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Toutes voiles dehors à La Tranche
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Pratiquer l'anglais tout en faisant du sport, c'est l'objectif atteint dans la pratique par la section européenne du lycée Sainte-Marie. Sur quelques jours, les jeunes ont pratiqué des sports comme le paddle, la voile à La Tranche-sur-Mer.
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Fête de la science : la chimie à l'honneur
Les enfants de l'école Béthanie étaient scientifiques d'un jour pour la Fête de la science au lycée Sainte-Marie. L'occasion de découvrir le monde de la science tout en s'amusant.
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Un partenariat avec l'entreprise Gautier
Les lycéens de première STMG ont visité l'usine de meubles Gautier. Pour de futurs techniciens en management et gestion, une occasion unique de découvrir le monde de l'entreprise.
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Une journée d'intégration réussie
Elèves de seconde et enseignants se sont découverts mutuellement lors de la journée d'intégration dans le Bocage. Journée réussie. Les enseignants ont joué les trouble-fêtes dans les bois de la Folie.
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La collecte de bouchons par solidarité
Les élèves ont mis à profit la semaine de solidarité pour renouer avec l'opération "Bouchons d'avenir". Le nombre de sacs collectés illustre la motivation des jeunes. Au total 409 kilos. Pas loin du record. Rendez-vous en 2019.

N° 24 - Décembre 2018 | www.stemariechantonnay.com |
Parrain, neveu, baptême ?
Le parrainage a été créé et élaboré par un groupe d’élèves au sein du lycée Sainte-Marie, plus précisément ce sont “ les délégués des délégués”.
Cette initiative a vu le jour à la rentrée de septembre entre les élèves de seconde et ceux de terminale.
Le parrainage consiste à créer des liens entre les différents niveaux, séries et élèves. Mais, il permet aussi aux nouveaux lycéens de pouvoir débuter leur année avec une personne qui les aide à se repérer.
Être parrain
Ce rôle est attribué aux élèves de terminale et de première, sur la base du volontariat. Les aînés font, alors, une bonne action envers les jeunes de seconde. Des liens forts se nouent entre eux, créant une bonne ambiance au sein du lycée.
Beaucoup de tensions peuvent être ainsi évitées entre les niveaux.
Être neveu
Ce rôle est attribué aux élèves de seconde. Ce n’est pas obligatoire mais peut leur permettre de mieux s’intégrer et de ne pas être isolés les premiers mois.
Tout le monde s'y retrouve. Les élèves de seconde se sentent moins rejetés et les personnes les plus vulnérables gagnent en assurance.
Maëla AUGEREAU et Rachel POUPIN--BELY, seconde E.
Un nouveau visage au lycée
Quentin Billy, nouvel éducateur, est arrivé en septembre. Portrait.
Originaire des Deux-Sèvres, Quentin Billy a intégré l'équipe vie scolaire en remplacement de Lionel Torres. Sa passion pour le travail avec les jeunes l’a conduit vers son métier actuel d’éducateur.
Avant de poser ses valises au sein du lycée, il a passé un BAFA (Brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur), un bac professionnel commerce, un BTS DATR (Développement et animation des territoires ruraux) et un AMT (Certification professionnelle au moniteur de tennis). Une fois tous ses diplômes en poche, il a travaillé quatre années dans un collège en tant qu’assistant d’éducation.
« Que du plaisir »
Maintenant qu’il est là, que fait-il de ses journées ? Il s’occupe de la surveillance des études, des devoirs, du self et des récréations aussi bien au lycée qu’à l’internat.
Cependant, son métier d’éducateur ne se limite pas qu’à ces fonctions. En effet, il anime la pause méridienne avec des activités telles que des karaokés, des moments de relaxation, des challenges de basket.
Deux soirs par semaine, Quentin Billy s’occupe des animations de l’internat, les plus variées possibles. Un nouveau lycée, une nouvelle équipe, qu’en pense-t-il ? Il vous dit tout !
