Voici « Le P’tit’ Pierre » , un journal du lycée fait « par » les élèves, et « pour » les élèves !

A travers ce premier numéro, le lycée professionnel Abbé Pierre a souhaité mettre en avant l’expression d’élèves dans chacune des filières de la voie scolaire au sein du lycée : 4ème/3ème à projets professionnels, CAP « Services aux Personnes et Vente en Espace Rural », Bac Pro « Services aux Personnes et aux Territoires » .

Le comité de rédaction du journal, composé d’élèves volontaires, aborde des thématiques choisies par les lycéens, en lien avec des sujets d’actualité, ainsi que des actions et des évènements menés au sein du lycée. De nombreux événements et projets , réalisés avec les élèves, contribuent à l’animation du territoire. Ces actions font vivre de multiples partenariats avec les acteurs professionnels et associatifs. Certains d’entre eux sont valorisées dans ce numéro, à travers des rétrospectives et des témoignages.

Bonne lecture !

Raphaël GOUABLIN, chef d’établissement

" Les professionnels ont pu répondre à toutes nos questions."

Clémence, élève de 3ème

"J'ai bien aimé le fait que l'on soit en petits groupes avec des Terminales."

Thomas, élève de 3ème

" L'élève de Terminale avec laquelle on était nous a bien accompagnés, elle nous a donné des informations supplémentaires sur l'orientation et sur les métiers. "

Melvin, élève de 3ème

"Cela m'a permis de decouvrir des métiers que je ne connaissais pas, comme infirmier en psychiatrie."

Diogo, élève de 3ème

"Le forum est un bon moyen de découvrir différents métiers."

Brewen et Connor,

élèves de Terminale

Propos reccueillis par Loane Zingraff et Mélanie Legnazzi, élèves de 3ème

Mercredi 9 mars a eu lieu une matinée de découverte des métiers au lycée à destination des élèves de Troisième et de Terminale.

Première étape : la rencontre avec la gendarmerie

Deux gendarmes de la brigade de Rennes sont venus parler de leur métier et répondre à toutes les nombreuses et intéressantes questions des élèves.

Deuxième étape : le forum des anciens élèves

Ensuite, un forum de découverte des métiers s'est tenu au self du lycée. Dans une ambiance studieuse et conviviale, les élèves ont pu aller à la rencontre d'anciens élèves du lycée Abbé Pierre et leur poser des questions sur la nature de leurs métiers, leurs parcours scolaires, leurs conditions de travail...Les métiers représentés étaient variés. Les élèves ont ainsi pu rencontrer un menuisier, une ASEM, un maître-chien, des aides-soignants, une animatrice sociale en EHPAD, un éducateur en ESAT, un élagueur, une agent d'accueil en mairie, une fromagère, un vendeur en matériel pour espaces verts et une élève en cours de formation dans la restauration. C'était une première édition, le bilan de ce forum est très positif, opération à renouveler !

Nathalie Delville et Bertille Chapin, enseignantes

Le P'tit Pierre c'est quoi ?

C'est un journal dédié aux élèves et au personnel du lycée Abbé Pierre. Créé par un groupe de lycéens et de collégiens bénévoles :

Emma Dragon, Djino Horn, Sabrina Suire, Maïwen Franci, Clhoé Duval, Jade Delaunay, Loann Aussant-Malle, Lilou Giboire, Gladys Tillard, Mélanie Legnazzi, Malone Lalande-Lanzere, Loane Zingraff, Pierre Le roux, Rebeca Kiame, Lozachmeur.

Qui sommes nous ?

Nous sommes une équipe d'apprentis rédacteurs. Notre but est de vous informer sur la vie du lycée et de partager sur des sujets qui nous tiennent à coeur. Nous avons été accompagnés par trois chefs de projets : le journaliste Christian Veyre, la documentaliste Louise Chevalier et l'AVS et documentaliste, Sophie Hoste. Nous nous sommes réunis régulièrement le midi au CDI depuis le mois de novembre. Nous avons voulu participer à ce projet dans le but d'apprendre les codes du journalisme, d'améliorer notre rédaction, de rencontrer d'autres élèves et enfin de partager une expérience commune.

La création de nos articles ?

