Assétou Diabaté, d'origine malienne, sait cuisiner et chanter. On l'a vérifié au moment de Pâques, qui a été, comme chaque année, un temps fort de solidarité avec l'opération bol de riz.

Les portes ouvertes des 2 et 3 février ont été un succès. Jean Michon, directeur, était là pour renseigner les 432 familles venues aux nouvelles, concernant notamment le nouveau bac.

Les trois lycéens de l'atelier vidéo, Laura, Clara et Florian ont tourné leur premier film. Un court métrage de 3 mn consacré au métier de tonnelier. Ils ont rencontré et filmé Maxime Manceau.

12 élèves sont partis aux États-Unis en mars. Entre Lancaster et New York, ils ont aussi fait escale en pays amish. L'occasion pour les accompagnatrices de tester la locomotion hippomobile.

Sur deux jours, Nantes a accueilli les 56 premières ST2S (Sciences et technologies du sanitaire et social). L'objectif était de découvrir des structures en milieu urbain, en lien avec le secteur sanitaire et social.Ce déplacement avait été préparé en cours par les élèves. .

Parmi les structures retenues, le centre de réadaptation, le centre socio-culturel et l’association des Restos du Coeur ont ouvert leurs portes aux lycéens. Ensuite, en lien avec le cours de biologie physiopathologie humaine, les élèves ont visité le musée d’Histoire naturelle. Ils ont rejoint le musée de l’Esclavage et le château des Ducs de Bretagne.

Puis, direction la mairie de Nantes, les locaux d'Ouest-France, les Machines de l'Ile. « Cela a permis d’avoir une vraie cohésion de groupe ainsi que d’appréhender le milieu urbain en rencontrant des professionnels, de découvrir et de comprendre en faisant des liens avec leurs cours », explique Frédérique Jarrion, professeure de ST2S. Les élèves ont beaucoup apprécié cette sortie, pour son autre vision des métiers rencontrés lors du déplacement.

Eva GAUDINEAU, seconde D et Emeline MAUDET, seconde A.

Depuis déjà trois ans, le lycée fait appel au lieutenant Chosson, de la brigade de gendarmerie de Saint-Hermine, pour intervenir auprès des élèves sur les effets néfastes de l'alcool et des drogues.

L’après-midi du 28 janvier, il est venu à la rencontre des 86 secondes pratiquant l’enseignement d'exploration MPS (Méthodes et pratiques scientifiques). Trois enseignants étaient intervenus au préalable en MPS, dont Nicolas Massiot, professeur de maths qui leur avait parlé du degré alcoolique. Emmanuelle Gelot, professeur de SVT, leur avait appris les conséquences sur la santé.

Pour Marina Massiot , professeure de sciences physiques : « C'est en lien avec le premier thème abordé en cours qui était  du raisin au vin. Les élèves de MPS ont travaillé sur la fabrication du vin : comment est-il fait, pourquoi on y trouve de l’alcool, pourquoi y a-t-il du vin rouge et du vin blanc ». Cette intervention a permis de sensibiliser les élèves aux dangers de l’alcool et à sa consommation, mais également sur les addictions à propos de la drogue.

Selon certains lycéens, le moment le plus marquant de cette intervention a été lorsque le lieutenant a demandé des noms de drogues, car les jeunes semblaient connaître assez bien le sujet. Les échanges ont intéressé l'auditoire et ont conforté certaines connaissances sur ce sujet sérieux.

Eva GAUDINEAU, seconde D et Emeline MAUDET, seconde A.

C'est la classe de première STMG qui bénéficie de ces échanges avec le monde professionnel. L'objectif est de donner du sens aux notions vues en cours, en les adaptant à une entreprise internationale. C'est un partage d'expériences.

Des entretiens simulés

De nombreuses interventions avec des professionnels de l'entreprise ont eu lieu au lycée et sur les sites de production. Les élèves se sont livrés à divers exercices dont la création d’un CV et d’une lettre de motivation, soumis à l'approbation du responsable des recrutements de l'entreprise.

Les élèves le souhaitant ont pu simuler un entretien professionnel avec le directeur des ressources humaines.

Le partenariat a aidé certains lycéens à avancer dans leur projet d’orientation. Ils ont pu découvrir des métiers qu’ils ne connaissaient pas comme ceux liés à la communication.

