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La nouvelle équipe du Journal
Quelques membres du Journal. De gauche à droite, en haut : Cléa, Océane, Hector, Amy, Steven, Alix et Louna (Ste-Geneviève). En bas : Gwendal (Ste-Geneviève) et Antoine, Grégoire, Manon et Mathilde (Ste-Anne).

Sorj Chalandon, un homme de terrain
Écrivain emblématique de la littérature contemporaine, Sorj Chalandon vient de publier "Le jour d'avant".
Qui est-il ?
Entré comme journaliste chez Libération à l’âge de 21 ans, Sorj Chalandon exerce désormais son métier au Canard enchaîné.
Autrefois reporter de guerre, il a publié Le Quatrième Mur aux éditions Grasset après avoir passé 23 ans sur les fronts au Liban.
Adapté en bande dessinée par Éric Corbeyran et Horne Perreard, ce roman a également connu de nombreuses mises en scène théâtrales.
Sorj Chalandon est aussi connu pour ses prises de position en faveur de l’indépendance de l’Irlande du nord.
Ceci l’a d’ailleurs amené à publier Mon Traître et Retour à Killybegs, après la trahison du militant politique irlandais Denis Donaldson.
Chalandon l’avait rencontré à plusieurs reprises lorsqu’il était journaliste.
Quel est son dernier ouvrage ?
Le jour d’avant, publié en 2017, relate l’histoire de Michel, personnage derrière lequel se cache l’auteur. Le 27 décembre 1974, une catastrophe minière tue 42 personnes à Liévin, laissant plus de 130 orphelines et de nombreuses veuves.
Pour exprimer sa colère persistante depuis le drame, Sorj Chalandon invente un 43ème mort, Joseph, sans pour autant toucher au chiffre sacré qu’est 42.
Joseph, décédé à l’hôpital suite au dernier grand drame minier de France, ne verra pas son nom inscrit sur le monument aux morts.Ce roman est d'un grand réalisme, puisque, journaliste dans l’âme, Sorj Chalandon se rend toujours sur les lieux qu’il décrit dans ses ouvrages.Ainsi, ce livre nous transporte et nous permet de voyager, de nous évader...
Manon POULARD-MARTIN.
1ère L Blanche
Quartier Sainte-Anne
Le JDL recrute
Tu as envie d’écrire, de t’exprimer, tu sais dessiner, photographier, alors le journal lycéen est fait pour toi.
Viens rejoindre l’équipe !
Un journaliste d’Ouest-France t’accompagnera de ses conseils, de son expérience.
En outre, le journal t’apportera un plus dans ton curriculum vitae et pourra te faciliter l’accès à certaines écoles post-bac.
Les élèves qui pratiquent une activité scolaire et qui ont le sens des responsabilités sont recherchés.
Réfléchis, ce n’est pas négligeable.
Seule exigence : écrire des articles, réaliser des illustrations ou des photos et participer aux réunions.
Ce n’est pas sorcier mais c’est tellement enrichissant.
C’est quand tu veux, comme tu veux !
Tu peux contacter le CDI ou bien un des élèves journalistes pour plus d’infos.
L’équipe du JDL.
L'écriture inclusive pour ou contre ?
Une langue où le masculin ne l'emporte plus sur le féminin. L'écriture inclusive, un débat très controversé par deux écoles.
On nous apprend dès la naissance que "le masculin l'emporte sur le féminin".
Le but de l'écriture inclusive serait d'après le Haut conseil de l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE) : d'accorder les fonctions, les métiers, les titres ou les grades au genre et ainsi pouvoir dire et écrire "une auteure" "une pompière".
Il s'agirait aussi d'inclure les deux sexes au pluriel, que le masculin ne l'emporte plus sur le féminin et enfin de ne plus employer certains termes comme "les droits de l'homme et du citoyen" mais plutôt "les droits des hommes, des femmes, et du citoyen, de la citoyenne". Cette écriture fait cependant débat et soulève une question majeure "faut-il l'adopter ?" Deux manières de penser controversées se distinguent, allant d'un coté jusqu'à l'interdiction de l'écriture inclusive dans les manuels scolaires.
Joëlle, contre
J'ai donc retenu le témoignage de deux femmes traitant du sujet.
Joëlle Garriaud-Maylam contre l'écriture inclusive écrit : "Une langue est le produit d’une société et le reflet des rapports sociaux… pas un outil pour les faire évoluer." introduit-elle lors de son argumentaire en ajoutant "C’est bien moins l’orthographe que le quotidien, la répartition des tâches dans la famille, les rôles alloués aux hommes et aux femmes dans la publicité ou dans le contenu de nos programmes scolaires qui nourrissent les stéréotypes
Il faut tout de même préciser que la langue française ne cesse d'évoluer et que de nouveaux mots s'y inscrivent chaque jour, en changer certains pour un vocabulaire plus féminisé n'y rajouterait au final pas plus de complexité que celle qu'elle a déjà. En effet les stéréotypes ne se résoudront pas grâce au changement de quelques terminaisons, on retiendra cependant qu'elles pourraient, ne serait-ce qu'un peu, faire évoluer la situation actuelle.
