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Éditorial
Depuis 2009, quatorze numéros de Cap sup ont été réalisés par les étudiants des dix-huit établissements du réseau Renasup 44. Tous ces numéros ont un point commun : une forte dose d'optimisme sur l'école, les études supérieures, la formation.
En effet, les articles témoignent, tous, d'expériences riches vécues en cours de formation au sein de nos établissements. Les propositions, portées par les équipes pédagogiques, sont nombreuses et originales dans le réseau Renasup 44. La passion bouillonne au cœur de nos formations !
Ainsi, les interviews d'anciens étudiants, devenus professionnels, créateurs d'entreprise, témoignent des opportunités dont ils ont profité pendant leurs études pour construire leur réussite, leur rêve...
Et puis, ce temps de formation est aussi l'occasion de voyages d'études dont bon nombre à l'étranger. Ils ouvrent l'esprit.
Enfin, certains évoquent la participation à des projets motivants renforçant leur autonomie et leur confiance en eux. Des projets construits sur des innovations et investissements technologiques comme "MicroJoule" ; sur des expérimentations pédagogiques, des partenariats professionnels, des interventions de spécialistes, des événements festifs, des accompagnements individualisés pour soutenir les étudiants dans leur parcours comme les "Cordées de la réussite", "Prépa Et'Sup" ou encore "Objectif SUP".
Ce sont, là, autant de propositions et d'expériences pour découvrir le monde, un monde qui bouge... Et la réussite est là !
L'école, ce temps de formation, apparaît ainsi comme une passerelle vers l'avenir dont il faut profiter !
Françoise Pavoux, enseignante, pilote du journal Cap Sup.
Se former dans un monde qui bouge

N° 14 - Janvier 2018 | http://renasup-paysdelaloire.eu/ |
La double vie de Camille
Vie étudiante - page 6
Guénaël André, champion de Trail
Alliant sport et étude, Guénaël parvient à combiner son BTS et une pratique assidue de la course à pied en milieu naturel.
Peux-tu me parler de toi ?
Je m'appelle Guénaël André, j'ai 20 ans, je suis originaire de Leuhan, dans le Finistère, en Bretagne. Je suis actuellement en deuxième année de BTS DATR (Développement, Animation des Territoires Ruraux) au lycée Charles Péguy de Gorges. Auparavant, j'ai obtenu un Bac S au lycée Bréhoulou à Fouesnant (29).
Quel est le sport que tu pratiques ?
Je pratique la course à pied au sein du Racing Club Nantais à Clisson.
Quels sont tes plus grandes forces pour allier ton sport et tes études ?
Dans le domaine du sport, je fais preuve de combativité et de mental. Dans ma vie de tous les jours, je suis généreux et de bonne humeur. L’ensemble me sert pour allier mon sport à mes études.
Quelles sont tes faiblesses ?
Dans ma vie de sportif ou de tous les jours, je manque encore de confiance en moi.
Tes plus grands exploits ?
J'ai terminé 16e des championnats de France de Trail en 2017 à Gérardmer dans les Vosges sur un parcours de 31 kilomètres. 1er d'une épreuve du trail tour national en 2017 sur un parcours de 33 kilomètres (trail "sur les traces du loup" à la Ville aux Clercs dans le Loir-et-Cher). Je me suis classé 2e du trial du Galibier à Valloire en Savoie en 2016. J'ai participé au championnat de France de cross en 2013. Et j'ai été deux fois champion du Finistère sur 3000 mètres.
Le plus grand défi que tu as dû surmonter ?
Dans ma vie de sportif, la blessure que j'ai eu au tendon d'Achille.
Où te projettes tu dans 5 ans ?
Dans un métier proche du sport et de l'environnement à proximité des massifs montagneux.
As-tu des détails qui te paraissent importants à dire ?
Que rien n'est impossible, dans les études comme dans le sport il faut juste croire en soi !
Propos recueillis par Julien BLOYET.
Étudiant en BTS1 DATR Charles Péguy Gorges-Clisson, www.charles-peguy.net
Benjamin : de la CPGE à la création d’entreprise
De plus en plus d’étudiants sont tentés par la création d’entreprise. Deux « jeunes anciens » de la CPGE(1) du Loquidy, Benjamin Delalande (Promo 2007) et Pierre-Emmanuel Bercegeay (Promo 2005) nous ont confié quelques aspects de leurs aventures ! Interview de Benjamin.
Comment vous est venue l’idée de créer votre entreprise ?
La création d’entreprise n’a pas été immédiate. Mes années d’études, en Prépa au Loquidy, puis à l’ESC La Rochelle, m’ont d’abord permis de découvrir l’international et de travailler dans un domaine qui me passionnait : l’internet.
En effet, mes différents stages et jobs à Manchester en Angleterre, et surtout en Afrique du Sud à Cape Town et aux USA à SharpSpring m’ont conforté dans l’idée qu’il y avait beaucoup à faire dans les métiers gravitant autour du web et des sites internet.
En 2013, je reviens en France avec une conviction : les PME françaises, et plus particulièrement dans ma région choletaise, sont « sous-digitalisés ». Avec un ami, je me lance et crée la société ENJIN. L’objectif est d’accompagner les petites et moyennes entreprises (PME) et les très petites entreprises (TPE) dans leur stratégie de webmarketing, de façon à gagner en visibilité sur le net.
Avec le recul, quels conseils donneriez-vous à des « jeunes » qui souhaitent entreprendre ?
Le discours médiatique actuel valorise la création d’entreprise. Je ne peux qu’adhérer, mais attention aux leurres ! Il faut une motivation sans faille et profonde, doublée d’une bonne connaissance de soi-même pour savoir jusqu’où l’on peut s’engager.
Mes années d’études, et ce, dès la prépa, m’ont permis d’acquérir une certaine endurance, de la réactivité et de la polyvalence. Autant d’atouts indispensables si l’on veut se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise !
Dans l’immédiat, comment voyez-vous l’avenir de votre entreprise ?
Aujourd’hui, l’entreprise comprend six personnes, et le développement de notre activité nous permet d’envisager le rachat d’une petite entreprise spécialisée dans un domaine complémentaire au notre.
Le « retard digital » de bons nombres d’entreprises est une réalité, ce qui ouvre des perspectives d’activités intéressantes !
A suivre dans le prochain Cap Sup 15 (sortie en septembre 2018) : Portrait de Pierre-Emmanuel Bercegeay, fondateur de ouihelp.fr, entreprise de services d'aide à domicile sur-mesure.
Jean-Paul BOISNEAU - Membre du RAPL- et Jean-Yves PEGE, Directeur des Etudes des CPGE du Loquidy.
Lycée Saint-Joseph du Loquidy, Nantes
www.loquidy.net
(1) : Classes préparatoires aux grandes écoles
Nina, l'histoire des arts de la Perverie à Berlin
Comment faire de sa passion un métier ?
Nina, qu'as-tu le plus aimé dans la spécialité Histoire des arts ?