De la théorie à la pratique

« Les élèves, durant ces temps avec les professionnels, peuvent passer de la théorie à des exemples concrets en lien direct avec leurs cours comme le droit, l’économie, le management, la mercatique, la comptabilité ainsi que les ressources humaines », explique Marie-Françoise Coutanceau, professeure de français.

Flavie LERSTEAU et
Clara GODARD, seconde D.

Déplacement dans la capitale pour 40 lycéens de bac pro Logistique et commerce, ainsi que ceux du CAP Accompagnement éducatif petite enfance, début février.

Les élèves ont visité le marché de Rungis, le plus grand d'Europe : « J'ai apprécié le marché de Rungis, car il s'agit d'un marché ouvert seulement aux professionnels », précise la déléguée de classe. L'espace de fleurs et sa palette de couleurs a émerveillé les visiteurs. C'est une vraie fourmilière, selon les enseignants accompagnateurs.

Au programme : le quartier de la Défense et Montmartre, le musée d’Orsay et les grands magasins comme les Galeries Lafayette et le Printemps. L'étude des vitrines et la mise en rayon a pris tout son sens dans cet environnement urbain.

Au théâtre

Pour finir, les lycéens ont assisté à la pièce de théâtre Couscous aux lardons en lien avec leurs cours de français. C'était une pièce drôle où deux cultures s'entrechoquent à la suite d'un mariage. Pour certains élèves, c'était une première d'entrer dans un théâtre parisien.

Selon les jeunes, le séjour n’était pas de tout repos, car ils ont effectué en moyenne douze kilomètres de marche par jour !

Flavie LERSTEAU et
Clara GODARD, seconde D.

Un long périple commence vers leur lieu d'accueil : de l’aéroport de Nantes à Paris Charles de Gaulle. L'arrivée à New York n'est qu'une escale. Un car les conduit vers la ville de Lancaster, en Pennsylvanie, où chaque élève est hébergé dans une famille, du mercredi au dimanche soir.

Pendant deux jours, les élèves suivent le même programme que les Américains au lycée de Lancaster Mennonite School. Dans ce lycée privé, très réputé, l’année coûte dix mille euros. Les cours s’arrêtent à 15h Suivent des activités comme la cuisine, la musique, la poterie, le sport, la pêche.

En parallèle, un peu de tourisme fait découvrir le quotidien des familles américaines du pays amish. Ce village vit sans électricité, ni voiture comme autrefois. Les amish obéissent à des règles de vie très strictes afin de conserver leur identité.

Washington, New York

A la fin du séjour, une Farewell party a été organisée afin de célébrer la fin de la semaine et de passer un dernier moment ensemble.

Encore un trajet en car pour une découverte guidée de la Maison Blanche, du Capitole, du Lincoln Memorial à Washington. Les élèves ont visité aussi le National Museum of african history & culture, haut lieu de la mémoire de l’esclavage et de la culture américaine.

Ensuite, direction New York pour de nombreux kilomètres à pied et une visite extraordinaire : pont de Brooklyn, quartiers de Chinatown, de Soho, et Central Park. Les jeunes sont montés au sommet de l’Empire State Building, ont visité Ellis Island, la statue de la Liberté et le Musée de l’immigration.

Après neuf jours, le retour s'est effectué le 4 avril. Préparé par les participants durant toute l'année, ce voyage a permis d’en apprendre plus, en particulier, sur la culture afro-américaine. Des ventes de gâteaux ont aidé au financement du projet. Des efforts payants, car l'ouverture internationale, dès la seconde, un des buts majeurs, est réalisé.

Mathilde BRETON, seconde D et Lou GAUTRON, seconde E.

Pour la première fois, du 3 au 14 février, un groupe de 21 lycéens de terminale s'est envolé pour le Sénégal. C'était un voyage humanitaire encadré par trois enseignants.

Le groupe a séjourné dans un village du nom de Koudiadiène, situé entre Dakar et Thies. Les jeunes étaient hébergés dans une communauté catholique, où ils étaient attendus avec impatience. Les Français ont été accueillis avec le sourire et beaucoup d’émotion.

Dans le but de ce voyage, les élèves se sont fait vacciner contre la fièvre jaune. Malgré tout, sur place, ils ont dû affronter les moustiques, et subir un traitement de Malarone contre le paludisme.

