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N° 19 - Juin 2017 | www.charles-peguy.net |
"Valorise ton parcours"
Une soirée pour valoriser l'engagement des élèves aussi bien sur un plan sportif, culturel, ou artistique...
Au lycée Charles Péguy, plusieurs ateliers sont proposés aux élèves chaque année.
Ces ateliers, ponctuels ou réguliers, permettent aux élèves de s'investir sur les temps libres et de s'engager.
Mettre les élèves en projet
Que ce soit dans le cadre de l'association sportive, de l'international, ou organisation d'évènements ou suivi d'ateliers comme la langue des signes, la musculation, la musique, le journal, les élèves se découvrent, parfois se dépassent et prennent des responsabilités.
Tout cet investissement en dehors des heures de cours est valorisé.
Plus de 200 élèves ont reçu une attestation, qui peut toujours être glissée dans un CV.
Cette année, nous avons aussi valorisé des élèves qui ont participé au concours de cartographie et à celui de la jeunesse pour l'égalité avec leur professuer d'histoire géographie (Antoine Baronnet et Chrisophe Tharreau).
Nous avons terminé par le coup de coeur : Juliette Collignon qui depuis sa seconde participe pleinement à la vie du lycée.
Bravo à tous pour votre investissement.
Julie
Je suis actuellement, assistante de vie scolaire. Ce travail est très diversifié : administratif, surveillance, communication et projets.
Ce que j’aime par-dessus tout, c’est le relationnel avec les élèves, leur apporter mon expérience et les aider à éclaircir leur projet personnel et professionnel.
Je suis référente de deux classes de Première et trois de Terminale. Nous avons une relation plus privilégiée avec eux.
J’anime des ateliers le mercredi après-midi auprès des internes, ma spécialité est le fitness et la musculation ainsi je leur propose des petits programmes musculation, et une fois par semaine le midi pour les élèves volontaires.
J’ai pu mettre en œuvre mes compétences : travail en équipe, cohésion de groupe, autonomie, partage de connaissances…
Le contact avec les équipes (administrative, direction, technique) s’est très vite installé.
Jérémy
C’est la première fois que je travaille avec des jeunes dans un lycée. Beaucoup d’appréhension au départ car je ne savais pas forcément comment me placer vis-à-vis des élèves, attitude adoptée face à eux, et finalement , c'est un public respectueux ce qui favorise fortement l’intégration.
Notre travail consiste à encadrer les élèves durant la journée. Etre référent de certaines classes permet une relation privilégiée, nous assistons aux conseils de classe et nous créons un lien avec les professeurs.
Je m’occupe de l’internat le mercredi après-midi et je vois les élèves sous un angle différent du cadre scolaire et les échanges sont différents lors de ces moments.
Personnellement, cette année m’a permis de beaucoup apprendre sur moi-même, comment me comporter face à des adolescents. Les plus anciens m’ont également donné énormément de conseils.
Ludovic
Le début d’année a été un peu stressant compte tenu de la grandeur du lycée mais grâce à l'aide de l’équipe de vie scolaire ainsi que le personnel encadrant, j’ai pu surmonter ces quelques difficultés .
Je suis référent des classes de première, et j’essaie aussi de créer du lien avec eux pour instaurer une certaine confiance.
Je gère la partie « musicale » de l’animation, le club musique est ouvert à tous, un concert de Noël et la semaine des talents sont des temps forts de l'année. Lors de cette semaine les élèves présentent chants, danses, sports, arts, culture... Les élèves sont toujours nombreux à participer et donc c'est avec beaucoup de plaisir que je m'investis pour ces projets, cela donne un valeur à mon travail.
A l'issue de cette année, j'ai su trouver mes marques, et je peux dire que je donne du sens à mon métier d'éducateur.
Sarah
Ma première année au sein du lycée Charles Péguy touche à sa fin. Ce fût une année riche en découverte de travail et de personnes.
Mon poste me plait beaucoup car il est polyvalent, je travaille avec l'équipe de vie scolaire et l'équipe communication ( facebook) et je donne 3 fois par semaine des cours de langue des signes aux élèves. C'est un nouvel atelier que l'on propose depuis cette année aux élèves volontaires qui souhaitent soit découvrir par simple curiosité cette langue ou bien pour ceux qui souhaitent en faire un atout pour leur futur projet professionnel.
Cette année, je suis la référente des 2ndes A, B, 2Vente et les 1ère Vente. L'entente est bonne et nous nous découvrons au fur et à mesure tout comme avec l'équipe pédagogique.
Je serai plus à l'aise pour la prochaine rentrée car j'aimerai proposer différents projets au sein du lycée Charles Péguy.
Isabelle
J’ai toujours aimé travailler auprès des ados et ce travail me permet ce contact privilégié. Certes, je ne connais pas tous les noms, mais j’essaie de les retenir et cela permet d’instaurer un dialogue.
Mon travail consiste à vérifier les absences, à recevoir les appels de leur enfant, à rentrer tout ceci sur informatique, à gérer le pôle santé et à répondre aux multiples questions des élèves.
Christine Cauchon et Sylvie Moreau (responsables de Vie Scolaire) ont su me former et m’épauler, je peux compter sur elles pour croiser les nombreuses informations.Je peux m'appuyer sur le reste de l’équipe d’éducateurs composée de profils très différents où règne la convivialité et l'entraide . Même au sein des différents services administratifs, on ressent ce goût de l’humain et des valeurs saines Je viens avec plaisir au travail et ça c’est une chance.
