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N° 27 - Mai 2025 | www.lyceejdarc.org |
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Voyage au centre de la terre
Des élections présidentielles organisées à Jeanne d'Arc
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La Fête des talents, toute une organisation !
La Fête des talents, ce furent deux heures de show au THV du Havre avec 85 talents, lycéens, étudiants et professeurs, devant 600 personnes. Et toute une organisation !
Témoignages de quelques acteurs
Les profs
Céline Hecquet et Florence Desclos, professeures d'EPS
Quels sont vos rôles ?
C. H. : Je participe aux répétitions des élèves durant l'année, puis les accueille au THV, les oriente et assiste aux dernières répétitions.
Allez-vous monter sur scène ?
F. D. : Oui, je participe à la danse des profs.
Au THV
Léo Becker-Thille, responsable des partenariats et des relations publiques
Quelles sont vos missions au THV ?
Je crée des partenariats et prolonge les collaborations existantes.
Quel est votre rôle dans la Fête des talents ?
Je gère tout ce qui va être occupation de nos salles et planification des spectacles en échangeant avec le lycée.
En tant qu'ancien élève de Jeanne d’Arc, avez-vous déjà participé à la Fête des talents ?
Non, je ne suis jamais monté sur scène mais j’y ai assisté plusieurs fois car ma mère est professeure au lycée.
Les présentateurs
Stephane Hacala, professeur en STMG
Est-ce la première fois que vous présentez la Fête des talents ?
Non, c’est moi qui suis M. Loyal depuis à peu près dix ans maintenant et qui assure la présentation. Tous les ans, il y a de nouveaux talents qui présentent cette fête. Cette année ce sont Yannis, Hugo, Aylan et Justin qui m'accompagneront.
Comment vous sentez-vous avant de monter sur scène ?
Il y a toujours un peu de stress, comme toujours quand il y a un public. Mais après quand c’est parti, on n'y pense plus car on est là pour mettre l'ambiance dans la salle.
Les maquilleuses
Cette année, ce sont Louna, Clara et Lola, en première bac pro ECP (Esthétique, cosmétique et parfumerie) qui, « avec un peu d’appréhension », ont maquillé les artistes.
Propos recueillis par
Fleur Bertrand, Margaux Cretelle, Manon Villier, 2GTB
et Gabin Morel, 2GTC
« Participer à la formation de la personne »
Interview
Anne Becker-Thille, professeure de français
Depuis combien de temps participez-vous à la Fête des talents ?
Depuis très très très longtemps, puisque la Fête des talents telle qu'on la connaît aujourd'hui a été précédée d'autres fêtes du lycée auxquelles je participais déjà : la fête des lauréats, la fête de fin d'année, il y a eu plusieurs formes. Quant à la Fête des talents telle qu'elle existe aujourd'hui, elle a démarré de façon tout à fait inopinée. Nous cherchions un matin à organiser quelque chose quand M. Laurent Boulanger et quelques élèves qui jouaient de la musique, se sont installés dans l'ancien gymnase, qui était au milieu de la cour. La salle s'est retrouvée bondée de monde ! Ce succès nous a poussés à vouloir reproduire cette manifestation mais cette fois-ci dans une salle de spectacle organisée, construite, etc. Les traces les plus anciennes que j'ai sur mon ordi remontent à 2015, mais il y en avait déjà avant.
Quel est votre rôle ?
J'ai surtout le rôle d'organiser et de coordonner avec différents collègues qui font partie du comité de pilotage. Il y a ceux qui recrutent, ceux qui aident pour la musique, d'autres pour le théâtre, il y a l'atelier cinéma, et puis il y a un collègue qui se charge avec d'autres élèves de présenter le spectacle, la soirée.
Pourquoi organiser une Fête des talents ?
Cela s'inscrit dans notre projet pédagogique, notre projet d'établissement. Le rôle des enseignants d'une façon générale et au sein de notre établissement est de participer à la formation de la personne. Et pour un élève, il y a évidemment ce qui se passe en classe, mais qui ne représente que 40 % de ce qu'il va devenir. Et ce qu'il va devenir passe par des liens, des interactions. Permettre à des jeunes de pouvoir montrer ce qu'ils font dans un domaine dans lequel ils réussissent bien et qui n'est pas celui de l'école, je trouve que c'est important. Pouvoir laisser la place à ces jeunes-là nous motive tous dans l'équipe.
Enfin que tous puissent monter sur scène dans une vraie salle de spectacle, tous réunis, avec tous les sites, le parc, Coty, rassembler tous les talents lycée Jeanne d'Arc est fédérateur.
Est-ce du stress ?
Pendant le spectacle, je vais être stressée. Il ne doit pas y avoir de temps mort entre les numéros et s'il y a un problème technique, il faut aussitôt trouver une solution.
Propos recueillis par
Thibaut Grégoire, 2GTC
« J'ai toujours baigné dans la musique »
Coline chante à la Fête des talents , accompagnée par les professeurs et Lysandre, élève en TSTi2D.
Interview
Coline Meriot-Cleach, élève en TST2SA
Depuis combien de temps chantes-tu ?
Depuis que je suis toute petite. Mon père joue de la guitare donc j’ai toujours baigné dans cet univers et je suis des cours de chant depuis l'âge de 8 ans à l'école de musique de Gonfreville l'Orcher.
Y a-t-il un artiste qui t’inspire particulièrement ? Pourquoi ?
J'adore la pop star américaine Ariana Grande pour son parcours. Je la trouve très inspirante, j'adorerais interpréter un duo avec elle.
As-tu déjà participé à d’autres événements ?
