
Pour avoir un rendu optimal, mettez votre affichage à 100 % (Ctrl + 0).
Page 4
Visiter l'hémicycle permet, aux élèves de 1re agro-équipement de se familiariser et de s'imprégner de l'ambiance du Parlement européen.
Une soirée de retrouvailles pour les anciens de l'Issat
Page 5
Quentin, Fabien, Thomas et Valentin de BTS GDEA ont organisé dans le cadre des Projets d'initiative et de communication une soirée conviviale où les "anciens jeunes" ont pu échanger sur leurs parcours, leurs expériences et découvrir les transformations de leur lycée. Après une visite des nouveaux bâtiments, le groupe s'est retrouvé autour d'un repas dans une ambiance chaleureuse. Une initiative qui, on l'espère, se renouvellera !
Page 2
9 kg de miel de printemps ont été récoltés sur cette seule ruche. Pourtant, à plus grande échelle, la santé des abeilles en France est un sujet préoccupant.
Page 4
Copropriétaire et instigateur du développement du Groupe Lumain qui gère sept résidences pour personnes âgées au Québec, Alexandre Bourgeois échange avec les élèves de la filière Sapat.
Page 6
Construit sur la plage d'Utah Beach, à l’endroit même où les troupes américaines ont débarqué le 6 juin 1944 en Normandie, ce musée a permis aux élèves de 3e et de CAP de découvrir une partie de notre histoire.

N° 15 - Juin 2018 | www.issat.info |

Au secours, les abeilles meurent !
En ce moment, nous entendons beaucoup parler de la disparition des abeilles. Que faire pour les sauver et pourquoi ?
Les abeilles sont des insectes indispensables à la vie sur notre planète. Elles participent à la pollinisation, et donc à la production de nos fruits et légumes en quantité suffisante. En utilisant des pesticides, des herbicides, des insecticides dans nos champs, dans nos jardins, nous avons détruit une partie de la biodiversité, et le nombre de colonies d'abeilles diminue de manière dramatique.
Si nous continuons ainsi, les agriculteurs devront faire comme en Chine : polliniser leurs cultures à la main !
Alors, que faire ?
Chacun peut, chez lui, installer une ruche comme je l'ai fait cette année. Grâce à Monsieur Rault , mon professeur de travaux pratiques, j'ai découvert l'apiculture et c'est devenu une passion.
Avec les élèves du groupe "Élevage et apiculture", j'ai appris à contrôler l'état d'une ruche en vérifiant les cadres, à poser une hausse, à enfumer la ruche, à désoperculer et à extraire le miel grâce à un extracteur à miel, sorte de centrifugeuse. Le "virus" m'a été transmis, je me suis donc acheté une ruche Dadant 12 cadres (100 €), puis un essaim chez un apiculteur au mois de mai (100 €).Depuis, la colonie a grandi et se porte bien. J'ai posé ma hausse le 2 juin et j'espère récolter du miel fin août-début septembre.
Installez des ruches !
L'an prochain, je vais en installer une chez mes grands-parents qui ont un potager bio. Car l'abeille est généreuse : elle produit du miel en quantité mais aussi du pollen, de la propolis et de la gelée royale, tous excellents pour la santé. J'ai fait ma part.
A votre tour, installez des ruches chez vous pour donner un coup de pouce à la nature. Croyez-moi, c'est passionnant !
Illiam BUNEL, 3e B
Camion, voitures... créés en recyclant
Au cours du deuxième trimestre, nous avons fabriqué des objets, à partir d'éléments de récupération, pendant le cours d'éducation socio-culturelle.
L'objectif était de nous faire réfléchir au recyclage des objets que nous n'utilisons plus. Nous avons eu l'idée de fabriquer un camion à partir de différents matériaux : du carton, un moteur électrique de jeu Lego, des crayons et du papier.
Aidé de Gabin, nous avons commencé par la réalisation de la cabine, avec le carton et le papier blanc. Puis, nous avons fabriqué la remorque avant de poser les roues et le moteur. Nous avons ensuite "habillé" le camion de papier et nous avons inscrit "Transport Coco" (comme Corentin !).
Des essieux en stylos
Le plus difficile a été de fixer les roues : nous avons essayé de ne pas abîmer la remorque. Pour tenir les axes (ou essieux) des roues, nous avons collé des morceaux de stylos en plastique qui étaient cassés. Enfin, nous avons installé une pile et le moteur a pu fonctionner : notre camion roule, nous avons fait une démonstration à notre professeure, Madame Halna, et aux autres élèves.