Débranchez cet été
L’été arrive et pour beaucoup d’entre nous, nous aurons quelques jours de vacances.
Mais que sont vraiment les vacances ?
Les vacances désignent, à l'origine, la période pendant laquelle les élèves cessent leurs études, puis les jours de vacances désignent les jours où l'on interrompt le travail pour se détendre. Les vacances sont alors considérées comme un temps de repos.
Mais qu’est-ce que le repos ?
Le repos c’est parfois ne rien faire, ou bien au contraire faire du sport, ou partir de chez soi, se libérer des tâches quotidiennes, ne plus être connecté, retrouver des amis, partager des instants en famille, dormir ! Pour d’autres c’est continuer à travailler mais différemment.
Les rythmes bercent notre quotidien comme celui du jour ou de la nuit, celui des saisons, celui du cœur et de la respiration. Les rythmes que nous donnons à l’apprentissage vont permettre le développement du savoir, de l’intelligence mais aussi de l’affectivité. Changer de rythme pour « recharger les batteries ».
Nos lycéens vont avoir besoin de batteries pleines à la rentrée pour poursuivre leur développement, pour tout simplement développer la notion d’efforts, avoir l’envie de s’accrocher, « de se battre » pour réussir. Alors, quelles que soient les vacances que vous passerez, elles doivent permettre à chacun d’entre nous de revenir avec une belle énergie et de l’enthousiasme.
Je vous les souhaite belles, reposantes et réparatrices.
Très bel été à toutes et tous.
Sylvain OLIVIER
Directeur
Á noter dates des vacances :
Toussaint :
20 octobre au 6 novembre
Noël :
23 décembre au 8 janvier
Hiver :
24 février au 12 mars
Printemps :
21 avril au 7 mai

Après un an de pratique en vie scolaire...
Solenn en immersion à Waldshut
Solenn est partie en même temps que Cyrielle en Allemagne, dans le cadre du partenariat avec le lycée Justus Liebig Shule. Un partenariat qui exite depuis 1989.
Pourquoi ce choix de partir en Allemagne 15 jours en immersion ? J'ai toujours aimé l'Allemand, je trouve que l'Allemagne est un pays magnifique et j'ai voulu le découvrir un peu plus. J'adore voyager, seule de préférence pour mieux s'insérer dans la culture et gagner en indépendance. Partir deux semaines en Allemagne en immersion m'a paru une belle expérience et je savais que je n'aurais pas cette occasion tous les ans, alors j'ai sauté le pas.
Avais tu des appréhensions avant de partir si oui lesquelles ?
J'appréhendais de rencontrer ma famille d'accueil, et de savoir si j'allais m'entendre avec ma correspondante. Je pense que personne ne part sans appréhension, ça serait trop facile sinon !
Parles nous de ton accueil en famille et au lycée
Quand je suis arrivée dans ma famille le premier soir, je me suis demandée ce que je faisais là et comment j'allais pouvoir rester deux semaines. Ma famille d'accueil était adorable, mais je ne voyais pas souvent les parents et je n'étais pas très proche de ma correspondante. Les habitudes de ma famille d'accueil étaient différentes de ma famille. Je n'ai pas mangé de légumes pendant deux semaines, ni de pain non plus. C'était assez difficile. Autant dire que la baguette et le camembert m'ont énormément manqué ! Pour aller au lycée, on se levait à 6h, on prenait le train à 7h, les cours commençait à 8h. Chaque cours dure 1h30, c'est vraiment très long ! Là-bas, on finit les cours à 13h ou à 15h, et pendant les pauses, les allemands mangent tout le temps. Le système scolaire allemand est très différent du système français, et c'est perturbant au début.
Dans l'ensemble, les allemands sont très ouverts que ce soit au lycée ou même dans la rue.
Est ce que tu conseillerais à des élèves de partir ?
Oui, je conseille à tous ceux qui veulent de partir ! On dit que les voyages forment la jeunesse, il n'y a rien de plus vrai. Je trouve ça très important de voyager, ça ouvre l'esprit à d'autres cultures, d'autres sociétés. Cela permet aussi de prendre confiance en soi, de devenir indépendant(e) et d'apprendre à gérer des situations imprévues (qui arrivent tout le temps à l'étranger). Et puis voyager, c'est aussi faire des rencontres, souvent très courtes, mais qui marquent énormément. Voyager en immersion, c'est aussi bien pour s'éloigner de papa-maman, des petites habitudes dans lesquelles on s'embourbe, et deux semaines ce n'est pas long, ça n'engage à rien !
Au final, deux semaines ce n'est pas assez long, car c'est quand on commence à prendre ses habitudes et à comprendre vraiment les gens qu'on doit rentrer chez soi.
Solenn Le Moing
Première
Cyrielle à Waldshut en Allemagne
Cyrielle a choisi de partir deux semaines en Allemagne pour améliorer son allemand et s'ouvrir à une nouvelle culture. Elle raconte .
Mon appréhension était de partir deux semaines toute seule dans un pays étranger.,c'est-à- dire de ne pas m'entendre avec ma famille, de me sentir exclue...
Ma famille était très sympa, nous parlions de tout et de rien. Les lycéens étaient très accueillants, je me suis directement sentie à l'aise. On me faisait toujours participer.
Je conseille fortement aux lycéens de partir s'ils le peuvent.
Grâce à cette expérience j'ai gagné en autonomie. J'ai rencontré de nombreuses personnes exceptionnelles. J'ai découvert une nouvelle culture.
Bref que des retours positifs sur cette expérience et à refaire, je repartirais mais plus longtemps.
