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Basket : si près de gagner
Les joueurs de l'Académie de basket ne se sont inclinés que de deux petits points ( 52 à 50) contre le lycée de Walbourg, lors du tournoi annuel. Auparavant, ils avaient successivement battu les équipes de Saint-Mandé et Vitré, en phases de poule, avant de battre Tourcoing en demi finale.
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Succès des portes ouvertes
La journée portes ouvertes a été un vrai succès le samedi 17 février. De nombreuses familles, accueillies par les élèves de seconde, sont venues aux nouvelles, à la recherche d'informations sur les formations et sur la vie au quotidien. Les professeurs étaient mobilisés pour les renseigner.
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Entre fromage et baguette
Mathilde, une jeune Allemande, est venue se perfectionner dans notre langue, après l'anglais et l'espagnol. Entre baguette et fromage, ce fut, pour elle, la découverte de nos traditions culinaires. Mais, au delà des clichés, ce qu'elle a retenu, c'est le bon accueil que les Français lui ont réservé.
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Erasmus+ : échanges à trois
Dans le cadre du programme Erasmus+, quinze èlèves de seconde sont allés en Espagne, du 10 au 16 mars pour une rencontre multi culturelle. Le prochain déplacement aura lieu en Allemagne, en septembre. Ces échanges tripartites ont un but : permettre aux jeunes de se connaître par delà les frontières.
A nous, la Grande muraille de Chine
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Du 20 février au 3 mars, quarante-trois élèves de la seconde à la terminale étudiant le chinois sont allés en Chine découvrir cet empire du Milieu dont ils apprennent la langue. Un voyage accompagné par trois professeurs. Au programme la Grande muraille (photo),, mais aussi Pékin, Xi'an et Shanghai. Du Palais d'été à la Cité interdite, en passant par la place Tian'anmen et l'armée de terre cuite du premier empereur Qin Shi Huang, ce fut pour les jeunes de Saint-François-d'Assise un véritable émerveillement. Photo : Ghislain Fauchard.
N° 49 - Mai 2024 | www.stfrancoislaroche.fr | 38506 |
Les prépas, s'investir pour son avenir
Des cours pendant les mercredis et pendant les vacances ? Les élèves de terminale des prépas Sciences Po et Santé y sont habitués. Façon de se préparer au supérieur.
Ouvertes aux élèves de terminale générale du lycée (ou d'ailleurs), les prépas Santé et Sciences politiques du lycée Saint-François-d'Assise préparent les futurs étudiants aux cursus universitaires. Le concept est le même : des cours sur les temps des vacances et les mercredis après-midi pour approfondir les enseignements généraux.
En vue de concours ou d'études complexes
Bien que les élèves des deux prépas se croisent souvent dans les couloirs, ils n'ont pas exactement le même but. En effet, ceux qui font de la science politique préparent les concours prestigieux écrits ou sur dossier des 10 IEP (Instituts d'études politiques) en France. Pendant que les futurs étudiants en médecine acquièrent les bases des enseignements de faculté tout en précisant leur orientation entre les deux voies d'accès aux études de médecine.
En plus des cours de culture générale, d'histoire ou d'anglais, les lycéens préparant Sciences Po s'investissent également chez eux avec des travaux à rendre chaque semaine ou des révisions pour des examens blancs. Au-delà du soutien des professeurs, intégrer une prépa se révèle être un réel levier de prise d'autonomie, car les élèves doivent apprendre à gérer ces temps supplémentaires avec leurs cours.
« Prendre le temps que l'on n'aura pas l'année prochaine »
Malgré la pression des concours ou des études complexes, les groupes de prépas restent extrêmement bienveillants. Au sein d'un plus petit groupe, c'est l'occasion pour certains de s'exprimer et d'approfondir des sujets qui les intéressent. C'est aussi « prendre le temps que l'on n'aura pas l'année prochaine », se confient Marine Golly et Ema Lambert, élèves de la prépa Santé.
Lana BOULEUX, terminale G.