Oui, j'ai participé à plusieurs concerts avec mon école de musique : fêtes de la musique, concert de fin d'année, concert en EHPAD...
Que ressens-tu quand tu chantes en public ?
Un immense bonheur. Je me sens vraiment dans mon élément.
As-tu déjà écrit tes propres chansons ?
J’ai déjà écrit mes propres chansons en français mais je ne les ai encore jamais chantées en public, ce que j'aimerais faire un jour.
Comptes-tu continuer la musique après le lycée ?
Oui, tout en suivant des études supérieures, je souhaite poursuivre les cours de chant et les concerts.
Propos recueillis par
Fleur Bertrand,
Margaux Cretelle
et Manon Villier, 2GTB
« Une chorégraphie inspirée de la comédie musicale High School Musichall »
Au programme de la Fête des talents, des concerts, des chants et de la danse.
Interview
Sarah Duboc, élève en T ST2SB
Est-ce la première fois que tu participes à la Fête des talents ?
Non, c’est la troisième fois. En seconde, j'ai dansé avec mon groupe de samba sur une chorégraphie de Mme Alison Burel et en première, j'ai présenté un numéro de flamenco avec la classe de 2GTC, toujours avec Mme Burel.
Qu'as-tu présenté cette année ?
Cette année, avec Léonie, Lisa, Abigaëlle, Donoma et Mélina, nous avons imaginé une chorégraphie inspirée de la comédie musicale High School Musical, dans un esprit à la fois "Pom Pom girls" et hip-hop.
Avez-vous beaucoup répété pour ce spectacle ?
Oui, nous avons répété tous les midis dans la salle de danse du lycée. Les professeures de sport, Céline Hecquet et Amélie Aubert, ont pu ainsi nous donner quelques conseils.
De ton côté, pratiques-tu la danse ?
Oui, depuis trois ans : samba, flamenco et dancehall avec l'association Studio latino LH, dirigée par Alison Burel.
Que retiens-tu de ta prestation sur scène ?
Les encouragements du public ! On est passé en premier et il y avait déjà une super ambiance.
Propos recueillis par
Fleur Bertrand, Margaux Cretelle
et Manon Villier, 2GTB
Des présidentielles à Jeanne d'Arc
Les élèves de TG et de TST2S ont participé à des élections présidentielles organisées par leurs professeurs d'EMC, Thomas Cornier et Gilles Rozay.
Une expérience originale
Afin de comprendre de manière concrète le fonctionnement démocratique, les élèves ont simulé une élection présidentielle au sein de leur établissement. À travers ce projet, les enseignants souhaitaient amener les élèves à saisir les étapes du processus électoral, à apprendre à défendre des idées qu’ils n’avaient pas nécessairement choisies, à développer leur esprit critique ainsi que leurs capacités à coopérer, tout en les sensibilisant à l’importance du vote.
Plutôt que de passer par des exposés théoriques sur la démocratie, ce projet mené sur une année entière a suscité un réel investissement, tant de la part des enseignants que des élèves.
L'organisation
Répartis en groupes, les partis ont été tirés au sort et attribués aux élèves. L’objectif : concevoir un programme, un slogan, un logo et des affiches, le tout en cohérence avec une idéologie politique qui n’était pas forcément la leur. De l’extrême gauche à l’extrême droite, en passant par le centre, chaque groupe a pu s’exprimer lors d’un débat. Les rôles étaient variés : candidat, directeur de campagne, responsable communication, chargé des parrainages, entre autres. La créativité et l’engagement ont été au rendez-vous. Affiches de campagne, slogans percutants, logos inventifs… tout a été pensé pour convaincre les électeurs.
Le scrutin
Après plusieurs semaines de campagne, les différents partis ont présenté leurs idées devant les élèves de terminale, seuls habilités à voter. Le premier tour s'est tenu le 29 avril dernier dans la salle O108, transformée pour l’occasion en véritable bureau de vote avec isoloirs, urnes et bulletins. À l’issue du dépouillement, Inès Dinalle, représentante du parti PCO (Parti communiste ouvrier), et Coline Meriot, du parti MFI (Mouvement de la France insoumise), se sont qualifiées pour le second tour. Les derniers jours de campagne ont été particulièrement dynamiques, entre distributions de tracts, votes par anticipation et échanges animés autour d’un second tour 100 % à gauche.
Le 13 mai, Inès Dinalle l’a finalement emporté avec 50,38 % des voix, marquant l’aboutissement d’un projet mené avec sérieux et enthousiasme.
Une expérience citoyenne
Les élèves sont repartis avec une vision plus claire des enjeux électoraux et de la démocratie participative. Ils ont aussi affiné leur expression orale et écrite, appris à respecter des opinions différentes, à organiser leur travail dans des délais serrés et à collaborer efficacement au sein d’un groupe. Ce projet a renforcé la cohésion entre les élèves, mis en valeur la parole de chacun et suscité un réel intérêt pour la vie publique. C’est une expérience citoyenne riche de sens, qui a enthousiasmé aussi bien les participants que leurs enseignants, et a éveillé la curiosité des plus jeunes.
Enora Jourdren, TG
« La consécration d'un projet d'une année »
Interview
Inès Dinalle (PCO), élue à la présidentielle Jeanne d'Arc
Quelle a été ta réaction lorsque tu as appris ton élection ?
J'ai appris mon élection en Ardèche en plein cours de maths sur une terrasse. Cette victoire contre Coline, une adversaire redoutable, m’a vraiment rendue heureuse car c’est la consécration d’un projet de toute une année.
Pourquoi t'être présentée ?
