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Le Sacré-cœur de Nantes a 50 ans
S'engager - Lire page 3
Vers de nouveaux modèles !
L'oeno Rando avec Charles-Péguy
Innover - Lire page 7
Editorial
Dans un monde qui se transforme en permanence et où les métiers évoluent, se créent, se transforment voire disparaissent, les enjeux d'intégration des jeunes sont plus que présents.
Ces nouvelles générations doivent acquérir des compétences multiples et multiformes. Certaines axées sur des savoir- faire qu'ils expérimentent. D'autres développent leurs capacités d'analyse et leur esprit critique... D'autres enfin valorisent les potentiels de créativité et d'imagination qui leur seront nécessaires pour inventer et s'adapter tout au long de leur vie...
L'école, l'enseignement supérieur en particulier, ne doit plus seulement former les futurs acteurs du monde du travail ; elle doit former l'individu pour qu'il puisse s'adapter aux changements multiples qu'il vivra tout au long de sa carrière... Elle doit apprendre à apprendre.
Elle doit inventer des nouveaux modèles de formation qui permettent de développer la capacité à innover tout en transmettant des bases solides au jeune pour se repérer dans ce monde mouvant. Acquérir souplesse et solidité à la fois. La formation doit être solide et passer par la transmission de textes, d'idées, de connaissances, de faits et d'expériences historiques sur lesquelles pourront s'appuyer les innovateurs de demain.
Les établissements du réseau s'interrogent en permanence sur ce monde en mouvement. Ils innovent, inventent et encouragent les initiatives nombreuses proposées aux étudiants.
Le comité de rédaction de CAP SUP.

N° 15 - Septembre 2018 | http://renasup-paysdelaloire.eu/ |
Rêver d’être agriculteur
Adrien Rouleau est au cœur de l’agriculture depuis tout petit car son père est agriculteur au sein du GAEC TRIMARAN.
Adrien étudie pendant six ans au lycée Saint-Clair de Derval et valide un Baccalauréat professionnel Conduite et gestion d'une exploitation agricole en 2009 puis un BTS Analyse, conduite et stratégie de l'entreprise agricole en 2011.
Adrien commence à travailler comme salarié sur deux exploitations dès septembre 2011. En 2013 il travaille au service de remplacement sur le secteur de Bain-de-Bretagne tout en réalisant les formations d’installations à la chambre d’agriculture. Il devient associé dans le GAEC familial pour avoir des responsabilités et être indépendant. Le GAEC TRIMARAN est composé de cinq associés dont son père, son oncle, son frère et un voisin. Adrien et son oncle s’occupent de l’élevage laitier, son frère et son père se chargent de l’alimentation ainsi que des cultures et le voisin gère l’atelier des vaches allaitantes. Très accueillant, le GAEC forme les nouvelles générations en acceptant des stagiaires de BTS ACSE.
Agriculture biologique et nouvelles technologies
L'exploitation agricole en agriculture biologique possède 150 vaches avec une production de 800 000 Litres de lait par an et 170 hectares de surface agricole. 70 hectares sont accessibles au troupeau. En effet, le GAEC fonctionne en système herbager et les vaches sont aux pâturage de février à novembre. Ils ont aussi 40 vaches allaitantes de race Limousine. Leur passage en production biologique s'est fait en novembre 2017. Leur système de production était déjà très proche et la crise de 2009 les a motivé à changer de système. En effet, ils pratiquaient des soins à base d'huiles essentielles depuis 12 ans pour la reproduction et les mammites. Et ils n'utilisaient plus de traitement chimique pour limiter les mauvaises herbes en passant la herse étrille, la bineuse et la houx rotative sur le maïs. Ils optimisent ces activités de désherbage grâce à un système très moderne de GPS.
Des projets
Ils souhaitent refaire les silos ou mettre en place un séchage en grange afin d'optimiser leur autosuffisance alimentaire. De plus, deux associés partent à la retraite dans les prochaines années...
Enfin, Adrien conseille aux futurs jeunes exploitants agricoles : "Découvrez d'autres système, travaillez à l'extérieur, allez voire ailleurs, à l'étranger même, avant de vous lancer dans un projet d'installation agricole".Jean-Max ROYER et
Timothée GUIOUILLIER.Étudiants en BTS1 ACSE,
lycée Saint-Clair de Derval,
www.lyceesaintclair.fr
Businet, ce n'est pas du jeu
Trois étudiantes du nouveau BTS Commerce international participent au salon BUSINET à Bilbao pour l’entreprise TIWAL, implantée à Vannes.