Maria, pour
Maria Candea pour l'écriture inclusive, ajoute "Si les hommes acceptaient qu'on parle d'eux au féminin quand ils sont en minorité dans un groupe, ça ne devrait pas poser de problèmes " Et plus loin, elle dit encore : " L’accord de voisinage a subsisté dans toutes les langues romanes. Il était encore fréquent au 19eme siècle en français mais a cessé d’être enseigné, pour des raisons idéologiques."Alors plus aucune raison d'être conservateur !
Iris DELAYRE, TS
Ste Geneviève
Jean d'Ormesson, l'Immortel
Voilà déjà quelques mois qu'il s'est éteint. Pourtant, jamais les librairies n'ont connu une telle rupture de stock pour son dernier ouvrage Le guide des égarés ; en réalité l'avant-dernier car Et moi, je vis toujours sera publié à titre posthume. Jean d'Ormesson restera dans l'esprit des Français un homme brillant, drôle et cultivé et surtout un philosophe follement intéressant. Il est parti, pourtant il est encore là, telle une légende. C'est de ce guide des égarés que j'ai choisi de vous parler. D'emblée il annonce : « Aujourd'hui, comme hier, nous sommes tous des égarés ». Il ajoute même un mode d'emploi à la première page en guise de préambule afin d'introduire sa pensée. Au fil de l'ouvrage, à partir d'un mot, d'un seul, il nous emporte : liberté, plaisir, amour... Une lecture étonnante
Il s'adresseau lecteur avec du recul, il y expose sa vision de la vie et du monde. On a l'idée que tout va mal, que les gens sont malheureux mais qu'ils pourraient être tellement plus malheureux. Il expose ce qu’il nous reste du bonheur qui s’est petit à petit transformé en une sorte de méditation métaphysique. Ce n’est pas pour autant un manuel de philosophie, il n’en a ni la rigueur, ni l’austérité. C’est un livre sérieux qui se veut par moment drôle. Il s'agit en fait d'un regard sur le monde et sur la vie, une réflexion légère sur des problèmes graves. Une lecture envoûtante qui nous plonge dans l'univers si singulier d'un homme d'esprit qui sut traverser notre siècle avec légèreté. Voici une bonne idée de lecture, pour découvrir ce monument qui nous a quittés et réfléchir plus en détails sur le fait que nous sommes tous des égarés d'une manière ou d'une autre...Timothé MAROUZÉ TES mauve quartier Ste-Anne
Une envie de randonnée ?
Rendez-vous sur le GR 34, appelé communément le Sentier des Douaniers, sur la portion comprise entre la plage de Trestraou, à Perros-Guirec et la plage de Saint-Guirec, à Ploumanach. La balade est facile. Compter 2 heures pour l'aller et le retour.
La Côte de granit rose offre au promeneur des paysages grandioses : côté mer, des chaos rocheux aux formes insolites contre lesquels explosent les vagues d'une mer changeante, côté terre, des roches roses, posées sur la lande, dans un écrin de bruyères, d'ajoncs et de genêts.
A Saint-Guirec, le visiteur se rend à l'oratoire, admire le château de Costaérès sur son îlot. Le temps de déguster une crêpe face à la mer, il prendra le chemin du retour. Une superbe promenade à faire... et à refaire !
Jane ETIENNE
Professeur-documentaliste
Découvrir la littérature au lycée
Voltaire, Hugo, La Fontaine, Ernaux... Pas seulement des noms sur des livres mais des écrivains aux vies riches et palpitantes.
La littérature étudiée durant l'année de seconde permet de découvrir de grands auteurs classiques et contemporains. Mais comment leurs œuvres et leur vie sont-elles abordées et rendent-elles, aux yeux des élèves, ces personnages presque toujours vivants et dignes d'intérêt ?
Le fait de nous présenter les écrivains par une biographie précise avant toute analyse de leurs écrits, permet de se rendre compte de la vie qu'ils ont menée.
Par la suite, ces anecdotes aussi croustillantes qu'étonnantes sur le plan amical, familial ou littéraire peuvent avoir un lien avec leurs œuvres : la littérature est intimement liée à la vie.
La maturité gagnée
En classe de première, la maturité gagnée permet une plus grande autonomie face aux textes. Les méthodes de lecture analytique étant normalement acquises, la réflexion se fait plus grande et plus approfondie.
L'approche est davantage dans la structure des textes et la façon dont ils sont rédigés. L'étude d'auteurs contemporains comme Philippe Claudel nous permet d'être séduits par la narration, de s'identifier plus facilement aux différents personnages et aux lieux, car l'époque nous est familière.