Ce qui m'a plu dans la spécialité Histoire des arts en classes préparatoires est l'approfondissement des sujets d'étude. Nous nous sommes par exemple intéressés pendant tout un semestre à l'art du portrait ou bien au Romantisme. C'était également un cours pendant lequel l'esprit pouvait vagabonder et créer des liens avec les autres disciplines comme la philosophie ou la littérature. La spécialité m'a beaucoup plu car elle nous apprend à être curieux et observateurs, deux qualités indispensables à l'analyse et au discernement dans tout domaine.
Quels conseils donnerais-tu aux élèves désireux de choisir cette filière ?
La première question que l'on doit se poser est d'abord où l'on choisit d'étudier cette filière et pourquoi. Le choix de l'université est important en fonction de la spécialité qui nous intéresse le plus. J'ai par exemple choisi Paris 1 pour ses spécialités en photographie, histoire du cinéma et également pour un cours orienté sur les liens entre arts et sciences. D'autres universités sont plus spécialisées en Marché de l'art, Métiers de l'exposition, Archéologie ou Moyen-Age.
As-tu été confrontée à l'idée reçue selon laquelle l'Histoire des arts ne mène à rien et ne débouche pas sur un emploi stable ? Qu'en est-il en réalité ?
J'ai souvent été confrontée à cette idée reçue. L'Histoire des arts ouvre à une quantité incroyable de métiers : commissaire d'exposition, conservateur, curateur, programmateur culturel, archiviste, commissaire priseur, galeriste, responsable artistique dans une institution, enseignement, tourisme, médiation culturelle, édition, cinéma, photographie... La liste est longue ! La culture est aujourd'hui un des secteurs qui embauche le plus et qui donne le plus de perspectives d'avenir.
En quoi consiste ton métier ? Remplit-il tes attentes ?
Je ne suis dans la vie active que depuis peu de temps. J'ai commencé comme tout le monde par des stages en institution ou en galerie. Je suis maintenant assistante d'un artiste français établi à Berlin depuis 13 ans, Guillaume Bruère. Travailler dans l'art est passionnant et quotidiennement enrichissant. Cela nous amène à rencontrer beaucoup de monde et de professions : artistes, galeristes, éditeurs, marchands d'art, mécènes ou collectionneurs.
Quels sont tes projets d'avenir ?
Mon projet actuel est de rester encore quelques années à Berlin pour mieux m'imprégner de la culture et du dynamisme ambiant et aussi pour parfaire ma connaissance de la langue allemande. J'aimerais prochainement organiser et "curater"une exposition sur une photographe allemande. Un de mes projets est d'ouvrir un espace d'exposition ou de travailler dans une institution culturelle comme j'ai eu la chance de le faire à l'Institut français d'Allemagne (Ambassade de France à Berlin).
Nina d'HOSTEL, Lettres et Première supérieures 2011-13
Interview réalisée par Eva Martin et Brice Mergny, Lettres supérieures, lycée la Perverie.
www.perverie.com
Simon, du bac pro au bac+5
La curiosité et l'envie d'apprendre motivent Simon qui termine actuellement un master2 après avoir obtenu un bac professionnel en agroéquipement.
Simon Legendre, 23 ans, originaire de Domagné en Ille-et-Vilaine grandit dans l’exploitation agricole familiale où il dit "être tombé dans la marmite". Sa passion pour le monde agricole se renforce ensuite avec la lecture de revues agricoles et en parcourant la campagne à vélo, à la recherche de matériel agricole à prendre en photo.
Le choix d'une formation agricole
Simon passe cinq années de formation au lycée Saint Clair de Derval où il obtient un bac professionnel agroéquipement puis un BTS Génie des équipements agricoles afin de devenir démonstrateur de matériel agricole. En effet, la lecture du témoignage d'un professionnel évoquant la nécessité d'obtenir un BTS GDEA pour faire ce métier le motive. Après l'obtention de ce diplôme en 2014, il continue en licence de commerce et marketing puis en master 1 et 2 MD2A - manager du développement d'affaires en agrobusiness à l'école Tecomah.
Sa motivation est toujours l’envie de continuer les études pour acquérir plus de connaissances et d'expériences professionnelles - à partir de la Licence il obtient un contrat professionnel de formation - afin d'optimiser ses chances et obtenir un meilleur poste chez un constructeur de matériel agricole. Actuellement Simon est en attente du résultat de son master 2 et en parallèle il décroche un contrat de travail à durée indéterminée (CDI) chez le constructeur Sulky comme promoteur des ventes. Grâce à l'obtention du master 2 il souhaite intégrer le service commercial de l'entreprise.
Le BTS GDEA comme passerelle
La formation de BTS GDEA lui a ouvert l’esprit et lui a permis d'acquérir les connaissances techniques pour rentrer chez un constructeur. Pour réussir en BTS GDEA, il ne faut délaisser aucune matière, surtout pas les matières générales comme l'anglais. En effet, les matières qu’il a utilisées le plus en licence et master mais aussi dans le travail sont l’économie, la gestion, l’agronomie et la communication. Simon garde toujours contacts avec ses camarades de promotion de BTS. Ils se revoient régulièrement dans les salons professionnels et aussi lors de soirées conviviales.Valentin BARBIER et Gabriel POIRIER. Étudiants de BTS GDEA1 au lycée Saint-Clair de Derval, www.lyceesaintclair.fr

Romy, 25 ans, fait le choix d'un BTS
Après deux années de faculté et cinq ans de saisons et voyages, Romy est en BTS Technico-Commercial Vins et Spiritueux.
Pourquoi à 25 ans as-tu choisi de t'inscrire en BTS ?
J'ai choisi de suivre un BTS pour le cadre, le suivi et la notion d'obligation. Ayant du mal à me discipliner, ça m'aide !
Pourquoi n'avoir pas intégré un BTS dès l'après bac ?
En 2010 après mon Bac S, je voulais faire médecine, en réalité j'y étais juste inscrite, je n'étais pas assez mature pour suivre les cours et travailler en autonomie. Je faisais la fête la nuit et je dormais le jour. Après 2 années de fac j'ai alterné pendant 5 ans les saisons et les voyages.
Quel regard portes-tu sur ces 7 années entre ton Bac et ton entrée en BTS ?
J'ai vécu, j'ai grandi, j'ai mûri, j'ai découvert des cultures et des personnes, ça m'a appris quel genre de vie je voulais vivre.
Qu'est-ce qui est plus facile à 25 ans en BTS ?
On travaille pour nous : pas pour les profs ou pour les parents. On sait pourquoi on est là ; le travail, les propositions d'actions, d'animations ou projets pro on les fait dans notre intérêt. C'est plus motivant. Je suis là pour faire des choses et parce que je l'ai choisi.
Qu'est ce qui est plus difficile ?
Le retour au statut d'élève, le rapport prof/élèves parfois mais ça reste une minorité, le côté obligatoire aussi car je ne peux plus gérer mon temps. La différence d'âge avec le groupe n'est pas gênante, je m'adapte. Dans ces cas là, on n'est pas donneur de leçons !
Quel a été l'élément déclencheur pour le choix de ce BTS Technico-commercial option Vins et Spiritueux ?
J'avais fait ce que je voulais, il fallait que je prépare mon avenir. J'avais besoin de poser mes bagages. Pendant les saisons j'avais travaillé en restauration et bars à vins, c'est là qu'est né mon intérêt pour le vin car j'ai eu l'occasion de goûter de très bons vins. C'est aussi la culture de notre pays, c'est une vraie carte à jouer pour la France !
