Ancien élève du lycée en Bac professionnel spécialité Gestion Administration, Mario prépare un Bachelor dans la prestigieuse école nantaise.

Formé en Coiffure et dans les Métiers de la mode au lycée, Malick est employé à Elis Anjou Avrillé où il retouche des vêtements pour des entreprises.

Encore quelques travaux à exécuter ici ou là, et la « Remorque de l'espoir » partira à St Jean-de-Linières, livrée à l'Association qui en fera bénéficier quatre personnes sans-abri chaque soir.

Les Terminales Commerce ont passé des entretiens d'embauche dans le cadre d'un projet, en lien notamment avec des membres du Rotary.

Nouvelle rubrique dans votre journal, une page spéciale intitulée Joki Fake pour sensibiliser aux enjeux de l'information et savoir distinguer le faux du vrai.

Nouveau nom, nouveau logo : Joki News succède au P'tit Bavard avec ce numéro 22 du mois de mai. Un journal réalisé comme au printemps 2020 dans des conditions un peu particulières, même si cette fois seul le bouclage en avril a été géré en distanciel. Nos journalistes en herbe ont pu travailler en mars sur leurs reportages et interviews. Les idées ont fusé pour les classes inscrites sur le projet (2TAO, 2ECP, OL1) et ainsi de nouvelles rubriques voient le jour.

"Que sont-ils devenus ?" : les jeunes ont retrouvé la trace d'anciens élèves du lycée.

"Joki Métiers"  : avec un zoom dans ce numéro sur les métiers liés à l'esthétique.

"Joki Fake"  : les 2TAO ont le sens de l'humour et le démontrent en page 8 avec la création de Fake news, une façon de sensibiliser à la désinformation.
Ces nouvelles rubriques seront reprises dans les prochains Joki News et sont à suivre aussi en podcasts sur Joki Radio. Le comité de rédaction.

Débutant dans le monde du travail, les terminales Commerce ont eu l’occasion de participer à des simulations d’entretien Rotary destiné à se préparer dans la démarche de recherche d’emploi, à différents entretiens pour du travail, des stages ou un apprentissage et pour pourvoir bénéficier des conseils d’experts dans le domaine. Ce projet a pu être mis en œuvre grâce à leur professeur principal qui a organisé tout cela avec l’aide de professionnels actifs ou d’anciens professionnels : M. Charlot, au Rotary depuis plusieurs années et qui était professeur à la faculté, M. Fresneau ancien recruteur à la Poste, M. Bihl dans le tourisme, Mme Badouard psychologue et M. Oreillard qui travaille dans le conseil. Ces entretiens ont été effectués du 8 février au 25 mars 2021. Mme Douillard, professeure principale des TCOM connaissait M. Charlot car avant il venait sur le site Saint Serge pour passer des entretiens avec quelques élèves. Il a été contacté cette fois pour rencontrer toute la classe.

Au MEDEF

Les entretiens ont eu lieu pour la plupart dans les locaux du MEDEF à Angers. Les lycéens pouvaient s’y rendre avec les transports en commun, en voiture, ou à pied.

Et bien sûr, "on leur demandait d'être habillés avec une tenue professionnelle adaptée pour un entretien d’embauche » conclut Mme Douillard. Lou-Ann (TCOM).

Sans nul doute, ces éléments contribuent à la qualité de vie des élèves mais ils ne sont pas l’essence même de l’Education.

La formation, générale ou professionnelle, reste incomplète si elle n’allie pas la dimension humaine et citoyenne.

Nos élèves sont nos futurs collaborateurs, ils sont celles et ceux qui composeront la société de demain et qui lui donneront un sens.

Pour éveiller nos jeunes

Il est donc essentiel d’éveiller nos jeunes et de les sensibiliser à l’engagement et à la solidarité. Et c’est dans la classe mais aussi en dehors que ces valeurs peuvent se vivre, portées par toute la communauté éducative de l’établissement.

Le beau projet qui a permis de transformer une remorque frigorifique en logement d’urgence, porté par plus de 120 jeunes et 8 formations du lycée et largement relayé par la presse, est un illustre exemple de ces valeurs.

