Le PSC1, c'est quoi ?

Le PSC1 ou certificat de prévention et secours civiques de niveau 1 est la formation de base aux premiers secours.

Cette formation se déroule sur une journée de 7 heures. Elle forme aux gestes simples qui sauvent des vies. Elle permet d'acquérir les compétences nécessaires à l'exécution d'une action citoyenne d'assistance.

A qui sert-il ?

Tous les métiers du domaine de la santé nécessitent l'obtention de ce diplôme. Les secouristes professionnels ont, bien entendu, des diplômes plus avancés. Cette formation est fortement conseillée pour les animateurs, les assistants sanitaires en accueil collectif de mineurs et aux métiers d'assistance à domicile.

Même si la formation n'est pas obligatoire, elle est un très bon complément au BAFA.

N'oubliez pas, vous êtes le premier maillon de la chaîne de secours !!!

Louise Bécot TES

Nouvelles épreuves :
les E3C

En février, les premières ont passé les nouvelles épreuves du bac 2021 : les E3C. Ces “Épreuves Communes de Contrôle Continu” concernaient l’histoire-géographie (2 heures) et les langues vivantes A et B (1 heure). Les sujets, correspondant aux cours des élèves depuis le début de l’année, ont été choisis par les professeurs dans une banque nationale. Les élèves repasseront ces épreuves en mai et au troisième trimestre de terminale, l’enseignement scientifique sera également évalué dans ces deux prochaines sessions. Au total, les E3C comptent pour 30 % de la note finale des élèves.

Avant les vacances, les premières ont donc passé ces épreuves au sein du lycée. À La Pommeraye ces épreuves se sont globalement bien déroulées contrairement à de nombreux lycées français. En effet, des élèves et des professeurs ont décidé de refuser de participer et de bloquer ces épreuves en contestation contre cette réforme jugée trop précipitée. Selon le ministre de l’éducation Jean-Michel Blanquer, 15 % des établissements qui accueillaient les épreuves ont connu des perturbations. Plus d’un million de copies ont déjà été numérisées en vue de leur correction.

Choix des enseignements
de spécialité

Depuis le début de l’année les secondes et premières expérimentent la réforme du baccalauréat. Pour tous, cette fin d’année est synonyme de choix : quels enseignements de spécialité choisir pour l’année prochaine ? Ces nouvelles matières remplacent les filières de l’ancien bac (L, ES, S).

Les secondes doivent en choisir trois à la fin de l'année parmi les sept proposés au lycée Saint Joseph. Pour les premières, qui ont déjà choisi trois enseignements de spécialité en seconde, il s’agit désormais de n’en garder que deux pour l’année de terminale (la troisième étant évaluée durant les E3C de fin de première). Les deux matières choisies représenteront six heures de cours par semaine et 16 %, chacune, de la note finale du baccalauréat.

Grâce aux sondages réalisés par e-lyco, nous pouvons observer ci-dessus les enseignements de spécialité. Ce sont les plus convoités à La Pommeraye. Comme dans les moyennes nationales, la matière la plus choisie reste les mathématiques même si, dans notre lycée, la SES (pour les secondes) et la SVT (pour les premières) sont aussi choisies par une majorité d'élèves.

Vincent Brunet 12

Afin de proposer un parcours riche en nouvelles expériences, le lycée de la Pommeraye va présenter un nouvel enseignement basé sur l'éducation physique et sportive.

Elle sera constituée de deux heures de pratiques sportives et d’une heure d’apprentissages théoriques.

Quelle APSA faisons-nous ?

Qu’elles soient artistiques, collectives, individuelles ou d’entretien, les élèves vivront un large champ d’activités. En seconde, les trois activités retenues sont le Triathlon athlétique, les activités collectives et le renforcement musculaire.

Qu’apprenons-nous ?

Nous étudierons différentes grandes thématiques telles que : les structures osseuses et musculaires, les fonctions vitales et leurs changements à l’effort ainsi que les indicateurs d’effort. Ils pourront également affiner leurs choix d’orientation en ayant connaissance des différents métiers du monde sportif.

