
Pour avoir un rendu optimal, mettez votre affichage à 100 % (Ctrl + 0).
Page 3
Eduquer dans la bienveillance et l'exigence
Page 2
Accompagner les parcours individuels

N° 27 - Janvier 2020 | www.lycee-ndduroc.com |
Page 4
Créer les conditions du vivre ensemble
Le projet éducatif, une boussole
Comment le Roc vit-il son projet éducatif au quotidien ? Dans ce numéro, l'équipe de Roc'Info a décliné les quatre axes du projet éducatif qui s'appuient sur les valeurs héritées des sœurs de Mormaison, fondatrices du lycée : "Accompagner, Eduquer, S'ouvrir au monde, Vivre ensemble".
Edito
Un projet, c’est une boussole…
On pourrait imaginer qu’un établissement scolaire est un groupe d’enseignants qui font des cours les uns à côté des autres, chacun cloisonné dans sa matière, et que l’essentiel se trouverait dans l’organisation de l’emploi du temps des élèves. Ce serait une vision bien triste, et tout à fait stérile, de ce qui anime un établissement comme le nôtre. Ce qui nous anime, dans le sens de ce qui nous donne une âme, c’est bien d’avoir un projet d’établissement.
L'héritage des sœurs de Mormaison
Alors, comment est né le projet de Notre-Dame-du-Roc ? C’est, d’abord, un héritage des fondatrices de l’établissement. Les Sœurs de Mormaison ont créé cette école pour les jeunes, pour leur donner les moyens de devenir plus autonomes et de réussir grâce à leur formation. Cette mission avait particulièrement du sens pour les jeunes filles dans les années soixante.
Suivre les évolutions de la société
Un établissement doit être de son temps et vivre au rythme des évolutions de la société. Le Roc a évolué au fil des années. Les religieuses ne sont plus là, mais l’esprit fondateur est toujours présent. Et, pour être sûr de ne pas perdre cet esprit, il faut le mettre en mots pour pouvoir s’y référer et communiquer nos valeurs autour de nous. Nous avons, donc, écrit récemment ce projet et l’avons décliné autour de quatre axes. Il est question d’accompagner les jeunes, d’éduquer dans la bienveillance et l’exigence, d’ouvrir au monde et de créer des conditions de vie où chacun pourra s’épanouir.
Et ce projet est notre boussole, il nous guide, il nous motive, il nous rappelle à l’ordre parfois. Mais, il nous donne surtout le sens de notre travail. Adhérer à un projet, être membre d’un groupe qui s’est solidarisé autour d’un objectif à atteindre ensemble, c’est aussi avoir la garantie de ne pas être seul dans un désert, mais plutôt porté par l’énergie de tout un groupe qui a décidé de son chemin.
Daniel ARNOU , directeur du lycée Notre-Dame-du-Roc.
Des troisièmes dans la cour des grands !
Une porte d’entrée vers le monde pro dès la fin du collège.
Aujourd’hui, le système scolaire offre la possibilité de s’engager dans la vie professionnelle très rapidement. La classe de troisième “prépa Métiers” est adaptée à des élèves motivés, volontaires et dynamiques, qui souhaitent découvrir et explorer les différentes issues professionnelles. Afin de construire leur projet d’orientation, ils peuvent, dès la quatrième, demander à intégrer cette filière.
Un enseignement spécialisé
Au lycée du Roc, cette filière existe et est performante grâce à son faible effectif : « On a des cours spéciaux, par exemple, couture, cuisine et service », témoigne Mathieu. Les jeunes acquièrent un socle commun identique à la troisième ordinaire, mais le suivi est plus adapté aux élèves ayant des difficultés. Ils peuvent suivre les cours à leur rythme, ce qui ne serait peut-être pas le cas dans une filière générale : « J’ai choisi la troisième prépa Métiers, car c’est plus facile pour moi que la générale ». Cette filière peut être intéressante pour les jeunes voulant poursuivre des études dans le commerce. Mathieu déclare d'ailleurs : « Mon idée de métier s’orienterait vers le commerce ».
Une intégration réussie
En fin d'année, les élèves en voie professionnelle passent le brevet des collèges commun aux troisièmes. Leur expérience dans le parcours professionnel peut leur rapporter des points supplémentaires. Au niveau de la vie scolaire, l'adaptation d'un "collégien" dans un lycée peut paraître difficile :« Je sens qu'on est plus petit par rapport aux autres, mais je me suis bien intégré », déclare Mathieu. On arrive très bien à communiquer avec les plus âgés ». Effectivement, cette vie au lycée pour des jeunes de leur âge, leur apprend l'autonomie, l'entraide et la vie en groupe.
Choisir son orientation
A la fin de cette année de troisième, Mathieu comme ses collègues pourra choisir de poursuivre dans une voie professionnelle mais aussi technologique ou générale. Leur accès aux formations leur sera favorisé grâce à leur expérience. Alors, tenté par cette aventure ?
Jeanne JERCZYNSKI, première GB et Marius DIXNEUF, première GA.

Le projet d'établissement
Vous pouvez flasher le QR-Code ci-dessus avant de consulter le projet d'établissement du ROC.
Alors, quoi de neuf au Roc ?
Le bien-être des jeunes et leur épanouissement est primordial. La preuve : les aménagements récents au lycée.