Notre parti, le Parti Communiste des Ouvriers (PCO), nous a été attribué par tirage au sort. On s’est dit qu’on devait jouer un jeu de rôle, comme au théâtre. On a voulu défendre une société plus juste et égalitaire en portant des valeurs de solidarité, de justice et d’union. J’ai souhaité me présenter car le projet m’a tout de suite convaincue. Il nous a amenées à réfléchir, nous a apporté une certaine confiance en nous et surtout nous a permis de découvrir de nouvelles choses.
Comment s’est déroulée ta campagne ?
J’ai eu une équipe soudée qui m’a soutenue et a toujours donné le maximum pour tenir les délais, mettre en avant notre parti. Un travail ludique mais intense qui nous a permis de sortir des cours scolaires purs.
Comment t’es-tu préparée au débat ?
Le débat, c’était ma plus grande peur alors je me suis entraînée à parler à voix haute avec mon équipe et ma famille. Tout le monde a tout fait pour que je sois plus à l’aise et et ça a marché ! C’était un vrai challenge de devoir m’exprimer devant une centaine de personnes.
Les élèves ont-ils compris les idées de ton parti ?
Je pense que oui ! On a essayé d'être clairs et compréhensibles afin que les lycéens nous comprennent même s’ils ne suivent pas la politique. On a beaucoup échangé et transmis nos valeurs sur plusieurs supports (flyers, affiches de campagne, mots du matin...). Enfin, je pense que nos valeurs sont porteuses : "Avec Inès, Vive la jeunesse et Fini la pauvreté, Place à l’égalité".
Quels moments t’ont marquée ?
Les moments de vote. Lors du premier tour, j’ai assisté au dépouillement, un moment longtemps attendu. J’étais très impatiente d’avoir les résultats parce que je voulais voir si on avait réussi à convaincre. Tout se mélangeait dans ma tête mais le vote, le dépouillement puis la victoire du premier puis du second tour ont vraiment été les moments les plus chargés d’émotions.
Quelle est ta plus grande qualité ?
Mon sourire ! Non, honnêtement, mon sens de l’écoute et mon élocution. J’ai toujours essayé de comprendre les autres, d’améliorer nos idées, nos créations, d'être compréhensible.
Et celle de Coline ?
Sa force de conviction. Elle a su défendre ses idées avec passion. C’était un vrai défi de l’affronter jusqu’au bout car elle s’exprime avec une grande clarté et c’est ce qui m’a fait peur.
Qu'aimerais-tu dire à tous ceux qui t’ont soutenue ?
Un immense merci à tous : mon équipe, ceux qui nous ont soutenus, ceux qui ont participé ou assisté au débat. Sans eux, tout ça n’aurait pas été possible. Ils m’ont portée jusqu’à la victoire
Propos recueillis par
Louanne Papaureille, TG
Une action humanitaire en Afrique du Sud
Les élèves de terminale ASSP (Accompagnement soins et services à la personne) sont revenus en France, après avoir passé deux semaines en Afrique du Sud, dans les Townships de la ville du Cap.
Accompagnés par leurs professeures Pascale Bohn, Anne-Sophie Lebras, Véronique Vergez-Honta ainsi que Thérèse Maurice, les élèves ont réalisé des actions humanitaires dans l’école « Sunshine » qui accueille des enfants âgés de six mois à six ans.
Ils ont sécurisé un bateau servant d’aire de jeux pour les enfants, en remplissant des pneus de sable afin de créer des niveaux autour du bateau. Ils ont aussi assisté les institutrices, pendant les moments de classes.
Ils ont également eu la chance de visiter le Cap de Bonne Espérance ainsi que Robben Island, où Nelson Mandela a été emprisonné pendant 18 ans.
Emma Lecoq, TPASSPB
BIA : Jeanne d'Arc au 7ème ciel
Le Brevet d’initiation à l’aéronautique (BIA) est un diplôme délivré après une formation de 40h se passant à l’aéroclub Jean Maridor du Havre. Elle comprend un module théorique (physique, météo, anglais et de la mécanique) complété par trois ou quatre vols sur les avions de l’aéroclub.
Cette formation a pour but de créer un premier contact avec le monde de l’aéronautique et de découvrir des métiers. Durant cette année, les élèves du BIA ont visité la base de la sécurité civile, l’hélicoptère Dragon 76 et la tour de contrôle. Ils ont eu aussi l’occasion d’échanger avec les contrôleurs aériens présents et des membres de l’armée de l’Air venus à l’aéroclub parler des différents métiers liés à l’aéronautique, au sein des différents corps d’armée.
Cette formation est proposée par le lycée Jeanne d’Arc pour la somme de 130 €, un prix inférieur à celui qui est demandé aux élèves de l'extérieur.
Le BIA représente donc une opportunité pour les élèves passionnés d’aviation ou simplement curieux de découvrir ce domaine. Grâce à cette formation, ils acquièrent des bases solides, vivent des expériences uniques et rencontrent des professionnels. Un excellent tremplin aussi pour ceux qui envisagent une carrière dans l’aéronautique.
Gabin Legrand,
Eloan Monville, 2GTC
Un club pour les jeux de société
Le club de jeux de société de Jeanne d’Arc favorise le rapprochement des élèves et permet de passer le temps pendant la pause du midi.
