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N° 35 - Février 2018 | www.lycee-saintjoseph-lamballe.net |
Solène Lepault est devenue vétérinaire
Vous avez passé un bac scientifique, spécialité SVT en 2003 au lycée Saint-Joseph.
Vous souvenez-vous de certains professeurs ?
Je me souviens très bien de Mme Pillon, professeur de SVT, c’était l’une des matières que je préférais. J'aimais beaucoup sa manière d’expliquer. Je pourrais également citer Mme Hamon en mathématiques, Mme Le Berre en français, M. Radenac en EPS. Tous assuraient un climat de confiance au sein de l’établissement.
Je garde également un excellent souvenir de M. Besnier, qui m’a fait adorer la Rome antique à travers son enseignement du latin. Nous étions peu nombreux en cours de latin, et cela a créé des liens vraiment sympas entre le groupe et ce professeur.
Quelques mots sur le lycée ?
Je me suis rendu compte de l’importance d’avoir été dans ce lycée au moment de le quitter. A cette époque, j’avais eu un entretien téléphonique avec la prépa, pour compléter mon dossier scolaire. Et la personne au téléphone m’avait dit « vous venez de Saint-Joseph Lamballe, très bien. Nous sommes donc certains que vous avez de très bonnes bases et que les bulletins sont notés de manière objective. Nous pouvons donc nous fier à ce qui est inscrit sur votre dossier ». J’étais fière d’avoir ce bagage précieux pour continuer à avancer.
Quelles études avez-vous suivies ?
Après le bac S, je suis partie en classe préparatoire BCPST au lycée Chateaubriand à Rennes. Après 2 années, je me suis présentée au concours de vétérinaire.
Puis j’ai été admise à l’école nationale vétérinaire de Maisons-Alfort (ENVA), où j’ai passé les 5 plus belles années d’études. La première année était très théorique, mais les suivantes alternaient théorie et pratique, si bien que j’ai commencé à manipuler des animaux et à réellement travailler dans le milieu vétérinaire dès ma 2ème année d’école. En école vétérinaire, la formation s’effectue au contact de « vrais animaux » et de « vrais propriétaires » de la région parisienne.
Ce centre hospitaliser vétérinaire fonctionne avec les étudiants de l’école, encadrés par des vétérinaires praticiens spécialistes. De nombreux stages y sont proposés tout au long de la scolarité.
Lors du cursus vétérinaire, les étudiants sont amenés à voir toutes les facettes du métier : celle du vétérinaire pour animaux de compagnie, mais aussi pour animaux de rente ou équidés, ainsi que le milieu des abattoirs, de la fonction publique (direction des services vétérinaires) ou des métiers nécessitant les compétences des vétérinaires (industrie pharmaceutique, agroalimentaire…).
Puis j’ai soutenu ma thèse qui a permis la validation de mon cursus. Après ces 5 ans de formation intensive, je me suis dirigée vers un internat d’un an, qui est une formation complémentaire facultative, mais qui m’a permis de confirmer mes acquis et de les mettre en pratique, tout en côtoyant de nombreux spécialistes pour parfaire ma formation. J’ai réalisé cette année supplémentaire dans l’un des plus grands centres hospitaliers de la région parisienne. J’en garde un excellent souvenir.
Pouvez-vous nous décrire votre métier ?
C’est un métier très polyvalent. J’endosse au quotidien les casquettes de médecin, chirurgien, échographiste, radiologue, dentiste, dermatologue, laborantin, pharmacien, chef d’entreprise. J’aime la relation de confiance que je peux établir avec les propriétaires et leurs animaux.. J’ai entre mes mains la vie de certains de mes petits patients, et je m’efforce au quotidien à m’engager dans les cas cliniques, comme s’il s’agissait de mes propres animaux.
La plupart du temps, les élèves stagiaires ne réalisent pas que nous côtoyons la vie comme nous pouvons côtoyer la mort, que nous jonglons avec des bonnes mais aussi des mauvaises nouvelles à annoncer aux propriétaires, et qu’après la consultation, il y a des d’animaux hospitalisés à gérer, soigner, opérer. Actuellement, je suis vétérinaire associée, depuis 2 ans, dans une clinique dans laquelle nous sommes 9 vétérinaires et 10 infirmières. J’adore mon métier. C’est finalement un rêve d’enfant devenu réalité !
Quelques conseils pour les élèves intéressés par le métier de vétérinaire ?
Les études sont longues, mais nous sommes rapidement au contact des animaux. C’est une des plus belles récompenses après 2 années de classe préparatoire qui servent à acquérir des connaissances solides et des méthodes de travail. Il faut passer le cap du concours, qui reste la « bête noire » des étudiants.
Quelles sont les qualités nécessaires à l'exercice de votre métier ?
Il ne faut pas avoir peur de beaucoup travailler. Il est en effet difficile de refuser un animal à l’heure de fermeture si le cas clinique représente une urgence. Le samedi est souvent une grosse journée. C’est un métier dans lequel on travaille fréquemment le week-end.
D’autre part, la qualité d’écoute est essentielle. Les vétérinaires obtiennent de précieuses informations sur l’animal en écoutant son propriétaire parler. Pour moi, l’empathie est l’une des qualités les plus importantes. La médecine vétérinaire est en constante évolution. La recherche progresse et le praticien doit se former pour toujours mettre à jour ses connaissances. Il faut évidemment aimer les animaux et avoir une envie inconditionnelle de les soigner et de les sauver.
Propos de Solène LEPAULT recueillis par Valérie HERAULT.
La filière littéraire
Vous aimez lire, parler une langue étrangère, débattre de l'actualité ou de questions existentielles. Vous aimez vous ouvrir aux autres cultures, découvrir des spectacles, rencontrer et partager des moments avec des intervenants extérieurs, notamment étrangers sur des sujets variés... Alors la filière L est faite pour vous ! Elle vous apportera une large culture, vous apprendra à exprimer et à défendre votre opinion, à comprendre les enjeux et les richesses du monde d'aujourd'hui.