Et l’évaluation, alors ?

Les élèves seront évalués lors de contrôles continus et d’un contrôle final.

Le contrôle final sera sous la forme d’un oral afin de préparer au grand oral du BAC. En respectant les consignes d’évaluation données, les élèves répondront à une problématique de leur choix.

N’hésitez pas à questionner vos enseignants d’EPS pour en savoir plus. Ils pourront certainement vous conseiller au mieux de vos capacités et de votre profil !

L’équipe EPS

Le 27 janvier dernier, les élèves de première et terminale étaient conviés, pour ceux qui le souhaitaient, à une réunion d’information sur le Centre d’Information et de Recrutement des Forces Armées (CIRFA). Les trois armées y étaient représentées : l’Armée de Terre, la Marine Nationale et l’Armée de l’Air. Les trois militaires nous ont alors présenté les différents corps de métier communs aux armées ainsi que les métiers spécifiques dans chacune des trois armées.

En France métropolitaine et outre-mer, on compte 104 centres de recrutement (CIRFA), le plus près, se trouvant à Angers (8 Place La Fayette, 49000 Angers).

Clémence Pithon TLES

Vous n’êtes pas sans savoir que, depuis le lundi 16 mars, tous les étudiants de France sont contraints à l'enseignement à distance pour une durée indéterminée en raison de la crise sanitaire qui touche le monde… La question suivante a alors dû traverser l’esprit d’un grand nombre d’entre vous : que faire pendant ce confinement ?

Pour vaincre l’ennui, nous pourrons d’abord compter sur l’aide de nos chers professeurs qui nous donneront, bien évidemment, du travail (eh oui, nous ne sommes pas en vacances !). Mais ensuite ? Que pourrions-nous faire lors de nos temps libres sans pouvoir sortir ?

Nous avons la chance de vivre cette période au XXIe siècle ! Car les nouvelles technologies ont envahi, depuis plusieurs années, notre quotidien et grâce à elles nombre d’entre nous pourront être satisfaits ! Entre les jeux en lignes, les vidéos de divertissements, de tutos, les réseaux sociaux… nous pourrons, tout en restant chez nous, apprendre de nouvelles choses, nous divertir mais aussi continuer de parler et de voir nos amis et nos proches à distance sans prendre le risque de les contaminer !

Si l’accès à ces technologies n’est pas assez satisfaisant, nous aurons toujours la possibilité de lire, jouer à des jeux de société en famille, dessiner, dormir, faire un peu de sport, jardiner, prendre des photos, écouter de la musique, cuisiner ou, encore, profiter de ce temps magnifique pour faire bronzette !

En attendant de vaincre ce maudit virus : RESTONS CHEZ NOUS !

Amélie Besnard TES

Durant le Carême, qui a commencé le Mercredi des Cendres, et qui s'est achevé le Jeudi Saint, nous avons vécu une importante crise sanitaire. En effet, certaines personnes ont été mises en quarantaine. Ceci peut nous rappeler les 40 jours que Jésus a passé dans le désert, faits de privations et tentations. Le diable est venu tenter le Christ. Les 40 jours du Carême renvoient aussi aux 40 années que le peuple d'Israël a passé dans le désert entre sa libération d'Egypte et son arrivée en terre promise. Ce chiffre "40" symbolise la préparation à un nouveau commencement. Le Carême est une période de jeûne physique et/ou spirituel, et aussi un temps de conversation avec le Christ. La crise liée au coronavirus nous permet de faire le point sur ce qui est important dans nos vies et la place donnée à nos priorités. Ce n'est pas une période facile, elle peut être ponctuée de moments de souffrance. Mais, à la fin, nous en sortirons nouveaux.