Chaque mardi, de 12H30 à 13H30, se déroule ce club créé par Madame Morisse, assistante éducatif et Monsieur Valentin, professeur documentaliste. Les participants Matiline, Luna, Clémence, Lola et Camille, témoignent : « Cette activité permet de renforcer le lien social qui est différent de celui des réseaux sociaux. Elle sert aussi à améliorer les capacités d’anticipation et surtout de développer la joie de vivre, quand on peut ainsi s’amuser pendant la longue pause du midi. »
Le club propose des jeux comme le Uno, le Dos, le Trio, les 2 Pommes 3 Pains, le Lama. Cette diversité dans des manières de jouer variées permet de découvrir des jeux que nous ne connaissions pas tout en profitant d'un moment de détente.
Wallerand Michelet, 2GTA
Un florilège d'excuses
Parmi les nombreux mots d'absence ou de retard recueillis par la vie scolaire chaque jour, certains sont plus saugrenus que d’autres. Voici un échantillon des motifs ou excuses les plus farfelus.
Les classiques
Commençons par les classiques, mais récurrents : “Mon réveil est en panne”, “J’ai loupé le bus”, ou encore “Il y avait des travaux sur la route” sont les excuses les plus souvent utilisées par les élèves.
Cependant, certaines sont plus spéciales que d'autres et certains élèves sont moins gênés que d’autres !
Les plus insolites
Tout d’abord, le motif de retard le plus difficile à croire : “Le bus a pris feu”. Cette excuse est assez spectaculaire pour la retenir mais trop improbable pour être crédible sans preuve. Le motif d’absence le plus spontané est un “Un rendez-vous Tatouage” : effronté voire un peu insultant si prononcé naturellement.
Pour changer, un retard quelque peu facile : “ J’ai croisé un prof et il me parlait “, excuse qui paraît impensable à 8 heures du matin !
Des vacances en plein milieu de l’année ? Pourquoi pas, c’est d’ailleurs une excuse donnée à la Vie scolaire : “Mon père nous a offert une semaine à DisneyLand” !
Pour finir, la palme du motif d’absence le plus drôle est décernée au “Rendez-vous avec un psychopathe” inversé avec “Rendez-vous avec un psychologue”.
Augustin Ansart,
Alexandre Braidotti, 2GTB
Comment bien se préparer aux examens ?
Témoignage
Aléna, élève en terminale ST2S
Les examens peuvent générer du stress. Pour l'éviter, l’organisation est primordiale. Planifier ses révisions à l’avance permet d’éviter l’urgence et le stress. Il est aussi important de prévoir des pauses pour se reposer et maintenir son énergie. Pour réviser efficacement, il faut se concentrer sur les matières où l’on est le moins à l’aise. Pour certains, préparer des fiches de révision est une aide précieuse.
Le stress peut aussi être réduit par des moments de relaxation. Des activités comme le sport, le yoga, les sorties avec des amis ou en famille permettent, par exemple, de se détendre. Maintenir une bonne routine est également essentiel : manger sainement et dormir suffisamment sont indispensables pour rester concentré et en forme.
Il est important de rester positif. Se rappeler que le bac est une étape et non une fin en soi aide à relativiser. Partager ses inquiétudes avec des proches permet de se sentir soutenu. Le jour des épreuves, mieux vaut arriver en avance et bien lire les consignes avant de commencer chaque épreuve.
En conclusion, gérer le stress avant les examens demande une certaine préparation. En organisant ses révisions, en prenant soin de son bien-être physique et mental, et en s’entourant de soutien, on peut aborder cette période avec plus de sérénité. Aléna rappelle que le plus important est de rester calme et de croire en soi.

Manon, faire vivre la pastorale
Portrait
Manon, animatrice en pastorale sur le site de Gaulle
Parcours
Après un bac littéraire, j'ai suivi une année de licence d'arts plastiques à l'université Rennes 2 puis je me suis réorientée vers un DEUST dans les métiers de l'animation sociale, socio-culturelle, socio-éducative. J'ai également travaillé au sein de la La Ligue de l'enseignement, toujours à Rennes, dans tout ce qui est animation. Je m'occupais des classes de ville (street art, nature, laïcité) tout en suivant, en parallèle, la formation BAFA.
Ensuite, arrivée au Havre, j'ai travaillé dans une autre association, l'AFGA (Association familiale du grand air) où j'ai assuré la direction de centre de loisirs, classe découverte et colonies de vacances. À côté de ça, je suis bénévole chez les Scouts Guides de France.
Cette année, en janvier, je suis partie un mois à l'étranger à Sofia en Bulgarie. Je travaillais dans la gestion de sinistre pour une entreprise française. C'était intéressant mais je préfère l'animation pour son aspect humain et social et parce qu'on est actif.
Missions
L'animation en pastorale consiste à faire vivre l'oratoire, à être en lien avec tout ce qui est événements liturgiques et proposer des animations et des événements qui sont plutôt sur le vivre ensemble, que ce soit l'écologie ou des actions solidaires en créant du lien entre les élèves, qu'ils soient croyants ou non. Pour faire vivre la Pastorale, j'ai commencé par installer des instruments de musique : piano, guitare dans le bureau près de l'oratoire. A partir de l'an prochain, je serai aussi sur le Parc pour fédérer la vie étudiante.
Projets
Je viens de créer les "cafés pasto". L'idée : un midi par semaine, se réunir autour d'un café et participer à des ateliers notamment autour de la musique qui s'adressent à tous les lycéens. J'ai également d'autres projets comme créer une radio avec les élèves.
Kenza Arid, TSTL,
Laure Thorel, 2GTE
Comment une classe de CAP a réussi à financer son voyage à Disneyland
De septembre 2023 à début 2025, les TPEPC ont mis en place diverses actions pour financer leur voyage à Paris. Retour sur le déroulement et la réussite de leur voyage.