Le projet
Charlotte, Sarah et Lisa, trois étudiantes en première année du BTS Commerce internationalt, se sont embarquées, dans le projet BUSINET, salon réservé aux étudiants en formation de commerce, afin de promouvoir un produit de leur région. Elles ont prospecté et démarché auprès de plusieurs entreprises jusqu’à ce que TIWAL leur ouvre ses portes et accepte qu’elles prennent encharge la vente de leur bateau dans le cadre du salon.
Le salon
Seules Sarah et Lisa ont fait le voyage à Bilbao, avec leur professeur d’anglais, Monsieur Léonard. Elles ont vécu cinq jours professionnels intenses. Le dimanche matin, « Taste my country » a permis qu’elles fassent la connaissance des étudiants participant au projet, en dégustant les produits régionaux amenés par les groupes. L’après-midi ludique fut consacré à la visite de Bilbao guidée par les étudiants espagnols. Le lundi matin, elles réalisèrent un discours de vente en anglais devant des étudiants, des professeurs, et un jury. Dès l’après-midi, Sarah et Lisa se mirent au travail de prospection « sauvage » - comme elles le nomment elles-mêmes – sur le port de Bilbao, et par téléphone, dans l’objectif de trouver de potentiels clients. Elles firent de même le mardi à Santander. Mercredi fut consacré au salon, le matin pour préparer le stand de présentation du bateau et l’après-midi, pour tenir le stand et valoriser le produit. Jeudi, elles reprirent le travail de prospection et reprirent contact avec un client éventuel. Elles s’accordèrent un petit temps libre avant la soirée du dîner de clôture. Le bilan
Les trois jeunes femmes dressent un bilan positif, malgré certaines difficultés. Participer à un tel projet d’ampleur internationale libère la parole. On n’est plus dans des études de cas théoriques, mais dans la mise en pratique, et celle-ci est loin d’être facile. Cependant, elle permet d’acquérir de l’autonomie, de la confiance et par l’obligation de transmettre des compte-rendu à l’entreprise, une implication et un sérieux sans faille. Comme l’exprime Sarah : « Il faut tenter, ne pas partir défaitiste et on peut avoir de bonnes surprises ! » L’inquiétude des premiers jours laisse place à la détermination. Charlotte, dorénavant, est sûre de faire des choix plus clairs dans sa voie professionnelle.
Charlotte, Lisa, Sarah et leur enseignante, Marie FORLODOU. Lycée Notre-Dame de l'Espérance, Saint-Nazaire.
www.lycee-notredame.fr
Le lycée Sacré-Coeur : un fringuant quinquagénaire !
Notre lycée a fêté ses 50 ans. Une année à marquer d'une pierre blanche pour le lycée Sacré-Coeur de Nantes !
2018 marquera notre établissement à plus d'un égard : changement de tutelle (nous faisons désormais partie du réseau lassalien ) et anniversaire de la création du lycée. En effet, le 14 avril dernier, nous avons célébré le jubilé du Sacré-Coeur, le tout oscillant entre moments solennels de célébration et instants festifs de retrouvailles.
En tant qu'étudiants, il nous est difficile d'envisager le passé de notre établissement car il constitue uniquement notre présent. Et pourtant, le Sacré-Coeur a eu une vie avant nous, et une vie bien remplie au regard des festivités qui ont eu lieu.
Cependant, si la météo ne fut pas très généreuse, la venue de responsables institutionnels, de membres de l'ancienne et de l'actuelle tutelle, d'anciens professeurs, d'anciens étudiants et notre présence à nous, actuels "résidents" du lycée a constitué un dynamique "bouillon de culture" et a permis de brasser les expériences passées, présentes et à venir ! Soudainement, nous avons eu le sentiment d'appartenir à une communauté bien plus vaste que celle de nos promotions respectives.Une journée intense
Tout le monde a apporté sa pierre à l'édifice de cette journée si particulière : les professeurs de l'établissement, actuels et anciens, les membres de l'administration scolaire et de la direction sans nous oublier, nous, étudiants de l'établissement.
Avant même ce jour de célébration, il nous aura fallu répertorier les adresses des "anciens" (professeurs, gestionnaires, étudiants) afin de les inviter et de s'assurer de leur présence, organiser les différents temps forts de la journée (visite guidée de l'établissement par des étudiantes de BTS Tourisme, animation du stand de restauration, défilé des différents sections d'enseignement, groupe de musique, inauguration de la fresque conçue en partenariat avec des graffeurs, etc.).
La diversité au cœur Le lycée polyvalent Sacré-Cœur de Nantes a une histoire bien singulière, que cette journée anniversaire nous a permis de comprendre. Implanté dans ce que certains qualifient de "quartier sensible", il a toujours eu pour vocation de faire vivre un certain nombre de valeurs : la diversité, l'accueil, des projets ambitieux et variés.