L’empire du Milieu accueille Saint-François
Du 20 février au 3 mars, 43 élèves de la seconde à la terminale étudiant le chinois sont partis en Chine. Pékin, Xi'an et Shanghai étaient au programme d'un voyage unique.
Du 20 février au 3 mars, 43 élèves de chinois et leurs accompagnateurs (Pascal Bodin, Ghislain Fauchard et Jean-Luc Oliveau) ont eu l’occasion de visiter la Chine.
Après un long trajet et des formalités douanières, ils ont, enfin, commencé leur séjour. Ce dernier s’est déroulé en trois parties dans trois grandes villes : Pékin, Xi’an et Shanghai. Le dépaysement était total. Ce fut l’occasion de s'immerger dans une nouvelle culture.
Des visites palpitantes !
Les élèves ont eu la chance de voir de multiples monuments tous plus magnifiques et mémorables. La première visite fut le Palais d’été à Pékin. Ils ont aussi découvert les quartiers historiques typiques puis le temple des Lamas et la célèbre Cité interdite ainsi qu’un spectacle d’acrobatie.
« Gravir la grande muraille fut une expérience inoubliable », confie Timothé Benoit. Pour leur dernier jour dans la capitale, les élèves ont découvert la légendaire place Tian'anmen ainsi que le temple du Ciel, considéré par les Chinois comme le plus beau temple du pays.
L’arrivée à Xi'an fut plus particulière. Cette dernière se faisant auprès de leurs correspondants, les jeunes venus de Vendée se sont plus facilement imprégnés de la langue et de la culture. La plupart des Français ont pu voir la Tour de la cloche, le quartier musulman ainsi que la pagode de l'Oie sauvage.
L'armée de terre cuite
Le dernier jour, ils se sont à nouveau retrouvés pour visiter l’antique armée en terre cuite de Qin Shi Huang, premier empereur de Chine. Puis, à Shanghai, ils ont retrouvé leur guide Clarisse Le Guernic, ancienne élève de chinois du lycée, et se sont aventurés dans l’ancienne concession française, le jardin “Yuyuan” et ont grimpé la Shanghai tower (deuxième tour la plus haute du monde).
Ce voyage reste mémorable pour les élèves, ravis d’avoir fait la connaissance de la culture chinoise.
Lou-Anne MARTINEAU, terminale H et Léo BROSSARD, terminale F.
Prague, la Tchéquie et ses usines auto
Du lundi 11 au vendredi 15 mars, 36 lycéens des filières automobile et maintenance industrielle du lycée Saint-François-d'Assise sont partis en République tchèque.
Ce voyage fut l’occasion pour les élèves de visiter différentes usines d’assemblage comme celles de Skoda ou de Hyundai. En effet, après avoir visité Prague le deuxième jour, ils ont découvert l'usine Skoda. L’usine était située dans « un petit village très sympa ».
« Ce voyage nous a apporté des connaissances. »
Les jeunes se sont, ensuite, dirigés vers Ostrava, une petite ville à l’autre bout de la République tchèque, pas très loin de la frontière polonaise. Ce voyage fut très enrichissant puisque complémentaire à leur formation.
La visite d’Hyundai leur a permis de comprendre comment les voitures étaient assemblées du début à la fin. Margault et Anatole ont trouvé ça « super intéressant ».
La visite de l'usine Skoda fut, quant à elle, l'occasion de découvrir comment les boîtes de vitesses sur lesquelles ils travaillent au lycée sont assemblées.
Pour la plupart, c’était une grande première de voyager à l’étranger. Tout s'est bien passé. Margault évoque néanmoins le fait que ça peut être parfois compliqué d’être la seule fille du groupe. Avant de partir, les élèves ont eu l'occasion de se préparer au voyage avec des réunions. Ils ont eu aussi la possibilité de partir au ski avec les terminales de l’option sport en général.
