Chers lecteurs, chers visiteurs,

C'est avec fierté que nous éditons ce deuxième numéro de La Gazette de Saint-François, notre journal réalisé par des lycéens, à l'occasion de nos portes ouvertes.

Saint-Francois de Sales vous ouvre ainsi ses portes le samedi 1er février et vous accueille pour un temps de rencontres et d’échanges, afin de vous permettre de découvrir notre établissement, les personnes qui y travaillent au jour le jour et les lieux que vous serez amenés à fréquenter. Saint-François est un ensemble scolaire qui accueille chaque année plus de 80 élèves en classe de Seconde, originaires de différents collèges alençonnais mais aussi de plus loin.

Saint-François, fidèle à sa tradition d’ouverture, accueille tous ces écoliers, collégiens, lycéens et étudiants, sans distinction d’origine mais tous désireux d’effectuer des études solides qui leur ouvriront les portes de leur réussite personnelle. C’est une école qui accompagne chaque jeune, sur la voie de sa propre réussite, dans une exigence éducative et scolaire raisonnée, en permettant à chacun d’être reconnu pour ce qu’il est, encadré par une équipe éducative compétente et soucieuse de voir réussir les jeunes qui lui sont confiés. C’est un établissement qui instaure la confiance, en permettant à chacun de renforcer son autonomie, afin qu’il devienne véritablement acteur de son parcours scolaire, et maître de ses choix. C’est enfin un lieu d’apprentissage qui permet à chacun de développer ses talents, en offrant de nombreuses options : artistiques, linguistiques, sportives, et de multiples voyages à l’étranger, qui permettent à chacun d’enrichir sa culture et d’élargir sa vision du monde.

Vous découvrirez aussi notre lycée professionnel. Les enseignants et les formateurs répondront à toutes vos questions sur la nouvelle classe de troisième prépa-métiers, le nouveau lycée pro - voie d’excellence, l’accès à l’enseignement supérieur après un bac pro, le passage de la formation sous statut scolaire à l’apprentissage, etc.

Bonne lecture de ce nouveau numéro et bonne découverte de notre établissement !

Séverine GARCIA.

Les élèves de Terminale STMG et des spécialités HGGSP (Histoire-Géographie, Géopolitique et Sciences Politiques) et HLP (Humanités, Littérature et Philosophie) en classe de Première, ont eu la chance de découvrir le Palais Bourbon, où siège l'Assemblée Nationale, lieu fondamental de la démocratie et de la République française. C'est là que se retrouvent les députés, qui ont pour mission de voter les projets et les propositions de lois.
Les élèves ont été chaleureusement invités par le député de l'Orne, Joachim Pueyo, afin de découvrir les fabuleux décors de l’Assemblée Nationale. Ils ont notamment déambulé dans la salle des Pas Perdus ou salon de la Paix, une immense pièce où l’on peut le plus souvent voir les députés s’exprimer devant les journalistes. D’ailleurs, au moment où les élèves sont passés dans cette pièce, plusieurs chaînes de télévision nationales étaient présentes.
Les élèves ont pu admirer de très belles et grandes statues représentant la Minerve casquée, le Laocoon et le suicide d’Arria. Le plafond, admirable, représente trois médaillons : les génies de vapeur dont un sur la terre et l’autre sur la mer, suivi d’une représentation de la Paix et de la Prospérité.
Les élèves ont eu la chance de pouvoir visiter l’hémicycle car il n’y avait pas de séance le matin : 600 places dont 577 exclusivement réservées aux députés. Ils ont ensuite pu admirer une resplendissante bibliothèque où plus de 70 000 livres sont consultables, alors que 700 000 autres se trouvent dans les archives du bâtiment, l'ensemble représentant plus de 14 km de long !

Ces jeunes ont ensuite poursuivi leur visite dans les jardins, à la française, de l'Assemblée.

La matinée s’est achevée par un échange chaleureux avec M. Pueyo pour en apprendre davantage sur le métier de député. Le groupe s'est ensuite rendu aux Invalides pour visiter l'Historial de Gaulle et le musée consacré aux Première et Seconde guerres mondiales.

Gaëtan GAUTIER.
Paolo MONTEIRO.