Louise Bécot TES

Si nous creusons vers les catacombes du lycée, nous trouvons une salle noire... Mais aucune inquiétude, ce ne sont que les théâtreux ! A St-Joseph, une espèce à part aime se cacher au sous-sol avec Mme Noilhetas, la professeure de théâtre, et Chloé, la comédienne qui les accompagne. C'est parfait ainsi car cela leur laisse le loisir de crier comme bon leur semble, et c'est assez fréquent. Mais l'option théâtre est aussi un endroit qui a fait grandir tous ses apprentis, sans exception. D'ailleurs, l'une des premières leçons que l'on y apprend, c'est que "le ridicule ne tue pas" (on se charge bien de nous le rappeler). D'autre part, c'est un lieu où on apprend à travailler ensemble, à s'écouter, mais par dessus tout, c'est une grande famille.

A. Lirondière et M. Buty TL

Lors de cette journée, le jeudi 12 mars 2020, tous les secondes étaient conviés à la journée "made in Angers". Cette journée avait pour objectif de faire découvrir aux lycéens le monde professionnel des entreprises et des universités.

Nous sommes donc tous partis à 13h15 pour Angers séparés en 6 groupes dans 6 différents endroits qui sont EMMAÜS (association de lutte contre la précarité), PACem (un laboratoire d'analyse cellulaire et moléculaire), L'Institut Confucius (un centre de référence et d'apprentissage de la langue et de la culture chinoise), le BTP en CFA (centre de formation des apprentis), les Compagnons du devoir et l'ISTOM (école supérieure d'agro-développement international).

Une journée riche
en découvertes

Notre groupe est allé à l'ISTOM qui est une école d'ingénierie, d'agronomie et de développement. On nous a fait visiter l'école et nous avons eu un moment de questions et de réponses avec un gérant sur cette école et aussi sur les écoles d'ingénierie en général. Nous avons parlé du nouveau bac, des diplômes que nous fera passer l'école, des cours, des projets de l'école, des idées qui animent l'école, des stages à l'étranger, de l'importance d'avoir des diplômes reconnus par l'État et de l'importance du TOEIC (le TOEIC ou Test of English for International Communication est un certificat qui est le même dans le monde entier, qui montre ton niveau d'anglais, et comme celui-ci est international, il a de la valeur dans tous les pays) .

Penser avenir

Cette expérience nous a permis de nous concentrer sur notre avenir et les différents métiers possibles à la sortie de ces écoles, ou de ce que ces structures pouvaient nous apporter. Ce fut une journée riche en découvertes qui nous a tous aidés pour notre parcours professionnel.

Rémi Poupard 23

Qu'est-ce que ParcourSup ?

Successeur d'Admission Post-Bac (APB) ; Parcousup a été lancé le 15 janvier 2018, conçu pour faciliter l'entrée des jeunes dans l'enseignement supérieur.

Quelles sont les différentes étapes d'inscription ?

Depuis le 22 janvier 2020, les Terminales ont pu créer leur dossier d'inscription ParcourSup. Ils avaient jusqu'au 12 mars pour entrer leurs vœux (11 max), c'est-à-dire les formations associées aux écoles souhaitées..

Pour compléter leur dossier, ils devront fournir une lettre de motivation ainsi que tous les documents nécessaires (diplômes, certificats,...) pour l'inscription ; cette phase se fait jusqu'au 2 avril 2020. Les résultats apparaîtront à partir du 19 mai, c'est durant cette période qu'ils devront faire un choix définitif.

Vous souhaitez étudier à l'étranger ?

Pour poursuivre vos études au Royaume-Uni, le site qui vous permettra de sélectionner vos futures écoles ainsi que vos formations est UCAS (Universities and Colleges Admissions Service). Ce site qui s'adapte à tout profil vous servira également de guide dans votre orientation.

Loïse Landais TES

Vendredi 31 janvier avait lieu, au lycée, le forum « Notre avenir, parlons-en ». Le personnel éducatif a accueilli 88 anciens élèves de St-Joseph partis poursuivre leurs études ailleurs.