Le Roc a énormément évolué depuis sa création en 1967. Il prend très au sérieux la qualité des espaces de travail. L’objectif est que les élèves disposent d’« outils les plus performants pour leur formation et d'un cadre le plus agréable possible pour leur bien-être », explique Daniel Arnou, directeur.
Comme tous les ans, le lycée a rénové et investit dans de nouvelles constructions : « Il y avait des besoins », poursuit le directeur. L’espace sportif s’est agrandi. « L’EPS a beaucoup évolué ». Les vestiaires sont devenus trop petits pour le nombre d’élèves. Daniel Arnou explique que la création de nouveaux vestiaires permet « de meilleures conditions pour se changer ».
De plus, des options, telles que le théâtre, n’avaient pas d’espaces d’évolution. D’où la création d’une « salle destinée au théâtre, à la danse, à la musique ». Cette salle, au-dessus des nouveaux vestiaires, est équipée d’un parquet et de salles de rangement. D’autre part, un ravalement des façades a été effectué, garantissant un établissement propre. Alors, d’autres projets ? Oui, car « un projet immobilier important est à venir », glisse en souriant le directeur. « Tout le monde va en profiter : les étudiants, les lycéens, les professeurs ». Suspense...
Estelle ARIN et Hélène JACOB, première GB.
BTS en alternance, un vrai plus
Suite à la réforme, les classes BTS du lycée ont, désormais, la possibilité de proposer une formation en alternance. Une chance pour les élèves qui souhaiteraient se familiariser avec le monde de l'entreprise.
Pour Isabelle Bretagne, professeure en BTS, c'est très positif : « Les élèves ont une réelle envie de suivre des cours en alternance, car cela leur apporte un aspect plus concret qu'en classe et leur permet de toucher une rémunération ».
Travail supplémentaire
Cependant, elle avertit les élèves qui suivent cette formation : « Les cours en alternance sont un vrai moyen de concrétiser la théorie vue en cours, mais ils donnent aussi une masse de travail scolaire supplémentaire ». De plus, les élèves ne bénéficient plus de leurs semaines de vacances habituelles.
Le rattrapage des cours est possible grâce à l'utilisation de la plateforme numérique Moodroc, grâce à laquelle tous les documents et leçons vus en classe, sont répertoriés.
Les professeurs comme les élèves ont, donc, dû s'habituer à ce nouveau fonctionnement.
Les lycéens sont globalement satisfaits par ce système. Le fait d'être bien intégrés et de participer à des tâches intéressantes et diversifiées leur a plu.
Lisa BOSSOREIL, terminale L et Flore BOSSOREIL, première BPGA.
L'infirmerie, un lieu d'écoute
Infirmière en milieu scolaire, un métier aux multiples facettes.
L'infirmerie du Roc est ouverte tous les jours de 7 h 45 à 17 h ou 18 h. Bobo, mal de tête ou de ventre, brûlure, coupure, Sandrine Massonneau, infirmière, est toujours là pour vous aider. Plusieurs soins sont proposés, mais aussi des couchettes pour se reposer, se poser, quand on se sent mal.
Conseil et prévention
L'infirmerie du lycée est un lieu accessible à tous, élèves ou professeurs. Sandrine Massonneau soigne les maux, apporte un soutien psychologique, une écoute différente ou une aide à leurs problèmes. Elle travaille à mi-temps et partage la permanence avec Marie-Thérèse Aubret, aide-soignante.
Service important et nécessaire, il permet à ceux qui le souhaitent de sortir de leur "bulle de travail", et ainsi se ressourcer. Cet endroit est un vrai bol d'air ! « C'est un lieu neutre qui ne porte pas de jugement, qui crée ainsi une relation de confiance entre les jeunes et les adultes, explique l'infirmière. Le but est de trouver une solution à chaque problème et j'oriente parfois vers des relais extérieurs, comme "la maison des adolescents", pour trouver un soutien psychologique ».
Un métier polyvalent
Un métier passionnant mais pas toujours évident. En effet, Sandrine Massonneau et Marie-Thérèse Aubret voient énormément de passages, environ 50 élèves par jour pour seulement 7 lits. Elles doivent veiller à ce que ces lits soient au plus vite libérés. Infirmière, c'est aussi beaucoup de travail administratif afin de gérer les Projets d'accueil personnalisés ou individualisés. Cela nécessite de prendre contact avec le médecin scolaire, avec les professeurs...
Mais, Sandrine Massonneau regrette « un manque de temps » et de ne pas pouvoir faire des projets de prévention pour les adolescents sur la sexualité, le sommeil, l'alimentation, ou encore l'hygiène de vie. Pour elles, « les jeunes doivent préserver le mieux possible leur santé. »
Agnès GUILLERMOU et Léa DARIET, première B.
L'ASSOLIDAIRE, du 4 au 7 mai 2020
Chaque année, au Roc, le mois de mai est synonyme de partage et d'engagement.
Durant une semaine, différentes actions de solidarité et de citoyenneté sont mises en place dans le lycée.
Solidarité et citoyenneté
Vente de viennoiseries à l'initiative des élèves des Sorbets à la pause de 10 h, chaque matin, vente d'objets réalisés par des jeunes et des moins jeunes (sacs, porte-clés,...) et la maintenant, très attendue, course solidaire. De 9 h à 16 h, le jeudi 7 mai 2020, des animations (concert, Zumba, expositions) se succèderont ainsi que deux défis "générosité" et "sportif" pour l'ensemble des classes du lycée.
