Nous passons beaucoup de temps sur notre téléphone, au grand dam de nos parents mais grâce à nous vous aurez une excuse car ce sera pour réviser. C’est pourquoi nous vous donnons une liste de quelques influenceurs et youtubeurs qui peuvent vous aider dans vos révisions de dernière minute, avec des vidéos courtes et bien organisées.

Nos chouchous

Le plus connu de tous, @yvanmonka, le seul qui arrive à nous faire comprendre les maths sans monter sur une estrade et nous menacer d'une mauvaise note.

Pour réussir vos examens @studygram_mthd (tiktok et instagram) et le podcast « shot de français » pourront vous préparer notamment aux épreuves du brevet et de français en première. @enelesg est le compte le plus intuitif pour apprendre rapidement et facilement des leçons de grammaire ou des méthodes pour le bac de français. Elle présente chaque jour une œuvre pour l'oral et l'analyse.

Il y a aussi d’autres comptes comme @l'antisèche ou @le labo d'histoire géo qui sont très bien pour l'histoire et la spécialité HGGSP en première et terminale.

@paul olivier est un youtubeur qui crée des vidéos sur le thème de la physique-chimie.

Ces influenceurs sont sur toutes les plateformes. Parfois, il suffit d'une autre approche que celle de vos profs pour faire passer des notions sur lesquels vous butiez jusque là.

Judith.O

Vous pensez être les seuls à galérer à l'oral ? Vous voulez être mieux armés dans votre vie professionnelle ?

Laissez-vous guider par les conseils avisés de Thomas Roche, professeur à l’École de l'Art Oratoire de Paris, qui va vous aider à défier « ce trou noir culturel en France qu'est l'oral ».

« Comment vaincre le stress ? »

« Le stress est un état physique et non intellectuel donc l'auto-persuasion ne sert à rien et il faut travailler le corps ! » Le meilleur moyen de vaincre le stress c'est de coordonner le regard, la posture, et la voix de l'orateur !

Le regard : « regarder la personne, le jury car c'est notre objectif, au lieu de regarder notre texte dans notre cerveau » ce qu'on fait trop souvent ; le jury est un danger mais c'est notre cible « c'est notre but à atteindre ».

La posture : « il faut retrouver sa verticalité », cela va inconsciemment nous aider à ingérer le stress et permettra au jury de voir un élève qui a beaucoup plus de présence et de « puissance à l'oral. » Pour avoir la bonne posture il faut travailler nos trois équilibres : intellectuel (je me souviens du texte et je le redis à ma manière), physique (ma posture) et émotionnel (je gère mon stress).

Et évidemment il y a la voix ! « On a toujours peur de dire une bêtise lorsqu'on passe un oral, mais il ne faut pas que cela nous empêche de parler fort et de manière distincte ». La voix c'est l'impact, et elle va nous servir à influencer le jury. Alors maintenant, le stress c'est dans la poche !

Antoine.I

Fatigués d'entendre l'excuse « le centre c'est trop dangereux » par vos parents quand il faut sortir ? On a trouvé une solution gratuite et simple. À condition qu'il vous reste du stockage dans votre téléphone, nous vous présentons Wayfe, une application créée par deux Nantais.

Une appli nantaise

Les créateurs se sont rencontrés à Paris lorsqu'ils travaillaient chez Grenat santé. Marius Bouffant a fait un bachelor à l'ESSCA et Valentin Bernier est issu de l'école hôtelière de Vatel. Ils ont créé cette application mobile intuitive et conviviale fin 2021, grâce à des financements privés et des partenariats, tels que l'agence de développement 122 sur Toulouse... Wayfe, autrement dit « way-safe » pour les bilingues.

Comment ça marche ?

Lorsque vous êtes dehors, il suffit d'ouvrir l'application pour trouver un trajet et signaler les lieux à éviter. Plus il y a d'utilisateurs, plus la carte renvoie des trajets sécurisés et précis. Elle informe les utilisateurs sur les niveaux de sécurité des différentes zones de la ville grâce à des rapports de sécurité, statistiques criminelles et les indications sur les espaces moins "safe" apportées par la communauté. Vous pouvez opter pour la version gratuite mais aussi la premium. Cette dernière vous apporte la création d'un cercle de confiance défini pour veiller sur vos proches. Ainsi, il est possible de trouver l'itinéraire le plus sécurisé à toute heure de la journée comme de la nuit et vous tenir au courant des zones potentiellement dangereuses.