Contrairement aux idées reçues, choisir la voie littéraire ouvre de nombreuses perspectives de carrière : on peut ainsi se diriger vers des études de droit, de lettres, d'histoire, de géographie, de langues étrangères appliquées ou vers une licence de langues, littératures et civilisations étrangères. Il est aussi possible de choisir les sciences politiques ou les écoles de journalisme....
Claudine CRENN.
La filière L : dominante lettres et langues
Si vous êtes curieux, si vous aimez les langues étrangères, la lecture, la littérature ou encore l’histoire, alors la filière littéraire est faite pour vous. En L, il n’est pas seulement question de faire du français et de la littérature. L'anglais et l’histoire ainsi que la philosophie en classe de Terminale sont vivement valorisés. Il faut aimer lire, rédiger, synthétiser et être curieux. L'autonomie est un axe que l'on développe dans cette filière car il nous est souvent demandé de mener des projets en groupe de travail ou de faire des recherches personnelles pour enrichir notre culture générale. De plus, les entraînements à l'oral sont nombreux car, à l’examen final du baccalauréat, beaucoup d’épreuves sont des oraux. La facilité à parler devant un groupe est très utile pour les études supérieures. La filière littéraire offre de nombreux débouchés dans les secteurs de l’histoire, du tourisme, du droit, des sciences politiques, de la psychologie, du journalisme et de l’enseignement... Choisir la filière L permet d’acquérir une large culture générale et une ouverture d’esprit pour, ainsi, mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons.
Carla JAUNEAU.
La filière économique et sociale
IC'est un bac équilibré. En Première, les élèves acquièrent les bases au niveau des connaissances et de la méthodologie. En Terminale, ils les approfondissent en choisissant une spécialité : économie approfondie, sciences politiques ou mathématiques. Ce bac permet d'approfondir la compréhension du monde contemporain. S'intéresser à l'actualité, aimer débattre, être rigoureux, travailler en interdisciplinarité sont des qualités nécessaires. Ce bac permet la poursuite d'études en licence (droit, sciences économiques et gestion, LEA, psychologie, sociologie), BTS (Management des Unités Commerciales, commerce international), DUT (Gestion des Entreprises et des Administrations, Techniques de Commercialisation), prépa pour entrer dans de grandes écoles (Institut d'Etudes Politiques, ENS, école de commerce...)...
Benoît LE BIGOT.
Le Bac ES : vecteur de réussite
Arrivé à la fin de l'année de Seconde, il est vrai qu'il n'est pas aisé de choisir son orientation. J'ai beaucoup hésité entre la filière littéraire et économique. Attiré par l'histoire et la géopolitique j'ai finalement choisi la filière ES et je ne le regrette pas un seul instant. D'abord, elle vous ouvre au monde sur tous les points. Vous découvrez l'économie et la sociologie, matières indispensables pour analyser le monde qui nous entoure. Avec l'économie, je comprends mieux les enjeux diplomatiques et les relations étatiques. Et puis, l'économie se complète avec l'histoire, on a dès lors une autre vision des choses. En outre, la filière ES me permet de poursuivre mes ambitions d'études journalistiques. Pour réussir dans cette filière, je dirais qu'il faut être curieux et investi dans ce que l'on fait. Personnellement, j'ai un goût assez prononcé pour l'information et il m'arrive souvent de compléter mes cours par des recherches personnelles. Autre point positif, cette filière donne une grande importance aux langues étrangères. En effet, ces matières sont indispensables pour ceux qui veulent s'orienter vers le commerce international. Ainsi, il faut être rigoureux et plein de motivation pour exceller dans cette orientation économique et sociale. Enfin, la ES fait la jonction entre L et S car nous avons aussi des mathématiques, nécessaires pour réussir les concours d'entrée dans les écoles supérieures. Alors, n'y renoncez pas, la filière ES est celle qui vous ouvrira les portes du Monde.
Jean-Baptiste ANDRE.
La filière scientifique
La filière S est réservée aux élèves aimant les sciences ! Plus de 50 % des cours de Term sont consacrés aux maths, sciences-physiques et SVT. Sans intérêt pour les sciences, ces 2 années de préparation au bac sembleront longues. Rigueur et implication sont nécessaires pour aborder avec sérénité une 1ère S. Le travail demandé dans les matières scientifiques est conséquent. Les études supérieures accessibles sont variées : prépa scientifiques, écoles d’ingénieur, IUT scientifiques, fac de médecine. La finalité du bac S est de préparer aux études scientifiques même s'il permet d'ouvrir de nombreuses autres portes.
Mickaël GROUHEL.
Bac S pour les scientifiques
Au premier abord, la filière scientifique peut sembler difficile. Mais une fois que l'on a pris le rythme, on apprend à s'organiser et à gérer son travail. Il faut être rigoureux, régulier et autonome. Il est vrai que toutes les matières sont importantes. Il ne faut pas uniquement travailler les disciplines scientifiques. Ainsi, on obtient un bon dossier pour pouvoir entrer dans les écoles supérieures qui peuvent être assez sélectives.
Pour les élèves un peu perdus dans leur orientation, le bac S offre un large choix concernant les études.
Les mathématiques et les sciences sont en adéquation avec les emplois de demain. En effet, dans le domaine de l'automobile (ex : voiture sans chauffeur), du médical (ex : opération à distance, recherche dans les laboratoires...) et même de l'écologie (ex : hydroliennes, éoliennes...) les scientifiques seront très recherchés.