Quels sont les apports du BTS pour toi ?
Le réseau, rencontrer des professionnels, les stages. C'est aussi un petit effectif, des rapports privilégiés avec les profs et le soutien y est plus important.
Et après ton BTS ?
J'envisage de poursuivre, j'attends d'en savoir plus sur les possibilités : commerce ou autre, mais toujours dans le vin !
Alice CAVARO.
Lycée Charles Péguy, Gorges-Clisson
www.charles-peguy.net
"Catch me if you can" (Attrape-moi si tu peux")
De retour à Nantes depuis le mois de septembre, j’ai rapidement constaté qu’il me serait difficile de tenir en place bien longtemps. Après une pause bienvenue en famille et de retrouvailles entre amis ainsi que quelques mois de travail pour renflouer les caisses, je repars mi-décembre pour un périple de 3 mois en Asie : Laos, Cambodge et Thaïlande. Je serai accompagné de ma compagne qui a vécu l’aventure Néo-zélandaise à mes côtés. Ce périple d’un trimestre sera l’occasion de clore, du moins pour un temps, nos folles aventures autour du monde. En effet, après ce dernier périple, nous comptons nous « sédentariser » !
Après un semestre en Nouvelle-Zélande à parcourir les Iles du Nord et du Sud à bord de notre "van" antédiluvien mais finalement bien solide, à découvrir les paysages somptueux de ce pays si peu peuplé, à tisser des liens avec certains habitants, nous avons donc décidé de repartir pour un périple de 3 mois avant de poser définitivement nos bagages à Nantes. En effet, si nous ne le faisons pas maintenant, quand pourrons-nous le faire ? A notre retour, il sera plus que temps de trouver une travail dans le domaine du Tourisme qui a toujours été mon domaine de prédilection depuis ma formation en BTS au Lycée Sacré-Cœur de Nantes.
En route vers l’Asie, donc : pour une autre forme de dépaysement !
Allan BARTHELEMY
Ancien étudiant en BTS Tourisme, lycée Sacré-Coeur, Nantes
sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
BTS Bâtiment : un avenir en béton
Anciennement à La Baugerie, le BTS Bâtiment a intégré le lycée de La Joliverie depuis l'année dernière.
Installée depuis peu dans ses nouveaux locaux, cette formation est accessible à tous, mais elle s'adresse plus particulièrement aux titulaires du BAC S, Technologique (STI2D) et Professionnel (lié au bâtiment).
Cette formation a pour objectifs de préparer des jeunes à des postes à responsabilités, comme conducteur de travaux, chef de chantier ou encore dessinateur projeteur, pouvant nécessiter quelques années d'expérience.
Un enseignement varié et complet.
Pour atteindre ces métiers, ce cursus se base sur des matières technologiques comme la mécanique des structures, la résistance des matériaux, l'organisation de chantiers ou des projets visant à la réalisation d'un bâtiment de A à Z (plans, dimensionnement, métré), sans pour autant négliger les matières générales. Un mélange concret de pratique (topographie et laboratoire) et de théorie renforce cette formation.
En fin de première année, un stage de huit semaines permet d'avoir une première expérience en entreprise, de découvrir le monde du travail et l'organisation d'un chantier. Ce stage peut se réaliser dans des entreprises de gros oeuvre, sur le terrain ou en bureau d'étude.
Des conditions réunies pour réussir.
Les promotions n'étant composées que d'une demi-section, elles offrent un cadre de travail privilégié, comme en témoigne Guillaume : "Je ne m'attendais pas à intégrer un cursus aussi complet, les cours s'effectuent dans une ambiance de travail agréable, grâce à une bonne cohésion de groupe. Cependant, il est nécessaire de fournir un travail régulier et rigoureux pour réussir. Nous avons l'intention de réitérer les 100 % de réussite de l'année précédente".
Que faire après le BTS Bâtiment ?
L'obtention de ce BTS Bâtiment permet de poursuivre ses études, le plus souvent en licence professionnelle, ou en intégrant une école d'ingénieur. Avec ce diplôme, on peut également intégrer le monde du travail. Le parcours d'anciens étudiants en est la preuve : Florian et Charles font des devis quantitatifs et estimatifs, Erwan suit les travaux chez un constructeur de maisons individuelles, Manuel est géomètre, Stanislas et Fabien sont devenus conducteurs de travaux...
Venez découvrir notre formation aux portes ouvertes qui auront lieu les 9 et 10 février ainsi que le 17 mars 2018.
Les étudiants de BTS2 Bâtiment Lycée La Joliverie, Saint-Sébastien-sur-Loire
www.la-joliverie.com
Job Dating pour les premières BTS AM
Un bon exercice pour se préparer aux entretiens d'embauche et se mettre en valeur !
Les 35 étudiants de première année BTS Assistant Manager ont participé à un Job Dating le 28 septembre dernier organisé au pôle supérieur du lycée Talensac avec la collaboration de plusieurs professionnels issus du monde de l'entreprise.
Se mettre en valeur
Durant toute une matinée, nous avons dû, munis de notre curriculum vitae, à travers des entretiens flash nous mettre en valeur en faisant appel à notre esprit de synthèse et à notre sens de la répartie.
Nous disposions de quelques minutes pour faire la meilleure impression possible en répondant à de nombreuses questions sur différents thèmes comme notre formation, notre cursus, nos ambitions et nos réussites, notre sens relationnel, notre savoir-être et nos priorités.
Nous avons pu par cette expérience nous découvrir un peu plus en parlant de nous et gagner en confiance. Cet exercice nous a permis également d'obtenir de nombreux et précieux conseils en obtenant un avis juste et constructif sur notre personnalité et sur notre savoir-être.
Une expérience à renouveler
Ces entretiens nous ont donné l'occasion de développer notre sens professionnel et de surmonter des moments parfois déstabilisants.
Nous nous sentons désormais un peu plus armés et prêts pour nos futurs entretiens et souhaitons voir cette expérience se renouveler.
Classe de BTS1 Assistant Manager Lycée Talensac, Nantes, www.talensac.com
Julien, du stage au projet professionnel
Julien Lafitte, 19 ans, en BTS2 Génie des équipements agricoles au Lycée Saint-Clair, explique l'importance du stage principal pour construire son projet professionnel. Interview.
Quel est ton parcours scolaire et pourquoi avoir choisi le BTS GDEA ?
J’ai fais un bac sciences et technologie de l'industrie et du développement durable (STI2D). J’ai découvert le BTS GDEA sur le réseau Aprodema, lié au machinisme. Ensuite, j’ai choisi le Lycée Saint-Clair car il était bien réputé. Le BTS GDEA par voie scolaire est un bon choix pour continuer les études supérieures ensuite.As-tu rencontré des difficultés entre le Bac et le BTS ?
Je n’ai pas rencontré de difficulté de transition entre le Bac et BTS mais j'ai découvert les matières technique et la pratique. Le travail personnel demandé est beaucoup plus important mais, rapidement des liens se créent entre élèves après la découverte de chacun : la solidarité et l’entraide.