Pour commencer nous avons proposé nos idées d'articles et créé les rubriques du journal avec Christian Veyre. Cette phase s'appelle le rubriquage. Nous avons formé des groupes de travail et nous nous sommes répartis les différents sujets que nous souhaitions aborder. Certains sujets ont dû être laissés de côté suite à un manque de temps, de place dans le journal ou que nous ne parvenions pas à contacter les personnes que nous voulions interroger. Mais malgré ces contraintes et les changements de dernières minutes effectués, nous avons réussi à finaliser la première du P'tit pierre et sommes heureux de vous le présenter !

Que peut-on lire dans le P'tit Pierre ?

Vous y trouverez des actualités du lycée, des récits d'événements ayant eu lieu au lycée et en dehors, des informations culturelles et des articles détaillés sur des sujets de société. Vous pourrez enfin vous amuser avec de petits jeux en fin de journal...

Bonne lecture à tous !

Loann Aussant-Malle
et Lilou Giboire, 1ère

Jeudi 23 septembre a eu lieu la journée d’intégration du lycée Abbé Pierre. Les classes de Quatrième et Troisième étaient accompagnées des enseignants Nathalie Delville, Bertille Chapin, Louise Chevalier, Patrick Léna et Sophie Hoste. Les élèves ont passé la matinée à l’accrobranche du Fort Saint-Père et l’après-midi à Saint-Suliac. Les classes de CAP de 1ère et 2ème année, accompagnées de Jérémy Loisel, Alexandrine Auffray, Caroline Lefebvre et Marie-Cécile Müller ont effectué la même journée en inversé. Voici ici le récit de cette belle journée en images.

8h35 - Départ pour l'accrobranche

Les élèves de Quatrième et de Troisième sont partis en bus en direction du Fort St Père. A l'arrivée, les moniteurs nous attendaient pour nous expliquer les règles de sécurité. Ils nous ont appris les noms des équipements (baudriers, mousquetons). Pour s'échauffer, nous avons testé un petit parcours. Chaque couleur indiquait le niveau de difficulté, et le temps du parcours. C'est nous qui choisissions. Les parcours Black Pearl et Jack Sparrow étaient les plus corsés.

13h - Arrivée à Saint-Suliac

Après l'accrobranche, direction Saint-Suliac. Nous avons pique niqué à l'oratoire de Grainfollet, avec vue sur mer. Une fois repus, nous nous sommes mis en route pour une grande balade autour de Saint-Suliac, au bord de la Rance. Sur la plage, nous avons vu beaucoup de méduses échouées sur le sable. Après une pause sur la plage de la Rance, nous avons repris le bus en direction du lycée. Cette journée nous a permis d'apprendre à nous connaître dans une bonne ambiance, d'échanger différemment avec les enseignants. Vivement la prochaine aventure !

Lilla Lozachmeur-Langlais et Rebeca Simateko, 3ème

Les Premières et Terminales ont pu profiter d'une journée à l’étang de Feins. En Seconde, la journée d'intégration a eu lieu au Festival Photo de La Gacilly, dans le Morbihan.

Course d'orientation et navigation sur l'étang

Accompagnés de Gwenn Georges, Jean-Philippe Le Breton et Isabelle Jamaux, nous avons débuté la journée par une course d'orientation. L'objectif était de retrouver toutes les balises. Puis, le temps du pique-nique est arrivé. L'occasion pour nous de nous détendre, de discuter. Et aussi de chanter, danser et s'amuser avec des jeux traditionnels bretons. Nous sommes allés sur l'eau l'après-midi. Nous avons pu naviguer à bord de pédalos et de grands paddles. Nous étions jusqu'à neuf dessus ! Madame Georges nous a lancé un défi : il fallait nous débrouiller pour échanger notre embarcation avec celle d'une autre équipe le plus rapidement possible. Cela a mis du piment dans la journée car il y a eu de nombreuses chutes dans l'eau.

