Jeudi 16 mai 2024, 525 jeunes et accompagnateurs venus de tout le département se sont réunis au Lion d'Angers pour échanger et participer à des ateliers en lien avec l'Europe et l'International. Une journée de découvertes dans la bonne humeur.

Pour sa deuxième édition, la journée « Cultivons l’Europe et l’international » a donné l’occasion aux jeunes de 15 MFR du département de se rassembler et de s’ouvrir au monde. Au total, ce sont plus de 500 jeunes de la 4e au BTS qui se sont retrouvés à l’hippodrome du Lion d’Angers, le 16 mai 2024. Réunis en équipes mélangeant les différents établissements, ils ont partagé une journée riche en découvertes.

La thématique de l’éducation aux mondes et aux autres (EMA) est l’une des valeurs majeures qui sont véhiculées par nos Maisons dans notre territoire de Maine et Loire. La Commission internationale de la Fédération a pour objectif de faire vivre des temps forts de partage et d'échange aux élèves sur ce thème. C'est chose faite avec ce nouveau rassemblement départemental.

Une partie de la journée a été dédiée à des ateliers sur différentes thématiques : connaissance de l’Europe, mobilité européenne, solidarité internationale et découvertes culturelles. Les animateurs de ces ateliers étaient des intervenants extérieurs mais aussi des élèves volontaires encadrés par des moniteurs. L’autre activité de la journée a été un parcours d’orientation : "Parcours l'Europe et le Monde". Les équipes en compétition ont relevé les défis avec brio, découvrant par la même occasion le parc de l’hippodrome. Le midi, les jeunes ont partagé un apéritif équitable et un pique-nique avec un objectif 0 déchet.

Nous vous proposons de revivre cette journée à travers les yeux des jeunes. La rédaction de ce journal a été confiée aux BTSa Développement, Animation des Territoires Ruraux (DATR) de la MFR Le Cèdre que nous remercions pour leur professionnalisme et leur bonne humeur !

Pour tous les jeunes

Elle concerne les élèves à partir de la classe de 4ème jusqu’à la classe de terminale - les jeunes en études supérieures - les apprentis - les jeunes en recherche d’emploi et en entreprises.

Elle n’est pas uniquement pour la poursuite d’études, mais elle peut s’exercer dans le cadre d’un stage, d’un travail en entreprise, ou d’un engagement volontaire, ou encore d’un engagement de solidarité ou enfin de découverte du monde et des autres lors de voyages.

Cette expérience de mobilité européenne ou internationale est plus que jamais nécessaire à une époque où le monde a tendance à se fragmenter, à se diviser.

C’est un vecteur de construction de soi, de passage à l’âge adulte, de coopération internationale.

La mobilité permet d’acquérir des compétences en langue, de vivre une expérience interculturelle très enrichissante pour se préparer à entrer dans le monde du travail.

Elle décuple le besoin d’adaptation pour s’enrichir d’une autre culture, d’un autre mode de vie.

Entrée dans le monde du travail

Aller faire un stage ou aller travailler dans un autre pays apporte une ouverture d’esprit sur la vie et une découverte sur une autre façon de travailler. On va faire le même métier qu’ici, mais avec des méthodes et conditions de travail nouvelles ou différentes.

Tous les métiers sont concernés, que ce soit le monde agricole, le monde du commerce, le monde de l’industrie, le monde des services, etc.

L’expérience d’une mobilité internationale est un vrai facteur d’employabilité, permet de développer des compétences d’autonomie, d’esprit d’initiatives. Elle est un atout sur son CV et enfin permet de tisser des liens pour toute une vie.

La mobilité, c’est devenir un citoyen du monde.

Bertrand LÉCRIVAIN

Président
Fédération départementale
MFR - CFP de Maine et Loire

Lors de cette deuxième édition du forum International, différents ateliers ont été proposés par la Maison de l'Europe, notamment "l'Europe dans notre quotidien" qui était un atelier dit "mouvant". L'animatrice a posé des questions concernant l'Europe, et les élèves se positionnaient : soit dans un espace "OUI", soit dans un espace "PEUT-ETRE" ou dans un espace "NON".

