Ce fut une rencontre XXL. Les élèves de Sainte-Marie, dans la foulée de la projection du film De toutes nos forces ont rencontré Fabien Héraud, handicapé, qui joue le rôle titre de Julien dans le film de Nils Tavernier.

Dix élèves de Sainte-Marie, accompagnés de deux professeurs, sont partis à l'autre bout de la planète, en Australie. Là-bas, ils ont visité Melbourne, mais aussi Cowes et les plages de Philip Island (photo). Un autre monde.

Les bac pro Logistique sont formés à la gestion des marchandises jusqu'au moment de l'expédition. Ils ont mis leurs connaissances à l'épreuve en offrant leurs services à l'association des Restos du coeur.

AESH. Derrière ces quatre lettres se cache le métier d'accompagnement d'élèves en situation de handicap. Fabienne, Valérie, Céline et Pascale témoignent des contraintes de ce métier, mais aussi de sa grandeur.

Après 40 ans de journalisme à Ouest-France, Alain Legoupil, aujourd'hui à la retraite, intervient au lycée Sainte-Marie pour accompagner les élèves de seconde dans le projet Lyc’actu.

Qu'est-ce qui vous a motivé à donner du temps à Lyc'actu ?

Travailler avec les jeunes est un vrai plaisir pour moi. Je suis bénévole dans plusieurs lycées et MFR.

Vos conseils pour les élèves qui voudraient devenir journalistes ?

Partir un an à l’étranger, dans un pays anglophone. Faire une licence en sciences politiques, puis une école de journalisme pour se préparer au métier.

Nahel EDMOND,
et Gabriel FORTIN.

Les élèves de seconde ont effectué une sortie à Rennes, principalement pour visiter les locaux d'Ouest-France.

Tout d'abord, les élèves ont participé à un escape Game sur le thème de Rennes avec la découverte de l’architecture médiévale du centre-ville, les nombreuses routes pavées, les jolies maisons à colombages et, enfin, les remparts imposants des portes Mordelaises. Durant l'après-midi, ils ont bénéficié d'une découverte du Street art dans la ville suivie d’une visite du Parlement de Bretagne. Ce monument sert aujourd’hui de tribunal. Les élèves ont pu découvrir différentes salles comme la salle de la cour d’assises ou la salle du conseil.

Pour finir la journée, les élèves de seconde ont visité les locaux d'Ouest-France à partir de 22 h. Dans un premier temps, une guide les a pris en charge afin de leur présenter l’histoire du journal. Dans un second temps, ils ont pu observer les étapes de la conception du journal, de l’écriture à l’impression jusqu'à l’expédition dans les différents coins de l’Hexagone : « C’était enrichissant de découvrir les locaux et la création des journaux qui vont dans toutes les parties de la France »... « C’était un moment et une chance unique dans une vie et dans une scolarité », ont déclaré deux élèves.

Commentaires d'autres élèves après cette sortie à Rennes : « J’ai trouvé que la ville de Rennes est une ville riche culturellement »... « Les visites du Parlement et d'Ouest France resteront gravées dans nos mémoires ».

Romain DELAIRE
et Célestin PETIT.

Le voyage en Pologne a eu lieu du 31 mars au 4 avril. Il a regroupé 45 élèves de terminale.

Mikaël Faure, professeur d'histoire accompagnant de ce voyage et Zoé Husselstein, une élève, racontent.

Mikaël Faure témoigne

Pourquoi avoir organisé ce projet de voyage ?

Il s’inscrit dans le programme d’histoire et explique aux élèves la Shoah. Auschwitz en est un lieu symbolique.

Il est crucial de partager cette mémoire alors que les derniers témoins disparaissent.

Quel est votre sentiment en rentrant dans le camp d'Auschwitz ?

Ce qui m’a le plus frappé, c’est l’immensité d’Auschwitz-Birkenau, bien au-delà de ce que montrent les photos.