L’engagement a été total, de la conception, à la recherche de moyens, à la réalisation, aux démarches administratives et commerciales, à l’accueil et à la coordination de l’ensemble du projet.

Fidèle à l’esprit du Père Joseph WRESINSKI, cette initiative amorce l’âme qui diffuse dans notre établissement. Il y a un an, je disais que nous avions un magnifique écrin qu’il fallait maintenant doter d’une âme et d’une identité connues et reconnues.

Véritable élan de solidarité

Sur les pas du projet de la remorque, les enseignants et l’aumônerie du lycée ont déjà lancé de nouvelles initiatives au service des élèves en situation précaire et à destination des habitants du quartier en lien notamment avec le CCAS de la ville d’ANGERS. Cela est en train d'essaimer un véritable élan de solidarité et de générosité au sein de tout l'établissement. Sortir diplômé du lycée Joseph WRESINSKI, c’est devenir un professionnel compétent et un citoyen engagé !A. BELANGE.

Thomas Chauvigné, ancien élève du lycée est passionné par le dessin, l’architecture et la rénovation du patrimoine ancien. Il a réalisé une formation de 2003 à 2005 en BEP TAH (technique de l'architecture et de l'habitat) désormais intitulé TEB (technicien en étude du bâtiment) et ensuite un BAC CBGO (Construction, bâtiment et gros œuvre) de 2005 à 2007. Il souhaitait devenir tailleur de pierre ou architecte d’intérieur. Au lycée, il appréciait « le très bon échange avec les professeurs et les stages en entreprises ». Il a réalisé ses stages à Logémaine et au Cabinet Daniel Chiaramella (architecture), chez Anjou Maçonnerie (en gros oeuvre), Atelier Dainvaux-Rénov'Anjou (taille de pierre). Durant les cours de pro, il a acquis des compétences en dessin d’architecture, topographie. Après son BAC en construction, il a décidé de changer d’orientation car le dessin lui manquait. Il a donc réalisé une année préparatoire en arts appliqués puis un BTS communication visuelle à l'École Supérieure d'Arts Appliquées et de Design à Angers. Aujourd’hui il a toujours la notion de dessin et de création, il est réalisateur/motion designer (graphiste en film d'animation, réalisateur de films pub). Il a réalisé les capsules vidéos avec les portraits de jeunes du lycée (à retrouver sur le site et la chaîne You Tube du lycée).

Léa et Lee-Lou (2nde ECP).

Estelle Simonneau, ancienne élève d’Esthétique Cosmétique Parfumerie au lycée a poursuivi son parcours en s'orientant vers le luxe. Après un BTS Métiers de l’Esthétique, de la Cosmétique et de la Parfumerie, elle étudie en licence spécialisée dans la mode et la beauté de luxe en alternance avec la maison Chanel à Paris. Elle s’est orientée dans l’esthétique car pour elle il est important de prendre soin des autres. Elle est passionnée par l’univers de la beauté, du maquillage et du luxe depuis longtemps.

En route vers le Master

Dans ce métier, des difficultés s’imposent dont la situation économique actuelle. Cela demande beaucoup d’investissement, de nouveauté. Il est important de répondre aux besoins de chacun et de se démarquer des autres. Elle a choisi la Maison Chanel étant passionnée par son histoire « les codes de la maison sont simples mais luxueux (mode à la Française). »

Elle a pour projet de poursuivre ses études par un Master dans le luxe pour pouvoir être cadre supérieur ou même créer son entreprise. Son plus grand souhait ? « devenir Make-up artist. »

Romane et Marine (2nde ECP).

Rudy Onillon ancien élève de Bac Pro comptabilité du lycée, est aujourd’hui tatoueur. Depuis 7 ans, il a repris l’entreprise familiale « Tatoo Studio » créée par son père Tewfik en 1983 et propose des prestations de tatouage et de piercings qu’il peut pratiquer uniquement sur des personnes majeures.

D’après lui, ce métier demande « une certaine capacité dans le dessin, de la précision, de la confiance en soi, de l’adaptation à la sensibilité du client, une bonne gestion du stress, beaucoup d’entraînement et il faut aussi apprendre à toujours persévérer ».

Recrutement en vue

Pour réaliser un tatouage, Rudy dispose d’un matériel spécifique dont le dermographe pour tracer le tatouage qui a beaucoup évolué depuis sa création jusqu’à aujourd’hui.