En Terminale, les élèves doivent choisir entre quatre spécialités : les mathématiques, les SVT (Sciences et Vie de la Terre), les sciences physiques et chimiques et l'ISN (Informatique et Sciences du Numérique). Cette dernière permet la découverte d'un nouvel enseignement créatif autour de la réalisation de pages web, de jeux, d'objets en trois dimensions. Les trois autres ont pour avantage d'approfondir les cours communs et donc d'entraîner davantage aux épreuves expérimentales du baccalauréat.
Chloé LALLEE.
La filière ST2S
Nous "baignons" dans une culture médico-sociale qui prépare les élèves aux concours et à leurs études supérieures. En plus des matières générales, il y a deux grands domaines spécifiques. La biologie humaine étudie le corps humain, ses maladies et initie au vocabulaire médical. Les sciences sanitaires et sociales expliquent les problèmes de santé et d'exclusion sociale en France (évolution et répartition des maladies ..). Elles traitent aussi des réponses que la société apporte pour améliorer le bien-être de la population. Les taux de réussite au bac sont très bons car on ne vient pas par hasard en ST2S. Le goût pour ce domaine et la curiosité pour l'actualité sont des préalables.
Isabelle FERREY, Sandrine GUEGUEN.
Le bac ST2S : santé et social
Le bac ST2S correspond aux élèves qui souhaitent travailler dans les secteurs du para-médical ou du social. Un des avantages de cette filière, c'est que l'on est favorisé lorsque l'on passe des concours pour entrer dans des écoles type IFSI (Institut de Formation en Soins Infirmiers) ou d'éducateur spécialisé, car, en Terminale, il y a une 1 heure de préparation hebdomadaire aux concours. C'est une filière exigeante qui vous demandera d'être motivé, rigoureux, régulier et organisé dans votre travail personnel. Votre mémoire sera mise à contribution dans certains cours très importants comme la biologie et physiopathologie humaines et les Sciences et Techniques Sanitaires et Sociales. Mais il ne faut surtout pas négliger les autres disciplines toutes aussi importantes pour le post-bac. Vous serez amenés également à développer vos qualités de rédaction et d'analyse au cours des années de Première et Terminale. Les travaux de groupes jalonnent ces 2 années de préparation au bac. En 1ST2S, trois semaines sont consacrées à des travaux inter-disciplinaires (AI). En TST2S, les lycéens réalisent un projet technologique consistant à analyser ou à créer un projet sanitaire et/ou social.
Julia LEBRETON.
LES PFMP : périodes de formation en milieu professionnel
Les PFMP constituent des stages en entreprise qui permettent à l'élève :
- de mettre en application et de consolider les compétences acquises en milieu professionnel,
- d'en acquérir de nouvelles,
- d'approfondir sa connaissance du monde professionnel et ainsi de s'insérer dans une équipe professionnelle et de développer des compétences de communication.
La durée de la formation professionnelle est de 22 semaines réparties sur 3 ans : 6 semaines en Seconde ASSP, 8 en Première et 8 en Terminale. Les PFMP peuvent se dérouler auprès de publics variés : l'enfant en micro-crèche, crèche collective, multi-accueil, école-maternelle, la personne âgée en logement foyer, EHPAD (Etablissement d'Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes), la personne malade en centre hospitalier et la personne handicapée en maison d'accueil spécialisée ou foyer de vie. Le jeune est suivi par son tuteur de stage qu'il peut régulièrement consulter pour effectuer des bilans sur les activités menées. Il participe aussi avec l'élève à la réflexion sur son parcours professionnel. De plus, chaque élève est suivi par un enseignant référant. En fin de période, l'enseignant référant rencontre le tuteur et le lycéen sur le lieu de la PFMP afin d'évaluer les compétences mises en oeuvre par l'élève, son degré d'ntégration et son implication au sein de l'entreprise.
S. B
Pierre, 15 ans en 2ASSP
"Je viens du collège Sacré-Coeur. Avant mes résultats étaient moyens, maintenant ils sont bons. Dans les matières générales les exigences ne sont pas les mêmes qu'au collège. Dans les matières professionnelles on parle beaucoup de santé. C'est le domaine dans lequel je souhaiterais travailler plus tard ; j'aimerais être infirmier en bloc opératoire. Bref, je ne m'ennuie plus en cours, ce que l'on apprend et ce que l'on fait m'intéresse. Nous travaillons en petits groupes, c'est plus facile pour les professeurs de nous expliquer. J'ai fait mon premier stage au service opératoire à la clinique de Dinan. Je conseillerais cette filière aux élèves qui ont une attirance pour le domaine médical et qui en ont un peu marre des matières générales, bref aux élèves qui ont besoin de concret et de pratique. Les stages sont un plus dans cette formation."
V. H
Romane, 15 ans en 2ASSP
"Je viens du collège de Créhen. J'ai fait le choix de la filière ASSP car j'ai pour projet de devenir éducatrice de jeunes enfants en crèche. Je ne regrette pas ma décision. Les cours me conviennent mieux qu'au collège. Maintenant ils sont en lien avec ce que je veux faire plus tard. C'est plus concret, il y a plus de pratique que de théorie. Personnellement, ça me convient mieux. En général, nous travaillons en demi-groupe. J'ai de meilleures notes dans les matières générales qu'au collège. Les contrôles sont moins longs, les profs nous expliquent différemment. J'aime beaucoup les matières professionnelles car on fait des activités concrètes comme apprendre à donner le bain, à changer les bébés et à faire des lits au carré. Dans la classe, on est soudé, il n'y a aucune compétition entre nous. J'ai fait mon premier stage de trois semaines à la micro-crèche de Plancoët."
Valérie HERAULT.
Le Bac Pro ASSP option structure
Une formation qui a pour objectif d'aider les autres.