Nous avons interpellé quelques élèves à la fin de l'atelier afin de savoir ce qu'ils avaient retenu de cet échange :

"Oui, nous avons appris des choses étonnantes et nouvelles, mais certaines questions étaient quand même évidentes comme, par exemple, pour la question : "Faut-il un permis de travail pour pouvoir travailler dans l'Europe ?" ou encore "Est-ce que la torture est acceptée dans tous les pays d'Europe ?".

Lors des premières 15 minutes les élèves se sont donc positionnés en répondant à des questions. Lors des 15 minutes suivantes, le but était de trouver si des objets montrés par l'animatrice avaient un lien avec l'Europe ou non, c'est le principe du jeu "l'Europe dans le sac".

Cet atelier visait à sensibiliser les jeunes de chaque MFR à l'importance des élections européennes. A partir d'un quizz, les jeunes ont pu tester leurs connaissances. Pour cela, ils se sont mis en groupe afin de répondre le plus vite possible aux questions. Il y avait une vingtaine de questions sur les votes, le parlement européen et sur les députés : leurs compétences et leurs mandats. Ensuite un débat a été organisé pour échanger et approfondir les connaissances sur ce sujet.

L'atelier a été présenté par une intervenante de la Maison de L'Europe. L'objectif est de motiver les jeunes qui votent, ou qui voteront, aux élections européennes.

La politique étant un sujet d'actualité : pour le futur de chacun, il est essentiel d'en parler.

Cette animation a été présentée et animée par une intervenante de la Maison de l’Europe d’Angers. L’atelier découverte des pays européens était découpé en 2 parties, une partie question et une partie jeux. Comme le souligne Emma : «  c'est plus facile de découvrir en jouant, ça nous a permis d'en apprendre plus sur les pays de l'Union Européenne ».

Un atelier ludique

Lors de la première partie, l’intervenante a posé différentes questions sur l’Europe, telles que : "Quelle est la différence entre les pays de l’Union Européenne et les pays de l’Europe ?".

Pendant la deuxième partie, les élèves étaient répartis en petits groupes de 4 personnes. L'intervenante a donné des étiquettes avec des noms de pays que les élèves ont placés sur une grande carte de l'Europe.

Nous avons eu un bon retour de Léa : "l'activité était intéressante et nous avons apprécié les petits jeux. Je suis contente car j'ai réussi à placer Lisbonne où je suis allée en voyage".

L'atelier présenté était un jeu nommé "qui suis-je ?". Les jeunes, par groupe, devaient deviner le nom d'un pays européen pour gagner un point et ensuite remporter le jeu.

Après cela, il y a eu un "blind test", chaque groupe devait deviner le pays d'origine de la chanson et le nom du chanteur ou du groupe. L'animatrice était Marie, en service civique à la Maison de l'Europe.

Cette activité a permis aux élèves de découvrir les pays d'origines de chansons connues dans le monde, et d'identifier la langue exacte des chansons. Il était donc important qu'ils écoutent les paroles attentivement.

A vos avis

L'activité était plutôt ludique et intéressante. Les jeunes ont aimé faire cette animation, et ont su développer leurs connaissances culturelles, géographiques et linguistiques. Ce que Pierre a préféré c'est le blind test : "Je connaissais la plupart des chansons mais je ne savais pas du tout d'où elles venaient". Pour Lana c'était une première, "d'habitude on écoute de la musique en français ou en anglais, ça change".

Pendant la matinée, des jeunes de la MFR La Pommeraye nous ont raconté leur mobilité Erasmus en Suède. Loan était en stage dans une auberge de jeunesse. Lors de ce stage il a nettoyé les chambres et fait de la restauration. Léana était en stage dans une école maternelle, elle a accompagné les élèves lors d'activités manuelles et en extérieur. Les élèves nous ont présenté un diaporama qui raconte leurs stages, les activités qu'ils ont pu faire sur leur temps libre, ainsi que les différences culturelles entre la France et la Suède.

L'après-midi, des élèves de CAPa SAPVER de la MFR Le Cèdre ont présenté leur mobilité Erasmus en Espagne, qu'ils ont réalisé dans des structures de petite enfance. Ils avaient réalisé des affiches avec des photos de leur stage et de leur ville d'accueil : Séville.

