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N° 2 - Décembre 2017 | http://ecolesaintcyr.fr/ | 14076 |
Du comité de rédaction à l'impression
Les rotatives : des outils performants pour respecter les délais
À la suite de la visite des locaux d'Ouest France, nous avons suivi l'impression d'un journal, depuis la mise en marche des rotatives jusqu’à son empaquetage.
Les rotatives, d’une hauteur de 11 mètres et d’une longueur de 40 mètres, peuvent imprimer jusqu’à 24 journaux par seconde. Le papier est conservé dans une salle aux conditions climatiques spécifiques afin de diminuer les risques d’incendie. Il se présente sous la forme de grosses bobines d’environ 3 tonnes, stockées dans une salle chauffée pour déshumidifier le papier et éviter la déchirure. Pour finir, les journaux sont empaquetés, triés par ville et chargés dans des camions pour être livrés dans les points de distribution. Les Cyr’@uteurs ont ainsi découvert d’autres facettes plus techniques et industrielles du milieu du journalisme.
D. Montaufier, V. Laroye, K.Kulig, E. Triffault
Au cœur de l'un des plus grands médias
Le comité de rédaction d'Ouest France : une routine bien huilée
Du 26 au 29 septembre, les Cyr’@uteurs se sont rendus à Rennes et ont eu l’opportunité d’entrer dans les locaux d'Ouest France et de découvrir le milieu du journalisme et l’histoire de ce quotidien.
L'éthique Ouest France
Ouest France est un quotidien régional français, édité à Rennes et vendu dans les régions de l’ouest de la France. Il est depuis 1975, le premier quotidien français en termes de diffusion avec en moyenne 693.794 exemplaires diffusés chaque jour en 2016. Ouest France est un journal engagé, attaché aux valeurs de la démocratie, des institutions et de la résistance : le comité de rédaction s’est mobilisé pendant 50 ans pour obtenir l’abolition de la peine de mort. Sa devise : justice et liberté. Ses commandements : dire sans nuire, montrer sans choquer, dénoncer sans condamner et témoigner sans agresser.
Trois comités de rédaction par jour
11h45 : Les journalistes reviennent sur leurs articles de l’édition du jour, critiquent et discutent les points à améliorer. Cette réunion permet de commencer la journée et définir les lignes directrices du journal du lendemain.
14h45 : Les journalistes présentent les articles qu’ils ont rédigés. L’objectif est de choisir ce qui va paraître le lendemain. Cette réunion est souvent la plus animée puisque les journalistes doivent défendre leur encart sur le chemin de fer du journal. Cette réunion fait parfois des déçus car des articles peuvent être mis en attente ou déclassés au profit d’une actualité plus brûlante.
17h45 : C’est à cette réunion que les Cyr’@uteurs ont pu assister. La dernière concertation de la journée est primordiale. Les journalistes y finalisent l’édition du lendemain et ils réfléchissent déjà à l‘édition du surlendemain. À cette occasion, le comité des Cyr’@uteurs s’est vu dévoiler les gros titres de l’édition du 28 septembre avant sa sortie - évidemment au moment où vous lisez cet article, ce n’est plus d’actualité mais c’est grisant de connaître les actualités un jour avant tout le monde !
Cette rencontre nous a fait vivre le quotidien du journal en nous plaçant au cœur de sa ligne éditoriale. À Ouest France, tous les sujets sont abordés, qu'ils soient politiques, religieux, économiques ou qu'ils aient trait au sport et c’est cet éclectisme qui intéresse le lecteur. Même si les Cyr’@uteurs n’ont pas les même moyens ni la même expérience de journalisme, ils tenteront de suivre cet exemple !