« Je suis très à l’aise à Sainte-Marie, car j’ai déjà travaillé dans un autre établissement scolaire, ce qui m’a permis d’acquérir une certaine expérience. Ce n’est que du plaisir autant avec les élèves qu’avec le personnel. De plus, je me sens bien intégré au sein de l’équipe éducative ». Ses collègues le décrivent comme jovial, positif, dynamique et rigoureux.
Océane PRAUD et Camille DRONNEAU, seconde C.

Quoi de neuf pour 2019 ?
En cette rentrée 2018, Jean Michon, directeur, a exposé les nouveautés. Le lycée innove avec la venue d'une laborantine en décembre. Quentin Billy rejoint la vie scolaire. Anaïs Bonnin et Mélanie Chataignier assureront un service civique autour de la culture et du développement durable. Côté classes, c'est la création d'une seconde impulsion aidant les élèves en difficulté, et d'une seconde internationale qui proposera un voyage aux Etats-Unis. Une classe de logistique par apprentissage a été ouverte.
Concernant l’humanitaire, le voyage, qui se déroulait habituellement au Burkina Faso, a laissé place au Sénégal. Autre nouveauté : des lycéens pourront faire une partie de leurs études supérieures au Québec grâce à un partenariat.
A l’agenda, un forum des métiers et formations a eu lieu le 24 novembre, suivront les temps forts de Noël et de Pâques.
Il est prévu la construction d’un amphithéâtre qui verra le jour en 2021.
Le conseil d’établissement a voté pour le thème « Savoir être en relation ». Jean Michon met un point d’honneur à maintenir des relations saines entre les élèves et professeurs, pouvoir faire confiance aux autres et rentrer en relation avec eux : « Ce sont des qualités primordiales pour une vie d’adulte épanouie, dit-il. La paix ne se gagne pas, il faut se battre pour l’obtenir ».
Gageons que les résultats aux examens soient aussi bons en juin 2019.
Julie AYASSOU, seconde C et Alice MAUPETIT, seconde A.
Anaïs Bonnin, au développement durable
Cette Vendéenne, originaire des Essarts-en-Bocage a 23 ans. Sa mission est le développement durable, avec notamment le tri des déchets.
Anaïs Bonnin a préparé un bac ST2S à Sainte-Marie, puis un BTS Economie sociale et familiale, et, enfin, obtenu une licence professionnelle Gestion habitat social. Aujourd'hui, elle a terminé ses études.
Elle fait son service civique, comme tremplin entre ses études et le monde du travail. Anaïs passera son année au lycée, et son but est que l'établissement bouge.
Choisir Sainte-Marie était une évidence, car c’est son ancien lycée. Elle compte bien échanger ses idées avec sa collègue Mélanie .
Mélanie Chataignier, à la culture
Cette Vendéenne a 20 ans, et sa mission est l’accès à la culture.
Elle a eu son bac il y a deux ans, elle a fait deux années de DUT communication.
Mélanie fait le service civique pour se donner le temps de savoir ce qu’elle veut faire plus tard. Elle veut se sentir utile et mettre en application ce qu’elle a appris. Elle est là pour un an, son but est de nous faire faire le plus d'activités possibles en dehors des cours.
Elle a choisi Sainte-Marie par rapport à la mission, car c'est le lycée qui lui correspondait. Elle avait postulé dans des théâtres ou associations, avant de découvrir le service civique Elle travaillera seule mais aussi avec Anais Bonnin.
Service civique, être altruiste
Mélanie Chataignier et Anais Bonnin en service civique ont accepté les missions confiées par Jean Michon, chef d'établissement et de l’équipe de direction.
Mélanie et Anais doivent trouver des activités pour les lycéens tout au long de l’année scolaire, sur des thèmes comme la culture et le développement durable. Elles ont décidé de faire le service civique pour leur permettre d’avoir un peu plus de temps avant d'entrer dans la vie professionnelle.
Pour 2018-2019, trois missions ont été proposées sur le site internet “Service Civique” : développer l’accès à la culture, développement international et humanitaire. S'y ajoute : accompagner la démarche du lycée.
