Participer au Club journal, c'est une aventure passionnante, où vous pourrez faire preuve d’esprit d'initiative, d’autonomie et d’un sens du collectif fort.

Cette année, une opportunité supplémentaire vous est proposée : bénéficier de l’accréditation Erasmus + du lycée pour participer à un échange. En effet, nous débutons un partenariat avec le lycée de Buxtehude, près de Hambourg, en Allemagne. Lorsqu'ils viendront en France, nous leur feront découvrir notre lycée, notre journal et la région. Lorsque nous irons là-bas, nous rencontrerons des élèves qui apprennent le français et nous découvrirons leur entreprise d'édition d'un journal.

De quoi développer encore de nouvelles compétences. 10 élèves pourront partir en échange.

Si vous êtes intéressés par une poursuite d’étude dans le domaine de la communication, la participation au Club journal est un atout ! Elle est valorisée dans Parcoursup.

Vous pourrez acquérir des compétences précieuses et améliorer votre français tout au long de l'année.

Le Franklin’s News a plusieurs pages dédiées à la vie du lycée : les clubs, les spécialités, les actions menées par les uns et les autres, les talents des lycéens, les évènements culturels... Votre curiosité permettra à tous les élèves d'en savoir un peu plus sur ce qui rend notre lycée si particulier et si attachant.

L'année se termine avec ce dernier numéro. 4 éditions auront été publiées, portées par une quinzaine d'élèves journalistes, de la 2de à la Terminale.

Le Club journal, comment ça fonctionne ?

Cette année, comme ce sera le cas l'année prochaine, l'équipe au complet du Club journal se réunit tous les 15 jours au CDI. L'autre jeudi, une salle avec ordinateurs est mise à disposition pour les élèves qui souhaitent avancer leur article. Chaque numéro commence avec la conférence de rédaction. Elle est animée par la rédactrice en chef.

Rédacteur / Rédactrice en chef, qu'est-ce que c'est ?

Un ou une élève se propose pour faire la liaison entre les élèves du Club et les enseignants responsables. Il ou elle garde un oeil sur l'avancement des articles des uns et des autres.

Un partenariat unique !

Ce journal utilise la maquette mise à disposition par l’association Journal des lycées, en lien avec Ouest France. Cela nous permet de bénéficier de l’accompagnement d’un journaliste professionnel. Depuis 2 ans, c’est Tugdual Ruellan qui remplit ce rôle.

Présent lors des conférences de rédaction, il est de bon conseil, et surtout il relit les articles et propose des corrections pertinentes. C’est un des moments clés de l’apprentissage du métier de journaliste, et l’occasion d’améliorer son français.

Ce vendredi 2 juin, à 13h15, les 3 correspondants allemands, Chiara, Pauline et Julius, attendent les 4 élèves de Première inscrits pour participer au dernier atelier de l'année. Il se déroule en anglais, et c'est l'occasion pour les élèves de discuter de sujets variés. Une bonne ambiance règne dans la salle info du CDI où l'atelier se déroule.

Quatre ateliers dans l'année

Le premier atelier s'est déroulé au mois d'octobre, à l'occasion de l'accueil des premiers correspondants espagnols du programme Erasmus +. Deux autres ateliers ont eu lieu, en anglais cette fois, janvier et en mars. Certains lycéens ont même organisé une visite de l'établissement pour leurs camarades néerlandaises, avec notamment la présentation des moutons du lycée !

Quelques mots d'élèves

Les correspondants allemands ont bien apprécié la France, et leur temps au lycée. Ils ont découvert que les élèves français n'ont pas beaucoup de temps libre, après l'école ! Ils ont discuté du système scolaire, de la cantine, de politique, de sport et plus généralement de leurs loisirs... et de l'acteur Timothée Chalamet !

Ce moment de conversation anglaise a permis aux élèves français de s'entraîner à parler en anglais, ce que chacun a bien apprécié.

De nouveaux ateliers seront organisés l'année prochaine. Soyez au rendez-vous !

Franklin's News

A quoi vous vous attendiez ?

Manao nous a confié "Je m'attendais à une charge de travail moins importante." Quant à Hortense, elle nous affirme "Je ne pensais pas qu'il y aurait autant de thèmes abordés autour du sport et pas que le sport lui-même"

Y a-t-il une différence avec l'EPS en tronc commun ?

Luis a indiqué qu'il existe une réelle différence entre la spécialité sport et l'EPS du tronc commun. "Sur la partie pratique, c'est beaucoup plus spécifique avec des attendus plus élevés" a-t-il précisé. Il convient de prévoir un engagement intensif.

Des conseils pour réussir ?

Dans cette spécialité, les attentes sont multiples, les performances physiques et intellectuelles se mêlent entre elles. Ainsi, les conseils sont précieux pour pouvoir s'émanciper au maximum dans ce domaine. Manao admet "Il faut vraiment prendre en compte que c'est la théorie avant la pratique." Le travail personnel à l'écrit est primordial à l'abord de cette spécialité. Luis rappelle qu'il faut "être sûr d'aimer les cours théoriques et d'aimer le sport et son environnement." Il est recommandé d'avoir avant tout la fibre sportive en soi, d'être passionné. Ces ingrédients clés, associés à la rigueur, sont les leviers de la réussite dans ce domaine.

