Interview

Franck Levasseur, chef d'établissement coordinateur de l'ensemble scolaire Jeanne d'Arc.

Comment s'est passée la rentrée 2021 ?

Sur le plan comptable, c'est une rentrée plutôt satisfaisante avec un attrait pour Jeanne d'Arc, pas simplement parce qu'il y a de nouveaux bâtiments mais aussi parce qu'il y a un vrai projet derrière. C'est un bel établissement mais ce qui fait la grandeur d'un établissement, ce ne sont pas les beaux bâtiments, c'est la qualité de ce qui se vit dedans. Les équipes sont toujours aussi motivées. C'est aussi une rentrée un peu déroutante parce que l'année a été fatigante et qu'on arrive à un moment où tout le monde a envie que la pandémie s'arrête et qu'on passe à autre chose : les voyages, les sorties...

Que préférez-vous dans les nouveaux bâtiments  ?

Ce que j'aime bien, c'est que tout va se passer sur les coursives ou sur la cour, donc à l'extérieur. Partout, on a des points de fuite vers la mer. Je pense que quand on est dans un établissement scolaire et qu'on arrive à voir par endroits des horizons, inconsciemment ça nous renvoie au fait qu'on est là pour avancer. Et puis l'idée des nouvelles constructions, c'est d'adapter l'établissement aux réalités du présent de l'éducation : mettre une vie scolaire et une salle des profs plus proche des élèves, pour créer des échanges. Si, de partout, je vois du monde qui se croise, des profs qui discutent avec des élèves sur la terrasse du restaurant, on aura gagné.

Quelles sont les prochaines étapes du chantier ?

Pour mi-décembre, on doit terminer les salles de classe, la salle de sport, la salle des profs, la vie scolaire, un oratoire. Et puis la restauration, avec une grande terrasse. Une fois ce chantier terminé, les espaces verts vont arriver. On s'attachera à rhabiller le bâtiment des Gadelles, puis très vite on va passer à d'autres chantiers : celui du site Coty, puis du collège de Montesquieu. Personne ne sera lésé.

Est-ce que les délais sont respectés ?

Il y a eu du retard à cause de la pandémie. Initialement tout devait être livré pour cet été mais très vite on a compris que ce ne serait pas possible. Si on pouvait rentrer dans les nouveaux locaux le 3 janvier, ce serait génial.

Pourquoi avoir baptisé la nouvelle promotion Axel Kahn ?

Parce que je suivais déjà ses écrits et qu'il m'a énormément ému quand il est arrivé à la fin de sa vie. Quand il a su qu'il avait un cancer et qu'il lui restait 4 mois à vivre, Axel Kahn est devenu encore plus fort. Vous avez dû entendre parler du rapport Sauvé concernant les abus dans l’Église. Axel Kahn a été abusé par un prêtre quand il était jeune et il avait pris ses distances avec l’Église. Mais, c'était un Humaniste avec un grand H, quelqu'un qui croyait profondément en l'homme, et pour ça, il n'avait pas nécessairement besoin d'être catholique pratiquant. On n'a pas besoin d'être catholique, musulman, hindouiste pour être bon. Il faut juste avoir une ouverture d'esprit extraordinaire. C'était un bel homme, il y a beaucoup à apprendre de sa posture.

Propos recueillis par
Loane Levasseur, Emma Rabhi, 2C et Hector Motte, 2A

"Quand je suis arrivé en seconde, c'était avant les travaux. Je venais de sortir du collège et c'était super impressionnant, beaucoup plus grand, avec une vue mer très agréable. Globalement, on n'a pas trop ressenti les travaux pendant ces deux dernières années, même si le gros trou dans la falaise était impressionnant.

Aujourd'hui, je suis, comme tout le monde, impatient de découvrir les nouveaux locaux, les nouvelles classes. Mais mon endroit préféré au lycée reste le CDI qui est vraiment super."

"A la rentrée, j’ai vu qu’il y avait eu beaucoup d'avancées au niveau des travaux, que ça avait bien changé comparé à l'année dernière et je trouvais que c’était réussi. Les nouveaux bâtiments que j'ai pu voir sont assez grands et on peut voir la mer dans certaines salles. En plus, c’est moderne et il y a un accès plus facile pour les personnes à mobilité réduite grâce au nouvel ascenseur. Mon endroit préféré au lycée est désormais la nouvelle cour."

