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Le premier CROSS départemental des MFR
Le 20 novembre, plus de 200 élèves des MFR ont foulé le parcours de la MFR de Bernay-en-Champagne.
Des activités étaient proposées sur les temps hors course : Mölkky, palet, basket... découverte du monde !
Les élèves ont participé à une visioconférence avec des jeunes guinéens. Ils ont principalement échangé sur les pratiques en agriculture et les formations.
Les vainqueurs ont été récompensés et ovationnés par leurs camarades dans une humeur radieuse.
Cette journée fut vraiment très "chaleureuse" et "solidaire" !
Portes Ouvertes des 6 MFR
de 9h à 17h
samedi 26 janvier
samedi 16 mars
Bon à savoir : journal également disponible sur
L'Europe s'invite dans nos MFR
En partenariat avec la Maison de l’Europe du Mans, une deuxième promotion de volontaires européens a intégré les équipes des 6 MFR à la rentrée 2018.
Nous les avons interviewés après quelques semaines d’activités auprès des jeunes.
GM : Sergio, tu viens d’Espagne, comment se déroule ta mission à la MFR de la Ferté ?
Sergio : très bien. L’équipe et les jeunes ont été très accueillants. Je fais le maximum pour parler en Français, même si il y a des points communs avec notre langue, c’est très difficile voire fatiguant. Je suis très intéressé par les filières proposées à la MFR et par les activités d’animation.
GM : Karoliina, quelles activités as-tu déjà proposées à la MFR de Coulans ?
Karoliina : J’ai pu me présenter lors de toutes les réunions de rentrée auprès des jeunes et de leurs familles. J’ai organisé des veillées pour découvrir mon pays, la Finlande (jeux, musique…) et je les ai même emmenés à la patinoire pour une initiation. Le contact est très bon !
GM : Andréa, comment t’intègres tu à la MFR de Verneil ? Les élèves parlent-ils italien ?
Andréa : très bien, je tente de parler Français, mais pour l’instant l’anglais est plus facile.
J’ai fait découvrir l’Espéranto à un groupe d’élèves ! Je suis avec les jeunes pendant les repas et au foyer.
Des projets sont à l’étude : découverte de l’Italie avec les 4e/3e ; accompagnement des visites et voyages…
GM : Mélissa, tu as 18 ans. Qu’est ce qui te motive pour quitter pendant un an, ta famille et l’Autriche, pour venir à la MFR de Nogent ?
Mélissa : en Autriche, nous avons l’habitude de partir après le BAC, c’est presque inclus dans notre parcours de formation. Ici, à la MFR, avec les jeunes, je souhaite leur faire découvrir mon pays, apprendre le français que je parle déjà un peu, je veux aussi les sensibiliser à l’Europe et à être mobiles.
GM : Agnieska, tous les volontaires arrivés en France se sont retrouvés pendant une semaine à Narbonne, mi-septembre. Pourquoi ?
Agnieska : l’agence ERASMUS + nous a rassemblés pour une formation et une sensibilisation à la culture française. 30 volontaires de 12 pays différents étaient là.
Aussi l’agence nous a donné des conseils, des idées, des infos pratiques pour réussir notre mission. C’était un grand temps fort !
En tant que Polonaise, je suis très heureuse de cette organisation qui va m’aider dans ma mission.
GM : Gabriele, tu viens de Sardaigne. Quels sont tes projets à la MFR de Bernay ?
Gabriele : tout d'abord, j’ai été très bien accueilli par tous. Je me suis présenté aux membres du conseil d’administration. Je commence à organiser des activités sportives avec Mylène l’animatrice.
J’accompagnerai les élèves en voyages d’études en Auvergne et sans doute… en Italie !
Je suis pressé que les cours de français commencent à l’Université pour mieux communiquer avec les jeunes et l’équipe.
Les partages d'expériences et les temps passés avec tous les élèves, sont autant appréciés par ces derniers que par les volontaires, qui deviennent de véritables ambassadeurs de "l'ouverture vers le monde" !
Gilles MENANT,
Directeur FDMFR de la Sarthe
Les métiers évoluent-ils tous ?
Rencontre à la Sellerie Latouche à Fyé.
Cette entreprise a été créée par Monsieur Latouche en 1905. Cela fait maintenant quatre générations qu’elle existe. Nous avons rencontré Mme Valérie Latouche qui a repris la sellerie après ses parents. Ses principales activités sont : la bourrellerie (harnachements pour les chevaux, ceintures…), la tapisserie d’ameublement.
Pour faire ce métier, il faut au minimum un CAP Ameublement que l’on peut préparer en apprentissage dans un CFA ou par le compagnonnage.
Pour ce qui est du métier dans le futur, Mme Latouche nous a expliqué que les outils et les techniques n’ont pas évolué depuis 100 ans. Dans cent ans elle pense que ça n’aura pas changé !