D. Montaufier, V. Laroye, K. Kulig, E. Triffault
Voir le Mont St-Michel…
L’histoire du Mont St Michel commence en 708. Au cours de notre visite, en septembre 2017, le cloître de l’Abbaye était en restauration. Stessy, un jeune restaurateur d’art qui travaillait sur les colonnes disposées parallèlement à l'allée, nous a décrit sa mission : équipé d’une spatule, d’une éponge ainsi que d'un produit spécifique, il s'assure de nettoyer et de redonner leur couleur d’origine à ces quelques 215 colonnes, un travail long et minutieux ! Un tel chantier n’avait pas été entrepris depuis la reconstruction au XIX° siècle. Nous avons ainsi pu nous rendre compte de la difficulté du métier de restaurateur d’art, qui est parfois long et épuisant.
Quelques élèves de seconde générale ont accepté de nous livrer leurs impressions :
- Elise : « C’était intéressant, enrichissant. Je pense y retourner mais dans quelques années. »
- Dorian : « La dernière fois que j'y suis allé, il n'y avait pas l'archange, c’était il y a 2 ans, maintenant que j'ai pu voir la statue, j'ai trouvé ça magnifique. La traversée était longue mais amusante.
- Louis : « L'architecture était splendide et je pense y retourner une prochaine fois avec la navette car la traversée était trop longue et difficile mais sympa. » H. Mirghane, G. Bokabo, M. Laplaine
Bayard Presse à livre ouvert
Durant le séjour destiné aux élèves des lycées Saint-Cyr à Rennes, nous avons eu la chance de visiter les locaux de Bayard Presse créés en 1997 par la maison d’édition Bayard, elle-même fondée en 1873. A cette époque elle proposait différents journaux chrétiens. Aujourd’hui, Bayard propose des magazines pour tous les âges allant des tous petits avec « J’aime lire » ou encore « Okapi » jusqu’aux seniors avec « Notre temps ».
Trois métiers pour éditer
Cette visite a été l’occasion de prendre connaissance des différents métiers nécessaires à l’édition de journaux et de livres. Les journalistes rédacteurs analysent, critiquent et rédigent des articles sur divers sujets. Les maquettistes, eux, travaillent la mise en page des journaux à l’aide de logiciels informatiques (Photoshop, In Design, Illustrator). Ce sont les développeurs qui se chargent de la version numérique des articles pour Internet et qui gèrent également l’application mobile.
Exigence de fond et de forme
Mais au-delà des compétences et des obligations techniques, chaque intervenant nous a précisé que la constitution d’un journal nécessite de respecter plusieurs règles : le nombre de signes selon le sujet traité, le respect des délais, la prise en compte des droits d’auteur mais aussi la vérification des sources.
T. Beguin, H. Ferreira, L. Hardy
Lumières au Planétarium de Rennes
Un planétarium est un lieu dédié à la découverte de l’espace à l’aide de projections sur un écran en forme de dôme. Celui du musée de Bretagne, à l’espace des sciences, propose plusieurs programmes sur différents thèmes dont celui s'intitulant « 1, 2, 3 Soleil » qui rappelle les connaissances vues au collège. En effet, projeté au-dessus des visiteurs, le système solaire est présenté par une animatrice. Ce spectacle, parfois étourdissant, est surprenant. On se croirait une nuit d’été sous un ciel couvert d’étoiles.
E. Girault, E. Delf, T. Fualdès
Détour depuis Rennes...
Avec l'aide de Virginie, notre guide, nous avons entamé notre marche pieds nus pour traverser certains fleuves qui passent dans la baie du Mont Saint Michel, comme le Couesnon. Elle nous a fait découvrir la faune et la flore présentes dans la baie : de curieux coquillages hermaphrodites ou encore la salicorne, qui recouvre la lande. Le sol est principalement composé de sable, d’eau mais aussi d'argile. Certains se sont pris au jeu des sables mouvants. 2h30 ont été nécessaires pour rejoindre le Mont depuis le village de Vains-St Léonard. Ôtez vos chaussures et optez pour une traversée guidée pour découvrir ce monument emblématique !
L. Pillet, V. Cyrile
À la recherche du palais breton...
Le centre historique de Rennes : du Moyen Age à la Renaissance.
