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On a lu des livres et on a survécu !

N° 24 - Mai 2025 | www.essfa.fr/ |
La lecture à l’ère du numérique, une passion réinventée
Comment donner aux jeunes le goût de la lecture ?
La lecture n'est pas seulement une activité, c'est un véritable pouvoir, une force qui nous offre la possibilité de nous évader à tout moment et en tout lieu. À travers les livres, nous pouvons plonger dans des univers infinis, loin des préoccupations quotidiennes qui, parfois, peuvent nous submerger. Cette activité devient alors un moyen de prendre du recul, de nous libérer et de nous retrouver.
Mais la lecture ne se limite pas à une simple évasion. Elle représente aussi un véritable enrichissement intellectuel et émotionnel. Pour un jeune, elle constitue une source précieuse d'apprentissage et de réflexion, contribuant à la formation de l'adulte qu'il deviendra. À travers les pages, on s'ouvre à de nouvelles idées, à d'autres cultures et on apprend à mieux se connaître soi-même. Ainsi, la lecture est bien plus qu'un passe-temps : c'est un outil puissant qui façonne notre pensée et nous aide à grandir.
On entend souvent que les jeunes lisent de moins en moins, la faute aux écrans et aux réseaux sociaux. Et si ces derniers jouaient plutôt un rôle moteur dans notre rapport à la lecture ?
Selon Axelle Rivault, une élève de Saint Martin à Rennes, créatrice de contenus littéraires alias bookstragram_2312, “il est d'autant plus important de lire dans nos sociétés actuelles, il faut rester éclairé, comprendre les enjeux de notre monde. Ce sont parfois quelques pages qui peuvent nous changer à jamais ou marquer un tournant décisif dans nos vies.” Grâce à des plateformes comme BookTok et Bookstagram, les recommandations littéraires circulent à grande vitesse. Une simple vidéo ou une publication Instagram peut éveiller notre curiosité et nous donner envie de découvrir un livre. Les réseaux deviennent alors des lieux d'échange où chacun partage son avis, conseille et se motive à lire davantage.
Toujours d’après Axelle, “c'est grâce à notre communauté qui ne fait qu'augmenter aujourd'hui, que nous autres, les jeunes, nous motivons, nous challengeons et notre intérêt pour la lecture se réaffirme ! La lecture s'est, d'une certaine façon, adaptée aux époques, et elle passionne toujours autant les jeunes ! C'est ce côté, le besoin de partage, la passion des mots qui devrait ressortir davantage sur internet !”
Mais ce n'est pas tout ! Les nouvelles plateformes de lecture en ligne comme Wattpad, Gallica ou Webtoon offrent un accès facilité à des milliers d'œuvres, souvent gratuites. De leur côté, les sites comme Booknode, Goodreads et Babelio nous aident à découvrir de nouveaux titres et à organiser nos futures lectures. Enfin, n'oublions pas les bibliothèques et les centres de documentation et d’information (CDI) qui restent des lieux essentiels pour emprunter des ouvrages variés sans dépenser un centime.
Finalement, la lecture ne disparaît pas, elle s'adapte aux nouvelles habitudes des jeunes ! Grâce aux communautés littéraires en ligne, elle devient plus interactive, plus dynamique et surtout plus accessible.
Si la lecture a su évoluer avec son époque, qu’en est-il de l’écriture ?
À l’image des plateformes, les jeunes auteurs trouvent aujourd’hui de nouveaux espaces d’expression, prouvant que l’avenir du livre ne se joue pas seulement dans la lecture, mais aussi dans l’écriture. Lors du festival Rue des Livres, nous avons rencontré une maison d’édition associative gérée par les étudiants en Master Métiers du livre et de l’édition. Nous les avons interrogés sur l’évolution des habitudes de lecture des jeunes. Leur avis rejoint celui que nous avons : les jeunes d’aujourd’hui lisent des genres variés et sont influencés par les recommandations des réseaux sociaux, notamment via BookTok. Selon eux, beaucoup de jeunes achètent des livres après les avoir découverts sur ces plateformes. Ils confirment aussi que ces nouveaux supports ont transformé leurs pratiques éditoriales. Désormais, ils réfléchissent davantage au format de publication, car ces alternatives permettent d’attirer un public plus large.
La lecture et l’écriture continuent d’évoluer et s’adaptent aux nouvelles générations.
Inès Louis, Lilou Guinnebault,
Pauline Amato
et Oumalkaire Daoud Omar,
1ère médias
Entre intrigue et mystère
Meurtre mode d'emploi, Tome1 de Holly Jackson est un thriller addictif qui allie suspense et humour. L'intrigue plonge des lycéens dans la résolution d'un meurtre mystérieux, entre personnages équivoques, images douteuses et retranscriptions d’interviews. Parfait pour ceux qui aiment les histoires intrigantes et les enquêtes immersives, ce livre ne manquera pas de tenir ses lecteurs en haleine !
Pauline Amato, 1ère médias
Entre vengeance et résilience
Dans ce manga Vinland Saga de Makoto Yukimura, nous suivons le récit de Vikings islandais lors de la guerre contre les Anglais. Pour se venger du tueur de son père, Thorfinn devient un guerrier redoutable et part à la poursuite de son ennemi. Une aventure captivante, un livre incontournable pour les amateurs d’histoire et de récits épiques !
Oumalkaire Daoud Omar,
1ère médias
Un livre d'émotion et d'espoir
Dans Tous nos lendemains, Lylyblabla nous plonge dans une romance bouleversante entre Chloé et Chris, deux amis d'enfance réunis malgré un passé douloureux.
Entre émotions intenses, secrets et espoir, ce roman aborde avec justesse l'amour, la perte et la résilience.
Une lecture captivante qui ne vous laissera pas indifférent !
Lilou Guinnebault, 1ère médias
Entre jeux et addiction
Un roman addictif qui mélange amour, suspense et jeux de pouvoir ! L'As de cœur vous plonge dans l'univers du poker avec Rose et Levi. Entre vengeance, secrets et sentiments, leur relation est électrique et pleine de rebondissements. L'histoire est captivante et l'ambiance de Las Vegas immersive. Parfait si tu aimes les romances passionnées avec une bonne dose d'adrénaline.
Inès Louis, 1ère médias
Une BD marquante : Les Mémoires de la Shoah
Une BD pour prolonger la mémoire de la Shoah.
Annick Cojean, autrice et reporter française pour Le Monde, a publié en 1995 une enquête sur les survivants de la Shoah. Après avoir reçu le prix Albert Londres en 1996, elle décide en 2025, pour les 80 ans de la libération d’Auschwitz, de sortir son reportage sous la forme d’une bande dessinée.
Rencontre avec des survivants
Cette BD est écrite grâce à des témoignages de survivants, de leurs enfants et des enfants de nazis. Elle s’appuie sur le reportage que Annick Cojean avait fait dans les années 90, en voyageant à travers le monde. Elle avait ainsi rencontré des survivants de la Shoah, en commençant par les États-Unis, où elle avait écouté des témoignages grâce aux archives vidéo Fortunoff de l’école Yale qui en répertorient plusieurs milliers sous forme de vidéos. Les témoignages présentés dans la BD sont illustrés par Tamia Baudouin. Les graphismes rendent les histoires plus touchantes et vivantes. La BD est particulièrement plus intéressante au moment où l’autrice rencontre des enfants d’anciens dirigeants nazis, amis d’Hitler.