Propos recueillis par
Loane Levasseur, Emma Rabhi, 2C et Hector Motte, 2A

Les élèves de seconde ASSPA (Accompagnement, Soins et Services à la Personne) ont réalisé une exposition sur les droits de l’enfant dans le monde. Cette exposition est actuellement visible au CDI du site de Gaulle.

De nombreuses photos illustrent les 8 thèmes fondamentaux abordés à travers cette exposition : Le droit à la vie, le droit à la santé, le droit à l’identité, le droit à l’eau, le droit à l’éducation, le droit aux libertés, le droit à l’alimentation, le droit à la protection.

En travaillant sur cette exposition, les élèves ont pu mesurer à quel point les droits fondamentaux des enfants ne sont pas respectés sur les cinq continents. Dans le monde, il y a chaque jour 1000 enfants de moins de 5 ans qui meurent de malnutrition, des maladies ou de violences.

Beaucoup d’enfants sont privés d’école car ils doivent travailler, se prostituer ou encore devenir des enfants soldats. Pour chaque droit, les élèves ont recherché sur le site Humanium.org la situation dans différents pays. Au terme de ce travail, les élèves se déclarent surpris et choqués de découvrir autant de maltraitance envers les enfants de par le monde et invitent élèves et adultes à venir au CDI découvrir cette exposition.

Anaïs Bailliat, Alice Troadec, Aubery Clicq, Angèle Demmer, Océana Deschamps,
Maelys Geoffray et Siham Ellouz - 1 ASSPA

La classe de seconde CAP EPC (Equipier Polyvalent du Commerce) participe au salon Réinventif qui se tient au Fort de Tourneville du 25 au 28 novembre 2021.

Les élèves vendront à ce salon des objets à base de matériaux recyclés afin de sensibiliser les visiteurs au réemploi et à une maladie rare : la Fibrodysplasie Ossifiante Progressive (FOP), plus connue sous le nom de la maladie de l'homme de pierre.

Les objets vendus sont des créations d'élèves : objets de décorations comme des bougeoirs en bois, des couronnes de Noël, des galets peints, des objets confectionnés à partir de bouchons en liège, des carnets de notes etc.

Les élèves pourront aussi compter sur différents objets fabriqués par des professeurs ou d'autres classes pour leur venir en aide : pots de SOS Cookies faits par les 2 CAP AEPE, objets de déco réalisés par les 2 BTS ESF, savons solides produits par Mme Atmani, balles de préhension cousus par des bénévoles du Secours Catholique...

Le produit de ces ventes sera entièrement reversé à l'association FOP France qui se bat pour faire connaître la maladie, soutenir la recherche médicale et trouver un traitement curatif.

CAP EPC

Au Parc

Les 2 BTS SP3S (Services et Prestations des Secteurs Sanitaire et Social) ont lancé, grâce à leurs professeures, Guillemette Delesalle et Pascale Dubourg, une grande action pour Octobre rose. Rubans, guirlandes, ballons, le 21 octobre, le Parc était en rose grâce aux décorations qu'ils ont réalisées.

Ils ont de plus organisé une vente de bonbons, gâteaux et barbes à papa et ont invité étudiants et professeurs à porter une touche de rose pour s'associer à leur action. Les étudiants ont aussi démarché des magasins afin de collecter des lots pour une tombola. Les fonds collectés (1085 euros) ont été versés à la Ligue contre le cancer.

2 BTS SP3S

Au CFA

Les étudiants en 1ère année de BTS Management Commercial Opérationnel ont organisé une collecte de soutiens-gorge en collaboration avec l’association CAMI Sports et Cancer. Le but : créer une banderole avec un maximum de produits disposée à la catène au Havre le mercredi 27 octobre pour montrer leur soutien. Ils ont également effectué une vente de gâteaux sur 4 jours pour collecter des fonds qui seront versés à l’association CERICA située au centre hospitalier des Ormeaux (centre de rencontre et d’information sur le cancer). Celle-ci accompagne les patients et leurs proches dès l’annonce de la maladie et tout au long de leur parcours de soins. Ils ont été très heureux de mener ces actions et fiers de l’engouement des apprentis et formateurs du CFA à les réaliser.