L'année de première s'achèvera par l'épreuve anticipée de français comptant pour le bac et permettant de réinvestir toutes ces jolies découvertes.
Samuel AMSTETT. AP1L, quartier Ste-Geneviève
Etes-vous couchsurfing ?
Le couchsurfing, ou « passer d’un canapé à l’autre », est une manière de voyager : sans aucune contrepartie financière, on accueille ou l’on est accueilli. Au cœur de ce système, c’est la notion de partage qui prédomine.
On échange alors, le temps d’un dîner, avec Katalina, une étudiante russe depuis cinq mois à la Sorbonne ou avec En-Yu, jeune taïwanaise globe-trotteuse... Des longues conversations et des rires succèdent aux premiers échanges un peu timides.
Faire du couchsurfing, c’est être prêt à ouvrir sa porte à l'étranger, en attendant d'être un jour, à son tour, l'étranger d'un autre, loin de chez soi. L’expérience est belle.
Mais il est temps de faire le ménage : ce soir, ce sont Chen-An et Wojtek, un couple sino-polonais, qui viennent à la maison !
Alors, prêts à tenter l'aventure ?
Pierre Bonnet
Documentaliste
Le harcèlement à l'école isole les victimes
Bien que nous sachions ce qu'est le harcèlement scolaire, nous oublions souvent son réel sens et impact. Voici un petit rappel.
Le harcèlement est une répétition d'actes violents qui peut entraîner une perte de confiance quasi totale.
Dans les cas les plus graves, les troubles psychologiques peuvent entraîner des dépressions, voire des suicides.
Le harcèlement est une arme pour l'agresseur que l'on désigne en psychanalyse comme pervers narcissique.
Il a pour objectif d'affecter, voire de détruire sa ou ses victimes. Il lui ou leur fait subir des humiliations de manière répétitive et insistante.
4 sortes de harcèlement
Cela commence à l'école. Pour 10 % des enfants, c'est un lieu de souffrance. Il y a quatre sortes de harcèlement.
Le harcèlement moral consiste à donner des surnoms méchants, à se moquer, insulter ou menacer la victime.
Le harcèlement physique, c'est lorsque l'on reçoit des coups, que l'on est souvent mêlé -sans le souhaiter- à des bagarres ou que l'on est victime de violences physiques. Le comportement des autres élèves joue un rôle important dans les sentiments d'isolement de l'enfant harcelé. Il y a les spectateurs passifs et les spectateurs actifs.
Dans le premier cas, les personnes ne réagissent pas. Ils ne vont ni tenter de mettre fin à ce tourment, ni prévenir un adulte, dans un cas de harcèlement scolaire. Ils font tout simplement abstraction des faits, de peur d'être harcelés à leur tour.
Dans le second cas, les personnes encouragent et participent aux situations de harcèlement dans le but de prouver qu'ils existent au reste de leurs camarades.
Le cyberharcèlement
À l'heure actuelle, le harcèlement se prolonge en dehors du cadre scolaire, sur Internet, via les nouvelles technologies (les réseaux sociaux, forums, jeux interactifs...). Cela s'appelle le cyberharcèlement.
Il prend alors une forme de propagation massive et répétitive de photos, vidéos ou propos malveillants envers autrui.
Le cyberharcèlement est très dangereux car il est exercé de façon permanente. Les contenus sont diffusés extrêmement rapidement et peuvent circuler facilement.
Les victimes sont en pression continue. Elles ne se sentent à l'abri nulle part. Elles n'ont plus de répit ni de lieu où se reposer loin des assauts.
Malheureusement, les auteurs de ces manigances n'ont pas toujours conscience de leurs actes. Ils ne réfléchissent pas aux conséquences de leurs faits et gestes. Ils pensent que ce ne sont que des blagues méchantes.
Cléa GUILLOU--CORCUFF.2nd4,quartier Ste-Geneviève.
Korean pop, un genre musical venu d'Asie
La kpop est un domaine musical sud-coréen très populaire en Asie et en Amérique du Nord, moins en Europe.
C'est l’abréviation de Korean pop. La Kpop est un genre musical qui débute dans les années 1990 et qui provient de la Corée du sud. Elle apparaît grâce aux croisements des cultures occidentales et asiatiques de l'après-guerre (précisément de la seconde guerre mondiale). Pourquoi ? Pour donner un nouveau genre musical et cette fois-ci moderne.
Depuis les années 90 jusqu'à nos jours, de nombreux groupes font donc leur apparition : Seo Taiji & Boys (le plus ancien et celui qui a lancé le phénomène de la Kpop), BTS (un des plus connus et qui a relancé la Kpop) et quelques autres groupes : EXO, Pentagon, BlackPink, Block b, Twice...