Tous les vendredis se réunit au CDI le comité de rédaction de La Gazette de Saint-François. "C'est le nom que les élèves ont choisi l'année dernière. Il allait de soi de le conserver pour cette année aussi", insistent les professeurs en charge de l'encadrement de cet atelier exigeant : Emilie Corvée et Julie Liaud, professeurs d'histoire-géographie, et Vincent Buard, professeur de lettres. Une nouvelle équipe

Deux élèves poursuivent l'aventure : Gaétan, élève de Terminale STMG et Juliette, élève de Terminale L. "Leur expérience permettra à leurs camarades de mieux comprendre les attentes de ce projet", souligne Julie Liaud. En effet, de nouveaux rédacteurs ont rejoint le comité, notamment des élèves de Seconde : Pierre, Cécilien et Alexandre, de Première : Léo et de Terminale : Paolo.

Un numéro spécial

Chaque numéro doit présenter huit pages. L'édito, en une, est écrit par la directrice de la publication, Séverine Garcia, chef d'établissement. La dernière page est automatiquement gérée par une publicité proposée par l'Association pour le développement du Journal des Lycées, à l'origine du projet, en partenariat avec Ouest-France. Ainsi, les élèves-journalistes doivent-ils composer six pages. Deux pages sont consacrées aux actualités de l'établissement (pour ce deuxième numéro, deux pages sont consacrées aux journées Portes ouvertes de l'établissement), deux dernières pages proposent des articles autour du sport et de la culture. Un travail exigeant "C'est un travail exigeant, même pour des lycéens, admet Vincent Buard. En effet, tous nos élèves, même s'ils sont volontaires pour participer, ne sont pas nécessairement à l'aise avec l'écrit. Il faut donc les accompagner dans l'écriture, et leur faire acquérir de nouvelles compétences. Écrire un article de presse, ce n'est pas faire un compte-rendu de sortie scolaire !". D'autres élèves, au contraire, sont plus à l'aise avec l'écriture, et sont plus à même de proposer des articles plus ambitieux. Prochainement, Edouard Maret, journaliste à la retraite mais très engagé auprès des équipes, viendra à la rencontre du comité de rédaction afin de lui donner des conseils de professionnel pour le prochain numéro. Ensemble, il feront une relecture de l'édition que vous êtes en train de lire.

N'hésitez pas à soumettre aux jeunes journalistes vos suggestions d'articles. VB.

L'urgence climatique actuelle a conduit les élèves et les enseignants de Saint-François à réfléchir sur des moyens d'agir pour protéger l'environnement à l'échelle de l'établissement. Aujourd'hui la moindre action est nécessaire, au vu de la direction que prend l'avenir de la Terre.

Une mobilisation importante de toutes parts

Saint-François a mobilisé cette année les élèves, grâce aux éco-délégués dans chaque classe, les professeurs, mais aussi Florian Provostic, en service civique cette année dans l'établissement et qui consacre son temps au développement durable dans l'établissement. Les éco-délégués sont invités à se réunir régulièrement pour parvenir à la rédaction d'une charte de l'éco-citoyen destinée à être affichée un peu partout. Ils ont également le rôle d'ambassadeurs des projets auprès de leurs classes. Bien sûr, les élèves peuvent proposer des idées à leur éco-délégué afin de les soumettre à la réflexion des comités de pilotage.

Deux comités et un club

Deux comités de pilotage ont été mis en place à Saint-François. Le premier est composé de huit élèves de Première et Terminale. Le second est composé de cinq professeurs. Ces deux comités travaillent ensemble pour gérer l'organisation du processus de changement. Florian Provostic a également eu la volonté de créer un club pour le développement durable, ouvert à tous, du collège au lycée et BTS. Ainsi, le mardi en semaine A et le jeudi en semaine B, de 13h à 13h50, les élèves peuvent se retrouver et soumettre des propositions, puis les mettre en oeuvre. Par exemple, quelques membres de ce club s'occuperont de fabriquer des poubelles à papier pour les classes.

Quelques projets

Comme vous avez pu le constater, une nouvelle table de tri est arrivée au self après les vacances de Noël. Comportant désormais trois poubelles, elle permet de séparer les déchets "packaging" des légumes, fruits et serviettes et des autres restes. Les légumes, les fruits et les serviettes en papier sont destinés au compost pour produire de l'engrais grâce à leur décomposition. L'objectif reste à terme de diminuer drastiquement la quantité de déchets jetée.