Un devoir de mémoire
Le contraste entre la souffrance éprouvée, le sentiment de ne pas être légitime à encore vivre et la force des survivants à témoigner sont à la fois perturbants et bouleversants. Voir ces visages marqués par l’horreur, figés dans des dessins parfois sobres, parfois d’une intensité suffocante, plonge le lecteur dans une émotion brute.
Cette BD transmet une transition essentielle qui contribue à préserver la mémoire de la Shoah, afin que les jeunes n’oublient pas l’horreur des camps et le devoir de la paix dans le monde.
Lou-Anne Le Roux Tardif,
1ère médias

Un voyage au cœur de la littérature
Rencontre avec Vincent Cuvellier et Émilie Collet.
Le 13 mars 2025, trois classes de seconde générale et technologique ont eu l’opportunité d’assister à une rencontre littéraire organisée par leur professeur de français, Mme Guineheux, et les professeures documentalistes Mesdames Bouttier et Le Bras. Cette rencontre s’inscrivait dans le cadre du projet lecture des élèves, en lien avec le festival Rue des Livres à Rennes. Ce projet vise plusieurs objectifs : lire, créer, partager, rencontrer et visiter, afin de sensibiliser les élèves à la littérature.
Deux invités étaient présents pour échanger avec les élèves : Vincent Cuvellier, auteur et scénariste, et Émilie Collet, médiatrice du festival Rue des livres.
Vincent Cuvellier : un auteur à l’écriture vivante
Originaire de Brest et aujourd’hui installé à Bruxelles, Vincent Cuvellier a publié de nombreux ouvrages jeunesse, dont la série Émile, mettant en scène un héros breton. Passionné par l’écriture depuis l’adolescence, il a été édité dès l’âge de 16 ans, grâce au concours du jeune écrivain où il avait fini premier. Pourtant, il se détache aujourd’hui de ses premiers livres, préférant ses œuvres actuelles, plus variées et teintées d’humour.
Selon lui, il est essentiel d’écrire avec enthousiasme et sincérité. « Écrire, c’est du plaisir, des émotions. La culture doit donner envie », a-t-il confié aux élèves. Il ne s'en tient pas à un seul registre, il aime explorer différentes tonalités et n’hésite pas à intégrer un langage tantôt argotique, tantôt soutenu, au service de ses personnages.
Lors de cette rencontre, les élèves ont eu l’exclusivité de découvrir des extraits de son prochain roman La Rue Mirabelle, qui paraîtra fin 2026. À travers ce livre, Vincent Cuvellier souhaite rendre hommage aux écrivains du XIXᵉ siècle. Pour lui, l’écriture ne se limite pas à un thème ou un sujet précis, c’est avant tout un moyen de s’évader, de raconter le monde à sa manière.
L’auteur a également partagé ses sources d’inspiration : la vie quotidienne, les films, la musique… Il a confié avoir commencé à écrire dans une période difficile de sa vie, notamment parce qu’il n’aimait pas l’école. La première phrase de son premier livre édité était originale et percutante : Un cri. Non. Deux cris.
Par ailleurs, son roman Le Temps des Marguerites a été adapté au cinéma en 2020 par Pierre Coré, avec Clovis Cornillac et Alice Pol. Sa célèbre série Émile est également en projet d’adaptation.
Émilie Collet : une passerelle entre les jeunes et la littérature
La deuxième invitée de cette rencontre était Émilie Collet, médiatrice du festival Rue des livres.
Elle est salariée de l’association Rue des Livres, qui organise chaque année un festival littéraire à Rennes. Lors de son intervention, elle a présenté la 17ᵉ édition du festival, qui s'est tenue les 15 et 16 mars 2025 aux Cadets de Bretagne, dans le quartier de Maurepas. Cet événement met à l’honneur la diversité du monde du livre à travers des rencontres avec des auteurs, des séances de dédicaces, des débats et des animations. Plusieurs maisons d’édition (dont Argyll, Goater et Ouest-France), librairies (Astrolabe, Le Failler, La Courte Echelle, Japanim) et médias, y étaient présents.
Gratuit et ouvert à tous, le festival se veut une véritable invitation au voyage à travers la lecture. Son thème de cette année : L’aventure. « Chaque existence, chaque famille, est une aventure », a souligné Émilie Collet.
Un Café Littéraire a eu lieu le 24 avril
Cette rencontre littéraire est une autre étape dans le projet lecture des secondes. Le 24 avril, les élèves ont eu l’opportunité de poursuivre leurs échanges autour des livres lors d’un café littéraire organisé au foyer du lycée. Ce moment unique leur a permis de partager leurs impressions de lecture sur un livre de leur choix autour d’un petit goûter.
Un bon moment convivial partagé !
À travers ces échanges, les élèves ont découvert des parcours d’auteurs.
Leur message : la littérature est un voyage, et chacun peut en être l’explorateur.
Comme l’écrivait Victor Hugo : "Lire, c’est voyager. Et voyager, c’est lire."
Pauline Amato,
1ere médias
À la découverte du monde des médias !
Cette année, les élèves de la classe médias ont eu la chance de créer la radio du lycée : Fréquence Jeanne d'Arc.
Tout au long de l'année, les élèves ont pu découvrir le monde de la radio, de la télévision et du journalisme. Les projets ont permis aux élèves de découvrir la partie cachée des métiers du journalisme à travers des interventions d'anciens élèves devenus journalistes à la télévision et à la radio.
L’année a été introduite par un jeu de rôles au CDR, où les élèves se sont mis à la place de journalistes et ont tourné un duplex. Durant ce jeu, la classe devait écouter plusieurs témoignages en hiérarchisant les sources et en choisissant l’angle de vue. Cette expérience a permis à tous les élèves de s’immerger dans le monde de la télévision, tout en développant des compétences en communication, en recherche d'information et en travail d'équipe.
La découverte du monde de la radio a débuté avec la création des podcasts en choisissant des thèmes d'actualité intéressants. Chaque groupe s’est réparti le travail entre les recherches d’informations, interviews et micro-trottoirs.
Après plusieurs semaines de préparation, les premières médias ont pu découvrir le studio du lycée. Ainsi, la création de podcasts permet de développer l’aisance à l'oral et d'améliorer l’éloquence pour gagner en confiance. Enfin, le projet médias s’est terminé par la diffusion des podcasts sur différents sujets tels que : les violences à Rennes, les effets des réseaux sociaux et l’organisation des festivals...
Notre classe a aussi eu l’occasion de visiter des médias locaux, tels que RCF où nous nous sommes initiés à parler avec des micros et lire un texte à haute voix, ou TV Rennes où nous avons assisté à la présentation d’un journal télévisé en direct. Pour finir, Ouest France où nous avons pu voir l’impression des journaux.
Louanne Bezier--Hardy,
1ère médias
Le prix EOL : parcours d'une réussite
Dans le cadre du prix EOL (Etudiants On Lit), les étudiants ont eu l’opportunité d’échanger avec deux auteurs dont les œuvres explorent des thématiques sociales fortes. Deux rencontres marquantes qui ont suscité réflexion et dialogue.