Chaque groupe est composé d'un leader, d'un chanteur, d'un rappeur, d'un danseur, d'un visuel et d'un maknae. Le visuel est le plus beau du groupe. C’est lui qui sera le plus mis en valeur dans les photos ou vidéos. Le maknae est le plus jeune membre du groupe. C'est celui qui est le plus sympa et qui fait le plus d’Aegyo, c'est-à-dire d'agréables mimiques.
Certains se lanceront dans une carrière solo comme Zico du groupe Block b, Taeyang du groupe BIGBANG ou encore Sunmi.
Quelques chansons à vous proposer : BTS - Fire / Zico (feat. Fanxy Child) – Fanxy Child / Jonghyun - Y Si Fuera Ella (rip)
Ewen COLOMBEL et Rébecca WASSE, AP 1L, quartier Ste-Geneviève
La renaissance du Couvent des Jacobins
Soir du 10 janvier : la 9è Symphonie de Beethoven résonne sous les voûtes du Couvent des Jacobins pour sa réouverture.
Un bâtiment chargé d'histoire ! Selon la légende, le futur duc Jean VI l’aurait fait construire après la bataille victorieuse d'Auray (1364) contre les Français pour honorer sa promesse à la Vierge Marie. Plus crédibles, les archéologues affirment que pour étendre leur influence à Rennes, les Dominicains construisent vers 1360 un couvent en plein centre-ville.
Les moines chassés
À l'origine composé d'une église, d'un réfectoire et d'un dortoir (en plus des cuisines, des caves et des latrines), le lieu subit de nombreuses modifications lors des XVIe et XVIIe siècles : deux chapelles, une hôtellerie et une bibliothèque voient le jour.
D’illustres événements se succèdent. Le 17 novembre 1491, le traité mettant fin à la guerre franco-bretonne est signé entre les murs du couvent : ici la Bretagne devient française ! La Révolution chasse les douze moines restants. L’armée s’installe ; l’endroit devient magasin militaire. Des modifications suivront au cours du XIXe siècle.
Monument historique depuis 1991, désormais propriété de la ville, les Jacobins accueillent des fouilles. On exhume notamment le corps de Louise de Quengo, morte en 1656.
Au XXIe siècle, un centre des congrès flambant neuf ouvre ses portes. L’histoire de ce lieu ne finit pas de s’écrire...
Alexandre DORE.1re ES, quartier Ste Anne
La Russie : une âme, une littérature…
Au mois de mars, la Russie verra probablement son président reconduit pour un quatrième mandat. Ces élections présidentielles, médiatisées à l’international, sont peut-être l’occasion de repenser notre vision de ce pays.
Depuis plusieurs siècles, mythes et représentations fantasmées, souvent péjoratifs, sont nés sous la plume de nombreux voyageurs français, en particulier le marquis de Custine et son ouvrage La Russie en 1839. Aujourd’hui encore, notre perception en est altérée.
Pourtant, la littérature peut permettre une (re)découverte des Russes et de leur contrée. A travers Tolstoï, Dostoïevski, Pouchkine, Makine, Tourguéniev ou Soljenitsyne, c’est toute « l’âme russe » qui se dévoile, complexe, comique parfois, tragique souvent.
Le CDI possède nombre de ces ouvrages : soyez curieux !
Pierre Bonnet
Documentaliste
Béhourd, faire du sport en armure !
Vous avez toujours rêvé de porter l'armure et les armes ? De vous jeter dans la mêlée et de vous battre de toutes vos forces ?
Et bien sachez que cela est possible ! Originaire de l'Europe médiévale, ce sport avait lieu pendant les fêtes et les tournois des seigneurs d'antan.
Béhourd, du vieux français « fracas », renaît de ses cendres en 1990 en Russie. Se propageant dans les pays de l'Est, ce sport est maintenant reconnu à l'échelle mondiale. Chaque année a lieu la bataille des nations, dans laquelle s'affrontent les équipes nationales.
1000 euros l'armure
Les principaux objectifs de ce sport dépendent des catégories de jeux, si vous êtes en escouade ( allant de 5 versus 5 ; de 16 versus 16 ; à 21 versus 21 ), le but étant de rester debout et de mettre à terre tous les membres de l'équipe adverse. Au Moyen-Age, les combats de Béhourd pouvaient mobiliser tout le village !
Chaque membre du groupe choisit la constitution de son armure, qui doit respecter une certaine authenticité. Il faut compter 1000 euros pour une armure forgée et assemblée sur mesure. En ce qui concerne le choix des armes, cela dépend des compétences de chacun. Si vous conservez un bon cardio malgré une armure de 20 à 30 Kg, vous serez apte à harceler les flancs de l’ennemi et à courir dans la lice pour le déstabiliser. Il vous sera alors proposé un panel d'armes légères. Ou alors, si vous êtes doté(e) de gros biscoteaux, vous aurez accès aux armes à deux mains à savoir les hallebardes, haches à deux mains, vouges, bardiches et bien d'autres pour porter des coups forts sur vos adversaires. Au final, mental, endurance et entraînement vous seront nécessaires pour réaliser des prouesses et vous attirer les éloges du public. Si vous souhaitez pratiquer ou même essayer ce sport, vous pouvez contacter le club de votre région et tenter d'intégrer un entraînement. Ce sport comporte finalement les mêmes risques que la pratique du V.T.T.
