
Pour avoir un rendu optimal, mettez votre affichage à 100 % (Ctrl + 0).
Au revoir Monsieur le Président !
Édito
« La retraite, c'était le grand mot, le maître-mot » écrit Marcel Pagnol dans Le château de ma mère. Qui sait ce que vous nous en diriez, en ce 25 juin 2019, alors que sont réunis autour de vous les journalistes référents de l’association pour le développement du Journal des lycées ?
Nous avons bien compris que la retraite, ce sont « les grandes vacances » ! voilà comment vous nous l’avez annoncée, cette retraite. C’était au mois d’avril dernier, un peu après le 1er ! heureusement, car nous aurions pu croire à un de ces poissons qui font les délices des rédactions et enrichissent nos bêtisiers.
Non, non ! c’était sérieux ! Bien qu’étant à la source de l’information, il ne nous a pas été soutenable d’en rester là. Non pas qu'il n'y avait pas la confiance. Mais, par ces temps où les fake news circulent en excès de vitesse, vous comprenez ! alors nous sommes allés vérifier, recouper cette information. Et, voilà, nous avons dû nous résoudre à vous croire : oui, vous nous aviez confié la vérité, toute la vérité sur ces « grandes vacances ».
Tout passe. Les hommes, la vie, le temps… Le temps ! il nous en faudra un peu pour nous habituer à ne plus entendre votre voix dans ce couloir, au 2e étage de la tour. Chacune de vos visites aura été comme une joie, comme un encouragement à continuer dans la bonne voie.
Voyez-vous, Monsieur Kling, ce que vous avez été, là, avec nous, c’est, en tous points, ce que Monsieur François Régis Hutin a été, si souvent, pour nous : un bienveillant porteur d’énergie et d’encouragements. Du fond de nos retraites respectives, engagés au service des jeunes et des enseignants, de l’éducation aux médias, nous avons mesuré la valeur que vous donnez au mot respect.
Naïvement, peut-être, il en est qui ont pensé, l’espace d’un instant, que vous auriez suivi le mot de Balzac. Dans Le médecin de campagne, il faisait promettre : « Dès que j'aurai ma retraite, je viendrai finir mes jours parmi vous. »
On vous comprend, la retraite, c’est aussi aller chercher les parfums d’une autre liberté. Alors, Monsieur, respirez fort le bonheur ! Très fort et… longtemps.
Le Journal des lycées.
27 mai 2019 : une dernière remise des prix
Lundi 27 mai, toujours avec ce même souci de discrétion mais aussi d'encouragements, vous avez remis les prix JDL.
Et ce sont les jeunes Vendéens du lycée Saint-François d'Assise de La Roche-sur-Yon qui ont eu cette chance.
Ce jour-là, hélas, il y avait un absent. C'était Alain Legoupil, notre confrère. Il s'était excusé pour cette absence exceptionnelle. Alain aurait sans doute apprécié d'être à vos côtés en cette circonstance, lui qui accompagne avec une bienveillance et une rigueur reconnues les jeunes reporters de ce lycée, entre autres.
Août 2007 : création de l'association J.D.L.
Le sigle traduit le nom d'une association que Louis Échelard, alors directeur général adjoint, crée, à la demande du président directeur général d'Ouest-France, François Régis Hutin. Nous sommes le 1er août 2007 quand se tient l'assemblée générale constitutive de l'association pour le développement du Journal des lycées.
Ce jour-là consacre l'idée de Paul Hutin, fils du PDG. Ce dernier, souhaite donner les moyens aux jeunes en âge d'être lycéens de bâtir un journal de A à Z. Ce que l'on peut résumer ainsi : « "Faciliter la communication au sein des communautés éducatives, donner aux jeunes le goût d'écrire et de lire en s'appuyant sur un outil pédagogique qui éveille à la connaissance et à la pratique de l'information ».
Jean-Claude, vous n'êtes pas encore sur la scène... Mais rien ne presse ! A Ouest-France, les Claude Ollivier, Didier Pillet, Yves Cossais, Jean Huchet et quelques autres journalistes lancent, avec Paul Hutin, "leurs" premiers journaux de lycées dans l'Ouest. Une démarche enthousiasmante ! Elle repose sur une participation active des journalistes retraités d'Ouest-France. C'est, là, la grande originalité : des anciens apportent aux jeunes, à la fois, leur expérience du métier et leur expertise.