Quels conseils donnerais tu à un étudiant hésitant entre un BTS GDEA par apprentissage ou par voie scolaire ?
Je dirais que cela dépend de l’expérience de chacun et de son projet futur. Il me semble que le BTS GDEA par voie scolaire est préférable lorsqu'on est fragile scolairement et lorsqu'on vient de filière générale. Nous avons plus de temps de formation et d'accompagnement à l'école par voie scolaire. Les épreuves d'examen sont identiques à la fin. Nous devons rendre un rapport technique de stage sur une problématique que l'on soit étudiant apprenti ou étudiant scolaire.
Pour décrocher un stage, quelle est la meilleure méthode à appliquer ?
Pour obtenir un stage il faut se faire un réseau et s’y prendre à l’avance. Pour moi, je souhaitais faire un stage pour être ingénieur conception chez AGCO-Massey-Ferguson à Beauvais avec pour mission la conception d’une buse. Neuf semaines de stage entre Juin et Septembre pour la modélisation d’une buse. J'ai envoyé ma candidature au service des ressources humaines dès le mois de novembre de mon entrée en BTS. Il faut vraiment anticiper la recherche de stage. Puis relancer les entreprises, montrer sa motivation.
Que gardes-tu de ce stage ?
J’ai acquis du professionnalisme avec de l’expérience en dessin et en conception assistée par ordinateur (CAO). J’ai aussi créé de nouveaux contacts professionnels dans le monde du machinisme. Personnellement, j’ai appris à être autonome et j'ai développé la confiance en moi.
Que comptes-tu faire après le BTS GDEA ?
Je souhaite intégrer une école d’ingénieur à Beauvais, à Dijon ou à l'ESA d’Angers si possible en alternance ou apprentissage pour développer ma maturité. Le BTS GDEA ouvre beaucoup de possibilités de poursuite d'étude et il permet de mûrir son projet professionnel.
Alan FADET, Pierre LOQUET et Cédric PRIGENT. Étudiants en BTS GDEA1 au lycée Saint-Clair de Derval, www.lyceesaintclair.fr
Notre périple croate : hors du commun !
La classe de 2e année de BTS Tourisme du lycée Sacré-Coeur, a effectué son voyage d’étude en Croatie. Un circuit organisé de A à Z par les étudiants !
Notre classe est partie six jours sous le soleil croate. Découvrir ce pays somptueux tout en se soustrayant aux frimas nantais fut une expérience hors du commun pour l’ensemble de notre groupe.
Dès notre arrivée à l’aéroport de Split, surplombé par des montagnes calcaires de toute beauté, nous avons entamé la visite de Sibenik, magnifique ville balnéaire, en compagnie de nos guides, Barbara et Dounjia. Déconnection
Ce fut un début de voyage très dépaysant qui nous permit de nous déconnecter immédiatement de notre routine nantaise. Et ce n’était que le début ! Un patrimoine exceptionnel dans des paysages à couper le souffle.
Les points d’orgue de ce voyage en Croatie furent nombreux : découverte des splendides paysages du parc national de Krka et ses chutes d’eau, visite des villes de Primosten et de Trogir, course d’orientation dans Split, traversée de l’Adriatique vers l’île de Brac, visite émerveillée de cet îlot entouré de vastes montagnes, découverte du parc naturel de Biokovo, etc.
En revanche, la visite de Dubrovnik, après toutes ces merveilles, fut plus déroutante en raison du caractère éminemment touristique de cette ville pourtant très connue.
L’organisation des visites, des courses d’orientation, des balades et le choix des hébergements revint aux différents groupes de la classe. Hauts de gamme
Chacun de ces groupes avait en charge une visite ou une activité et c’est avec délectation que nous nous retrouvions le soir dans des hébergements hauts de gamme.
En effet, partir hors saison revêt un certain nombre d’avantages parmi lesquels celui de bénéficier d’hôtels somptueux à des prix compétitifs.
Les soirées se passèrent paisiblement, autour d’un dîner traditionnel ou d’une dernière baignade dans la mer Adriatique.
Organiser ce voyage nous a permis de faire des découvertes qui correspondaient à nos goûts, à nos objectifs en terme de compétences touristiques, le tout encadré par nos deux professeurs accompagnateurs, Mmes Lecuppe et Leclerc.
La preuve que nous avions vécu une expérience hors du commun s’est imposée à nous de manière évidente le dernier soir : nous étions déjà nostalgiques de toutes ces merveilles avant même de les avoir quittées !
Alix de COURCY.
Étudiante en 2e année de BTS Tourisme
Lycée Sacré-Coeur, Nantes
sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
« Objectif SUP » : accéder et réussir
2017-2020, une expérimentation pédagogique est lancée pour valoriser les parcours des lycéens vers les études supérieures. Zoom sur la première action "Accès" proposée par le lycée Saint-Clair de Derval.
Mark Henaff, enseignant et pilote de cette action pédagogique originale, explique la mise en place au lycée Saint-Clair de Derval.
Deux publics ciblés
Ainsi, deux ateliers sont proposés : le premier « Accès » consiste à accompagner les élèves de terminale bac professionnel Conduite, gestion d’une entreprise agricole et terminale bac professionnel agroéquipement vers le BTS, le deuxième « Réussite » s’applique à optimiser la réussite des étudiants en première année de BTS Génie des équipements agricoles et BTS Analyse, conduite et stratégie de l’Entreprise agricole.
Révéler Du soutien et de l’accompagnement sont proposés aux Baccalauréats professionnels afin de les aider dans leur poursuite d’études. Tout s’organise avec les élèves et pour les élèves dans le but d’acquérir plus d’autonomie, de confiance en soi et de motivation. Réservé aux volontaires en baccalauréat professionnel, un dispositif de coaching théâtral - « révélateur de talents » - animé par Alexis Chevalier, responsable du théâtre Messidor à Châteaubriant est proposé. Ainsi, d’octobre à Janvier, vingt élèves, vont améliorer leur aisance orale et physique en public. De plus un tutorat individualisé est aussi proposé, une heure par mois par élève durant toute l’année. Trois personnes de la vie scolaire les conseillent sur leur projet d’orientation.
Accompagner Pour ces élèves, un atelier de français est obligatoire, basé sur l’écriture de janvier à avril afin de les aider à progresser dans l’expression écrite. Des ateliers techniques sont proposés en fonction des BTS envisagés : un atelier axé sur des visites à la ferme et des rencontres d’agriculteurs pour les élèves en CGEA et des notions techniques sur le matériel agricole en travail pratique de groupe pour les élèves d’agroéquipement. A suivre : l'atelier "Réussite" dans le prochain numéro de Cap Sup 15.
Amélie AUGER, Marie BARREAU et Benoît MONNERIE. Étudiant(e)s en BTS ACSE1 au lycée Saint-Clair de Derval, www.lyceesaintclair.fr
Du soutien en BTS ? On dit plus que oui !
Cette année, Notre-Dame D'Espérance propose des ateliers d'aide pour les étudiants de 1ère année.
Les ateliers se déroulent le mardi après-midi. Généralement, chaque atelier dure une heure, mais selon les besoins, deux heures peuvent être nécessaires.