Les dons récoltés sont redistribués, ensuite, aux associations partenaires.
Comme dit la chanson, "Ensemble comme un Roc", en mai 2020 !
Vérane MENARD, professeur-documentaliste.
Bac 2021 : réformé !
Une nouvelle organisation pour faire réussir les élèves.
Pour mieux comprendre ces nouveautés qui touchent les classes de seconde et première, Roc'Info a interrogé le responsable des premières, Jean-Philippe Pavageau.
Objectifs multiples
Le baccalauréat est maintenant constitué en deux parties. D'un côté, les épreuves terminales comptent pour 60 % (philosophie, grand oral, deux enseignements de spécialité et épreuve anticipée de français). De l'autre, les épreuves de contrôle continu et les bulletins scolaires complètent la note finale à hauteur de 40 %.
« Les enjeux de cette réforme étaient nombreux : sortir de la “filiarisation”, avoir accès à un parcours individuel pour chaque élève », explique Jean-Philippe Pavageau. D'autres nouveautés découlent de cette réforme. Par exemple, au lycée, le traditionnel conseil de classe a disparu et a laissé place à des "conseils flash" pour les élèves en difficulté.
Groupe-classe transformé
Le changement majeur concerne la constitution des groupes. Les élèves ne se retrouvent en groupe-classe que pour les matières du tronc commun et dans des groupes différents en fonction de leurs spécialités.
De plus, « deux professeurs référents se partagent le suivi des élèves afin de mieux les accompagner », ajoute Jean-Philippe Pavageau. Ainsi, les professeurs principaux peuvent prendre plus de temps pour échanger.
Mise en place complexe
L’élaboration des emplois du temps et des différents groupes s'est révélée très ardue. Mais, reprend Jean-Philippe Pavageau, « une nouvelle plateforme informatique nous a facilité le travail ».
Préparer l'après-bac
Au niveau de l’orientation, le lycée s'engage à poursuivre le travail. De plus, nombreux sont les sites Internet qui renseignent les futurs étudiants tel que "éducation.gouv".
Au final, un bouleversement pour tous les acteurs : élèves, enseignants et responsables pédagogiques. Mais, le lycée se tient prêt à accompagner les futurs bacheliers !
Victoire MALLARD, première D et Maëline ROBLIN, première B.
Culture et Roc, toute une histoire...
Coup de projecteur sur la commission culturelle avec sa nouvelle programmation.
En 2020, la Commission culturelle fêtera ses 40 ans. Roc'Info a rencontré Laurence Cousseau, animatrice culturelle, responsable de cette activité pédagogique au sein du lycée.
Cette structure a pour objectif de promouvoir la culture au lycée. Elle est destinée aux élèves, mais également aux professeurs. Le lycée a donc bénéficié de la toute première commission.
La culture pour tous
La commission culturelle a été créée en 1980 par Rose-Marie Lhermenier, bien avant que le gouvernement ne l'impose aux établissements. Elle proposait alors des ateliers aux élèves, tels que la poterie, par exemple. Puis, elle intégra à la programmation de multiples conférences et séances "cinéma" pour enrichir la culture des élèves. L'objectif était également de leur offrir une activité différente des cours classiques de l'enseignement. Dans les années 90, l'organisatrice a commencé à proposer des festivals et des concerts par le biais de Chant'appart.
De multiples facettes
En 2002, Laurence Cousseau a repris le flambeau après avoir suivi deux ans d'apprentissage du métier. Le concept a évolué avec l'apparition de la maison des lycéens et la commission "Citoyenneté Environnement". Elle gère, également, depuis quelques années, l'inscription au e-Pass Jeunes pour le lycée. Une application destinée à réduire les coûts des activités culturelles (cinéma, sport, spectacles, concerts,...) pour les lycéens.
Pour choisir ces spectacles, Laurence Cousseau va sur le terrain : « Avant chaque début d'année, je rencontre les professeurs et les élèves, afin de connaître leur avis sur les spectacles qui pourraient les intéresser. S'ils sont partants, je prends contact avec les différents artistes concernés ».
A la fin de l'année, Laurence Cousseau récapitule les différentes activités présentées afin de réaliser un bilan. Cette année, elle vous conseille un très bon spectacle de Hip-hop nommé "Butterfly", qui débutera le mercredi 5 février , ainsi que "Don Juan", programmé au Grand R.
Lisa BOSSOREIL, terminale L et Flore BOSSOREIL, première BPGA.
Le végétarisme s’invite au self
Des plats végétariens sont désormais proposés aux menus.
Au self du lycée Notre-Dame-du-Roc, les plats sont équilibrés : au moins un légume et un féculent. Cependant, selon le responsable de la restauration, Christian Chauvet, « avec les repas du midi mais également ceux du soir pour l’internat, il est parfois difficile de varier ».
De nombreuses contraintes
De plus, les normes ne facilitent pas la tâche, car il ne faut manger ni trop gras, ni trop sucré, ni trop salé. La provenance des aliments est contrôlée par notre chef cuisinier.