Ouest-France entraîne l'adhésion des journaux du groupe. Un peu plus tard, l'association est rejointe par Bayard. Le groupe de presse, prestataire, apporte à l'association un soutien précieux et des forces indispensables : le secrétariat de rédaction, la régie publicitaire et l'impression. Les journalistes référents du groupe Ouest-France demeurent les compagnons de route des comités de rédaction dans les lycées ou les fédérations de maisons familiales rurales. L'association compte une cinquantaine de titres !
2015 marque un virage important. L'association construit un projet de mallette numérique et le présente au ministère de la Culture et de la Communication dans le cadre d'un appel à projet. Dans le même temps, Bayard devient membre de l'association. L'outil numérique va modifier les pratiques sans rien changer sur le fond en matière d'éducation des jeunes aux médias.
Enfin, début 2018, le groupe Bayard, tout en maintenant son soutien au projet éducatif de l'association, prend ses distances. L'association se réorganise et poursuit sa démarche de soutien à l'éducation des jeunes aux médias en laissant le soin aux établissements de choisir un imprimeur et d'aller vers une autre régie publicitaire.
Une autre voie s'ouvre donc avec l'entrée de JDL dans l'univers du numérique : les journaux ne sont plus seulement sur papier !
EM.
J.D.L. en 2019, c'est...
39 journaux qui sont rédigés dans les départements de la zone de diffusion du groupe et parfois au-delà.
Dans le Calvados : à Caen et à Bayeux.
Dans les Côtes d'Armor : à Lannion, Lamballe et Saint-Brieuc.
Dans le Finistère : à Brest, Ergué-Gabéric et Carhaix.
En Ille-et-Vilaine : à Rennes, La Guerche de Bretagne, Redon et Fougères.
Dans la Loire-Atlantique : à Carquefou, Saint-Sébastien-sur-Loire et Saint-Nazaire.
Dans le Maine-et-Loire : à Angers et La Pommeraye.
Dans la Manche : à Cherbourg.
Dans la Mayenne : à Changé-les-Laval.
Dans le Morbihan : à Vannes et Lorient.
Dans l'Orne : à Alençon.
Dans la Sarthe : au Mans.
En Vendée : à La Roche-sur-Yon et Chantonnay.
En Seine-Martime : à Yvetot et au Havre.
Décembre 2015 : JDL et Ouest-France se rapprochent
Le 15 décembre 2015, notre président réalisait un nouvel exploit ! ce jour-là, il signait, au nom de l’association, une convention avec la rédaction en chef d’Ouest-France représentée par François-Xavier Lefranc, rédacteur en chef, et Jean-Luc Évin, directeur de l’information.
Pas rien car, enfin, l’association pour le développement du Journal des lycées régularisait ainsi une relation qui reposait, jusque-là, sur les accointances entre journalistes !
Cette convention entraîne, notamment, les rédactions à favoriser la mise en contact de JDL avec des lycées situés dans sa zone.
Elle engage ces mêmes rédactions à faire connaître les journaux de lycées et leurs contenus dans les colonnes des éditions locales d’Ouest-France.
Enfin, depuis cette signature, de nombreuses rencontres se sont tenues dans les locaux d’Ouest-France, un peu partout dans l’Ouest. Autant de fois l’occasion de faire connaître JDL aux journalistes en activité !
Nous savons, Jean-Claude, combien vous avez su mettre en œuvre les conditions de ce rapprochement.
Votre parfaite connaissance d’Ouest-France, du Groupe, nous ont été d’un bien précieux. Pour cela, aussi, merci !
Juin 2017 : JDL s'ouvre à la fondation Robert Schuman
Sous votre impulsion, Jean-Claude, et avec la confiance que vous nous avez toujours faite, le 27 juin 2017, à Paris, vous signez un document important qui va sceller une relation exceptionnelle avec la fondation Robert Schuman. Ce jour-là, Jean-Dominique Giuliani engage la fondation qu'il préside à ouvrir aux comités de rédaction des journaux de lycées un accès à son atlas de l'union européenne, au moyen d'un lien entre l'intranet des journaux de lycées et le site de la fondation. Et, cela, gratuitement. Ce texte porte en son sein l'engagement du journal Ouest-France dans son engagement en faveur d'une Europe qui parle aux jeunes. Et que les jeunes puissent comprendre.