Pourquoi cette appli ?

Marius souligne : « notre objectif était de créer une application qui favorise la sécurité en fournissant des informations en temps réel sur les zones sûres, les itinéraires recommandés et les alertes pour que chacun puisse se déplacer en toute tranquillité ». Objectif plutôt apprécié puisque la petite appli nantaise s'étend à Lille et Bordeaux dès cette fin d'année.

Wayfe est simple d'utilisation et peut donc aider à réduire le phénomène d'insécurité et aider les citoyens à se sentir mieux dans le centre-ville. On compte déjà plus de 10 000 installations et 5 000 utilisations hebdomadaires.

À noter également, depuis la rentrée la nouveauté proposée par la Tan qui engage ses bus à s'arrêter entre deux arrêts dès 22 heures. Cette nouveauté, liée avec l'utilisation de Wayfe peut donc vous aider à limiter les risques potentiels de vos sorties.Eline.C , Judith.O

Habituées à apercevoir les prépas entre leur étage et la machine à café , nous avons décidé de partir à la découverte de ces élèves aux grandes ambitions. Nous avons pu discuter avec Monsieur Pégé, directeur des prépas, Célian Zagouri, élève de première année et Emma Merour, en deuxième année. Notre interrogation principale se portait sur les différences majeures entre le collège, lycée et les classes prépas .

Un emploi du temps plus ou moins chargé

8h-17h, des journées semblables à celles des lycéens, cependant une charge de travail beaucoup plus importante alourdit leurs journées. Pour éviter aux élèves de classes préparatoires de perdre du temps dans les transports, les portes du Loquidy leur sont ouvertes de 7h15 à 21h. Emma nous a confié qu'elle profite de cette opportunité pour commencer à travailler dès 7h. Les élèves trouvent que la charge de travail dépend de chaque personne, « certains élèves travaillent 5h par jour et d'autres 2h » nous dit Célian . Emma et Celian nous affirment cependant que tous les élèves trouvent du temps dans la semaine pour faire du sport, voir des amis et leur famille.

Une implication à la hauteur des ambitions

Soutenus par les experts, les prépas nous ont décrit une ambiance de classe rassurante, grâce à la bienveillance des enseignants et de leurs camarades. La confiance se met en place au cours des deux années durant lesquelles ils sont suivis et conseillés par une équipe de 12 à 14 professeurs. Par exemple, en maths approfondies, où l'on retrouve Célian, ils ne sont que 15, "une ambiance propice à la progression" nous explique-t-il. « Ici on se sent écoutés, libres de venir discuter et de demander conseils aux professeurs dès qu'on en ressent le besoin » nous avoue Emma.

2 ans de préparation pour un concours

Particulièrement mobilisantes, les formations en prépa ne manquent pas d'atouts. « Avoir envie de travailler et surtout ne pas hésiter car c'est une expérience extrêmement enrichissante » reconnait Emma.

Après plus de 72 khôlles et 72 DS de 4h, 2 ans de travail acharné d'apprentissage et d'enrichissement de leur culture personnelle, les élèves de prépa sont prêts à passer le concours qui leur ouvre les portes des grandes écoles. Après cette étape importante il leur reste les entretiens pour être admis dans leurs écoles mais au Loquidy pas de stress avec ça, « les élèves sont plus que prêts à cette échéance, ils ont des entretiens blancs et des séances de préparations où ils apprennent à se connaitre » souligne M. Pégé.

Juliette M. , Eline C.

Elle vous accueille le matin, elle modifie vos emplois du temps, et gère la discipline ; mais ce métier de Responsable de Vie Scolaire n’était pas son premier projet.

Elle a d’abord commencé par être infirmière jusqu’à devenir responsable d’ un établissement pédopsychiatrique.

La plupart des jeunes dont elle avait la charge souffraient de troubles scolaires anxieux.