Les maisons en colombage à pans de bois colorés, les rues pavées, l’architecture néo-classique du 17ème siècle de la cathédrale St-Pierre, l’Hôtel de Ville, le Parlement de Bretagne ou encore l’opéra nous ont offert un véritable voyage dans le temps. Malgré les inondations de la Vilaine, le grand incendie qui embrasa la ville en 1720 et les manifestations des indépendantistes, la ville a toujours su se relever pour offrir ce qu’elle a de meilleur : ses galettes de sarrasin et ses palets bretons !
A. Colas-R., M. Jallet
Plongée artistique
En septembre, l’exposition du Fonds Régional d'Art Contemporain était consacrée aux photographies et installations d'un pêcheur breton : Nicolas Floc'h. Nous nous sommes laissés transporter dans cet univers, que l’artiste a résumé sous le titre « Glaz », mot breton qui renvoie à la couleur de l'eau, indéfinissable, entre le bleu et le vert. Son but est de déployer quelque chose de productif à partir des ressources de la mer. Une des façons de renvoyer expression artistique et activité productive consiste à recenser les formes de récifs artificiels existant dans le monde et de les reproduire. Ces « fish paradise » invitent à la contemplation et à la réflexion sur nos propres modes de vie.
C. Branchereau, N. Gershon, JB Pajon
Les Cyr'Profs au tableau d'honneur
Interviews exclusives des anciens comme des nouveaux
Les nouveaux professeurs nous livrent leurs motivations :
-Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? Avez-vous toujours rêvé d'être professeur ?
« N'ayant jamais rêvé de devenir princesse étant toute petite, je devais trouver autre chose ! C'est un professeur d'Histoire-Géographie qui m'a donné l'envie d'approfondir cette matière que j'affectionne depuis longtemps. Pour répondre à votre question, l'enseignement, quel que soit le niveau, faisait donc partie de mes objectifs » a répondu Mme Lupi, professeur d'histoire-géographie.
-Pensez-vous que vous allez rester professeur toute votre vie ?
« Je ferai ce métier jusqu'au bout, oui, à condition que les élèves ne m'aient pas "usé" d'ici là » précise M.Henry, Professeur de Physique-Chimie, tandis que M. Trompesance, professeur de Français, affirme : « Non, je ne pense pas être professeur toute ma vie, j'adore découvrir de nouveaux métiers ».
-Trouvez-vous votre métier répétitif ?
Sur ce point, tous sont unanimes : « Ce métier n'est pas vraiment répétitif puisque les classes et les élèves sont tous différents et les programmes changent plus ou moins chaque année. Toutefois, on revient souvent sur les mêmes points ».
-Avez-vous pratiqué un autre métier avant d'être professeur ?
Des métiers comme ambulancier, pâtissier, menuisier, barman ont été cités. Certains ont travaillé dans le domaine de la recherche en chimie thérapeutique et même dans celui des fouilles archéologiques.
Nous laissons à présent la parole aux anciens professeurs :
-Regrettez-vous votre ancien métier ? Si oui, pourquoi ?
« Bien sûr que je regrette mon métier car on ne "gomme" pas 39 années de présence devant les élèves sans que cela crée une impression de "manque". De surcroît, 39 années passées à Saint-Cyr : un vrai record de longévité. Avec mon métier, je regrette forcément aussi ceux à qui je le destinais : les élèves » assure M. Pauvrehomme, ancien professeur de Français.
-Et votre temps libre ?
« Aujourd'hui je peux me consacrer davantage à ma famille et à des loisirs comme la marche, la lecture ou autres. J’ai quelques projets, mais rien de précis pour l'instant » conclut Mme Zeller, ancienne professeur de Français.
A. Genet, A. Bigot, C. Plisson
Enfin une formule snack pour le foyer !