Le lancement du projet
Pour la réalisation de leur chef-d’œuvre, les terminales EPC (Equipier polyvalent du commerce) ont choisi d’organiser un voyage grâce à des actions commerciales et ont réussi grâce à leur sérieux. Les élèves ont, pour commencer, confectionné et vendu des produits pour en tirer un bénéfice, développant leurs ventes au fur et à mesure.
Les actions
Depuis le commencement du projet en 2023 jusqu’à maintenant, les élèves ont participé à des ventes de produits tels que les roses éternelles et des chocolats. Ils ont aussi organisé une tombola avec notamment à la clé, un maillot du H.A.C, le club de football havrais.
Un résultat à la hauteur de leur investissement
Ils ont réussi à monter ce projet tout en suivant correctement leur scolarité. Cette motivation a été bénéfique pour leur voyage qui est amplement et de loin mérité.
Le voyage
La classe s’est donc rendue en train à Paris le lundi 28 avril. Les élèves ainsi que leurs professeures, Julie Malherbe et Carole Mérieult, ont visité le musée du Louvre, dîné dans un restaurant puis dormi à l'hôtel.
De l’amusement et du sérieux
Le lendemain, les élèves se sont rendus à Disneyland Paris pour profiter des parcs et des attractions aux thèmes féeriques. Ils se sont ensuite dirigés vers les galeries commerciales pour observer notamment les méthodes de vente et autres spécificités liées à leur filière.
Paris sur la Seine
Pour profiter de leur dernière journée dans la capitale, c'est sur la Seine que les élèves ont terminé leur excursion parisienne à bord des bateaux-mouches. Ils ont mangé une dernière fois au restaurant avant de reprendre le train en direction du Havre.
Lily-Rose Quaisse
et Emma Lecuyer, 2PMBBE
Jeanne d'Arc et Sidel, un partenariat fructueux
Un acteur majeur du conditionnement
Depuis maintenant quatre ans, la section CIEL (cybersécurité, Informatique et réseaux, électronique) du lycée bénéficie d’un partenariat précieux avec l’entreprise Sidel, basée à Octeville-sur-Mer. Spécialisée dans les solutions de conditionnement et d’emballage, Sidel est un acteur international reconnu pour son expertise dans la fabrication de lignes de production automatisées, principalement dans les secteurs des boissons, de l’alimentaire et des produits d’hygiène.
Du matériel pour nos élèves
Ce partenariat, représenté par M. Ghislain Boisard, responsable informatique, permet à notre section de profiter régulièrement de dons de matériel informatique : ordinateurs portables, PC de bureau et écrans. Un soutien matériel essentiel qui contribue à la qualité des apprentissages des élèves et à leur préparation aux technologies utilisées en milieu professionnel. Ce matériel a ainsi permis d’équiper la salle de classe dédiée à la section CIEL, d’améliorer les équipements des salles des professeurs, et même de mettre en place un système de prêt d’ordinateurs pour les élèves en étude.
Nous remercions chaleureusement l’entreprise Sidel pour son engagement et son soutien fidèle à la formation des futurs techniciens.
Emma Tonus, élève de 2PMBBE.
EVARS, des ressources pour répondre aux questions
Dans le cadre du programme d’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle (EVARS), Jean-Sébastien Brasseur, professeur documentaliste sur le site Coty, a fait l’acquisition de ressources qu’il met à la disposition des élèves au CDI.
Adapté à l'âge et à la maturité des élèves
“L'EVARS concerne tous les élèves, de l'école primaire au lycée. C'est un programme conçu pour accompagner les jeunes dans leur développement personnel et relationnel, en leur fournissant des informations adaptées à leur âge et à leur niveau de maturité”, rappelle Jean-Sébastien Brasseur. Elle est mise en œuvre dans les établissements scolaires, à travers des séances éducatives intégrées au programme scolaire. Ces séances annuelles peuvent avoir lieu en classe, sous la supervision d'enseignants formés, ou dans des espaces dédiés à l'éducation à la vie affective et sexuelle.
Des thèmes variés abordés
Ce nouveau programme aborde des thèmes variés tels que la connaissance du corps, le consentement, le respect de l'intimité, les relations amoureuses ou encore la prévention des violences sexistes et sexuelles. “C’est important que les jeunes puissent s’informer sur ces sujets, sans tabou et sans avoir peur de poser des questions auxquelles ils ont le droit d’avoir des réponses” souligne le professeur.
Diane Coussergues, 2CCSHCR
La bioproduction : quand le vivant crée les médicaments de demain
La bioproduction est un domaine fascinant et en pleine expansion.
Loin des réactions chimiques traditionnelles, elle utilise des systèmes biologiques vivants – cellules, bactéries, levures – pour fabriquer des médicaments complexes et ciblés, appelés médicaments biologiques. Ces thérapies, qui comprennent des anticorps monoclonaux, des vaccins, des enzymes thérapeutiques et des thérapies cellulaires et géniques, transforment le traitement de nombreuses maladies, du cancer aux maladies auto-immunes.
Quelles sont les étapes de fabrication ?
Tout commence par la sélection et la modification de cellules hôtes. Celles-ci sont ensuite cultivées dans de grands bioréacteurs où elles reçoivent les nutriments, l'oxygène et la température optimale pour leur croissance et la production des protéines. L'étape suivante est la purification. Elle vise à isoler et à purifier la protéine thérapeutique des autres composants cellulaires et des déchets métaboliques. Des techniques de chromatographie et de filtration sont utilisées pour garantir la pureté et la qualité du produit final. Enfin, le médicament biologique (contenant la protéine thérapeutique) est formulé et conditionné pour son administration aux patients.