Plus d'une centaine de lycéens, ainsi que quelques collégiens, ont rencontré ces étudiants de différents horizons, qui poursuivent leurs études en grandes écoles, en écoles spécialisées, en BTS, en DUT, en licence ou en master. Ces étudiants ont présenté leurs études mais aussi la vie étudiante. Les élèves de St-Jo ont ainsi pu affiner leur projet d'orientation et découvrir des filières après le bac.

Douze salles thématiques

Pour concerner le maximum d'élèves, le forum s'ouvre à de nombreuses voies : les possibilités de rencontres étaient nombreuses. Ainsi, 12 salles thématiques proposaient les secteurs suivants : ingénieur, design, biologie, commerce, science politique, lettres, droit, sport, gestion, communication, santé, histoire, etc.

Les élèves de St-Jo ont pu obtenir des réponses à leurs questions sur leur projet d'orientation, et recevoir de multiples conseils de la part des étudiants.

Ce forum n'est que complémentaire des activités liées à l'orientation comme des rencontres avec des professionnels ou les cours passés en recherche d'études et de filières adaptées à nos envies.

Alors investissons-nous dans notre orientation, car notre avenir est entre nos mains !Sylvain Jolivet 12

Alors que les jours et les semaines défilent, que les examens se profilent et malgré le COVID-19, la fin de l’année scolaire semble approcher à grands pas. Pour les terminales, la perspective du mois de juin résonne comme l’aboutissement de trois années passées au sein du lycée. Le moment de se remémorer les nombreuses anecdotes qui ont égayé le quotidien à Saint Jo’.
Aucun doute, les voyages sont ce qui marque le plus les esprits. Les terminales se remémorent ainsi leur séjour à Lisbonne en octobre dernier et se rappellent la guide Marie-Jo et sa réplique absurde“ pour aller au centre commercial, il faut sortir du bus !”. Les souvenirs des moments collectifs seront peut être les plus pérennes : les instants passés à danser et crier des chansons paillardes sous la pluie à Nazaré, ceux partagés à manger les sandwichs insipides de l’auberge de jeunesse, …
Mais la simple vie de lycéen est elle aussi parfois parsemée d’instants mémorables.
Les plus anciens se souviennent ainsi de l’inondation qui avait, l’espace de quelques heures, fait “couler notre catamaran !”, éveillant l’euphorie générale. Tous les lycéens passés à la Pom’ se rappelleront aussi des seaux qui, les jours de pluie, étaient éparpillés dans le forum pour récupérer les gouttes tombant du plafond. Saint Jo’ n’est donc pas épargné par les éléments naturels !
Le percent est également l’occasion de rassembler les lycéens, qui s'amusent tant à participer qu'à critiquer les déguisements des terminales. Pour les profs aussi, cette journée sort du quotidien : dispenser des cours à des sumos ou à des princesses à la voix grave semble plutôt cocasse ! Alors que nous réservent les semaines à venir ? Jeanne Macé TES

Je m'appelle Maëliss Vautier. Je suis en classe de première et j'adore dessiner. Comme vous pouvez le voir ci-dessus, mon style, c'est surtout le manga. Je dessine depuis toute petite et, pour moi, le dessin, c'est avant tout un loisir. Je ne me considère pas comme une artiste ou comme quelqu'un ayant du talent. Je vois toujours, dans mes dessins, les points dans lesquels je me suis améliorée mais aussi ceux que je dois encore travailler…

Maëliss Vautier, 13.

SUDOKU

Le principe du Sudoku est de compléter 9 grilles de 9 cases avec les nombres de 1 à 9 avec un but :celui d'utiliser une seule fois un chiffre par grille et on ne doit pas retrouver deux fois le même chiffre sur la même ligne, et la même colonne.

Bonne chance !

ÉNIGMES

Quel jour  ?