« Les rues sont très propres là-bas, il n’y a quasiment pas de déchets par terre »
En arrivant en République tchèque ce qui les a le plus marqués, c'est la grande propreté des rues, alors que dans La Roche-sur-Yon on peut trouver de nombreux déchets par terre, À Prague, il n’y a rien. Le voyage leur a donné envie d’y retourner pour les vacances notamment, car ils n’ont pas eu la possibilité de tout visiter.Chloé BRETAUD, terminale I
et Enora BOURDIER-HALBOUT, première A.
Erasmus + : et maintenant l'Allemagne !
Un voyage en Espagne et en Allemagne, un projet de deux ans sur le vivre ensemble.
Du 10 au 16 mars, 15 élèves de seconde sont partis à Murcie dans le sud-est de l'Espagne. Là bas, Français, Allemands et Espagnols se sont rencontrés. C’est une superbe occasion pour se faire des amis et rencontrer de nouvelles personnes.
. « Ce sont des souvenirs que l’on garde toute une vie, dit Laurine Seguin, et on a aussi pu se rapprocher entre Français ».
Erasmus permet l’ouverture à l'international. Pour ce qui concerne le mode de vie, « les Espagnols sont très ouverts aux gens. Ils apprécient de recevoir. Ils sont accueillants et amicaux », poursuit Laurine Seguin. C’est un mode de vie différent concernant les repas, les sorties entre amis et la sécurité.
Murcie est une ville riche en histoire et culture : « Nous avons visité le centre historique de la ville », raconte Amy Rivière. Le groupe a aussi eu la chance de découvrir le Carthagène, théâtre romain, un musée aquatique et l'école de langue de Murcie. De plus, deux associations leur ont été présentées, ONCE qui travaille pour l’autonomie et l’inclusion des personnes handicapées. Puis, CEPAIM qui lutte pour l’acceptation des différences et l’aide aux migrants. Des visites sur le vivre ensemble ont permis de découvrir l’histoire locale.
Une fois par semaine, les membres du groupe, candidats au départ, se réunissent afin de préparer les voyages, le thème du projet étant le vivre ensemble. S'il y a eu un voyage en Espagne, en septembre, les élèves du projet Erasmus iront en Allemagne dans la ville de Weidenhausen. L’objectif étant, en facilitant la rencontre avec plusieurs pays, de faire davantage de rencontres et de découvrir l’histoire de chaque pays.
« Afin de préparer le voyage en Espagne, nous avons fait une vidéo de présentation du lycée ainsi que de nous pour nos correspondants », explique Laurine Seguin. Maintenant le voyage en Allemagne se prépare. C’est un travail en commun entre les trois pays, préparé depuis plus d’un an par des professeurs. Ambre HABARY, seconde L.
Mathilde, entre fromage et baguette
Mathilde, élève allemande, a pu découvrir les coutumes culinaires françaises.
Pourquoi es-tu venue en échange en France ?
Premièrement, je pratique le français au lycée, et également l’anglais et l’espagnol, mais je me débrouille déjà assez bien en anglais et je voulais vraiment perfectionner mon français. Mes parents m’ont également beaucoup incitée à partir en échange à l’étranger comme beaucoup de mes amis. Donc, je me suis dit que ça pouvait être une bonne expérience.
Quelles-sont les différences entre ton lycée en Allemagne et le lycée en France ?
C’est vrai qu’en France le système scolaire est vraiment différent du système scolaire allemand. Dans mon lycée allemand, les classes ne sont pas du tout organisées comme les françaises. Les niveaux vont de la sixième à la terminale.
L’organisation dans une journée ne change pas tant que ça. En temps normal, je finis vers 16 h 30 alors qu’en France je finis tous les jours à 15 h 40, ce qui est plutôt agréable.
Les stéréotypes que tu avais sur les Français sont-ils vrais ?
Un des plus gros stéréotypes qu’on peut avoir sur les Français, c’est qu’ils mangent beaucoup de fromage. C’est vrai que durant mon voyage, j’ai pu remarquer que c’est la réalité. Ma famille d’accueil mange beaucoup de fromage comme je pouvais l’imaginer. La baguette à tous les repas est un autre cliché qui est vraiment réel en France, alors qu’en Allemagne on mange principalement du pain classique.