Finalement, cette entrevue nous a permis d'explorer les attentes et les réalités de cette spécialité. Cette filière va donc au-delà d'une simple pratique sportive !

Enfin, la spécialité EPPCS établit un parallèle intéressant pour la poursuite d'étude. Elle sélectionne les élèves qui sont véritablement investis dans l'univers du sport et qui sont prêts à relever tous les défis de ce milieu.

Jude JOSSO-MAYAUD, P06
Angee PENGAM, P06

Qu'est ce que
les tartines poétiques ?

Le 11 mai 2023 à l'occasion du Printemps des poètes, notre lycée a accueilli au CDI des chanteurs et poètes de la compagnie La Cabane. A l'affiche, Raphaël Bouyer à la musique et au chant, et Séverine é à l'interprétation de leurs multiples poésies. Les "Tartines poétiques" qu'ils nous ont présentées sont un des multiples projets de ces artistes, sous forme de recueil de poèmes contemporains traitant de sujets du quotidien. Un livret-CD est d'ailleurs sorti pour leur dernière tartine "Fermer les yeux".

La compagnie la Cabane,
les principaux membres

Néanmoins, la troupe de la Cabane ne compte pas uniquement deux membres, mais cinq, avec en plus Olivier Lanot à la musique, Marie Morisson et Vanessa Morisson à la danse et la chorégraphie, membres qui malheureusement n'étaient pas présents lors de la performance du jeudi 11 mai, mais qui participent à plusieurs autres projets de cette compagnie. Comme par exemple, "Du thé chaud dans les mains froides" ou "Le sourire des objets", un projet récent sorti en octobre 2022 et qui, comme son nom le laisse sous entendre, raconte sous forme de pièce de théâtre, de danse, de chant et de poésie, ce que les objets pourraient bien penser de nous.

Découvrez par vous même

Les projets de cette troupe sont tout aussi nombreux que passionnants, en passant par "Abigale Supersac" un projet solo de Raphaël Bouyer comptant des mésaventures en chansons et en 4 épisodes, par "Les méduses dansent souvent avec la lune", de petites saynètes dansées sous fond d'accordéon écrites et interprétées par Séverine é. La compagnie la Cabane et ses cinq principaux acteurs nous font voyager dans leur univers, là bas tout et rien n'a de sens, pour le plus grand bonheur de nos oreilles. Nous vous invitons donc à partir découvrir leurs projets, que vous trouverez sur "compagnielacabane.fr", ou sous forme de podcast audio ; c'est une expérience à vivre une fois !Manassé VREL-ENJALBERT, S10

Avec la réforme des retraites, on peut voir dans les manifestations des cortèges de jeunes avec des banderoles "FIDL" ou encore "La Voix lycéenne", mais qu'en est-il vraiment ? Et bien ce sont des cortèges de syndicats lycéens ! Aujourd'hui, on fait le point sur ces organisations encore méconnues.

Qu'est-ce qu'un syndicat lycéen ?

Un syndicat lycéen est une organisation qui a pour objectif de défendre les intérêts des élèves. Il en existe aujourd'hui 3 en activité en France : le Mouvement National Lycéen (MNL) créé en 2016, la Voix lycéenne apparue en 2021 et La Fédération Indépendante Démocratique Lycéenne (FIDL) fondée en 1987 ! La FIDL, qui est donc le plus ancien d'entre eux, a par exemple été constitué par des militants de SOS Racisme et œuvre pour l'égalité, la démocratie, l'antiracisme, l'écologie, le féminisme, etc. Tous les syndicats lycéens ont des fonctionnements qui diffèrent légèrement, mais ils s'organisent autour d'assemblées générales et d'un comité élu avec un.e président.e, un.e vice-président.e, un.e secrétaire et un.e trésorier.e eux-mêmes coordonné.e.s par un bureau national, qui s'occupe de l'administration, de l'animation des débats et de la communication mais qui reste sous le contrôle de leurs militants.

Concrètement, ça sert à quoi ?

Tout d'abord, le but des syndicats lycéens est de permettre aux élèves engagé.e.s de s'associer pour réaliser leurs projets. Ils permettent de nous exprimer, d'agir en tant que "jeune", de prendre position, penser notre avenir, débattre de questions politiques et de société et d'agir pour l'écologie ! Ces mouvements permettent un lieu de débat afin de pouvoir réfléchir collectivement, de militer pour nos valeurs, d'organiser des évènements comme des campagnes contre les discriminations au sein des lycées ou des manifestations pacifiques et de favoriser l'entraide entre tous les élèves.

Comment peut-on adhérer ?