Vincent HODBERT AP, 1L, quartier Ste-Geneviève.
La frénésie Bitcoin
Depuis un peu plus d’un an, les cryptomonnaies suscitent un intérêt exponentiel.
Créées voici vingt ans, ce sont des monnaies virtuelles utilisables sur un réseau informatique décentralisé, d’utilisateur à utilisateur.
Aussi ne dépendent-elles pas de banques centrales, et échappent-elles à toute régulation.
Fonctionnant grâce à des technologies de pointe, comme l'algorithme SHA-256, elles sont parfois vues comme l’avenir du système monétaire.
Le cours de certaines a explosé : pour 46 euros en 2013, un bitcoin en vaut désormais plus de 16000 !
Elles présentent pourtant des désavantages, comme leur volatilité.
En résumé, impossible de dire si l’avenir extraordinaire que l’on prédit au Bitcoin est une réalité ou une illusion.
Grégoire DARCY
TermS Quartier Sainte-Anne
Le mythe tahitien
Plages de sable blanc, cocotiers, soleil toute l'année et cocktails au bord l'eau, sont les idées préconçues que vous avez sur Tahiti n'est-ce pas ?
Alors oui, il y a une part de vérité. Les accueils avec des colliers de fleurs à l'aéroport, le soleil (et encore, pas toute l'année !). Tahiti, c'est une saison des pluies en novembre-décembre, qui provoque des inondations, c'est aussi une île exposée aux cyclones, aux catastrophes naturelles, mais aussi une extrême pauvreté, car d'après Polynésie 1ère, « 55 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté ».
En effet, dans le centre ville, des hommes et des femmes font la manche, dorment dehors, sur le trottoir, bien loin du mythe de la vahiné et du tāne (femme et homme en tahitien), en train de danser les pieds dans l'eau. Un bon nombre de familles polynésiennes vit dans des conditions précaires. Certains enfants habitent dans les montagnes et se lèvent à trois heures du matin, pour descendre la vallée à pied, traverser des ruisseaux pour arriver au collège à sept heures. L'île ne dispose pas de lignes de bus suffisamment développées comme en métropole et quand bien même, les familles n'auraient pas assez d'argent pour offrir ce confort à leurs enfants.
Ce sont des facettes de Tahiti inconnues de la plupart.
Clémence BERRON AP 1L, quartier Ste Geneviève
JDC : journée gâchée, gagnée ?
La JDC, Journée de défense et citoyenneté est une clé essentielle dans notre parcours de citoyenneté
Depuis la suspension du service militaire en 1977 , une nouvelle manière de sensibiliser les jeunes sur leur qualité de citoyen a été créée. En effet, à la place d'un an de service militaire obligatoire pour les hommes, le gouvernement a instauré une journée d'information à l'intention des jeunes, filles et garçons, à partir de seize ans.
Informer les ados
D'abord appelée la Journée d'appel de préparation à la défense (JAPD), elle fut renommée en 2011 la Journée de défense et citoyenneté (JDC). L'objectif étant d'informer ces ados sur divers sujets : métiers et rôles de l'armée pour la défense et la sécurité du pays et des populations, prévention sur la sécurité routière, sensibilisation aux dangers de la route...
Elle permet aussi d'évaluer le niveau de langue française à travers des tests de rapidité, de compréhension et de connaissances. Ainsi quelques dizaines de jeunes venant de tous les horizons se retrouvent pour apprendre leur rôle de citoyen.
Participante à cette journée, il me semble que c’est une manière pédagogique et enrichissante de faire se rencontrer et échanger des gens quin’auraient peut-être jamais eu l’occasion de se croiser autrement. Journée gagnée donc. Mathilde LOZACHMEUR, TL, quartier Ste Anne
On applaudit la torture !
Dans les cirques, les félins passent, en moyenne, 99 % de leur vie dans des camions-cages de quelques mètres carrés. En réalisant des sauts périlleux, les chiens se cassent parfois la colonne vertébrale.
Au moindre faux mouvement, les dresseurs-bourreaux plantent leurs pics dans les parties les plus sensibles du corps de l’animal.
L'éléphante Maya
Déjà 26 pays ont interdit les cirques avec animaux sauvages ou non. Trop d'incidents ont eu lieu.
Une forte maltraitance est présente dans ces cirques. L'un des éléments déclencheurs récents fut l'éléphante Maya qui est actuellement entre la vie et la mort suite à d’atroces souffrances.
Des chaînes tellement courtes mettent l'animal en sang.