Il a été remarqué que le tri dans les classes n'était jamais respecté pour une raison évidente : l'affichage est incompréhensible. La révision de ce dernier est donc en projet. De plus, il va être mis en place des boîtes dans lesquelles les élèves pourront déposer leurs feuilles de papier non froissées, afin qu'elles soient recyclées. En effet, un papier mis en boule ne peut être recyclé, de même que les bandelettes de papier.

Le processus est lancé, il ne reste plus qu'à agir, ensemble !

Juliette LEVILLAIN.

Depuis plu­sieurs années, le lycée Saint-François-de-Sales affiche un taux de réus­site exem­plaire au BAC avec 97.2 % de réussite (soit 10 % de plus que la moyenne natio­nale).

Quel que soit le type de filière, les élèves se montrent très moti­vés pour obte­nir leur diplôme et pour­suivre leur par­cours sco­laire. Afin de répondre aux différents besoins, aussi bien dans le soutien que le perfectionnement, les élèves bénéficient d'un accompagnement personnalisé.

Une mention spéciale peut-être décernée aux élèves de Terminale STMG ainsi qu'aux étudiants en BTS, avec 100 % de réussite ! Tous les élèves se présentant au BEP et au CAP ont aussi obtenu leur examen.

« Ce sont d'excellents résultats, et nous mettons tout en oeuvre pour qu'ils soient encore meilleurs ! », se félicite Séverine Garcia, chef d'établissement.

Enseignements de spécialité

Dans le cadre de la réforme du lycée, voici les enseignements de spécialité dispensés à Saint-François : Mathématiques, Sciences Physiques, SVT, Humanité, Philosophie et Littérature, Langues, Littératures et Cultures Étrangères en anglais, Histoire-Géographie, Géopolitique et Sciences Politiques. N'hésitez pas à vous renseigner sur ces enseignements dans le "parcours lycée" de nos portes ouvertes.

Paolo MONTEIRO.

Jeudi 7 novembre 2019, 54 lycéens volontaires ont participé à une journée de formation autour de la thématique du harcèlement scolaire, assurée par les responsables de la vie scolaire du collège et du lycée : Manon Besnard et Olivier Denis. Cette formation a pu clarifier ce que pouvait être le harcèlement scolaire : "une violence répétée qui peut être physique, verbale ou psychologique". Dans un contexte de harcèlement, il faut être capable aussi d'identifier son rôle : auteur, victime, témoin.

Le clip d'un professeur

Pour lancer la journée, tout le monde a (re)vu le clip de rap très médiatisé, réalisé par L Yès (nom de scène d'un professeur de mathématiques de l'établissement, Elyès Moualid) : "Briller". Chacun a pu s'exprimer sur ce que cela suscitait comme émotions.

Le rôle d'un ambassadeur ?

L'objectif de la formation est de former des élèves ambassadeurs. Il s'agissait donc de clarifier leur rôle. Un ambassadeur sensibilise ses camarades au phénomène de harcèlement, et plus largement, au respect d'autrui. Il repère, en se montrant attentif aux autres, les signes du harcèlement et en parle. Il conduit des projets dans son lycée pour mobiliser l'ensemble de la communauté éducative, et se montre porteur des valeurs de l'"École de la confiance" (une loi promulguée le 28 juillet 2019). Cette journée de formation a aussi clairement énoncé ce que n'était pas un ambassadeur : il n'est ni un médiateur, ni un justicier, ni un chef, ni un témoin passif. Afin de les mettre en situation, des élèves volontaires, sous forme de jeux de rôles, ont mis en scène des situations de harcèlement. Ces saynettes ont ensuite fait l'objet de commentaires et de débats.

Se faire identifier

Afin d'être identifiés, notamment auprès de leurs camarades collégiens, les ambassadeurs ont tenu une permanence, à laquelle tout jeune pouvait se rendre, et, si besoin, se confier. Pour toute information : allez voir Mme Besnard (responsable de la vie scolaire du Collège) ou M. Denis (responsable de la vie scolaire du lycée).

Les lycéens ambassadeurs.

Vous serez guidés par nos enseignants et nos élèves. Ils sont les plus à même de vous faire découvrir nos formations et partager leurs expériences.

Parcours COLLEGE
Parcours LYCEE
Parcours LYCEE PRO
BTS
VIE SCOLAIRE
NUMERIQUE
BUS ALTO
APEL

N'oubliez pas de prendre rendez-vous avec le chef d'établissement à l'issue de votre visite.