Cependant, avant de venir en France, j’ai beaucoup entendu que les Français seraient désagréables et malpolis. Personnellement, durant toute mon expérience en France les gens ont tous été gentils avec moi et ce cliché est totalement faux selon moi.
Les Français sont-ils accueillants ?
Oui, au lycée, tout le monde était très avenant et j’ai pu parler avec beaucoup de personnes. Donc, c’est très intéressant. En dehors du lycée aussi, je me suis sentie bien accueillie. Par exemple, dans le bus on m’a aidé à plusieurs reprises lorsque j’avais du mal à montrer mon titre de transport. En général, je me suis vraiment sentie intégrée et bien accueillie en France.
Sidonie DURET, première D et Charlélie LAMY, première D.
Un projet, pour ne rien oublier
En début d'année, 22 élèves de la spécialité HGGSP (1) se sont portés volontaires pour un projet mêlant souvenirs de la déportation et transmission des mémoires.
Ils sont membres du parcours Histoire et Mémoire des juifs vendéens déportés pendant la Shoah.
Pendant toute une année, les élèves ont retracé, à l'aide de documents d'archives officiels, d'un témoignage ou d'une pièce de théâtre, le périple tragique des 20 juifs yonnais, déportés vers Auschwitz en 1944, dont un seul est revenu vivant : Moïse Akriche.
Une exposition au lycée
L'aboutissement de ce travail de recherche a pu être matérialisé par une exposition au sein du lycée Saint-François-d’Assise du 31 janvier au 2 février, en pleine période de commémoration des 80 ans de la rafle des juifs de Vendée.
Pour ce faire, ils ont évoqué les quatre étapes du processus génocidaire avec le recensement, l'arrestation, l'internement et la déportation.
« Le fait qu’on comprenne cette déportation à travers la vie d’une famille, ça permet de nous imaginer l’enfer vécu par ces personnes qui vivaient très près d’ici », raconte Gaspard Berthomé, élève de première, au sujet de l’exposition.
Un voyage au coeur de la mémoire
Du 18 au 23 février, ces élèves ont eu l’opportunité de voyager à Paris et en Pologne. A Paris, ils ont découvert le Mémorial de la Shoah et le Mémorial des Martyrs de la Déportation. « Cette première étape nous a permis de nous rendre compte de l’ampleur de la Shoah à l’échelle nationale », témoigne Marius Favriau-Blanchard, élève participant au projet.
A Cracovie, les élèves ont pu découvrir les usines de Schindler, une synagogue, un ancien camp de travail ainsi que le quartier juif.
Le moment le plus fort à été leur visite d’Auschwitz-Birkenau, camp de concentration et d’extermination durant la seconde Guerre mondiale : « C’est très troublant, cela paraît irréel. C’était vraiment émouvant pour nous tous », raconte Tiago Buttigieg.
Eglantine FOUCHIER, terminale F et Lana BOULEUX, terminale G.
(1) HGGSP : Histoire, géographie géopolitique et sciences politiques.
Un voyage mythologique en Grèce antique
Les élèves hellénistes, latinistes et terminales HLP (Humanités, Littérature, Philosophie) sont partis pour la Grèce du 19 au 23 février.
Ce voyage culturel a permis aux élèves de découvrir les lieux, l'origine des mythes, de la culture qu'ils étudient en classe.
Les ruines d'une civilisation éteinte depuis une dizaine de siècles se sont offertes à eux : le théâtre d'Epidaure, le monastère d'Hosios Lukas, la ville de Delphes ou encore Mycène, la grande cité.
Ayant flâné dans les rues et ruelles de Grèce, les élèves ont découvert une nouvelle culture, un patrimoine ancien de l'époque antique et une gastronomie sur l'une des trois places majeures, Monastiraki mais aussi le quartier pittoresque de Plaka.
L'Acropole, point d'histoire
Parmi leurs nombreuses visites de musées, de sites, de temples, l'Acropole, ancienne citadelle et sanctuaire religieux, a particulièrement été appréciée des élèves. Cet emblématique site de Grèce porte en son sein une histoire vieille de deux millénaires.