Ce que nous avons vraiment apprécié, c'était le travail en groupe, de concrétiser notre projet en allant jusqu'au bout.
Chaque jeudi, pendant deux heures, nous avons réfléchi, discuté, bricolé et bien rigolé !
Les autres élèves ont aussi travaillé sur un projet, en utilisant différents matériaux : des cannettes pour faire des cendriers, un stade de foot ; des pots de fleurs pour faire des bonshommes ; des bouchons pour faire une tronçonneuse, une bouteille pour réaliser un bateau qui peut voguer.
Tous les élèves se sont investis dans cette activité parce que nous pouvions bouger, décompresser entre les cours et, surtout, nous avons utilisé notre imagination et nos connaissances en bricolage.
Prendre confiance en soi, ne pas baisser les bras quand on a des difficultés, aller jusqu'au bout : chacun a pu acquérir toutes ou certaines de ces qualités ... tout cela dans la bonne humeur.
Flavien ROUXEL
et Corentin GOURET. 3e A
Découverte du patrimoine irlandais
Fish and chips, Jeany Johnston Tall Ship et Guinness au programme des premières.
Lors du stage collectif, la classe de 1re Labo et des élèves de Sapat se sont rendus à Dublin, capitale irlandaise. Le voyage a duré six jours. L'objectif était d'en découvrir sa culture : visite de la ville, goûter les spécialités culinaires, arpenter une galerie d'art et des musées comme le Jeanie Johnston Tall Ship and Famine Museum, musée-bateau racontant la migration de masse durant la grande famine vers l'Amérique. Enfin, comment évoquer l'Irlande sans parler de la Guinness. Nous nous sommes rendus au musée de l'entreprise : histoire de la bière, processus de fabrication et espaces de dégustation - même si nous n'avons pas pu y goûter, âge minimum oblige !
Un voyage enrichissant qui nous donne envie de découvrir le reste de l'île.
E. Aubry, J. Madec, G. Leprêtre Labo 1
Enquête sur la médiathèque de Peillac
En "Action professionnelle", la médiathèque de Peillac nous a sollicitées pour réaliser une enquête auprès de la population de la commune.
Dans le cadre du module "Action professionnelle", nous devons étudier les besoins des structures du territoire. La médiathèque de Peillac souhaitait connaître les attentes de la population. Nous sommes donc allées à la rencontre des habitants. Il a fallu réaliser le questionnaire, rendre le formulaire attrayant et le diffuser auprès des habitants. Nous nous sommes rendues sur le marché hebdomadaire et à la sortie des écoles. Toutes ces rencontres nous ont permis de récolter des avis qui pourront améliorer les services proposés.
Les propositions résultants de cette enquête ont ont été présentées devant les salariées, bénévoles et élus de la commune.
Aliénor Bernard de Courville, Mathilde Métayer
et Auxane Delaunay
Terminale Sapat 1
Nicolas travaille au Manitoba !
Nicolas a suivi une formation dans notre établissement de la 3e au bac professionnel avec un stage au Canada. Pascal, qui a toujours des liens avec Nicolas, l'a interviewé afin de nous présenter son parcours outre-Atlantique.
« Je suis parti depuis quatre ans au Manitoba (province de l'Ouest du Canada, situé dans la région des prairies). J’ai d’abord effectué trois mois de stage dans une ferme céréalière, puis je suis retourné après mon BTS dans la même exploitation pour deux ans avec un permis de travail.
Depuis, je suis devenu résident permanent du Canada et j'ai ainsi pu changer d’exploitation. J'ai fait ce choix car c'était un rêve. Depuis tout petit, j'avais envie de partir voir l’Amérique, car j’aime beaucoup les grands espaces. Mon rêve s'est réalisé, Je fais plein de choses, je travaille beaucoup, mais je m’amuse aussi beaucoup pendant mes temps libres. Depuis que nous nous sommes rencontrés, j’ai quitté le monde agricole pour faire plus de mécanique dans une compagnie de travaux publics.
J'ai de nouveaux projets, je suis toujours entrain de rêver à quelque chose. J’ai rencontré ma copine Kaitlin il y a un an et demi. J’aimerais me marier et avoir une grande maison avec elle.
Mon second projet est de devenir un mécanicien professionnel, pour réparer des machines un peu partout au Manitoba. Pour cela je vais devoir retourner à l’école.