« Faire bouger les choses »
Parmi leurs idées, celle d'un lycée qui bouge, avec des projets auprès des élèves et pourquoi pas des professeurs : « On veut faire bouger les choses pour que vous passiez une bonne année au lycée », précisent-elles.
Tous les étudiants entre 16 et 25 ans peuvent participer au service civique. Les jeunes ne sont pas des bénévoles, ils sont rémunérés.
Beaucoup de missions sont proposées. Malgré tout, un manque de personnes du service civique peut se faire ressentir.
Maëla AUGEREAU et Rachel POUPIN-BELY, seconde E.
Le rôle du référent culturel
Depuis quelques années, chaque établissement doit avoir un référent culturel. Fabienne Brethomé a accepté de succéder à Sylvain Chatevaire à la tête de l'association Jules Verne. Pourquoi a-t-elle dit oui ? Réponse : le poste était cohérent avec la matière qu'elle enseigne et elle voulait bien s'investir.
Animer et coordonner
Cette enseignante en arts plastiques a pour mission d'animer et de coordonner la vie culturelle de l'établissement. Ainsi, elle recherche des événements comme des spectacles, des intervenants, des artistes pour des animations à l’intérieur ou à l’extérieur du lycée.
Fabienne Brethomé incite les jeunes à commander le pass culture. Ce dernier permet aux élèves d’avoir accès aux activités culturelles à prix réduit. Quinze lycéens l'ont adopté.
« J'aime relever des défis »
« Je ne regrette pas ce rôle dans le lycée, car j'aime relever des défis et j'aime aussi prendre des initiatives dans l'établissement ». Elle a déjà commencé à exposer au CDI des croquis et objets volants à partir des exemples de Léonard de Vinci.
Les lycéens apprécieront son investissement lors du temps fort de Noël où l'association Jules Verne joue un rôle de vecteur culturel toujours très apprécié.
Etienne FAZILLEAU, seconde B et Dorian BILLAUD, seconde E.
Samuel Buchoul à la philosophie
Un jeune professeur de philosophie a rejoint son homologue Didier Bacquelin. Ce fut l’occasion pour Lyc'Actu d’en savoir un peu plus sur ce nouvel enseignant. Né en Vendée, Samuel Buchoul a grandi à Angers et a eu l’envie de choisir la philosophie grâce à ses lectures.
Après avoir obtenu deux masters et un semestre Visa vacances travail (VSA), Samuel explique sa décision d’aller philosopher en Inde : « J’avais envie de découvrir une culture vraiment différente dans un pays anglophone de préférence. L’Inde m’a paru idéale pour cela ».
Le jeune professeur a créé un institut de philosophie à Delhi. Il est ouvert à tous ceux qui veulent faire de la philosophie. De nombreuses choses sont proposées tels que des lectures, des cours etc. Vous, lecteurs, pouvez jeter un coup d’œil sur ce site internet : icet.fr
Eclectique en musique
Maintenant professeur à plein temps sur deux lycées à Chantonnay et à Pouzauges, Samuel Buchoul continue ses échanges sur la philo avec des personnes du monde entier par le biais de conférences vidéo.
Cet enseignant a des goûts musicaux très éclectiques : Chopin-Nocturne 48 ; l’album Process de Sampha, Childish Gambino-Redbone. D'ailleurs existe-t-il une philosophie de la musique ? Vous avez quatre heures ! Alice MAUPETIT, seconde A et Julie AYASSOU, seconde C.
Des bouchons à foison
Pendant la semaine de la solidarité, une collecte de bouchons plastique a été lancée. Le but ? Aider les personnes en situation de handicap pour organiser des voyages, aménager des espaces, acheter du matériel.
Quand les bouchons sont recyclés, ils prennent la forme de petites paillettes en plastique. Le record de la collecte date de 2017 avec 446 kg récupérés contre 409 kg cette année. L’association bénéficiaire se nomme « Les bouchons d’avenir ». Récupérer les bouchons usagés a pris parfois l'allure d'un défi inter-classes pour obtenir le plus gros poids.
Un beau challenge entre classes, un record à battre en 2019.
Charly SOUCHET, seconde E et
Hugo BANCHEREAU, seconde A.