Le musée qui s'étend sur trois étages montre un aperçu de l'art de l'époque antique, avec les statues-colonnes des Caryatides de l'Erechtéion. Mesurant 2,31m, leur contemplation est impressionnante. Les frises représentant des scènes de la mythologie se succèdent permettant d'admirer leurs détails et de suivre le déroulement des mythes racontés.
L'Acropole accueille le théâtre de Dionysos, le plus grand théâtre érigé au VIè siècle avant J.C., considéré comme le berceau du théâtre grec antique et de la tragédie. L'Odéon d'Herode Atticus, édifice affecté aux représentations musicales au IIè siècle, retrouve sa gloire d'antan depuis sa restauration, accueillant chaque année le Festival d'Athènes.
La visite de l'Acropole elle-même se déroule sur une colline haute de 156 mètres, permettant l'observation du célèbre Parthénon et du temple d'Athéna Niké.
« Ce voyage m'a marquée »
Mélangeant les trois niveaux, ce voyage a permis d'apprendre divers détails d'une époque révolue et la rencontre d'élèves partageant une passion commune pour les anciennes civilisations, romaines et grecques. Anouck Marengo, élève de terminale HLP, explique avoir adoré ce voyage pour ses visites, mais aussi pour l'ambiance agréable du groupe formé au cours du voyage : « Ce qui rendait plus agréable nos heures de car notamment (et on en a eu beaucoup) ». Elle conclut : « C’était la première fois que j’allais en Grèce et je pense que ce voyage m’a marquée, c’était incroyable de découvrir les ruines de toute une civilisation ! ».
Olympe MICHENAUD, terminale C.
Un concert pas comme les autres
Comment associer musique et 7ème art ? Voilà la question à laquelle ont répondu les membres de l'option musique. A l'honneur, de grands classiques du cinéma.
Le 23 février dernier, avant leur départ en vacances, les élèves de Saint-François-d'Assise ont assisté à un concert pour le moins original. En effet, les membres de l’option musique, première et terminale, ont joué pendant trois quarts d’heure une douzaine de chansons. Le point commun de celles-ci ? Elles étaient toutes issues de différentes scènes de films.
Un projet original Le but du projet était de pemettre aux élèves de jouer en direct des musiques issues de films ou de séries comme l'explique Laurent Pontoizeau, le professeur en charge du projet : « L'idée était de reprendre des chansons issues de films et de les adapter pour les élèves ».L'extrait en question était projeté sur fond blanc à l'arrière de la scène.
D'où vient cette idée ?
Comme c"est souvent le cas au lycée Saint-François-d'Assise, ce sont les élèves eux-mêmes qui furent à l'origine du projet. Quelques difficultés furent rencontrées lors de la préparation du concert. En effet, certains morceaux sont souvent joués par des orchestres symphoniques ou des groupes de musiciens importants et réussir à les adapter représente un vrai défi.
Un concert très réussi
Globalement, le projet fut très apprécié des élèves de l'option musique ainsi que des spectateurs.
En effet, ce n'était pas le choix qui manquait au vu des très nombreuses chansons/films disponibles.
Parmi les douzes chansons jouées, on peut notamment retenir la musique de Pulp fiction (Misirlou), celle de Titanic (My heart will go on) ou encore l'original Axel F issu du Flic de Beverly Hills.
Gaspard BERTHOME, première H.
Nouvelles matières en seconde
Texte
Au fil de la visite
Texte
Les portes ouvertes : une vraie réussite
Voici quelques images illustrant la journée portes ouvertes qui a eu lieu le samedi 17 février. De nombreuses familles sont venues à ce rendez-vous d'information.
Les familles étaient accueillies par les élèves des classes de seconde. Sous la conduite des enseignants, les parents ont découvert toute la richesse de l'établissement, qui comporte un lycée d'enseignement général ainsi un lycée technologique et professionnel. Saint-François-d'Assise compte aujourd'hui près de 2 000 élèves.