Le Bac pro ASSP se prépare en 3 ans. Cette formation prépare les élèves à travailler au sein d'établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux tels que l'EHPAD, les foyers logements, les crèches collectives, les centres hospitaliers... Le titulaire du bac pro ASSP exerce auprès des personnes des activités de soins, d'hygiène, de confort, d'aide aux actes de la vie quotidienne et de maintien de la vie sociale.
La formation dure 3 ans et ouvre plusieurs portes sur l'emploi ou les études supérieures :
- l'insertion immédiate dans la vie professionnelle : les élèves peuvent par exemple entrer immédiatement dans la vie professionnelle en tant qu'ASH (Agent de Service Hospitalier), se ménageant éventuellement la possibilité de devenir aide-soignant ou infirmier par la voie interne de l'entreprise.
- l'entrée dans des formations d'aide-soignant ou d'auxiliaire de puériculture. Dans ce cas, les ASSP sont favorisés car leur excellente formation initiale les dispense de certains modules de formation. Mais également un accès aux formations d'infirmier, d'éducateur spécialisé...
- l'entrée en BTS SP3S (Services et Prestations des Secteurs Sanitaires et Sociaux) ou en BTS ESF (Economie Sociale et Familiale).
Cette formation alterne des enseignements généraux comme au collège (français, histoire-géo, mathématiques, anglais, EPS...) et des enseignements professionnels qui permettent à l'élève d'acquérir des compétences professionnelles en atelier. L'enseignement professionnel s'articule autour de 3 pôles : le soin d'hygiène et de confort, l'animation et les services à l'usager.
Pour s'épanouir dans la filière, il faut tout d'abord vouloir aider les autres et exercer auprès des personnes de tous âges. Cette filière nécessite aussi un bon sens des responsabilités et un esprit d'équipe. Le respect des règles déontologiques est également important : en particulier le secret professionnel.
Solenn BOUCHER, coordinatrice de la filière ASSP.
L'atelier théâtre
Les élèves choisissent le théâtre en enseignement d'exploration ou en option. En Terminale, ils passeront une épreuve coefficient 2 au baccalauréat. Avec deux heures de pratique par semaine auxquelles s'ajoute une heure de théorie en Terminale, ils pratiquent l'improvisation, s'exercent sur des textes variés et multiplient les jeux scéniques favorisant la confiance en soi, la gestion de l'espace, la maîtrise du corps et de la voix. Ils apprennent à interagir avec leurs partenaires dans un travail de groupe. Le spectacle de fin d'année réunissant les trois niveaux représente l'aboutissement de ce travail. Cet enseignement inclut un travail théorique sur l'histoire du théâtre et l'analyse de représentations. Les élèves rencontrent des intervenants du spectacle qui les aident à progresser. En Première et Terminale, ils sont suivis par des comédiens qui complètent le travail réalisé par les professeurs.
Charlotte LE BONNIEC.
Le latin, une option moderne
Certains se demandent l'utilité d'apprendre les langues anciennes au XXIème siècle. Poussiéreux, obsolète … Loin de là ! Les élèves se rendent compte chaque semaine de l'extrême actualité des textes étudiés : les Secondes analysent l'art pour un homme politique de devenir une légende, les Premières, la manière de charmer par les mots (Ovide, Catulle...), les Terminales découvrent qu'à chaque époque, les nostalgiques du passé s'inventaient un âge d'or perdu... Par des exposés, par des projets nombreux (correspondance en latin avec un lycée du Sud, création d'un court métrage pour le festival européen latin-grec...) les jeunes ont la possibilité de dévoiler leurs talents et leurs goûts. De plus, le latin au lycée est l'objet d'études approfondies de la civilisation à travers les textes antiques. Eh oui, les Romains connaissaient déjà les comètes ! Ils avaient inventé les bases de l'architecture, s'étaient interrogés sur l'astronomie, avaient porté l'art de la parole au faîte de l'éloquence. Combien de films, de tableaux, de romans, de jeux vidéo témoignent de cet attachement à ces siècles passés, si passionnants à connaître. Les jeunes sont en outre ravis de voir qu'ils peuvent traduire des extraits sans dictionnaire, car le latin est le fondement de notre langue française. Ils aiment aussi découvrir la culture grecque, dont les Romains se sont en partie inspirés, ou par le biais de la mythologie, tant appréciée pour ses labyrinthes d'histoires étonnantes. Décidément, le latin n'est pas mort !
Elodie BARBIER.
L'informatique et le numérique
La spécialité ISN (Informatique et Sciences du Numérique) est un enseignement qui présente les concepts clés de l'informatique et des sciences du numérique à travers une véritable initiation à la programmation. Vous découvrirez comment sont codées les images et réaliserez des programmes permettant de les modifier, de les fusionner. Vous apprendrez à programmer un robot afin qu'il interagisse avec son environnement. Vous concevrez et imprimerez des objets 3D, réaliserez des applications pour téléphones Androïd. Vous créerez votre propre site internet à l'aide du langage HTML/CSS/Java-scrip. Cet enseignement a aussi pour but, au-delà de la technique, de vous sensibiliser aux enjeux du numérique pour notre société, mais aussi de vous faire découvrir les nombreux débouchés en termes d'emploi.
Christophe BEASSE.
Le russe
Au lycée Saint-Joseph, l'apprentissage du russe est proposé en tant qu'option facultative ou qu'enseignement d’exploration. C'est une langue différente des langues latines ; elle utilise l'alphabet cyrillique. L'apprentissage n'est pourtant pas compliqué car l'alphabet cyrillique est un alphabet phonétique. Chaque son n'a qu'une seule lettre et chaque lettre n'a qu'un seul son. Apprendre l'alphabet cyrillique est un jeu d'enfant. En cours de russe, les élèves découvrent aussi les traditions, la culture et la civilisation du pays. Un voyage en Russie (Moscou ou Saint-Petersbourg) est proposé aux élèves tous les deux ans. Ils ont en outre la possibilité de découvrir le pays et de pratiquer la langue russe en échangeant avec les élèves russes de nos écoles partenaires.