La classe de 3e
MFR Fyé
Vendre et acheter en 2063
Oui, nous sommes en 2063. Cela fait déjà plus de trente années que les magasins ont disparu.
Les courses se font dans les « cubes ». Ils sont disposés partout : dans les rues, au travail, dans les halls d’immeuble, chez soi. Ils sont remplis par des robots qui transportent à l’intérieur de ces cubes la nourriture et de tout ce que l’on a besoin.
Vous avez besoin d’une paire de chaussures ? C’est simple : vous pianotez sur votre écran implanté dans votre bras, vous commandez sur le seul site disponible et... hop ! Quelques heures plus tard vous ouvrez le cube de destination et vous avez vos chaussures.
Le problème est le monopole détenu par « le bon amazon ». Il y a plein de choix mais aucune concurrence. Les prix sont parfois élevés...
Les difficultés
Malheureusement, les petits métiers ont disparu : il n’y a plus de travailleurs manuels comme le boucher, le boulanger, les épiceries et le taux de chômage a augmenté ces dernières années.
Tout a été remplacé par des machines et des robots, ainsi que par des drones de livraison automatisés qui remplissent les cubes.
Certains ont lancé une lutte contre tout cela, et le marché noir s'est développé.
Mais il est difficile d'aller contre le progrès !
Houari, Corentin, Rémy
4e MFR Nogent-le-Bernard
2040 : imaginons l'école
L'école du futur, y avez vous déjà réfléchi ? Nous nous sommes projetés dans le temps : comment seront les écoles en 2040 ? Allez, on y va !
L'école ne sera peut-être plus comme avant. Il y aura sûrement plus d'informatique, et de travaux pratiques, les nouvelles technologies et la science prendront une grande place.
Nous imaginons, bien sûr, un "robot prof" qui projettera ses cours en hologramme au milieu de la classe ou - pourquoi pas ? - en pleine nature !
Une maître stage nous a fait part de sa crainte de voir disparaître le métier de professeur des écoles si les androïdes les remplacent.
Nous pensons que les robots auront leur place dans les apprentissages. Ils seront là en complément des professeurs.
Des cours adaptés
En 2040, les élèves iront à leur rythme, les cours seront adaptés à chacun. Pour ceux qui n'auront pas envie d'aller à l'école ou au collège, il y aura des cours virtuels : les jeunes mettront un masque et le cours d'histoire apparaîtra plus vrai que nature.
Ils pourront, par exemple, vivre la Révolution de 1789 comme s'ils y étaient. On fera cours sur des tablettes. Les tableaux, les bureaux seront digitaux et connectés entre eux.
L’arrivée des tablettes et autres supports intelligents devrait également permettre aux enseignants de pouvoir passer du temps avec chaque élève et faire avancer chacun individuellement, pendant que les autres pourront poursuivre le programme commun.
Toute l'école connectée
Les élèves rentreraient dans l'école grâce à leur empreinte digitale : c'est mieux pour la sécurité !
A la cantine aussi, grand changement en perspective. Des robots passeront voir chaque jeune et fabriqueront en temps réel son repas à sa demande, en tenant compte, bien évidemment, de l'équilibre alimentaire.
Autre avantage de cette école du futur, les cartables seront moins lourds : une tablette, un masque à réalité virtuelle et c'est tout.
Fini le mal de dos !
Les nouvelles technologies bouleverseront nos principes, mais ce qui sera indispensable pour l'école de 2040, c'est que que les élèves aient "l'envie d'apprendre".
Une école qui laisse la place à l’égalité des chances, et qui suit le principe de l’apprentissage pour TOUS…
Les secondes BAC PRO SAPAT
MFR Coulans sur Gée
Des glaces dans le téléphone
Tout d’abord, répondons à une question : « Qu’est-ce qu’un artisan ? »
Un artisan est avant tout un passionné de son métier ayant des savoir- faire particuliers pour le réaliser.
Imaginer un futur
Nous pouvons en rencontrer dans les secteurs de l’alimentation, du bâtiment, de la production et des services.
Avec les technologies d’aujourd’hui, les techniques de travail se sont développées et peuvent encore le faire.
Je me suis basé sur des éleveurs de vaches laitières. Ils ont tenu à valoriser leur production en fabriquant des glaces artisanales, afin d’imaginer un futur qui leur permettrait de développer leur entreprise en gagnant du temps de main d’œuvre.
Une application
Ils pourraient mettre en place une application, proposant aux clients de faire leurs achats en ligne (ou directement depuis leur smartphone). Elle serait accessible depuis leur compte Facebook où ils publient déjà de la publicité sur leurs productions à venir ainsi que sur les divers événements qu’ils proposent.
Les acheteurs pourraient commander depuis leur téléphone, les éleveurs recevraient instantanément la commande. Ainsi, elle serait préparée directement et n’aurait plus qu’à être donnée au client lors de sa venue.