Cyrielle GALLAIS
Première
Les littéraires en Andalousie
Du 24 avril au 1er mai, des hispanisants de premières L ont eu l’opportunité de faire un échange linguistique à Aguadulce (Espagne).
Quelques semaines après que les élèves espagnols soient venus en France, ce fût à notre tour de leur rendre visite Le but premier de l’échange était de parler espagnol avec nos correspondants, mais aussi de partager leur manière de vivre. Dès le matin de notre arrivée, nous avons suivi une journée de cours particulière. En effet, les élèves pouvaient bavarder, bouger et sortir quand ils le souhaitaient, et cela ne semblait pas déranger leurs professeurs. L’autre but du voyage était de visiter la région : d'Almeria en passant par Cabo de Gata et Grenade, les magnifiques paysages d’Andalousie s’offraient à nos yeux. Qui plus est, ces moments passés avec des inconnus devenus des amis proches en une semaine subsisteront dans nos mémoires d'élèves ; leurs maisons sont un deuxième chez-soi, et inversement. Avant le départ, nous avions commencé à prendre l’habitude de se retrouver tous ensemble tous les soirs, à vivre dans les rues, etc. Cependant, toutes les bonnes choses ont une fin, il a fallu repartir. Nous sommes partis ravis pour revenir avec des images inoubliables.
Servane Lucas
Première
Une nouveauté avec EUROPESHIRE
Cinquante élèves de seconde euro partis aux Pays Bas : deux séjours d'une semaine.
Nous sommes partis en tant qu'élèves de la classe européenne mais au fil du séjour nous avons, certes, appris l'anglais pour communiquer avec d'autres nationalités comme avec des Lettoniens, des Roumains ou encore des Turcs. Il fallait entrer en contact avec eux, nous avons dû dépasser nos appréhensions et finalement tout s'est très bien passé mais c'est surtout le contact humain qui reste le plus extraordinaire. Ce que les autres nationalités ont retenu de ce voyage c'est la richesse culturelle, on avait de multiples activités linguistiques mais aussi artistiques, deux heure par jour, plus des activités le soir, où nous faisions du sport.
Perfectionner son anglais
Nous sommes partis pour perfectionner l'anglais mais on a surtout crée un lien important avec certaines personnes des autres pays. On est toujours en contact, pour beaucoup, avec les autres élèves via les réseaux sociaux. Donc on a bien evidemment perfectionné notre anglais mais aussi crée un véritable cercle d'amis.
Manon Issautier
Seconde
Un nouveau partenariat avec l'Irlande
Il est reconduit pour la rentrée 2018.
Grâce à un parent d'élève, Monsieur Duffy, nous avons établi cette année un contact avec une école de filles en Irlande.
C'est ainsi que neuf élèves de première sont parties en immersion, quinze jours, pendant les vacances de la Toussaint et nous avons accueilli neuf élèves irlandaises fin mars début avril.
Seulement 10 places
L'échange a été très appécié aussi bien pour nos élèves que pour les élèves irlandaises. Avec Sinead Glascott, enseignante au lycée irlandais, nous avons décidé de reconduire cette formule auprès des secondes euros pour la rentrée 2018. L'année prochaine nous savons déjà qu'il yaura dix places disponibles seulement.
Nous sommes enchantés de ce partenariat et allons faire en sorte qu'il perdure.
Christine Cauchon
Adjointe à la vie scolaire et à l'international
Pourquoi faire un bol de riz ?
ll faut donner sans se souvenir et recevoir sans oublier ...Simple symbole de générosité et de solidarité.
Aux quatre coins du monde, des terres africaines aux petites îles perdues,
Du fin fond de l'Asie au Chili, de la Tour Eiffel à vos rues,
Il y a des humains, des hommes, des femmes, des enfants ... Des vies.
Tant de gens nés sans l'avoir demandé.
Il y a des problèmes que nous devrions prendre plus à coeur,
La famine, la pauvreté, l'isolement, la tristesse et la peur,
Le chômage, l'analphabétisation, les guerres et les combats,
Sont des horreurs qui nous entourent, qui nous guettent, qui nous atteignent, ou pas.
Mais que ces inégalités fassent ou non partie de notre histoire,
Nous ne sommes pas seuls face à nos vies et nos destins aléatoires.
Nous avons nos familles, nos amis, et pourquoi pas des inconnus ?
S'engager dans l'humanitaire, ce n'est pas vider son porte-feuille.
C'est découvrir d'autres horizons...
Nous revenons sûrement beaucoup plus forts d'un voyage sur le terrain,
Plus proche des regards pleins d'espoir appartenant aux gens qui n'ont rien.
Mais gardez en tête que le voyage peut s'effectuer mentalement,
Le projet Kotacodi, cette année tourné vers l'éducation.
Ce sont les frères africains de Saint Gabriel qui la dirigent,
C'est en Guinée que les élèves verront les résultats du prodige.
Manger du riz avec de la sauce tomate, ce n'est peut-être pas,
ce que vous préférez, mais dites-vous bien que certains n'y ont pas droit.
SANSON Trifina
Première
Conférence sur la jeunesse
Nous avons reçu Pascal De Lima, économiste et professeur à Sciences-Po, qui nous a fait une conférence sur “Quelle politique pour la jeunesse en temps de crise ?"