J’ai été ému par les photos d’enfants, marqués par la peur et les larmes, et par la chambre à gaz restée intacte où l’on voit encore des traces de griffures sur les murs.

Qu'avez-vous préféré durant le voyage ?

Répondre la visite du camp pourrait sembler bizarre, car le terme "préféré" n'est pas très approprié.

Nos différentes journées à la découverte de la ville de Cracovie furent l'occasion d'en apprendre plus sur cette ville.

J'ai particulièrement apprécié la visite de la Halle aux draps.

Est-ce que les élèves ont été sages ?

Je n'ai que du positif à dire sur les élèves qui nous ont accompagné !

Ils ont été agréables lors des visites.

Ils ont été à l'écoute des consignes et ponctuels lors des rassemblements.

Zoé Husselstein raconte

Ton impression en rentrant dans le camp de concentration ?

En rentrant, j’avais une appréhension, je ne savais pas à quoi m’attendre et c’était angoissant. Après, je me suis mise dans ma bulle pour vivre le truc à fond et c’était génial !Est-ce que l’ambiance du voyage était bien ?

L’ambiance était bien. C’était très agréable, ça nous a permis de parler avec des personnes à qui on n'aurait pas parlé autrement.Tout le monde s’entendait, c’était cool !

Est-ce que c’était une bonne expérience ?

L’expérience était incroyable. Je conseille vraiment ce voyage.

Eva PELLET-CALNY, Lison GOUBIOUD et Arthur MALARD.

À la suite du Covid-19, les professeurs du lycée Sainte-Marie ont décidé d’organiser un voyage d’une semaine. «  Les élèves bougeaient moins. Il y avait moins d’activités, donc, on trouvait ça intéressant de pouvoir proposer une semaine plus sportive et accessible à tout le monde », déclare David Etourneau, enseignant d'EPS.

Ce projet est axé sur le sport dans un environnement que les élèves connaissent peu : la montagne. L'objectif : « Chercher à se déconnecter du numérique : on est souvent collé aux écrans. Donc, l’idée est de s’aérer, de renforcer le corps, de faire des activités sportives, mais aussi de pouvoir partager des moments avec ses camarades sans le téléphone ».

Cette année, le voyage était encadré par quatre accompagnateurs pour 57 élèves de première générale. Les élèves sont partis le 31 mars. Ils étaient logés à Guchen, dans un chalet à Saint-Rolland. Durant le séjour, les lycéens ont découvert la course d’orientation, la randonnée en VTT, le rafting, le tir à la carabine laser et la spéléologie dans une grotte (avec lampe frontale).

« Le rafting était à la fois fun, sportif et plein de sensations. C’est une activité qu’on ne fait pas tous les jours, donc c’était vraiment marquant. La spéléologie aussi était très intéressante, car c’était une vraie exploration et ça nous a permis de nous dépasser physiquement et psychologiquement ».

Ces deux activités ont marqué Jules Porcher et Virgile Boudeau. Deux jeunes élèves qui recommandent fortement ce périple : « C’est une super occasion de se dépasser physiquement, de se déconnecter un peu du quotidien, et de créer des souvenirs. Nous avons pratiqué plusieurs activités que nous ne connaissions pas, mais c'était aussi une découverte de soi et des autres ».

Adèle MASSE,
Kryslaure LABORIEUX,
et Léonie LEGLAT.

Pendant seize jours, dont treize passés sur place, dix élèves de Sainte-Marie, accompagnés de deux professeurs : Emilie Chacun et Julien Paquereau, ont vécu une expérience inoubliable.

Ils ont visité le centre de Melbourne dont le Victoria Market pour faire des emplettes, le sanctuaire animalier de Healesville (« Healesville Sanctuary »), ainsi que Cowes et Phillip Island pour observer les pingouins.

Les professeurs étaient hébergés par des collègues australiens, tandis que les élèves logeaient chez leurs correspondants.