Perle Ricouard, 1MCO

Au lycée

Véronique Vergez-Honta et Virginie Jouanneau-Bonté ont proposé aux Terminales Accompagnement, Soins et Services à la Personne de collaborer avec « Le Café de la Paix » au Havre à une action pour Octobre rose. Le « Café de la Paix » a financé l’achat de rubans, d’emballages cadeaux, de bonbons roses, le CDI de l'établissement, grâce à Sébastien Valentin, a fourni des livres que les élèves ont emballé en « rose », puis ils ont confectionné 220 sachets de bonbons ainsi que des rubans, symboliques de cet événement. Les ventes ont démarré le 1er octobre au « Café de la Paix » et dès le 14 octobre au lycée aux récréations. L’événement a été diffusé dans le lycée grâce aux affiches réalisées par les élèves. Le produit de ces ventes sera remis aux associations. Les élèves remercient professeurs et élèves d'avoir contribué à ces ventes.

TASSP

Témoignage

Orlane Huet, Terminale ATMFC, en stage à Lourdes

"Je m'appelle Orlane, je suis en CAP Assistant technique en milieux familial et collectif et je compte parmi les 5 élèves parties à Lourdes du 6 au 9 octobre. Gladys Le Quément, animatrice pastorale, et Anne Décultot, notre professeure, nous ont accompagnées. Quand on m’a proposé de partir, j'avoue que c’était surtout pour profiter d'une semaine entre copines ! Mais quand je suis arrivée à Lourdes, j’ai ressenti de bonnes ondes. J’avais l’impression d’être dans un monde où tous les gens étaient gentils et où personne ne vous voulait de mal. Je souhaite à tout le monde de connaître une telle sensation.

Nous avons effectué notre stage au service de voiturage. Nous prenions en charge un malade par 1/2 journée et les véhiculions sur l’esplanade pour les célébrations du matin, les sorties à la grotte et aux piscines. Certaines journées, nous poussions les voiturettes sur 18 km. Nous devions aussi prendre soin des malades, vérifier qu’ils n’avaient pas froid, qu’ils étaient bien installés. Et surtout, nous devions les écouter. Les malades nous ont confié leurs malheurs, nous avons souvent été émues par ces récits de vie mais nous avons tout fait pour leur changer les idées et leur donner de l’énergie. Le Rosaire, c’est aussi cela : des centaines de jeunes qui accompagnent, encadrent, soignent pèlerins et malades. Nous garderons un souvenir chaleureux de ce stage et de toutes ces belles rencontres."

Interview

Nicolas Degallais, major de promo pour le BTS NDRC en alternance.

Fraîchement diplômé, vous êtes major de l'académie avec une moyenne de 16,30, vous attendiez vous à cette moyenne ?

N.D. : Je m'attendais à avoir une bonne moyenne mais de là à être major de l'académie, c'est une surprise

Quel est votre parcours ?

N. D. : J'ai fait un BTS Négociation et Digitalisation de la Relation Client en alternance au CFA Jeanne d'Arc. J'étais en alternance chez Renault Trucks au Havre, comme vendeur pièces et services.

Pourquoi avoir choisi l'alternance ?

N. D. : Pour combiner l'expérience professionnelle, avoir de l'expérience en cours et une indépendance financière.

Aujourd'hui, quelle formation suivez-vous ?

N.D. : Je suis une licence Commerce Vente Marketing toujours en alternance. J'ai changé d'entreprise, je suis chez Groupe Hecquet Occasion, un concessionnaire automobile.

Que peut-on vous souhaiter ?

N. D. : D'avoir la licence.

Propos recueillis par
Rosane Dupont, 1G

Le 1er octobre, les 1G option Histoire-Géographie, Géopolitique et Sciences Politiques se sont rendus, avec Mme Sandrine Savean, au Forum mondial Normandie pour la paix.

Le premier débat, animé par une journaliste de Ouest-France et un membre de l'association "Ensemble contre la peine de mort", portait sur l’abolition de la peine de mort. Un avocat spécialisé dans la défense des condamnés à mort expliquait son travail. Deux personnes ayant vécu le couloir de la mort ont livré un témoignage très touchant permettant de prendre conscience de la douleur infligée aux condamnés.

Le 2ème débat avait pour thème la situation en Afghanistan. Des journalistes s’étant rendus sur place ont donné leur point de vue. Des politiciens afghans, des professeurs universitaires et la présidente d’une association venant en aide aux Afghans ont expliqué la situation dramatique du pays. Enfin, un dernier débat, "lutter contre la faim dans le monde", rappelait que la sécurité alimentaire est une condition pour maintenir la paix.