Amaury PAQUET, seconde C.
Le self à SFDA, pour vous servir !
Au lycée, de 6 h 30 à 21 h, jusqu'à 22 personnes s'activent pour nous permettre à tous de pouvoir manger dans les meilleures conditions. Faisons un tour en cuisine.
Un des besoins essentiels de l'homme est de manger. Quand, dans un lycée, jusqu'à 1 500 personnes viennent manger au self tous les midis, l'organisation n'est plus la même.
Chacun arrive avec ses envies, ses réserves, ses régimes spécifiques ou encore simplement un appétit à toute épreuve et tous au même endroit.
De plus, le lycée comporte un internat, ce qui implique pratiquement 300 couverts de plus, matin et soir. C'est pourquoi, dès 6 h 30, les premiers agents du personnel de restauration arrivent. Il faut préparer le petit-déjeuner des internes à 7 h, mais aussi les pique-niques fournis par le lycée si besoin, et, déjà, il faut s'affairer pour le déjeuner. Ensuite, c'est le "rush". De 11 h 30 à 13 h 30, 1 500 élèves, répartis en deux services de 750 personnes environ, et 150 professeurs vont passer les portes de leur self respectif.
Une option végétarienne
Là où un restaurant de taille moyenne peut servir jusqu'à 200 repas le midi, le personnel de restauration en cuisine pour 8 fois plus de personnes.
Le menu proposé est tous les jours différent, ce qui implique l'utilisation d'une quarantaine de recettes uniques de manière journalière, à travers les deux selfs et la Kfet. La Kfet qui d'ailleurs assure pratiquement 300 repas en "click & collect" et vaisselle recyclable ou lavable pour convenir à la réglementation.
Sinon, au sein des selfs classiques, tous les jours, c'est : 4 entrées, 2 viandes, 3 accompagnements, 4 desserts et tous les jours, aussi, une option végétarienne sans réservation ou demande particulière.
Pas de gâchis
Parmi ces options au choix, préalablement validées par une diététicienne, la moitié des aliments sont issus de producteurs locaux et jusqu'à 20 % d'entre eux sont bio. Par ailleurs, chacun des plats proposés est évalué au préalable pour permettre le moins de gâchis possible.
De la même manière, des actions ou des projets tel que Erasmus + sont organisés pour décourager le gaspillage alimentaire. Tout est fait pour que le temps du repas soit une pause très agréable pour tous.
Léo BROSSARD, terminale F.
Opération Bol de riz : 1 320 participants
Le vendredi 29 mars, le lycée Saint-François-d’Assise a accueilli trois associations dans le cadre d’une opération Bol de riz.
L’association Humanille est l’une des trois associations partenaires de l’opération Bol de riz. Cette dernière est due à l’initiative d’un ancien élève du lycée, accompagné de sept autres étudiants nantais en deuxième année de médecine.
Pour le Togo
Pour la cinquième année consécutive, l’association a pour but de mener des projets solidaires au Togo. Humanille souhaite « promouvoir l’accès à l’éducation et à la santé », affirme Maxent Collet. Cette année, l’association souhaite consacrer les fonds collectés par l'opération Bol de riz à de nouveaux bâtiments scolaires, tout en poursuivant des actions de prévention sur les maladies présentes dans le pays.
3 300 euros collectés
La majorité du lycée s'investit dans cette action solidaire chaque année.
En 2024, c'est 1 320 personnes qui ont participé à cette opération : « C'est très peu d'effort pour nous, mais, pour les associations, ce sont des dons importants », raconte Camille Nicolleau, terminale F. En effet, c'est 3 300 euros qui ont été récoltés le 29 mars, au profit des associations Humanille, Horizons Nouveaux et La Chevauchée Arc en Ciel.
Eglantine FOUCHIER, terminale F et Lou-Ann MARTINEAU, terminale H.
Le parcours de l'Académie basket
Le mercredi 27 mars, l'équipe de Saint-François-d'Assise s'est inclinée en finale face au lycée de Walbourg, au terme d'un match très serré. Retour sur son parcours.