Evguenia TSVETKOVA.
A cheval au lycée Saint-Joseph !
L’histoire de la section sportive équitation commence en août 2015. M. Ferron, directeur du lycée vient d’arriver à Lamballe et va à la rencontre des instances de Lamballe. Il prend rendez-vous avec M. Cauret, maire de la ville de Lamballe, afin de se présenter. Entre autres choses, ils abordent leur passion commune : les chevaux. Ils évoquent ensemble l’idée de créer une section sportive scolaire dédiée à l’équitation. Cet élément se renforce lorsqu’ils passent en revue le nombre de structures équestres de la région mais aussi le nombre d’éleveurs de chevaux et de cavaliers. Au cours de l’année 2015-2016, les bases du projet ont été mises en place : recherche d’un centre équestre pouvant accueillir les élèves, travail sur l’élaboration du projet pédagogique, recrutement des futurs cavaliers…
Pratique et théorie
En septembre 2016, une première promotion de 12 cavaliers ouvre le bal. Au programme : 2 heures de pratique à cheval au centre équestre de La Poterie, une heure de d’hippologie (étude du cheval et de son environnement), organisation du Jumping d’Erquy, participation à des concours de saut d’obstacles en vue d’une qualification à l’Open de France, passage de galops… Cette première année fut un succès à tel point qu’une deuxième promotion a vu le jour pour l’année scolaire 2017-2018.
Emmanuel FERRON.
L'accompagnement personnalisé
Qu’est-ce que l’accompagnement personnalisé ?
Ce sont des séances en groupe restreint, développant l'acquisition de compétences disciplinaires et transversales. Il répond à des besoins qui sont déterminés par les demandes des élèves et la progression. Il est proposé de la Seconde à la Terminale. Il aide les élèves à s’adapter aux exigences du lycée, à acquérir des méthodes de travail et à construire leur projet d’orientation.
Quelles sont les différentes propositions d’accompagnement ?
Elles sont nombreuses.
- Un soutien aux élèves qui rencontrent des difficultés (soutien maths, sciences, français, langues).
- Un approfondissement des connaissances ou une autre approche des disciplines étudiées (approfondissement mathématiques, préparation à l’examen de Cambridge).
- Une aide à l’orientation.
- Des activités pluridisciplinaires et des ateliers de découverte (journal du lycée, éducation aux médias et à l'information, projet scientifique, culture des religions).
Quand ces accompagnements ont-ils lieu ?
Cette année a débuté par des ateliers de découverte, puis ont suivi quatre périodes d’environ sept semaines chacune. Chaque élève fait des choix pour chaque période. Le choix ne se fait pas à l’inscription au lycée, mais au cours de l’année sur l'ENT. Les accompagnements sont inclus dans l’emploi du temps de chaque élève.
Comment choisir ?
La période de découverte permet aux élèves de passer dans les différents ateliers. Ensuite, les lycéens expriment leurs choix par ordre de préférence sur inscription informatisée. Ces Accompagnements Personnalisés sont éducatifs. Ils changent au cours de l’année. Ainsi, les élèves peuvent choisir un accompagnement en accord avec leur choix de filière ou leurs besoins scolaires. A savoir, les Secondes qui participent à l’atelier « Journal du lycée » reçoivent une attestation de Reporter remise par Paul Hutin de Ouest France. De même, le diplôme de Cambridge en anglais est très apprécié par les écoles supérieures et les entreprises.
Elodie BARBIER.
Approfondissement en anglais
Les élèves de Seconde et de Première auront la possibilité de s'inscrire aux cours d'approfondissement en anglais afin d'enrichir leur vocabulaire, leur expression orale, mais aussi pour aborder la littérature en anglais. La préparation à la certification Cambridge niveau B2 est proposée aux Terminales. Ce certificat assez difficile est reconnu au niveau européen et international. Il atteste d'un bon niveau aussi bien à l'écrit qu'à l'oral.
Les lycéens peuvent aussi s'inscrire aux cours de DNL (Discipline Non Linguistique) en Seconde, Première et Terminale. Il s'agit de cours dispensés en anglais dans l'une des trois disciplines suivantes : mathématiques, histoire, secourisme. Ils pourront alors obtenir la mention européenne sur votre diplôme du baccalauréat.
Valérie HERAULT.
ICN : Informatique et Création du Numérique
L'ICN aide à comprendre le monde numérique en apprenant à créer de vrais programmes informatiques et à concevoir et utiliser des objets numériques. Il s'adresse aux élèves intéressés, aucune connaissance préalable n'est requise. De nombreuses activités sont proposées telles que : création de pages HTML, programmation de jeux et animations, conception et impression d'objets 3D, programmation de cartes électroniques BBC microbit, de robots Lego NXT et création d'applications Androïd.
Christophe BEASSE.
Santé et social
Cet enseignement est pour toi si tu as une certaine curiosité pour les questions dans ces domaines. Il t'aidera à réfléchir aux poursuites d’études et débouchés dans les secteurs médical, paramédical et social (infirmier, éducateur spécialisé, diététicien…). Nous abordons les thèmes de l’action humanitaire, la petite enfance et l’hôpital sous les angles de la biologie et des sciences médico-sociales.
Par binôme, les élèves recherchent et traitent des informations dans une démarche de réflexion. Ils sont amenés à présenter et communiquer leurs productions (dossier, diaporama, exposé oral, fiches…). Des compétences d'analyse et d'argumentation sont attendues.
Dans tous les cas, tu es le ou la bienvenu(e) car cet enseignement apporte un savoir-faire transposable quel que soit le choix de filière en fin d’année ainsi qu'une culture sanitaire et sociale.
Isabelle FERREY.