Sa polyvalence est sa force et, ce 14 avril, nous avons pu constater la diversité qui est au cœurde notre établissement : diversité des étudiants, des professeurs mais également des partenaires.
Nous, qui sommes si nouveaux dans l'établissement, n'avions pas réellement conscience de tout cela avant les nombreux moments d'échange inter-générationnels qui furent au centre de cette journée.
L'attachement à "leur" lycée des anciens venus célébrer ses 50 ans, professeurs comme élèves, fut palpable tout au long de la journée. De notre point de vue, rencontrer les anciens étudiants nous a permis de comprendre que le Sacré-Coeur a constitué pour eux tout à la fois un lieu de formation mais surtout une passerelle vers leur avenir. Les différents visites guidées organisées pour tout ceux qui le désiraient furent l'occasion de réaliser l'histoire singulière de ce lycée implanté hors centre ville. Depuis plusieurs semaines déjà, les membres du bureau de la Vie Scolaire avaient sélectionné et affiché de nombreuses photos retraçant les prémices du lycée : de sa construction à son ouverture, jusqu'à maintenant.
Dans le couloir longeant la mythique "salle des profs", des photos de professeurs à travers les différentes époques sont venues égayer les locaux.
Vous ne serez pas surpris d'apprendre que nous avons tous pu échanger sur l'évolution des modes vestimentaires à cette occasion. Ces expositions photos désormais pérennes sont les témoins de l'histoire de notre établissement. Retrouvailles festives Les retrouvailles entre professeurs et anciens étudiants furent également un bon moyen d'envisager ce que nous deviendrons quand arrivera notre tour de quitter le Sacré-Coeur pour entrer dans la vie active.
En milieu de matinée, les différentes sections du lycée ont organisé un défilé auquel enseignants et étudiants ont activement participé, sur un mode humoristique et détendu. Il s'agissait de présenter chaque formation présente dans l'établissement à travers des saynètes et des mises en scène permettant à chacun de faire valoir la spécificité de chacune de ces voies générales, professionnelles, technologiques ainsi que celles du pôle supérieur avec les différents BTS (Tourisme, Assistant de Manager, Management des Unités Commerciales et Assistant de Gestion PME-PMI).
De plus, le groupe de musique du lycée a égayé ce défilé et pour l'occasion, les anciens membres de cette formation musicale répondirent présents à l'appel.
Plus tard dans la journée, notre chef d'établissement, Monsieur Thoiry, nous a réunis afin de nous proposer dans son discours un panorama de l'histoire de notre lycée et ses perspectives d'avenir.
Nous en avons également profité pour inaugurer officiellement les différentes fresques imaginées par certains de nos camarades qui furent soutenus dans ce projet par un collectif de talentueux graffeurs.
La troupe de théâtre de l'établissement, menée par Mme Anne Leclerc, répétait ardemment pendant ce temps-là, accueillant tous ceux qui désiraient découvrir ce dispositif mis en place depuis plusieurs années déjà.
Avec le recul, nous pouvons affirmer que les efforts de chacun pour faire de cette journée un succès ont été la hauteur des espérances.
Nous avons pu échanger de manière très libre avec nos enseignants, les anciens, adultes et étudiants, et ce dans le plaisir de nous retrouver tous ensemble.
Une journée intense pour célébrer les 50 ans de notre lycée !Le comité d'organisation
des 50 ans.Lycée du Sacré coeur, Nantes, sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
Ouihelp : créateur de services
Pierre-Emmanuel Bercegeay (Promo 2005) de la CPGE(1) du Loquidy, raconte la création de OUIHELP !
Comment est venue l’idée de créer votre entreprise ?
Pour ma part, la création d’entreprise est arrivée après plusieurs années durant lesquelles j’ai accumulé diverses expériences. Mes 2 années de classes préparatoires m’ont permis d’intégrer l’école de commerce EM Lyon. Six mois d’étude à Taïwan m’ont ouvert sur le monde, et ont débouché sur un 1er emploi à l’Inspection Générale de la Société Générale. Pendant 2 ans, j’ai réalisé des audits et effectué des missions de conseil à l’international. J’ai ensuite intégré une grande entreprise leader dans le conseil (le Boston Consulting Group), et poursuivi ma formation avec un MBA en management à l’INSEAD, entre Fontainebleau et Singapour.
A la sortie de ce parcours, j’ai ressenti le besoin de créer mon entreprise. Avec un ancien collègue du BCG, nous nous sommes lancés dans le service à la personne, en développant le secteur de l’aide à domicile pour personnes âgées. L’entreprise ouihelp (www.ouihelp.fr) était lancée sur Paris !