Des photographies immenses autour du thème "Plein Nord" à La Gacilly

Pendant ce temps-là, nous, la classe de Seconde avons pu profiter d'une journée à La Gacilly avec nos enseignantes Véronique Delage et Nolwenn Chagnot. La Gacilly est un beau village médiéval situé dans le Morbihan. De nombreuses boutiques d'artisans parsèment ses rues pavées. Le thème du festival de photos de cette année était "Plein Nord". Des photographes suédois, islandais, norvégiens étaient mis à l'honneur. Comme chaque année, de grandes photographies étaient installées en plein air, dans plusieurs rues de la ville et dans le grand parc Yves Rocher. Une glace nous a été offerte pour nous rafraîchir.

Gladys Tillard, 2de
et Djino Horn, 1ère

Notre lycée porte le nom de l'Abbé Pierre, mais le connaissez-vous vraiment ?

Biographie d'un grand homme

Abbé Pierre est le nom de guerre du prêtre Henri Grouès qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, a aidé des juifs à fuir les nazis. Ce religieux, combatif et courageux, est mort le 22 janvier 2007, à 94 ans.

Mais qu’a fait l’Abbé Pierre pour être encore si populaire ?

Il a créé les communautés Emmaüs. En 1949, il a accueilli chez lui, près de Paris, des sans-logis et y a fondé la première de ses communautés. Il a fourni aussi aux compagnons d’Emmaüs un travail : réparation d'objets abandonnés, vente en boutique... Le mouvement Emmaüs représente aujourd’hui un réseau national de 297 structures qui interviennent dans les domaines de l’action sociale, de l’insertion, de l’hébergement et du logement.

Emmaüs en Ille-et-Vilaine

Dans le secteur, des boutiques sont présentes à Hédé, Saint-Malo, Rennes et Bruz. Vous pouvez aussi y donner ce dont vous ne vous servez plus : des meubles, des vêtements, de l'électroménager, des produits informatiques, des livres, de la vaisselle, des bibelots, des disques et vinyles, des jouets, des tableaux et bien d'autres choses...

Pierre Leroux, 3ème

Comment se sont déroulées les séances ?

Au premier trimestre, tous les éléves de Troisième sont allés à Saint-Domineuc pour découvrir le kayak. A cette occasion, nous avons pu pratiquer diverses activités sur l'eau. Nous avons fait des jeux comme des éperviers, des chats ou encore des randonnées en canoë. Cela nous a donné un grand sentiment de liberté. Nous étions encadrés par les deux moniteurs David et Steven, du club de canoë-kayak des Trois rivières, et par notre professeur d'EPS, Monsieur Le Breton.

Canöe ou kayak ? Telle est la question !

Vous vous demandez sûrement quelle est la différence entre le canöe et le kayak ?

La naissance du canoë et du kayak a eu lieu en Amérique du nord, mais le premier est amérindien et le second est inuit. On peut naviguer sur un lac, une rivière ou la mer avec le canoë comme avec le kayak et ces deux embarcations sont dirigeables à l'aide d'une pagaie.

Et maintenant, les différences ! Il y en a deux. D'abord, en kayak, on est assis dans le fond du bateau avec les jambes allongées, tandis qu'en canoë, le rameur est positionné à genoux et ses jambes sont pliées en arrière. De plus, la pagaie n'est pas la même. Celle du kayak est double, c'est-à-dire qu'une pale est positionnée de chaque côté. Alors qu'en canoë, il s'agit d'une pagaie simple que le rameur utilise comme il le souhaite à droite ou à gauche de son embarcation.

Pierre Leroux, Loane Zingraff,
et Malone Lanzéré, 3ème

Entre chiens et loups par Malorie Blackman

Imaginez un monde où tout est noir ou blanc. Où ce qui est noir est riche, puissant et dominant. Où ce qui est blanc est pauvre, opprimé et méprisé. Un monde où les communautés s’affrontent à coups de lois racistes et de bombes. C’est un monde où Callum et Sephy n’ont pas le droit de s’aimer. Car elle est noire et fille de ministre. Et lui blanc et fils d’un rebelle clandestin.

Ranking of kings par Sōsuke Tōka

Le royaume de Bosse est en péril. Son fondateur, doté d'une force herculéenne, est gravement malade, et l'héritier, le jeune prince Bojji, est loin d'avoir le profil pour prendre sa place. Sourd et muet, d'une faiblesse telle qu'il est incapable de manier l'épée, il est la cible de toutes les moqueries, du chevalier au paysan. S'il accède au trône, le pays est promis à la déchéance dans le classement des rois. A moins que ce dernier nous prouve le contraire !