Des auteurs engagés mis à l’honneur
En ce début d’année, le prix EOL a accueilli Audrey Guillet, autrice de Emprisonnées, un ouvrage poignant qui donne la parole à des femmes incarcérées à travers le monde. Lors de cette rencontre, l’écrivaine a partagé son travail de collecte de témoignages et son engagement en faveur de ces femmes souvent oubliées. Les étudiants ont ainsi pu mesurer l’ampleur des injustices et des défis auxquels elles sont confrontées.
Quelques mois plus tard, en mars, c’est l’écrivain et musicien Malik Soarès qui a, à son tour, échangé avec les étudiants. Co-auteur de Il y a ce que je suis, il a livré un témoignage intime et bouleversant sur son parcours en tant qu’enfant placé. Devant un auditoire captivé d’une cinquantaine de personnes, il a évoqué les défis de l’enfance en foyer, la quête d’identité et la résilience face aux épreuves.
Des échanges inspirants pour les étudiants
Ces rencontres ont profondément marqué les participants, leur offrant un éclairage unique sur des réalités souvent méconnues. À travers les récits d’Audrey Guiller et Malik Soarès, les étudiants ont été invités à réfléchir à des sujets de société essentiels : la condition des femmes en milieu carcéral et le vécu des enfants placés. Des instants de partage riches en émotions, qui ont su toucher et éveiller les consciences.
La remise du prix EOL
Le prix EOL (Etudiants On Lit) a récompensé Audrey Guiller pour Emprisonnées le 24 avril à l’issue du vote des étudiants inscrits au prix. Un moment privilégié et chaleureux en présence de Madame Richard, a réuni lecteurs et organisateurs du prix.
En 2025-2026, une nouvelle équipe de BTS SAM 2 prendra la suite pour organiser et faire vivre le prix pour les étudiants de BTS première et deuxième année. Il s’agit de Liza Douessin, Lalie Rouget, Noa Olivry et Amélie Truet.
Acanthe Laprie Delaruelle, Juliette Coudé Lucas, Juliette Defaysse, Adrienne Oger,
BTS SAM 2
La classe Monde a découvert la culture espagnole à Valence
La classe de la spécialité Monde est allée en Espagne, à Valence, du 30 mars au jeudi 3 avril. Au départ, ils avaient le choix entre cinq villes : Valence, Barcelone, Séville, Alicante et Madrid.
Pour choisir l’endroit où ils allaient passer quatre jours, ils se sont répartis en groupes et ont choisi une ville parmi les cinq proposées. Pour les recherches, chaque personne dans le groupe avait des critères : intérêt des activités, prix ... . Finalement, après de nombreuses recherches, ils ont choisi Valence, avec l’accord du professeur, car c'était plus intéressant en terme de prix.
Concernant les activités, ils ont fait un jeu de piste, visité quelques musées, par exemple le musée océanographique de Valence, ainsi que des parcs. Pour leur dernière matinée, ils ont eu un "quartier libre" dans Valence.
Le moment où il y a eu le plus de désaccords a été le choix des activités, des logements et des villes, car tous les élèves voulaient des choses différentes. Il a fallu que le professeur tranche entre les différents avis.
Au retour de leur voyage, les élèves de 1ère Monde ont réalisé un vlog pour le partager avec les parents.
Le voyage en Espagne et le vlog de leur séjour resteront un des meilleurs souvenirs de l'année.
Ambre Thebault, Clara Martinet,
1ère médias
Les petites start-up des premières
La classe des start-up a créé deux entreprises durant leur temps de projet, en fonction de leurs affinités au sein de la classe.
Ils ont choisi leurs entreprises en prenant en compte les problèmes du quotidien, en s’inspirant de ce qu'ils ont vu sur les réseaux sociaux, en cherchant à donner une dimension éco-responsable.
Les deux entreprises sont :
- Purifl’ô : il s'agit d'un embout en acier inoxydable et recyclable. Il permet de filtrer l'eau du robinet.
- Jelly’up : c’est une gelée écologique qui nourrit les plantes lorsque les gens ne sont pas disponibles pour s'en occuper, par exemple lorsqu'ils sont partis en vacances. Ils la fabriquent avec de l'agar agar ou de la gélatine. Il y a aussi de l'eau et de l'hydrolat pour donner un arôme. Elle sera proposée dans des récipients écologiques, fabriqués en matières recyclabes.
Dans chaque groupe, il y a un secteur communication, financier, marketing, commercial, et un directeur général et les élèves se répartissent dans ces secteurs. Par exemple Hugo est directeur financier, il gère donc tout ce qui a un rapport avec l'argent (l'achat, le partenariat et l'économie). Lorianne est réponsable communication et elle gère le logo et la communication. Et Léna est la directrice générale du projet, elle s’occupe aussi des récipients qui contiendront la gelée.
Pendant la création de leurs mini-entreprises, ils ont beaucoup apprécié avoir de l’autonomie et ont trouvé cette expérience très enrichissante pour mieux connaitre le monde du travail. Toutefois, ils ont rencontré des difficultés, telles que l’écoute et l’attention des autres, ainsi que l’organisation des tâches. Mi-mai, ils participeront à un concours à Vannes.
Clara Martinet, Ambre Thebault
1ère Médias
En projet pour Paris !
"Arts et engagements", voici leur ambitieux thème
C’est en surmontant les difficultés, avec aplomb et humour, qu’ils abordent les trois piliers du Projet de Terminale : développement durable, communication et numérique.
Forts d’une détermination à toute épreuve, ils bravent les difficultés et la procrastination afin d’organiser le meilleur !
De mails en coups de fils, apprenant de leurs erreurs, l’opiniâtreté les pousse vers l’avant. Les idées fusent et s’entrechoquent afin de ne former finalement qu’un chemin solidaire et amical. Les envies se précisent au fur et à mesure que le temps passe. Les arts se déclinent et les engagements prolifèrent. De la rooming list aux Doodles, en passant par le street art, les anglicismes se francisent, voire se parisianisent.
Du Sénat au Louvre, quelques belles rencontres les attendent. De la Grande Mosquée à la basilique Saint Denis, l’équipe se soude et avance, respectant les différences de chacun.
Rendez-vous en juin sur les réseaux du lycée !
Esther Esnault,
Esther Launay-Dupont
Journée ensoleillée à Paris en 1ère médias
Dans le cadre de la semaine autrement, la classe de 1ère médias a passé une journée à Paris sous un soleil radieux.
Le matin, l'exposition "la saga des grands magasins" au Trocadéro a permis aux élèves de découvrir l'histoire du marketing et de suivre l'épopée commerciale des grands magasins (le Printemps, les Galeries Lafayette...).
L'après-midi, après un passage à la Samaritaine, ils ont pu visiter Notre Dame de Paris en réalité virtuelle et découvrir son histoire puis entrer dans la cathédrale et admirer les merveilles de sa restauration.
La journée s'est terminée par une visite du quartier latin et une pause "bataille d'eau" au jardin du Luxembourg.
Charlotte Vallançon
Les dessous du festival Travelling
Clair obscur est une association que nous avons découverte le 14 novembre, pour qu’elle nous présente le festival Travelling auquel elle est associée.
Travelling est un festival de cinéma qui a lieu annuellement depuis 36 ans, il se tient lors de la semaine précédant les vacances de février.