Cet atelier a été présenté par un groupe de 4 élèves en filière CGEA (Conduite et Gestion de l'Entreprise Agricole), qui sont partis en Irlande pendant 2 semaines dans différentes structures de stage, grâce au programme Erasmus.

Ils ont principalement présenté des exploitations agricoles de vaches laitières et ont expliqué leurs expériences sur leur lieu de stage. Leur expérience a permis de comparer les pratiques d'élevages des deux pays. Malgré la barrière de la langue, ils ont apprécié faire ce voyage et seraient heureux de découvrir un autre pays. Cela permet de donner envie à d'autres jeunes et de les inciter à voyager et à découvrir une culture différente de celle de la France.

Trois personnes de l'association Agriculteurs Français pour le Développement International (AFDI) en Maine et Loire nous ont présenté leur partenariat avec des acteurs de différents pays africains : la République Démocratique du Congo, la Tunisie et le Burkina Faso. Ils ont témoigné de leur engagement et nous ont présenté une maquette d'un barrage au Burkina Faso. Leur travail consiste à accompagner des paysans partenaires pour le développement de leur agriculture. Pour Kévin, en bac pro agricole, "c'est super intéressant de voir que les paysans ailleurs dans le monde ont d'autres façons de cultiver". Les jeunes en formation agricole nous ont tous dit qu'ils avaient beaucoup appris grâce à cet atelier.

Lors de cet atelier, une vidéo pré-enregistrée nous a été diffusée par deux administratrices de la Fédération Départementale, Patricia PICHONNEAU et Dominique GUILLARD. Sur cette vidéo, le président des MFR du Burkina Faso, Yacouba GUIRO, nous a expliqué leur fonctionnement qui est très différent de la France.

Évolution des MFR au Burkina Faso

En effet, le Burkina Faso est un pays d'Afrique de l'Ouest. Il comprenait 13 MFR et aujourd'hui plus que 4. Il est vrai que ce pays fait face à de nombreuses attaques terroristes en lien avec le politique notamment. Cela affecte donc les MFR implantées là-bas.

Témoignage du Président

Le président nous a tout de même expliqué le déroulement d'une année scolaire dans les MFR du Burkina Faso. Nous avons pu comprendre qu'il pouvait y avoir une semaine de cours et parfois trois mois de cours d'affilé, mais en général, l'année scolaire est très scindée. Cet atelier a fait réfléchir beaucoup d'élèves quant à la chance que nous avons en France d'avoir une éducation plutôt structurée.

Nous avons également appris que les élèves n'obtenaient pas un diplôme mais plutôt un certificat.

Nous avons pu demander à certains élèves ce qu'ils avaient pensé de cet atelier et ils nous ont tous répondu à peu près la même chose : « C'était un atelier très intéressant qui nous a appris beaucoup de choses, en commençant par l'existence de MFR dans d'autres pays ». Comme le souligne Grégoire : « C'est dommage que le contexte politique ne nous permettait pas d'échanger avec eux. »

Cela nous a fait prendre conscience que nous avons de la chance de pouvoir étudier dans de bonnes conditions.

Merci au président des MFR du Burkina Faso, d'avoir pris le temps de nous expliquer tout cela !

Cet atelier a été présenté par l'association e-graine Pays de la Loire, mobilisant les jeunes à la citoyenneté mondiale. Le but est de présenter les idées reçues sur l'immigration, actualité d'aujourd'hui, et sur ce qui se dit sur les réseaux sociaux. Les jeunes sont exposés à beaucoup d'informations sur ces réseaux sociaux, qui présentent parfois des idées fausses sur le sujet. L'atelier a débuté par un jeu de "vrai ou faux" par groupes, les jeunes devaient justifier leurs choix. Chacun a eu l'occasion de donner son avis, ce qui a permis d'échanger.

L'objectif est de développer une solidarité et que les groupes aient une idée commune. Les jeunes ont été très attentifs et ont joué le jeu. Ils ont pu s'exprimer sur ce sujet et c'est plûtot important pour ne pas se faire influencer sur les "on dit" des réseaux sociaux.

L'atelier "Cuisine du monde" était un atelier dit "participatif" qui a énormément plu au vu de tous les gourmands que nous avons pu interpeller !