Pour le côté humanitaire, chaque élève avait eu sa démarche à faire envers les entreprises, les pharmacies afin de remplir les 24 valises de matériel scolaire ou médicaments, emportés au Sénégal Là-bas, les élèves ont découvert une pouponnière, un poste de santé, des écoles, collèges et lycée.

Pour l'aspect culturel, les lycéens ont visité l’île Goret, le lac Rose ainsi qu’un désert. Ils ont participé à une fête nommée Lolly où toutes les religions étaient mélangées.

Pendant ce séjour, les Français ont décalé leurs repas et mangé du riz, du poisson et du poulet, et même du zébu. Il y avait peu de douches et de toilettes.

Ce voyage était riche en émotion, et, donc, la séparation fut difficile. Mais, grâce aux réseaux sociaux, des contacts ont pu se prolonger .

Winona RENAUD et
Camille ALLETRU, seconde E.

Les Ateliers du midi fonctionnent sous la responsabilité de Fabienne Brethomé, présidente de l'association Jules Verne, au lycée Sainte-Marie. Cachée dans un recoin, la porte de la H 200 ouvre sur une salle chaleureuse et mystérieuse à la fois : emplie d' œuvres variées. Elle témoigne de toute une activité artistique, qui ne demande qu'à traverser les murs.

Développer la créativité

La Semaine des arts s’est déroulée du 6 au 10 mai. Les artistes en herbe ont pu voir leurs œuvres exposées comme les sculptures de l’atelier modelage, animé par Adeline Montassier (sculpteuse sur pierre). Fabienne Brethomé le confirme : « Les ateliers du midi sont faits pour développer la créativité ». Elle ajoute : « Ce mode d'expression permet d’apprendre à se connaître, à se délivrer ». C'est l'un des enjeux de l’art thérapie proposé et animé par Patricia Berthaux.

Des arts présents

Toute l'année, la Compagnie des Anges, une troupe de Bournezeau, propose une initiation au théâtre. L'atelier guitare est aussi là pour éveiller la curiosité auditive. Ces activités sont proposées les mardi et jeudi sur le temps du midi. Pour l’année scolaire 2019/2020, de nouveaux ateliers seront proposés comme un cours de peinture.

Léo ROY, et Tom RAINTEAU, seconde A  et Paul MOREAU seconde E.

L’Illusion Molière

Le mardi 29 janvier, les élèves de 1ère ST2S et la troupe de l’option théâtre de seconde générale et technologique ont eu le plaisir d’assister à une pièce de théâtre mêlant humour et profonde réflexion. La veille, ils avaient rencontré le créateur et metteur en scène de cette pièce, Thierry Barbeau. Ils ont pu, lors de cet entretien, être préparés à voir la pièce et la comprendre pour mieux l’apprécier.

Malgré les intempéries, les élèves ont assisté à la pièce. Ils ont été captivés et ont oublié totalement ce qui se passait dehors.

La pièce, jouée par deux acteurs, s’appuyait sur une théorie. Celle qui dit que Molière n’aurait pas écrit toutes ses œuvres et qu’elles l'auraient été par Pierre Corneille, grand dramaturge et poète de l’époque. Cette pièce était spéciale parce qu’elle jouait avec le public. Tout le monde était acteur, et, en particulier, deux élèves de l’option théâtre qui ont pu y participer verbalement.

Les Mizérables

Le mardi 12 mars, tous les élèves de seconde générale et technologique sont allés au Sully pour voir un spectacle. Ils ont assisté à une réécriture du célèbre roman Les Misérables de Victor Hugo. Les acteurs de la troupe Krizo théâtre, basée à Orléans, voyagent dans le monde entier. Peu importe la langue, cette pièce, grâce à son côté commedia dell'arte, a su se faire comprendre grâce à son humour. Cette grande dose de rigolade a laissé les lycéens avec un grand sourire. Rien de mieux que de traiter un roman triste en une comédie théâtrale !

Après la pièce, l’option théâtre des secondes générales s'est s’entretenue avec les acteurs. Ces derniers leur ont fourni des explications et aides à propos de George Dandin que va jouer l’option théâtre pendant la Semaine des arts.

Loumaëlle DIJOUX, seconde D et Florian MARTINEAU, seconde E.

Depuis plusieurs mois, un groupe de jeunes se réunit toutes les semaines dans les bureaux du service civique du lycée. Au nombre de trois, ils forment le club vidéo. Club créé par Mélanie Châtaigner (responsable du service civique) en octobre 2018.