Pendant le premier semestre, nous avons participé à deux sessions d’atelier. Nous avons suivi une remédiation en GRC (Gestion relation clients), en calculs commerciaux, en français, et nous avons été initiés à Excel dans les salles informatiques et à de la description de documents économiques. Pour plus d’efficacité, nous sommes en petits groupes de la même classe ou mélangés avec les autres classes de BTS.
Un bilan plutôt positif
Ces ateliers nous permettent de mieux nous préparer pour les devoirs surveillés, et aussi de pouvoir poser les bonnes questions au professeur des matières concernées. Cependant, les étudiants nous ont affirmé qu’ils souhaitent pouvoir toujours demander de l’aide en fin de cours. Les ateliers ne remplacent donc pas la relation que nous créons dans les cours avec nos professeurs. Ils sont un plus dans notre cursus.
Des améliorations possibles
Comme les ateliers sont nouveaux pour tout le monde, nous pensons qu’il est possible de les améliorer afin qu’ils soient vraiment au service de nos apprentissages. Nous souhaitons donc proposer nous-mêmes des ateliers correspondant à nos besoins, car il y a une réelle demande de soutien et de révisions de notions dans la classe de BTS MUC, histoire de ne pas perdre le fil et de poursuivre le cursus sans lacunes.
Cynthia NOUAILLETAS
avec la participation de la classe de BTS MUC1, Lycée Notre-Dame d'Espérance, Saint-Nazaire, www.lycee-notredame.fr
Le club AVENIR de l'association D.F.C.G
Six étudiants de DCG3 de Saint Pierre la Joliverie se lancent dans l'aventure.
Aujourd’hui, la DFCG (Association Nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion) est une association de financiers d’entreprises privées ou d’institutions publiques.
Des enseignants et des conseils d’entreprises dans les domaines de la gestion, des finances et des systèmes d’information en sont également membres.
Ouverture aux étudiants
Elle accueille aussi de jeunes professionnels se destinant au plus haut niveau de la profession, via DFCG Avenir et ouvre son réseau aux étudiants des filières Finance & Gestion (DFCG étudiants).
DFCG Avenir s’adresse aux professionnels des fonctions Finance âgés de 35 ans maximum pour leur permettre d’échanger et d’intégrer la communauté financière plus rapidement.
Des conférences et des événements
Les étudiants pourront assister à des réunions abordant des sujets techniques au travers des conférences et des événements organisées par la DFCG et ainsi rencontrer leurs pairs.
Les thèmes sont divers : dématérialisation des factures fournisseurs, actualités, enjeux : prenez du recul et faites le point avec des experts ! sécuriser et réduire ses délais de paiements grâce à la signature électronique, anticipez les contrôles fiscaux sur le crédit impôt recherche : exigences et pièges à éviter ! digitalisation des frais professionnels : le paiement centralisé, levier d’efficacité et d’économie.
Le Jeudi 19 Octobre 2017, les six étudiants de DCG (Diplôme Comptabilité et Gestion 3e année), accompagnés de leurs professeurs de S.I.G (Brigitte Dalifard) et de Finance-Fiscalité (G. Ponchon) ont assisté à la première rencontre au domaine de la Gournerie à Saint Herblain, sur le thème "Financements industriels : les nouveaux leviers de croissance."
Brigitte DALIFARD.
S.I.G (Système d'information de Gestion) -D.C.G La Joliverie, Saint-Sébastien-sur-Loire
www.la-joliverie.com
Les Challenges de Jeunesse et Entreprises
Quatre étudiants de BTS Assistant Manager engagés et récompensés dans les challenges et entreprises 2017.
Dans le cadre d'un projet tutoré, les étudiants de deuxième année de BTS Assistant Manager du lycée Talensac, encadrés par leur professeur de management, ont participé à un concours annuel innovant : des étudiants font récompenser des entreprises !
A la rencontre d'entreprises
Les étudiants ont donc rencontré des entreprises de la région afin de valoriser, par l'élaboration d'un dossier en collaboration avec les dirigeants d'entreprises, leurs performances dans l'un des domaines suivants : Qualité, sécurité et environnement, Développement à l'exportation, Pérennisation de l'entreprise...
Alys, Laurène, Camille et Corentin ont pris à coeur leur rôle "d'ambassadeur" et ont permis de récompenser l’entreprise REALITES de Nantes. Pour leur première participation, ces étudiants ont mis à l’honneur M. Yoann Joubert, PDG de REALITES, dans la catégorie « Responsabilité sociale de l’entreprise ».
Ambassadeurs
Ces jeunes ont fait la promotion de l'entreprise grâce à leurs compétences et leur dynamisme. Ils sont parvenus à s’immerger dans l’entreprise REALITES, en établissant un contact privilégié avec sa Directrice du Capital Humain, Mme Cécile Ibrahim, et devenir « ses ambassadeurs » en valorisant ses actions.
Ils ont été conviés à la Banque de France le 18 mai dernier pour la remise des prix lors du salon de présentation des entreprises. Une véritable expérience
Ce challenge a été une véritable expérience pour les étudiants, le bénéfice retiré a été complémentaire à leurs stages dans la mesure où ils ont dû :
- Travailler en équipe,
- Mettre en oeuvre une méthodologie de résolution de problème,
- Constituer un réseau relationnel.
Sylvia DRILLAUD. Coordinatrice de la section BTS Assistant Manager, Lycée Talensac, Nantes, www.talensac.com
Hypokhâgneux et khâgneux de la Perverie en journée d'intégration
Ils nous invitent à découvrir le patrimoine peu connu de Loire-Atlantique.
Les classes préparatoires littéraires du lycée La Perverie organisent, chaque année, une journée d'intégration. Elle s’articule autour de deux axes, l’un culturel, l’autre ludique.
Cette année, le thème de cette journée nous a été fourni par le château de Châteaubriant qui a hébergé jusque fin septembre l’exposition « Trésors de la fin du Moyen-Âge ».
Au Vieux-Bourg
Nous avons donc commencé la journée par la visite de l'église du Vieux Bourg, à Saint-Sulpice-des-Landes, à notre connaissance la seule du département dont les murs sont encore recouverts de fresques. Ces peintures murales du début du XVe siècle sont une part du riche héritage culturel de Loire-Atlantique, mais sont malheureusement trop peu connues, car l’église ne peut être visitée que durant les journées du patrimoine et lors de concerts l’été.
A Châteaubriant
Ensuite, nous avons rejoint le château de Châteaubriant que nous avons visité avant de nous consacrer à l’exposition. Une exposition rassemblant de nombreux objets provenant de fonds de Loire-Atlantique et de prêts du musée de Cluny : tapisseries, sculptures, vitraux, manuscrits, livres, bijoux, ustensiles de cuisines, armes...
Une richesse
Bref, une exposition très intéressante qui nous a permis de mieux connaître la vie de nos ancêtres.
Cette journée de convivialité a été l’occasion pour les élèves des deux années de faire plus ample connaissance et aussi de découvrir de nouveaux aspects de la richesse culturelle de notre département.
Juliette RIPERT. Lettres supérieures. www.perverie.com
La double vie de Camille
Camille, 21 ans, en BTS Management des unités commerciales (MUC) est polyvalente dans la grande distribution. Interview.