Tout d'abord, vous pouvez adhérer aux syndicats sur leur site Internet en échange d'une compensation annuelle (6 € à la FIDL, 5 € à la voix lycéenne, et gratuitement au MNL !), créer une antenne syndicale au lycée, et pour vous engager, vous pouvez participer à leurs manifestations, diffuser leurs tracts et tout simplement défendre les valeurs qui vous sont chères au quotidien en ne laissant pas passer le harcèlement, proposer des projets au CVL et faire découvrir les syndicats lycéens à vos camarades.

Clara BURGUIN, P08

L'été arrive, les festivals aussi ! Voici une liste des festivals bretons ainsi qu'un zoom sur trois d'entre eux.

Tout d'abord, voici la liste des principaux festivals des autres départements bretons : le festival du Roi Arthur (Bréal-sous-Montfort), celui du Bout du Monde (Crozon), la Fête du Bruit (Landerneau), la Route du Rock (Saint-Malo), Bobital l'Armor à Sons (près de Dinan)...

Les Vieilles Charrues, situées à Carhaix, ont lieu les 13/14/15/16/17 juillet, les têtes d'affiches sont : le 13 juillet, Robbie Williams, Bigflo & Oli et Disiz. Le 14 juillet, il y aura Aya Nakamura, Gazo et Blur. Le 15 juillet, vous pourrez voir Rosalia, Lomepal et Leto & Guy2bezbar. Pour le 16, on peut découvrir Soprano, Phoenix et Lorenzo. Enfin, le 17 Red Hot Chili Peppers et Nova twins.

Les tarifs sont : entre 47 € et 53 € la journée, entre 138 € et 148 € le pass 3 jours, 193 € le pass 4 jours. Le camping est gratuit, mais attention, il est sur réservation. Même si certains jours sont déjà complets, une revente de billets a lieu un mois avant le début du festival jusqu'à son commencement.

Cet été nous verrons beaucoup de festivals morbihanais dont : les Pieds Dans la Vase (gratuit), les Galettes du monde, l'Eucalyptus, les électros de Quiberon (gratuit), Belle île on air, au Pont du Rock..

Les petites folies situées à Quiberon auront lieu les 15/16 septembre. Les têtes d'affiches sont le vendredi 15 : Benjamin Biolay et La femme et le samedi 16 : Lujipeka et Biga*ranx

Les tarifs sont : 36 € la journée, le pass deux jours entre 64 € et 69 € et le camping environ 3 €.

La Fête du Bruit de Saint Nolf a lieu leS 7/8/9 juillet. les têtes d'affiches sont : le 7 Angèle et Djadja & Dinaz, le 8 Damso et Hamza, le 9 Orelsan et Zola.

Les tarifs sont : 56 € la journée, 150 € le pass 3 jours et pas de pass 2 jours le camping est à 5 € et valable les 3 jours.

Zoé RIGUIDEL, P06

Pour voyager dans l'espace, quelles sont les conditions ?

À priori, non. Pourquoi ? Commençons par regarder ce qu'inclut un voyage spatial. Voici d'abord quelques données : aujourd'hui, nous ne savons aller qu'à 4 % de la vitesse de la lumière, ce qui équivaut à 39 896 km/h et l'étoile la plus proche de notre système solaire se trouve à 4,24 années-lumière (l'étoile en question se nomme Proxima du Centaure ). Pour l'instant, sans parler des complications techniques que nous aborderons par la suite, la distance représente déjà une barrière infranchissable. On peut noter plusieurs choses. La première réflexion, à ne pas oublier, c'est qu'on ne peut pas aller à la vitesse de la lumière parce que la matière se désintègrerait bien avant d'atteindre les 300 000 km/s. Ensuite, compte tenu du fait que nous sommes capables d'atteindre une vitesse de 39 896 km/h, nous mettrions approximativement 17 000 ans avant d'atteindre la première étoile. Un peu compliqué d'imaginer un voyage spatial avec ces informations. On peut en outre ajouter certains problèmes encore non-résolus : les radiations (les particules de rayonnement cosmique dans l'espace constituent une menace bien réelle pour les astronautes, car les longues périodes peuvent causer des problèmes de santé : cancers et dommages sur l'ADN), l'oxygène, le coût (un tel voyage demanderait des investissements massifs pour la recherche et le développement, la construction des vaisseaux spatiaux, le soutien logistique, de formation et de maintenance d'équipage), le carburant (il faudrait une énorme quantité de réserves de carburant pour atteindre ne serait-ce que l'étoile la plus proche), etc... Sans parler de la possibilité qu'un problème technique majeur ne survienne, qu'un membre de l'équipage craque et perde son sang-froid...

Cependant...

Nous sommes aujourd'hui bloqués par notre technologie. Rien n'empêche de penser que plus tard, dans dix, vingt ou trente ans, nous pourrons aller sur une autre planète (cependant, l'être humain étant incapable de vivre 17 000 ans, on se doute bien que les humains qui partiront mourront de vieillesse avant d'arriver à destination.)

Esteban GAUTHIER, P04