Ce groupe d’élèves, avait un objectif bien fixé : faire une courte vidéo. La vidéo a été réalisée dans le cadre du concours « Je filme le métier qui me plaît ».

Ce concours, ouvert à tous, lycées, collèges ou autres établissements pédagogiques dure depuis 12 saisons. Il a un objectif bien défini : faire découvrir à un public jeune les différentes étapes de la réalisation d’un film. C’était aussi l’occasion pour les membres du club vidéo de découvrir un métier dont ils ne savaient peut-être rien.

Mais comment ce petit groupe d’élèves a-t-il réussi à réaliser cette vidéo ?

Clara Godard ,seconde D, raconte : «  Au début, personne ne se connaissait. On n'avait presque aucune idée ». En effet, les trois membres, réunis par hasard, étaient perplexes quant à la suite du projet. Mais, leur passion commune a permis que bon nombre d’idées fusent dans l’esprit de chacun. Et le petit nombre fut un facteur positif pour se mettre d’accord.

Direction la tonnellerie Manceau. Maxime Manceau, gérant de la tonnellerie, a accepté d’être interviewé, et surtout filmé. Son humour légendaire a donné le sourire aux membres du club vidéo. Mais, ce sourire a vite disparu lorsque vint le moment important du travail de montage.

L'enjeu majeur était que la vidéo ne dépasse pas 3 minutes. Laura Chauvet en terminale S : « Avec 20 minutes de tournage pour 3 minutes de vidéo, l’étape était complexe, manuellement et psychologiquement ! ». Une fois la vidéo bouclée, le club vidéo a eu le privilège de la présenter aux professeurs, éducateurs, personnels et membres du lycée. Ce fut une très belle expérience orale : un premier pas vers le grand oral du bac et, surtout, un beau souvenir pour le reste de leur vie. Vous avez la possibilité de regarder cette vidéo par ce lien : https://www.parcoursmetiers.tv/video-formation/7267-un-tonneau-de-savoir

Florian MARTINEAU, seconde E et Loumaëlle DIJOUX, seconde D.

Anaïs Bonnin et Mélanie Chataigner (services civiques) ont créé un groupe éco-responsable. Elles ont décidé de mettre en place une exposition afin de montrer son importance et les projets possibles.

Une intervenante extérieure est venue expliquer aux classes de première ses principes. Pour rappel, le développement durable repose sur trois piliers : l'écologie, l'économie et le social. Il consiste à bien vivre ensemble sans compromettre les générations futures. Il concerne aussi et surtout les générations actuelles. En mai, nos deux instigatrices de projets organisent une semaine sur le développement durable, ainsi qu’un accompagnement personnalisé sur les produits cosmétiques biologiques. Les élèves vont pouvoir créer un shampoing sec, un masque hydratant et un baume à lèvres. Les classes de CAP, de leur côté, apprennent à trier leurs déchets. Une vidéo pour en parler est en cours de réalisation.

Sollicitée par les responsables pédagogiques ou les professeurs, Anaïs Bonnin découvre les enjeux du développement durable. Ce n'est pas vraiment son métier : « J'ai fait un BTS économie social et familial ». Elle prévoit de mettre en place un délégué éco-responsable par classe, à la rentrée 2019, afin d'organiser des actions dans la durée. Un des objectifs est d’avoir le Label éco-responsable de Trivalis. Elle ajoute : « Pour le moment ces projets sont établis seulement à Sainte-Marie, mais si cela fonctionne pourquoi ne pas élargir dans d’autres lycées ? ».

Lou GAUTRON, seconde E et Mathilde BRETON, seconde D.

Les élèves de première générale et technologique ont bénéficié de séquences dans le cadre de leur orientation.

Des visites de structures (EHPAD ou Fief Blanc) ou d'entreprises (Fleury-Michon, Gautier, Leclerc, Hyper U) ont permis aux élèves de comprendre l'organisation quotidienne d'entreprises, et des métiers associés.

Des temps de réflexion sur la connaissance de soi ont aussi été proposés. La semaine s'est achevée par la rencontre avec des professionnels de tous secteurs, l'occasion pour les jeunes de conforter leurs choix d'orientation.

Harry TURTON, seconde B.