Quels conseils donneriez-vous à des « jeunes » qui souhaitent entreprendre ?
La création de mon entreprise ne s’est pas faite sur un coup de tête. Aucune précipitation. Une étude de marché très poussée et des rencontres convaincantes ont été nécessaires avant de me lancer. Une forte présence sur internet nous a permis de trouver très rapidement les premiers clients. La recherche de financement, de subventions et la levée de fonds auprès d’investisseurs ont été indispensables pour accélérer notre développement.
Un moment symbolique fut le recrutement de notre première salariée trois mois avant le lancement de l’entreprise !
Comment voyez-vous l’avenir de votre entreprise ?
L’Aide à domicile pour personnes âgées est un secteur où il y a d’énormes besoins. La croissance de l’entreprise est rapide et après 18 mois d’activité, l’équipe comprend aujourd’hui une vingtaine de personnes. Prochaine étape : le lancement de l’activité à Nantes et à Lyon. Jean-Paul BOISNEAU et
Jean-Yves PEGE Directeur des études des CPGE du Loquidy, Lycée Saint-Joseph du Loquidy, Nantes, www.loquidy.net
(1) : Classes préparatoires aux grandes écoles
Des mets aux mots
Le 5 décembre 2017, les étudiants de 1ère année ont participé à une journée sur le thème des valeurs de Noël, autour d’un repas et d’une réflexion sur la solidarité.
Les étudiants sont partis du lycée Notre-Dame pour se rendre au lycée hôtelier Sainte-Anne où ils ont été accueillis par les élèves de 1ère et le directeur, Monsieur Le Gal. Ils ont eu le plaisir de déguster un repas réalisé par les élèves.
Au menu, une terrine de la mer, suivie d’un traditionnel poulet-frites et pour finir, une tarte aux pommes accompagnée de spéculoos et de crème Chantilly.
Madame Hareau-Lepeltier, directrice de Notre-Dame, leur a offert un ballotin de chocolats.
Puis, les étudiants ont rallié le Carré Sainte-Anne où le Père Emmanuel les a reçus. Les trois classes ont été mélangées afin de créer des liens et de réfléchir sur la notion de solidarité.
L’après-midi s’est déroulée en quatre temps : le premier consacré à la réalisation de dessins avec deux mots représentants des valeurs de Noël, présentés à tour de rôle et affichés.
Le père Emmanuel a lu un passage de la Bible significatif du message chrétien. Pour finir, les étudiants ont écrit, chacun, un vœu pour un camarade.
Cette journée a permis aux étudiants de souder des relations fortes, de les sortir d’une journée de cours ordinaire et de prendre le temps d’une réflexion sur des notions fondamentales.
Mais, certains jeunes ont jugé l’activité de dessin un peu infantilisante ; ils auraient préféré un échange plus adulte pour mettre en valeur leur sensibilité.
La classe de BTS MUC.
Lycée Notre-Dame de l'Espérance, Saint-Nazaire.
www.lycee-notredame.fr
Pour réaliser le rêve d’Hugo
Marine, Florine, Claire et Justine ont consacré une partie de leur année de BTSA Développement et Animation des Territoires à s' investir dans un projet solidaire : réaliser le rêve d’un enfant malade. Elles se sont engagées auprès de l’association Rêves 44 pour mener des actions de collecte de fonds.
Rêves 44 est la délégation de Loire Atlantique de l'association nationale reconnue d'utilité publique. Depuis sa création en 1994, elle a pour mission d'exaucer le rêve des enfants et adolescents très gravement malades. L’objectif est de leur offrir une parenthèse enchantée pour oublier la maladie...
Les étudiantes ont ainsi organisé de nombreuses actions de décembre à mars 2018. Un rêve coûte en moyenne 1500 €. Pour récolter cette somme, elles ont organisé un stand d'emballages cadeaux au Hyper U de Vallet, une vente de crêpes sur le marché de Beaupreau en partenariat avec Biocoop. Enfin, elles ont mis en place une cagnotte en ligne sur la plateforme Leetchi et fait du démarchage téléphonique auprès d'entreprises et de fondations. Elles ont ainsi récolté 1359 euros pour cofinancer le rêve d’Hugo, 17 ans : « Aller au salon Gamescom de Cologne ».
Marine BODINEAU,
Justine GODIN, Claire PETIT, Florine PLOTEAU. BTS2 DATR. Lycée Charles Péguy. Gorges-Clisson.www.charles-peguy.net
Jardiner nature, tout le monde s'y met !
Education à l'environnement dans les magasins Gamm Vert avec les BTS Technico-Commercial et Bac Pro du lycée Charles-Péguy de Gorges-Clisson.
Jardiner nature devient un impératif.