Le plaisir de pratiquer l'option théâtre
Depuis 4 ans le lycée propose une option théâtre organisée par Céline Saubiez-Coutanceau et Francoise Bouhier, professeures de français.
Cette option compte 14 élèves de seconde et 10 élèves de première et terminale qui sont séparés en deux groupes.
Les lycéens prennent beaucoup de plaisir et, surtout, l’option leur permet de se construire une culture de spectateur en visionnant des spectacles (Soleil Blanc). Ils acquièrent des compétences de comédiens et ont fait plusieurs rencontres avec des professionnels.
La création d’une pièce prévue début mai au Sully leur permettra de prendre confiance en eux.
La bonne ambiance est au rendez-vous. Professeurs et élèves prennent du plaisir à exercer cette option !
Charlotte BOIZUMAULT et
Flavie BROSSARD, seconde B.
Don du sang : pourquoi est-ce important ?
En mai, des lycéens de Sainte-Marie ont montré l'exemple.
« Aïe ! Ça fait mal ! » « Ça me fait peur » « Les piqûres ? Ce n’est pas pour moi ! ». Voici ce que les jeunes d’aujourd'hui pensent du don du sang, mais est-ce la vérité ?
Le 14 mai, les lycéens de première ASSP (Accompagnement, soins et services à la personne) ont organisé une collecte de don du sang au lycée Sainte-Marie.
Pour sensibiliser au don gratuit, tous les élèves du lycée ont manifesté leur soutien à cette action en portant des vêtements rouges. Une photo a immortalisé les élèves formant un cœur sur la cour.
« Le lycée est un moyen d’informer les jeunes même s’ils n’ont pas encore 18 ans, qu’un jour ils auront peut-être besoin de ce sang », précise Véronique Bodin Remigereau enseignante à l'initiative du projet. « Ce projet invite les élèves à se porter volontaires », ajoute Lydia Guinaudeau. Seuls les terminales majeurs ont pu participer à cette action de solidarité.
Des infirmières de l’Etablissement français du sang ont effectué la prise de sang et, en fin de journée, ont déposé le sang pour le faire analyser. Une collation est offerte à la fin pour récupérer de l’énergie. C’est une bonne raison pour donner son sang non ? Les besoins sont croissants, restons mobilisés.
Camille GIRARD et
Lorie LANDAIS, seconde D.
Paris pour quelques pommes
L’opération « Jus de pommes » a été relancée cette année. Ce projet a pour but de financer un voyage pédagogique à Paris prévu en mars.
La journée de récolte s’est déroulée le 16 octobre sous un beau soleil, dans une ferme à Foussais-Payré en compagnie de Séverine Cousseau, Camille Humeau et Thomas Draperon, qui encadraient la classe de deuxième année CAP AEPE (Accompagnement éducatif petite enfance). Les élèves s’étaient répartis les tâches : placer les bouteilles vides au départ de la machine, et les récupérer pleines à la sortie. Puis, direction le chargement pour assurer la livraison du jus de fruits. Malheureusement, les élèves n’ont pas pu goûter le précieux breuvage, car il était trop chaud. Les lycéens ont réussi à récolter 535 litres de jus de pommes. La bouteille revenait à moins d’un euro environ. Un projet rentable qui avait obtenu l'unanimité chez les élèves, car il était plus avantageux que les autres actions énumérées.
Eléa SOVEADI VOYER et
Camille PUAUD, seconde A.
L'évaluation à l'entrée en seconde
Le ministère de l’Education nationale a imposé à chaque établissement de faire passer un test de positionnement à tous les élèves de seconde. Deux épreuves de 50 minutes chacune ont porté sur les mathématiques et le français. Seuls les élèves intégrant un baccalauréat étaient concernés, donc le lycée général et les filières du lycée professionnel. Les tests se sont déroulés sur ordinateur afin d'intégrer les résultats sur une plate-forme numérique.