Défis et opportunités
La bioproduction, bien que prometteuse, n'est pas sans défi. La complexité des systèmes biologiques rend les processus de production plus délicats à maîtriser et plus coûteux que la fabrication de médicaments synthétiques. Cependant, les opportunités offertes par la bioproduction sont immenses. Les médicaments biologiques sont souvent mieux tolérés que les traitements traditionnels, car ils imitent des molécules naturellement présentes dans l'organisme. Ils ouvrent de nouvelles voies thérapeutiques pour des maladies jusqu'alors difficiles à traiter.
Quel avenir ?
Les avancées en biotechnologie, telles que l'ingénierie génétique et l'automatisation, permettent d'améliorer l'efficacité, de réduire les coûts et d'accélérer le développement de nouveaux médicaments biologiques. La recherche permet également la mise au point de systèmes de production plus durables et respectueux de l'environnement. Au-delà de son impact direct sur le traitement des maladies, le développement et la maîtrise de la bioproduction sont d’une importance stratégique pour l'indépendance économique, la santé publique, l'accès aux traitements innovants et la création d'une industrie de pointe.
1 et T STL
Une journée mondiale pour l'environnement
La journée mondiale de l’environnement est instaurée en 1972 par l’ONU afin de sensibiliser et de mobiliser pour la sauvegarde de notre planète. Elle a lieu le 5 juin et, cette année, la Corée, qui l'accueille, met en lumière des enjeux critiques tels que la pollution marine, le réchauffement climatique et la criminalité contre la vie sauvage, invitant à des actions concrètes et durables. Les objectifs principaux de cet évènement international sont nombreux : donner un visage humain aux problèmes environnementaux, amener les peuples à devenir les agents actifs du développement durable et équitable, promouvoir la compréhension du fait que les communautés sont incontournables dans les changements d’attitude en ce qui concerne les problèmes environnementaux, défendre le partenariat qui assurera à toutes les nations et les peuples d’apprécier un futur plus sûr et plus prospère.
Cette journée est le plus grand rassemblement ayant pour but de sensibiliser le public à l'environnement et est célébrée par des millions de personnes à travers le monde. En effet, environ 150 pays y participent !
Au lycée, l'écologie doit faire partie de notre quotidien, par exemple en triant nos déchets, en gaspillant le moins possible, en éteignant les lumières ou encore le vidéoprojecteur… Les éco délégués organisent des actions au sein et à l’extérieur du lycée, si cela vous intéresse, n’hésitez pas à vous présenter l'année prochaine !
Jeanne Muzellec,
Maëlle Gotuuwka, 2GTC
Une journée mondiale pour la liberté de la presse
La liberté de la presse
Le 3 mai, c’est la Journée mondiale de la liberté de la presse. C’est une journée pour rappeler que la presse doit être libre et indépendante, et que les journalistes doivent pouvoir faire leur travail sans être en danger. Cette année, l’UNESCO a organisé une conférence à Bucarest, en Roumanie, sur le thème de l’intelligence artificielle et son impact sur l’information. L’IA peut aider les journalistes, mais elle peut aussi être un danger, par exemple en diffusant de fausses informations.
Historique
Cette journée existe depuis 1993 et a été créée pour défendre la liberté d’expression. À travers le monde, beaucoup de journalistes sont censurés, menacés ou même tués à cause de leur travail. Pendant la conférence, des experts ont discuté de la façon dont l’IA peut influencer le journalisme et des façons de protéger l’information. Un hommage a aussi été rendu aux journalistes morts dans l’exercice de leur métier et un prix remis à La Prensa, journal nicaraguayen en exil.
La conférence de Bucarest
En 2025, l’intelligence artificielle change beaucoup de choses dans les médias. Elle peut aider à écrire des articles plus rapidement, mais elle peut aussi être utilisée pour manipuler l’information. Cette conférence a rappelé qu'il faut trouver un équilibre entre les avantages et les dangers de l’IA pour protéger une presse libre et fiable.
Grégoire Thibaut
et Gabin Morel, 2GTC
L'IA et les métiers de l'ECP
L’émergence de l’IA dans le domaine de l’esthétique a poussé les grandes marques du secteur à développer des produits et des services utilisant cette intelligence.
La cosmétique algorithmique désigne l’utilisation de l’IA dans le domaine de la beauté et de l’esthétique pour formuler des services et des produits adaptés à chaque individu. Elle prend en compte différents critères tels que la forme du visage, le type de peau, la carnation, la couleur et le type de cheveux qui composent l’algorithme.
Dans un souci de perpétuelle innovation technologique, les grandes marques de la cosmétique se sont lancées dans la course à l’IA. Le groupe l’Oréal a ainsi lancé son SkinConsult AI, un outil permettant de diagnostiquer le type de peau et déterminer ainsi les produits de la marque les plus adaptés. Sephora a également développé son assistant IA, Sephora Vitual Artist, permettant de proposer des produits de la marque après un scan de son visage.
Récemment, l’entreprise Aescape AI est allée plus loin en proposant un robot masseur. Composé de bras de massage et d’une caméra scannant le dos de la personne, celui-ci est capable de déterminer les principales zones de massage et de déterminer les mouvements et gestes les plus adaptés en fonction de la morphologie de la personne. Bien qu’inaccessible financièrement pour le moment, cette innovation pose la question du rôle de l’IA dans l’évolution des métiers.
Lily-Rose Quaisse, 2PMBBE
Little world landsmarks
This year, the STI2D final year students were given the task of creating a famous monument from the English-speaking world.