Méthodes et pratiques scientifiques
Les MPS (Méthodes et Pratiques Scientifiques) permettent de voir les sciences sous un autre jour de manière ludique et en groupe grâce à de nombreux travaux pratiques et expériences. Chaque année, cet enseignement d'exploration attire près de quatre-vingt-dix élèves répartis en sous-groupes de dix-huit à vingt-quatre élèves. Huit professeurs de sciences (mathématiques, SVT, sciences-physiques) assurent les cours qui ont lieu dans les "labos". La séance est d'une durée de une heure et demie par semaine. Les cours alternent entre dominante mathématiques / informatique et sciences de la vie et de la terre / sciences-physiques. C'est par groupe de trois que les élèves travaillent tout au long de l'année.
Des recherches concrètes
Tous les ans, trois thèmes sont abordés. En 2017-2018, nous étudions la vision des animaux ou encore (le plus appréciée des élèves !) la scène de crime montée de toute pièce et mise en place dans l'amphithéâtre du lycée. Grâce à de nombreuses expériences comme l'analyse de groupes sanguins ou d'ADN retrouvé mais aussi de messages codés, nous devons tout mettre en oeuvre pour mettre fin à ce mystère. Entre témoins, suspects, victime et indices saurons-nous identifier le coupable ? Cet enseignement correspond aux élèves curieux, aimant les matières scientifiques et la manipulation.
Elise BOTREL.
Deux enseignements d'économie : SES et PFEG
L'élève de Seconde doit choisir un enseignement d'exploration en économie : SES (Sciences Economiques et Sociales) ou PFEG (Principes Fondamentaux de l'Economie et de la Gestion). Les objectifs de ces deux enseignements sont de comprendre la société dans laquelle nous vivons et d'élargir la culture générale des lycéens. Les programmes sont très proches mais il existe des différences entre SES et PFEG. Même si les thèmes se ressemblent, l'angle de vue n'est pas le même. En SES, l'approche est d'ordre économique et sociologique et est plus globale, alors qu'en PFEG on s'interrogera sur les grandes questions économiques, juridiques et de gestion et on abordera les relations entre les différents agents économiques.
Par exemple, la production en SES sera étudiée au niveau de l'ensemble des agents économiques de la société, alors qu'en PFEG nous étudierons la production vue par l'entrepreneur. Le choix entre ces deux enseignements ne détermine pas l'orientation mais permet de comprendre les options étudiées en Première ES ou Première STMG. Lors de ces enseignements d'exploration, ce sera l'occasion de découvrir des métiers en lien avec le programme, via les visites d'entreprises et la venue des professionnels dans notre lycée.
Benoît LE BIGOT,
Nathalie FERREIRA.
Littérature et société
En littérature et société, l'élève manipule les savoir-faire des lettres et de l'histoire. La préparation du concours National de la Résistance et de la Déportation est engagée. Le premier prix départemental obtenu l'an dernier constitue un réel encouragement dans cette étude de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale. Tout d'abord, l'objectif fixé est la réalisation d'un travail collectif portant sur "S'engager pour libérer la France". Cet investissement se concrétise par des recherches documentées au CDI, l'analyse des informations pour une production dont la forme reste confidentielle, concours oblige ! Pour conforter cet engagement, les élèves ont fait la rencontre de Michel Guilloux, historien qui leur a présenté la Résistance en Bretagne en prenant appui sur un résistant local ; les témoins directs de cette période étant de plus en plus rares. Ce travail s'accompagne de l'étude de films relatifs à cette période. Au cours du second semestre, la démarche prévoit des travaux orientés vers la littérature.
Marie-Thérèse ROUXEL-TOHIER.
BDI : un accueil pour l'orientation
Le Bureau d'Information et d'Orientation est un lieu ouvert tous les jours en continu pour faire des recherches sur notre avenir. Le BDI permet de découvrir de nouvelles formations, de nouveaux métiers et aussi de se renseigner sur des lieux de stages.
On peut y trouver de nombreux documents variés provenant de l'ONISEP, CIDJ (Centre d'Information et de Documentation Jeunesse) ou encore des écoles post-bac. Il est possible, aussi, de se renseigner grâce à des logiciels d'aide à l'orientation sur les ordinateurs à disposition.
De plus, cinq accompagnants BDI, qui sont formés régulièrement, sont disponibles pour échanger avec nous sur notre projet. Ainsi, nous recevons une aide et un avis personnalisés. Pour cela, il suffit de prendre rendez-vous le lundi, mardi, jeudi ou vendredi midi.
Par ailleurs, tous les élèves du lycée peuvent venir au BDI car les documents sont à destination des filières générales, technologiques et professionnelles. Ainsi, il est possible de trouver une poursuite d'études en fonction d'un métier, de ses capacités, d'un parcours et de ses centres d'intérêts.
Le BDI est, donc, un espace calme, riche en documents, ouvert à tous et dédié à l'orientation.
Laurine CHASTEL.
Développement durable : un lycée engagé
Le développement durable et le lycée Saint-Joseph c’est une histoire de longue date.
L’aventure a démarré il y a plus de 10 ans, avec un groupe d’une dizaine d’élèves qui souhaitait réduire le gaspillage de papiers et développer sa valorisation.
Le 14 juin 2008, nous obtenions notre premier label « Eco-lycée ». Depuis cette date, chaque année, nous sommes Eco-Lycée.
Ce label récompense les établissements qui s’engagent vers un fonctionnement éco-responsable et intègrent l’éducation au développement durable dans les enseignements. Le point essentiel pour l'obtention du label est de travailler tous ensemble, élèves, enseignants personnels, parents en s'appuyant sur des partenaires extérieurs.
Chaque année, un thème est mis en avant. Cela peut être l’alimentation, la biodiversité, la santé, l’eau, les déchets...