Comment Camille concilie-t-elle ses études en BTS MUC et un emploi d'hôtesse d'accueil au Super U de Montoir de Bretagne, c'est ce que nous avons voulu savoir.
Pourquoi travailles-tu tout en faisant des études ?
Je travaille depuis mes 17 ans. J'avais demandé, à l'époque, une dérogation de mes parents pour que je puisse être embauchée dans un magasin Okaïdi, car je voulais me confronter au monde du travail. Je suis quelqu'un de très actif. Depuis 2014, je travaille au Super U, d'abord pour l'argent, mais aussi pour l’expérience et pour enrichir mon CV. Travailler m’a aidé à trouver mon orientation professionnelle, car, après mon Bac, j'ai fait deux années d'études en psychologie, mais je me suis rendue compte que le commerce me plaisait vraiment.
Est-ce compliqué d’allier cours et job ?
Des fois oui, parce qu’en 2015, j’ai passé mon bac et mon permis en même temps mais j’ai réussi. Aujourd'hui, je ne me vois pas sans travail. Certains samedis de congé, je m’ennuie !
As-tu des moments libres et du temps pour tes devoirs ?
Oui, j’ai demandé à travailler un mercredi sur deux, j’arrive ainsi à gérer mes devoirs. Ça fait quatre ans que je le fais. Je suis organisée, mais mes cours sont ma priorité et ma responsable le comprend.
Comment vas-tu allier ton stage en agence d’assurance et ton job ?
Je me suis arrangée avec mon responsable de stage pour avoir mon samedi afin de pouvoir garder mon CDI.
Tu n'as donc pas de vacances !
Non, ça fait 4 ans que je n’en ai pas eues, mais les contrats en saison, c'est-à-dire pendant les vacances, sont plus intéressants !
Comment te sens-tu en entreprise ?
Je me sens bien au Super U, car il y a une bonne ambiance et un super esprit d'équipe. L'entreprise est très familiale et c'est pour cela que le magasin est fermé le dimanche pour que les collaborateurs soient en famille. J’ai des clients habituels, qui me parlent, qui se confient ; ils se sentent bien avec moi et moi avec eux.
Qu’as-tu comme projet ?
En stage, je vais essayer l’Assurance ; si ça me plait, je continue. Comme j’aurais déjà de l’expérience dans la grande distribution, je pourrais y retourner si le monde de l'assurance ne me convient pas. J'aimerais quand même m'inscrire en Licence Pro dans le domaine bancaire.
Quels conseils donnerais-tu à un étudiant qui veut prendre un job ?
De ne pas avoir un contrat de plus de 14 heures par semaine, sinon c'est invivable. Il faut être organisé, bien gérer son temps et avoir l'esprit d'équipe.
Cynthia NOUAILLETAS.
Lycée Notre Dame d'Esperance, Saint-Nazaire
www.lycee-notredame.fr
Le calme avant la tempête !
Pour la rentrée, les étudiants de 1ère année de BTS Management des unités commerciales, Commerce international et Comptabilité-Gestion, ont partagé trois journées d’intégration.
Le lycée Notre Dame d’Espérance est l’un des seuls à proposer trois jours d’intégration consécutifs, afin que les étudiants prennent un bon départ dans leur scolarité et dans leur nouvelle vie de jeunes adultes. Ces trois journées, organisées par les professeurs, ont été particulièrement appréciées.
Première journée : Préparons les voiles !
Les jeux de groupes ont permis de s’intégrer plus facilement et les activités sportives, ont fait naître complicité et solidarité au sein de ces groupes. Aujourd'hui encore, cet esprit est présent dans les travaux quotidiens, cela apporte un vrai plus pour pouvoir évoluer plus sainement vers l’objectif commun : la réussite. Seule la visite, en autonomie, de Saint-Nazaire avec le projet vidéo, a suscité moins d’enthousiasme, car le temps accordé était trop long et il manquait un objectif clair.
Deuxième journée : Mille raisons de prendre la mer...
Les étudiants ont également apprécié rencontrer des professionnels pour découvrir les différents secteurs que le BTS MUC offre tels que la banque-assurance, le concessionnaire auto et la grande distribution. Pour l’événement, la tenue professionnelle était de rigueur mais l’esprit était convivial, car les étudiants et les professionnels ont échangé autour d’un petit-déjeuner au self.
Troisième journée : Qui prend la mer, reviens mouillé aux vestiaires !
Des trois journées, celle des activités sportives à Château-Thébaud fut la préférée, et à l’unanimité, malgré la pluie, qui ne les a pas refroidis ! Les groupes avaient plusieurs choix : le tir à l’arc, l’escalade, la tyrolienne, le molkky et le kayak.
A force de contempler la mer, on finit un jour par la prendre.
Tous les étudiants gardent de bons souvenirs de leur intégration, car elle crée des liens nécessaires. En effet, on se sent fort quand on est tous ensemble. On ne laisse personne quitter le navire, maintenant on file droit vers notre diplôme !
Cynthia NOUAILLETAS.
Lycée Notre-Dame d'Espérance, Saint-Nazaire
www.lycee-notredame.fr
Journée d'intégration DCG La Joliverie
Mercredi 20 septembre 2017 … à Saint Pierre La Joliverie, se tenait la journée d'intégration des D. C. G. (Diplôme Comptabilité Gestion).
En ce jour ensoleillé, l'équipe DCG de Saint Pierre la Joliverie était conviée pour une journée qui s'annonçait rythmée.
Destination Clisson !
Arrivés en ce lieu moyenâgeux, ce n'était plus le moment de dormir, car un rallye nous attendait. Des petits groupes composés d'un étudiant DCG de 3e année, de deux de 2e année et de trois autres de 1ère année avaient été préalablement constitués pour cette matinée bien organisée.
Une fois les groupes réunis, les étudiants devaient consulter leur plan, où un itinéraire à respecter avait été dessiné, et il ne fallait pas se disperser car les minutes étaient comptées.
Lors de la découverte des lieux, il fallait maîtriser son orientation, mais pour le plaisir des yeux, nous pouvions compter sur le charme bucolique de Clisson.
Une fois les personnes rencontrées, les mots fléchés effectués, les peintures réalisées, l'objet trouvé, le temps respecté, cette fin de matinée annonçait les festivités de l'après-midi et le début des hostilités. Après une course de relais entre les trois classes et un déjeuner bien mérité, au parc de la garenne Valentin, il fallait rejoindre le parc Henri IV, où d'autres activités nous attendaient.
Afin de travailler la cohésion, l'esprit d'équipe et l'entraide, de nouveaux groupes composés de 5 ou 6 personnes furent crées, en conservant la mixité.
Au programme, 7 duels pour chaque équipe sur 8 jeux différents tels que "colin-maillard", "Blind test", le "béret" ou même les "chaises musicales " mais sans chaises !
Tout le monde était servi : certains étudiants de DCG3 animaient, les participants au tournoi transpiraient et les professeurs s'amusaient.