Rudy s’est donc orienté vers le métier de tatoueur car il aime beaucoup faire des tatouages réalistes ou des portraits et il savait qu’il voulait faire ce métier depuis toujours.

Cette période de pandémie a eu un impact sur son temps de travail mais n’a pas arrêté les projets du studio, car très bientôt, il prévoit un agrandissement et le recrutement d’une personne pour l’accueil.

Romane et Marine (2nde ECP).

Malick Sylla est un ancien élève en formation CAP Coiffure (2016) puis en CAP Métiers de la mode et du vêtement (2018). Originaire de Guinée, son parcours est celui de nombreux migrants arrivés sans papier, il lui a fallu faire ses preuves pour obtenir le sésame délivré par la préfecture. Après l'obtention de son diplôme en coiffure, Malick a poursuivi en CAP couture. Mme Onillon, la documentaliste se souvient de ce choix «  Avec M.Subileau, enseignant pro, nous avions mené un projet avec la classe et Malick faisait preuve de réelles capacités pour les travaux manuels, nous lui avons conseillé de s'orienter vers la mode » .

Et il s’est très vite intégré : « Les élèves et les professeurs m’ont beaucoup aidé dans ma formation et dans mon orientation » confie-t-il.

Danseur hip-hop

« Malick est un danseur exceptionnel ! Il avait réalisé une magnifique chorégraphie hip-hop au spectacle du lycée à Chanzy il y a quelques années » se souvient Mme Emeriau son enseignante de français. « Il a même défilé aux Greniers St Jean en costume de marié : canon ! ». 

Malick ne regrette pas du tout son passage au lycée et les formations suivies. Depuis février, Malick, âgé de 22 ans travaille pour l’entreprise ELIS ANJOU à Avrillé où il est « retoucheur ». Son rôle « je dois remettre à neuf des tenues professionnelles en faisant des petits travaux de couture ».

Eric-Yohann et Ben Amine (OL1).

Ancien élève du lycée, Mario étudie à Audencia Sciences Com en Bachelor Communication et Médias. En 3ème, il avait plein d’idées d’orientation ! Il a fait un Bac Pro GA au lycée puis un BTS Support à l'action managérial au Sacré Cœur. Il est rentré sur concours à Audencia pour un bac +3 et un master. Ce qu’il aime ? « le travail d’équipe, le cours de projet d’entreprise et le planning, différent chaque semaine ». Cours de Communication Média et Politique, Communication Digitale, Micro Agence, Communication Orale, ateliers (Websérie)... c'est varié.

Croire en soi

Les qualités ? «  Il faut être motivé, passionné, déterminé, optimiste, avoir de l’imagination, entreprendre ».

Ses projets ? «  Devenir responsable de la Communication chez Google ou Microsoft, se diriger vers Youtube ou Twitch, s’orienter vers le journalisme, créer sa Startup et peut-être en plus, faire modèle photo ou mannequin ! » Mario garde un souvenir en tête, une remarque de celui de Mme Baudet, sa prof en éco-gestion au lycée qui lui avait dit « Tu verras, tes efforts vont payer ! ». Cette phrase l’a marqué.

Conseils pour les GA : « Prendre de l’avance sur les cours, bien réviser, rester motivé, avoir de l'ambition et surtout croire en soi ! ».

Alexia et Lison (2ECP).

Vanessa Ferant professeure en matière professionnelle en filière TAO (Technicien en Appareillage orthopédique) depuis la rentrée de septembre 2020 a un parcours atypique. Elle a commencé par un BEP Carrières Sanitaires et Sociales en 2000 au Lycée Sainte-Marie. En 2002, elle passe son BAC en Sciences médico-sociales. En 2010, elle obtient le diplôme d’orthopédiste-orthésiste-podologiste à Paris, elle a alors 28 ans.