1ère Générale, option HGGSP

Les secondes Anim ont préparé, avec Mme Tiphaine Crochet, un spectacle de marionnettes sur la vie de Saint Joseph avec les élèves de CE1 et Twiggy, leur maîtresse.

Les Secondes Anim ont été impressionnés par les CE1. Tous se sont investis et ont été créatifs dans les ateliers mis en place : marionnettes, théâtre, décors, coloriages et bandes dessinées.

Les CE1 ont donné trois représentations devant toutes les classes de leur école. Ils peuvent être fiers d'eux.

A la fin du spectacle, les CE1 et les secondes se sont retrouvés pour discuter de la famille et partager un goûter.

Ce projet pastoral aura été bénéfique dans le cadre de l'apprentissage du futur métier d'animateur des secondes car les lycéens ont appris à être patients et à s'adapter. Ils ont hâte de refaire d'autres projets avec les primaires de l'école Jeanne d'Arc.

La classe de seconde Anim

Une nouvelle passion se développe depuis quelques années sur Internet : l’élevage d'insectes. Nathan et Léandra, deux élèves éleveurs, en parlent.

Que vous apporte l’élevage d’insectes ?

Élever des insectes nous responsabilise, on doit s’en occuper au quotidien. Cela apporte aussi le plaisir de "collectionner" différentes espèces. Et puis il y a un intérêt scientifique à observer leurs modes de vie (les insectes ont une façon très différente de se développer, de manger, de boire). Ils sont aussi intéressants à prendre en photo et à admirer (leurs couleurs, leurs formes etc.). Enfin, voir la première chasse ou le premier vol d’une mante ou d’un phasme que l’éleveur a vu grandir peut le rendre très fier.

Comment vos familles ont-elles réagi ?

Ça n’a pas été une mince affaire de convaincre nos parents respectifs. Il nous ont dit "vous êtes fous, on va être envahi". Mais nous avons réussi à les rassurer.

Y a-t-il des inconvénients ?

Oui, le bruit. Par exemple celui de la mante qui gratte la nuit sur son terrarium. Et puis les évasions qui surviennent parfois, notamment chez les fourmis. Les piqûres ou morsures de certains insectes (mantes, fourmis, carabes…) peuvent aussi arriver.

Comment débuter ?

Tout dépend de l’insecte que l’on choisit. Le mieux est de se renseigner grâce à des fiches d’élevage et de réfléchir à son envie (veut-on manipuler l’insecte, avoir un carnivore, un nocturne ou diurne ?). Une fois ce choix fait, l’important est de prévoir le matériel nécessaire (terrarium, boîte, tube à essai, nourriture, tapis chauffant si besoin…). Il existe plusieurs solutions pour acquérir des insectes (magasins, Internet, chez un particulier…). Beaucoup d'espèces d’insectes sont autorisées à l'élevage, il y en a pour tous les goûts.

Nathan Le Marchand, 2A, Léandra Vlamynck, 2C

La découverte des micro-organismes a permis une avancée considérable dans les différentes branches des biotechnologies.

Les biotechnologies existent depuis des millénaires, notamment avec la fabrication de la bière, du fromage, du pain, du vin... La découverte des micro-organismes a permis de comprendre ces mécanismes de fermentation encore utilisés dans l’agroalimentaire.

Lors de la Fête de la science 2021 à l’hôtel de ville du Havre, les élèves de Sciences et Technologies de Laboratoire ont montré au public que les biotechnologies sont présentes dans leur vie quotidienne. Les visiteurs ont ainsi pu observer au microscope divers microorganismes :

- des moisissures telles que Pénicillium camemberti et Pénicillium roqueforti, intervenant dans la fabrication du camembert et du roquefort

- des levures telles que Saccharomyces cerevisiae, intervenant dans la fabrication de la bière

- des bactéries lactiques, intervenant dans la fabrication du yaourt ou autres produits fermentés

- des protozoaires et algues vertes microscopiques provenant d’une eau de jardin, intervenant notamment dans la dépollution des eaux usées.

A l’issue de ce stand, un petit jeu a permis de tester les connaissances des petits et des grands venus très nombreux !

Tom Martin, 1ère STL

Les élèves des classes de seconde rentrés au lycée Jeanne d’Arc en septembre 2021 sont baptisés "Promotion Axel Kahn". Mais au fait, qui est Axel Kahn ?