Si nous ne sommes pas le lendemain de lundi ou le jour avant jeudi, que demain n'est pas dimanche, que ce n'était pas dimanche hier et que le jour d'après-demain n'est pas samedi, et que le jour avant hier n'était pas mercredi, quel jour sommes-nous ?

Mystère

A l'université, un maître pose un problème aux jeunes étudiants à qui il enseigne : "Chez moi la grossesse vient après l'accouchement, le futur avant le passé et la mort avant la vie." De quoi parle-t-il ?

Qui suis-je ?

Je commence par un E. Je me termine par un E. Je ne peux contenir qu'une seule lettre et pourtant je ne suis pas la lettre E. Qui suis-je ?

Faites travailler vos méninges jusqu'au prochain numéro, les solutions s'y trouveront !

Louise Bécot TES

Depuis des années, dans le cadre du Pôle International, le lycée a mis en place des partenariats avec des lycées situés à l'étranger. Ainsi, en février, les secondes ont pu partir en Espagne, en Slovaquie, en Pologne ou aux États-Unis.

Au programme, ce furent des visites mémorables : New York, "une ville comme on peut l'imaginer, toujours éveillée, comme dans les films", selon Laura et Chloé, élèves. Les élèves partis en Pologne ont retenu un moment marquant : la visite du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, "un lieu avec une atmosphère étrange et pesante, sans aucun bruit, juste du respect", témoigne Romain.

Des découvertes

Pour tous, ce fut la découverte d'un mode de vie "totalement différent de celui de la France", notamment à travers le système scolaire des pays : ainsi, aux États-Unis, "les élèves sont plus autonomes car le lycée leur fournit des ordinateurs pour l'année scolaire", racontent Constance, Léonie, Chloé et Laura. En Pologne, les élèves ont du s'habituer au froid. "C'est intéressant de découvrir un autre pays, avec sa culture et son mode de vie, même s'il y fait froid, c'est super", rapporte Baptiste.

Les secondes ont aussi pu faire des activités marquantes : en Slovaquie, "on a assisté à un opéra, c'était intéressant mais très long !", confie Julie. Chez nos voisins espagnols, les élèves ont pu marcher sur le chemin de Compostelle en compagnie de leurs correspondants, "avec qui on a vraiment fait connaissance lors de cette sortie, avec du beau temps et une très bonne ambiance", nous rapporte Ivana. De ces activités ressortent des anecdotes mémorables : "une fois, on allait à une activité en train. Mais on est descendus à la mauvaise gare ! On est restés, tous les français ensemble, seuls dans une ville qu'on ne connaissait pas", raconte Julie, partie en Slovaquie.

"Formidable"

Mais ils ont surtout pu rencontrer des personnes "formidables". "Le samedi soir pendant le voyage en Espagne, on est sortis avec nos correspondants, et malgré la barrière de la langue, ça ne nous a pas empêchés de s'amuser comme si on se connaissait depuis des années", témoigne Ivana.

Au final, pour tous "le voyage était formidable et très enrichissant car il apporte de la culture". "On ne peut pas revenir déçu du voyage, et on en gardera des souvenirs pour toujours", rapportent des élèves parties aux États-Unis. Les retrouvailles auront lieu d'ici quelques mois.

Sylvain Jolivet 12

D'août à octobre Solenne Dolbeau est partie en mobilité individuelle dans le Vermont. Pendant sept semaines, elle a pu découvrir l'école et le style de vie américain.

L’école américaine

Au sein de l’école, l’ambiance est beaucoup plus cool qu’en France. Une journée d'école commence à 8h et finit à 15h. Chaque cours dure 1h30, j’ai pu choisir les matières que j'ai suivi : US history, cuisine, maths, ou graphic design. Après les cours tous les élèves restent pour pratiquer un sport dans les installations de l’école. Tous les mardis, je participais à une compétition de cross organisée contre d'autres écoles. Le sport occupe une place beaucoup plus importante au sein de l'école.