C'est dans cet esprit que les étudiants en BTS 1 et BTS 2 Technico-Commercial Végétaux d'Ornement se sont mobilisés avec les élèves de Bac Professionnel Vente, option Produits de jardin, pour tenir des stands d'animation et d'éducation aux bonnes pratiques de jardinage du 17 au 21 avril dernier.
Huit magasins
L'enseigne des jardineries Gamm'Vert aussi s'est mobilisée : huit magasins du département de Loire-Atlantique et de Maine-et-Loire ont ainsi accueilli les étudiants et élèves pour tenir des stands et surtout conseiller les jardiniers amateurs soucieux d'en finir avec la génération chimique et de se convertir à la génération nature.
"De nombreux produits, innovants existent."
La démarche pédagogique de formation est interactive : en amont de la semaine "Jardiner au Naturel" les étudiants ont rencontré les responsables des huit magasins et aussi les techniciens, les commerciaux et fabricants de produits à base d'agents naturels. Tous ces professionnels ont été accueillis au lycée pour exposer aux étudiants les solutions naturelles et aussi les principes d'action des produits à connaître. "Il existe maintenant de nombreux produits, innovants et respectueux de l'environnement, mais il nous reste à les faire connaître au grand public pour qu'il change ses pratiques, des solutions alternatives existent et ça marche !" confie Jean-Luc Teillet, responsable de la formation professionnelle des BTS Technico-Commercial Végétaux d'Ornement. Les bonnes pratiques
Parmi les bonnes pratiques que les étudiants ont pu faire connaître : le paillage, les plantes compagnes, l'engrais organique, les greffages - donnant des plantes plus résistantes - les auxiliaires, mais aussi des produits de traitement et désherbants issus par exemple de molécules de plantes.
Alice CAVARO et
les BTS T.C. Végétaux d'Ornement. Lycée Charles Péguy,
Gorges-Clisson.
www.charles-peguy.net
Visite de poids, étudier la métallurgie
L'entreprise FMGC de Soudan est une fonderie, leader européen de matériel de lestage et de contrepoids. Visite enrichissante pour 24 étudiants de BTS1 Génie des équipements agricoles.
Jérôme Horville, Responsable process, et Céline Favreau, responsable communication, ont accueilli les étudiants et leur enseignant de sciences et machinisme, Ali Kherbouche, sur le site de 14 hectares qui emploie 400 salariés pour environ 70 corps de métiers différents. L’usine créée en 1929 tourne aujourd'hui en continu cinq jours sur sept. Le site industriel de 35 000 m² de bâtiments couverts produit 82 000 tonnes d’acier par an pour la fabrication de 32 000 pièces de lestage allant de 300 Kg à 20 tonnes.
Produire de la fonte L'entreprise maîtrise le cycle de production et de transformation de la fonte composée de fer et de carbone. Elle a besoin de différents matériaux pour la réaliser. Ainsi, afin d'éviter le gaspillage et redonner une seconde vie aux métaux ferreux, elle récupère et utilise environ 400 tonnes de ferraille par an. Cet aspect illustre directement le cours de BTS GDEA de métallurgie sur les matériaux métalliques. Pour réaliser les différentes pièces, l'entreprise FMGC crée des moules conforment au cahier des charges des différents clients. Pour les réaliser, 132 000 tonnes de sable sont nécessaires par an.
Du domaine des travaux publics, elle élargie sa clientèle au domaine des travaux agricoles. En effet, les principales entreprises de matériel et machines agricoles confient à FMGC les projets de fournitures de masses : parmi les principaux clients, TOYOTA, MANITOU, mais aussi AGCO, CLAAS et KHUN.
De la théorie au concret
Cette visite a permis aux étudiants de passer de la théorie au concret car certains d'entre eux - dans leur futur métier - seront amenés à tester, choisir et donc connaître les propriétés des métaux pour réaliser différentes pièces de machine agricole. Ali Kherbouche conclut : "Les étudiants ont pu comprendre le lien entre l'aspect machines et les calculs en amont. En effet, cela correspond complètement à l'aspect Sciences de l'ingénieur du programme du module. De plus, la FMGC utilise le logiciel Solidworks - abordé en cours de conception assistée par ordinateur (CAO) et le Design". Une visite enrichissante au maximum ! Valentin BARBIER et
Gabriel POIRIER. Étudiants en BTS GDEA1
au lycée Saint-Clair de Derval,
Concours ligérien du jeune traducteur d’espagnol
Une étudiante de prépa littéraire de la Perverie parmi les finalistes.