« Ce test permet d’évaluer les capacités acquises des élèves et de déterminer ceux qui ont de grandes difficultés, pour mettre en place des soutiens en français et en mathématiques », explique Céline Saubiez-Coutanceau, professeur de français et responsable de seconde. La compréhension de l'oral et de l'écrit, ainsi que la maîtrise de la langue sont évaluées en français.
En mathématiques, place à la gestion des données, aux nombres et calculs, à la géométrie et calcul littéral.
« Le bilan individuel de ces épreuves est pris en compte lors du pré-conseil. Il est ensuite distribué à toutes les familles avec une plus grande confidentialité ! », signale Evelyne Grimaud, responsable pédagogique.
« En tant que professeur, nous avons eu des contraintes par exemple pour libérer des salles avec un ordinateur par élève. Il a fallu changer les emplois du temps pour respecter les délais du ministère. Cependant, la correction se fait automatiquement grâce au logiciel », précise Evelyne Grimaud. Pour Céline Saubiez-Coutanceau, les bilans de ces résultats sont généraux. On ne peut pas en tirer grand chose.
Charlotte BODIN et
Léa PAQUEREAU, seconde D.
Témoignages d'élèves
Lily Chatellier, élève de bac pro, a trouvé que ces tests étaient assez faciles. Mais, pour le français elle a eu un souci de gestion du temps. Elle précise : « Ces tests de positionnement sont pratiques pour connaître notre niveau en début de seconde ». Le déroulement des tests sur informatique n'était pas un frein.
« Cet examen était général. Le français était difficile à cause des textes qu’il fallait relire plusieurs fois pour comprendre. Cela prenait du temps », déclare Nathan Boissinot, élève de seconde B. « C’est bien de faire ces tests. On peut savoir où on en est. Ce serait peut-être bien de les refaire, à un autre moment, dans l'année scolaire. Parfois, ce genre d'exercices donne un diagnostic des difficultés des élèves. Globalement, d'avoir un test auditif et visuel était agréable », conclut Nathan .
Charlotte BODIN et
Léa PAQUEREAU, seconde D.
Une journée pour s’intégrer
Elèves de seconde et professeurs se sont découverts mutuellement, lors de la journée d'intégration, dans le Bocage. Récit.
Cette journée d’intégration a pour but de créer une cohésion de groupe dans les classes. Elle sert à rassurer les élèves. Ils apprennent aussi à découvrir de nouveaux élèves et à ne pas angoisser le jour de la rentrée.
Les élèves de seconde générale se sont déplacés à Pouzauges, et ceux de seconde ASSP au parc Clemenceau de Chantonnay. Des activités ludiques étaient organisées pour souder les groupes. Au programme : fléchettes, danses, énigmes à résoudre. Pourquoi le choix de Pouzauges ? Son château est historique et le bois de la Folie tout proche se prêtait à une course d'obstacles. Un questionnaire sur Gilles de Rais a permis aux élèves d'engranger des points pour leur classe. D'autres étaient meilleurs au lancer de fléchettes ou de sarbacane.
Quant aux chorégraphies finales, ce fut un grand moment de rires, car coordonner près de 40 danseurs d'un jour, a relevé de l'exploit.
Les élèves de bac pro ASSP ont réalisé des jeux de rôle pour apprendre à se connaître, l'animation faisant partie de leurs cours.
Quant aux élèves de bac pro Logistique et commerce, ils ont marché jusqu'au site de Touchegray. Puis, ils ont revêtu des déguisements pour une chasse au trésor et des danses. « Cette journée d'intégration permet, selon Annabelle Alletru, responsable pédagogique, de créer du lien entre les jeunes. Les élèves viennent de collèges éloignés et les animations les aident à découvrir leurs enseignants sous un autre jour ».
Etienne FAZILLEAU, seconde B
et Dorian BILLAUD, seconde E
Bac en poche
Octobre marque le grand retour des lauréats du bac au lycée. La remise des diplômes, organisée par le secrétariat, est vécue en quatre moments de convivialité.
De 18 h à 19 h 30 environ, les élèves sont accueillis dans le hall. Ils y retrouvent leurs anciens professeurs et camarades. Répartis dans les classes, ils narrent leur vie étudiante, qui commence, au groupe. Mais, il faut suspendre ces retrouvailles pour la partie officielle. Le directeur prononce son discours.