Orthopédiste
au Centre de la Main

Après son diplôme, elle travaille en tant qu’orthopédiste pour le Centre de la Main, ensuite orthopédiste dans une pharmacie puis dans un magasin de matériel médical. Elle a d’autres expériences professionnelles comme « secrétaire médicale, aide-soignante, agent de service hospitalier ». Elle exerce le métier d'orthopédiste pour la création de nombreux matériaux médicaux, soulager la douleur des patients… Les difficultés en tant que professeur est selon elle « d’arriver à susciter l’intérêt chez les élèves et être compris par eux ». Elle est arrivée au lycée par « le bouche à oreille, j'ai entendu parler qu’il cherchait un(e) professeur(e) dans la filière TAO ». Elle est passionnée par son nouveau métier. En dehors du travail, elle apprécie différents loisirs « du sport, de la lecture » et aussi « la vie de famille qui occupe pas mal de son temps ».

Etienne et Simon (2TAO).

Stéphanie Dilé nous raconte son parcours d'élève au lycée, il y a 25 ans, jusqu'à gestionnaire de finances et de la comptabilité de l’établissement aujourd’hui. Après un BEP et un BAC Pro Comptabilité, Stéphanie Dilé a été tout de suite engagé à St Serge (avant la fusion Wresinski). Après son BAC Pro, elle était inscrite en BTS mais le lycée avait besoin de recruter une personne au service comptable. Une professeure de comptabilité a proposé son nom. Elle a pris le poste avec plaisir mais avec du recul elle aurait peut-être continué avec le BTS. Elle a fait de nombreuses formations et elle a acquis une expérience professionnelle sur le terrain. « Je conseille à toutes et tous, de continuer au maximum les études »

Dans son travail, elle apprécie « le contact avec les familles, le travail en équipe ». Elle a aimé son passage au lycée St Serge « L’ambiance était très familiale avec beaucoup de sorties organisées, une très bonne période de ma vie ». Elle côtoie Mme Saulnier qui était sa professeure de communication, elle a eu aussi Mme Le Gall comme professeure d’EPS. Mme Allusse était déjà CPE et Sophie Fortin "une jeune surveillante".

Son métier aujourd'hui consiste à gérer le côté financier de l’établissement (bilan, compte de résultat, règlement de factures). Mme Dilé travaille au lycée depuis 25 ans, elle envisage de continuer et pourquoi pas de finir sa carrière ici jusqu’à sa retraite.

Elhadj et Jamel (OL1).

Iris Gastineau est « rentrée au lycée en septembre 2015 » et a terminé ses études en juin 2018. Elle a eu trois belles années de lycée accompagnée de Mmes Fardeau, Henaff et Hamel « des profs à l’écoute de leurs élèves, un lycée comme celui-ci il n’y en a pas beaucoup ! » dit-elle. Elle ne regrette absolument rien de son parcours.

Aujourd’hui elle est épanouie dans son travail, elle dit même que « quand elle pousse la porte de l’Institut le matin, elle n’a pas l’impression d’aller travailler ».

Déjà, à l’âge de 10 ans, elle commençait à s’intéresser au métier.

Formation Guinot

Après avoir eu son bac pro au lycée, elle a été embauchée dans un Institut traditionnel sur Candé. Elle a pu réaliser différentes formations comme chez Guinot, une autre formation à la chambre des métiers et prochainement une semaine à Bordeaux pour faire de nouveaux soins pour son institut qu’elle a ouvert à 19 ans le 16 juillet 2019. Il se trouve à Bel Air de Combrée à 30 minutes d’Angers. Voici une de ses journées type : « Début de journée à 9h30 avec une teinture des sourcils et épilation du visage, puis toute la matinée des épilations jusqu’à 12h30, pause de 12h30 à 14h30 et l’après-midi des épilations et soin du visage, fin de journée à 19h. » Son regret «  la fermeture du salon en avril, dit commerce non essentiel »

Juliette et Shelsy (2ECP).

Cindy Gautier, maquilleuse pour la marque SLA (Serge Louis Alvarez) nous a fait quelques confidences à propos des modèles pour la réalisation d'un maquillage. « En fait, tout dépend de la prestation. Quand je travaille avec une équipe sur un shooting photo, un clip vidéo ou pour un défilé, les maquillages sont établis à l’avance car ils doivent être validés en amont, même s’il arrive souvent qu’il y ait des changements de dernière minute, voire le jour même, il faut donc savoir s’adapter et être créatif. Pour les autres prestations, je n’ai aucun modèle, même pas pour les masterclass où je laisse mon imagination faire. »

Gwenaella et Charline (2ECP).