Elle nous confie : « Au vu du contexte de la santé actuel, j'ai décidé de quitter cette vocation qui ne correspondait plus à mes valeurs. »

Ce métier de Responsable de Vie Scolaire n’est finalement pas si loin de son métier passé : « Je voulais rester en contact avec les adolescents afin de les accompagner, les faire évoluer, leur donner du courage. »

« J'adore le contact avec les enfants et les adolescents ! »

A son arrivée au Loquidy, elle a trouvé notre établissement très impressionnant mais rassurant : « J'ai trouvé des élèves et des enseignants polis et très motivés, partant pour plein de projets, avec un sens de l'effort que l'on ne retrouve pas toujours ! » Pour l’instant, « Tout à l’air de bien se passer avec les élèves, j'ai l'impression qu'ils ont confiance en moi, il faudrait faire un sondage ! »

« Je vais parfois voir les moutons du Loquidy ! »

Son travail est rempli d’anecdotes tous les jours, toutes plus surprenantes les unes que les autres. « L’année dernière, un élève arrive pour la énième fois en retard, je lui demande quelle est son excuse cette fois-ci, il me répond : il y avait du vent ! »

Souvent appelée Mère Térésa ou Brigitte Bardot, elle aime s’occuper des autres en parrainant des associations et adore les animaux et défendre leur cause. « Je vais d’ailleurs souvent voir les moutons au Loquidy ! » Son maître mot : « On a le droit de ne pas aimer les animaux mais le devoir de les respecter. »

« Ma porte est toujours ouverte »

Enfin, elle conclut : « Si j’avais un conseil à donner aux élèves, c’est de surtout se mettre moins la pression. Rappelez-vous qu'une mauvaise note n’est pas dramatique ». Mme Bouré dit toujours qu’il n’y a pas d’échec, il y a seulement des expériences et que c'est normal de ne pas forcément avoir de projets pour l'avenir. Elle rappelle que sa porte sera toujours ouverte en cas de besoin pour quiconque et pour quelconque problème. « Il faut que vous gardiez l’insouciance de l’adolescence, , il faut avoir confiance en la vie ! »

Mathilde.A , Marguerite.F

Trois questions à Henri Tertrais, porte-drapeau et soldat de la Mémoire.

Qu'est-ce qui t'a motivé pour devenir porte-drapeau ?

« J'ai choisi de m'engager comme porte-drapeau, dans la continuité de mon SNU. Celui-ci était pour moi une volonté de perpétuer le souvenir, la mémoire de ceux qui sont morts ou ont combattu pour nous. Cela me donne un sentiment de fierté je ressens dans mon choix une certaine responsabilité dans la préservation du souvenir et de la patrie. Ce choix fut personnel car je suis attaché à l’histoire. Cet engagement me permet de suivre les traces des héros de nos libertés notamment Pierre Mauger » précise Henri.

Qui était Pierre Mauger ?

« A 17 ans Pierre Mauger s'est engagé contre l'occupation en 1940, devenant un résistant luttant pour la préservation des libertés et de la France libre.

Pierre Mauger, lors de son acte courageux dans la Résistance, a subi la déportation, témoignant de la souffrance des jeunes et des populations lors de cette guerre. Sa carrière politique en tant que député a également marqué son engagement constant pour les idéaux qui ont forgé la France.

L'engagement de Pierre Mauger et celui des jeunes d'aujourd'hui convergent dans une même volonté de vouloir garantir et se souvenir des générations. » explique Henri.

Qu'est-ce-que cet engagement représente pour toi ?

« Le fil conducteur entre les actes héroïques du passé et les gestes empreints de mémoire, unit les générations. Aujourd'hui, certains adolescents choisissent de s'engager, bien que sans armes, ils portent le drapeau de mémoire lors des commémorations, en souvenir de ceux qui ont choisi d'offrir leur jeunesse pour le pays comme M. Mauger et ses camarades de combat » conclut Henri.

Jean.R

En 2022, des lycéens Nantais se lancent dans l'aventure du prêt-à-porter en reprenant une marque de vêtements, nommée Scandee.

À 15 ans, Geoffroy et Clément relancent la marque du grand frère de Geoffroy. Se rendant compte d’un vide qui était souvent comblé par les jeux vidéos et les réseaux sociaux, les deux lycéens se sont motivés à lancer un projet qui les aidera à l'avenir pour leurs études.

Un projet qui les passionne et qui leur apprend de nouvelles choses tous les jours.

«  Préparez-vous, Scandee est là »

Leur ambition : « choisir nos propres textiles, créer nos designs, donner un nouveau souffle à la mode, goûter à l'infini des possibles et créer les vêtements qui nous inspirent. Scandee impose le style French Streetwear. Elle dépasse les âges et les frontières. » soulignent les deux amis.