Bien que le tournoi soit l'événement le plus important de l'année pour l'Académie de basket, il ne semble pas y avoir eu d'intensification de l'entraînement.
Celui-ci est déjà très intense (il a lieu du lundi au vendredi, le matin de 7 h à 8 h et le soir de 18 h à 19 h 30) et constitue en lui-même une préparation suffisante, comme le déclare Octave Lehe, membre de l'Academie : « On s'entraîne tous les jours. Donc, d'une certaine façon, on est toujours préparé ».
S'ajoutent à ces entraînements les matchs de régionale disputés au cours de l'année contre différentes équipes des Pays de la Loire et qui ont, à chaque fois, été remportés assez largement à l'exception du premier disputé face aux Angevins champions de France en titre.
Le déroulé du tournoi
Les matchs de poule ont eu lieu le lundi soir et le mardi matin.
L’Académie a entamé son tournoi avec deux victoires et fut, donc, qualifiée d'office pour les demi-finales. Celles ci eurent lieu le mercredi matin à 8 h et la finale enchaîna à 11 h, à la salle omnisports.« C’est monté crescendo en difficulté », confie Octave. En effet , les matchs de poule contre les Franciliens de Saint-Mandé et les Bretons de Vitré furent assez facilement remportés.
Les premières difficultés apparurent lors de la demi-finale face au lycée de Tourcoing. Un match serré, mais tout de même une victoire puisque le lycée s’est imposé 66 à 43. Une finale très serrée En finale, l'équipe s'est inclinée de seulement deux points (50 à 52) face au lycée de Walbourg qui comptait dans son équipe des joueurs en centre de formation. Gaspard BERTHOME, première H.
Saint François et les profondeurs
La section plongée du lycée Saint-François-d'Assise a vu le jour en 2010. Cette section est composée de 14 élèves et est ouverte aux jeunes entrant en seconde générale et technologique.
Pour s'inscrire
Les séances se déroulent de 16 h à 18 h les lundi, mardi et jeudi à la piscine municipale. L'activité a lieu en plusieurs étapes, plongée avec bouteille, nage avec palmes et tuba et enfin apnée. Le cours en milieu naturel, se déroule le mercredi après-midi, la plongée se fait avec équipement complet.
Pour s'y inscrire, il vous faut effectuer un entretien avec Alain Yacoubi, professeur de sport, orienté, d'une part, sur la motivation de l’élève et, d’autre part, sur son projet lié avec la plongée. Aucun niveau n'est requis, seulement une attestation d'un 100 mètres en crawl. Les deux derniers bulletins seront demandés lors de l'entretien.
Noémie BOUILLON, seconde B.
Vice-champions de France rugby
Ils sont partis dans la nuit du 2 au 3 avril pour rejoindre Illkirch Graffenstaden (Alsace) afin de participer au championnat de France UGSEL de rugby à sept, catégorie élite.
Dès leur arrivée, ils ont disputé quatre matchs de poule et un dernier le jour suivant. Le vendredi à 12 h, les deux premiers de poule se sont affrontés en finale. L'ensemble Saint Félix-La Salle de Nantes a battu l'équipe de Saint-François-d'Assise d'un point (22-21).
Notre équipe tenante du titre s'est inclinée « sans démériter », comme le souligne Marius, le capitaine. Humblement, celui-ci explique que tout élève suivant une scolarité à Saint-François aimant le rugby aurait pu disputer la phase finale. En effet, les jeunes n'ont bénéficié d'aucun allègement particulier durant ces trois années.
Les élèves, répartis dans différentes classes depuis la seconde s'entraînent quasiment chaque jour, en partenariat avec le FCY, et ce à partir de 15 h 40.
Pour ce déplacement, ils étaient encadrés par deux professeurs d'EPS : Jean-Michel Maindron et Lionel Berland. Ils ont été obligés de faire preuve d'autonomie en l'absence de leurs entraîneurs habituels. Félicitations à eux. Préparons la saison prochaine !
Amaury PAQUET, seconde C