Le projet
Le lundi 16 avril 2018, douze étudiants de classe préparatoire et deux lycéens de la Perverie se sont rendus au Conseil régional pour assister à la remise des prix du Concours ligérien du jeune traducteur d’espagnol 2017. Ils font en effet partie des 411 lycéens et étudiants des Pays de la Loire à avoir relevé le défi lancé en septembre par la MEET (Maison des Ecrivains Etrangers et Traducteurs), pour la deuxième année consécutive.
Pour cette édition, les candidats se sont penchés sur une nouvelle de l’auteur argentin Federico Jeanmaire intitulée « El Amor ». Les élèves, seuls ou en binôme, n’ont bénéficié d’aucune aide extérieure, mais ont en revanche eu l’occasion d’échanger avec une traductrice professionnelle de l’ATLF (Association des Traducteurs Littéraires de France) au cours du mois de janvier.
La remise des prix
Accueillis par Florence Beuvelet lors de la remise des prix, conseillère régionale membre de la commission Culture, celle-ci a rappelé l’importance que la région accordait à la filière littéraire. Les membres du jury ont ensuite pu évoquer les différentes qualités d’une traduction réussie. Les traducteurs présents l’ont souligné, cet exercice requiert avant tout une parfaite maîtrise de sa propre langue pour parvenir à une grande souplesse.
Le jury a ainsi tenu à valoriser les participants ayant su prendre des risques, c’est-à-dire prendre une certaine liberté par rapport à la nouvelle, mais pour mieux traduire le style et les intentions de l’auteur pour un public francophone. Au cours des échanges avec le jury, les élèves ont pu interroger Corinne Gupner, présidente de l’ATLF ainsi que Françoise Garnier, sur leurs parcours de traductrices. Bernard Martin a de son côté présenté le métier d’éditeur et Alain Nicolas celui de critique littéraire. L’auteur Federico Jeanmaire, également présent, a témoigné de son rapport à l’écriture et à la lecture, avant de mettre en évidence les difficultés rencontrées par les apprentis traducteurs dans la traduction de sa nouvelle.
Une lauréate de la Perverie
Le moment tant attendu étant arrivé, les noms des vingt participants finalistes ont été annoncés. Parmi ceux-ci, Marion Poissel, en classe d’hypokhâgne à la Perverie, a vu sa traduction sélectionnée parmi les finalistes, sous les applaudissements enthousiastes de ses camarades et de sa professeur d’espagnol, Mme Moreau.
Emma JULIEN et
Capucine TACONET. Lettres supérieures.
La Perverie, Nantes.
www.perverie.com
Visite du frère Robert Schieler
En janvier dernier, le lycée Sacré-Cœur de Nantes a reçu le supérieur général du réseau lassalien, le frère Robert Schieler.
En janvier dernier, le lycée Sacré-Coeur de Nantes a reçu la visite du Supérieur Général du réseau lassalien, le frère Robert Schieler car notre établissement fait désormais partie de ce réseau. C'est pourquoi le Frère Robert est venu nous rendre visite en tant que responsable principal de cette tutelle. Ses fonctions l'amènent à voyager dans le monde entier afin de découvrir les établissements qui travaillent avec les frères Lassaliens. Des étudiants de notre classe de 2e année de BTS Tourisme l'ont accueilli et ce, en anglais car Frère Robert est Américain !
L'objectif de cette visite était de découvrir le fonctionnement du lycée Sacré-Coeur, les formations et les infra-structures de l'établissement.
Cinq d'entre nous ont été désignés pour organiser cette visite. Il fallait nous assurer de le recevoir dans de bonnes conditions et lui faire découvrir en un minimum de temps un maximum d'aspects du lycée ! Frère Robert a donc pu découvrir des salles de cours, échanger avec professeurs et élèves, assister à des cours de langue, découvrir nos salles informatiques, le self, le CDI, l'internat.
Cette rencontre importante pour le Sacré-Cœur nous a permis de pratiquer l'anglais et de découvrir un homme chaleureux et curieux de notre lycée et de la vie que nous y menons.
En tant que nouveau membre de ce réseau, il était important pour nous de l'accueillir dignement et de pouvoir échanger avec lui, dans une langue étrangère tout en nous assurant que sa visite lui serait profitable. Il semblerait que ce fut le cas.
Ce fut une expérience des plus agréables compte tenu de la personnalité joviale et intéressante de notre invité !
Camille LE BLOA. Étudiante BTS2 Tourisme,
lycée du Sacré-coeur, Nantes.
sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr

Le cabinet K.P.M.G en D.C.G à la Joliverie
Les cabinets d'expertise comptable recrutent.
Le diplôme de comptabilité et de gestion (D.C.G.) a de l'avenir !
Dans le cadre de ses actions écoles, le cabinet KPMG, classé dans le top 10 des cabinets d'expertise comptable et d'auditcherche à diversifier ses partenariats avec les établissements.