Cela fait plus d’1 an que Romy travaille pour Peggy Sage après avoir travaillé pour une marque de parfum de Luxe à Paris pendant 5 ans.

Quel est votre parcours ?

«  Après mon BAC général, j'ai passé le CAP esthétique en 1 an. J’ai ensuite poursuivi par un BTS esthétique, un DUT Techniques de Commercialisation, et enfin un BACHELOR expert en marketing beauté.

Quelles sont les tendances manucure du printemps ?

Les couleurs pastel et les baby boomer sont très demandées en ce moment.

Quelle est l'histoire de la marque ?

Peggy Sage est le nom de la créatrice. La marque a été créée en 1905. On peut retrouver les produits dans 110 pays. Ce n’est pas une gamme de Luxe mais cette marque vend des produits professionnels.

Quelle clientèle avez-vous ?

Essentiellement des femmes et quelques hommes qui sont des chefs d’entreprises.

Quels sont les produits que nous pouvons retrouver ?

Cette marque vend des vernis et soins pour les ongles, du maquillage, des soins corps et visages, des produits pour les épilations et des accessoires professionnels. »

Méline et Lana (2ECP)

Les 2ECP ont participé à l'intervention sur le maquillage de la marque SLA (Serge Louis Alvarez), animée par Cindy Gautier, maquilleuse professionnelle. Interview.

Quelles sont les difficultés du métier ?

Avoir un contrat en faisant uniquement du maquillage est quasiment impossible comme c’est un métier d’évènementiel ou de missions temporaires. La difficulté est de créer une entreprise, voire de devenir intermittent et devoir se créer un réseau, sachant que quand nous travaillons avec des particuliers, il est difficile de les fidéliser car le maquillage va avoir lieu pour un évènement, et nos clientes n’ont pas d’évènements tous les mois. L’idéal est de travailler avec des entreprises, dans l’animation, l’évènementiel et l’audiovisuel pour avoir un maximum de contrats.

Quels sont les points forts de la marque SLA ? Le fait d’être une marque made in France, avec des produits composés d’ingrédients naturels, sans substances controversées et non testés sur les animaux sont ses atouts majeurs. C’est une marque avant-gardiste, qui a su se réinventer sans cesse, avec un excellent rapport qualité/prix. Mes clientes en sont ravies.

Quel est le maquillage tendance pour le printemps ? Comme depuis quelques années, la tendance au niveau du teint, c’est un teint lumineux, frais et naturel, avec un blush bonne mine bien présent, à peine poudré, très glowy !

Pour les lèvres, fini le mat ! Les lèvres sont glossy avec un rouge à lèvres dans les tons bois de rose, framboise ou corail, qui donne tout de suite un effet bonne mine. Enfin, pour les yeux, les couleurs sont tendances : sur plusieurs défilés, on retrouve du rouge, bleu, violet ou même du jaune. Nous retrouvons également le liner graphique pour celles qui osent. 

Gwenaella et Charline (2ECP).

L’abaissement du niveau des cours d’eau est l’occasion pour le Département de procéder au nettoyage des rives. Lors des précédentes écourues en Maine, en 2015, plus de 4,6 T. de déchets en tous genres avaient été retirées de la rivière. Cette année, la collecte des déchets a déjà permis de retirer de la rivière une trentaine de vélos, plusieurs tonnes de ferraille... Le Département procède à un grand nettoyage mais également à des travaux d’entretien de la rivière, de ses rives, de ses ponts et barrages. Cette année, les écourues de la Maine et de la Sarthe permettent de réaliser des travaux d’aménagement pour améliorer la continuité écologique. Les écourues sont propices au retrait des déchets découverts dans le lit de la rivière. Lors de ce nettoyage, une découverte a été faite avec la pêche d'un poisson rare, un pléco, poisson-chat originaire du nord de l'Amérique du Sud, rendu populaire pour ses qualités de détritivore, et pour cette raison parfois surnommé poisson-nettoyeur. Alexia et Solène (2TAO).