Un verre de l'amitié, suivi d'une tombola clôture cette soirée. Les jeunes étudiants ont la possibilité de gagner une tablette offerte par l'établissement. La soirée de remise des diplômes est l'occasion de se retrouver et d'échanger sur leur vie actuelle.
Une belle réussite
Cette année, les bacs professionnels ont un taux de 100 % de réussite. Quant aux bacs généraux, ils décrochent un taux de 98.3 %. Pour Jean Michon, directeur du lycée, ces résultats sont synonymes « de travail de la part des élèves, d’un enseignement correct des professeurs, et d'une aide générale des parents ».
Charlotte BOIZUMAULT et
Flavie BROSSARD, secondes B.
La logistique en pratique
Voir sur le terrain le travail spécifique de la logistique en entreprise, tel était l'objectif du vendredi 28 septembre . Les douze garçons de première bac pro Logistique sont allés visiter une usine près des Herbiers. L'usine Leroy stocke et envoie des colis dans les délais les plus courts possibles.
« J’ai trouvé que les élèves étaient très intéressés et attentifs », assurent, de concert, l'enseignante Evelyne Grimaud et le directeur de l'entrepôt, Eric Grignon. « La visite était complète et très sympa », concluent deux élèves, Enzo Bonnenfant et Anatole Durand.
Léa PAQUEREAU et
Charlotte BODIN, secondes D.
Immersion au cœur d’une entreprise
Les élèves de STMG ont visité l'usine de fabrication de meubles Gautier. Une occasion unique de découvrir, de l'intérieur, le monde l'entreprise.
Etre lycéen, c'est, certes, obtenir un diplôme, mais aussi et surtout se préparer aux études supérieures et aux emplois possibles après la vie étudiante. Surtout, lorsque l'on décide de suivre une filière technologique comme la STMG : Sciences et technologies de management et de gestion. Voilà pourquoi, pour la première fois, le lycée s’est lancé dans un partenariat avec Gautier, une entreprise de meubles vendéenne de renommée internationale. Le siège social des établissements Gautier se situe au Boupère. Cette proximité géographique devient alors pédagogique .
Le partenariat s’effectue entre Gautier et les élèves du niveau première STMG. Créer et entretenir une collaboration avec cette entreprise instaure des échanges. Et le partenariat, lien privilégié pour un travail dans la durée, conforte la connaissance et, par là-même, la confiance. Les lycéens sont directement plongés dans le monde du travail. De plus, c’est en lien avec tous les cours, où l’on étudie la théorie, illustrée par la pratique avec l’entreprise une à deux heures par semaine. Quelle chance d'associer les cours et la réalité.
Les élèves y voient une opportunité pour trouver des stages et découvrir le monde de l’entreprise.
« Cela nous permet de découvrir le fonctionnement d’une entreprise et ce qu’on y fait », explique la déléguée des premières STMG.
Mais, comment cela est-il possible ? C’est grâce aux multiples visites des élèves au sein de l’établissement et aux nombreuses interventions du personnel de Gautier au lycée.
« J’attends de l’entreprise qu’elle partage son savoir avec les élèves », dit Marie-Françoise Coutanceau.
Avec cet échange, les élèves découvrent tous les métiers nécessaires au processus de fabrication d’un meuble. Et il y en a beaucoup !
Rien de mieux que de plonger au cœur du monde de l’entreprise pour avoir un aperçu d’un éventuel futur métier.
Camille DRONNEAU et
Océane PRAUD, seconde C.
Une fête de génie
« Regardez, une fusée ! » Le 13 octobre, le lycée Sainte-Marie s’est transformé en un laboratoire à l’occasion de la Fête de la science. Cette journée est totalement consacrée à des expériences tout en respectant la sécurité. Invités, les élèves de l'école Béthanie.