Cela faciliterait les transactions, en leur laissant davantage d’espace pour développer la production de l’entreprise.
Libérer du temps
Dans un avenir plus ou moins proche, les artisans travailleront en s’aidant des nouvelles technologies, leur permettant ainsi de libérer du temps pour exercer leur passion.
Maxence PATUREAU
BTSA ACSE MFR Bernay
Le maintien à domicile de demain
Aujourd’hui j’ai 18 ans. En stage, j'accompagne des personnes en perte d'autonomie. Voilà comment j’aimerais vieillir, demain, chez moi.
Je m’appelle Héla, j’ai 80 ans et je vis à mon domicile.
Dans ma ville, je bénéficie d’une épicerie ambulante qui regroupe différents services. Une boulangerie dans le camion et des plateaux repas personnalisés avec des produits frais, sont livrés le midi et le soir. La livraison se fait gratuitement. Concernant les commandes cela se passe par un moyen télescopique jusqu'au balcon. Pour obtenir sa commande, il faut avoir marché au minimum, 30 minutes dans la journée. Les commandes se font par visio conférence sur mon smartphone. J’aime ce service proposé, je peux profiter de bons produits locaux et j’ai facilement accès à ce service de proximité.
Camille, 80 ans.
Je commence à avoir une mauvaise forme physique. Je manque d’équilibre pour effectuer mes tâches quotidiennes, c’est pourquoi j’ai acheté un robot. Il s’adapte à mon mode de vie. Il m'a observé pour comprendre mes habitudes. Depuis, il est autonome. C’est un robot sociable, aux services de chacun et à l’écoute. Il est présent pour chacune de mes tâches : il peut servir de téléphone, il fait la cuisine, il effectue le ménage, il range, il prend conscience de mes difficultés... Il favorise le maintien de mon autonomie.
Monsieur Arthur vous salue.
Suite à un colis perdu par La Poste (pas de chance c'était mon dentier) j’ai dû appeler pour le récupérer, ne pouvant pas me déplacer. Les employés m’ont proposé de venir chez moi, plusieurs fois par semaine, dans le cadre de « veiller sur vos proches ». Depuis je reçois la visite du facteur 6 jours sur 7, il me dépose mon courrier et mon journal. En même temps, il prend le temps de boire un café avec moi. Et quand il n’est pas là, un hologramme de lui le remplace. Bon, et mon dentier dans tout ça ?
Classe Term Bac Pro SAPAT
MFR Fyé
La moto du futur
Aujourd'hui nous sommes avec Kévin, Manolo et Alexandre les inventeurs de la KMAX.
En quoi consiste votre métier ?
Nous créons des motos robotiques et nous les réparons.
Vous êtes bien la seule entreprise à créer ce type de moto ?
Oui, nous sommes bien les seuls au monde à maîtriser ce concept. Nous avons travaillé avec 150 scientifiques internationaux et nous avons mis plusieurs années pour réussir.
Quel est le nom de ce prototype ?
KMAX 1000. Nous avons créé ce nom car nos prénoms formaient KMA et le X provient de la forme du moteur.
Êtes-vous fiers de votre projet ?
Bien sûr que nous sommes fiers, nous sommes les seuls au monde à avoir réussi cet exploit ! La moto fonctionne seule, un ordinateur interne la contrôle automatiquement et corrige toutes les erreurs du pilote humain qui est dessus.
Quelle est l’énergie utilisée par cette moto ?
Là encore notre projet est révolutionnaire : le moteur X est électrique. Zéro émission, Zéro pollution ! Et le temps d'autonomie est de 22 heures pour 3 heures de recharge.
Quelle est le futur projet ?
Notre futur projet est de créer les motos volantes. Et vous verrez le résultat bientôt...
La classe de 4e
MFR Nogent-le-Bernard
Le cyber-paysagiste de 2072 !
Nous sommes en 2072 et le paysage est enfin devenu une priorité, mais demande beaucoup de travail...
Depuis plusieurs années maintenant, les paysagistes sont aidés par des prouesses technologiques : l'homme ou la femme qui veulent devenir paysagistes doivent subir quelques petites opérations pour être dotés de parties robotisées, amovibles et interchangeables !
Par exemple, les bras portent une tronçonneuse, un taille-haie ou bien un sécateur.
Au niveau des jambes, une échelle peut apparaître sous forme d'échasses.
La colonne vertébrale est solidifiée afin de protéger les paysagistes des problèmes de dos dont ils souffrent si souvent !
Un des yeux est bionique. Il permet de scanner et connaître les végétaux, leurs éventuels parasites ou maladies...
Tout ceci est un équipement que le paysagiste utilise comme il veut, en fonction du travail à réaliser et du temps imparti pour le faire.