Ce boys-band mythique anglo-irlandais de musique Pop pour les adolescents des années 2000, formé à Londres en 2010, a sorti 5 albums exceptionnels. En septembre 2012, le groupe sort un single intitulé Live While We're Young. Le titre atteint rapidement le top 10 des classements mondiaux. Un second single est annoncé, Little Things, et devient le second single du groupe à se classer 1er au Royaume-Uni. En novembre 2012, leur second album, Take Me Home est sorti. Ils se sont séparés en 2016 car ils ont voulu se concentrer sur leurs projets personnels. Cinq ans après, les One Direction vont se reformer pour donner un concert à Angers au Festival Tempo'Rives, ce sera le 13 juillet 2021.

Deux soirs par semaine

Créé en 2009, ce festival a lieu chaque été deux soirs par semaine, sur des scènes musicales montées sur les berges de Maine. Y partagent l'affiche, des groupes internationaux et des artistes émergents angevins. Tempo’Rives est un festival accueillant des artistes de tous les genres musicaux, des artistes internationaux avec en 1ère partie des groupes amateurs et émergents du territoire. Ils seront à nouveau au rendez-vous pour des concerts gratuits deux fois par semaine, en bord de Maine et dans les quartiers.

Enora, Laëtitia, Noah (2TAO).

"Fake news" ou "infox", ces mots sont à la mode et connus d’une majorité de lycéens. Mais comment les repérer et surtout, comment vérifier si une image ou une information est fiable ? Les 2TAO vous mettent à l'épreuve dans cette page avec trois articles mêlant info et intox. Votre mission, si vous l'acceptez sera de débusquer la Fake parmi les vrais infos. Avant d'arriver à ce travail, nos apprentis journalistes ont échangé en visioconférence avec Claude Saulais le journaliste de l'Association JDL qui accompagne le comité de rédaction de Joki News.

Un post va paraître dans les prochains jours sur le compte instagram lycee_wresinski et sur le Facebook Joseph Wresinski pour vous inviter à réagir sur le sujet.

Une Box "Joki Fake" sur le bureau des profs-docs au CDI vous permettra aussi de vous exprimer.
Les 2TAO attendent vos retours. Pour ceux qui préparent la certification Pix, l'exercice sera "easy" ! Le comité de rédaction

Calixte de Nigremont, artiste de rue, qui se dit Champion du Monde de Conversation, arrive au lycée Joseph Wresinski pour sélectionner la meilleure pipelette.

Cette figure incontournable des Accroche-Cœurs a déjà animé de nombreux championnats de conversation. En 2019, pour la première fois dans l’histoire du championnat du monde de conversation, le vainqueur était une femme. Une Angevine, Inès était devenue la reine de la tchatche lors de cette 21e édition des Accroche-Cœurs. Au lycée, le concours sera ouvert à tous les tchatcheurs et tchatcheuses avec deux catégories, les lycéens et les personnels du lycée. Vous avez l'été pour vous entraîner.

Inès qui a survécu à un marathon de 5 h de conversation livre son secret :« On ne s’entraîne pas vraiment. Depuis, mes 12 ans je n’ai jamais arrêté de parler. »

Rendez-vous en septembre pour les qualifications, avant la grande finale le 1er octobre ! Solène et Lisie (2TAO).

« Le théâtre est fermé depuis le 31 octobre 2020 et nous ouvrirons de nouveau quand nous aurons l’autorisation de l’Etat » se désole Florent Goulette, directeur et programmateur du théâtre du Champ de Bataille, situé à proximité du lycée et avec lequel plusieurs enseignants ont l'habitude de travailler. Comme les autres théâtres et cinémas, cette salle subit la pandémie.

A cause d’elle, l’accès à la culture est assez limité. « Je n’ai pas du tout envie de parler de pandémie dans les œuvres accueillies par le théâtre, mais nous avons surtout envie de le réouvrir. »

Florent Goulette est captivant lorsqu’il parle du travail des Compagnies de théâtre : « Ces derniers mois, le public ne pouvait pas avoir accès à la salle, seules les compagnies venaient répéter. Elles n’ont pas cessé de jouer, pour présenter leur travail aux professionnels, avec le protocole sanitaire bien sûr. » confie-t-il. Le Théâtre (sur)vit grâce au Fonds de Solidarité de l’Etat. Espérons que cela ne dure pas ». Paul et Théophane (OL1)

