuxième année de BTS Tourisme au lycée Jeanne d’Arc de Rennes, j’ai rejoint l’équipe de préparation du séminaire. Mon implication dans le projet était l’occasion de concrétiser mes connaissances et de découvrir une autre facette du tourisme : l’événementiel, avec la communication autour de ces rencontres.
Dans cette préparation, mon rôle a été de créer les outils de communication : création de la charte graphique, l’invitation à l’événement, le communiqué de presse, le dossier de presse et la mise en ligne d’un site internet. J’ai travaillé en collaboration avec mes professeurs qui m’ont notamment aidé lorsque je ne maîtrisais pas les compétences requises. M’investir dans ce projet m’a permis d’être partie prenante dans l’organisation d’un séminaire ainsi que d’acquérir des compétences de communication qui me seront très utiles pour ma poursuite d'étude.
Marion Le Guyon, BTS Tourisme