Pyong Yang par Guy Deslile

Guy Delisle, dessinateur et écrivain, suit sa femme médecin jusqu'à Pyong Yang, capitale de la Corée du Nord. "Pyong Yang" présentel'intérêt de donner des informations sur la vie quotidienne d'un des pays les plus secrets et les plus fermés du monde.

Suggestions proposées par Emma Dragon et Sabrina Suire

Vous avez sûrement remarqué que les étagères de l'actuel CDI se vident petit à petit... Les travaux de l'extension du lycée sont terminés, le CDI changera de locaux bientôt et emmenagera au sein du lycée. Les élèves de Quatrième s'affairent et travaillent à préparer ce déménagement. De plus, en ce moment, certains livres documentaires abîmés et/ou obsolètes sont en cours de désherbage, les Quatrièmes et Premières participent à cette action de valorisation des collections. Sont également mis à votre disposition des magazines que nous sortons de nos archives. Vous pouvez venir vous servir si vous souhaitez les lire, les découper etc... Les livres désherbés seront eux donnés à l'association Emmaüs de Hédé-Bazouges.

Louise Chevalier, documentaliste

De quoi parle-t-on ?

Depuis février 2018, le Ministère de l'éducation a mis en place un Pass Culture permettant de faciliter l'accès des jeunes à la culture. Ainsi, le gouvernement permet aux jeunes d'obtenir une certaine somme d'argent consacrée à n'importe quelle activité culturelle.

Que peut-on acheter ?

CDs, vinyles, places de concerts, abonnements numériques, livres, e-books, instruments de musique. Il y a une grande variété de possibilités d'achats dans le domaine de la culture. Tous les détails ici www.pass.culture.fr.

La bonne nouvelle, c'est que le pass a été étendu à une tranche d'âge plus large : les 15-18 ans. Chacun ayant le droit à des montants différents :

- 20 € pour les 15 ans

- 30 € pour les 16 et 17 ans

- 300 € dès l'âge de 18 ans

Comment activer mon Pass ?

Le Pass Culture est accessible très simplement en téléchargeant l'application : « Pass Culture ». Il faut simplement vous munir de votre carte d'identité et suivre les étapes indiquées. Celui-ci est valable pendant deux ans après son activation.

Témoignages d'élèves

Nous profitons de cet article pour vous donner notre avis sur le pass que nous avons activé.

Sabrina "Avec mon Pass culture, j'ai pu découvrir et acheter plein d'essais et des romans graphiques ! J'avais un peu arrêté de lire, mais ce pass m'a permis de reprendre cette habitude".

Emma "C'est pratique, rapide et ça permet de s’intéresser davantage au monde culturel."

Djino "Je trouve que c'est une bonne façon d'inciter les jeunes à redécouvrir la lecture. Je l'ai utilisé, je trouve ça pratique et utile."

Sabrina Suire, 1ère

Tout d'abord, nous avons remarqué une méconnaissance globale du sujet. Ainsi, commençons par définir les termes !

Selon le dictionnaire du Petit Robert : le pronom "iel" est un pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre.

Par exemple, si on parle d'un groupe de personnes composé d'hommes et de femmes, au lieu d'écrire "Ils sont gentils", on utilisera "Iels sont gentil·le·s.".

De même, si une personne ne se considère ni-homme, ni-femme, mais non-binaire, alors on ne dira pas "Elle est sympa." mais "Iel est sympa.".

Des avis divergents

Le ministre de l'éducation, Jean-Michel Blanquer, a proscrit l'usage du pronom "iel" et de l'écriture inclusive au sein des établissements scolaires. Selon lui, "la langue française ne doit pas être triturée ou abîmée ". Par opposition, Julie Abbou, linguiste, pense que les tentatives de freiner cette évolution de la langue sont vaines. En effet, elle rappelle qu'en linguistique "l'usage fait la règle". La langue évolue ainsi naturellement en même temps que la société. On ne parle pas de la même manière qu'il y a 100 ans, et on ne parlera pas de la même manière dans 100 ans non plus. On voit donc que le sujet fait polémique.