Dès 2017, la mallette numérique offre aux rédacteurs lycéens une documentation libre de droits, tant pour les textes que pour les illustrations. Vous nous l'aviez indiqué, à l'époque, cet outil devait permettre aux jeunes de "puiser aux sources les meilleures afin de ne pas céder à la tentation de se satisfaire d'une information référencée". Ce qu'en d'autres termes vous exprimez sur la home page du site de l'association.
Cet atlas aura été comme un phare pour les comités de rédactions qui ont choisi de participer au "concours" 2019. Il portait, cette année, sur cette question : "Jeunes gens, quelle Europe voulez-vous ?".
Octobre 2018 : la mallette numérique accueille l'AFP
On en rêvait, Jean-Claude ! Mais, avec la complicité de Jean-Luc Évin, le rêve est devenu réalité. Vous nous avez rappelé, à votre manière, le mot de Sénèque : "Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, mais parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles."
Voilà comment (et pourquoi !) avec Jean-Joseph Lattuada, un des magiciens du numérique à Ouest-France, nous sommes partis à l'assaut de la grande maison de la place de la Bourse, à Paris.
La Bourse ! Ah, la Bourse ! nous nous demandions bien ce que nos interlocuteurs de l'Agence France Presse allaient pouvoir nous vendre ! nous savions ce que nous voulions leur "acheter".
Nous voulions vous éviter, nous éviter les tracas liés à l'"emprunt" de photos sur le Net par les jeunes. Un emprunt dangereux au point de devenir coûteux en cas de litige. Nous voulions donc l'utilisation de photos d'informations générales libres de droits... Et ne pas être, sans cesse, en position d'ennuyer nos gentils et gentilles camarades des archives Ouest-France déjà tellement sollicité.e.s !
Michèle Léridon, la directrice de l'information, à l'AFP, vous a entendu. Et c'est ainsi qu'a été signée cette convention. Elle donne la possibilité aux rédacteurs des journaux de lycées de reproduire librement des photos d'Emmanuel Macron, de Monsieur Trump, de M'Bappé, etc. En prime, les comités de rédaction peuvent travailler sur les dépêches illustrées par ces photos.
Incontestablement, cette signature a ouvert à JDL une ère nouvelle en matière d'illustration des articles et de réflexion sur les informations-sources pour les médias qui travaillent avec les agences de presse.
Pour cela aussi, merci Jean-Claude !
Fort Cigogne au pays des goëlands
Vous sachant attaché à l'Alsace, monsieur, une curieuse ( !) association de mots nous a fait, nous les gens de l'Ouest, nous demander s'il y a un lien original entre les cigognes et les goëlands. Idée saugrenue, non ? la faute à Chaunu !
Eh bien, nous en avons trouvé un ! Enveloppé par le vol des mouettes et autres goëlands, nous avons repéré le Fort Cigogne, un fort militaire construit au XVIIIe siècle. Fort Cigogne, en Bretagne ! avouez que cela ne s’invente pas. Il se dit que l'accueil des goélands est bruyant sur ce caillou situé dans l'archipel des Glénan, à quelques bords de Fouesnant, un des trésors du Sud-Finistère. Nous avons découvert que cet ouvrage, autrefois, servait à éloigner de la terre bretonne les corsaires anglais et hollandais.
La curiosité des journalistes n’étant pas totalement satisfaite, nous avons essayé de comprendre pourquoi ce fort porte le nom de l’oiseau roi d’Alsace. En fait, l'oiseau n'y serait pour rien. En effet, il se dit que l'île Cigogne tire son nom, non pas de l'oiseau, mais de la forme de l'île, seiz kogn qui signifie « sept coins » en breton. Cette île est nommée île Cygoigne dans le "Petit Atlas Maritime" (Tome V n° 61 de JN Bellin – 1764).
Et Jean-Luc Cochennec, notre confrère d'Ouest-France, confirme : la cigogne n’a jamais fait son nid aux Glénan. Le mot est bien une déformation de l’ancien nom de l’île, au temps où elle était occupée par les ermites de l’abbaye de Saint-Gildas-de-Rhuys. On avait alors remarqué qu’elle avait sept coins !