Le jeudi 8 février dernier, Gwenaelle Valenta, responsable RH chez KPMG et J Nathan Couillaud, collaborateur comptable, sont intervenus pour présenter leur société mais, plus encore, ont proposé à une dizaine d’étudiants de D.C.G 3, leur structure pour l'alternance l'an prochain en D.S.C.G, en accord avec notre C.F.A-Joliverie.
Ces dix étudiants volontaires se sont soumis à des tests d’aptitudes, mesurant leur raisonnement verbal, numérique et inductif.
Claire Boiriveau témoigne
Plusieurs étudiants ont été retenus, dont Claire Boiriveau. Elle nous apporte son témoignage : "Début février, la classe de troisième année de DCG a eu l’occasion de rencontrer deux membres des équipes de KPMG.
Ils sont venus nous présenter leur cabinet et leurs métiers respectifs, puis ont procédé à un speed recruiting.
En effet, les élèves de DCG3 intéressés pour rejoindre les équipes de KPMG l’année prochaine (en alternance ou non), ont pu être mis en relation avec le cabinet.
Ainsi nous avons pu transmettre nos CV et effectuer des tests de recrutement avant le speed recruiting. Après ces petits entretiens individuels de 10 minutes, certains d’entre nous ont été recontactés pour un second entretien dans les locaux du cabinet qu’ils souhaitaient.
Pour ma part, après ce second entretien, j’ai été acceptée pour entrer en DSCG en alternance chez eux, sous réserve, bien sûr, d’avoir mon DCG ainsi qu’un établissement où poursuivre ma formation."
F. CARPENTIER et B. DALIFARD.
Lycée La Joliverie,
Saint-Sébastien-sur-Loire.
www.la-joliverie.com
"The Bridge", quand le langage construit des ponts
Une belle expérience à bord du Queen Mary 2.
Pourquoi avoir d'abord choisi une prépa littéraire ?
Pour moi, la prépa littéraire a d’abord été le choix de cultiver mon goût pour les mots. En classe préparatoire, j’ai pu apprécier leur beauté et leur musique, en particulier en option Langues et littératures étrangères.
Quel pont entre la prépa et les études en Communication ?
Poursuivre mes études en Communication et Médias me permettait d’appréhender et de mettre en application le discours de façon plus pragmatique. J’ai compris que les mots aujourd’hui s’associent à de nouveaux supports de communication dont l’usage est tout aussi significatif. La rigueur de raisonnement acquise en prépa m’a beaucoup aidée à trouver mon chemin dans ce fourmillement de médias ! J’ai choisi de me spécialiser en Communication d’entreprises et institutions, c’est-à-dire celle destinée aux parties prenantes d’une organisation : employés, partenaires économiques et sociaux, acteurs territoriaux etc.
Comment vous êtes-vous retrouvée sur le Queen Mary 2 pendant l’été 2017 ?
Comprendre le fonctionnement et les enjeux d’une organisation privée ou publique afin de mieux les valoriser m’a appris à être plus curieuse de l’actualité. Alors, lorsque dans le cadre de "the Bridge", un événement de grande ampleur commémorant le centenaire de l'arrivée des troupes américaines en France en 1917, on nous a proposé de traverser l’Atlantique sur le Queen Mary 2 , j’ai sauté sur l’occasion ! Mon amie Jenny et moi avons postulé en tant qu’assistantes vidéo. Notre mission était d’illustrer le travail effectué par « le Club des 100 », un panel d’entreprises du Grand Ouest venues échanger sur les enjeux économiques, sociaux et environnementaux de l’entreprise de demain. Nous avons interviewé les experts animant les conférences et réalisé des vidéos de quelques minutes résumant l’essentiel de chaque intervention. Cette semaine passée à bord du Queen Mary 2 a concentré les enseignements reçus en prépa et à Audencia SciencesCom : la précision de la langue, l’esprit de synthèse, la ténacité, l’organisation, le sens de l’écoute et nous a surtout apporté beaucoup de plaisir !
Marie POUX-BERTHE.Lettres et Première supérieures à la Perverie 2012-2014,
étudiante à SciencesCom
www.perverie.com
Des jeunes de la Joliverie qui ont de l'Avenir !
En mars dernier, quatre étudiants DCG3 (Diplôme de comptabilité et de gestion) sont devenus apprentis conférenciers après avoir adhéré au club Avenir de la DFCG (Directeur financier et contrôleur de gestion).