Axel Kahn est né le 5 septembre 1944 au Petit-Pressigny dans la Loire. Il entreprend des études de médecine puis se consacre à la recherche. Il devient directeur de l’institut Cochin puis directeur de recherche à l’Inserm (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale). Ses travaux portent sur la génétique moléculaire (biologie, ADN, génétique…).

Il est surtout connu du grand public pour ses actions de vulgarisation scientifique et comme président de la Ligue contre le cancer.

En avril 2020, Il est lui même touché par un cancer avec des atteintes osseuses. Après une première rémission, la maladie le rattrape en avril 2021.

« Souriant et apaisé, je vous dis au revoir, amis. »

Axel Kahn n’avait pas d’anxiété par rapport à sa propre disparition. Il parlait de sa maladie sans aucune angoisse. Il était très conscient qu’il allait mourir. Il a fait ses adieux à sa famille, ses amis et ses contacts. Axel Kahn est mort le 6 juillet 2021.

Ludmila Oleszkiewicz,
Léa Picard 2EA

Dune est un roman de science-fiction de l’écrivain Frank Herbert datant de 1965. Ce livre a connu deux adaptations au cinéma, dont la dernière est sortie cette année.

Une première adaptation cinématographique, par le réalisateur David Lynch, a vu le jour en 1984. Jugé peu compréhensible, avec des effets spéciaux de mauvaise qualité, ce film connaîtra un grand échec commercial.

En 2021, une nouvelle adaptation de Dune, intitulée « Dune : Première partie », a été réalisée par Denis Villeneuve. 164 millions de dollars ont été investis dans ce projet pharamineux. Le film raconte l’histoire d’un jeune garçon qui vit sur la planète Dune, son père y est le roi. Là-bas, il y a plusieurs tribus. Toutes se battent pour posséder la ressource rare qui s'appelle l’épice.

« Je pense que ce film est une véritable réussite, il y a très peu de paroles mais l’histoire est compréhensible. L’image, les scènes de combat sont bien mises en valeur. Le film est assez long (2h35) mais cela passe extrêmement vite. La date de sortie du film Dune 2ème partie n’a pas encore été communiquée, les producteurs attendent de voir si le premier film marche bien. Pour ma part, j’attends ce deuxième volet impatiemment. »

Enorig Juhel, 2EB

Mélanie Georgiades, dit Diam’s, est une ancienne rappeuse, chanteuse, auteure-compositrice-interprète française qui a bouleversé le monde du rap.

Enfance

Diam's est née le 25 juillet 1980 à Nicosie (Chypre). Battue par son copain à 17 ans, elle tentera de se suicider, ce qu’elle explique dans une des ses chansons qui se nomme “Ma souffrance”.

Sa découverte du rap

Elle découvre le rap avec l’album de The Chronic (1992) de Dr Dre et le titre "Je rap” (1990) du groupe NTM. En 1994, elle crée un groupe avec son amie Fada. En 1999, elle publie son tout premier album.

La célébrité

Le succès arrive en 2003 avec l'album “Brut de femme”. En 2006 Diam's sort son troisième album, “Dans ma bulle”, qui devient double disque de platine, et le titre “Ma Boulette” devient disque d’or. Après un premier retrait médiatique, elle revient avec un dernier album "S.O.S." en 2009. Le rap est un milieu très machiste à l’époque mais Diam's réussit à s'y imposer.

Qu’est-elle devenue ?

Le 30 septembre 2012, Diam's apparaît voilée lors d'une interview où elle annonce la fin de sa carrière. Elle se décrit comme une femme apaisée depuis sa conversion. Elle vit aujourd'hui en Arabie Saoudite. Mais sa musique reste une influence pour de nombreuses rappeuses de la nouvelle génération.

Kadiva Makonga, 2C

Cette année, Pokémon fête ses 25 ans d'existence. Retour sur une saga connue de tous, que ce soit par ses jeux, sa série animée, ou ses cartes à collectionner !

Pokémon est une franchise issue de l'imagination de Satoshi Tajiri. Celui-ci se serait inspiré de l'élevage de criquets qu'il possédait durant son enfance. Cette franchise appartient à Nintendo. Les tout premiers jeux (Pocket monsters vert et rouge) sont sortis en 1996 sur console Gameboy. Depuis, ce sont 380 millions de jeux Pokémon qui se sont écoulés, ce qui en fait la 3ème franchise la plus vendue de l'histoire du jeu vidéo.