Une préférence pour la filière courte
Christian Chauvet se montre vigilant en faisant venir le plus possible de produits de la région : 20 % de bio et 30 % de local. De même, l'équipe veille à limiter le gaspillage en réutilisant les restes le soir ou le lendemain tout en respectant les normes. Il faut aussi se conformer aux différentes règles et, donc, garder un échantillon de chaque plat pendant une semaine, au cas où une intoxication alimentaire se déclarerait afin d'en définir la cause.
Enfin, les lycéens sont de plus en plus sujets aux intolérances et aux allergies. Un affichage précis de la composition de chaque plat est proposé à l'entrée du self toutes les semaines.
Des menus végétariens
Mais, depuis le troisième trimestre de l'année dernière, la variété des menus s’est accentuée avec l’arrivée des menus végétariens. Les plats sont faits à base de soja ou de légumineuses, accompagnés de pâtes ou de céréales ainsi que de légumes verts.
Toutes les semaines, les lycéens se restaurant au self du lycée, se voient proposer un plat végétarien. Cette incitation du gouvernement faite aux établissements scolaires est une simple possibilité, mais à Notre-Dame-du-Roc, la décision est prise : le végétarisme s’invite au self ! Une manière de varier les plaisirs des papilles.
Estelle ARIN et Valentine BOSSARD , première B.
L'internat, vivre le lycée autrement
Ewen, nous raconte sa vie d'interne au Roc. Un choix qu'il ne regrette pas, car il lui permet de s'épanouir.
Arrivé en classe de première à l'internat, Ewen s'est repris en main. En classe de seconde, « je ne travaillais pas. Je n'étais pas organisé ». Le fait d'être venu ici, lui a permis de se reconcentrer, « de prendre ses responsabilités ».
L'internat, un espace de rencontre et de travail
L'internat, « cela ouvre des portes ». Après sa journée de cours, il file au foyer chercher son goûter. Puis, dans sa chambre, il s'isole pour s'avancer dans son travail : « Il m'arrive de faire quatre heures d'études d'affilée ». Ewen est entouré d'éducateurs au quotidien comme Ludovic, à l'internat, ou Vincent, animateur au foyer.
" Partage et échange " apparaissent comme des mots clés de l'internat. Pour Vincent, animateur au Roc, « c'est un moment de votre vie où il se passe pas mal de choses ».
Et aussi un espace d'épanouissement
L'internat du Roc permet, en effet, de s'épanouir dans sa vie de lycéen(ne), grâce notamment, aux diverses activités sportives proposées tous les soirs de 20 h 15 à 21 h 15 : « J'essaye de décompresser, soit avec du sport ou en voyant du monde », explique Ewen. Il est possible de faire du football, du basket, du badminton, de courir... Le foyer permet aussi de se détendre en salle télé, de jouer au billard, au baby-foot, à la console de jeu, ou encore à des jeux de société : « Cela te permet vraiment de t'épanouir ».
Préparer son avenir
La période du lycée est importante pour bon nombre de jeunes, tout comme pour Ewen. Cet environnement propice permet de préparer son futur proche qui arrive à vitesse grand V. L'internat peut être un bon choix pour optimiser sa réussite scolaire et rester concentré sur son travail : « C'est mon avenir, je le prends en main », conclut Ewen. Il permet aussi de tisser des liens sociaux et d'apprendre la vie en communauté.
Mathias GABORIEAU seconde G et Alexis RIMBERT seconde D.
Un matériel de science à la pointe
Le lycée Notre-Dame-Du-Roc investit beaucoup dans le matériel pour permettre un meilleur apprentissage des élèves.
Du matériel de précision
Le matériel scientifique mis à la disposition des élèves et des professeurs est conséquent. Notre-Dame-du-Roc possède du « matériel de précision », explique Frédéric Tenailleau, professeur de physique-chimie.
Les domaines d’expérimentation, tels que l’électricité, l’optique, l’électromagnétique, la chimie ou encore l’observation microscopique, sont « très variés », résume François Godard, professeur de physique-chimie.
Responsabiliser les élèves
Le passage de la théorie à la pratique permet l’observation, ce qui rend plus concret le cours et « facilite la compréhension », appuie Frédéric Tenailleau.
Le but est de développer chez les élèves des compétences scientifiques, et de leur apprendre à « suivre un protocole scientifique », indique François Godard. Ces expériences permettent de « responsabiliser les élèves », conclut Frédéric Tenailleau.
Hélène JACOB et Valentine BOSSARD, première B.
La seconde vie des ordis
Savez-vous que le lycée s'implique pour le recyclage de ses ordinateurs ?
Le partenariat avec l'association caritative YovoTogo permet aux ordinateurs de plus de 5 ans d'avoir une seconde vie.
« Bonjour, je m’appelle Fleur, la tour d’ordinateur. J’ai vécu cet été une aventure électrisante ! Auparavant, je vivais tranquillement au lycée Notre-Dame-du-Roc. Quand la vieillesse se fit sentir, Jean-Marc Charrier et Fabrice Piveteau, les informaticiens, prirent la décision de m’offrir une belle retraite bien au chaud. Avec mes amis les 60 ordis, le grand voyage commença. Après nous avoir fait une nouvelle beauté, grâce au reconditionnement avec Linux, l’association vint nous chercher au lycée. De là, le grand voyage débuta. A notre arrivée, on nous installa dans une salle de classe togolaise, pays moins favorisé. Dès la rentrée, de joyeux élèves pourront nous utiliser ! »
Valentine BOSSARD et Hélène JACOB, première B.