J’ai aussi un projet de faire une saison de camion sur les routes de glace au nord du Canada. »
Pascal.
Rencontre québécoise avec Lumain
Gestionnaire de sept résidences pour personnes âgées au Québec, le groupe Lumain souhaite recruter en France.
Mardi 15 mai, Alexandre Bourgeois, copropriétaire, Patricia Couture, directrice des ressources humaines,et Catherine Thomas, française d'origine et directrice de résidences, ont présenté legroupe Lumain. Le Québec connaît un manque de personnel dans la filière service, or le Groupe soigne son recrutement avec logement et parcours de formation en interne. Une véritable opportunité pour de jeunes français. Certaines ne s'y sont pas trompées. Après leur Bac, deux élèves formées à l'Issat prennent la direction de Montréal pour vivre une expérience culturelle et professionnelle unique.
H. Chaplais,enseignant ESC
Visite du Parlement européen
Les élèves de 1re Agroéquipement de l’Issat de Redon, ont eu la chance d'être accueillis à Bruxelles sur l'esplanade Simone-Veil (première femme présidente élue au suffrage universel direct) par deux assistants du député européen Jean Arthuis, afin de visiter le Parlement européen.
750 députés composent le Parlement, présidé par l'Italien Antonio Tajani. Une grande majorité des débats se déroule à Bruxelles, mais 4 jours par mois, les débats se passent à Strasbourg.
La France compte 74 députés, ce nombre sera augmenté suite au départ du Royaume-Uni. 28 pays sont représentés, mais seules 24 langues sont officielles Nous avons pu assister à un débat dans l'hémicycle. Malheureusement, nous n’avons pu rencontrer M. Arthuis, mais nous avons appris qu’il a été à la base de la mobilité des apprentis en créant Erasmus +. C'est un point très positif pour les jeunes, cela leur permet de se former à l'étranger. Nous avons été étonnés du flux de personnes sur ce site qui voit circuler entre 8 000 et 12 000 personnes par jour.
William Rigaud1re Agroéquipement
Agroéquipement : la sécurité avant tout !
Diminuer les risques au travail au sein des exploitations et des entreprises de travaux est un enjeu majeur.
Nous sommes tous concernés par les risques professionnels. Pour cette action de prévention nous sommes parti de notre expérience personnelle : une flèche de la remorque qui cède et qui peut entraîner des dommages corporels, l'utilisation de produits phytopharmaceutiques sans protection, le protège-cardan d'une herse qui n'est pas fonctionnel.
C'est pour ces raisons, que nous avons choisi de réaliser une action de prévention dans le cadre du Projet d'initiative et de Communication. Le lundi 9 avril, nous avons invité Lucie Moreau, conseillère prévention de la MSA Portes de Bretagne, pour sensibiliser les classes de 2nd et de 1re agroéquipement. Nous avons diffusé deux diaporamas et un échange avec les élèves a été effectué.
Nous avons insisté sur les raisons des risques professionnels : les mauvaises habitudes, les négligences sur les protections des professionnels et la mauvaise connaissance des risques encourus. Enfin, nous avons insisté sur les différentes solutions : prendre conscience et anticiper les risques, bien savoir si ce que l'on fait est en sécurité, suivre des formations adaptées pour se mettre à jour.Le public très attentif au début de l'intervention s'est moins impliqué en 2e partie. Pour nous, l'objectif reste atteint. La sensibilisation aux risques doit intervenir en amont dès le plus jeune âge et, de manière curative durant la vie active.
F. Bourhis, M. Stevant, A. Fume, BTS GDEA
Retrouvailles entre anciens élèves
Près de 100 anciens élèves et professeurs se sont retrouvés quelques années après leur formation à l'Issat. "Ouest France" a couvert l'événement.
Dans le cadre du Projet d'initiative et de communication (PIC), nous avons choisi d'organiser une réunion des anciens élèves ainsi que des anciens professeurs de L'Issatdepuis 2005 concernant les filières Agroéquipements et Elevage.
Trois cents invitations
Nous avons envoyé 300 invitations. 85 personnes y ont répondu positivement. Le but de notre action était de réunir le maximum d''élèves pour échanger sur leurs parcours professionnel dans un climat convivial. La soirée a débuté par une visite des nouveaux locaux, ce qui a particulièrement impressionné un grand nombre de personnes du fait de l'amélioration des bâtiments en cinq ans.