Trois recettes ont été mises à l'honneur. Une recette nous venant tout droit du Burkina Faso, mélangeant framboises et fraises ainsi que du fromage blanc et de la chapelure apportant un petit côté croustillant.

Une recette locale du Maine et Loire avec du fromage de chèvre ainsi que des petits morceaux de poulet déposés sur un petit biscuit, le tout réalisé avec des produits locaux (de Cholet plus précisément).

Et pour finir, une recette avec les couleurs du drapeau de l'Irlande (Vert, Blanc et Orange) avec de la pistache, du fromage blanc et de l'abricot.

Les élèves de la MFR de Cholet en formation cuisine, nous ont parfois laissé faire, afin que l'on puisse se mettre en action nous aussi, ce qui a rendu l'atelier très ludique et intéressant (atelier participatif).

Lorsque nous avons interpellé les élèves sur cet atelier, les réponses étaient unanimes : "toutes les recettes étaient excellentes et cela nous a donné envie de les refaire chez nous !"

Pour vous, voici en exlusivité la recette du Burkina Faso, la verrine M'Boukake :

Ingrédients pour 4 personnes :

- Chapelure de pain : 200g

- Sucre : 80g

- Pâte d'arachide : 60g

- 2 Yaourts natures : 250g

- Fruits de saison : Fraises fraîches concassées, purée de framboise et sucre selon l'acidité des fruits : 80g pour 200g de fruits.

Mise en oeuvre :

Préparer la purée de fruits en associant : fraises en cube et pulpe de framboise, sucrer et mettre en verrine, recouvrir de yaourt et terminer par le crumble de pâte d'arachide sucre et chapelure de pain rassis, détendre avec un peu de lait (5cl si besoin).

Réserver au frais et DÉGUSTER.

Présentation de Choc-Hola Nous avons eu l'intervention de Choc-Hola qui est un torréfacteur de cacao équitable qui est situé à Nantes. Choc-Hola travaille avec des producteurs de cacao du Mexique et d'Haïti et utilise des méthodes traditionnelles pour fabriquer le chocolat. Lors de cette animation, l'intervenante a expliqué l'origine du cacao, les différentes étapes pour passer des fèves de cacao pures à une tablette de chocolat.

Les différentes étapes Le processus commence par la récolte du fruit dans l'arbre appelé le "Cacaoyer". Cet arbre est originaire du Mexique.

Par la suite, le cacao est séché puis moulu pour pouvoir être transformé en chocolat comme on le connait.

Dégustation des chocolats Pour clôturer cet atelier, une dégustation de différentes sortes de cacao et chocolat était proposée. Pour Chloé « c'est marrant de découvir le vrai goût du chocolat. Au départ ça fait un peu bizarre car les fèves sont un peu amères ».

Cet atelier a été animé par l'association Art Thiossane qui organise des concerts et des stages. Il y avait cinq artistes d'origine sénégalaise et guinéenne qui ont été avec nous toute la journée.

Découverte des instruments

Cela a permis aux jeunes de découvrir que chaque musique a une signification différente en fonction des célébrations locales. En effet, l'instrument utilisé est choisi en fonction de son ethnie d'origine, majoritairement fabriqué par les musiciens eux-mêmes.

Les jeunes présents dans l'atelier ont donné quelques coups de baguettes ou de mains sur les percussions mises à disposition, en suivant un rythme musical endiablé. Ils ont découvert que le djembé a trois sons : tonique si on a les doigts fermés, claqué si les doigts sont ouverts, et basse si on tape avec la paume.

Les différentes équipes, regroupées par nom de pays, se sont réunies sur l'hippodrome en compagnie de Sylvain Maquaire (l'organisateur du parcours d'orientation).

Le parcours a duré 1h30 où les groupes déambulaient entre 12 stands avec une thématique différente : 4 stands pour les Jeux Olympiques et 8 sur l'Europe et l'International. Chaque stand a permis aux jeunes d'améliorer leur culture vis-à-vis des Jeux Olympiques et des différentes pratiques et cultures des pays du monde, en particulier à l'échelle Européenne. Les stands se situaient autour des gradins et des bâiments de l'hippodrome.