Depuis le 13 novembre, le snack des lycéens propose pizzas, beignets, sandwichs et plats chauds
Le snack du lycée St-Cyr a ouvert ses portes le 13 novembre et nous propose une formule « déjeuner » sur deux jours de la semaine. Les prix, raisonnables, permettent ensuite de financer le mobilier, le bal de fin d'année et de faire travailler les artisans locaux comme la boulangerie Banette du Sacré-Cœur. Cette nouveauté n'est pas réservée qu'aux externes.
Deux formules au choix
Sur commande et à l'avance, on a le choix entre la formule à 5 € qui nous offre un plat, un dessert et une boisson et la formule à 4 euros pour un plat ou un dessert plus une boisson. Des plats chauds comme des croque-monsieur ou des sandwichs poulet-crudités, jambon-beurre ou fromage de chèvre, le choix s'avère pléthorique et est différent chaque jour. Le menu peut convenir aux élèves qui ne mangent pas de porc ou qui sont végétariens.
Une machine à café bientôt à disposition
De plus, une machine à café sera à notre disposition à partir du mois de décembre. Cela nous permettra de nous réchauffer au moment des rigueurs de l'hiver. Si le snack connaît un succès durable dans quelques mois, un nombre moyen de repas pourra y être pris et ainsi permettre de commander sur place le jour même.
Ce sera encore plus d'autonomie et de liberté pour les lycéens !
E. Delf, E. Girault, M. Chemin, K. Diallo, A. Guillard
Brèves de lycées
-Intégration d'Alexandra (de Melbourne-Australie) en classe de 1ère S du 02 décembre 2017 au 14 janvier 2018.
-Projet solidaire « Pour Kungur » : échange de carte de voeux entre les élèves de 6e et 5e du collège Saint-Cyr et d'enfants de plusieurs orphelinats russes. L'opération « Bol de riz » du 30 mars 2018 fera partie de cette action de solidarité.
-Journée pédagogique des enseignants vendredi 19 janvier 2018, pas de cours pour l'ensemble des élèves du groupe scolaire St-Cyr Notre-Dame.
-Traditionnelles rifles de l'APEL (association des parents d'élèves) le weekend du 03-04 février 2018 à la salle des fêtes de Saint-Aoustrille. Une marche/fromagée est prévue en avril. Dès janvier, vente des premiers sweats à l'effigie de Saint-Cyr !
-Journées portes ouvertes du groupe scolaire Saint-Cyr Notre-Dame les samedis 17 mars et 26 mai 2018.
A l'heure espagnole de Laïa
Les terminales du baccalauréat professionnel Commerce et Accueil ont eu la chance de s'entretenir en espagnol avec les correspondants venus de Lérida qui ont passé près d'une semaine en immersion au sein des lycées Saint-Cyr. Ils ont ensuite dressé le portrait du correspondant avec lequel ils avaient échangé.
Julie et Anthony, élèves du lycée professionnel, nous livrent le portait de Laia
« Nous avons accueilli une élève espagnole dans notre classe, elle était en voyage pédagogique et était logée chez une élève du lycée général. Nous lui avons posé de nombreuses questions sur son quotidien pendant l'heure dédiée à la discussion.
Elle s'appelle Laia, a 17 ans et vit à Lérida en Espagne, elle a un frère de 22 ans. Elle aime écouter de la musique, faire du shopping et aller au cinéma. Elle ne pratique aucun sport et son équipe de football préférée est le FC Barcelone. Elle connaît quelques artistes français comme Black M ou Indila.
Habituellement, Laia se lève à 7h, commence les cours à 8h et les termine à 15h. Elle est libre de faire des activités personnelles jusqu'à 22h, ensuite elle mange puis elle se couche généralement tard. Elle utilise les réseaux sociaux comme Instagram ou Facebook. Laia a déjà visité l'Italie et elle peut à présent rajouter la France.
V. Cyrile, L. Pillet
Santa Lucia's Day
The tradition is celebrated in Sweden on the 13th December when it is dark outside. Santa Lucia's Day is a way to light up the darkness and honor Santa Lucia.