Les convives, de différents âges se sont ensuite retrouvés autour d'un pot et du buffet préparé par Convivio. Ce temps a permis de nombreux échanges. Nous avions contacté la presse pour couvrir cet événement.
La journaliste Alix Demaison, de "Ouest-France", a brossé six portraits détaillés sur la page complète consacrée à Redon. Intitulé : "Que réserve le monde agricole aux jeunes formés ?", l'article rend compte de l'insertion des anciens de l'Issat. L'un est devenu commercial en semences, un autre conducteur de travaux ou encore, après des « moments d'hésitation », un ancien élève souhaite s'installer « dans une exploitation en place et pas en individuel ».Cet événement a contribué à produire une bonne image du lycée.
Q. Le Foll, F. Le Breton,
T. Le Mouellic, V. Rio
BTS GDEA
Un débarquement en Normandie !
Avec les apprentis 2ème année, les élèves de 3e sont allés visiter la Normandie : région riche pour notre programme d'histoire.
Notre première journée s'est déroulée dans la baie du Mont-Saint-Michel. Un guide nous a expliqués que ce lieu est un espace protégé pour la faune et la flore. Des moutons de prés-salés paissent dans ces polders, ils seront servis dans les restaurants gastronomiques. Après la visite du musée, nous avons traversé la baie, mais le brouillard nous a empêchés de voir le Mont. Ce moment a été éprouvant car l'eau était froide et nous arrivait pratiquement à la taille.
Le soir, un accident s'est produit. Christine, notre accompagnatrice, est tombée en descendant du car et s'est blessée sérieusement, elle a dû être conduite à l'hôpital.
Nous avons regagné notre hébergement. Nous avions l'impression d'être dans les cabines d'un bateau avec vue sur mer. Nous avons poursuivi notre séjour en direction des plages du débarquement. Nous avons découvert le musée du débarquement où différents véhicules étaient présentés : avion, tanks,voitures, barges ...
Cloches et cuivre
Une guide nous a expliqué le déroulement du débarquement du 6 juin 1944 puis nous a fait visionner un film sur les préparatifs de l'opération Overlord. Les pays alliés étaient indiqués ainsi que le nom des différentes plages : Utah, Omaha...
Le dernier jour, nous nous sommes rendus à Villedieu-les Poêles pour découvrir une des dernières fabriques artisanales en France nous montrant comment sont fabriquées les cloches, notamment pour les églises. Cette visite a été une découverte, car nous n'imaginions pas ce type de fabrication. Cette visite a été complétée, dans la même ville, par la fabrication d'ustensiles de cuisine en cuivre où nous avons vu une projection, mais aussi le travail des ouvriers.
Dans l'ensemble, ce voyage a été un peu court, mais très intensif et apprécié par la majorité des jeunes.
Lucas Le Fouler
et Aurélien Chevrier 3e A
Fish and chips in Jersey
Le 3 avril dernier, la classe de CAP-Métier de l’agriculture s’est rendue à Jersey afin de valider le CCF (Contrôle en cours de formation) d’Anglais. La finalité de ce séjour étant de passer un oral en Anglais. Les jeunes ont eu pour objectif de « se baigner » dans la langue de Shakespeare.
Dès quatre heures et demie du matin tout le monde sur le pont ! Nous prenons le bus pour Saint-Malo où nous attend le ferry. Passage de douane effectué, la traversée s’annonce calme, seul Tony est resté scotché à son siège, passant du blanc au jaune tout en avalant des bonbons à la menthe.
La découverte
Huit heures (heure locale, eh oui on recule d’une heure à Jersey), nous arrivons enfin en terre inconnue ! Lors du trajet vers l’auberge de jeunesse, nous découvrons un paysage de ville, de bord de mer, très propre, des voitures de luxe, de très belles maisons et surtout des routes terriblement étroites.
Des paysages magnifiques, des visites enrichissantes ! Que ce soit Mélissa, qui a préféré les Jersey cow (seule race de vaches laitières présente sur l’île), ou Gwénolé, qui a plus apprécié les visites des concessions John Deere et Massey Ferguson, tout le monde s’accorde pour dire que nous avons rencontré des personnes passionnées par leur métier. Même Jean, qui nous a accompagnés pour une randonnée pédestre ayant pour thème l’histoire de Jersey, nous a transmis l'amour de son île.
« On s’est senti à l’aise avec les gens, ça nous a donné envie de voyager ».