« Un tremplin pour l'avenir »

Communication, marketing, gestion de logiciel...les apprentissages du business ont été très bénéfiques pour Clément et Geoffroy.

«  La création de la marque Scandee nous a permis de créer un vrai réseau » s'enthousiasme Clément.
«  En contactant les BDE de certaines écoles de commerce pour leur proposer nos services, nous avons pu ouvrir des portes qui, je l'espère, nous serviront pour l'après-bac » précise Geoffroy.

« Entre cours et entreprenariat »

Trouver un équilibre entre le bac et l'élaboration de la marque ne leur a pas posé problème. Les deux jeunes hommes y passent une partie de leur temps libre mais surtout les vacances, entre révisions, sorties, sport, et entrepreneuriat. En supprimant, la flemme et le temps inutile sur les réseaux sociaux, l'équilibre ne fut pas si difficile à trouver.

« Motivés et déterminés »

Pour eux, il n’y a pas de moment propice pour se lancer dans un projet qui peut paraître inaccessible. « Le meilleur moment pour se lancer c’est à notre âge car on a le soutien de nos familles pour nous pousser le plus haut possible » nous confie Geoffroy.« La question du budget n'est pas un sujet car beaucoup de solutions existent pour partir de zéro euro, c’est d’ailleurs notre cas, cela nous a permis de faire assez de chiffre, pour ensuite réinvestir dans Scandee et se permettre d'augmenter la qualité des collections » nous raconte Clément.

Pour eux rien n’est insurmontable, il suffit juste de beaucoup de motivation, de détermination et d’envie.

Juliette.M , Jean.de R

« Tu es en Terminale ? Tu ne sais pas à quelles formations postuler sur Parcoursup ? »

Mathis, Thaïs et Esteban, trois anciens du Loq' nous filent trucs et astuces pour franchir cette étape cruciale.

Pour certains, comme Mathis, le chemin était tout tracé : après un BUT en Génie Mécanique et Productique à l'IUT de Nantes, le passionné d'aéronautique de 20 ans entre à l'ICAM l'année dernière, tout en étant en alternance chez Dassault Aviation.

Un parcours logique puisqu'il nous confie qu'il rêve « d'être pilote de ligne, de chasse, ou ingénieur essais ». Selon Mathis, faire une partie de ses études en alternance était une évidence « parce que cela permet d'avoir un avantage car à dossier équivalent c'est [vous] que les recruteurs choisiront ».

Encore incertaine au moment de Parcoursup, Thaïs décide de s'inscrire dans une double licence sciences politiques/droit à l'ICES de la Roche sur Yon. Une formation exigeante mais stimulante qui gagne en popularité chaque année.

« Lisez ! Intéressez-vous à l'actualité ! »

Ses petits tips ? « Lisez ! Intéressez-vous à l'actualité ! [...] Faites gaffe à votre orthographe [et] faites des stages ! ». Un dernier point sur lequel elle insiste particulièrement, et, qui selon elle, aide grandement lorsque l'on ne sait pas vraiment quoi faire, et qui permet de se donner un objectif réaliste.

Après deux ans de prépa au Loquidy, Esteban rejoint la SKEMA Business School de Lille, séduit par la possibilité de faire des stages à l'étranger et une année de césure.

En évoquant ses deux années de prépa passées au Loquidy, Esteban souhaite aussi déconstruire les mythes que l'on peut avoir dessus :

« La prépa ne ressemble plus à une prison seulement accessible aux meilleurs ».

« Travail intense »

« C’est un lieu où l’entraide existe et est monnaie courante. Vous allez vous faire de supers potes et quand même profiter même si, il faut le dire, ce n’est pas facile et cela demande deux années de travail intense. Vous allez ressortir avec des compétences qui sont très précieuses sur le marché du travail », dit-il, en concluant par le meilleur conseil que l'on puisse offrir à un futur bachelier : « Soyez ambitieux dans vos choix, tentez et n’ayez pas peur [...], et il faut se donner les moyens d’y arriver ».

Hannah.C

Depuis 2018, Guillaume Verger, prof d’histoire-géo, collectionne des paires de chaussures surprenantes ! Il nous confie : "C'est un moyen de me démarquer et d'être moins austère". Il a autour de quarante paires toutes très différentes. Elles sont colorées, pailletées, brodées... uniques ! La première en partant du haut est celle dont il est le plus complimenté, puis sa paire la plus drôle. La paire en léopard est son porte bonheur, et enfin, les meilleures pour la fin, sont ses préférées ! Il ne les choisit pas en fonction de la mode mais au coup de cœur. Cela ne l’oblige pas à se ruiner car il favorise la seconde main comme Vinted par exemple !