Cette année, pour le décrocher, 55 élèves volontaires et motivés ont souhaité devenir éco-délégués et travailler sur le thème de l’énergie. En acceptant cette fonction, ils s’engagent à mener un projet dans l’année en collaboration avec des enseignants, des personnels et à être le relais entre le comité de pilotage et la classe.
Ce comité a pour mission de réaliser un diagnostique énergie, de coordonner les actions des éco-délégués et de chercher des solutions au gaspillage.
Des nombreux projets ont vu le jour : un vélo pour recharger les téléphones portables, un repas 0 gâchis en collaboration avec le Croq'Jo, une opération de sensibilisation Ecowatt, un voyage culturel et solidaire à Bonyolo, au Burkina Faso pour 12 élèves de Première. Sans compter les projets sur les autres thèmes : les collectes de crayons et de papier pour l'association Léo super héros, une bibliothèque participative en étude, la réalisation d'affiches pour aider au tri dans les classes et au Croq'Jo...
Au lycée Saint-Joseph, tous les élèves, personnels et enseignants participent d’une manière ou d’une autre au développement durable, en triant leurs déchets, en participant aux collectes, aux repas solidaires, en éteignant les lumières, en fermant les portes… Ce n’est pas un choix, une obligation, c’est une évidence. Stéphanie LEON.
Le bureau des lycéens : actif !
Créé en mai 2017, le BDL est constitué d'une dizaine d'élèves motivés pour animer le lycée. Il fonctionne comme une association avec un président, un trésorier et un secrétaire. Le BDL a besoin de la participation d'un maximum d'élèves qui proposent des idées. Il aide à trouver le budget et le matériel nécessaire à la concrétisation des idées retenues.
Le BDL ne manque pas d'idées !
Ses membres très actifs ont établi un planning d'activités très dense pour l'année scolaire : concours de logos à l'image du lycée, vente de 600 sweats "lycée Saint-Joseph", animation d'une radio BDL 100 % animée par les élèves, mise en place d'un calendrier géant de l'Avent, invitation de l'humoriste Guillaume Sentou. Et pour terminer cette année en beauté, un concours de photos, de pétanque, une journée bretonne et une vente d’autocollants sont déjà programmés.
A la rentrée 2018, le BDL prévoit de travailler en commissions sur la réorganisation de la fête de la Saint-Joseph et sur la préparation du bal de promo des Terminales.
Pour suivre l'actualité du BDL, pour s’engager dans un projet, une commission, pour entrer dans le bureau en septembre 2018, ou tout simplement pour proposer des idées, rendez-vous sur le compte Instagram [@bdl.stjolamb], visible sans connexion, ou par mail [bdl.lamballe@gmail.com].
Le bureau du BDL.
La chorale enchante le lycée
Le lycée propose, le jeudi midi, aux élèves qui le désirent, la chorale, une activité nouvelle depuis le mois de septembre.
En début d'année, trois professeurs accompagnaient la chorale.
Elle convient à ceux qui veulent se retrouver et qui ont envie de chanter sans être jugés.
C'est une activité qui offre le plaisir d'être avec les autres, de s'exprimer comme on le veut, sans limite, d'articuler, de respirer et de mémoriser.
Elle permet à chacun de s'affirmer devant les autres et d'être plus à l'aise en public.
Selon les participants, elle rend la journée plus agréable et permet une coupure afin de passer du bon temps.
Pour exemple, en début d'année, les élèves se sont consacrés à des chants proposés pour la célébration de Noël comme, par exemple, "Hallelujah" ou encore "Oh Happy day".
Ils étaient également accompagnés de musiciens.
Pendant cette première partie de l'année, Jeanne (chanteuse extérieure dans une chorale) a guidé la troupe pendant les répétitions jusqu'à la célébration.
Les professeurs qui le souhaitent peuvent également se joindre à eux.
Des titres plus contemporains et récents seront ensuite interprétés.
Aaliyah MOUSSEAU.
Le sport au lycée
Une des activités préférées des élèves au lycée, c'est le sport !
En général les lycéens ont au moins deux heures de sport par semaine. Ce temps peut varier en fonction des activités proposées le midi avec l'association sportive. Nous y reviendrons plus tard. Les sports exercés au lycée ne sont pas choisis au hasard, l'Education nationale a mis en place différents champs contenant des sports reliés par certains points communs, on les appelle : compétences propres. Il y en a en tout cinq : CP1 : athlétisme, natation ; CP2 : nature (accrobranche, escalade) ; CP3 : artistique (gymnastique, acrosport) ; CP4 : duel (raquette, sport de combat) ; CP5 :entretien (musculation).
Durant une année scolaire le professeur doit proposer trois compétences différentes. Pour le bac, les Terminales sont évalués sur le sport de leur choix étudié en Seconde et Première.
A présent, parlons de l'association sportive au lycée. Cette association organise des activités le midi qui peuvent permettre de participer à des compétitions. Pour l'année prochaine, nos trois professeurs de sport organiseront une activité par midi et par niveau.
Le parc de La Corne de Cerf est situé à proximité du lycée. Il est pratique pour la course à pied. De bonnes infrastructures sont présentes sur notre site : un gymnase et une salle de musculation avec du bon matériel. Peu de lycées possèdent une salle de musculation.
Prochainement un gymnase et un dojo seront construits à côté du Centre Leclerc.
Yann LEGOFF.
Le Croq'Jo, restaurant des lycéens
C'est un concept moderne apprécié des élèves car au Croq'Jo, c'est beau et c'est bon.
Le Croq'Jo est depuis maintenant plus de 6 ans le restaurant du lycée Saint-Joseph. Il se situe dans l'enceinte du lycée séparé par le parking des professeurs. Le décor est agréable à la vue, tant au niveau du mobilier (banquettes, chaises de bar), des couleurs (vert et rose acidulés sur fond blanc) que de la vaisselle. Le chef cuisinier, M. Ludovic Calvez est aux manettes, il prépare et sert avec son équipe plus de 700 repas par jour. La plupart des élèves souhaitent déjeuner sur place : c'est le plus beau bulletin de satisfaction qui puisse exister !