« Tout est immense,
là-bas »

« Le voyage était trop court à notre goût. Tout est immense là-bas, des bâtiments aux infrastructures. C’est vraiment une expérience à vivre au moins une fois dans sa vie. Ce séjour nous a permis d'améliorer notre compréhension de l’anglais, de faire de nouvelles rencontres, et de découvrir un mode de vie totalement différent, y compris la vie quotidienne au lycée », ont expliqué deux élèves partis sur le territoire australien, Wendy Robitaille-Legrand, élève de première générale, et Augustin Rautureau, élève de première professionnelle, ravis de cet échange.

Louise SOUCHET
et Lilou POIRIER.

Le collier de perles chinois, un point de tension mondiale !

La stratégie du collier de perles consiste à créer des îlots, louer des ports ou en acheter, dans le but d’augmenter la ZEE chinoise (ZEE : Zone économique exclusive. Elle s’étend sur 370 km2 et tout ce qui s’y trouve comme le pétrole, le poisson, etc... appartient au pays qui la possède), mais aussi dans le but de créer des bases militaires en territoire étranger, comme la base navale de Yulin (sur l'île de Hainan).

Avec cette stratégie, la Chine cherche à la fois à asseoir sa domination en Asie, plus particulièrement en mer de Chine et dans le golfe du Bengale, mais aussi à éclipser l’Inde son principal rival en Asie. Elle utilise également cette stratégie pour créer une nouvelle route commerciale vers l'Afrique.

Certains pays contestent cette domination chinoise, notamment le Japon ou encore l’Inde, qui essayent d’enrayer les avancées de la Chine en plaçant leurs flottes. Les États-Unis, eux, installent leurs flottes aux alentours de Taïwan et du Japon pour protéger ces îles des projets de conquête chinois.

Brevet 2025 : du nouveau Le brevet des collèges ne sera finalement pas obligatoire pour passer en seconde, ce qui va à l’encontre de ce qu’avait annoncé, pour juin 2027, le précédent gouvernement dirigé par Anne Genetet, alors ministre de l’Éducation.
Ce samedi 17 janvier, le nouveau gouvernement, avec Élisabeth Borne comme ministre de l’Éducation, a décidé qu'il ne serait désormais plus requis pour accéder à la classe de seconde.

La Vendée et son évolution

L’évolution des villes de Vendée et des Pays de la Loire est flagrante. Des villes telles que La Roche-sur-Yon ont connu un fort développement depuis les années 1950-1965. Cela se constate principalement en périphérie, avec l’urbanisation croissante des communes riveraines. Tandis que le centre-ville reste relativement semblable vu du ciel, sa couronne périurbaine s’est considérablement étendue.

On peut observer cette évolution sur le site « IGN Remonter le temps ». Des transformations concrètes ont également été réalisées, notamment à La Roche-sur-Yon et dans ses environs, comme à Dompierre-sur-Yon, où un terrain de sport synthétique a été aménagé. Ce complexe sportif, baptisé Braconnière, bénéficiera d’un budget de 1,1 million d’euros, dont 537 000 euros pris en charge par la commune.

Le projet, lancé le 29 août 2024, devrait être achevé au printemps 2025, selon Le Journal du Pays Yonnais.

Hamza LOUCIFI, Maël PAILLEUX,
et Rémy MONNET.

Léon Marchand est un jeune champion de natation né le 17 mai 2002 à Toulouse. Il s’est fait remarquer en 2022 en décrochant de nombreux records puis, en 2024, aux Jeux Olympiques en remportant quatre médailles d’or en individuel et une médaille de bronze en relais.

Victor-Artus Solaro est un humoriste, acteur, scénariste, réalisateur français connu sous son nom de scène « Artus ». Il s’est fait connaître par ses nombreux stand-up. Pendant l’année, Artus et son équipe ont sorti un film nommé Un petit truc en plus visant à sensibiliser le public sur le handicap.