Nous avons rencontré Cécile Bailly la responsable de la médiation et des relations de l’association qui compte 10 salariés. Nous avons eu une deuxième intervention avec Anne Le Hénaff, responsable artistique : présentation de son métier, des raisons pour lesquelles la ville de Stockholm a été choisie cette année pour illustrer le cinéma, de certaines bandes annonces de films.
Elle nous a présenté les objectifs de ce festival de cinéma qui est de mettre en avant un cinéma plus discret que le cinéma commercial à gros budget.
Nous y avons aussi découvert notre rôle dans ce festival : l’accueil des visiteurs et la sélection d’un film qui sera projeté aux élèves de première, grace au soutien financier de la région Bretagne.
Romane Cavan,
Jehan de Pluvié,
1ère arts
Des mexicains à la découverte de Rennes
Dans le cadre d’un projet interculturel, nous avons eu l’opportunité - Gabie, Laly et Clémence, en classe de BTS Tourisme 1ère année - d’organiser une visite guidée de Rennes pour un groupe d’élèves mexicains en échange avec les collégiens de Bruz (établissement Saint Joseph). Une belle occasion de leur faire découvrir le riche patrimoine de la capitale bretonne !
Notre parcours a débuté à la cathédrale Saint-Pierre, une merveille architecturale qui témoigne de l’histoire religieuse et royale de la ville. Nous avons ensuite conduit nos visiteurs aux Portes Mordelaises, vestiges des anciennes fortifications médiévales, où ils ont pu imaginer Rennes à l’époque où la ville était protégée par ses remparts.
Nous avons poursuivi notre découverte en admirant les maisons à colombages, emblématiques du centre historique. Nos amis mexicains ont été impressionnés par ces façades colorées et penchées, témoins des siècles passés.
Le point d’orgue de notre visite a été la découverte du Parlement de Bretagne, où les élèves mexicains ont eu droit à une visite guidée passionnante. Ce bâtiment emblématique, symbole de l’histoire judiciaire et politique de la région, a su les captiver par son architecture et son rôle clé dans l’histoire bretonne.
Au-delà de la découverte du patrimoine, cette rencontre a été une formidable opportunité d’échange entre nos cultures. Nos invités mexicains ont partagé avec nous leurs impressions sur Rennes et nous ont parlé de leur propre patrimoine, enrichissant ainsi notre expérience. Ce projet nous a permis de mettre en pratique nos compétences en guidage tout en vivant un moment de partage inoubliable. Une expérience à renouveler !
Merci au collège Saint Joseph de Bruz et à ses professeurs de nous avoir accompagnées et de nous avoir donné cette opportunité.
Gabie Thieulant, Laly Delsaut, Clémence Duval, BTS Tour1
Organiser des événements avec la classe Passion Sport
Au cours de l’année, la classe Passion Sport a eu l’occasion de participer à plusieurs événements sportifs en tant que bénévoles ou spectateurs comme l'Open de Tennis à Rennes, la Roazhon Run avec l’arrivée au Stade Rennais, le Cross Ille-et-Vilaine, qui rassemble des primaires, collégiens et lycéens, ainsi que les 10 km de Chantepie. Les élèves ont pu s'engager et aider à la réalisation d'évènements sportifs, tout en développant des compétences pour travailler en équipe et en s’engageant auprès des autres.
Ainsi, pour être un bon bénévole, il faut savoir communiquer et être organisé pour faire face aux difficultés.
Pour conclure cette année, les premières Passion Sport ont organisé un voyage à Quiberon pendant cinq jours. Ce séjour a pour objectif d’expérimenter de nouveaux sports tout en pratiquant une formation aux gestes de premier secours, avec un stage de sauveteur en mer pour apprendre à intervenir en cas d’urgence.
Chloé Lecommandoux,
Louanne Bezier--Hardy,
1ère médias
Le salon de l’entrepreneuriat ouvert à tous !
Ce mardi 19 novembre les étudiants du Lycée Jeanne d’Arc ont eu la chance de participer au célèbre Salon de l’Entrepreneuriat au parc exposition de Bruz.
Depuis la nouvelle réforme, le BTS communication a intégré à son programme l’option Entrepreneuriat.
L’occasion pour les étudiants de s’ouvrir au monde de la création d’entreprise, omniprésent dans divers domaines allant du médical au commercial. Au salon de l'entrepreneuriat , conférences, échanges et animations étaient au programme afin d’insuffler l’esprit d’entreprendre ! Une approche optimale pour développer confiance et motivation des étudiants à lancer leur activité.
L’objectif du pôle supérieur du lycée est bien de développer chez les étudiants de multiples compétences professionnelles clés. De plus les échanges entre les professionnels expérimentés et les jeunes en cours de formation permettent de favoriser la naissance d’idées et d’améliorer les différents projets développés au lycée !
Les étudiants
BTS communication
Immersion dans le monde de la culture pour la classe 1ère Arts !
L’année de la classe des premières Arts a été marquée par une immersion dans le monde de la culture et de l’art. L’un des moments forts de l'année a été la participation au Festival Travelling, où les élèves ont eu l'opportunité de visionner trois films sur le thème de Stockholm afin d’appréhender le festival et de s’impliquer en tant que bénévoles. Cette expérience leur a permis de découvrir l’organisation complexe d’un festival.
Un autre événement a marqué leur année : le Festival Mythos, les élèves ont pu gérer la restauration ou encore l’entretien du site. Cela leur a permis de développer des valeurs importantes telles que l’entraide, la solidarité et l’ouverture d’esprit.
Les élèves de la classe de première Arts ont également eu l’opportunité de visiter le Musée des Beaux-Arts de Rennes où ils ont pu voir différentes œuvres. Cette visite leur a permis de comprendre les différents aspects d’une œuvre d’art. De plus, des ateliers d'analyse de tableaux ont aussi été organisés permettant aux élèves de mieux comprendre les techniques utilisées et d’apprendre à déchiffrer les messages d'un tableau.
Néanmoins, les premières Arts ont aussi développé des compétences essentielles, telles que l’aisance à l'oral. En effet, des ateliers de théâtre ont été organisés pour permettre aux élèves d'améliorer leur confiance en eux.
Chloé LECOMMANDOUX,
1ère médias
Solidaires avec les sans-abri
Mardi 25 mars a eu lieu dans notre lycée le repas solidaire annuel. Le principe était simple : au lieu du repas habituel, il a été servi au self une assiette de pâtes à la sauce tomate et une pomme.
Ce repas solidaire est organisé pendant le temps du carême comme une invitation à nous tourner vers les autres, un temps de renoncement à notre confort habituel, un temps privilégié où l'on vit et où l'on partage, certes très symboliquement, la même nourriture, la même vie que d'autres.
C'est aussi un acte de solidarité car les économies réalisées par le self seront reversées à l'association Lazare, qui développe des colocations solidaires entre sans-abri et jeunes actifs. Cette association est venue plusieurs fois lors de la matinée de Noël. Un ancien élève du Lycée Jeanne d’Arc a été en coloc dans cette association.
Delphine Griffon,
animatrice en pastorale
Vivre une semaine autrement en Terminale
Les T merca 3, sous le soleil de Madrid
Après avoir admiré le Palais Royal, le jeu de piste organisé par les BTS tourisme a permis de sentir le poul de la ville et de découvrir les places et monuments de Madrid : Plaza Mayor, Plaza del sol… Catedral de la Almudena où certains jeunes ont pu participer à la messe.