Déjà Platon disait que “Les jeunes d’aujourd’hui aiment le luxe. Ils sont mal élevés, méprisent l’autorité, n’ont aucun respect pour leurs aînés et bavardent au lieu de travailler”. La réalité est plus complexe car comme dirait le sociologue Pierre Bourdieu, “la jeunesse n’est qu’un mot”. En effet, il est difficile de déterminer à partir de quel moment nous sommes jeunes et à partir de quel moment nous sommes vieux. Le 6 avril dernier, nous avons reçu Pascal De Lima, économiste et professeur à Sciences-Po, qui nous a fait une conférence sur “Quelle politique pour la jeunesse en temps de crise ?
La jeunesse est un moment phare de la vie où l’individu s’autonomise et prend conscience de son environnement.
Changer le système
Nous constatons que l’Éducation nationale peine à intégrer les jeunes dans le marché de l’emploi et dans le “marché des études”. Beaucoup de jeunes sortent du système sans qualifications ou sous-qualifiés. Il y a un phénomène d’inflation des diplômes, la multiplication des types de bac a conduit à dévaloriser le bac.. Avant, avoir le bac vous assurait de devenir cadre, aujourd’hui, on voit des bac+5 occupés des emplois précaires.
Face à ce constat plutôt pessimiste, nous sommes en droit de nous dire que la génération Y est la génération “mal-barrée” ou sacrifiée. Il existe néanmoins des solutions qui s’offrent à nous. Quelle politique pour cette jeunesse en temps de crise ?
Il est intéressant de voir que les politiques continuent de s’adresser aux jeunes malgré le taux d’abstention. Une politique de formation initiale (c’est-à-dire l’éducation nationale) doit subir de profonds changements. Il faut essayer de se tourner un maximum vers le numérique et avoir une ouverture vers l’international tout en favorisant l’égalité des chances. Le système universitaire et les formations professionnelles doivent aussi s’adapter à ces changements structurels, aux mutations du monde de l’entreprise. Ce sont des grandes lignes qui permettront de remettre la jeunesse en confiance.
Julien Papin
Terminale
Semaine des jeux
Le Bubble Bump, un nom et un jeu intrigant. Le principe de cette activité consiste à jouer à du « presque football » avec « presque tout le corps » protégé dans une bulle remplie d’air. Éclate, fous rires, chocs sans risque, sport, fun, loisirs sont les maîtres mots de ce sport ludique. Tout âge, tout sexe, sportif ou non, tout le monde peut essayer le Bubble Bump. Le mardi 28 Mars, les lycéens ont eu la possibilité de tester cette activité. On a pu alors leur demander leur ressenti et les points positifs et négatifs de cette activité. Ils ont beaucoup ont apprécié y participer. « A refaire » voici ce que nous ont dit les élèves interviewés qui pour la plupart n'avaient jamais essayé auparavant.
Le Bubble Bump fait partie d'une des nombreuses activités proposées lors de la semaine des jeux qui s'est déroulée du 27 au 31 Mars. Les élèves ont pu danser sur les musiques endiablées de Just Dance, résoudre des énigmes durant toute la semaine tels que Sherlock Holmes.
Grâce à ces activités et aux organisateurs l'amusement était au rendez-vous, et cela a permis aux lycéens de découvrir de nouveaux jeux, en tous cas la semaine des jeux sera au rendez-vous l'année prochaine.
Lorène MUSSET et Mathilde LEROUX
Premières
Semaine de la Sécurité
Définir et valider les actions de prévention.
Dans le cadre du projet éducatif d’établissement, un comité d’éducation santé citoyenneté se réunit régulièrement.
Voici le thème retenu cette année : « se mettre en sécurité »
Une semaine a donc été organisée avec des ateliers. Ces ateliers ont tous traité de la même posture à acquérir « se mettre en sécurité », et décliné sur des activités présentes ou à venir dans la vie des jeunes.
Des intervenants extérieurs
L’implication des jeunes a été importante tant dans l’écoute que dans la participation. Parmi ces ateliers, la venue de l’auto-école a été un franc succès.
Conduire pour la première fois, conduire avec un port de lunettes simulant un taux d’alcoolémie, tenter d’envoyer un SMS.
Guillaume DORAI (LOGIN), en veille sur les réseaux sociaux a réussi à déstabiliser les jeunes sur leur pratique et a su avec simplicité aborder des sujets délicats autour de l’image de soi, l’absence de maîtrise de l’information.
Christophe CHABOT, éducateur au centre de rééducation du CHU de Nantes a confronté, avec humour et gravité, les jeunes à des questions douloureuses autour des atteintes corporelles suite à des situations d’accidents liés à la prise de produits.
Une semaine à refaire
A la suite, la passation d’un questionnaire de satisfaction permet de dire aujourd’hui que la quasi- totalité des jeunes se dit très satisfait de cette semaine, les avis réservés sont liés à la frustration de ne pas avoir participé à tous les ateliers. Plutôt bon signe !
Les expressions retenues par les jeunes à l’issue de cette action :Se responsabiliser, préjudice pour l'avenir, réfléchir.
Laurence Alberteau
Adjointe de direction à la santé, prévention et éducation
Marie Bichon
Je suis chargée du développement de l’activité équestre au lycée Charles Péguy et au Pôle équestre du Bois Tillac.
* Cours d’équitation
* Accueil de groupes
* Communication
* Participer aux évènementiels
* Développement des formations.
Passionnée par le cheval depuis mon enfance, j’ai décidé d’en faire mon métier.
Pour cela, j’ai intégré le Bois Tillac en 2009 et j'ai obtenu un Bac Pro EVC (élevage et valorisation du cheval).