This work was carried out over 3 sessions of 2 hours each.
The first step was for the students to find out which buildings they were going to build and present. After choosing their monument, students had to reproduce it with the help of solid work and Google photos. Once their constructions had been modelled and validated by the teachers, they had to send the files in STL format so that they could be 3D printed.
Once the printing was finished, some groups decided to finish their work better, so they glued the parts that went together and painted their constructions for a better look. And there you have it, little world landmarks.
Basile Thiburs, TSTI2D
Quel successeur pour l'Alpha Jet ?
Depuis 1963, la Patrouille de France fait voler des avions comme l'Alpha Jet. Celui-ci va-t-il être remplacé ?
L'Alpha Jet
L’Alpha Jet est le premier avion réalisé conjointement par les industriels aéronavales Dassault et Breguet, en coopération avec Dornier (une entreprise allemande). Le premier vol test du prototype 01 a lieu le 26 octobre 1973 à Istres (Bouches-du-Rhône). Ce biplace se révèle très manœuvrant et sans problèmes aux vitesses transsoniques. Ensuite, le 4 novembre 1977, le premier Alpha Jet E, destiné à l'armée de l’air, effectue à son tour un vol test. Il entre en service le 30 janvier 1979. Il est équipé d’un canon de 27mm et peut emporter 2500kg de charge offensive. Il peut atteindre une vitesse maximale de 1062 km/h. Au total, plus de 500 appareils sont produits et exportés dans une dizaine de pays comme la Belgique, le Maroc ou encore le Qatar. Par la suite, l’armée de l’air le remplace par de nouveaux avions nouvelle génération tels que les mirages ou les rafales. Dès lors la Patrouille de France (PAF) le conserve pour les shows aériens. Cependant, malgré sa symbolique et ses nombreuses années de service, la PAF entreprend d’adopter un nouvel appareil.
Le successeur
En effet, la société britannique Aeralis fondée en 2020 par Tristan Crawford (un ingénieur ayant travaillé dans différentes sociétés comme Airbus, QinetiQ and Alcan Global Aerospace & Transportation) a installé une filiale en France avec pour objectif de développer d’ici 2030 un avion à réaction léger pour succéder à l'Alpha Jet. L’avantage premier de ce jet mono réacteur est la capacité à s’adapter, il est dit “modulaire”. C’est-à-dire que le fuselage est commun, avec différentes nacelles ou ailes. Cela lui permet d’adapter ses performances en fonction de ses missions.
D’après nous, l’utilisation d’un tel avion peut être avantageuse pour l’armée de l’air, mais l'avion est britannique et sans symbolique. Garder l’Alpha Jet au sein de la PAF permettrait de préserver la fierté française.
Raphaël Bertel,
Amaury Heise 2GTB
Spéléologie, à la découverte des profondeurs inconnues
Lors de leur voyage en Ardèche, certains lycéens de première et terminale générales ont participé à une activité hors du commun : la spéléologie.
Cette expédition, encadrée par des guides professionnels, nous a fait traverser d’étroits boyaux, pratiquer des descentes en rappel le long de parois abruptes et passer sur des rochers escarpés… Tout cela pour explorer des grottes vieilles de plusieurs milliers d’années.
La spéléologie, c’est bien plus qu’une simple sortie sportive. C’est un mélange d’aventure, de découverte de la nature et même de science. Les spéléologues utilisent des cordes, des casques, des combinaisons et d'autres équipements spécialisés pour se déplacer dans des environnements souvent sombres, humides et étroits. En contrepartie, ils ont accès à des paysages souterrains spectaculaires : roches diverses, rivières souterraines, galeries façonnées par l’érosion…
La grotte que nous avons visitée comprenait de vastes salles ornées de nombreuses concrétions : des stalactites (suspendues au plafond), des stalagmites (qui s’élèvent du sol), des colonnes (formées par la rencontre des deux précédentes), des draperies fines semblables à des rideaux, et bien d’autres merveilles naturelles.
Ce fut une expérience aussi physique qu’émerveillante, qui nous a permis de voir la terre d’un tout autre point de vue… depuis ses profondeurs.
Marie Fafin, 1G
Retour sur les championnats de France junior de natation artistique
Les championnats de France Junior de natation artistique ont eu lieu du 8 avril au 13 avril 2025 à Tours (Pays de la Loire).
Témoignage
Loucy Fenêtre, 2GTA
Avant
Je m’entraîne au Club Nautique Havrais, pour les championnats de France Junior car j’ai été sélectionnée en mars dernier. Je me prépare physiquement et mentalement à la piscine municipale du cours de la République au Havre. En temps normal, je m’entraîne 13 heures par semaine, plus particulièrement le soir après les cours. Mais là, je m’entraîne beaucoup plus que 13 heures par semaine. Bien que je souhaite réussir autant à l'école qu'à la natation, je dois reconnaître que je suis plus concentrée sur ma compétition que sur les cours au lycée.
Pendant
En arrivant à la piscine, je suis stressée mais passé l’échauffement il n’y a plus de stress. Le 9 avril, j’enchaîne les épreuves duo et solo techniques qui se font avec des figures imposées. Le plus difficile sur des compétitions comme ça c’est l'attente pour connaître l’ordre de passage. Les championnats de France représentent une grosse opportunité car on sait d’avance qu’on va voir des prestations magnifiques. Il y a un très haut niveau d’exigence car on concourre face aux sports études et aux pôles. De plus, l’ambiance est toujours incroyable car il y a un défilé de toutes les équipes et nous chantons la marseillaise, nous exécutons une Holà et une petite danse de fin pour clôturer ces championnats.