En début de soirée, les élèves ont été accueillis chaleureusement dans les familles. Puis visite du Prado et de la Reina Sofia où les élèves ont pu admirer les œuvres sur lesquelles ils avaient réalisé une argumentation en classe. Un atelier de street art a permis de découvrir des coins animés de la ville. Le marché san Miguel et le marché del Rastro ont été l’occasion de découvrir les spécialités culinaires et vestimentaires de Madrid ! Un cours de flamenco complète les activités de l’après-midi suivi d’un délicieux chocolate con churos. Enfin la visite du stade Barnabeu a eu beaucoup de succès auprès des élèves supporters du real Madrid !
Le voyage se termine par une promenade agréable au parc Del retiro et pour certains complétée d’une visite à la Casa de la moneda.
Constance de Renéville
12.56 km - 637 mètres de dénivelé pour les TGRH1 !
Les TGRH1 ont relevé le défi en effectuant une randonnée autour du Larla, montagne du Pays Basque, accompagnés d'un guide coiffé de son béret.
Ils ont aussi découvert les jeux traditionnels, la pelote basque, la fabrication du piment à Espelette avant de s'initier à la pratique du surf à Hendaye.
Un voyage réalisé uniquement en transport en commun pour maîtriser notre empreinte carbone, avec la participation financière de la région Bretagne.
Cécile Chédaleux,
Frédérique Beaumard
Immersion dans la culture espagnole à Barcelone avec les T merca 1
Nous avons passé un agréable séjour dans une ville de Barcelone très riche culturellement, nous sommes partis lundi très tôt, ce qui nous a permis de commencer à visiter dès lundi en découvrant notamment le Parc Güell, imaginé par Antoni Gaudí. Nous étions hébergés dans des familles, une expérience très enrichissante puisque nous étions en immersion avec des Espagnols pour découvrir leur culture. Le lendemain, nous avons participé à un jeu de piste imaginé par les BTS Tourisme dans le quartier gothique de la ville, puis avons découvert le musée Picasso avant une virée à la plage en fin de journée. Le 3ème jour, le seul où nous n’avons pas été gâtés par le temps, nous nous sommes retrouvés sur les hauteurs de Barcelone, avons marché jusqu’aux installations olympiques des JO de 1992 et découvert un quartier sympathique avec une ancienne arène revisitée en centre commercial et aussi le musée d’histoire de la ville. Le dernier jour, après avoir dit au revoir à nos familles, nous avons visité le RDCE Stadium, stade de l'Espanyol Barcelone, un club de football mythique de Liga. La dernière visite aura été l'inévitable Sagrada Familia qui nous a étonnés par sa luminosité intérieure. Un voyage rythmé par les visites et la bonne humeur et dont nous garderons plein de souvenirs.
Ilan David, T merca 1
De Bordeaux à Royan sur le thème de l'écocitoyenneté en T merca 2
Au programme de cette semaine : visite d'entreprises locales (châteaux du Médoc, entreprise de recyclage), ouverture à l'art contemporain, découverte du monde de l'inclusion via le surf et l'économie sociale et solidaire.
Frédéric Sauton
À la découverte d'une épicerie solidaire
Nous sommes allées visiter l’épicerie sociale du Secours Populaire de Maurepas, rue de Trégain.
Philippe et Catherine, 2 bénévoles, nous ont reçu dans les locaux et nous ont présenté l’accueil. Là est présentée la carte à points (60 points pour 3 mois), distribuée sur déclaration de ressources (quasi inexistantes) avant de pouvoir entrer au sein de l’épicerie sociale. Certains usagers aident aussi comme bénévoles au Secours Populaire.
Les bénévoles nous ont fait jouer un rôle (faire le plein de courses) et nous avons remarqué que les points partaient très vite, trop vite !
L’accueil était très chaleureux. Les usagers étaient très polis. Merci à tous et toutes pour votre accueil ! Cette visite a rendu nos apprentissages plus dynamiques, à refaire !
Voici nos points de vue sur cette sortie :
Nour : “J’ai aimé visiter les locaux, rencontrer les bénévoles et apprendre davantage sur cette association. J’ai l’impression d’avoir plus appris lors de cette sortie qu’en restant dans une salle de classe !”
Yanaëlle : “Le fait d’avoir pu découvrir les coulisses grâce aux bénévoles m’a donné envie de m’engager davantage dans le monde associatif pour me rendre utile. Les besoins sont énormes ! ”.
Minah : "Je n’imaginais pas les locaux du Secours Populaire ainsi. Les bénévoles ont été très accueillants et nous ont bien expliqué comment se déroulent les actions qu'ils mettent en place, leur organisation et les besoins en aide ponctuelle ou durable. Je trouve que d’autres sorties comme celles-là seraient super !
Léa : Cela m’a permis de découvrir comment cette association fonctionne et d’en apprendre plus sur la réalité des choses. On a pu être imprégnées dans l’univers du Secours Populaire et se mettre à la place des personnes en difficulté pour mieux comprendre leur situation. Cette sortie m’a donné envie de plus m’engager au sein d’actions humanitaires comme celles-ci !
Emilie : “C'était enrichissant de découvrir l’association, son fonctionnement, comment s’organise la logistique et les collectes des dons. Je vais tenter de faire mon stage de seconde au Secours Populaire de Maurepas !"
Les 5 Fantastiques
de l’option santé-social
Immersion autour du handicap
Durant une journée, les étudiants apprentis aides-soignants 2024-2025 ont pu vivre deux expériences autour du handicap : une visite sur l’accessibilité aux Champs Libres et un atelier de repas thérapeutiques.
Le matin, aux Champs Libres, les étudiants ont rencontré une personne aveugle qui leur a présenté les différents dispositifs facilitant l’accès à la culture pour les personnes en situation de handicap. Ils ont ainsi découvert les aménagements mis en place : bandes de guidage au sol, indications en relief, alarmes sonores, livres audio, journaux en braille ou encore des livres avec de gros caractères...
Au retour des Champs Libres, les étudiants ont participé à un atelier cuisine et repas thérapeutique sur les handicaps visuels et auditifs. La promotion était divisée en deux groupes : d’un côté, les « soignants », de l’autre, les « patients », qui portaient des équipements simulant un handicap (lunettes altérant la vue ou bouchons d’oreilles). Ensemble, ils ont préparé des toasts, une salade de fruits, et dressé la table. Ensuite, ils ont partagé le repas avec trois formatrices, les soignants ont alors aidé les « patients » à s’alimenter, en tenant compte de leur handicap visuel ou auditif.
Cette journée a permis aux étudiants de se confronter aux réalités du handicap et d’acquérir des compétences pour mieux accompagner les personnes porteuses de handicap visuel ou auditif.
Annaïk PELTAIS, formatrice IFAS
Virée à Marseille, la capitale du vivre ensemble, en TGRH2
Pendant quatre jours, nous avons eu la chance de découvrir Marseille, une ville riche en contrastes, ensoleillée et pleine d’énergie.
Le Vieux Port est un endroit phare du sud de Marseille, où se trouve notamment une savonnerie emblématique où nous avons découvert l’histoire du savon marseillais et son savoir-faire local. D’autres visites comme le Mucem, nous ont permis de voir l’architecture et l’histoire culturelle du bassin méditerranéen tandis que la grotte Cosquer nous a transportés à l’époque préhistorique.