J’ai ensuite été sélectionnée pour la formation initiale à l’école nationale d’équitation de Saumur.
Par la suite, j'ai validé mon DESJEPS (diplôme d’état supérieur de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport) équitation et ma licence professionnelle management des établissements équestres.
Marie Bichon
Concours Modèles et Allures
Le jeudi 6 avril 2017, le Pôle équestre du Bois Tillac a organisé le concours Modèles et Allures. Cette compétition a eu lieu entre de jeunes chevaux de 3 ans qui étaient jugés sur le modèle ainsi que sur la qualité de leur saut en liberté. Dans l’après-midi, les jeunes qui étaient en charge d’un jeune cheval ont pu le présenter et monter devant le public (commission achat, armée, propriétaires, éleveurs, cavaliers).
Les chevaux présentés ont été préalablement débourrés par l’ensemble des élèves de la filière CGEH sur le Pôle équestre du Bois Tillac.
Les photos que nous vous proposons viennent d’une ancienne élève Charlotte Aubry aujourd’hui photographe professionnelle spécialisée dans la photographie équestre :
http://photocharlotteaubry.free.fr/
Marie Bichon
La 3ème étape de Grand National du Lion d’Angers
Un des événements majeurs pour le lycée du Bois Tillac
La 3ème étape du Grand National s’est déroulée du 18 au 21 mai au Lion d’Angers.
Les élèves de Terminale CGEH ainsi que de nombreux bénévoles ont organisé l’événement et ont pu être en première loge en installant le parcours avec le chef de piste.
Cette compétition regroupe trois épreuves.
La première est le dressage. La deuxième, le cross, qui est bien souvent la plus spectaculaire car les chevaux doivent enchaîner une vingtaine d’obstacles naturels dans un temps donné. Nos élèves ont pu être secrétaire et commissaire et ainsi signaler au juge si les obstacles étaient correctement franchis.
Enfin la dernière épreuve est le saut d’obstacles. Une quinzaine de sauts mobiles sont à enchaîner sans faire tomber les barres posées sur des supports sous peine de pénalité.
Lors de ce concours des couples cavalier/cheval de niveau amateur 1 jusqu’à pro élite ont pu confronter leur niveau dans un cadre magnifique.
Cette semaine a permis de faire de belles rencontres avec des cavaliers de haut niveau et des organisateurs très compétents ainsi que des juges internationaux, chef de piste et techniciens.
L’Association Marie Rêve et Espoir (réalisation de rêves d'enfants malades) était présente sur l’événement.
Les enfants ont participé à des animations et ont pu rencontrer des cavaliers professionnels des quatre coins du monde.
Marie Bichon
Jumping International de la Baule
Les élèves de première CGEH étaient présents sur le CSIO de la Baule.
Un rendez-vous de l’élite mondiale du saut d’obstacles, qui s’est tenu du 11 au 14 mai 2017, au Stade François André.
Durant 7 jours, les élèves étaient chargés de l'organisation de cet événement qui attire chaque année les plus grands cavaliers de CSO de différents horizons et des milliers de spectateurs et téléspectateurs.
Du haut niveau
La Baule a été une nouvelle fois le théâtre de confrontations sportives du plus haut niveau !
Elle a accueilli à la fois le mythique CSIO5 de France et sa prestigieuse Coupe des Nations FEI unique en France où les tricolores ont su briller grâce à un public enthousiaste.
Les élèves acteurs
Nos classes ont pu participer à l’événement, aussi bien sur le terrain du concours qu'au niveau de l’accueil du public.
Nous avons également eu la chance de revoir des anciens élèves qui aujourd’hui ont monté leur propre société commerciale ou de service dans la filière cheval.
Certains étaient cavalier durant l’événement.
Maintenant rendez-vous l'année prochaine.
Marie Bichon
S'orienter vers le cinéma
Suite à divers entretiens, voici les meilleurs conseils que vous pourrez appliquer afin d'augmenter vos chances d'entrer dans l'école de votre choix.
Il est évident que pour se préparer au mieux il faut préparer un lettre de motivation et un CV digne de ce nom.
Ces éléments ne sont en aucun cas à négliger sous peine de ne pas être retenu pour passer un entretien.
Une fois cette étape réalisée avec sérieux et votre rendez-vous programmé, il va falloir faire bonne impression.
Pour cela, n'ayez pas peur de vous habiller comme pour les grandes occasions. La chemise et le pantalon habillés vous sont fortement recommandés et montrera que vous soignez votre apparence.
Mais cela ne suffit bien évidemment pas.
Mériter sa place
Malgré votre travail préalable, il va falloir mettre en avant tout ce pour quoi vous estimez mériter votre place.
Sans vous montrer prétentieux, exposer vos atouts qui se rapportent à l'enseignement de votre école.
Vous pouvez également, et je vous le recommande fortement, apporter vos plus belles réalisations, vos meilleurs projets afin d'appuyer tous vos dires.
Faites tout votre possible pour rester le plus humble possible. En étant courtois et souriant vous allez mettre la personne avec qui vous échangez dans une meilleure atmosphère et vous augmenterez vos chances d'éveiller son intérêt.
Il ne me reste qu'à vous souhaiter bonne chance !
Kilian Tiphaigne
Terminale
Conseils pour la préparation du BAC
Certains professeurs prodiguent leurs conseils avant le BAC, deux élèves se livrent sur leurs révisions.
L'épreuve de philosophie est une épreuve écrite d'une durée de quatre heures, d'un coefficient 2, 3, 4 ou 7 selon la série.