Fort Cigogne est une des propriétés de l'État. Il est loué à l'école de voile des Glénan. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 17 juillet 2009. L’an dernier, la presse a fait état du besoin d'un sérieux lifting de cette merveille maritime. C’est ainsi que Fort Cigogne a été l'un des 18 sites retenus par le "Loto Patrimoine" (Ouest-France du mardi 29 mai 2018).
Et maintenant, Compostelle !
Un chemin vous attend, M. Kling, pour votre retraite : celui de Compostelle !
Je sais que cet itinéraire patrimonial, culturel et spirituel vous interpelle quelque part. Vous avez été curieux de mon aventure en 2017, et je vous en remercie. A votre tour de jouer désormais. Je me tiens à votre disposition si par hasard vous aviez besoin d’un conseil ou d’une suggestion (comment percer une ampoule par exemple sans infecter le pied, comment prévenir une tendinite, comment ne pas attraper le bourdon, comment ne pas marcher sur la tête, comment ne pas perdre le nord ni son latin… etc.).
Je vous souhaite des jours heureux
En tout cas, je peux attester que marcher sur ce chemin ou (un autre), dans la durée, est à la fois une bonne coupure avec le monde professionnel et une ouverture sur d’autres projets. Il garantit en tout cas une bonne santé…
Alors buen camino, Jean-Claude, pour ce possible chemin (on peut partir d’Alsace ou de Bretagne) et puis surtout pour votre retraite. Qu’elle vous soit paisible, riche de découvertes et de sensations. Je vous souhaite vraiment des jours heureux.
Merci pour ce compagnonnage
Merci pour votre présence au sein du Journal des lycées. Merci pour votre confiance et votre patience. Je garde de très bons souvenirs de notre compagnonnage, si je puis dire. J’ai en mémoire votre calme imperturbable face aux vicissitudes de notre partenariat avec Bayard. Il est vrai qu’avec les responsabilités qui étaient les vôtres au sein du groupe Ouest-France, vous aviez toutes les données pour -avec un élégant recul- relativiser les enjeux.
Ceci dit, vous avez toujours porté un grand intérêt à cette activité d’éducation pratique aux médias, si capitale aujourd’hui.
Bon vent, M. Kling. N’oubliez pas : tout là-bas, au bout de l’Occident, en terre de Galice, messire Jacques vous attend…
Éric CHOPIN.

2014 : Éric Chopin laisse la place à Édouard
Vous réunissez à Chantepie, comme chaque année, l'équipe des journalistes référents.
C'est une tradition qui nous va bien ! Voyez-vous, pour nous les journalistes retraités, ce temps de retrouvailles est un temps d'échanges. Et si vous nous écoutez bien, que remarquez-vous ? que nous avons la passion de transmettre notre expérience enveloppée dans un tissu d'expertise professionnelle. Cela nous anime vraiment tant auprès des élèves ou des apprentis qu'auprès des enseignants, des moniteurs. Contribuer à faire de ces jeunes citoyens-lecteurs des lecteurs citoyens, capables de décrypter les contenus que leur livrent les médias, tous les médias. Comme vous le soulignez si bien à la Une de notre site www.journaldeslycees.fr (bouton "C'est quoi").
De gauche à droite : Bernard Rubin, Éric Le Marchand, Jeanne-Emmanuelle Hutin, Yves Cossais, Édouard Maret, Francis Salaün, vous-même, Louis Coquin, Éric Chopin, Christian Desbois, Alain Legoupil, Josiane Guéguen, Paul Hhutin, Claudine Lebreton, Xavier Alexandre, Alain Thomas, Jean-Louis Greslé, et nos confrères de Bayard : Romain Pénisson, Yves Malherbe et Marc Daunay en compagnie de notre assistante d'hier, Marion Laloux.