Découvrir
une nouvelle culture

Avec ma famille d'accueil, j'ai eu la chance de visiter Boston et le Vermont. En plus des nombreux paysages, j'ai découvert une nouvelle culture, c'est une expérience hyper enrichissante ! Je conseille vraiment aux élèves de partir en mobilité. Au delà des progrès en anglais, ça m'a permis de gagner en confiance et en autonomie. L'intégration est un petit peu compliquée au début, j'avais beaucoup d'appréhension mais je ne regrette pas du tout et j'en garde de bons souvenirs.

Vincent Brunet 12

Cette année devait avoir lieu la 11e édition du festival "Regards sur le cinéma européen". Elle devait se dérouler en mars 2020 dans notre commune. En raison du confinement, le festival n'a pas eu lieu. Toutes les activités ont donc été suspendues. Les élèves de 1re du lycée devaient découvrir, le 27 mars 2020, un film/documentaire espagnol nommé "Le silence des autres" ("El silencio de otros"). Almudena Carracedo et Robert Bahar ont sorti ce film le 13 février 2019.

Le synopsis

1977. Deux ans après la mort de Franco, lors de la transition démocratique, l’Espagne vote la loi d’amnistie générale qui libère les prisonniers politiques mais interdit également le jugement des crimes franquistes. Les exactions commises sous la dictature et jusque en 1980 sont alors passées sous silence.

Mais depuis quelques années, des citoyens espagnols, rescapés du franquisme, saisissent la justice à 10 000 kilomètres des crimes commis, en Argentine, pour rompre ce « pacte de l’oubli » et faire condamner les coupables.

Pour l'Espagne, "El silencio de otros" a reçu le prix Goya du meilleur documentaire 2019 et la nomination European Film Awards - Prix du cinéma européen 2018 (Edition 31).

Anne-Charlotte Bourrigault 11

A l'heure actuelle, près de 8,4 millions d'hectares ont déjà été réduits en cendres, une donnée alarmante qui souligne encore un peu plus l'impact désastreux des feux de brousse qui sévissent depuis début septembre en Australie.

Cela fait donc six mois que les pompiers se battent avec acharnement contre des flammes difficilement controlables. Montant jusqu'à 30 mètres de hauteur, elles piègent sur leur passage de nombreux animaux et, notamment, les koalas, une espèce en voie de disparition.

Le pays étouffe sous les nuages de fumée toxique qui parcourent plus de 11 000 km et atteignent même l'Amérique du Sud. Ainsi, la faune et la flore se voient gravement touchées. Les derniers relevés mettent en exergue le nombre accablant d'animaux morts sous les flammes.

En effet, plus d'un milliard ont péri sur l'ensemble du territoire australien, un chiffre qui fait froid dans le dos !

Par ailleurs, la population n'en est pas moins touchée, le bilan des incendies s'élève à 28 morts. De plus, on lit des expressions criantes telles que "ma région est devenue un cimetière" mais le gouvernement reste insensible aux questions environnementales...

Les fortes précipitations de ces dernières semaines ont permis d'éteindre les incendies les plus importants et de maîtriser les autres. Rob Rogers, directeur adjoint du service des pompiers de l'État, a cependant précisé que "tous les feux ne sont pas éteints, il y encore une certaine activité dans l'extrême sud de l'État".

Clémence Pithon T LES

C'est le premier ministre actuel, Édouard Philippe, qui, le mercredi 4 mars 2020, a décidé d'utiliser l'article 49.3 pour faire passer la loi des retraites. Il a pris cette décision, lors du Conseil des ministres, avec le président.