Vous aurez à choisir entre deux sujets de dissertation et un sujet texte. Chacun de ces exercices requiert des qualités et un entraînement spécifique.
La dissertation nécessite des aptitudes et un entraînement à la rédaction, au raisonnement, à la démonstration et à la réfutation.
Le texte présuppose que l'on soit capable de "se glisser dans la peau" de l'auteur, c'est-à-dire de comprendre et d'expliquer non seulement sa thèse, mais aussi pourquoi il a choisi de l'exprimer de cette manière, dans cet ordre et avec ces mots. Mais aussi de prendre du recul par rapport à la pensée de l'auteur, afin d'adopter un point de vue plus complet voire plus nuancé dans une partie critique.
Certes, apprendre et réciter des doctrines n'est pas penser par soi-seul.
Mais on ne pense pas à partir de rien.
Les cours suivis dans l'année, des habitudes de lecture et de travail régulier sont là pour vous aider à comprendre le sens et la portée des problèmes et pour vous donner le jour de l'examen les moyens de les traiter par vous-même.
Léonard Roux De Reilhac
Prof de Philo
S'organiser en établissant un planning de révision.
Ceci permet d'anticiper et évite de travailler dans l'urgence (car il y a aussi des épreuves orales, plus génératrices de stress que les écrits) de faire des fiches de révision avec les notions essentielles ; d'accorder son rythme de travail avec son rythme biologique (certains sont du soir, d'autres du matin) de faire aussi des pauses (sport...) pour mieux se remettre au travail ; d'être à 100 % au moment des épreuves.
Nathalie Briand
Prof éco
Avant l'épreuve : lire ou écouter la langue d'origine.
Le jour de l'épreuve écrite : relire plusieurs fois les documents de compréhension, être attentif aux consignes et en expression, se relire en connaissant ses erreurs récurrentes et en ciblant donc la relecture.Le jour de l'épreuve orale : faire un brouillon clair et synthétique pour parler "librement", ne pas s'enfermer dans le par coeur, pour l'entretien développer le plus possible vos réponses.
Isabelle Richard Supiot
Prof d'espagnol
Le BAC, une épreuve
L'aboutissement de trois années de lycée se profile pour nos terminales. À l'approche de cette épreuve mythique, nous sommes allés à la rencontre de Paloma Déramé et Julien Papin.
Les épreuves se rapprochent, êtes-vous un peu tendus ?
J : Non pas du tout ! Le BAC, désormais, c'est une formalité. Si je peux donner un conseil aux autres, c'est de travailler au maximum avant et d'y aller cool !
P : Je suis d'accord. Ce n'est pas trop stressant puis tout dépend de nous, c'est notre avenir !
Vous avez déjà commencé à réviser ?
J : Oui bien sûr ! La clé de la réussite ; c'est le travail continu. Il ne faut surtout pas réviser au dernier moment.
P : Moi aussi. J'ai commencé à réviser depuis le deuxième bac blanc.
Comment organisez-vous vos révisions ?
J : En ce qui me concerne, je ne révise pas beaucoup le soir car je ne suis pas hyper productif ! Je travaille beaucoup mieux pendant le week-end. Je segmente mon travail et je me fixe des horaires pour chaque matière.
P : Moi c'est l'inverse ! Je travaille mieux le soir que le week-end. J'y passe entre une heure et une heure et demi par soirée sur des fréquences de vingt minutes. Je révise une matière pendant vingt minutes, je fais une pause de cinq minutes et j'enchaîne sur une matière différente. Le week-end c'est plus cool, je révise ce que je préfère ! Et personnellement, je suis une grande adepte des fiches de révisions.
Visez-vous la mention ?
J : Evidemment, je l'ai obtenue avec le bac blanc et je compte bien réitérer cet exploit !
P : Oui, celle que je mérite, là est toute la question !
Propos recueillis par Hugo Benoit
Terminale
Le bac, côté administratif
Le lycée Aymé Césaire et le lycée Charles Péguy travaillent en équipe pour les préparatifs du bac général et technologique.
Depuis le mois d'avril, Virginie Gentils, adjointe de direction au lycée Aymée Césaire, Laurent Caillaud et Christine Cauchon, adjoints au Lycée Charles Péguy préparent la partie administrative du bac.
Le bac en chirffres c'est : 523 élèves de terminale générale - 603 élèves de première générale - 250 élèves de bac Professionnel - Plus de 300 surveillances - 10 personnes au secrétarait - 10 personnes en vie scolaire
Une équipe attentionnée afin que les élèves passent leur examen dans les meilleures conditions.
Quel futur pour les bibliothèques ?
Amélie Bonnet, responsable depuis sept ans de la médiathèque "Au fil des mots" située à Gorges, nous livre son expérience sur son métier qui ne cesse d'évoluer.
Le métier de bibliothécaire se démarque par sa variété, ce qui fait que chaque journée de travail est une expérience nouvelle qui fait apparaître de nouvelles attentes et demandes de la part des usagers. C'est un métier ouvert à tous les types de publics : du bébé jusqu'à la personne âgée, et donc un partage constant avec des clientèles différentes. C'est cet enrichissement qui plaît à Amélie Bonnet :
"On ne choisit pas les livres POUR le public, mais AVEC le public, toujours en gardant à l’esprit que ce n’est pas MA bibliothèque mais que c’est NOTRE bibliothèque, et que sans le public, les bibliothécaires seraient bien tristes."A ce jour, nous vivons dans une période de révolution numérique qui ne cesse de prendre de l'ampleur et qui influence notamment la chaîne du livre et l'activité des librairies et bibliothèques. Elle permet le développement de nouvelles activités liées au livre et au multimédia comme des ateliers vidéo, numériques et artistiques. Cependant, elle a un coût et toutes les bibliothèques ne peuvent pas se permettre de se moderniser. La survie des bibliothèques dépend de leur adaptation à cette révolution. La vision du métier de bibliothécaire doit donc changer avec le temps et par conséquent se détacher progressivement de son support de base : le livre papier.