Atelier lecture aux Robretières !
Retour sur les bancs de l'école pour les lycéens de la classe de Littérature et Société de Notre-Dame-du-Roc.
Le lundi 29 avril 2019, les secondes du groupe de Littérature et Société ont rendu visite aux enfants de petites et moyennes sections de l'école des Robretières. Par binôme, ils ont animé un atelier de lecture.
Des supports originaux
En amont, nos jeunes s'étaient préparés à cette rencontre avec leurs professeures. Ils ont pu choisir les deux supports qu'ils souhaitaient proposer tels que les Kamishibaïs (technique du conte d’origine japonaise basée sur des images qui défilent dans un théâtre en bois), ou encore les oralbums. Les pop-ups ont fait l'unanimité !
Via ces différents supports, ils ont éveillé la curiosité des enfants. Ils sont devenus, pour un temps des professeurs des écoles. La spontanéité des petits a été appréciée : les adolescents ont facilement créé un contact, une interaction. Ils ont ainsi pu capter leur attention et faire de ce moment une expérience vivante.
« Hyper surprenant »
L'accueil des enfants, très extravertis, a quelque peu surpris les lycéens : garder leur attention a été parfois une épreuve bien difficile ! « C'était hyper surprenant, on était un peu perdues, mais quand on voit leurs petites bouilles trop craquantes, on se dit qu'on a de la chance de faire cette option ! », confie Yaël, élève de seconde.
Cependant, les adolescents ont regretté le manque de temps pour approfondir l'approche des supports. De plus, tous auraient voulu passer plus de temps avec les enfants pour mieux interagir avec eux.
Globalement, l'expérience a été grandement appréciée par les élèves. Certains ont pu confirmer leur choix d'orientation tandis que d'autres ont simplement aimé ce moment passé en compagnie des nouvelles générations !
Camille GUIBERT et Nina GENAIS, seconde H.
Audrey Anquetil, une chef au top !
Le lycée du Roc a accueilli, en ce début d’année, Audrey Anquetil, une grande cuisinière venue transmettre sa passion aux apprentis cuisiniers.
Il y a quelques mois, Audrey Anquetil travaillait dans les cuisines de grands chefs. Puis, elle a décidé d’envoyer spontanément une candidature pour former les jeunes au sein du lycée Notre-Dame-du-Roc.
Une relation particulière avec ses élèves
Véritable passionnée, elle déclare qu’elle avait « très envie d’enseigner et de transmettre à son tour ». Elle affirme également que « son métier actuel consiste à transmettre son savoir ». En effet, elle veut offrir les meilleures clefs à ses élèves pour qu’ils puissent réussir dans cette voie. Pour elle, les qualités les plus importantes sont « la rigueur, être consciencieux, la curiosité et la créativité. Mais, il faut aussi être acharné et avoir soif d’apprendre ».
Elle confie : « J’ai une belle relation avec les élèves. Quand on passe quatorze heures avec une même classe, c’est une relation propre aux professeurs de pratique. C’est ça qui est beau dans notre métier. ». Elle détaille une journée de cours avec ses élèves. Premièrement, en début de cours, elle leur donne un menu test qui sera proposé à midi. Puis, ils débriefent autour du déroulement du service (les tâches à effectuer et leur ordre). Enfin, c’est au tour des apprentis de cuisiner. Audrey Anquetil attend de ses élèves beaucoup de rigueur dans leur comportement, elle vérifie qu’ils sont tous bien impliqués et qu’ils adoptent une tenue professionnelle.
Un lycée bien équipé
En ce qui concerne l'équipement du lycée, ce dernier est particulièrement bien fourni.
Le Roc est équipé d’une cuisine pour les apprentis et d’un restaurant d’application, les Sorbets. Tous ces aménagements sont présents pour accompagner les jeunes au plus près de leur future profession.
Cuisine 3.0
Notre chef s'enthousiasme de l'imprimante 3D qui les aide, parfois, au dressage de la table. Du côté des professeurs, il y a une grande cohésion et un travail collaboratif : « Nous avons de la chance lorsque nous commençons en tant que professeur à Notre-Dame-du-Roc, car nous sommes particulièrement bien accueillis par l’équipe et les collègues ».
Le Roc est doté de toutes ces qualités pour permettre aux élèves de réussir au mieux dans les métiers de la cuisine.
Jeanne JERCZYNSKI, première GB et Marius DIXNEUF, première GA.
Un autre moyen de découvrir le monde
Les voyages linguistiques, une approche culturelle différente.
Au lycée Notre-Dame-du-Roc, un grand nombre de séjours linguistiques et culturels sont proposés : Hongrie, Brésil, Italie, Australie, Pays de Galles...
L'ouverture d'esprit
Selon Marie Capocchiani, professeur d’italien, « les séjours linguistiques sont une richesse pour le jeune. Ils découvrent la culture d'un pays en la vivant au quotidien. En rencontrant nos cousins italiens, nous expérimentons la différence, une vraie chance pour l' ouverture d’esprit ! »
Apprendre le rythme d'un pays
Pour Audrey Brochard, professeur d'anglais, il est important que « les élèves puissent se rendre compte que les gens n'ont pas le même rythme que nous ». Par exemple, dans certains pays, « on prend un petit déjeuner, un bon déjeuner, un dîner, alors que dans les pays anglo-saxons, on peut avoir quatre repas différents plus ou moins équilibrés. » L'insertion dans la vie étrangère permet aux élèves de comprendre les intérêts des jeunes étrangers pour le sport ou la musique. Par conséquent, ils partagent ainsi leurs passions communes.