Après une heure trente d'efforts et de plaisir, il était temps de procéder au classement… Une fois les médailles et les honneurs décernés aux vainqueurs, une pléthore de gâteaux préparés par nos soins requinquaient l'assemblée et clôturaient cette belle journée. Déjà 17h15, il fallait rentrer pour se reposer. Demain allait être une autre journée...
Nicolas RIGAL-BOIVERT et Antoine BRANCHET DCG1-Promo 2017/2018, Lycée La Joliverie, Saint-Sébastien-sur-Loire, www.la-joliverie.com
Le lycée Sacré-Cœur à l’heure européenne
Depuis la rentrée, le Sacré-Coeur accueille un binôme européen de "service civique".
Claire Bitodeau et Tobias Hordan ont intégré le Sacré-Cœur dans le cadre de leur « service civique ». Laissons-les se présenter !
Claire : une férue de langues
« Agée de 21 ans, j’ai intégré une Hypokhâgne (classe préparatoire littéraire) après un Bac L. Je me suis tournée ensuite vers les langues dans le cadre d’une Licence LLCE (Langues, Littérature, Civilisations Etrangères). A l’issue de cette licence, j’ai décidé de partir un an à l’étranger afin de découvrir une autre culture et une autre langue. Mon choix s’est finalement porté sur Rome, ville chargée d’histoire et de traces concrètes d’un passé glorieux.
A mon retour, j’ai choisi d’effectuer un « service civique » afin de travailler sur des projets en lien avec les domaines qui m’intéressent : les langues, les voyages et l’éco-responsabilité.
J’ai vite trouvé ma place au sein du lycée Sacré-Cœur. Je participe à de nombreux projets et assiste les enseignants dans des dispositifs qu’ils mettent en place tels que l’organisation de voyages. J’assouvis également ma curiosité en assistant à des cours auprès de professeurs disposés à m’accueillir afin de me faire une idée des différents moyens mis en œuvre pour motiver les élèves dans le domaine des Lettres et des Langues.
Les mois à venir au sein de cet établissement promettent d’être riches en expérience et j’ai hâte de continuer à découvrir les opportunités qui me seront offertes. »
Tobias, un professeur en devenir
« Originaire de Dresde, en Allemagne, et âgé de 18 ans, j’ai décidé de faire un « service civique » en France grâce à l’OFAJ (Office Franco-Allemand pour la Jeunesse). Ce pays qui m’accueille depuis la rentrée ne m’est pas inconnu. J’ai déjà passé six mois en région parisienne avant de valider mon Baccalauréat allemand.
Je me destine au professorat, en français et en biologie. En effet, dans mon pays, les enseignants sont formés sur deux matières !
Ce « service civique » va me permettre de comprendre le fonctionnement d’un établissement scolaire français tout en m’investissant dans les projets liés au développement de l’international dans ce lycée. J’oubliais ! Afin de lier l’utile à l’agréable, j’ai même intégré le groupe de rock du lycée en tant que pianiste ! »
L’arrivée de Claire et Tobias dans notre établissement constitue un réel « plus » : leur jeunesse et leur enthousiasme n’ont pas fini de nous surprendre !
Claire BITODEAU et Tobias HORDAN. Service civique au Lycée du Sacré-coeur, Nantes
sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
Trois mois au Québec pour s’envoler
Francine, 20 ans, passe onze semaines à Saint-Rémi de Tingwick au Québec dans une exploitation porcine.
Dans le cadre du BTS Analyse, Conduite et Stratégie de l'Entreprise agricole au lycée Saint-Clair de Derval, chaque étudiant(e) effectue en fin de première année, un stage obligatoire en exploitation agricole à l'étranger d'une durée minimale de quatre semaines. Francine profite de ce stage pour oser son rêve de partir "loin" et "longtemps".
Pourquoi partir en stage au Québec ? Je souhaitais voyager, rencontrer d’autres personnes et découvrir les méthodes professionnelles d'une exploitation porcine à l'étranger. Le Québec est très réputé dans ce domaine. Et puis, ils parlent français mais avec un fort accent qui a nécessité plusieurs semaines d’adaptation. Cependant, j’ai aussi progressé en anglais car ils emploient beaucoup de mots anglais.
Quelles démarches, quels coûts et quelles aides ? Mon professeur d'anglais, François Trevier m’a aidé puis j’ai contacté un organisme privé - Odyssée Agri - qui accompagne les jeunes en stage à l’étranger. Cet organisme m'a aidé à obtenir un permis de travail ce qui est difficile. J'ai obtenu une bourse d'aide à la mobilité de 300 € et j'ai dépensé environ 1000 € (500 € de billet d’avion, 350 € pour l’organisme, 100 € pour le permis de travail et l'assurance). Cependant, j'ai été rémunérée pour les onze semaines : 2755.10 dollars canadiens soit 1838 €.
Quelles expériences professionnelles ? J'ai travaillé à l’usine de transformation : réalisé l’étiquetage, mis la viande sous vide, préparé les commandes, fait des saucisses, du jambon... J’ai participé aux marchés quelques week-ends. En élevage j'ai réalisé toutes les activités mais surtout j’ai appris une autre façon de travailler - un système différent du mien.
Quelles découvertes ? J’ai visité la ville de Québec, j'ai vu un match de foot de l’"Impact" à Montréal... Je me suis beaucoup déplacée avec la famille et j'ai aussi emprunté la voiture de leur fille. J’ai rencontré beaucoup de personnes car on sortait presque tous les week-ends avec les filles de la famille. Je garde de très bons souvenirs et j’espère y retourner un jour.
Quels projets ? Avoir mon BTS ACSE est la priorité ! Ensuite, je continuerai en licence. Au niveau professionnel, je compte travailler à l’étranger et apprendre l’anglais. En effet, cette expérience était une première étape... La seconde est désormais envisageable : partir, seule, sur une longue période, dans un pays étranger éloigné mais cette fois-ci anglophone : Australie, Nouvelle-Zélande...
Quel changement et quels conseils ? J'ai gagné en ouverture d'esprit. Et partir en stage à l'étranger est une opportunité à saisir en particulier lorsqu’on est à l’école. C'est plus facile. Un stage à l’étranger ne s’oublie jamais.
Timothée GUIOUILLIER et Jean-Max ROYER. Étudiants en BTS ACSE1 au lycée Saint-Clair de Derval
www.lyceesaintclair.fr
Mon stage BTS : l'étape de ma vie
Après 4 mois de stage auprès de jeunes migrants, mon regard sur le monde a changé.
Les MMNA vous connaissez ? Ce sont les Mineurs Migrants Non Accompagnés. J'ai accompagné ce public lors de mon stage de BTS Développement et Animation des Territoires Ruraux. Lorsque j'ai demandé de faire un stage dans cette structure d’accueil, je ne savais pas à quoi m'attendre : les jeunes avaient un peu moins que mon âge et ils avaient traversé des moments terribles. Je me demandais comment j’allais pouvoir les accompagner alors que finalement c'est eux qui auraient plus à m'apprendre.
Un début difficile
A mon arrivée sur le lieu de vie (17 jeunes de 16 à 18 ans) j'ai pris l'initiative, avec l'accord du responsable, de lire les parcours migratoires des jeunes (et tous les drames qui vont avec). Sur le coup, je me suis demandé si j'allais revenir en stage le lendemain car, entre l'émotion liée à la lecture des parcours et des jeunes complètement fermés à mon égard, c’était dur.