Gisèle Pelicot s’est faite connaître par « l’affaire Pelicot » où elle est victime. Elle s’est fait droguer par son mari et violer par environ 51 hommes. Suite à cela, un procès a eu lieu en 2024. Elle n’a pas souhaité l’anonymat, ce qui a permis de sensibiliser le public et les médias. Gisèle Pelicot est devenue un symbole en 2024 et a suscité une réflexion face au crime du viol en France comme dans le monde.

Donald Trump a marqué 2024 avec sa campagne présidentielle. Ses idées ont animé des débats partout dans le monde. Il a beaucoup changé la politique de l'Amérique. Les médias ont beaucoup parlé de lui, ce qui l'a rendu encore plus présent. Ses décisions ont un impact sur le reste du monde, comme par exemple, les accords commerciaux qui ont été renégociés.

Loulia Navalnaïa, épouse d'Alexeï Navalny incarcéré en prison et mort en 2024, pendant sa lutte contre le régime de Vladimir Poutine. Économiste de formation et ancienne employée bancaire, elle incarne le changement en tant que première femme contre le régime russe. Elle est connue mondialement. A Moscou, un tribunal a lancé un mandat d'arrêt contre Louliaà Navalnaia. Elle a désormais fui la Russie.

Raphael VIVIEN
et Youssef FARSSI.

Le métier d'Accompagnement d'élèves en situation de handicap (AESH) est un métier indispensable à l'éducation des jeunes qui sont en situation de handicap. Nous sommes allés à la rencontre de Pascale, Fabienne, Céline et Valérie pour en savoir plus sur leur métier.

Malgré les difficultés de ce métier, ce dernier est riche en émotions. Il permet d'aider et d'être à l'écoute des élèves qui en ont besoin. Le métier d'AESH présente de nombreux avantages : « Nous sommes autonomes et nous bénéficions des vacances scolaires pour nous reposer ».

Les AESH ont de nombreuses missions comme aider les élèves en situation de handicap, reformuler leurs questions, prendre des notes, accompagner les élèves au self...

« Nous aidons toutes sortes d'élèves. » Cependant ce métier nécessite de nombreuses qualités comme être à l'écoute, patient, bienveillant et disponible. « Ce métier est plaisant même si ce n'est pas toujours simple », disent les AESH.

Elles exercent ce métier depuis plusieurs années (15 ans pour Fabienne, 6 ans pour Céline, 9 ans pour Valérie et 1 an et demi pour Pascale).

Problème, il y a un manque d'AESH dans l'éducation :« Nous nous occupons, parfois, de plusieurs élèves en même temps. Notre métier n'est pas très connu. » AESH est un métier difficile, en manque de personnel, mais il est indispensable pour aider les élèves en difficulté.

Loan GILBERT, Mathis VENARD et Gabriel GUEDON.

Avant d'arriver au lycée, Chloé Postigo était aide-soignante, ayant travaillé 8 ans dans un foyer d’accueil médicalisé accueillant des personnes en situation de handicap.

Depuis cette année, elle transmet son savoir du langage des signes dans une activité d'enseignement auprès de quinze élèves.

Cet atelier, dit-elle, « est un moment de partage, d’apprentissage nécessaire au bien vivre ensemble ».

Chloé Postigo est fière de son groupe pour son dynamisme et son investissement.

Selon elle, la langue des signes est facile à apprendre, intuitive et trouve son utilité dans la vie de tous les jours.

Raphael VIVIEN
et Youssef FARSSI.

Du lundi 31 mars au vendredi 4 avril, Hilaire Chateigner a effectué un stage à l'Assemblée nationale. Retour sur une semaine riche en émotions et de nouvelles connaissances.

La première question qui peut nous venir à l'esprit est pourquoi Hilaire a voulu faire un stage à l'Assemblée et pas à un autre endroit : «  L'un de mes centre d'intérêts est la géopolitique et notamment celle de notre pays ». De plus, il a eu connaissance d'un jeune qui a réussi à faire un stage à l'Elysée auprès d'Emmanuel Macron ce qui l'a motivé encore plus.