Des manières d'apprendre différentes
Les élèves découvrent aussi un nouveau système scolaire et d'autres façons d'enseigner. En Italie, les élèves ont cours de huit à treize heures, du lundi au samedi. Ils n'ont pas de pauses mais ont l'autorisation de sortir de cours. Ces voyages demandent beaucoup d'organisation. Cependant, il faut préparer les activités, faire le lien avec d'autres matières mais aussi acheter les billets pour les transports et les visites...
« Mais en partant, les élèves apprennent hors des murs », conclut Marie Capocchiani.
Cassie MONTASSIER, première G et Léa DARIET, première B.
Une expérience insolite au Gabon
Une enseignante de Notre-Dame-du-Roc fait passer le bac dans un pays d'Afrique.
Depuis trois ans, Cécile Forget, professeure de comptabilité, en STMG (Sciences et technologies du management et de la gestion) part corriger le bac au Gabon et au Congo. Ces deux pays se situent à l'Ouest de l'Afrique et sont d'anciennes colonies françaises.
La présence d'un autre enseignant de cette discipline est nécessaire, car il n'y a qu'un professeur de comptabilité au Gabon. Celui-ci ne peut, donc, pas faire passer le bac à ses propres élèves. Ces voyages ont permis à Cécile Forget de découvrir de nouvelles façons de travailler auprès de jeunes de culture africaine. Elle a aussi pu faire de nombreuses rencontres enrichissantes.
Dépaysement total
Cécile Forget séjournait environ deux semaines dans un hôtel de la capitale gabonaise : Libreville. Elle n'était pas seule mais accompagnée de professeurs français venant des pays voisins.
Le décalage au niveau culturel est important. Les infrastructures et les paysages sont différents. Le climat est très chaud et humide. Les habitants sont accueillants et chaleureux et les élèves sont très « cool » et sympathiques. Pour elle, ce voyage fut très instructif, mais ce ne serait pas une destination de vacances.
Enseigner au Gabon
Le baccalauréat que Cécile Forget a fait passer au Gabon et au Congo était le même qu'en France puisque le lycée était français et comprenait, donc, les mêmes programmes.
Le respect des règles est différent au Gabon. : « Si le bac commence à 8 h 30 au lieu de 8 h, ce n'est pas grave », explique la professeure.
« Les élèves ne sont pas stressés par le bac. Cela arrive qu'ils n'utilisent pas le support visuel qu'ils avaient préparé ».
Il n'existe pas d'enseignement supérieur dans ces pays d'Afrique. Les élèves sont obligés de venir en France pour poursuivre leur cursus scolaire. Le taux de réussite est assez similaire qu'en France.
Les élèves sont des Gabonais qui ont souvent la double nationalité française et gabonaise. Leurs parents ont des situations assez aisées et travaillent dans des grandes entreprises françaises.
Une plongée exotique et instructive.
Cassie MONTASSIER, première G et Agnès GUILLERMOU, première B.
Une rencontre pour trouver son parcours
Deux intervenantes en Ressources humaines ont témoigné auprès des Term STMG
Dans leur première intervention, Clotilde Bernard et Marie Coutanceau, de l’entreprise « Valeurs et compétences » sont venues expliquer leur parcours aux terminales STMG, Sciences et technologies du management et de la gestion, dans le cadre du cours de Ressources humaines et communication.
Leur entreprise propose des conseils en audit, pour les professionnels comme pour les particuliers, des diagnostics en RH ainsi que l’accompagnement individuel, le coaching, les bilans de compétences : « Cela nous a permis d'avoir une autre vision de l'activité des ressources humaines », explique Jade, lycéenne en STMG.
Lou, de la même classe, a été sensible au parcours de Marie Coutanceau : « Il m’a beaucoup plu et m’a donné des idées pour mes études supérieures ». En effet, cette professionnelle confirmée a expliqué son parcours, de ses études en psychologie jusqu'aux ressources humaines. Au gré des rencontres et en soulignant l’importance du travail saisonnier, les élèves, captivés, ont compris les compétences clés à maîtriser pour Marie Coutanceau :« Capacité d’adaptation, persévérance et carrières nomades ».
La seconde intervenante, Clotilde Bernard, est un " pur produit du Roc ". Après un bac STMG, un BTS AM (Assistant de manager), ancien nom du BTS SAM (Support à l'action managériale), elle est actuellement, toujours au Roc, en bachelor GARH (Gestion en administration et ressources humaines) en alternance chez « Valeurs et compétences ». Son témoignage a mis en avant que, même si un parcours peut sembler linéaire, c’est loin d’être le cas : « Le projet professionnel s’affine au fil des années ». Elle travaille sur le développement de l'action de recrutement au sein de l’agence. La deuxième intervention des jeunes femmes portera, plus tard dans l’année, sur l’évaluation des compétences avec, entre autres, la réalisation et l’analyse du bilan de compétences.
Proposer des outils utilisés au quotidien en entreprise, témoigner des situations professionnelles vécues, enrichir le cours de visions différentes de l’activité « ressources humaines », le pari est réussi. Clotilde Bernard et Marie Coutanceau ont convaincu.