Finalement, au bout de deux jours, j'ai proposé une animation et tout a changé. Les jeunes se sont rendu compte que j'étais là pour les accompagner dans une voie de professionnalisation qui leur permettrait de commencer à travailler pour ensuite pouvoir demander leur titre de séjour à leurs 18 ans. Une confiance s'est installée, tout en gardant une posture professionnelle car un simple mot mal interprété peut créer un repli.
Un élément déclencheur
Ce stage a été un élément déclencheur dans ma vie : il m’a permis de relativiser et de prendre de la maturité. Il a changé ma façon de penser et de réagir.Par exemple, lorsqu’on va en ville avec un jeune, qu’on entend des paroles discriminatoires et que la seule personne qui reste calme est le jeune lui-même, cela ne veut pas dire qu'il accepte ce qui se passe mais qu'il a une maturité qui lui permet de faire taire les personnes par son seul silence. Les jeunes viennent en France pour avoir une vie meilleure, s'ils sont là, ce n'est pas anodin. Ils se battent pour avoir un apprentissage, pour qu’à leur majorité ils puissent demander leurs papiers.
J'en retiens ceci : tout seul on avance petit à petit mais tous reliés on avance plus vite. Être solidaire et concerné par ce phénomène migratoire sans avoir de préjugés est très important. Alors oui, aujourd'hui, j’ai le sentiment que ce stage marque une étape décisive dans mon regard sur le monde.
Tiffen BOUHIER. BTS DATR. Lycée Charles Péguy, Gorges-Clisson
www.charles-peguy.net
Rencontre avec l'auteur allemand Hans-Ulrich Treichel
Un projet commun à toute la filière littéraire du lycée la Perverie.
C'est dans le cadre des "Rencontres littéraires allemandes" organisées par Impressions d'Europe que le lycée la Perverie a accueilli le romancier, poète et essayiste allemand Hans-Ulrich Treichel.
Ce fut pour tout l'auditoire, élèves des classes préparatoires littéraires et des première et terminale L, un temps d'échanges et de questions autour de son travail d'écriture et du roman qui l'a fait connaître : Der Verlorene (Le disparu en français), paru en 1998.
Ce roman puise son histoire dans l'enfance de l'auteur, raconte les espoirs déçus, la honte et le sentiment de culpabilité d'une famille face à la possible retrouvaille d'un fils, le frère aîné du narrateur, disparu à l'âge d'un an dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale.
Une rencontre privilégiée
Cette rencontre privilégiée fut l'occasion d'associer différents niveaux et disciplines pour préparer la venue de Hans-Ulrich Treichel. Les germanistes de première année de classe préparatoire ont réfléchi aux questions qu'ils aimeraient poser à l'auteur et mis l'accent sur des passages clé du roman à travers des lectures ciblées.
Les lycéens, de leur côté, ont également préparé des questions pendant le cours de français et participé à un atelier d'écriture afin de réfléchir au travail complexe de l'auteur.
Comprendre l'écriture romanesque
Ce temps fort de partage et de travail collectif a permis aux élèves de découvrir de nombreuses facettes de la création littéraire et de mieux comprendre les mécanismes de l'écriture romanesque.
Pour clôturer cette belle rencontre, chacun a pu faire dédicacer son livre Der Verlorene par l'auteur et aussi protagoniste de l'histoire : Hans-Ulrich Treichel.
Brice MERGNY.
Lettres supérieures.
Lycée la Perverie, Nantes, www.perverie.com

Erasmus fête ses 30 ans !
Vendredi 13 octobre 2017, le lycée Sacré-Cœur de Nantes a dignement célébré les 30 ans du projet Erasmus.
Jeux de piste dans les couloirs de l’établissement à partir de photographies de lieux emblématiques européens, dégustation de plats européens au self, panneaux d’affichage dans le hall de la salle des professeurs afin de pouvoir écrire dans toutes les langues ; challenge photo « Tous en bleu pour l’Erasmus Day ! »...
Ce sont autant de propositions d’activités récréatives et festives destinées à célébrer l’anniversaire de ce projet qui fait tant pour développer les partenariats européens.
Binôme franco-allemand Claire Bitodeau et Tobias Hordan, notre binôme franco-allemand de « services civiques » ainsi que Marie Greliche, notre enthousiaste collègue du Bureau de la Vie Scolaire ont tout mis en œuvre pour faire de cette journée un moment de célébration pour l’ensemble de notre établissement.
De nombreuses classes, guidées efficacement par leurs professeurs, ont également participé activement à cette journée hors norme tout en permettant aux étudiants de BTS et aux élèves du lycée de découvrir concrètement ce qu’est ce projet.
Béatrice HURE-JEANNEROD.
Professeur de Culture Générale
Lycée Sacré-Coeur, Nantes
sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
Stage BTS et rêve d'actions solidaires
L’association Couleur Partage Sud m'a permis de réaliser, à la fois, mon stage de BTS et l’un de mes rêves : partir en mission humanitaire.
L'association Couleur Partage Sud est une association à but non lucratif qui a pour mission de collecter des lunettes et des dons au profit de malvoyants dans les pays en voie de développement.
Les bénévoles de l'association prennent ensuite sur leur temps et leur budget personnels pour partir en missions humanitaires avec des professionnels de l’optique afin de pratiquer des consultations et de distribuer les lunettes.
L’argent collecté en France sert à financer les opérations, par des chirurgiens locaux, de personnes atteintes de cataractes. Une mission
Lors de mon stage de BTS Développement et Animation des territoires Ruraux (DATR), j’ai eu pour mission d'établir une stratégie de communication pour faire connaître l'association créée en 2014.
Pour cela, j'ai réalisé des supports de communication et organisé quatre projets de collecte de fonds en direction de quatre publics différents sur le territoire du vignoble nantais.
Ces événements permettront de financer environ trente opérations. J’ai également collecté des lunettes en mettant en place des partenariats auprès d'opticiens.
"Un de mes rêves"
Je me suis démenée pendant ces quinze semaines de stage car je savais pourquoi je faisais ces actions : aider une population qui n’a pas la chance d’avoir autant de ressources que nous, notamment en matière d'accès aux soins.
Au fil des semaines, par la détermination que j'avais, les bénévoles m’ont proposé de partir avec eux pour leur prochaine mission en Afrique.
J’ai accepté car partir en mission humanitaire, c'était justement l'un de mes rêves !
Au Bénin
Au moment où sortira ce journal, je serai donc à Bopa au Bénin.
Ma mission consiste à faire un reportage sur les missions de l’association sur place pour alimenter son blog et communiquer sur ses actions.
Je pars sur une période de onze jours, à mes frais, avec l'accord de mon lycée.
Je vous donne donc rendez-vous dans le prochain Cap Sup pour un compte-rendu de cette mission humanitaire à laquelle j'aurai participé ! BTS, stage, rêve et solidarité, pour moi tout est lié !
Océane LUNEAU. Étudiante en BTSA DATR, Lycée Charles Péguy, Gorges-Clisson, www.charles-peguy.net