A l'échelle de notre lycée

Nous aussi, nous avons voulu prendre le pouls sur ce sujet au sein de l'établissement. Il a d’abord fallu trouver des personnes à interroger. Nous savions dores et déjà que nous serions confrontés à une méconnaissance du sujet, à des réactions de malaise ou à de l'opposition. Ainsi nous avons essayé de collecter des avis divers et variés.

Nous avons ainsi posé la question suivante aux personnes interrogées :

"Seriez-vous prêts à utiliser l'écriture inclusive et le pronom iel dans votre quotidien ou au lycée ?"

Sabrina Suire, Emma Dragon
et Djino Horn, élèves de 1ère

"Je trouve que c'est moins sexiste et plus positif pour cette communauté. Cela ne me pose pas de problème de l’utiliser au quotidien."

Pierre Leroux,

élève de troisième

"Je trouve que c'est positif pour la communatué lgbtqia+ et féministe, mais je ne serais pas prête à l'utiliser tous les jours, notamment par souci de praticité."

Nolwenn Chagnot,

enseignante de biologie

"Je n'ai pas d'avis tranché. Je pense qu'il faut avoir du recul par rapport à ce sujet."

Raphaël Gouablin,

chef d'établissement

"Je pourrais l'utiliser, ça ne me dérangerait pas du tout mais il faudrait que je m'y habitue."

Loann Aussant Malle,

élève de première

"Il serait intéressant d'en parler en équipe. Je pense qu'il est important de sensibiliser les élèves à l'égalité des sexes et l'écriture inclusive est un bon outil pour l'aborder."

Louise Chevalier,

documentaliste

Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique, psychologique ou sexuelle. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école : elle est le fait d’un ou de plusieurs élèves à l’encontre d’une victime qui ne peut se défendre. Lorsqu’un enfant ou un adolescent est insulté, menacé, battu, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle donc de harcèlement.

Comment repérer les situations de harcèlement ?

Voici quelques pistes pour reconnaître une situation de harcèlement subie par un élève : phobie scolaire, décrochage scolaire, isolement social, marques corporelles (bleus), fatigue, troubles du comportement alimentaire, crises d'angoisse, changement de comportement rapide, dépression. Pour en sortir, il faut en parler !

Vers qui peut-on se tourner en cas de harcèlement au lycée ?

Les enseignants du lycée ainsi que le directeur et le personnel administratif sont à l'écoute des élèves et se mobilisent en cas de problème. De plus, le point écoute du lycée a lieu tous les jeudis matins : la psychologue Anne-Laure Le Pocreau est disponible pour tous ceux qui en ont besoin de manière ponctuelle ou régulière. La médiatrice scolaire Anne Perrot est également présente pour repérer des situations, accompagner les élèves et proposer des pistes. Il existe aussi un numéro national : 3020.

Le harcèlement devient un délit : ce que dit la loi depuis le 3 mars 2022

Le harcèlement scolaire est désormais reconnu comme un délit pénal qui pourra être puni jusqu'à dix ans de prison et 150 000 euros d'amende en cas de suicide ou de tentative de suicide sur la victime harcelée. Le délit de harcèlement scolaire concerne les élèves, les étudiants ou les personnels des établissements scolaires et universitaires.

Gladys Tillard, 2de

Vous voulez aller plus loin sur ces thèmes ? Des romans et livres documentaires sont disponibles au CDI du lycée. Voici quelques propositions !

Coup de coeur "Garçon sorcière" - Préparez-vous à vivre une aventure ensorcelante... Entre acceptation de soi, poids des traditions et question du genre, Aster et Charlie nous offrent une belle leçon de courage et de sensibilité. Une BD magique ! De 9 à 99 ans.

harcèlement scolaire.

Pour vous aider, voici la liste des participants :

Monsieur Ségard (mathématiques - physique)
Madame Chagnot (biologie)
Madame Jallouin (mathématiques)
Madame Chevalier (documentaliste)
Madame Auffray (ESF - restauration - nutrition)
Madame Chapin (français)
Madame Delage (ESC - aménagement - entretien)
Madame Borvon (santé)