Jeudi 21 novembre 2019, Saint-François a accueilli les lycées privés catholiques de Rouen (La Providence-Sainte-Thérèse) et de Deauville (Saint-Joseph) pour le premier trophée académique des métiers de la sécurité. Ce challenge sera renouvelé tous les ans et sera organisé par chacun des établissements, à tour de rôle.

Favoriser la cohésion

L’objectif est de viser la cohésion des groupes et de se faire rencontrer les établissements de la région qui proposent cette filière.

Pour cette première édition, seuls les élèves de Seconde MS étaient invités à se rencontrer, encadrés par les professeurs des trois lycées, et les élèves de 1re MS de Saint-François. Le challenge était composé d'épreuves sportives sur le parcours pompier (force, vitesse, agilité), et d'épreuves centrées sur les savoirs et les savoir-faire, autour de questions, abordées sous forme ludique, dans la discipline « aide à la personne ». Ensuite, tous les élèves ont partagé un déjeuner convivial.

Classement final :

1. Saint-François,

2. Saint-Joseph,

3. La Providence-Sainte-Thérèse. Léo REGNIER.

À Saint-François, les élèves ont la chance de pouvoir suivre l'option chinois. Une initiation est même possible dès la classe de 3e, afin de faire découvrir la langue aux élèves. Par la suite, elle pourra être suivie tout au long du lycée, s'ils le souhaitent en vue de la présenter à l'examen du bac.

Découvrir la langue

Cette option est assurée par Mme Bayi. Son objectif est de faire découvrir la langue chinoise aux élèves à travers de simples exercices : des activités comme des chansons ou des mini jeux rendent cet apprentissage plus ludique.

Après avoir obtenu un certain niveau de compétence, les élèves pourront passer l'HSK qui est une certification attestant leurs compétences linguistiques. Ce test permettra obtenir différents niveaux (A1,A2, B1...). Si les élèves obtiennent un score élevé, ils auront la possibilité d'obtenir une bourse pour aller étudier quelque temps en Chine. "Les élèves de seconde progressent assez rapidement", reconnaît l'enseignante. Aujourd'hui, ils possèdent assez de vocabulaire pour avoir une discussion simple.

L'ambiance dans les différentes classes de chinois est bonne. Les élèves et la professeure s'entendent très bien. Cette option n'a pas pour seul but de faire apprendre le chinois aux élèves. En effet, tous les deux ans, les élèves ont la chance de pouvoir découvrir la Chine et sa culture, à travers un voyage qui se déroule pendant les vacances de la Toussaint.

Un voyage à Pékin

Cette année, le séjour en Chine s'est déroulé du lundi 21 au jeudi 31 octobre. Durant ce voyage les élèves on pu suivre des cours de kung-fu et de chinois le matin. Ils ont découvert le mode de vie des élèves en Chine.

Les élèves ont également pu découvrir la ville de Pékin où ils ont eu le privilège de visiter des monuments emblématiques de la ville comme le Palais d'été, la Cité interdite, le Temple du ciel ou encore le musée national. Tous ont également foulé la fameuse Muraille de Chine, le seul monument, dit-on, visible depuis la Lune !

En se baladant dans les rues de Pékin, les élèves ont pu essayer d'entrer en communication avec les passants, une façon de mettre en pratique leurs connaissances et leurs compétences. "Ce voyage fut une merveilleuse expérience !", admettent tous en choeur les élèves.

"Nous encourageons vraiment les futurs lycéens de Saint-François à suivre cette option !".

Alexandre GLINEL.

L'association sportive de Saint-François attire de plus en plus d'élèves. Elle compte déjà 156 inscrits, en ce début d'année. L'AS propose de nombreuses activités comme des sports collectifs, de la gymnastique, du badminton, de l'athlétisme, de la danse, du tennis de table, de la natation et de l'escalade. Elle propose aussi de la musculation et des activités d'entretien (uniquement proposées aux lycéens et aux élèves de 3e). Tous ces sports sont facultatifs et sans impact sur la moyenne.

Des activités pour tous !