Le recours à l'article 49.3 de la Constitution est une décision extrême qui permet au gouvernement de faire adopter une loi sans débat, ni vote à l'Assemblée Nationale. Pour rappel, une loi peut être adoptée si elle a été préalablement discutée, puis votée à l'Assemblée Nationale par les députés. Depuis le début de la Ve République, en 1958, le 49.3 a été utilisé 87 fois sur 52 textes. Pour le gouvernement d'Édouard Philippe la décision n'est pas sans conséquences. Deux motions de censure ont été déposées par la Gauche et la Droite contre l'adoption de cet article, mais elles ont été rejetées. Les opposants, La France Insoumise (LFI) , Les Républicains, Le Rassemblement National... ne sont pas en accord avec cette adoption de loi. Le chef de file LFI évoque même "un jour de honte", puisqu'Édouard Philippe a annoncé l'adoption du 49.3 le samedi 29 février, lorsque l'Assemblée Nationale était quasiment vide.

En effet, l'adoption du 49.3 est une mesure considérée comme antidémocratique (en limitant l'action du parlement) . Il fait pourtant partie d'une procédure constitutionnelle, utilisé dans un cadre strict. L'utilisation du 49.3 a été évoquée depuis le Conseil des ministres en janvier 2020 sur la réforme de la retraite, dévoilée fin 2019. Cette réforme divise beaucoup les Français, en majorité contre le "système universel à point des retraites" proposé par le parti LREM pour 2025. Les syndicats réformistes sont contre le recul de l'âge pivot, impopulaire, qui divise l'opinion publique et le législateur.

Ces derniers mois ont été socialement agités en raison des annonces et des modifications de la réforme par le gouvernement.

Anne-Charlotte Bourrigault 11

Au rythme auquel le coronavirus croît, se multiplient les questions sans réponses.

Quand le COVID-19 est apparu en Chine, à Wuhan, le calme semblait prédominer en France. Quoique légèrement inquiétés par la rapidité de la propagation, nous nous contentions de suivre attentivement les informations relayées en masse par les médias. S’y intéresser sans trop s’en inquiéter, car les Français se sentaient finalement peu concernés. Puis, le virus s’est approché de nos frontières. Et, depuis fin février, le nombre de victimes françaises est en augmentation exponentielle. C'est d'ailleurs dans l'optique de limiter ce nombre que le Président de la République a annoncé, jeudi 12 mars, diverses mesures, notamment la fermeture de tous les établissements scolaires, et a décrété, samedi 14 mars, le stade 3 de l'épidémie.

Avec le virus, est arrivée l'inquiétude. Quand certains ne semblent vouloir céder la place au désarroi, d’autres se ruent sur les produits de première nécessité. Panique ou relativisme : libre à chacun de choisir son camp pour affronter la crise sanitaire qui marque les débuts d’une décennie haute en couleur.

La contamination sur le sol français semblait pourtant inéluctable. Les frontières ouvertes par la mondialisation rendent impossible l’isolationnisme sanitaire d’un pays. Si l’on suit cette logique selon laquelle la mondialisation serait la cause de la propagation du virus, peut-on supposer que la Corée du Nord, espace en marge et territoire enclavé par refus de la mondialisation et de l’occidentalisation du monde, soit épargnée ? Quelle qu’en soit l’issue, cette crise paraît soulever les fragilités de notre système économique, politique ou social mondialisé, comme un écho aux critiques des altermondialistes.

Combien de victimes comptera la France ? Et le monde ? Autant de questions en suspens... Jeanne Macé TES

Cette comédie de Martin Provost nous replonge dans les années 60, au sein d'une école où une vingtaine de jeunes filles apprennent à être de bonnes épouses. À la veille de Mai 68, le film montre, d'un ton léger, l'apparition de l'émancipation féminine. Loin d'être une caricature, de nombreuses générations ont connu ses écoles ménagères.

Vincent Brunet 12

Le n° 1531 de Courrier International traite un sujet qui agite le monde actuel : l'écologie. En effet, aujourd'hui, des mouvements écologistes recourent à la désobéissance civile pour contraindre les gouvernements à agir face au dérèglement climatique. Leurs actions montrent l'incompatibilité de la démocratie avec l'écologie. Alors, devons-nous renoncer à certaines de nos libertés pour sauver l'humanité ? Courrier International ouvre le débat...

Sylvain Jolivet 12