Vérane MENARD, professeur-documentaliste.
Préparons notre avenir !
Des clés et des moyens pour s'orienter sont proposés au lycée.
Aujourd'hui, de nombreux outils existent au lycée Notre-Dame-du-Roc afin de permettre aux élèves, dès la seconde, de préparer leur avenir. Ces outils sont à la disposition des jeunes mais aussi des parents. En effet, ces derniers ont une place importante. Ils doivent être impliqués et la communication entre eux, le jeune et le lycée doit être efficace.
L'importance de la place des parents
C'est pourquoi des temps sont proposés aux élèves : entretiens individuels, recherche sur les métiers et préparation des forums assurés par les professeurs principaux ; tests de personnalité, utilisation d'outils d'orientation pour connaître les métiers ou les parcours assurés par les professeurs-documentalistes. « L'orientation de chaque jeune est importante au lycée », confirme Vérane Ménard, professeur-documentaliste. La place des parents également.
Pour mieux accompagner leur enfant, des formations sont proposées aux parents, au CDI, le soir entre décembre et janvier, afin qu'ils connaissent et sachent utiliser les outils d'orientation : « C'est très intéressant. Cette soirée nous a permis de connaître et de manipuler les outils utilisés par Marie », explique son papa. C'est rassurant de savoir qu'on n'est pas seul ». Des réunions sont aussi organisées avec les professeurs pour faire des bilans sur le travail de chaque élève.
Avec la réforme du lycée général et technologique, « chaque jeune choisit parmi 12 spécialités, 10 sont proposées au Roc », explique Vérane Ménard. L'orientation est donc « un enjeu dès la fin de seconde, même pour le lycée général ». Pour le lycée professionnel aussi, c'est important. Globalement, la moitié des élèves poursuit dans le supérieur. Il leur faut donc également faire des choix, des recherches, se renseigner.
L'orientation au lycée est un moment clé dans l'avenir du jeune, il faut donc y consacrer du temps.
Alexis RIMBERT, seconde D.
Un lycée de sportifs
La variété des sports proposés au lycée permet à chaque de s'épanouir différemment.
Le lycée Notre-Dame-du-Roc compte une section de football, de basket, de cyclisme. Il propose également de nombreuses compétitions extra-scolaires en badminton ou athlétisme.
Roc et sport, toute une histoire
Depuis 1992, une section de cyclisme existe au lycée. Ces derniers temps, les coureurs ont eu l'occasion de participer, à deux reprises, au championnat du monde sur piste et de finir 2ème.
Deux anciens élèves du lycée sont d'ailleurs extrêmement prometteurs dans le monde du vélo : Maxime Chevalier en BTS au lycée, stagiaire de l'équipe Vital Concept et Antonin Corvaisier, déjà champion de France et qui a fini vice-champion du monde sur piste à Francfort, en Allemagne, et qui a pour objectif de participer aux Jeux olympiques juniors.
Le futsal au féminin
Le lycée a également une équipe de futsal féminine coachée par Baptiste Hermouet, professeur d'EPS. Depuis la création de cette section, il y a 3 ans, les joueuses ont remporté deux fois le championnat de France. Grâce à ce palmarès, la section s'est agrandie et compte aujourd'hui deux équipes. C'est, donc, l'occasion pour les deux équipes du lycée de participer, de nouveau, au championnat de France et de pouvoir ramener une troisième coupe.
Des règles différentes
Pour les curieux, voici un petit descriptif de la différence entre le football et le futsal. Les règles du foot et du futsal ne sont pas les mêmes. Le futsal se joue à 5, le foot traditionnel à 11. Le temps des matchs est aussi différent. Beaucoup plus court pour le futsal, entre 10 et 40 minutes en fonction de la catégorie, tandis qu'un match de foot à 11 dure 90 minutes. De plus, au futsal, le nombre de remplacements est illimité tandis qu'au foot, il est possible d'en effectuer seulement trois au cours du match. Alors, ça vous tente ?
Amina DRAPEAU, seconde B.
Se former pour sauver une vie
Le 19 décembre, 355 jeunes et 36 adultes se sont initiés au massage cardiaque. Sur une proposition de la Jeune chambre économique de La Roche-sur-Yon et des pompiers, Sandrine Massonneau, l'infirmière, a organisé cette journée pour les élèves de première générale et technologique.
Les intervenants, avec des explications claires et des chiffres impressionnants, ont démontré l'importance des gestes qui sauvent. En effet, l'équivalent de la population de La Roche-sur-Yon (54 000 h.) décède chaque année, en France, d'un arrêt cardiaque, soit 10 % de plus que les accidents de la route. Il faut en moyenne 12 mn aux pompiers pour intervenir. D'où cette formation, car les premières minutes sont vitales : « Ce moment m'a permis de me remettre en mémoire le geste du massage cardiaque, de le pratiquer à nouveau sur un mannequin », témoigne Myriam Thibault, enseignante.
Les pompiers ont expliqué que, très récemment, une application "Sauv Life", a été mise en place. Dès la prise en charge téléphonique par le 15-SAMU d'un arrêt cardiaque, l'application géolocalise un citoyen volontaire à proximité et le dirige vers la victime. Ce citoyen sauveteur peut alors effectuer les gestes d'urgence avant l'arrivée des pompiers ou du SAMU. Le dispositif fonctionne bien ! « Déjà une cinquantaine de vies de sauvées », explique un pompier. Pas besoin d'être un professionnel du secourisme, une très rapide formation fait de vous un citoyen sauveteur. Alors pourquoi pas vous ? www.sauv-life.fr
Vérane MENARD, professeur-documentaliste.