Des repas bien préparés
M.Calvez commence sa journée à 6 h afin de nous concocter, avec ses collègues, des repas qu'il servira lui-même. La totalité des plats est conçue sur place une à trois heures avant d'être servie aux lycéens et lycéennes. Les entrées et les desserts sont mis à disposition par les collègues de M. Calvez juste avant que les élèves n'entrent dans le restaurant. Le chef cuisinier travaille avec une quinzaine de fournisseurs locaux. Ces derniers lui livrent uniquement des produits bruts qu'il transformera en cuisine. Le partenariat avec des producteurs du terroir est de plus en plus fort. Les élèves dégustent des poulets de la ferme de Marie-Jeanne à Andel, des yaourts de la ferme de Saint-Rieul, de la viande de bœuf de la boucherie Gérel, de la tomme du Vaumadeuc à Pléneuf et cette liste n'est pas finie !
Un système de service simple et autonome
Au Croq'Jo, les élèves sont autonomes et constituent eux-mêmes leur plateau. Ils commencent par choisir leur entrée au salad'bar. Ensuite, ils se dirigent vers les plats principaux servis par le personnel. Ils ont le choix entre trois et quatre plats. Les légumes sont à volonté. Puis, ils arrivent aux desserts où ils peuvent choisir un produit laitier, une pâtisserie ou une coupelle de fruits. Et, pour finir, ils n'ont plus qu'à passer leur carte code barre du Croq' Jo dans une machine et déguster leur repas entre amis.
Miliann POISSON.
Le Burkina Faso
12 lycéennes partiront au Burkina Faso en avril. Sur place des actions seront organisées : sensibilisation sur l’hygiène dans des classes de primaire auprès d'enfants mais également peinture de salles de classe. Une soirée culturelle permettra de partager nos cultures et nos traditions avec les Burkinabés. Une collecte sera organisée au lycée. Si vous avez des vêtements que vous ne mettez plus ou bien des livres merci d'avance pour votre participation.
Adèle JUHEL.
Le Texas
12 élèves iront aux Etats-Unis à l'UNT, University of North Texas. Des étudiants faciliteront la visite du campus, du stade de football américain « The Apogee Stadium » et ses 30850 places, du complexe sportif, du centre pour les étudiants et ses 5 restaurants. Ils suivront des cours dans le département de « Criminal Justice » et participeront à une soirée franco-américaine. Ils visiteront le musée John Fitzgerald Kennedy à Dallas.
Christine PINCEMIN-JOHNSTONE.
Les Pays-Bas
Une vingtaine d'élèves devrait découvrir les Pays-Bas. Les visites prévues permettront une approche économique du pays avec les infrastructures portuaires de Rotterdam et le marché international aux fleurs d'Aalsmeer. L'intérêt sera aussi historico-politique avec la Maison Anne Frank à Amsterdam et la Cour Internationale de Justice à La Haye et artistique avec les musées Van Gogh et Mauritshuis. Sans oublier une balade à vélo à rétropédalage dans Amsterdam !
Yohann PECHEUR.
Echange avec le Portugal
C’est dans le cadre du jumelage Lamballe-Oliveira do Bairro que le comité organise un échange scolaire avec les deux lycées lamballais. Au printemps, ce sera l'occasion de découvrir le système scolaire portugais et de présenter notre projet éco-lycée. Nous sommes également impatients de visiter Porto, l'université de Coïmbra et sa célèbre bibliothèque. Pour nous préparer, Emona Guéguen, élève de Terminale S1 nous fait cours de portugais tous les lundis. Merci à cette élève passionnée par ce pays !
Isabelle FERREY.
Chester
Un échange est organisé avec un lycée de West Kirby (à côté de Chester), en Grande Bretagne.16 élèves de notre lycée seront reçus par un correspondant chez qui ils passeront une petite semaine. Ils assisteront à des cours et visiteront la région dont la ville de Liverpool célèbre pour son musée des Beatles. Nous recevrons les correspondants britanniques la semaine suivante.
Françoise BLONDEL, Louisanne LEVEQUE.
L'allemagne
48 élèves découvriront Berlin, capitale huit fois plus grande que Paris. Au programme : la Porte de Brandebourg, la Potsdamer Platz (la plupart des immeubles qui la bordent ont été construits après la réunification). A quelques pas de la station de métro, le Sony Center est l'un des plus beaux exemples d'architecture moderne de Berlin. Après de nombreuses autres attractions, les élèves monteront la Tour de la Télévision, haute de 368 m !
André KOEHLER.
Echange avec la Finlande
Des élèves de 1ère se sont envolés pour les paysages féeriques et enneigés de la ville de Lahti (Finlande). Ils se sont intégrés dans le mode de vie du pays : échange avec un correspondant, immersion dans la famille finlandaise, initiation au finnois, visite de Lahti et d’Helsinki... un programme très riche. Les élèves français pourront en retour accueillir leurs correspondants finlandais au cours du mois d’avril afin de partager également leur culture et leur mode de vie lamballais.
Jean-Marie Le GAL.
L'Andalousie
Cette année les élèves partiront à la découverte de l'Espagne musulmane. Basés à Cordoue, ils pratiqueront la langue et découvriront les villes emblématiques de la conquête arabe : Séville et Grenade. Au programme, visites de monuments : la grande Mosquée de Cordoue, la Giralda de Séville et sa place d'Espagne ainsi que le palais de l'Alhambra de Grenade. Ils visiteront un moulin à huile au coeur d'un champ d'oliviers et découvriront la tauromachie.
Véronique BOUVET.