Organisation du parcours

Répartis en 12 équipes le matin et l'après-midi, les jeunes accompagnés de leurs formateurs se sont dispatchés sur les différents stands pour commencer le parcours, tous débutaientpar une activité différente. Le parcours consistait à réaliser différentes activités afin de marquer un maximum de points. Au début du parcours, il a été annoncé que l'équipe avec le plus de points remporterait un lot.

Les différents stands

Dans l'ordre de 1 à 12, les activités présentes :

- Tir à l'arc

- Musiques

- Capitales

- L'olympisme dans le Maine et Loire

- Personnages et leurs pays d'origine

- Les différents drapeaux

- Le sport paralympique

- Cuisine du monde

- Les monuments

- Quizz olympique

- Bonjour, dans les différentes langues

- Quizz sur les pays

En détails

Pour le tir à l'arc, les équipes présentes sur ce stand devaient viser une cible olympique, en fonction d'où arrivait la flèche, un nombre de point était attribué.

Pour la musique, les équipes devaient répondre à différentes questions en lien avec les musiques et les danses du monde.

Pour les capitales, les équipes devaient trouver les capitales de différents pays du monde, parmi les plus simples : l'Italie, l'Allemagne, la Belgique. Parmi les plus compliquées : Burkina Faso, Vietnam, Pologne.

Pour l'olympisme, les équipes devaient répondre à des questions en lien avec les Jeux Olympiques mais spécifiquement dans le Maine et Loire.

Pour le quizz sur les personnages historiques, les équipes devaient relier les personnages à leur nom-prénom ainsi qu'à leur pays d'origine, par exemple : une photo d'un général : Général de Gaulle : France. Ou encore : Gandhi : Inde.

Pour le stand suivant, les équipes devaient relier les drapeaux à leur pays. Parmi les plus faciles : Brésil, Australie ou encore Chine. Parmi les plus durs : Qatar, Burkina Faso ou encore Chili.

Pour le stand sur les sports paralympiques, les équipes devaient faire fonctionner leur culture générale sur les sports paralympiques, lors d'un quizz.

Pour la cuisine du monde, les équipes devaient répondre à des questions sur les différents plats du monde.

Pour les monuments, les équipes devaient faire fonctionner leur culture du patrimoine et de la géographie. Différentes photos étaient montrées et devaient être remises avec leur nom et leur pays d'origine. Par exemple : les chutes d'Iguazu ; l'Acropole d'Athènes ; le Colisée ; ou encore la grande Muraille de Chine.

Pour le quizz olympique, les équipes devaient répondre à différentes questions par rapport à l'Histoire des Jeux Olympiques.

Le stand "Bonjour !" permettait aux jeunes de découvrir comment les habitants des différents pays disaient : "Bonjour", parmi les plus simples : Buenos Dias (Espagne) ; Guten Morgen (Allemagne). Parmi les plus durs : おはよう(Japon).

Pour finir, la dernière activité consistait à répondre à un quizz sur les pays.

Les vainqueurs

Les GRANDS gagnants du parcours ont été annoncés lors du rassemblement de fin de journée. L'équipe gagnante avec 108 points est celle du Portugal.

Félicitations à eux !!!

"Un parcours complet qui a permis d'améliorer sa culture générale sur les différents pays du monde".

Quelques semaines avant l'événement, le réseau des MFR de Maine-et-Loire avait demandé à la classe de première année de BTSA DATR de réaliser ce journal ainsi qu'une courte vidéo.

Cette classe est composée d'un groupe de 10 étudiants. Leur formation consiste à concevoir et à conduire des projets de services en territoire rural. Ces futurs professionnels sont spécialisés dans les champs d’activités suivants : animation et développement au profit des territoires, des entreprises et des usagers ruraux ; animation et gestion d’une activité, d’une structure, d’un événementiel. Cette journée a donc permis d'enrichir leur expérience et de mettre en pratique leurs compétences. Pour ce faire, des duos ont été créés en amont pour pouvoir se répartir les différents ateliers à couvrir (témoignages, photos, vidéos). Leur mission pendant cette journée correspondait parfaitement avec les attentes de communications de projets que contient leur formation.

Un grand merci à Léa, Coralie, Suzanne, Léonie, Lévéna, Crystellia, Korentin, Alwena, Yanaël et Charlène !