Ce voyage sous le soleil de Marseille, financé avec le soutien de la région Bretagne, nous a séduit par sa diversité culturelle et la joie de vivre de ses habitants.
Clémence Brient-Guillou,
Anaïs Lefoul, TGRH2
GTTP : Rencontres et découvertes
Étudiantes en deuxième année de BTS Tourisme, nous avons eu l’occasion de nous envoler en novembre dernier pour Madrid, afin de participer à la rencontre annuelle de The Global Travel and Tourism Partnership, programme international qui rassemble professionnels du secteur et étudiants d’écoles de tourisme du monde entier.
Dans le cadre de la GTTP International Research Competition, nous avons été sélectionnées pour représenter la France grâce à notre dossier de candidature qui devait répondre à la problématique : “Créez une campagne sur les réseaux sociaux basée sur des recherches pour attirer les talents dans le tourisme et les voyages”.
Durant trois jours de rencontres dont le but était pour les étudiants de présenter leurs recherches respectives auprès des professionnels présents et de débattre de nos idées par la suite, nous avons eu l’occasion de participer à des jeux ludiques, des conventions, un forum des partenaires, une visite de la capitale espagnole en bus touristique, mais aussi à un dîner de gala. Des activités qui ont toutes été très enrichissantes et qui nous ont permis de faire de nombreuses rencontres professionnelles.
Sur le plan personnel, ce rassemblement nous a permis de créer des amitiés avec des jeunes de nombreux pays : Afrique du Sud, Brésil, Hong Kong, Hongrie, Inde, Jamaïque, Oman, Royaume-Uni.
Nous sommes revenues en France avec de nombreux souvenirs que nous ne sommes pas près d’oublier !
Anaïs, Sélina, BTS Tourisme
La médiation animale
Des animaux sont capables d'assister des malades.
Les animaux sont des êtres qui nous accompagnent dans une certaine période de notre vie et sont capables de ressentir nos émotions.
Qu'est-ce que la médiation animale ?
Un nouveau phénomène de psychologie est apparu depuis quelques années : la médiation animale, aide thérapeutique. Cela veut dire que le patient va chercher des échanges positifs avec l’animal. Les chiens et chevaux sont réputés pour être de bons médiateurs dans ce domaine. Pour en savoir plus, nous avons interviewé deux personnes travaillant dans le domaine de la zoothérapie : Valérie Vacca, éducatrice spécialisée, équithérapeute et gérante du gîte “Les Chevaux de l’hippocampe” à Cancale et Yoann Guiheux, fondateur de Anim’Yo, institution de médiation par l’animal à Saint-Armel, près de Rennes.
La médiation animale est une thérapie non-médicamenteuse, qui est complémentaire d’un accompagnement classique (tel que la psychologie). Elle accompagne à se sentir mieux, à s’apaiser et à faire un retour sur ses priorités et son mal-être.
Déroulement d'une médiation
Pour cela, il faut s’appuyer sur l’attrait que la personne fragilisée a pour l’animal afin de travailler sur différentes choses. Au départ, il peut y avoir un premier rendez-vous dans lequel le médiateur prend connaissance des besoins du patient, décide de comment il va organiser ses séances et fixe les objectifs. Ensuite, les 3 prochaines séances sont évaluatives et visent à regarder si les objectifs sont adaptés. Les objectifs fixés sont différents selon la demande du patient. Enfin, ces séances peuvent être concentrées sur différents points : la motricité, le sensoriel, le cognitif et le psychoaffectif.
L’animal n’a pas forcément besoin d’être éduqué mais il est possible d’avoir recours à une formation pour qu’il soit médiateur. L’important est de s’appuyer sur les défauts et qualités de l’animal. Sa capacité à apaiser l’humain vient du fait qu’il ne juge pas le passé ni le caractère de la personne.
Jeanne Bidan, Cloé Château,
1ére Médias
Les BTS TOURISME 1 au congrès AFLYHT à Saint-Malo
Ce jeudi 20 mars 2025, dans le cadre de notre formation en BTS tourisme, nous avons eu l’opportunité de participer au congrès de l’AFLYHT, qui s’est tenu au prestigieux Palais du Grand Large à Saint-Malo. L’AFLYHT est l’association Française des Lycées de l’Hôtellerie et du Tourisme. Ce congrès s’est tenu du 19 au 21 mars ; les membres, partenaires et invités ont été accueillis pour 3 jours de rencontres, conférences, débats, ateliers et visites, le tout dans la convivialité.
Notre mission était ainsi d’accueillir les participants à l’entrée du palais et de les orienter à travers le congrès. Nous avions aussi la responsabilité de la gestion du vestiaire tout au long de la journée.
Cette expérience nous a permis de développer nos compétences en relationnel, notre esprit d’équipe et d’en apprendre davantage sur l’organisation d’un évènement professionnel. C’était aussi l’occasion de rencontrer des experts du secteur !
Merci au lycée et aux organisateurs pour cette belle expérience !
Christina ROUSSEY,
BTS Tour1
L’international transmis avec passion par les membres CCE de la région Bretagne
Trois conseillers au commerce extérieur sont venus témoigner de leur parcours à l’international dans notre classe pour nous livrer « les clefs » de la réussite lorsque l’on souhaite tenter cette grande aventure.
En France, ils sont 1500 spécialistes de l'international, implantés dans toutes les régions, qui œuvrent à la promotion du commerce extérieur et à l'attractivité du territoire. Dans le monde, ils sont plus de 2500, expatriés, cadres et chefs d'entreprises.
Nous avons vraiment aimé les témoignages sincères et riches des trois professionnels sur l’Afrique, le Kazakhstan et l’Inde.
Nous avons retenu que nous partageons des valeurs communes de respect de la diversité de toutes les cultures et la nécessité de savoir s’adapter en toutes circonstances.
Ces témoignages remplis d’anecdotes nous ont permis de comprendre les compétences et qualités requises pour exercer le métier de responsable développement à l’international. La maitrise de l’anglais mais aussi la connaissance de la culture du pays dans lequel on souhaite s’implanter est essentielle.
Ouverture d’esprit, curiosité, adaptabilité, humilité mais aussi pugnacité sont nécessaires pour exercer ce métier.
Leur passion : la France, leur mission : le Monde.
En ces temps troubles, il nous a semblé essentiel de rappeler que des peuples qui commercent ensemble sont des peuples en paix, que le repli sur soi et la guerre commerciale sont des chemins dangereux.
Les étudiants de BTS CI1
Le témoignage poignant d’un élève ukrainien de Jeanne d’Arc
Les racines du conflit entre l’Ukraine et la Russie qui a débuté en 2022 remontent à 2014 lorsque la Russie a pris possession de la Crimée, après la destitution du président ukrainien pro-russe. Peu après, des séparatistes prorusses, soutenus par Moscou, ont pris le contrôle de l’est de l’Ukraine. Malgré les accords de Minsk en 2015, les combats ont continué. En 2022, la Russie a lancé une invasion massive, entraînant destructions, pertes humaines et crise humanitaire. L’Ukraine a reçu le soutien de l’Occident, tandis que la Russie a renforcé ses alliances avec ses voisins. Ce conflit a eu de lourdes conséquences économiques, humaines et géopolitiques.