« Une manière de se démarquer ! »

Avez-vous déjà remarqué les Air Force customisées de Valentin Protin, prof d’histoire-géo ? Dans une interview, il nous explique : "Cette idée de customiser mes chaussures est née de vidéos vues sur les réseaux sociaux pendant le confinement. Je trouvais aussi que les sites internet ne proposaient pas assez de choix". Il les designe lui-même selon ses inspirations. À l’heure actuelle, il a sept paires de Air Force, cinq sont customisées mais il a encore plein d’autres idées ! Ce ne sont pas ses seules paires  : il a aussi des Timberland, des Doc Martens et quelques autres, ce qui lui fait une vingtaine de paires ! Les premières en partant de la gauche sont celles dont il est le plus fier, celles qu'il aime le plus, celles qui lui ont pris le plus de temps à customiser et enfin, celles qu'il aime le moins. Il aimerait en avoir plus mais ces baskets ont un prix et cela ne les empêche pas de vite s'abîmer surtout lorsqu’il fait du skate en été.

Marguerite, Antoine, Mathilde

Les membres du personnel du Loquidy ont des parcours différents. Mais concrètement quels étaient leurs rêves, leur parcours ? Nous en avons donc interviewé quelques un pour en découvrir plus.

Depuis toute petite, Mme Le Meliner voulait être danseuse classique, c’était son rêve. Elle adore toujours la danse. Elle a aussi voulu être dans la protection civile. Et avant d’être professeure de français, elle a passé le concours infirmier.

M. Fournier, notre cher directeur adjoint du lycée, voulait être ingénieur dans le BTP ou travailler dans le domaine de l’aérien. Mais il s’est finalement tourné vers des études plus littéraires pour être professeur d’histoire-géo.

Avant d'être professeure de musique, Mme Douet a eu plusieurs métiers, que tout le monde n'a pas eu la chance de faire. Elle a été cheffe d’une entreprise de salsa puis elle a été hôtesse sur le site de lancement de fusée Ariane en Guyane. Elle a aussi été professeure de jazz et arthérapeute.

Au Loquidy, depuis 2017, M. Noirbuisson a d’abord été laborantin. Il voulait être chimiste. Après il a voulu changer et il s’est finalement tourné vers l’informatique. Aujourd’hui il s’assure que le parc informatique du Loquidy fonctionne correctement, il met à jour le système et déploie du nouveau matériel.

Avant d’être professeure d’anglais, Mme Mostadi a commencé par des études de droit. Puis elle a été recrutée par Nintendo pour être testeuse de jeux vidéo en Allemagne, plus précisément testeuse pendant 3 mois du jeu Call of Duty. Et oui c’est un vrai métier mais pour votre information ça ne lui a pas du tout plu.

M. Le Moal a commencé par des études de sciences politiques en génie civil, il voulait travailler dans l’aménagement du territoire ensuite il voulait faire de la recherche dans le domaine de la politique puis il s’est tourné vers le métier de professeur d’histoire-géo.

Mme Laroche voulait être laborantine dans des laboratoires médicaux mais vu qu'elle faisait des études littéraires, ce n'était pas possible, elle est actuellement professeure de latin.

M. Simon, professeur de physique-chimie, a d'abord commencé sa carrière dans la recherche scientifique, plus précisément dans la physique nucléaire.

Et nos deux professeures documentalistes ?

Mme Moreau a fait des études dans le patrimoine, l’archéologie pour travailler dans la médiation des monuments ou être maître de conférence mais ce métier n'existait pas et au final ces études ne correspondaient pas. Elle s’est redirigée vers la documentation, elle est actuellement documentaliste au Loquidy.

Mme Pierre voulait travailler dans l'hôtellerie elle a fait des études d’informations et de communications à Paris mais ce métier est bouché donc elle fait un master en documentation pour être journaliste et actuellement elle remplace Mme Lanta au CDI.

Mathilde.A , Antoine.I

L'heure de trouver vos bonnes résolutions pour l'année 2024 a sonné. On vous aide à abandonner certaines habitudes, revoir vos comportements, votre coiffure et votre style vestimentaire. Pour cela, nous avons fait de longues recherches sur les choses que nous ne voulions plus voir dans l'établissement. Nous vous proposons donc de scanner ce QR code afin de répondre au questionnaire. Il nous permettra de créer par la suite un classement publié dans le second Loqui'dit de 2024.