Hilaire s'est démené pour réussir à obtenir ce stage. Cela s'est fait en deux étapes. « L'année dernière, pour mon stage de seconde, j'avais contacté plusieurs députés et sénateurs pour savoir s'il était possible que je fasse un stage d'observation ». Malheureusement, avec la dissolution, il n'a pas abouti. Cependant Hilaire ne s'est pas avoué vaincu, il a donc repris contact auprès de Béatrice Bellamy, députée de la deuxième circonscription de Vendée. Après de nombreux échanges, Hilaire a été accepté.

Ses principales tâches étaient « dépouiller le courrier, le trier et rédiger un mail de réponse ». Ce stage était très intéressant, car chaque jour était différent des autres. Hilaire a pu assister à des audiences, notamment « la réunion du groupe interparlementaire France-Monténégro ». L'objectif de ce stage était « de découvrir la vie d'un député et de son équipe ». En plus de voir comment sont faites les lois.

Enfin, Hilaire a pu rencontrer des hommes et femmes politiques importants, « l'ensemble du gouvernement de François Bayrou, Gabriel Attal, François Hollande et Sandrine Rousseau ». Hilaire ne ferme pas la porte à la politique qui devient son plan B d'orientation. Ce stage a permis à Hilaire de voir comment était la vie d'un député

Gabriel GUEDON, Loan GILBERT,
et Mathis VENARD.

Le bac pro Logistique est une formation en 3 ans, qui permet d’obtenir un bac professionnel permettant d’entrer dans la vie active ou de poursuivre des études supérieures.

Ce bac permet d’acquérir de solides compétences et de former des professionnels de la réception, du stockage, de la préparation des commandes et de l’expédition. Les élèves apprennent à organiser des circuits de livraison, la gestion des marchandises, la préparation et l’expédition des commandes, la manutention…Tous ces travaux sont mis en place en lien avec des projets dont l’envoi d’un conteneur au Burkina Faso.

Avec les Restos du Cœur, les élèves ont vécu une expérience concrète. Ils se sont d’abord renseignés sur cette association (ses besoins, les Enfoirés, Coluche).

Puis, après avoir visité le centre des Restos pour en connaître l’organisation, ils sont allés dans des commerces (hyper U...) où ils ont distribué des tracts, et ont récupéré des dons de marchandises.

Ces produits sont rassemblés au pôle 2 , où ils sont gérés par catégories. Le stock est, ensuite, envoyé au centre des Restos du Cœur de Chantonnay.

Lors de ce projet, il y a eu une bonne entente entre les bénévoles et les élèves. Ces derniers sont fiers d’avoir pu participer à cette action solidaire, généreuse, au cours de laquelle ils ont pu développer leurs compétences professionnelles.

Enola JOUSSE et Emma LOUINEAU.

Au lycée Sainte-Marie, il y a deux magasins, un pour les bac pro MCV ( Métiers du commerce et de la vente ) et un pour les CAP EPC ( Equipier polyvalent du commerce ).

Ces magasins permettent de mettre en pratique les cours vus en classe. Cela favorise la compréhension de la théorie.

Depuis septembre, le magasin des CAP EPC est accessible pour les personnes à mobilité réduite. En effet, ce dernier a été déplacé. Les CAP ont aménagé le magasin à leur image, créé un slogan et un logo. Cela contribue au fait qu’ils se sentent comme chez eux. Leur classe est séparée en deux et ils ont deux professeurs pour le magasin.

Dans ces magasins, les élèves pratiquent plusieurs activités : la gestion de réserve, l’entretien des locaux, la mise en rayon, la relation clientèle et la vente.

Mael GUERIN
et Gaetan FERNANDES.

La seconde générale et technologique du lycée Sainte-Marie propose deux choix d’option aux élèves souhaitant se diriger par la suite vers une première technologique. Ces deux options sont Management et gestion et Santé-social. Ces deux enseignements permettent de découvrir les filières STMG (Sciences et technologies du management et de la gestion) et ST2S (Sciences et technologies de la santé et du social).