Après
Tout d'abord, je suis contente d’y être allée, d’avoir représenté mon club et j’ai hâte d’y retourner l’année prochaine ! Le plus difficile pour moi c'est surtout me faire plaisir, et rester à attendre mon tour. Je suis très contente de mes deux épreuves car je me suis fait plaisir ce qui est rare et nous n'avons pas été dernière.
Si vous souhaitez assister à un spectacle de natation artistique, le prochain gala aura lieu le samedi 28 juin 2025 à la piscine du Cours de la République.
Move your body with the 1ST2SA
The 1ST2SA worked on obesity prevention with Mrs Valentine Lemetteil and Mrs Cécilia Buland during ETLV class, following this, we created a choreography on Beyonce's music, Move your body, to encourage everybody to move their body and practise physical activities.
This work was carried out in groups, each group had to create a part of the choreography in order to shoot a video clip with the help of Mrs Céline Hecquet during a physical education lesson.
The project was to use the vocabulary worked in class and to implement it during the activity.
This allowed the 1ST2SA to spend a friendly moment while remaining in an educational setting.
Mathéo Decaens, 1ST2SA
Blue Lock, un animé haletant
Blue Lock est un manga de Muneyuki Kaneshiro et Yusuke Nomura publié depuis 2018 dans le Weekly Shōnen Magazine et en France chez Pika Édition depuis 2021. Le manga est toujours en cours, il compte actuellement 33 volumes. En France, le tome 27 sortira le 4 juin. L’animé, produit par 8-Bit, a été diffusé de 2022 à 2023, avec une saison 2 en 2024 et un film, Blue Lock : Épisode Nagi est sorti la même année.
C'est un animé de football où seuls les attaquants les plus ambitieux et talentueux peuvent espérer briller. Pour créer le buteur ultime, un programme impitoyable regroupe les meilleurs jeunes joueurs du Japon dans un centre d’entraînement ultra-compétitif. Rivalités, dépassement de soi et stratégie sont au cœur de cette aventure haletante, où chaque match est une question de survie.
Mon avis
J'aime beaucoup le caractère souvent explosif des personnages ainsi que leur détermination et leur capacité à réfléchir en très peu de temps. Ils arrivent toujours à trouver quelle chose faire dans toutes les situations de match. J'aime aussi l'animation et les effets spéciaux qui rendent chaque moment intense. C'est comme un spectacle à regarder et c'est ce qui me pousse à poursuivre, bien que je n'apprécie pas spécialement la mentalité du football.
Nathan Guillerm, 2GTC
Switch 2 : la nouvelle console de Nintendo
Lancée en mars 2017, la Nintendo switch marque un tournant décisif car elle offre au joueur une expérience de jeu unique. Huit ans après sa sortie, Nintendo décide de se renouveler en sortant le 5 juin prochain la Nintendo switch 2.
Après le succès retentissant de la première switch, la firme japonaise revient avec une nouvelle console, la switch 2 qui conservera l’ADN hybride de son aînée tout en repoussant des limites techniques et ergonomiques. Plus puissante, dotée d’un écran OLED amélioré, d’une autonomie renforcée et de capacité graphique nettement supérieure, la switch promet une expérience de jeu encore plus fluide.
Compatible avec les jeux de la première génération et accompagnée de nouveaux jeux encore plus ambitieux, elle s’adresse aux plus nostalgiques comme aux nouveaux joueurs.
Malgré son prix imposant de 499.99 €, elle reste fidèle à la créativité de l’empire japonais Nintendo.
Théo Guillot,
Léon Lacombre, 2GTA
Lost Records Bloom and rage, le nouvel espoir de Don't Nod ?
Ce jeu, édité par le studio français Don’t Nod, fondé le 1er mai 2008 par Hérvé Bonin et Aleski Briclot, les créateurs de la série « Life is strange », est sorti le 18 février dernier.
Dans ce jeu, on suit Swann pendant l’été 1995, une adolescente d'abord solitaire. Elle rencontrera son futur groupe d’amies composé de Kate, Nora et Autumn.Toutes âgées entre 15 et 16 ans et réunies par la même passion, la musique et les films. Le type de gameplay est particulier car c’est un jeu narratif basé sur nos choix à la troisième personne avec de l’exploration. Le joueur peut aussi filmer via une caméra et créer des liens avec ses amis.
L'intérêt est de jouer sur deux timeline différentes : la première se déroule durant l’été 1995 et la deuxième se passe 27 ans plus tard, c’est-à-dire en 2022 après le Covid-19. On retrouve nos protagonistes Autumn et Swann qui reçoivent un colis portant leur ancien nom de groupe de rock. Durant la tape 1, on les suit via les deux timeline découvrant leur histoire, le regret et leur fameuse promesse de ne plus se revoir. La tape 1 introduit les personnages et crée le suspense autour du mystérieux colis. La tape 2 nous apporte une partie des réponses car elle dévoile l’intérieur du colis. Dans cette partie, on y découvre le vrai visage de certains personnages. Beaucoup de moments sont émouvants, surtout vers la fin. Certaines fins peuvent nous inciter à poursuivre le jeu en fonction de l’affection que le joueur porte aux personnages.
Notre avis
L'histoire est bonne et pleine de bons sentiments. Les personnages sont attachants et les choix impactants mais le gameplay n'est pas le point fort du jeu et la tape 1 un peu lente. Cependant, nous le conseillons vraiment aux fans de jeux narratifs.
Lubin Bessonnet 2GTA
et Lola Bazire 2GTE