27000 signatures
En France, de plus en plus de villes, 65 précisément, s'opposent à cette pratique.
La ville de Rennes, le 4 décembre dernier, a décidé de s'engager pour protéger les animaux, le soutien du parti de gauche recueillant à présent dans une pétition 27000 signatures.
Trop d'animaux souffrent dans les cirques de par le monde !
Les associations telles que One voice ou 30 millions d'amis continuent à se mobiliser pour changer ces situations abominables.
Nous ne pouvons même pas appeler cela des conditions de vie mais plutôt de survie.
Maeva ARTURE, AP 1L,quartier Ste-Geneviève.
2050 : disparition totale du chocolat ?
Le réchauffement climatique pourrait priver les gourmands du monde entier de chocolat en 2050 !
Selon le rapport de l' "Intergovernmental Panel on Climate Change" (IPCC), chargé de l'étude de l'évolution des climats, si le réchauffement climatique continue, la température moyenne de la planète augmentera de 2,1°C d'ici 30 ans. La quantité d’eau diminuera dans les régions équatoriales où poussent les plants de cacao. Or, cette plante ne vit que dans des régions proches de l'équateur, grâce à une température et une humidité élevées, et des pluies abondantes. Cela entraînera la mort des cacaotiers et donc la fin de la production du chocolat. Au Ghana, pour continuer de produire des fèves de cacao, il faudrait replanter des arbres sur des terrains vallonnés moins touchés par le réchauffement climatique. Le problème ? Ces zones sont protégées de toute culture. On devra donc choisir entre préserver l’environnement ou continuer de manger du chocolat… mais génétiquement modifié. La menace est si sérieuse que les industriels du secteur chocolatier sont déjà au travail pour ne pas manquer de matière première le moment venu. Ainsi, le groupe Mars a déjà investi dans la recherche 1 milliard de dollars pour mettre au point une plante de cacao génétiquement modifiée et résistant aux effets du réchauffement climatique Profitez-en. Il vous reste 30 ans de plaisir !
Ema SAKRI--GUISLARD.
1ère L Blanche. Quartier Sainte-Anne

Mais si on était végétarien ?
Ce type d'alimentation peut nous permettre d'éviter certaines maladies, telles que les cancers, l'hypertension artérielle, le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.
Mais l'absence de protéines animales peut créer des carences. Un adolescent ou une femme doit avoir un apport en fer et en vitamines plus élevé qu'un enfant ou un homme.
Alors est-il vraiment indispensable de manger de la viande ?
La plupart répondront que oui.
La viande et le poisson sont les produits phares des repas, certains affirmeront que les protéines animales donnent de l'énergie et de la force, d'autres illustreront l'action de manger de la viande dans le simple but de survivre, afin de participer à la chaîne alimentaire.
Le végétarisme bénéfique
Mais une minorité de personnes pense que la viande n'est pas indispensable à notre alimentation.
Les protéines animales et les fibres manquantes se compensent alors par des protéines végétales comme les légumineuses, c'est-à-dire : les légumes secs : lentilles, haricots de soja... ou encore les légumes, les céréales, les fruits à coque, le tofu, etc.
Le végétarisme peut alors, s’il est pratiqué correctement, être bénéfique pour l'homme et la planète, diminuant la pollution et favorisant le maintien d'une bonne santé.
Louna QUERNEE, TS, quartier Ste-Geneviève
Avis aux gros mangeurs
Ne serait-il pas mieux que l'homme cultive sa propre nourriture ?
Au premier regard, celle que l’on achète dans les supermarchés est attirante et nous paraît succulente, mais que se cache-t-il derrière cette impression ?
Les pesticides, nos grands amis, se retrouvent aux quatre coins du monde et nous suivent aux quatre coins du frigo. Si nous devions compter le nombre d'aliments naturels, on pourrait les compter sur les doigts de la main.
Le bio, c'est encore cher
Néanmoins, de plus en plus de familles optent pour le bio.
Depuis quelques années une tendance s'est manifestée : le poulailler à domicile. Malgré l'importance accordée à la nourriture bio, d'autres suivent tout simplement une mode. Et il faut reconnaître que manger bio reste plus ou moins coûteux.
Dans le meilleur des mondes, il faudrait acheter ses produits dans sa région, afin de manger sainement tout en stimulant l'économie des maraîchers de secteur.
Ne nous arrêtons plus sur la beauté et la perfection des aliments, mais renseignons-nous tout d'abord sur l’origine de nos produits !
Louna QUERNEE, TS, quartier Ste-Geneviève
L’agroécologie, une solution ?
En 2050, nous devrions être 9 milliards d'êtres humains sur terre.
Une question majeure se pose : comment nourrir la planète ?