Voici deux retours d’élèves pratiquant ces matières : « Il n’y a pas de stress quand nous sommes en option », « l’option est vraiment un moment de partage ». Lorsque l’on fait ce que l’on aime, l’envie est là et le temps ne compte pas.

Alice BULTEAU et Lilou PELLÉ.

Pour vous, futurs élèves, le lycée marquera un nouveau départ, une importante transition. Le changement, quel qu’il soit, fait partie du développement personnel. Il vous aidera à prendre des décisions, à vous questionner, à avancer. Vos professeurs et le personnel seront là pour vous accompagner, mais personne ne décidera à votre place.

Nous, qui sommes déjà passés par là, pouvons vous dire que cette année s’est bien déroulée. Nous avons fait de belles rencontres, beaucoup appris. C’est une année de changements, certes, mais aussi de projets, de découvertes. Oui, le travail est plus exigeant qu’au collège, mais cette exigence vous fait grandir.

S’il y a une chose qu’on aimerait vous dire c’est : n’ayez pas peur de commencer quelque chose de nouveau. On doute, on hésite, on se demande si on est capable. Nous aussi, on est passés par là. Mais, ces doutes font partie du chemin. Il faut parfois se tromper pour se retrouver

Nous aussi, en début d’année, nous étions un peu perdus. Nous n’avions pas d’idées claires de notre avenir. Aujourd’hui, les choses commencent à se dessiner. Nous avons compris qu’il était normal de ne pas tout savoir tout de suite, qu’on a le droit de chercher, de changer d’avis. N’oubliez pas que chaque problème a sa solution, et que vous n’êtes pas seuls.

Quand on trouve, ce qui nous plaît vraiment, tout devient plus simple. L’envie remplace l’obligation, les efforts ne sont plus subis. Et rappelez-vous que chaque difficulté vous rapproche de votre réussite. L’échec nous apprend à mieux faire.

Nous vous souhaitons une belle rentrée, futur(e)s lycéen(ne)s.

Francesca MARTIN et Juline RAVELEAU.

Le théâtre est un bon moyen de s'échapper. Cette option est un moyen de vaincre sa timidité, cela aide beaucoup lors des oraux ou des travaux de groupe. L'option théâtre, dirigée par Anne Barthélémy, est proposée trois heures par semaine. Les élèves sont toujours satisfaits et apprécient leurs cours de théâtre. Au début de l'année, les élèves apprennent à se connaître. Qu'en pensent les élèves qui font l'option et la professeure de théâtre ?

Pourquoi avoir choisi cette option ?

C'est un bon moyen de prendre confiance en soi et de découvrir les autres. Pour faire de nouvelles rencontres, pour ressentir de l'émotion avec les élèves. On s'ouvre aux autres et cela aide à vaincre sa timidité, explique un élève de l'option.

Va t-il y avoir un spectacle à la fin de l'année ?

Oui, les 22, 23 et 26 juin mais nous ne pouvons rien dire de plus, déclare Anne Barthélémy.

Comment se déroulent les cours ?

Il y a un échauffement au début des cours, on travaille aussi notre voix. Puis, on enchaîne avec le cours et les répétitions du spectacle de fin d'année, déclare un autre élève.

Dans une ambiance aussi agréable, les élèves s'entendent très bien entre eux.La professeure de l'option théâtre est heureuse d'être avec les élèves qui s'entraînent dur pour le spectacle.

Lilly DELANNOY, Jade RAMBAUD et Ophélie GERFAUD.

Catherine Marolleau est l'assistante de direction du lycée Sainte-Marie depuis de nombreuses années. Elle fait partie du personnel administratif de l'établissement et participe pleinement à son bon fonctionnement.