La classe de seconde Paysage
MFR Verneil-le-Chétif
Prendre de la hauteur pour un avenir meilleur
Depuis 2012, le drone est autorisé pour l’utilisation civile, donc aussi pour l’agriculture. Le drone est un petit avion qui vole à 150 mètres du sol. Ceci va permettre aux agriculteurs de détecter des problèmes, pour pouvoir agir le plus vite possible avec de faibles doses de produits phytosanitaires. Ce drone calcule tout seul les apports d’engrais à épandre sur le sol.
Cela évite l’utilisation excessive d’azote permettant, par la même occasion, de faire des économies. Ce matériel est l’avenir des pratiques agricoles raisonnées et de l’agriculture de précision.
Par ailleurs, et pour voir plus loin : vu que la croissance de la population augmente, il s'impose à l’agriculture d’être de plus en plus efficace tout en respectant notre environnement, notre monde. Ces technologies sont une avancée à ne pas négliger pour produire plus et polluer moins.
Plus tard, nous pourrons observer des "villes cultures" qui produiront comme à la campagne.
Les drones survoleraient les immeubles pour détecter les anomalies, les maladies, la croissance de chaque plante et l’Homme interviendrait en fonction.
Les villes seront autosuffisantes, et pourquoi pas, les immeubles garnis d’épi de maïs.
L’avenir de l’agriculture doit être en accord avec le monde d’aujourd’hui, donc moins de pesticide pour plus de naturel. Les moyens mis à disposition, de nos jours, nous permettent de réduire les engrais. Donc à nous de jouer !
Romain CORMIER
1ère CGEA, Bernay-en-Champagne
La transition écologique dans nos fermes !
Les agriculteurs français peuvent et doivent être des acteurs importants, dans les changements que nous devons opérer pour la protection de l'environnement !
En cette fin novembre 2018, notre Président de la République, Emmanuel Macron, fait un discours de près d'une heure, afin d'exposer le cap qu'il propose pour la transition écologique.
Ses références à la méthanisation nous ont rappelé des souvenirs.
En effet l'année dernière, dans le cadre du cours socioculturel, nous devions construire une maquette d’une exploitation agricole dite "du futur".
Pour ce qui est de notre groupe, nous avons fait des recherches et avons décidé que la grande nouveauté sur l’exploitation serait une station de méthanisation.
La maquette représente donc une exploitation qui compte environ soixante-dix hectares de culture et une trentaine de prairies, ainsi que soixante vaches laitières de race Prim’Holstein et pour finir, le méthaniseur.
Produire de l'électricité "verte"
Les productions végétales suffisent à couvrir les besoins des vaches au niveau de l’alimentation et de la litière.
Le lait est vendu à une laiterie qui se trouve à quinze kilomètres de la ferme.
Le fumier produit par les vaches est à 75 % mis dans le méthaniseur, le reste est épandu dans les champs.
Du fumier de champignons nous est également apporté, tout droit venu d’une champignonnière pour également le mettre dans le méthaniseur.
Une fois à l’intérieur, le fumier des vaches et de champignons est mélangé dans un mixeur, environ une fois par semaine.
Entre deux coups de mixeur, le fumier fermente et produit donc de la chaleur qui fera tourner une turbine, permettant de produire de l’électricité « verte ».
Tous les jus et déchets liquides appelés "digestats" sont transférés dans la fosse à lisier, qui seront ensuite épandus dans les champs.
Nicolas GOUFFIER
Ancien élève de Bac Pro CGEA
MFR Verneil-le-Chétif
Voyageons dans le futur
Dans les années 2050 le tourisme sera différent d'aujourd'hui.
Fini le temps des hôtels clubs et du tourisme de masse. En compressant l'espace et le temps, l'accélération technologique transformera nos façons de voyager. De l'hôtellerie éphémère aux expéditions en réalité virtuelle, en passant par des périples trash en zone de conflit, nous explorerons de différentes manières le monde de demain.
Comment voyagerons-nous ?
Les visites seront virtuelles, les touristes seront en vacances virtuellement grâce aux casques de réalité augmentée dans lesquelles leur destination sera projetée. Aussi nous passerons beaucoup moins de temps dans les transports car ceux-ci seront hyper rapides, peut-être même que nous nous téléporterons ! Les voyages des personnes seront gérés par des robots : l'hébergement, les visites, les repas. Les lieux seront spacieux, modernes, conviviaux, chaleureux et pleinement intégrés dans la nature.
L'écotourisme
Nous voyagerons plus propre et l'écotourisme se développera. On voyagera de manière responsable dans des sites naturels. Nous ne devrons laisser aucune trace de notre passage, au risque de recevoir une amende. Cette vision optimiste des choses, nous permettra de renouer avec la nature et de ne plus trouver de pollution liée au tourisme de masse irresponsable
Seconde BAC PRO SAPAT
MFR de Coulans-sur-Gée
La forêt, c'est gigantesque !
Les hommes, demain, devront s'adapter aux technologies nouvelles et aux machines.
Ressource écologique et renouvelable, le bois va continuer d'avoir la cote. Mais les métiers du bois et de la forêt vont devoir évoluer.