Eline.C, Juliette.M, Judith.O

La chanteuse aux 278 millions de followers sur Instagram a fait son grand retour sur scène, à l'occasion de sa tournée internationale "l'Eras Tour", qui a débuté le 17 mars 2023, aux États-Unis, et qui reprendra le 9 mai 2024 en Europe.

Le succès au rendez-vous

Connue pour sa carrière, figurant parmi les plus emblématiques de l'industrie musicale, Taylor Swift a remporté de nombreuses récompenses prestigieuses, dont 12 Grammy Awards et 23 MTV Awards. Plus récemment, elle a été élue personnalité de l'année, par le prestigieux magazine Time. Ses chansons touchent des millions de personnes à travers le monde et redéfinissent le paysage musical. L'Eras Tour, est une expérience incontournable pour les fans, qui se sont donnés le nom de « Swifties ». L'engouement est tel, que le site Ticketmaster France, billetterie officielle, avait compté près de 2 millions de visites. Ne pouvant faire face à cette forte affluence, le site avait fini par crasher.

Quid de la face économique...mais également politique ?

Au niveau local, l'Eras Tour représente une opportunité significative. En effet, cette tournée s'avère extrêmement lucrative et impacte considérablement le secteur touristique. D'après le rapport de la Fed, la banque centrale américaine, les hôtels ont enregistré leur mois le plus bénéfique lors de son passage à Philadelphia. Un spectateur moyen dépensant en moyenne 1 327 dollars, le poids économique de Taylor n'est donc pas à sous-estimer. Son impact écologique non plus, derrière les strass et les paillettes, elle a à son actif l'un des bilans carbones les plus désastreux... Sa présence, indispensable pour ses fans, est également réclamée par les dirigeants actuels, conscients de l'impact que son concert pourrait avoir sur le PIB de leur territoire. L'Australie et la Thailande ont notamment fait savoir qu'elle était la bienvenue sur place. La chanteuse elle-même exerce une influence politique majeure, et pourrait faire basculer l'élection présidentielle de 2024. En 2020, elle avait pris postition, en faveur de Biden.

Vers des enjeux plus vastes ?

Ainsi, l'Eras Tour ne se limite pas qu'à un simple concert, les enjeux sont vastes, au niveau économique, mais aussi politique. Divertissant les masses et consolidant des relations diplomatiques entre les pays, l'Eras Tour est un outil de puissance. Il fait partie intégrante du Soft Power américain, et offre une bonne démonstration de son modèle économique capitaliste.

Leonor.B

« Un jour je me suis retrouvée sur le dos d'une vache à faire du rodéo » nous raconte Apolline Lion, une élève de Terminale du Loquidy qui a vécu une expérience inoubliable à travers le monde sur les 5 continents et dans 25 pays.

Elle nous raconte son expérience d'une année en famille avec des habitudes bien différentes que chez nous à Nantes.

Une véritable prise de conscience

Au fil de son voyage, Apolline a été frappée par des situations qui nous semblent lointaines. Elle a réalisé que « l'accès à l'eau est difficile dans une grande partie du monde, cette ressource que nous tenons pour acquise, est en réalité, un véritable luxe ».

Cette prise de conscience a été un choc pour elle, la poussant à réfléchir à la chance que nous avons ici.

« J'ai aussi beaucoup aimé aider les gens car une aide, une présence pour certains sont vraiment de véritables facteurs de bonheur » précise Apolline.

En route vers le bonheur

« Alors pourquoi se lancer dans un tour du monde ? » « Plutôt, pourquoi ne pas en faire un ? Sincèrement pour l'ouverture d'esprit, pour grandir prendre en maturité pour réaliser des choses qui sont incroyables et surtout parce que c'est beau, c'est fou. Ce voyage m'a permis de me sentir libre et juste hyper heureuse » confie Apolline.

Des anecdotes humoristiques

Apolline partage aussi des moments légers et drôles de son voyage. Elle raconte avec un sourire des situations cocasses, comme le jour où elle a essayé de parler une nouvelle langue et a fini par involontairement demander n'importe quoi dans un petit marché. Ces petites anecdotes témoignent de sa joie lors de son expérience partagée avec sa famille.