Depuis la révolution verte des années 70 qui prône l’usage de la chimie, on assiste à une stagnation de la production agricole au niveau mondial. ''Ne pouvant produire sans détruire, l'humanité s'expose ainsi à des famines sans précédent'', rappelle Pierre Rabhdi en 2011, au colloque TerrEthique.
Cependant, une solution sérieuse émerge : l'agroécologie. Ce terme renvoie d'abord à une technique agricole suggérant l'imitation de la nature en agriculture. S'inspirer de l'harmonie des écosystèmes et produire en symbiose avec eux est complexe, mais s'avère bien plus productif que dans les agrosystèmes conventionnels. Comparez par vous-même la densité de la forêt amazonienne à celle des plantations de palmiers à huile !
Souveraineté alimentaire
D'autre part, l'agroécologie vise la double performance économique et sociale qui est au centre du "projet agroécologique" lancé en 2012 par Stéphane le Foll, ancien ministre de l'agriculture.
Ce genre d'initiative doit s'exporter dans les pays du Sud, d'après Olivier de Schutter, ancien rapporteur spécial au droit à l’alimentation à l’ONU. Il révèle la capacité de l’agroécologie à assurer une souveraineté alimentaire.Enfin, une vraie réponse à la question de la faim dans le monde.
Antoine BARBOT.TS Lilas. Quartier Sainte-Anne
New York une ville symbolique
New York, ville architecturale très importante, possède plusieurs buildings et lieux historiques qui la rendent unique. C'est le cas de Central Park. Créé à la fin du XIXe, cet espace vert, poumon dans la ville, s'étend sur plus de 340 hectares et abrite plus de 270 espèces d'oiseaux ainsi que 14 espèces de mammifères. Il est fréquenté par les joggeurs, piétons, cyclistes et adeptes du roller. C'est un lieu symbolique du cinéma où ont été tournés : Maman j'ai encore raté l'avion de Chris Columbus, King Kong de Peter Jackson ou encore la série friends, etc.
Situé entre la cinquième avenue et Brodway, face à Madison Square, Le Flatiron building, quant à lui, compte 22 étages et mesure plus de 87 mètres de hauteur.
Oeuvre de l'architecte Daniel Burnham, il doit sa forme triangulaire aux croisements à angles droits de ses deux grandes rues. C'est l'un des premiers bâtiments à avoir été construit à partir d'une armature en acier et l'une des figures emblématiques de New York.
Amélie LEVEQUE, AP 1L.quartier Ste-Geneviève.
L'étrange monde de Strange Beasts
Le court métrage cible de cette critique est Strange Beasts, film réalisé par Magali Barbe en 2017 et présenté au festival Court Métrange.
Il provient du Royaume Uni et nous raconte l’histoire d’un jeune créateur d’application ambitieux, ayant mis sur pied une application entièrement basée sur la réalité virtuelle.
Elle permet à son utilisateur de créer et de personnaliser son propre animal de compagnie virtuel, en fonction de ses désirs et de ses goûts.
Vous désirez une licorne de compagnie ou une baleine volante ? Tout est possible avec Strange Beast.
Une perle d'inventivité
Le court métrage, quant à lui, peut se vanter d’être une petite perle d’inventivité, en exploitant un sujet vu et revu sous un autre angle, celui du créateur d'application et non du consommateur.
Malgré sa durée réduite d’à peine cinq minutes, le petit film fait réfléchir, remettant en question la véritable utilité de la réalité virtuelle dans notre monde, où la technologie est de plus en plus implantée à tous les âges.
L’esthétique du film est, quant à elle, réaliste au possible. Elle représente un monde tout à fait normal dans lequel évolue le personnage principal, créateur de Strange Beasts.
Néanmoins, on peut remarquer dans le décor quelques éléments qui sont bien différents de notre réalité. Par exemple, la maison du personnage principal semble être dotée d’un grand nombre de baies vitrées, ce qui donne une impression de « magasin » et de voyeurisme permanent dans la vie du créateur.
Au fil des minutes, on se sent touchés par la vie du créateur, on sent également la proximité qu’il a tissée avec son animal de compagnie, qui semble être entré dans sa vie comme un véritable animal domestique, comme un chien ou un chat.
Les points faibles
On peut avoir l’impression que le court métrage est une véritable bande annonce ou présentation d’application, sur ce point ci, il n’y a rien à redire. En revanche, les effets spéciaux des Strange Beasts, les animaux de compagnie virtuels, brisent l’immersion par leur design irréel.
Bien qu’excellent, le court métrage a tout de même quelques points faibles, comme sa durée légèrement trop courte (une ou deux minutes supplémentaires auraient permis de mieux amener la fin sans risquer de la faire deviner) et la qualité des effets spéciaux qui ne sont pas exceptionnels (les lentilles des yeux sont visibles comme étant des lentilles plutôt que des implants).