De nos jours, les métiers de la forêt comme bûcherons ou abatteurs sont déjà bien mécanisés. La technologie évolue à grande vitesse. Nous sommes capables, maintenant, d'abattre des arbres aux troncs de plus en plus imposants, grâce à des machines très performantes.
Une mécanisation croissante
Dans le futur, les métiers manuels tendront à disparaître. Ils seront remplacés par des engins de plus en plus performants et robustes. Ces gigantesques monstres de fer permettront une exploitation forestière plus rapide.
Une transformation de nos savoir-faire
Il sera nécessaire d'adapter nos savoir-faire à ces nouvelles machines. Il faudra non seulement connaître les arbres et la forêt, mais également la mécanique et l'informatique. Ces machines, il sera nécessaire de savoir les dompter, les bichonner, les soigner !
Edgar, Seconde NJPF
MFR la Ferté-Bernard
Futurs métiers de la nature
Dans un avenir proche, la nature sera réduite à de petits espaces et les personnes qui s'en occuperont devront s'adapter à leurs nouvelles tâches.
La réduction des espaces naturels devrait entraîner la création de réserves gérées par des professionnels chargés de protéger l'espace et les espèces qui s'y trouvent. Pour cela, ces professionnels devront surveiller la "réserve".
Ce métier pourrait servir de "gardien de la nature".
Médecin des arbres
Ensuite, le réchauffement climatique pourrait entraîner de nouvelles maladies pour tous les êtres vivants ; ce qui créera de nouveaux métiers liés à la nature et à la médecine à la fois, afin de lutter contre ces maladies.
On peut imaginer un biologiste médecin des arbres ou des insectes, puisque dans la nature, tout est lié.
Drôles de drones
Enfin, la technologie moderne pourrait venir aider les professionnels de la nature grâce aux drones, aux robots, à la miniaturisation, pour surveiller les colonies d'animaux de l'intérieur.
Louis, Seconde Nature
MFR la Ferté-Bernard
La voilà, notre Europe !
Le jeudi 8 novembre 2018, Sergio, notre SVE espagnol, est venu dans notre classe pour échanger sur le thème de l'Europe de demain. Quelle Europe voulons-nous ?
"L'éducation est la chose que l'Europe a besoin de travailler" nous dit Sergio. En effet, il faut arrêter de donner la priorité à l'économie et décider d'une Europe centrée sur la personne.
Une Europe éduquée...
D'après Sergio, l'éducation est un enjeu très important pour l'Europe de demain, car elle est le pilier de notre société et que sans elle l'Europe n'a pas d'avenir. C'est pour cela que chaque Européen doit recevoir une éducation qui assurera une Europe saine.
... Pour échanger et comprendre
L'éducation permet à chacun de se forger une opinion, d'entrer en débat en acceptant les idées différentes des autres, l'essentiel étant de discuter.
Une personne qui a pu accéder à l'éducation, peut participer activement à la vie politique, aux décisions prises par la société. Quand on est jeune, on ne s'intéresse pas à la politique car on a l'impression de ne pas être écouté. Pourtant, on peut faire avancer les choses comme l'a fait ce jeune garçon dont Sergio nous a parlé et qui a réussi à faire installer un skate park dans sa commune.
Recevoir sans rendre ?
Enfin, il est primordial d'assurer la connaissance aux générations futures pour comprendre des problèmes de société, comme ceux liés l'environnement ou à l'immigration. Sergio ne comprend pas pourquoi les étrangers fabriquent certaines choses comme les téléphones qui nous servent à nous, Européens, mais que nous refusons d'accueillir dans notre pays ces mêmes personnes. C'est un peu comme un service non-rendu.
Ces échanges ont été très intéressants. Il était passionnant de discuter, et la langue n'était pas une barrière.
L'Europe que l'on souhaite, c'est une Europe dans laquelle on peut prendre des décisions. Sergio a bien raison "éduquer c'est donner le pouvoir à la société" !
La classe de Seconde NJPF
MFR la Ferté-Bernard
La culture européenne, cela s'apprend !
C'est en tout cas ce que propose l'International School of Latvia (ISL) pour former les citoyens européens de demain. Interview en direct de Lettonie pour comprendre.
Qui êtes-vous ?
Je suis Ita Romanauska, une jeune femme lettone qui travaille à plein temps et qui profite pleinement de sa vie.
Quel est votre travail ?
Je suis assistante d'enseignement à l'International School of Latvia.
Pourquoi travailler spécialement à l'ISL ?
Tout d'abord, je travaille à l'ISL parce que j'aime travailler avec les enfants et enseigner. Deuxièmement, j'ai rêvé de travailler dans un environnement international. Cela me permettrait de connaître d'autres cultures, langues et traditions. Enfin, l'ISL, en tant qu'école, dispense un enseignement de haut niveau en utilisant le concept de l'IB (International Baccalaureat) basé sur l'apprentissage des élèves par la recherche.