Le secteur de la culture se mobilise pour préparer la saison estivale. Annulé l’été passé, le festival d’Anjou aura lieu du 7 juin au 3 juillet 2021, en extérieur au château du Plessis-Macé, aux arènes de Doué-la-Fontaine, au cloître Toussaint à Angers. Le 25e festival de Trélazé se prépare également en coulisses, la jauge est pour l’instant fixée à 2 500 personnes assises. Il faudra réserver son billet, même si tous les spectacles restent gratuits. Avec Marc Lavoine, Raphaël, Black M, Superbus,... 16 concerts sont programmés du 20 juin au 28 août 2021. Du côté du Chabada, on se projette aussi en extérieur à partir de la fin mai, dans les rues d’Angers, sous forme d’impromptu. «  Ce sera, en fonction du cadre sanitaire et des autorisations municipales »​ explique Mélanie Alaitru, la codirectrice du Chabada. En juillet et août, dans le cadre du programme estival de la ville, des concerts pourraient aussi être joués dans le jardin du musée des Beaux-arts. Le comité de rédaction.

«  La mode se démode, le style jamais » cette citation de Coco Chanel en dit long de la personnalité de cette saumuroise de naissance. Gabrielle Chasnel, mondialement connue sous le nom de Coco Chanel, née le 19 Août 1883 à Saumur, deviendra une icône de la mode. Son passé reste vague. Coco « s’attacha avec acharnement à effacer toutes traces du sort si cruel qui fut le sien » lit-on dans L'Irrégulière d'Edmonde Charles-Roux. Son père rencontre et « déshonore » une jeune fille de 19 ans avec qui il aura un enfant prénommé Gabrielle Chasnel. Durant sa grossesse, son père s’enfuit mais sa mère a persévéré pour le retrouver et lui faire reconnaître sa paternité. En raison de ce problème, c’est l’officier de l’Etat-Civil qui écrit Chanel avec un « s ». Tous deux sont annoncés mariés alors que ce n’est pas le cas. Suite à la mort de sa mère et à l’abandon de son père, son enfance est une errance jusqu’à son entrée au couvent. C’est d’ailleurs dans cet orphelinat qu’elle découvre le métier de la mode. Les 100 ans du N°5

« Une femme sans parfum est une femme sans avenir » Coco Chanel a cassé les codes. Son nom reste associé au mythique N°5 sorti en 1921. La maison Chanel a marqué l'histoire du luxe. Le N°5 a été choisi en référence au 5ème échantillon, sorti le 5 mai, 5ème mois de l'année. En 1960, Maryline Monroe déclarait « dormir avec quelques gouttes de Chanel N°5 ». Cela accentua la renommée internationale. Justine, Louna, Marie (2ECP).

Les 2.000 cinémas français sont fermés depuis cinq mois. Les professionnels s'attendent à un trop-plein de films à la réouverture. Même si la date de reprise est encore floue à ce jour (autour de la mi-mai), le Centre national du cinéma (CNC) a annoncé le 1er avril une dérogation pour permettre exceptionnellement aux films de cinéma de sortir sur petit écran, espérant éviter un trop-plein lors de la réouverture des salles. Au total, plus de 400 films sont en attente, chaque semaine, d'autres s'y ajoutent. "Plus tôt on rouvre, plus vite le problème sera réglé", livre le délégué général de la Fédération des cinémas (FNCF), Marc-Olivier Sebbag. Parmi les films attendus dans les prochains mois : le 1er volet de "Kaamelott" le 21 juillet, le nouvel "OSS 117" le 4 août, "Aline" de Valérie Lemercier s'inspirant de la vie de Céline Dion en novembre, "Les Tuche 4" le 8 décembre, un an après sa date initiale.

Tennisman professionnel, Nicolas Mahut, né en 1982 à Angers vient d'officialiser l'annonce du 4ème tournoi international de tennis féminin, après de longs mois de travail. « Ce projet me tient à coeur, nous avons le soutien des collectivités territoriales qui nous accompagnent : la ville d’Angers, Angers Loire Métropole, la ville de Trélazé, le département et la région. Grâce à leur impulsion, le projet est sur de bons rails et nous allons travailler dur pour fédérer des partenaires privés » a-t-il expliqué.