Au programme, du lait magique, des fusées, du slime et bien d’autres activités, ont permis à des élèves de CM2 de découvrir les sciences tout en s’amusant. Pour organiser cet événement, les terminales scientifiques, STSS (Sciences et technologies de la santé et du social) et STMG (Sciences et technologies du management et de la gestion) ont travaillé, depuis l'année dernière, pour tout préparer. Les lycéens d'AEPE (Accompagnement éducatif petite enfance), de leur côté, ont concocté une série d’expériences pour des élèves de grande section.
Selon les enseignants du primaire : « c’est l’occasion pour les enfants de manipuler et de comprendre avec du matériel adapté les sciences en général. Nos élèves sont heureux d’être ici et s’impliquent pour profiter pleinement de l’ambiance dynamique des lycéens ». Pour la première fois, le lycée ouvrait ses portes le samedi matin au grand public afin de toucher petits et grands.
Les petits scientifiques, sont tous repartis épanouis et curieux d’apprendre "des trucs" sur les sciences. Comme quoi, cette journée n’a que du bon !
Léonie MANDIN, seconde A,
Lorie LANDAIS et
Camille GIRARD, seconde D.
Tous à l'eau avec les "Européens" du lycée
« Toutes voiles dehors » est un projet qui existe au lycée Sainte-Marie depuis 6 ans. Ce projet est proposé aux élèves de section européenne qui couplent l'anglais et le sport.
La sortie du groupe a eu lieu le 27 septembre sous un beau soleil estival. Les activités proposées étaient le catamaran le matin et le big stand-up paddle, puis le stand-up l’après-midi. Le big stand-up paddle est une activité semblable au paddle mais sur une plus large planche pouvant supporter 10 personnes.
Ces activités sportives, financées par la Région, font découvrir aux élèves des sports qu’ils n’ont pas l’habitude de pratiquer.
L’avantage de la section européenne est le nombre raisonnable d’élèves, qui permet de travailler le vocabulaire anglais et de créer une cohésion de groupe. La pratique de la voile n'en est que plus drôle, avec des confusions entre babord et tribord.
Les enseignants, Emilie Chacun, Anthony Ménard, Elodie Lévin et Laëticia Remigereau ont amené leur bonne humeur pour faire de cette pratique un moment agréable. « De vrais petits marins », ironise un élève.
C'est le centre nautique de La Tranche-sur-Mer (CNT) qui a accueilli les lycéens. Durant la journée, les élèves et les professeurs étaient assistés par deux moniteurs du CNT, gage de sécurité pour des activités dites "à risque". « L’année dernière, une professeure s’est cassée un os du pied en planche à voile », raconte Elodie Levin.
Heureusement, cette année, tout s’est bien passé, avec de beaux moments de fous rires lorsqu’il a fallu enfiler les combinaisons. La maîtrise de l'équilibre et du demi tour sur le paddle a été parfois un peu risquée.
De l'avis des élèves, le projet mérite d'être reconduit.
Eléa SOVEADI VOYER et
Camille PUAUD, seconde A.
Une association sportive dynamique
Ce 8 octobre, Lyc'Actu a rencontré Elodie Levin, enseignante d'EPS pour découvrir le programme de l'association sportive (AS) de cette année.
Deux sports collectifs, le volley et le basket sont proposés, ainsi que de l’athlétisme, du badminton, le cross en plein air ou en salle. Le step et le renforcement musculaire sont des activités hors compétition.
Du sport pour tous
Pour encadrer les élèves volontaires, trois enseignants Elodie Levin, Laëtitia Remigereau et Anthony Guignard se donnent au maximum.
L’objectif de l’association sportive est de proposer du sport à tout le monde, qu’on soit licencié ou non dans un club. L’AS permet aux 115 inscrits de se détendre, de destresser des cours classiques, de pratiquer une occupation saine.
Des effectifs en progression
Elodie Levin explique : « Encadrer l’AS apporte un changement par rapport à mes cours normaux en EPS. La relation au jeune est différente, car il y a de la compétition ».
Vu le nombre de participants en constante progression d'année en année, l'AS a de beaux jours devant elle. Lyc'Actu encourage les sportifs à atteindre le podium.
Charly SOUCHET, seconde E et
Hugo BANCHEREAU, seconde A.