Quelles sont les valeurs que vous défendez au sujet de la citoyenneté européenne dans votre école ?
L'une des valeurs fondamentales de l'ISL est le respect. Nous enseignons aux enfants à se comporter d'une manière courtoise et respectueuse de notre environnement, des autres et des gens qui les entourent. De plus, nous mettons l'accent sur l'attention des enfants en soutenant les gens qui nous entourent et ceux qui sont dans le besoin. Nous voulons qu'ils reconnaissent la situation de besoin d'aide lorsqu'ils peuvent agir et réagir. L'une des valeurs les plus importantes est l'ouverture d'esprit. Il est important que les élèves comprennent que les gens peuvent être également différents et avoir leurs propres croyances.
Que proposez-vous concrètement pour que les gens comprennent que l'Europe est une chance ?
Nos étudiants viennent pour la plupart d'Europe et voyagent beaucoup pendant les vacances. Cet aspect leur montre l'Europe telle qu'elle est, avec toutes ses possibilités et ses opportunités. Je partage mes histoires de voyages, mes photos et mon histoire avec mes élèves chaque fois que j'ai voyagé quelque part. Dans ma classe, nous parlons des universités en Europe. Tout au long de notre programme d'études, nous abordons des sujets tels que la migration, les médias, les questions mondiales. Nous examinons l'histoire de l'Europe, comment l'Europe a changé au fil du temps, combien de possibilités s'offrent aujourd'hui aux citoyens européens. Les enfants ont remarqué et conclu qu'il est facile de voyager en Europe, donc d'y vivre et de travailler facilement grâce à l'Union Européenne.
Propos recueillis par MONTA.
en Service Volontaire Européen
à la MFR Fyé, l'an passé.
S'ouvrir vers les autres
Gabriele, 26 ans, est un SVE (Service Volontaire Européen) italien présent dans notre MFR pendant une année scolaire.
L’Europe lui offre la possibilité d’effectuer cette expérience en France.
Gabriele est venu partager sa culture italienne, ses activités, son parcours et nous a présenté ses démarches pour devenir SVE.
Pour lui, "c’est une opportunité de voyager sans limites. C’est une expérience importante qui permet de comprendre d’autres civilisations et qui enrichit le CV grâce à l'apprentissage de nouvelles langues."
Il en est convaincu, l’avenir est l’ouverture vers les autres : "Une personne qui voyage et découvre de nouvelles cultures, apporte une vision enrichissante du monde qui nous entoure et permet à chacun de trouver sa place et de se libérer des préjugés."
Il souhaite motiver d’autres jeunes à faire comme lui pour que l’avenir voit les cœurs s’ouvrir.
"Je souhaiterais que le futur soit source de découvertes, pour que chaque personne motivée ait les moyens de voyager, de passer plusieurs mois dans un univers différent, avec d’autres cultures et des modes vies qui lui sont totalement étrangers."
Et lorsque nous lui demandons "Ton avenir à toi, tu le vois comment ?"
Il nous répond simplement : "Avec des souvenirs en tête et avec la chance d’avoir pu voyager et de connaître toutes ces langues."
Aline L. et Océane S.
Terminale SAPAT A. MFR Bernay
Le saviez-vous ?
L'Europe c'est aussi une multitude d'anecdotes sur les habitudes de nos voisins.
En voici quelques unes que vous ne connaissiez peut être pas !
Nouvel an en Espagne
Les habitants inaugurent la nouvelle année en mangeant un grain de raisin à minuit pile. Cette tradition a été lancée par des vignerons qui cherchaient une façon de se débarrasser de leurs raisins superflus.
L'euro... c'est costaud !
L’Euro est la deuxième monnaie de réserve dans le monde derrière le dollar. Mais c'est surtout la première monnaie au monde, en terme de quantité de billets en circulation.
De la Grèce à la Grande-Bretagne...
La distance actuelle du marathon (42,195 km) date de 1908, lors des Jeux olympiques de Londres. La famille royale souhaitait que la course parte du château de Windsor pour se terminer face à la loge royale dans le stade olympique. La distance d'origine était de 40 km symbolisant la course d'un messager entre Marathon et Athènes.
Bon appétit !
Le mot "Hamburger" n'est pas d'origine américaine, tout comme l'aliment en lui-même. C'est une spécialité allemande et plus particulièrement de la ville de Hambourg. En effet, hamburger désigne en allemand les habitants de la ville d'Hambourg.
Un voisin de taille !
Les Néerlandais sont les gens les plus grands du monde, avec une hauteur moyenne de 184 cm pour les hommes et de 170 cm pour les femmes.
La classe de 1ère Bac Pro SAPAT
MFR de Fyé
Les jeunes, l'Europe et le futur
Beaucoup de jeunes s'interrogent sur l'Europe, sur ce qu'elle représente et ce qu'elle sera dans 20 ans. Via les réseaux sociaux, nous avons interrogé des étudiants. Pour eux, l'Europe est une espérance.