Pour découvrir le sport auquel ils vont participer au cours de l'année, les élèves peuvent venir lors d'une séance ou deux, gratuitement. Ils peuvent choisir autant de disciplines qu'ils souhaitent au prix raisonnable de 35 € pour accéder à l'ensemble des activités et aux compétitions proposées. Un maillot (ou un bonnet pour la natation) avec le logo de l'AS de Saint-François est proposé au prix de 7 €. Une possibilité de participer uniquement aux compétitions de l'AS s'offre à tout élève.

Saint-François dispose de nombreux espaces pour pratiquer tous les sports comme le stade et le gymnase, la piscine Rousseau, le gymnase de l'Etoile...

Un entraînement complet

Les activités, pour la plupart, sont proposées pour les collégiens, le midi (uniquement le vendredi pour les lycéens) après les repas, et le soir après les cours pour les lycéens. Ces horaires permettent, par exemple, aux internes de pratiquer du sport dans l'établissement. Durant le mercredi après-midi l'AS donne la possibilité à tous les élèves de pratiquer sur une séance plus longue. Les compétitions se déroulent également le mercredi (exceptées les compétitions nationales) pour une grande majorité.

Grâce aux entraînements hebdomadaires de L'AS, les élèves peuvent s'amuser et progresser dans le but de compléter leurs cours d'EPS. Ils sont accompagnés par des professeurs d'EPS. Cette année, Louis Papillon (6e D), Coriolan Desmonts (2nde MS) et Alexis Motte (1re A) se sont déjà qualifiés pour les championnats nationaux de cross. Une quinzaine d'élèves participe en moyenne tous les ans aux compétitions nationales de l'UGSEL (Fédération Sportive Éducative de l'Enseignement Catholique).

Pierre BOUCHET.
Cécilien CHOMARD.

Le 28 mai prochain, tous les élèves des classes de 3e et de 2de de l'ensemble des établissements privés catholiques de l'Orne se retrouveront à Giel Don Bosco autour d'un projet solidaire défendant les valeurs de l'olympisme. La direction diocésaine profite en effet de l'année 2020 et de l'organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo, pour permettre aux jeunes ornais de se mobiliser.

Chaque établissement est ainsi invité à réunir des fonds pour soutenir les athlètes issus des fédérations handisport et de sport adapté. qui se rendront aux Jeux durant l'été prochain.

Après un temps de sensibilisation auprès d'un athlète en situation de handicap, les jeunes sauront donner davantage de sens à leur mobilisation, notamment à l'occasion du traditionnel "Bol de riz", proposé chaque année durant le Carême. L'ensemble des bénéfices réalisés sera remis aux fédérations.

Durant ce rassemblement, les élèves uniront leurs énergies pour relever ensemble des défis qui restent encore à définir. Chaque établissement s'est déjà vu représenté par deux ambassadeurs, et chacun a pu partager ses idées de mise en oeuvre, en présence notamment de M. Lhémery, directeur diocésain.

Chaque classe participante proposera une affiche au comité de pilotage. Celle-ci devra faire la promotion de l'événement. Les élèves ambassadeurs ont retenu leur devise : « Tous unis : GO pour les JO ! pour une fraternité plus vite, plus haut, plus fort ! »

188 élèves de Saint-François, issus des classes de troisième et seconde générales et professionnelles, sont concernés.

Une belle façon de s'ouvrir aux autres et à la différence.

V. BUARD.

La Ligue des Champions, opposant tous les plus grands clubs de football d’Europe a commencé. Les phases de poules ont eu lieu et seules les 2 meilleures équipes de chaque poule peuvent participer au 8ème de final ; parmi elles, le PSG et Lyon. Le tirage au sort s'est déroulé le 16 décembre 2019 à Nyon, en Suisse. Le PSG a tiré Dortmund, les deux équipes s'affronteront le 18 février à Dortmund puis le 11 mars prochain à Paris au Parc des Princes. De son côté, Lyon affrontera la Juventus le 26 février pour le match aller à Lyon puis le 17 mars à Turin pour le match retour.

Léo REGNIER.

Pour avancer dans un monde éco-responsable, l'école de cuisine et hôtelière Ferrandi, à Paris, forme les élèves à recycler leurs déchets. « Si ça se mange, pourquoi le jeter ? Faire des chips aux épluchures de pomme de terre, carottes et navets, ça permet d'utiliser le produit en profondeur, c'est vraiment sympa », dit Léna, 16 ans, élève à l'école Ferrandi. Elle se prépare aux métiers de la gastronomie et du management hôtelier.