Lors de ce séjour, trop court pour la majorité d’entre nous, nous avons pu apprécier la bonne ambiance dans le groupe : "C’était sympa on a appris à se connaître en dehors du lycée" et puis surtout on a pu « apprendre des trucs de la vie des gens d’ici », précise Jonathan.
En effet, nous avons découvert des habitudes alimentaires, des modes de vie différents des nôtres... Nous avons essayé de comprendre comment vivaient des « îliens ». D’ailleurs, le rallye photo que nous avons fait à la façon « Pekin express » nous a permis d’aller au contact direct des habitants.
Un voyage fort agréable fait de mésaventures pour certains et de découvertes pour d’autres. En tout cas, quatre jours de bons moments.
Les élèves de CFA
1ère année
Vermine, Léo, le village et le dragon
IL ETAIT UNE FOIS Léo, un petit garçon qui vivait dans le village de « Dragon Caché ». On raconte que sous ce village, un énorme œuf est enterré.
Un jour, notre petit héros décide de partir à l'aventure afin de découvrir la vérité sur ces mystérieuses légendes en laissant simplement une lettre à ses parents leur racontant qu’il reviendrait une fois le vaste monde découvert.
Sur son chemin, il rencontre une petite sorcière rousse nommée Vermine qui décide de l’aider. Ils se mettent en route ensemble, tombent sur une épée plus lourde que 1 000 tonnes plantée dans le sol, à côté un panneau « ne pas toucher ». Bravant l’interdit, ils essayent tous les deux de la sortir mais impossible. Vermine sort sa baguette de son chapeau et d’un coup d’Abracadabra, une substance magique entoure l’épée. Léo réessaye et réussit à soulever l’épée. Il est si heureux ! La Terre se met alors à trembler et un lutin apparaît, en hurlant qu’il est le gardien de l’épée et que Léo a déclenché la malédiction : l’œuf va exploser et son village va être détruit ! A moins de… tuer le dragon.
Le sortilège de l'anneau d'or
Seulement pour le combattre, il faut un anneau d’or que le lutin confie à Léo.
Celui qui utilise cet anneau devient prisonnier et gardien de l’épée. Sur le balai de Vermine, ils s'envolent vers le dragon. Devant l’énorme créature, Vermine propose de se sacrifier mais Léo sait que tout est de sa faute et va combattre le dragon. Après un rude combat, Léo remporte la bataille et sauve son village. D’un coup d’éclair, il est absorbé, jusqu’à ce qu’un autre courageux ose voler l’épée.La sorcière se souviendra de ne plus jamais voler.
Kikikarabi, mon histoire est finie pour aujourd’hui.
Anaïs FOURNIER,
Océane OLLIVIER,
Amélie GICQUEL
Sept bonnes raisons d’être en CAP Sapver
Le CAP Sapver signifie : Services aux personnes et vente en espace rural : de la pratique et du concret !
1. Des stages
Durant nos deux années, nous avons effectué 12 semaines de stage dont 6 en service, et 6 en vente. Pendant et après ces stages, nous sommes bien suivis par nos professeurs.
2. Des matières professionnelles
Nous avons beaucoup de travaux pratiques , notamment en Santé, où l’on apprend à s'occuper des personnes en structures, contrairement au cours "publics" qui permet d'apprendre la théorie, la connaissance des usagers liée à la pratique.
3. Petit effectif en classe de CAP
Un des gros atouts du CAP est l’effectif de classe qui est plus petit que celui des Bac Pro. Cela permet une proximité entre élèves et enseignants.
4. Vente ou Service ? Pas besoin de choisir !
Grâce à ce CAP Sapver , nous acquérons diverses compétences : en vente et en aide à la personne. Le niveau est accessible à tous même sans brevet et nous pouvons travailler directement après le diplôme.
5. Attestation de baby-sitter
En deuxième année, on apprend à s'occuper des enfants à domicile et veiller à leur sécurité. A la fin, si nous obtenons la moyenne lors de nos CCF (contrôle continu), nous obtenons une attestation de baby-sitter.
6. L’internat en CAP
Nous avons un internat. Ceci nous aide à mieux travailler pendant les heures d’étude encadrées par les éducateurs. Lors des temps libres, des activités sont proposées, parfois des veillées sont organisées !
7. Dernière promo à Saint-Jacut !
Les CAP2 ont l’honneur et la chance d’être la dernière promotion à effectuer leurs deux années à Saint-Jacut. L’année prochaine, plus personne n'y sera : les élèves de 1re année termineront leur CAP à Redon.
Les élèves de CAP 2 Sapver