Que pensez vous de l'Europe actuelle ?
"L'Europe, de nos jours, est très importante, selon moi. Elle permet à la France d'avoir sa place dans le monde du commerce. En effet, la Chine et les USA dominent le monde commercial, et sans l'Europe, on serait incapable de s'imposer" affirme Bryan, étudiant. Contrairement à Gabrielle qui elle, nous fait remonter que "certains pays montrent encore des formes de discrimination. Et des pays plus avancés que d'autres."
Que feriez-vous en Europe pour améliorer les choses ?
"Pour améliorer l'Europe, je pense qu'il faut refonder tout ça. On a besoin de cohérence mais aussi d'unité. Depuis Erasmus il n'y a pas eu beaucoup d'initiatives" estime Bryan. Et il rajoute "qu'il faudrait tout un programme politique qui relancera la cohésion entre chaque pays européen".
A quoi ressemblera l'Europe dans 20 ans ?
"Les jeunes veulent un meilleur environnement et un meilleur investissement dans la recherche, notamment dans la téléportation pour être plus écologique. Ils veulent aussi développer le "vivre ensemble". La montée du nationalisme et du séparatisme dans certains pays de l'union Européenne fait peur.
Dans 20 ans les jeunes espèrent tous que le mot "union" dans union européenne aura pris tout son sens !
BELMA et LOU
Seconde Bac Pro SAPAT
MFR Coulans-sur-Gée
La météo du jour
Lundi 14 février 2050
"Des températures de saison qui atteindront aujourd'hui les 60 degrés à Dijon !"
Un mariage en 2050
Nous sommes en 2050.
Léa et moi sommes invitées à un mariage et nous nous rencontrons afin de parler de nos tenues :
- "Lucie, je ne sais pas quoi mettre ! Tout le monde s'habille avec des matériaux recyclés aujourd'hui et j'ai peur qu'on soit tous pareils !
- Peut-être, mais on va essayer d'être plus originales, Léa... On pourrait mettre des robes en grillage !
- Oh ! oui, avec des bottes en ferraille, un chapeau en carton, un bracelet en viande séchée, un sac à main en épluchures d'orange et des boucles d'oreilles en haricots verts lyophilisés !
- Oui ! et puis aussi des lunettes de soleil en plastique couleur jaune fluo, tu sais les paires que j'ai récupérées à la recyclerie l'autre jour : elles ont été fabriquées avec des Stabilo de 2018 !
- Super Lucie ! Pensons aussi à utiliser tout ce que nous avons mis de côté depuis 15 jours : on va se faire des colliers de nouilles, des bagues en beignets de calamars séchés et des ceintures en fausse peau de serpent autour de nos robes...
- Je pense que tous les invités vont nous regarder... même plus que la mariée elle-même !!
- OK ! Vivement demain !"
Lucie et Léa
3e - MFR Verneil-le-Chétif
Nous voulons une jeune présidente !
En cette année de 2080, nous changeons de président. Et tout est différent depuis peu. La jeunesse mondiale est au pouvoir.
Nous avons une nouvelle candidate pour cette élection. Il s'agit de Noélia Nikass, 16 ans. Elle nous vient d’Algérie. Elle a migré en France. Elle était auparavant une simple étudiante en CAP vente. Elle est d’ailleurs largement favorite. De plus, son adversaire est également une jeune femme d’origine américaine de 20 ans. Nous aurons donc une jeune présidente !
La grande révolution
Depuis quelques années, la jeunesse gouverne le monde. En 2075 a eu lieu une révolution au niveau mondial : les jeunes ont en eu assez d’être obligés d’obéir aux anciens qui ne pensaient pas à l’avenir et restaient dans des idées trop conservatrices. Il a été prouvé, par plein de scientifiques, que les jeunes avaient de meilleures idées, des pensées tournées vers l’avenir et une vision du futur beaucoup plus claire, puisqu’il s’agit principalement de leur avenir !
Cela s'est fait sans aucune violence et calmement. Les jeunes étant plus nombreux que ceux que l'on appelle aujourd'hui les "anciens", ces derniers ont cédé le pouvoir. De plus, ils apparaissaient clairement à court d'idée pour relancer l'économie et la société mondiale.
Le gouvernement du monde
La fonction présidentielle a pour objectif d’empêcher les guerres et les conflits. La présidente règlera tout sans exception : le budget, la sécurité, les discussions extérieures avec les autres mondes. Elle sera élue au suffrage universel direct, par tous les électeurs du monde. Oui, tous les électeurs du monde, car depuis la grande révolution, les hommes et les femmes de plus de 14 ans disposent du droit de vote. Mais à 40 ans, le droit de vote est retiré. Le mandat dure cinq ans et est renouvelable une fois.