Cocktail de fête !
Les secrets du cocktail servi aux Sorbets en fin d'année.
Les 3 èmes prépa Métiers 2 se sont illustrés lors du concours de création de cocktails. Dans le cadre de l'EPI (Enseignement pluri-disciplinaire), les élèves de 3 ème prépa Métiers ont travaillé sur la thématique "Le Cola dans tous ses états". Ils ont étudié l'histoire du soda, mais également sa composition et ses inconvénients. En cours de restauration-service, ils ont ainsi proposé une recette offrant une alternative à la boisson gazeuse.
Le cocktail SABERO, réalisé par Maxence, Hugo et Saber (au deuxième rang sur la photo) a remporté la victoire. Le jury a été conquis par la composition fruitée. Les trois finalistes peuvent être fiers. Leur boisson sera présentée aux clients des Sorbets comme cocktail sans alcool en fin d'année scolaire.
Un délice pour les papilles grâce aux arômes fruités. Laissez-vous tenter sans modération !
L'astuce des chefs
Pour embellir votre verre, givrez-le avec de la noix de coco râpée.
La recette :
2 cl de lait d'amande
2 cuillères à soupe de mûres sauvages
1/2 banane
3 cl de sirop de fraise
Les troisièmes prépa Métiers 2.
Comment vivez-vous la culture ?
Roc'Info a réalisé une enquête pour connaître les goûts culturels des élèves.
Roc'Info a réalisé une enquête auprès de 70 jeunes du lycée général, technologique et professionnel, toutes classes confondues, pour savoir quels événements culturels les intéressent le plus. Roc'Info a aussi interrogé quelques élèves pour connaître leur ressenti.
Lire pour s'évader
Julie Chevallier, élève en seconde générale, témoigne d'un des livres qui l'a le plus marqué, "Une Vie sans fin", de Frédéric Beigbeder. Pour elle, « lire permet de s'évader, d'être dans une bulle ». C'est principalement pour cette raison qu'elle aime beaucoup lire, notamment des mangas.
Récit de vie et science fiction plébiscités
Environ la moitié des élèves ayant répondu au questionnaire disent aimer lire (voir diagramme circulaire à gauche). Parmi les lecteurs réguliers, certains aiment les livres historiques, comme "Frère d'âme", de David Diop, élu prix Goncourt des lycéens. Ce roman bouleversant parle de la Grande Guerre et de l'amitié qui unit, depuis l'enfance, les deux personnages principaux.
D'autres préfèrent la science-fiction comme la série "Chroniques lunaires" de Marissa Meyer, ou encore, les romans d'horreur, très prisés également, comme "Ça", de Stephen King, avec son clown maléfique. Classé comme le roman le plus vendu aux Etats-Unis en 1986, on peut dire qu'il a remporté un franc succès.
Le cinéma est cité à l'unanimité
Cependant, c'est le cinéma qui semble le plus plaire, car la totalité des élèves interrogés s'y rend de temps en temps (voir diagramme circulaire à droite).
Jean-Pierre Loiseau, élève en seconde bac pro Cuisine, se rend au cinéma environ une fois tous les deux mois. Dernièrement, il a vu "Hellboy", un film fantastique américain réalisé par Neil Marshall.
Par contre, seulement 20 élèves participent aux animations proposées par la médiathèque de leur commune.
Face & Si pour la musique
Pour finir, parmi les 25 % des jeunes interrogés qui ont l'habitude de participer à des festivals, Face & Si, à Mouilleron-le-Captif, plaît énormément.
Toutes ces réponses ont permis de mieux cibler les goûts des élèves du lycée Notre-Dame-du-Roc. Vous trouverez quelques dates dans la rubrique "A vos agendas", en bas de cette page, même si cette liste est loin d'être exhaustive !
Si vous souhaitez plus de dates, n'hésitez pas à consulter le site internet "85.AgendaCulturel.fr" pour trouver des dates de concerts, pièces de théâtre, festivals, spectacles de danse, arts du spectacle ou expositions.
Garance BOURY, seconde D.
A vos agendas !
Les évènements culturels à ne pas rater au lycée :
- En février/mars, vous assisterez au concert de l’artiste que votre classe a sélectionné (à l’amphithéâtre du lycée).
- Du 13 mars au 10 avril, vous pourrez vous rendre à l’exposition "Arc-en-ciel".
- Le 26 mai, les élèves qui suivent l’option théâtre feront leur représentation.
A La Roche-sur-Yon :
- Pour les amateurs de magie : le spectacle de magie mentale théâtral et interactif de Thierry Collet, le 6 et 7 mars, au Grand R.
- Le concert "Tim Dup", le 10 avril à 20 h 15 au Fuzz'Yon.
- Pour une ambiance festive : le concert ""Kokoroko Dj Set", le 6 mai à 20 h 15 au Fuzz'Yon.
- Pour tous ceux qui aiment le rythm and blues, le concert "The James Hunter Six", le 14 mai à 20 h 15 au Fuzz'Yon.