Camille Naud
Seconde
Dark Matter
Une série peu connue mais qui vaut un détour intergalactique.
Un, Deux, Trois, Quatre, Cinq et Six. Non, ce n'est pas une mauvaise blague, mais ce sont bien les prénoms des protagonistes principaux. Ces personnages se réveillent un jour dans un vaisseau, la mémoire effacée et ne se rappelant de rien.
Ils vont se découvrir des aptitudes incroyables pour le combat ou encore le pilotage.
Ils affronteront tour à tour leurs identités respectives.
Ils seront tout au long de leurs aventures accompagnés par un androïde à l'apparence humaine que l'on peut associer à l'âme de leur vaisseau.
Je conseille vivement cette série à tous les fans de science-fiction. Elle n'est pas très violente même s'il y a des scènes de combats, elles ne sont pratiquement jamais sanglantes (en deux saisons on ne peut noter que 2 ou 3 épisodes ou l'on voit des scènes pouvant être choquantes).
Dark Matter va bientôt accueillir une 3ème saison, que j'attends personnellement avec impatience, car le suspens de cette série et le mystère lié à chaque personnage m'a happée dans cet univers futuriste et post- apocalyptique.
Julie Meunier
Première
Attention !
Il y a Dark Matter et Dark Matter
Dark Matter se traduit par matière sombre.
Mais qu’est-ce que la matière sombre ?
Si vous alliez voir sur internet ce qu’est cette matière…
De plus, Julie vient de souligner l’existence, sous ce titre, d’une série télévisée canadienne de science-fiction. Mais, attention ! Dark Matter est aussi le titre d’un film long métrage, d’un album rock et d’une chanson !
C’est ce que nous avons découvert sur le Net.
Ainsi, Dark Matter est un film américain réalisé par Chen Shi-Zheng, un album du groupe britannique de rock néo-progressif IQ et une chanson de Björk tirée de l’abum Biophilia (2011)
Valérian, pari osé de Besson
Le 27 Juillet sortira le film européen le plus ambitieux, Valérian et la Cité des Milles Planètes, l’adaptation de la BD culte de Mézières par Luc Besson.
De Star Wars au récent Gardiens de la Galaxie, 40 ans de films et de BD de science-fiction empruntent plus ou moins à Valérian et Laureline. Luc Besson doit donc éviter de faire un film trop "banal".
Le réalisateur n’en est pas à son premier pari osé. Dès ses premiers films, il prend le parti de caster des acteurs alors inconnu tels que Jean Reno, Nathalie Portman, Marion Cotillard ou Milla Jovovich. Son autre pari fût de faire rentrer la France dans le marché cinématographique international, et aussi arrêter la fuite des talents pour avoir une grande carrière vers Hollywood.
La France un pays de cinéma
Avec Europacorp et la Cité du Cinéma, qui accueille de nombreux tournages, il veut faire de la France un pays de cinéma, ce qu’il arrive à faire puisque qu’aujourd’hui, c' est un des pays où il y a le plus de tournages.
Aujourd’hui, alors qu’il est reconnu internationalement avec des films comme Le Grand Bleu, le Cinquième Élément ou plus récemment Lucy, le réalisateur s’attaque à son plus grand défi. Un défi à 170 millions d’euros, tourné et monté intégralement en France, dans les studios de la Cité du Cinéma, embauchant plus de 1000 personnes.
Succès ou échec
Ce pari sera soit couronné de succès, et permettra à la France d’entrer réellement dans le marché du cinéma, et de concurrencer potentiellement Hollywood, soit un échec qui risque de faire couler Europacorp et une partie du cinéma français.
Raphaël Caillet-Motte
Terminale
Au plaisir de se croiser dans les salles de cinéma !
Mes Hommes
"Mes Hommes" est une autobiographie de Malika Mokeddem, une femme avec un fort caractère et une énorme volonté de se battre pour ce qu'elle veut.
Sans une pensée envers l'abandon , Malika née dans le désert finit par devenir un médecin de haut niveau. Dans ce livre elle nous raconte ses efforts parcourus malgré son destin et son manque d'amour paternel, les moments de joie et de pleurs gravés au plus profond de sa mémoire.
D'un point de vue exterieur elle a tout ce qu'on peut souhaiter d'avoir, cependant Malika ne se sent pas heureuse. Elle se renferme souvent sur elle-même et n'arrive pas à apprécier ce qu'elle a.C'est une femme avec une énorme intelligence et beaucoup de valeurs, elle ne veut pas revenir en arrière et souhaite être libre. Une certaine habitude de vouloir avoir toujours plus et cela empêche Malika d'avancer avec le sourire.
Je trouve que ce livre nous apprend à voir le bonheur dans tout ce qui nous entoure, une opportunité que la plupart n'ont pas eu la chance d'avoir. Voilà pourquoi il est intéressant à lire.