Strange Beast est un court métrage qui remet en question les bons effets de la technologie et de la réalité virtuelle en l’abordant avec un autre point de vue que le classique « consommateur victime du produit ». L’histoire est prenante et les cinq minutes du petit film n'en paraîtront qu’une tant elle est bien faite et intéressante. Chacun peut se sentir concerné par ce thème.
Au final, on en vient à se demander : faut-il chercher un moyen d'éradiquer la solitude ou apprendre à vivre avec elle ?
Aliénor DUMOUSSAUD 2DE2 quartier Ste-Geneviève
NB : Aliénor Dumoussaud, seconde 2, option histoire des arts, a reçu le premier prix catégorie lycée pour le concours de critique du festival de cinéma fantastique Court Métrange.

La Citroën DS, voiture mythique et Ovni
La DS est une voiture de type grande routière commercialisée en France par Citroën entre 1955 et 1975.
Elle doit son design singulier au sculpteur Italien Flaminio Bertoni.
Quand elle fut présentée pour la première fois au grand public au salon de l'automobile en 1955, tous les regards se tournèrent vers elle, son design et ses nombreux atouts technologiques la démarquant de toutes les autres voitures.
Et pour cause, elle est la première à être équipée de suspensions hydropneumatiques, système qui la rend plus souple et donc plus confortable. Sa ligne arrondie et si futuriste lui a valu d'être surnommée « l’Ovni ».
La DS est aussi réputée pour son grand confort : ses sièges sont si confortables que l'on se croirait dans son canapé. Ce qui a attiré les consommateurs, c'est aussi son prix. Pour le modèle de base, il fallait compter, à l'époque, 11 000 euros.
Différents modèles existent : tout d'abord la berline, qui inclut "l' ID ", le modèle de base, la DS finition pallas, la plus chère ; elle existe également en cabriolet et aussi en break, qui a d’ailleurs servi d'ambulance et de corbillard dans les années 60.
Sa beauté si singulière lui a permis d'être adoptée par le général de Gaulle qui en a fait la voiture présidentielle. Elle lui sauve la vie lors de l'attentat du Petit-Clamart.
Le 22 août 1962, un homme ouvre le feu sur la voiture, crevant deux pneus. Malgré une route trempée et déformée, la berline n'est pas partie en volte-face et a pu esquiver l'attaque, sauvant ainsi le président de la République française.
Elle est aussi apparue dans beaucoup de films notables tels que « Fantômas » avec Louis de Funès ou encore dans « Le Cerveau » avec Belmondo.
La Citroën DS est le symbole des années 60 et 70. Aujourd'hui encore, elle reste une voiture très prisée et devient de plus en plus rare et donc chère. Elle a été élue voiture de collection préférée des Français dépassant ainsi la 2CV.
Mathilde TIREL.AP 1L, quartier Ste Geneviève.
Piercing, mode d’hier et d’aujourd’hui
Le piercing, utilisé dans un souci d’esthétique, est une véritable mode dans toutes les couches de la population. Il est fabriqué généralement en acier inoxydable chirurgical. Ils peuvent prendre toutes sortes de formes.
Avant d'être un phénomène à la mode, le piercing a des origines tribales un peu partout dans le monde et provient d'époques différentes. En effet, dans bien des sociétés primitives, on a utilisé les bijoux corporels, tout comme le tatouage ou les scarifications, soit pour des raisons esthétiques, soit de manière rituelle pour affirmer son appartenance à une caste particulière.
En Occident, ces pratiques ne sont en vogue que depuis la fin des années 80. D'abord aux Etats-Unis, dans le milieu gay, puis en Europe sur certaines scènes musicales.
Maintenant, avant de vous faire un piercing, vous pourrez réfléchir à ses origines.
AH,quartier Ste-Geneviève.
Chaussettes rigolotes et pull improbable
Le CVL (Conseil de vie lycéenne) a organisé, cette année, la journée de pull improbable et de la chaussette rigolote.
Le but étant de s'habiller avec le pull et les chaussettes les plus originaux.
Un concours a été organisé, des lots étaient à gagner et deux élèves ont reçu le prix du pull le plus improbable et des chaussettes les plus rigolotes. Il s'agit d'Aliénor Fischer, 1L et de Barnabé Alexandre TS. Bravo !
Une vingtaine de personnes ont participé à ce concours et beaucoup d'autres on fait l'effort d'être dans le thème pour cette journée, c'était très sympa.
Certains professeurs ont même joué le jeu.
Thèmes divers et variés
Chaque année, des journées à thèmes sont organisées et ceux-ci sont divers et variés.
La journée anglaise où chacun fait en sorte d'imiter l'uniforme anglais est très appréciée par les lycéens et un concours est à nouveau organisé. La classe où le plus de personnes respectent le thème gagne un lot.
N’hésitez pas à venir nous proposer des idées de journées à thèmes, elles seront les bienvenues ! Prochaine journée à thème : celle du sweat !
Laurine CHATEAU,TES, quartier Ste Geneviève