Pour mieux comprendre, nous avons interviewé un élève ukrainien de Jeanne d’Arc en BTS CI, Vladik Pringault (20 ans)
Quels sont les besoins les plus urgents des Ukrainiens actuellement ?
Le besoin principal de l’Ukraine est d’avoir une aide militaire mais surtout morale. L’Europe doit jouer son rôle de grande puissance et aider l’Ukraine et les Ukrainiens à tenir le coup. Que ce soit par l’armement ou tout autre aide.
Avez-vous de la famille là-bas ?
Oui, en ce moment je n’ai plus que des oncles qui sont sur le territoire ukrainien. Le reste de ma famille proche ou éloignée a fui le pays.
Avez-vous des témoignages marquants que vous aimeriez partager ?
J’en ai plusieurs. Le plus marquant reste l’histoire de mon grand-père qui montre assez bien la situation. Mon grand-père a participé à la défense de la capitale, en apportant de la nourriture, des vêtements chauds aux volontaires bloqués dans les tranchées. Il a aussi permis aux plus jeunes d’apprendre comment se tient une arme malgré le fait qu’il avait un cancer. Vu que les hôpitaux étaient pris pour cibles, il ne pouvait plus faire sa chimio. Il a donc fui le pays pour venir en France. Il n’a malheureusement pas survécu. Cela montre le courage des Ukrainiens en général.
Par rapport à l’évolution de la situation, quel est votre ressenti personnel ?
C’est sûr qu'au début, on ressent de la tristesse et de la peur. Mais je ressens aussi de l’espoir pour l’avenir même s'il est difficile de suivre l’actualité tout en n’étant pas pessimiste.
Nathan Lemarchandel,
Rayane Lazaar,
1ère médias
Notre voyage coup de cœur et pas cher
Chypre une l’île qui combine plages de rêve, histoire et sensations uniques. On est prêtes à vous faire découvrir ce petit coin de paradis
On a réussi à vous concocter une semaine de voyage à Chypre entre amis, remplie d’activités diverses.
Pour cette semaine nous vous emmenons à Larnaka, ville la moins chère de la côte sud de l'île. Elle offre une culture très riche et des paysages à couper le souffle : les plages sont d'un sable doré et l'eau cristaline.
Pour partir en été il faut compter environ 200 € pour le billet d’avion aller-retour, et pour se loger environ 25 € la nuit par personne ce qui reste raisonnable. Sur place vous pouvez vous déplacer à vélo pour un budget de 8 € par jour pour aller sur des plages paradisiaques où vous pourrez profiter d'une eau turquoise et de fêtes la nuit.
Les journées d’été, vous profitez d’une température de 35°C pour vous balader dans le parc à chat “cat park” totalement gratuit et que nous trouvons vraiment très mignon !
Après cette balade pourquoi ne pas se détendre avec des plats chypriotes chez “ Ithaki Garden Restaurant “. Vous y découvrirez des plats comme le Koupepia, composé d'une feuille de vigné fourrée de viande hachée et de riz, ou l’Agneau Kleftiko qui est un gigot d'agneau accompagné de pommes de terres et de kéfalotiri, fromage de brebis et chèvre.
Nous pensons que Chypre est une destination peu connue mais qui mérite d'être découverte par les jeunes : elle offre de beaux paysages pour un prix encore abordable et ça nous a donné envie de nous y rendre.
Bonnes vacances !
Emilie Mérour,
Lou-Anne Le Roux-Tardif,
1ère médias
Les paris sportifs : des risques bien réels
Les paris sportifs présentent beaucoup de risques tels que la dépression, les conflits familiaux, l’addiction, les dettes d’argent etc. En réalisant une enquête, nous avons remarqué que les pratiquants de paris sportifs avaient différents objectifs en jouant. Sur 100 élèves du lycée Jeanne d’Arc interrogés, 40 % affirment avoir déjà parié. Parmi eux, 55 % ont pour objectif de gagner de l’argent, 40 % veulent s’amuser et 5 % veulent regagner l’argent qu’ils ont perdu.
5 % des élèves que nous avons interviewés anonymement affirment avoir déjà perdu de grosses sommes (de 500 à 2000 €). Il en résulte des impacts psychologiques tels que l’anxiété, le stress et l’addiction. Pour reconnaitre une addiction, il existe plusieurs types de symptômes. Parmi les plus fréquents, il y a la perte de contrôle, l’obsession des paris, l’isolement social et le fait de jouer pour compenser les pertes par exemple.
Ces effets sont habituels lorsque les joueurs commencent à perdre des sommes d’argent. Les paris sportifs sont un véritable fléau car cette addiction est indirectement entretenue. En effet, les applications telles que Betclic, Winamax, Parions Sport sont structurées afin de pousser les utilisateurs à la consommation en faisant passer les paris sportifs comme une manière ludique de gagner de l’argent et en promettant de gros gains, donnant ainsi l’illusion d’argent facile.
Pour en sortir, il existe des organismes qui viennent en aide aux joueurs addicts : SOS joueurs, Le Cap, Joueurs Info Service etc... Les joueurs peuvent également se tourner vers des psychologues et des psychiatres spécialisés dans les addictions comportementales. Il est essentiel de sensibiliser les consommateurs et les jeunes aux dangers présents dans ces pratiques.
Andreas Cateline,
Victor Aumont, 1ère médias
Assumer ses propres choix en soirées
Les bonnes questions pour apprendre à dire non.
L'effet de groupe en soirée est une chose très importante qui peut mettre en danger mentalement et physiquement. Afin de vous aider à dire non quand vous n’êtes pas d'accord, nous avons interviewé l’infirmière et un surveillant du lycée.
Le plus important pour dire "non" lors d’une soirée est de vous assumer comme vous êtes. Si vous n’avez pas envie de boire ou de fumer ... assumez vos choix et vos valeurs. Plus on s’assume plus c’est facile de dire non sans être rejeté du groupe. Un vrai groupe d’amis ne juge pas tes décisions et t’accepte comme tu es.
Craindre le jugement, c’est normal mais la première personne qui nous juge, c’est nous même. La personne en face ne pense pas la même chose que nous. Notre tête peut être enchainée par la peur du jugement.
Pour y remédier il faut avoir confiance en soi. C’est une chose facile à dire mais qui peut paraitre compliquée à faire. “Il faut accepter ses différences car la différence est une richesse” a dit l’infirmière du lycée. Il est normal de vouloir tester ses limites et de se confronter à la vie mais il ne faut pas se mettre en danger.Avant d’accepter un verre, une cigarette ... je me demande :
- Ce chemin est-il bon pour moi ?
- Est-ce que c’est ce que je veux pour ma vie ?
- Est-ce que cela m’apporte quelque chose si je le fais ou non ?
- Si je le fais, c’est pour moi ou pour les autres ?
Pour avoir confiance en nous, nous pouvons :
- Nous fixer des objectifs atteignables et à court terme.
- Pratiquer du sport ou une activité pour être fier de nous.
En conclusion, retenons deux choses : la confiance en soi se travaille et il est normal d'avoir des hauts et des bas.
Jade Lambert, Alix Barbot,
1ère médias
L’IA : quel impact sur l'enseignement ?
Nous avons recueilli les avis des professeurs ainsi que des élèves.
Que ce soit du côté des professeurs ou des élèves, l’IA impacte grandement les méthodes de travail. De chaque côté, les avis sont très différents.