Mais elle ne gouvernera pas seule : chacun des continents envoie des représentants au conseil mondial. Et là aussi, il n’y aura que des jeunes. Cette assemblée a pour but d’aider et de conseiller la présidente car elle ne pourra pas tout faire.
L'élection
Les débats présidentiels se sont passés sans problème. D'ailleurs, les candidates se le sont promis : la perdante deviendra automatiquement vice-présidente, car toutes les idées sont bonnes à prendre !
Sian, Léa, Léane
4e MFR Nogent-le-Bernard
Le semoir futuriste et le tracteur
Le semoir futuriste d'une largeur 4 à 24 mètres sera capable de semer n’importe quelle graine en un temps record.
Grâce à un tracteur d’une énorme puissance, il sera en capacité de tirer de grosses charges. Accompagné d’une herse rotative capable de broyer n’importe quelle matière : du bois comme de la pierre.
Il sera utilisé pour l’agriculture, la foresterie, le paysagisme et tout métier en besoin de semer.
Il fonctionnera grâce à l’eau et à un système de vapeur cyclique, relié également à un vérin qui permettra de trouer la terre et de semer en même temps.
Nous imaginons qu’une graine semée pourra pousser sur plusieurs mètres. Ainsi, une petite graine pourra nourrir beaucoup de monde.
Tibo, Johann et Maxime
élèves de 4e
MFR Bernay-en-Champagne
Objectif Mars !
D’ici 2024, le président de Space X, Elon Musk, pourra envoyer des hommes sur Mars.
Elon Musk prévoit de faire payer un aller-retour sur la planète rouge près de 500 000 dollars. Une fusée de Space X se voudrait être réutilisable. Elle coûterait 90 millions de dollars et près de 200 000 dollars à chacun des lancements.
Le voyage durerait trois à quatre mois pour faire les quelques 227937km. Le voyage serait destiné à des personnes plutôt fortunées, vu le prix du trajet. Plusieurs tests ont déjà été réalisés et, pour le moment, le projet est dans les temps.
Un génie
Elon Musk est né le 28 juin 1971 à Prétoria en Afrique du Sud. Il est un entrepreneur, chef d'entreprise et ingénieur, devenu américain en 2002. Il est actuellement installé à Los Angeles. Il a fait fortune grâce à sa société Tesla Motors, un constructeur de voitures 100 % électriques. Il s’est servi de ses bénéfices et sa richesse pour lancer Space X.
Vivre sur Mars
L’objectif final voulu par Musk est de vivre sur Mars, si des problèmes sur Terre survenaient... ou pour les gens riches ! D'après lui, il serait possible de faire des habitations et des plantations, dans le futur, pour pouvoir créer une nouvelle société martienne.
Lucas, Houari, Matthias
Quatrièmes MFR Nogent-le-Bernard
Notre vie va changer
Je m’appelle Solea. J’ai 32 ans et j’habite à Paris, devenue en 2050, une mégapole écolo. Je suis célibataire et j’ai une fille de 5 ans née par don d’ovocyte.
Ma maison est construite en structure en bois, avec de la paille. Depuis 30 ans nous n'avons pas trouvé mieux comme isolant. Elle est équipée de capteurs solaires et d'une éolienne : une obligation depuis la grande catastrophe naturelle de 2028. Finies les centrales nucléaires, nous ne devons consommer que des énergies renouvelables : il était temps, nous avons échappé au pire !
R2D2
Je vis avec un robot programmé depuis 3 ans. Il s'appelle R2D2 en hommage à mon grand-père qui adorait ce héros de Star Wars. Il m’aide au quotidien. Je programme mon robot la veille pour qu'il me réveille à 6h30. Il a préparé mon petit déjeuner sur la table du salon : des insectes et du lait végétal. Il a allumé la chaîne 4058, c'est la météo (voir le bulletin météo page 10).
Mon quotidien
Je file dans la salle de bain : la douche se règle automatiquement, il y a une minuterie : nous devons économiser l'eau, elle se fait rare, la douche doit durer 5 minutes. Je me sèche et vais devant le miroir pour me maquiller. Grâce à l'écran tactile je choisi un style et je le reproduis.
7h15 : ma fille Aeryn se réveille. R2D2 va préparer son petit-déjeuner, elle adore les insectes. A 7h50 le robot va mettre la voiture en route grâce à une reconnaissance faciale. Ma fille prend son cartable, aujourd'hui elle n'a que son masque à réalité virtuelle à prendre.
7h55 : on monte en voiture. C’est une voiture "autonome". J'ai juste besoin de mettre la destination souhaitée et elle y va toute seule.
9h : je rejoins ma collègue, un robot également. Nous sommes thérapeutes en désintoxication digitale. Nous aidons les personnes accros à internet à vaincre leur addiction.... et nous ne manquons pas de travail !
Secondes Bac Pro SAPAT
MFR Coulans-sur-Gée