Pas moins de 432 familles ont été accueillies sur ces deux jours, à la recherche de renseignements ou en simples visiteurs venus découvrir les locaux.

C'est un vrai challenge qui nécessite de la préparation. Il a fallu communiquer avec les collèges, la presse, le département. Le sens de la visite ne devait pas être trop long pour permettre aux familles de faire plusieurs autres établissements la même soirée. En revanche, le parcours devait montrer toutes les filières du lycée Saint-Marie, dans ce qu'elles ont de plus représentatif.

Des familles rassurées

Il y a eu beaucoup de questions de la part des familles : « La question qui est revenue le plus portait sur la réforme du baccalauréat  », affirme Jean Michon, directeur. Mais au fil de la visite, de salles en salles, les enseignants ont su être rassurants quant aux changements annoncés tant pour le lycée professionnel que pour les filières générales.

Les familles sont très heureuses d’avoir un élève comme guide, d'autant qu'ils sont identifiables avec leurs écharpes vertes. Leur préoccupation principale était néanmoins de pouvoir pré-inscrire leur enfant, surtout à l'internat.

Harry TURTON, seconde B.

Charline Charrueau est arrivée un peu après la rentrée. Son job ? Préparer les TP.

Qui êtes-vous ?

Bonjour, moi c’est Charline Charrueau, j’ai 27 ans et je suis laborantine au lycée Sainte-Marie depuis novembre 2018.

Quelles sont vos missions ?

Je m’occupe de la préparation des travaux pratiques, des solutions, du matériel. Je renseigne aussi les professeurs sur la sécurité et le fonctionnement.

Pourquoi le lycée a-t-il fait appel à vous ?

On a fait appel à moi pour gérer la sécurité et préparer les expériences sur recommandations des professeurs. J'aime travailler à leurs côtés.

Quelles études avez-vous faites ?

J’ai fait un baccalauréat Sciences et technologies de laboratoire, puis un Brevet de technicien supérieur de bio-analyse et contrôle.

Avez-vous un équipement particulier ?

J’ai une simple blouse et, parfois, des gants et des lunettes. Il existe aussi des hottes aspirantes.

Avez-vous déjà vécu des choses insolites dans votre métier ?

Non, rien de spécial.

Aimez-vous votre métier ?

Oui, c’est très intéressant et très varié. Ce que j’aime aussi, c’est que j’essaye de changer des choses en chimie et en SVT

Vouliez-vous faire cela étant petite ?

Non, je voulais travailler dans les plantes.

Mattéo MARTINEZ et
Théo BRUNO, seconde B.

L'association sportive (AS) du lycée a obtenu de très bons résultats, notamment en badminton puisque Léa Plissonneau est devenue, le 29 mars, championne de France.

Les lycéens qui pratiquent l'option EPS sont admiratifs de tels podiums. Ils participent souvent à l'organisation d'événements. 

Jeux et tournoi de foot

Ainsi, les 4 et 5 avril, a eu lieu une rencontre entre les élèves de CM2 et les 6^e du collège Saint-Joseph. Cette journée était organisée par les élèves de seconde générale, option EPS. Le thème était le football féminin en vue de la coupe du monde féminine qui se déroulera cet été en France.

Cet après-midi était organisé en plusieurs ateliers créés comme le quiz football, les petits jeux concernant l’équipe de France féminine. Un tournoi de foot était aussi proposé ainsi qu’un atelier slalom-questions, et une présentation des pays que les CM2 et 6^e représentaient tout au long de la journée. Les échanges étaient intéressants entre des jeunes du primaire, ceux de collège et les "grands" du lycée comme coachs.

Les filles sont de plus en plus représentées au lycée soit en AS, soit dans l'option sport.

Léo ROY, Tom RAINTEAU seconde A et Paul MOREAU, seconde E.

Malgré une pluie incessante, c'est Ladji Diallo, conteur, qui a entraîné l'auditoire dans son monde africain sur le thème des relations. La fantaisie et la morale de ses histoires ont captivé les jeunes. Puis, toujours dans le thème du bien vivre ensemble, il y a eu le partage du bol de riz, dont les bénéfices ont été remis à une association. L'incontournable Assétou Diabaté, d'origine malienne, a cuisiné pour cette large assemblée, faisant voyager dans son pays natal. C'était un moment riche d'échanges.

Théo BRUNO et
Mattéo MARTINEZ, seconde B.