2016 : un rendez-vous à Ouest-France
De gauche à droite : Éric Lemarchand (Sainte-Anne-d'Auray) Didier Aubin (Rennes) Paul Hutin, Jean-Philippe Lucas (Nantes) Édouard Maret, Monique Girard (La Guerche de Bretagne) Paul Goupil (Rennes) bien caché ! Francis Salaün (Vannes et Lorient) vous même, Marie-Françoise Robert (Mayenne), Sylvie Le Pont (Granville) Daniel Séité (Ploërmel) Joël Crusson (Rennes et Laval) Claude Renou (Vannes et Redon) Claudine Lebreton (Fougères) Josiane Guéguen (Quimper et Brest), Jean-Jacques Rebours (Bruz et Saint-Malo) Jessica Périsse (Le Havre et Yvetot) Étienne Caignard (Pontivy) Louis Coquin (Angers) Christian Desbois (Bressuire) Michel Caillard (Cholet) et Xavier Alexandre (Caen).
2015 : de nouvelles retrouvailles à la ferme
De gauche à droite : Michel Caillard (référent FoRuM à Cholet) Jean-Llouis Greslé (référent Chahut-Bahut à Rezé) Bernard Le Fellic (secrétaire de rédaction Bayard) Alain Thomas (référent Le Feuilleté de Canard à La Guerche de Bretagne) Daniel Séïté (référent M'news à Ploërmel) Paul Hutin (coordinateur JDL) Louis Coquin (référent à Angers MFR 49 et Lycée Wresinski) Claudine Lebreton (référente à Fougères) Yves Cossais (référent Saint-Stanislas à Nantes) Éric Le Marchand (référent à (Le Slam, Saint-Anne d'Auray) Sylvie Le Pont (référente Institut Sévigné à Granville) Joël Crusson (référent à Rennes et LavalMFR 53 et Saint-Geneviève-Saint-Martin pour La plume d'Hermès) vous-même, Christian Desbois (référent MFR 79) Jeanne-Emmanuelle Hutin, Christian Desbouis (référent à Pommerit Jaudy et à Lannion pour ) Alain Legoupil (référent à La Roche-sur-Yon et Chantonnay pour les lycées Notre-Dame du Roc, Saint-François d'Assise, Sainte-Marie et les MFR 85) Édouard Maret, Xavier Alexandre (référent à Caen) et Romain Pénisson (secrétaire de rédaction Bayard).
2018 : nous prenons de la hauteur !
De gauche à droite : Jocelyne Rat (Gorges) Bernard Rubin (Pommerit et Lannion) Éric Chopin (Ploërmel, Cesson-Sévigné) Xavier Alexandre (Caen) Christian Desbois (Bressuire) Claude Saulais (Angers) Jean-Philippe Lucas (Rezé) Paul Hutin, Michel Derrien (invité, rédaction en chef) Paul Goupil (Rennes) Édouard Maret, Gilles Ménard (notre trésorier), Céline Sorin, Marie-Françoise Robert (Mayenne) Joël Crusson (Rennes, Laval) vous-même, Claudine Lebreton (Fougères) Monique Girard (La Guerche de Bretagne) et Hugues Segond (Contrôle de gestion, invité).
2017 : les référents parlent de la mallette !
De gauche à droite, au premier rang : vous même, Michel Caillard (Cholet) Jocelyne Rat (Gorges) Josiane Guéguen (Brest) Bernard Rubin (Pommerit-Jaudy, Lannion) Étienne Caignard (Pontivy). 2e rang : Édouard Maret, Céline Sorin, notre nouvelle assistante, Monique Girard (La Guerche de Bretagne) Claudine Lebreton (Fougères) Marie-Françoise Robert (Mayenne) Jessica Perisse (Le Havre, Yvetot) Éric Le Marchand (Sainte-Anne d'Auray) Francis Salaün (Vannes, Lorient) Jean-Jacques Rebours (Saint-Malo, Bruz). 3e rang : Philippe Laisné (Bayeux) Jean-Philippe Lucas (Nantes, Rezé) ; Xavier Alexandre (Caen) Sylvie Le Pont (Granville). 4e rang : François Danchaud (Rennes) Christian Desbois (Bressuire) Christophe Boutin (Tours) Claude Renou (Vannes, Redon) Alain Legoupil (La Roche-sur-Yon, Chantonnay) Paul Hutin. 5e rang : Paul Goupil (Rennes) Bernard Le Fellic, Yves Malherbe, Marc Daunay, Jean-Noël Desoulle (Bayard).