Anna KOROLEVA
Seconde
L’auteure
Malika Mokeddem est médecin néphrologue. Elle s’est spécialisée dans la néphrologie après des études à Oran puis à Paris. Après s’être installée à Montpellier, elle mis un terme à l'exercice de sa professionen 1985 pour se consacrer à la littérature. Un choix que ne regrette pas du tout cette femme de lettres qui a obtenu le prix Littré, en 1991 pour Les hommes qui marchent (Éditions Ramsey). Elle est lauréate de divers autres prix littéraires.
Le livre
Mes hommes publié en mai 2005, chez Grasset (306 pages, 19 € 30) et également aux éditions Le livre de poche.
Pirates des Caraïbes
Dans le registre des films épiques, « Pirates des Caraïbes » est clairement devenu une référence !
Avec un mélange bien dosé entre humour, action et fantastique, les films de la licence sont toujours très attendus sur grand écran !
Cette année arrive le cinquième et peut- être dernier volet de la saga.
Ce dernier opus est d’autant plus attendu, que depuis plusieurs années, le grand écran est trusté par les héros de comics-books. Il est plus que temps de revenir notre anti-héros mythique favori.
Dans « Pirates des Caraïbes la vengeance de Salazar », nous en découvrirons plus sur le passe de Sparrow qui, une fois de plus , a l’art de s’attirer les pires ennuis du monde. Nous pourrons y retrouver tous nos personnages préférés ainsi que de nouveaux venus.
Il est à espérer que ce dernier volet ne soit pas le film de trop pour la saga. Saura-t-il battre tous les records des précédents, que ce soit en matière de scénario, d’effets spéciaux et d’action ? Lorsque vous lirez ces lignes, je me serai déjà faite une idée et vous aussi sûrement !
Alors vite prenez votre ticket pour en savoir plus.
Clara BOTERF
Seconde
Le 4L Trophy
Une aventure à vivre : Témoignage d'un participant au rallye raid 4L Trophy
Il s'agit d'un rallye raid humanitaire, se déroulant au Maroc, dont les seuls véhicules autorisés à y participer sont les Renault 4L. Le but est double : sur l'aspect sportif, il s'agit sur chaque étape, de suivre le road book remis par l'organisation, et relier l'arrivée en ayant fait le moins de km possible. Le road book vous donne des indications de cap et de distances à suivre, et vous n'avez le droit pour vous orienter qu'à une boussole et une carte. Les équipages sont classés selon ces critères d'orientation (non de vitesse), ainsi que sur d'éventuelles pénalités (oubli des phares, oubli de la ceinture, aide de l'organisation pour s'orienter ou réparer la voiture sur la piste...)
Sur l'aspect humanitaire, chaque équipage emporte dans sa 4L du matériel scolaire et sportif. Ces fournitures sont remises à l'association Enfants du désert, qui œuvre pour la scolarisation des enfants des villages défavorisés de la région de Merzouga, dans le désert marocain. Les dons financiers servent à construire des écoles, les dons matériels permettent d'équiper les enfants en cahiers, crayons etc…
L'organisateur est une Agence nommée Désertour, spécialisée dans l'organisation de rallye raids(Trophée Rose des Andes, Trophée Rose des sables, Argentina Trophy...), en partenariat avec l'Association Enfants du Désert.
Ce Rallye raid est destiné aux étudiants, pour ses 20 ans, le 4L Trophy permettait à ses anciens participants de se ré-inscrire. Nous étions 1450 équipages au départ, un record !
Nous sommes partis 2 semaines. Le village départ est à Biarritz, le rallye raid dure 10 jours depuis le départ jusqu'à l'arrivée à Marrakech. Il faut ensuite revenir chez nous. En tout, nous avons parcouru 6000 km en 2 semaines..
Sur les étapes de liaisons en France et Espagne, on roule ! Arrêt le midi pour déjeuner et c'est reparti. Le soir, on passe la nuit à l'hôtel.
Une fois au Maroc, nous dormons tous sur une zone de bivouac. Le repas est servi par l'organisation dans de grandes tentes disposées en cercle. Réveil entre 6h et 7h en fonction de l'heure de départ (tout le monde ne part pas en même temps, sinon gros bouchon) Petit déjeuner marocain servi par l'organisation, puis on range notre bivouac et on se met en route. Étape sur les pistes et dans les dunes entre 100 et 150 km (la dernière épreuve fait 230km en autonomie sur 2 jours). Déjeuner du midi (souvent sur le pouce) arrivée au bivouac l'après-midi, montage de la tente, vérification et réparation de la 4L, puis vers 19h le résumé de la journée est projeté sur un écran géant, puis briefing sur l'épreuve du lendemain. Ensuite dîner, et on va se coucher.
Pour participer au 4L Trophy, il faut une enveloppe globale d'environ 6000 €. Ceci englobe l'achat et la préparation de la 4L, les frais d'inscription, les frais d'essence et d'hébergement lors du raid, le péage...
Cela demande beaucoup de temps(un an), de démarchage afin de trouver des sponsors, trouver une 4L, la préparer , récolter des fournitures scolaires... Une partie de ce budget peut aussi être financé par des actions personnelles (organisation d'événements, stands et ventes sur les marchés ou galeries commerciales....). Certaines écoles aident aussi à financer leurs étudiants.
C'est une expérience unique de rouler dans votre 4L sur les pistes du désert marocain. L'ambiance est extraordinaire tout au long du raid, et tout cela dans une démarche humanitaire et solidaire. La solidarité entre équipages est réelle (aide pour la réparation, prêt de pièces...) Nous garderons un excellent souvenir de cette aventure, avec l'envie de repartir..
Yohan Massé
Participant au 4L Trophy - Ancien élève du lycée