Le tournoi, dont le nom sera (en attente d’un éventuel autre partenaire) “Open Angers Arena Loire” aura lieu du 6 au 12 décembre 2021 à Trélazé, son site principal et à l’ATC (Angers tennis club) pour son deuxième site de match et d’entraînement.

Un joueur de double

Mahut a commencé le tennis à 5 ans au SC Beaucouzé puis à Nantes, Poitiers, l'INSEP. En 1999, il a commencé sa carrière professionnelle. Sa notoriété a décollé après avoir joué le match le plus long de l'histoire du tennis professionnel, contre l'Américain John Isner lors du tournoi de Wimbledon 2010 sur une durée de 3 jours (en 11h05' de jeu, 5 sets, 183 jeux effectués).
Ses performances en double l'ont conduit à devenir numéro 1 mondial en 2016, ce qu'aucun joueur français n'avait réussi, sauf Yannick Noah en 1986.
Aurélien et Raphaël (OL1).

Pourquoi êtes-vous au lycée ce midi ? Je suis venu mixer pour accompagner le grafeur Joe Popi dans sa performance artistique avec les jeunes sur la Remorque.

Vos débuts dans le métier ? Le jour de mon mariage ! J’ai fait le DJ en même temps. J’ai mis la musique que j’aimais. C’est mon mariage, c’est ma vie.

A la base, je suis pianiste mais comme j’aime bien animer, je suis devenu DJ.

Quel est le lieu où vous préférez mixer ? J’aime les soirées où le public participe, où il y a de l’interaction, quand à la fin des concerts, les gens échangent, réagissent.

Quel est votre DJ préféré ? Je dirais DJ Snake. Un DJ, c’est un beat-maker, il y a Beat Skella.

Quelle est la musique que vous n'aimez pas mixer ? Je n’aime pas trop passer Sardou, Claude François ou Goldman. Si on me demande Patrick Sébastien, je suis crispé.

Comment réagissez-vous aux critiques ? Si c’est quelqu’un de bienveillant, pas de souci, ce ne sera pas une critique mais un conseil.

Comment ça fait de mixer sans public ? C’est dur à vivre.

Ismaël et Rémi (OL1)

M. Poulain, professeur d’anglais, M. Le Cann, professeur en Logistique et M. Bélangé, directeur du lycée, considèrent « la moto comme une passion ». Pour Mme Gibouin, professeur de maths-sciences, « la moto est plus un loisir à partager avec son mari ».

M. Le Cann et M. Bélangé adorent faire de la moto sur la Corniche Angevine, une longue route vers Chalonnes-sur-Loire et M. Poulain aime aussi rouler pour aller découvrir d’autres départements. L’envie de faire de la moto est venue de la famille ou d’autres motards expérimentés. « J’ai vu une femme de ma taille sur une moto, ça m’a décomplexé » confie Mme Gibouin. La suppression de l’interfile c'est-à-dire le fait de se faufiler entre les véhicules lors d’embouteillages reste un regret pour tous.

Routière ou sportive

Ils ont différentes préférences, les routières pour la majorité. M. Poulain affirme « Je suis amoureux de motos sportives d’anciennes générations ». A chacun son modèle, une sportive comme la SUZUKI HAYABUSA GSX-R 1300 de M. Poulain, une puissante avec la BMW F800R de 2011 de M. Le Cann, une routière avec la TRIUMPH scrambler 850 de M. Bélangé et une petite 125cc pour Mme Gibouin. Les conseils de M. Poulain et de M. Bélangé «  connaître ses limites pour ne pas les dépasser, savoir se faire plaisir, anticiper sans mettre en danger la vie d'autrui ». En tant que rédacteurs de cet article, nous vous livrons nos conseils : «  Rouler "safe", anticiper, se protéger avec des équipements de bonne qualité. »
M. Fernandez, professeur de maths ou encore M.Richard responsable de la Maintenance et d'autres encore au lycée possèdent un engin à deux roues.
Et quand comme M.Jeanneau, professeur de maths, vous n'avez pas de moto, et bien vous roulez à vélo !

Melvyn et Valentin (OL1).