Une opportunité pour les élèves
En effet, sur 90 élèves et étudiants de Jeanne d'Arc, 92 % ont avoué avoir déjà utilisé l’IA pour les cours. Cette utilisation de l’IA par les élèves est très variée. Effectivement, certains l’utilisent pour reformuler le cours, d’autres afin de réexpliquer les exercices qu’ils ne comprennent pas, ou encore pour trouver la réponse à l’exercice directement à leur place. La majorité des élèves interrogés trouvent que l’IA apporte un plus car selon eux, lorsqu'on l'utilise à bon escient, cela permet de gagner du temps et de mieux comprendre. Néanmoins 33 % des élèves interrogés considèrent que l’IA est un frein pour leur apprentissage notamment car cela diminue la réflexion, les efforts de recherches et également leur patience. Contrairement à ce que pensent les élèves, le corps professoral n’est pas en désaccord total avec l’utilisation de l'IA dans le cadre scolaire. En effet, malgré toutes les idées reçues, les enseignants ne sont pas totalement contre. Certains l’utilisent déjà que ce soit afin de leur faire gagner du temps lors de la préparation de leurs cours ou encore pour s’informer. Cependant les professeurs ne sont pas désireux de beaucoup déléguer les parties de leur travail à l’IA par défaut de sources réelles et manque de véracité. Certains professeurs ont même changé leurs manières d’enseigner ou de donner des devoirs en supprimant la majorité des devoirs maison à cause de l’utilisation de l’IA presque systématique chez les élèves. Les professeurs en parlent donc énormément entre-eux et la plupart d’entre eux se demandent comment s’en servir de la bonne manière.
Une menace pour certains professeurs
Malgré tous ces avantages, l’IA reste une menace pour certains qui craignent pour l’avenir de leur métier, en particulier les profs de matières non littéraires, qui ne nécessitent pas d’interprétation personnelle, contrairement aux matières littéraires qui, elles, ont besoin d’un rapport humain et qui offrent de réels changements dans la manière d’enseigner suivant le professeur. A travers cette enquête, nous avons découvert que les positions étaient très variées. L’IA est grandement utilisée que ce soit du côté des professeurs ou des élèves. Les effets, positifs ou négatifs, dépendent de la façon dont on s'en sert.
Maxime Chatelet, Ewen Travers,
Thomas Goron,
1ère médias
L’impact du covid sur les jeunes
Cinq ans plus tard : ce qu’on a vécu, ce qu’on a gagné et ce qu’on a perdu.
Entre 2020 et 2022, la pandémie a eu un impact énorme sur nous.
Les écoles et universités ont fermé leurs portes, et les cours en ligne n’étaient pas toujours une solution idéale. Selon une enquête du ministère de l’Éducation, environ 40 % des étudiants ont trouvé l'enseignement à distance difficile à suivre, en raison de problèmes de concentration, du manque d’interaction ou de difficultés numériques.
Les conséquences ? Une baisse de motivation et des retards dans certains domaines. Une étude menée par l'UNICEF a révélé que 1 jeune sur 4 a estimé que ses résultats scolaires avaient baissé à cause de l'isolement.
Les opportunités que le confinement nous a apportées
Les jeunes n’ont pas aimé être enfermés chez eux, mais la pandémie a aussi montré à certains qu’ils pouvaient être plus autonomes. Les études à distance les ont forcés à gérer leur temps différemment. Plus de liberté, mais aussi plus de responsabilités. Selon une enquête du Conseil national du numérique, 70 % des jeunes ont affirmé avoir appris à mieux organiser leur journée pendant le confinement.
Ils ont dû également s’adapter à de nouveaux outils numériques et cela les a rendus plus compétents dans ce domaine.
Une plus grande conscience sociale et solidaire
Certains jeunes ont profité de cette période pour s’investir dans des actions solidaires. 25 % des jeunes entre 16 et 24 ans ont déclaré avoir participé à des activités de bénévolat pour compenser la perte de repères sociaux et affectifs.
Entre l’arrêt des sorties, les rencontres avec les amis qui étaient limitées, les jeunes ont perdu beaucoup de repères sociaux. La vie sociale, c’est super important quand on est jeune. Cette liberté de voir les gens, de sortir, de se créer des expériences, n’a pas pu être vécue. Et même si des alternatives en ligne ont été trouvées, cela ne remplace pas la vraie vie.
5 ans plus tard
Le COVID-19 a vraiment changé beaucoup de choses pour les jeunes. Tout n’a pas été facile, mais ils ont aussi appris des choses importantes : comment gérer leur temps, comment s’adapter rapidement aux nouvelles situations et aussi comment s’engager pour des causes importantes. Ils ont aussi découvert l'importance de la solidarité.
Camille Desmares, Margot Chapon, Béatrice Lussigny,
1ère médias
Met Gala : quand l'extravagance de la mode fait débat
Pourquoi le Met Gala 2024 a-t-il suscité autant de réactions et de critiques ?
Le Met Gala, est un événement annuel de collecte de fonds pour le Costume Institute du Metropolitan Museum of Art à New York. Il a lieu le premier lundi de mai et célèbre la mode avec un thème spécifique chaque année. Les célébrités s’habillent de manière créative en lien avec ce thème, ce qui en fait un événement très médiatisé et attendu.
Le Met Gala 2024, pourtant, a suscité de vives réactions et critiques, bien au-delà de l'univers de la mode. Ce n'était pas tant l'originalité des tenues qui a choqué, mais plutôt la manière extravagante dont l'événement a abordé le thème choisi. Il avait pour but de rendre davantage hommage aux princesses Disney qu'aux personnalités de l'industrie de la mode. L'exposition 2024 était intitulée « Sleeping Beauties : Reawakening Fashion », en français « Les Belles au bois dormant : réveiller la mode ». Il y avait beaucoup de diversité dans les participations c’est-à-dire des influenceurs, des acteurs, des chanteurs, des artistes, des sportifs. Il est survenu des réactions qui ont été parfois virulentes de la part des invités et de leurs fans, par exemple dans le cas de Kim Kardashian qui a reçu beaucoup de critiques par rapport à la robe qu'elle portait qui était osée. Certains ont critiqué un manque d'originalité ou un décalage entre le message et la réalité, tandis que d'autres ont jugé que l'événement perdait de sa signification.
Mais ce qui a véritablement ajouté du sel à la polémique de l’édition 2024, ce sont les enjeux sociaux. À une époque où la diversité, l’inclusivité et la responsabilité sociale sont des questions majeures, le Met Gala a été accusé de manquer d'engagement. Les critiques ont pointé un manque de diversité parmi les invités et une déconnexion avec les préoccupations sociales actuelles. Le Met Gala, dans sa quête d’originalité et de spectacle, semble avoir perdu de vue l’importance de refléter les valeurs de la société moderne.
L'événement 2025, qui se déroulera le 5 mai, aura pour thème Tailoring Black Style qui va mettre à l'honneur la culture noire et l’histoire du dandysme noir. Le Met Gala s’apprête à rendre hommage à l’histoire afro-américaine, en se basant sur l’évolution d'un style vestimentaire grâce aux manifestations antiracistes du mouvement Black Live Matter qui ont eu lieu il y a 5 ans.
Juliette Amant, Zia Burel,
1ère Médias