Pour les quelque 2500 étudiants français et étrangers accueillis, chaque année, par l'école, dans de nombreuses formations (CAP, BTS management en hôtellerie restauration, Bac Pro cuisine, ...), penser "durable" va de soi.

Pour un repas, une vingtaine de jeunes élèves s’est activée pour proposer un menu dégustation à 30 €. La particularité de ce menu est qu’il est éco-responsable et avec zéro déchet. Dans ce menu, les clients pouvaient déguster un velouté de butternut maraîcher aux éclats de châtaigne, cannellonis de légumes racines, pintadeau sur canapé et millefeuille.

Pour ce menu, le pain a servi à confectionner la croûte des ailerons de poulet. Les fanes de radis et de carottes ont été intégrées aux préparations. Ces techniques ne sont pas celles de la restauration collective qui « cuisine des quantités industrielles », dit, en souriant Carlos, apprenti dans un restaurant universitaire de la ville de Giessen, en Allemagne, et élève à l'école Willy-Brandt. Il est venu grâce à un échange Erasmus.

En préparant ce menu, les élèves ont calculé l’impact carbone de ce menu zéro déchets. Ils ont remarqué qu'il est divisé par deux par rapport à un menu classique. Les restaurateurs n'ont « qu'une vague idée de ce qu'ils perdent et gaspillent », estime l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME), selon laquelle les 15 % des repas pris en restauration par les Français représentent 42 % des pertes et gaspillages au stade de la consommation.

Léo REGNIER.

Le 13 novembre 2019 sortait en salle J'accuse, de Roman Polanski. Le film reprend la bouleversante affaire Dreyfus, qui divisa les Français entre 1894 et 1906. Cette affaire judiciaire clé pose la question des valeurs sur lesquelles la Troisième République repose. C'est au départ une simple affaire d'espionnage. Le capitaine alsacien Alfred Dreyfus, juif, est accusé d'avoir livré des documents secrets aux Allemands. Il est condamné au bagne et à l'exil sur l'île du diable, en Nouvelle-Calédonie. Malgré son innocence, le conseil de guerre le condamne et, le 5 janvier 1895, Alfred Dreyfus perd son titre de capitaine dans la cour d'honneur de l'école militaire, à Paris, devant 4 000 soldats et 20 000 civils. Il attendra huit ans pour être innocenté.

Cette affaire divise la France en deux : les dreyfusards et les anti-dreyfusards. Ainsi, Émile Zola s'engage en écrivant une lettre ouverte au Président de la République connue sous le nom de "J'accuse" publiée le 13 janvier 1898 en première page du quotidien parisien L’Aurore. Il accuse le gouvernement de l'époque d’antisémitisme. La suite ? En salle...

Clin d'oeil aux élèves de Première qui étudieront cette affaire en histoire et en spécialité HGGSP (Histoire-Géographie, Géopolitique et Sciences Politiques).

E. CORVEE.

Dimanche 13 octobre 2019, 40 personnes se sont rendues à l'Opéra Bastille, pour assister à un opéra-ballet : Les Indes galantes, mis en scène par le talentueux Clément Cogitore. En 2017, le jeune réalisateur signait un films explosif très remarqué, « adaptant un extrait des indes galantes avec un concours de danseurs de Krump » (une danse non violente malgré son apparence agressive, née dans les années 2000 au coeur des quartiers pauvres de Los Angeles).

"Tout sauf ringard !"

La distribution réunit la jeune garde du chant lyrique : Sabine Devieilhe, Julie Fuchs, Edwin Crossley-Mercer, Mathias Vidal. "C'est une belle façon pour montrer à nos jeunes élèves que le chant lyrique et la musique classique, c'est tout sauf ringard !", souligne amusé un professeur.

Avant de partir en vacances de Noël, 50 spectateurs ont assisté à la comédie musicale Un Américain à Paris, mis en scène par Christopher Wheeldon. Cette comédie musicale est une adaptation du célèbre film de Vincente Minelli (1951). Un spectacle haut en couleur, idéal avant les fêtes de Noël ! Pour le moment, la CELECA n'a pas prévu d'autres sorties. Toute suggestion est la bienvenue. N'hésitez pas à aller voir l'abbé Carelle (salle 148) pour lui soumettre vos idées.

V. BUARD.