Une expérience positive

Pour entreprendre ce tour du monde, elle a dû faire, l'an passé, une année de césure et sacrifier une année scolaire. Cependant, son retour au lycée s'est déroulé très positivement « je ne suis plus timide et j'ai fait des rencontres vraiment incroyables » raconte-t-elle avec le sourire. Son expérience autour du monde a enrichi non seulement sa perspective sur la vie, mais également son esprit critique ainsi que son ouverture d'esprit.

Pour finir, Apolline souhaite nous encourager à apprécier les choses simples que nous tenons pour acquises, comme l'eau potable.

Henri.T

Un tour du monde en solitaire

Partant et finissant aux Sables-d'Olonne, en Vendée, les skippers affrontent environ 45 000 kms sans escale ni assistance. Ils bravent les océans, en passant par le redoutable Cap Horn et défiant ainsi les éléments de leur propre endurance.

Des héros des temps modernes

Les participants, véritables héros contemporains, doivent gérer leur bateau, résoudre des problèmes techniques et endurer la solitude prolongée. La course teste leur résistance physique et mentale, les confrontant à l'isolement, à la fatigue extrême et aux défis psychologiques. Chaque skipper devient le capitaine de son destin, cherchant à dépasser ses propres limites autant que celles de son bateau, spécialement conçu pour résister aux conditions extrêmes des océans du globe.

À la recherche de performance

Le Vendée Globe est une quête de record. Les marins cherchent à battre le record détenu par Armel Le Cléac'h, de 74 jours, 3 heures, 35 minutes et 46 secondes.

Un défi légendaire

Le Vendée Globe incarne l'audace et le dépassement de soi. Il reste une référence dans le monde de la voile, symbole de persévérance et d'excellence, inspirant les générations futures à repousser leurs propres limites.

Imoca 60 - bolide sur l'eau

Les bateaux utilisés dans le Vendée Globe sont des machines de pointe, conçues pour résister aux conditions les plus difficiles en mer. Les skippers doivent également faire preuve d'une expertise technique exceptionnelle pour résoudre d'éventuels aléas mécaniques et naviguer de manière efficace dans des conditions changeantes. La technologie de pointe, combinée à l'expérience et à l'instinct des marins, crée une fusion unique qui rend la course à la fois exaltante et imprévisible.

Lycéens enthousiastes

Le Vendée Globe est suivi avec enthousiasme par les lycéens à travers le monde, captivés par l'esprit de compétition et l'aventure audacieuse que représente cette course.

Illia.B

Imaginez-vous suspendu à une paroi, à 8000 mètres d'altitude où l'air se raréfie à chacun de vos pas, ou bien seul au volant d'un bolide parcourant le désert à 200km/h. Bienvenue au coeur de l'univers des sports extrêmes.

Saut en parachute, parapente, canyoning,... Parmi les diverses disciplines des sports extrêmes il est possible de pratiquer une grande variété d'activités, allant de l'alpinisme au base jumping ou encore du rallye automobile au saut à ski.

Des barrières physiques et mentales

L'essence même de ces sports réside dans le repoussement des barrières physiques mais surtout dans l'exploration des limites mentales. Comme le répète souvent le célèbre aventurier Mike Horn « avoir un mental cent pour cent positif, c’est le secret, la clé de toutes les victoires ».

Des risques à prendre en compte

Les participants sont souvent prêts à prendre des risques considérables pour vivre l'euphorie de la vitesse ou de l'altitude.

Les athlètes qui pratiquent ces disciplines sont donc hautement entrainés pour minimiser des risques tout de même existants (plus de 800 morts en montagne en France sur la dernière décennie). La sécurité étant une priorité, de nombreux équipements de pointe sont développés pour protéger les participants.

Red Bull, un sponsor emblématique, ...

Parmi les sponsors historiques des sports extrêmes, Red Bull se distingue en étant l'un des plus influents. La société autrichienne connue pour son engagement envers ces disciplines joue un rôle majeur dans la promotion de ces sports à travers le monde.

Red Bull a même créé sa propre série d'événements dans le monde entier, comme des compétitions d’escalade, de skateboard ou même de motocross. La société est aussi présente lors de rallyes et courses automobiles. Ces compétitions attirent les meilleurs athlètes, et les mettent au défi de constamment repousser leurs limites, le tout dans un spectacle pour le moins impressionnant.

Hugo.T