Chaque acteur du lycée (élèves, professeurs comme personnels administratifs) dépend de son organisation, elle même rythmée et réfléchie afin de traiter au mieux chacun des dossiers, notamment ceux des examens. Ces derniers sont transmis au plus vite aux personnes concernées et, bien sûr, au chef d'établissement.

« Je dois faire attention à ce que je dois retranscrire », dit-elle. Son travail requiert des compétences et des qualités telles que la réactivité, la disponibilité, l'écoute, la discrétion, l'adaptabilité et... un sourire rayonnant, confortés par une certaine expérience. « Les gens me font confiance » ou encore « Je dois appréhender mon entourage pour m'adapter au mieux », confie-t-elle. Sa performance témoigne de son investissement.

Catherine Marolleau apprécie le contact, mais son rôle ne la prédispose pas à rencontrer directement les gens : ses échanges ne passent que par téléphone et voies numériques. Toutefois, elle s'épanouit grandement dans son poste puisqu'elle peut aussi compter sur ses collègues en cas de difficultés. Comme nous pouvons aussi compter sur elle, car elle a perpétuellement l'objectif « d'optimiser son travail afin d'être la plus efficace possible ». Alors, merci Catherine Marolleau !

Ophélie GERFAUD.

La Femme de ménage de Freida Mcfadden, livre publié en France en 2023, est un thriller psychologique, où Millie, une femme, accepte un emploi chez les Winchester. Elle découvre de sombres secrets, et que la maison où elle travaille pourrait devenir un piège mortel. Ce livre a été vendu à plus de 315 millions d'exemplaires. Suite à ce succès, une adaptation cinématographique sortira en fin d'année.

That’s So True de Gracie Abrams sortie en novembre 2024. La chanson a gagné en popularité sur TikTok. Par mois, il y a environ 51 millions d’écoute sur Spotify. Elle se situe en 48ème place au classement mondial. Elle parle de sentiments de jalousie après une rupture avec des paroles nostalgiques.’“Made it out alive, but I think I lost it” (Je suis sortie vivante, mais je pense que je l’ai perdu).

Le comte de Monte-Cristo est un grand roman de la littérature française qui a inspiré ce film. Ce film connaît un immense succès dû à un casting exceptionnel, dont Pierre Niney et Vassili Schneider. Ce film a enregistré plus de 9 millions d’entrées, ce qui le classe dans le top 20 des meilleurs films français. Ce film raconte l'histoire d'Edmond Dantès, promis à Mercédès, qui va être trahi par ses amis puis jeté en prison injustement. Après plusieurs années de captivité, il s’évade et découvre un trésor. Il revient sous l’identité du comte de Monte-Cristo. Devenu riche et puissant, il met en place son implacable vengeance.

Eva PELLET-CALNY, Lison GOUBIOUD et Arthur MALARD.

Dans le cadre des actions menées par la pastorale du lycée cette année, le thème était « Donner, c'est s'enrichir ; servir, c'est grandir. ». Pour faire un lien, les élèves de seconde ont eu l’opportunité de visionner le film De toutes nos forces, réalisé par Nils Tavernier et sorti en 2014.

Ce long-métrage, inspiré d’une histoire vraie, retrace le parcours bouleversant de Julien, un adolescent en situation de handicap, en fauteuil roulant, qui rêve de participer à un triathlon Ironman avec son père, Paul.

Pris par son travail et peu présent, Paul se montre réticent au début, mais va finir par accepter le défi. Ensemble, ils surmontent les épreuves physiques et émotionnelles dans l'espoir de réussir cette performance. Le film met en lumière la persévérance, le dépassement de soi et la force des liens familiaux.

Après le visionnage du film, les élèves de seconde ont eu la chance de rencontrer Fabien Héraud, l'acteur principal qui incarne le personnage de Julien, lors d’une conférence. Fabien Héraud, originaire de Clisson, est paralysé et vit dans un fauteuil roulant depuis tout petit. Cette rencontre a été un moment fort, riche en échanges, en témoignages et en inspiration pour tous.

Juline RAVELEAU
et Francesca MARTINS.