Early in the morning, pupils make a show. The girls have sparkles in their hair and hold lighted candles whereas the boys wear a big white hat ; both wear white dresses. All types of entertainments are presented such as solos, duets and the whole choir singing.
The whole school eats gingerbread and saffron bread after the show. Everybody takes part regardless of their religion since it is a question of celebrating something together.
A. Atle
Toutes les routes mènent à Lérida
Cette année, les élèves des lycées Saint-Cyr ont accueilli de jeunes espagnols. Un échange a été mis en place grâce à la Dareic, l'organisation responsable des échanges multinationaux au sein de l'Education Nationale qui nous a indiqué un établissement privé espagnol : « Episcopal ». Les premiers contacts ont été établis via le réseau social Skype. Ainsi, très vite, des liens ont pu être créés et les élèves de Saint Cyr participant à ce projet sont partis à Lérida, durant le mois d’avril 2017. La ville de Lérida a été choisie au hasard, sa position géographique par rapport à la France n’a pas été un critère de sélection ; Lérida se situe à 130 kilomètres de Barcelone. Ce partenariat est en partie financé par Trans'Europe, une aide mise en place par l’Union européenne. Afin de renforcer son ouverture sur l'Europe, Saint-Cyr aimerait, à terme, entretenir 3 partenariats avec : un pays anglophone, l’Allemagne et l’Espagne, pour une expérience européenne riche et une ouverture aux cultures étrangères.
Le patrimoine régional comme lieu de partage
Ces jeunes espagnols sont venus de Catalogne, de Lérida (« Lleida » en Catalan, « Lérida » en espagnol) début septembre. Au terme de leurs 12 heures de voyage en bus, nous les avons accueillis au foyer des lycéens, pour certains c’était des retrouvailles très attendues et pour d'autres une découverte totale et pour autant, tout aussi attendue. Ils ont donc passé leur première nuit dans le Berry. Chaque élève français participant au projet a accueilli un correspondant chez lui. Le lendemain, la mairie d'Issoudun leur a ouvert ses portes afin de leur présenter la salle des mariages et la Tour Blanche, monument emblématique d'Issoudun. Les activités organisées autour de leur séjour nous ont donné l’opportunité de faire plus ample connaissance : déjeuner convivial dans le parc François Mitterrand, partie de géocatching à travers Issoudun, initiation au diplôme de secourisme PSC1, et découverte de la ville de Bourges et de son patrimoine, dont sa Cathédrale et le palais Jacques Cœur. La visite du château de Chambord, munis d’un HistoPad, une tablette tactile interactive pour remonter le temps et voir le château tel qu’il était à l'époque de François Ier, a clôturé le séjour. Depuis lors, les jeunes français sont en contact permanent avec leurs homologues hispaniques via les réseaux sociaux en attendant une prochaine rencontre !
L. Pillet, V. Cyrile
Jeu vidéo : Soldats Inconnus (Ubisoft)
Le 25 juin 2014 ,Ubisoft Montpellier a sorti le jeu « Soldats inconnus : Mémoire de la Grande guerre » à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale. L'historien Alexandre Lafon a prêté main forte aux designers pour un jeu proche de la réalité historique.
Quand l'histoire se mêle à la fiction
« Soldats inconnus » mêle avec brio histoire et jeu vidéo, avec son genre énigmatique et historique ainsi que son design fidèle. Couplé à son style bande dessinée nous nous retrouvons dans un univers d'un réalisme frappant. « Soldats inconnus » nous propose d'incarner quatre protagonistes différents dont les destins se croisent. Il aborde la Grande Guerre, un sujet rarement exploré dans le milieu des jeux vidéo ludiques. C’est un jeu rempli de détails sur la Grande Guerre, accompagné d’un design sonore impeccable. Avec son scénario touchant basé sur les lettres de correspondance des soldats durant la guerre nous obtenons un jeu émouvant et réaliste : un incontournable pour Noël…
A. Chaput, H. Ferreira
Noël dans le monde
Célébration de Noël, entre la Chine et l'Europe...
All I want for Christmas is...