Pokémon a eu un impact culturel très important dans les nombreux pays où il a été introduit : Japon, États-Unis et bien sûr la France. Pikachu est devenu une mascotte mondiale, petite, mignonne et joviale.

La franchise a également été exploitée sous forme d'animé (diffusé en France en 1998 avec un grand succès), de mangas, et de jeux de cartes à collectionner. Quel que soit le support, le concept reste toujours le même.

Pokémon a aussi connu un essor plus récent grâce à Pokémon Go, un jeu gratuit sur smartphone, amenant à se déplacer dans son environnement pour trouver des Pokémon, et qui est devenu l’application la plus téléchargée en 2016.

Tim Rigoult, 1STI2D

After having studied Ghost net in English class, the pupils of 2GTEA went to the Natural History Museum in Le Havre.

The class went on a visit, organised by their English teacher, Ms Cécilia Buland, and accompanied by their French teacher, Ms Claire Varin, to discover an exhibition about Aboriginal Art. They saw ghost nets in the form of a whale, a turtle, a dolphin, jellyfish and many more animals...

Ghost nets are fishing nets that have been abandoned, lost or discarded at sea. It's a real plague for the marine environment because animals get trapped in them and they can die from suffocation or strangulation.

As well as the ghost net art, the class also discovered the other part of the exhibition, which was about Charles Alexandre Lesueur and his art. He participated in the expedition to Australia.

The visit was interesting and fun because there were games to play and learn new things about Australia. The class made a puzzle to reproduce the map of Australia. The pupils also draw aboriginal symbols in the sand and there were many representations of Australian animals such as the dingo.

Léa Picard et
Ludmila Oleszkiewicz, 2EA

La trottinette freestyle est un sport extrême qui se pratique dans des skateparks ou dans la rue.

Le but de ce sport est de réaliser des figures, descendre des rampes, faire des transferts, sauter des escaliers... Les trottinettes utilisées sont plus robustes, plus légères pour réaliser des figures. Elles peuvent être en titane, en aluminium ou en acier. Il y a des compétitions nationales et même mondiales comme Le Fise (Festival International des Sports Extrêmes) qui se passe en France, notamment au Havre fin août.

« La trottinette freestyle est une passion pour moi, cela fait environ 2 ans que j’en fais et c’est toujours un plaisir d’aller au skatepark. Ça me détend et ça me permet de progresser. Ce qui est important, c’est d’affronter ses peurs, repousser ses limites et surtout s’amuser. On peut réaliser des figures plus ou moins complexes, comme le Tailwhip qui consiste à sauter en faisant un tour complet de son plateau puis atterrir avec les deux pieds dessus. Si ce sport vous intéresse, vous pouvez le pratiquer au skatepark du Havre (plus grand skatepark extérieur de France) ou dans de plus petits skateparks comme celui de Vavasseur, La Hève ou Montivilliers. »

Juliette Mériat, 2C

Le 7 octobre, plusieurs classes du lycée ont rencontré Thimotée Polet, un jeune skipper de 20 ans, qui participe pour la première fois à la Transat Jacques Vabre.

Tout juste sacré Champion d’Europe U23, Thimotée Polet se lance dans un nouveau défi, en plus de ses études à l’IUT en Techniques de Commercialisation. Le 7 novembre, il sera le plus jeune skipper à participer à la quinzième édition de la Transat Jacques Vabre.

Avec son partenaire Nicolas Lemarchand, ils vont passer une vingtaine de jours en mer dans un classe 40. Au programme : 8500 kilomètres de course, un voyage d’environ 25 jours qui reliera Le Havre à Fort-de-France en Martinique. Une course riche en sensations, certaines zones étant plus dangereuses que d’autres.

Pour mener à bien ce projet, il leur a fallu trouver des partenaires financiers, louer un bateau, sortir de leur confort habituel, s’adapter au manque de sommeil, s’initier à la nourriture lyophilisée et appertisée. Ils ont bien sûr eu une préparation intense en électromusculation, un suivi médical avec des tests physiques et sanguins, de la sophrologie et une préparation aux premiers secours.

Pour cette première course, les deux skippers visent entre le top 20 et le top 10, sachant que le nombre de participants cette année est record : 82 bateaux, soit 22 de plus qu'en 2007 ! Ils soutiennent l'association "Entraide marine" qui vient en aide aux orphelins de la marine.

Jayson Alexandre,
Aodren Fruhauff, 2B