En septembre, nos quatre étudiants adhéraient au club AVENIR de la D.F.C.G (Association des directeurs financiers). Au 1er semestre, ils ont pu assister à des conférences sur des thèmes très variés, mais tous enrichissants : "Gérer son stress, optimiser la performance", "Disparition prématurée du chef d'entreprise, êtes-vous préparés ?", "Faire adhérer mon équipe ou mon CODIR à un projet !", "Droit à la déconnexion".
Conférence à la Joliverie
A notre tour d'organiser la conférence sur le thème : "Panorama des formations finance : comment s’y retrouver ?"
En transversalité avec leur cours de relations professionnelles, les quatre étudiants ont dû faire des recherches et présenter les diverses formations initiales finance-gestion du BTS à l'école de commerce.
M. Ponchon, enseignant D.C.G, présentait un zoom sur la V.A.E (validation des acquis professionnels) et Mme Mary, adjointe de Direction Intec-CNAM Pdl, un zoom sur les modalités de financement.
La soirée, animée par La Joliverie et le CNAM, fut comme d’habitude, ponctuée de témoignages d’étudiants de formation initiale et continue.
Brigitte DALIFARD.
La Joliverie,
Saint-Sébastien-sur-Loire.
www.la-joliverie.com
Se préparer au grand saut
Des étudiantes de 2e année de BTS Comptabilité et Gestion témoignent de leur expérience d'une journée à caractère professionnel, organisée au lycée.
En 2ème année de BTS, pendant que certains étudiants se préparent à la poursuite d'études, d'autres pensent à leur insertion professionnelle. Aussi, le lycée Notre-dame d'Espérance a-t-il proposé une journée à caractère professionnel en deux temps.
Un organisme incontournable à connaître
Si l'on croit le témoignage de Tess, étudiante en BTS Comptabilité et Gestion, cette journée fut riche en enseignement. "Le matin, M. Gador nous a présenté le fonctionnement de Pôle Emploi et les étapes à suivre dans la recherche d'emploi, afin de nous y retrouver et d'être efficaces dans nos recherches. Il a insisté sur le fait que la motivation est un élément très important pour un demandeur d'emploi." Cette présentation a suscité beaucoup d'intérêt pour Camille et Léa, qui ont cependant regretté que cette journée ne se soit pas déroulée plus tôt dans l'année, pour faire le bilan de leurs compétences.
Une simulation d'entretien
Les trois étudiantes ont particulièrement apprécié l'après-midi. En effet, " nous avons eu l'occasion de réaliser une simulation d'entretien d'embauche face à des dirigeants d'entreprise de la région travaillant dans différents secteurs d'activités".
Même si c'était une simulation, le stress était à son comble. Le jury a pris le temps de dresser un bilan, en émettant des critiques et en donnant de nombreux conseils.Tess précise que les dirigeants ont réalisé une notation sur leur tenue vestimentaire, leur comportement et leur manière de s'exprimer.
Pour Léa et Camille, cet entretien fut capital. "Maintenant, nous nous sentons prêtes à affronter des entretiens, car nous savons quels sont nos points forts et nos points faibles. C'est important pour être accepté dans une entreprise."
Ainsi, les étudiants savent dorénavant ce qui les attend car Tess de conclure : "Connaître les avis de dirigeants n'est pas possible lors d'un réel entretien."
Tess HAUGEARD, Léa GUEZEL, Camille GUE.
Étudiantes en BTS2 Comptabilité et Gestion, Lycée Notre-Dame d'Espérance, Saint-Nazaire, www.lycee-notredame.fr
Les 2e années de BTS Métiers de la mode au Maroc
Nous partirons début octobre pour une durée d'une semaine.
Nous sommes un groupe de dix étudiants en BTS Métiers de la Mode à la Baugerie, issus de Bac Professionnel ou Technologique.
Actuellement notre atout est la pratique du monde de l’entreprise et les connaissances technologiques.
Nous sommes dans un secteur où il nous paraît incontournable et essentiel d’avoir une ouverture sur le monde afin de développer notre curiosité et sortir de notre confort quotidien.
Même si, aujourd’hui, il est facile de se déplacer à l’étranger, nous voulons à travers ce séjour donner du « sens » à notre déplacement et l’axer sur une dimension économique, social et solidaire.
Notre objectif
Nous avons pour objectif de s’ouvrir à l’international ; de vivre une expérience interculturelle ; de s’enrichir d’un point de vue : humain (basé sur la réciprocité des échanges, valoriser ses compétences), culturel (faire sa propre idée sur la vie au Maroc) et économique (entreprise, production…) ; donner un esprit solidaire à notre séjour (échanger nos compétences…). Mais également de prendre confiance en nous, développer certaines valeurs ainsi que la créativité et l’engagement.
Mise en place du projet
Durant notre séjour, nous allons partager nos connaissances et notre savoir-faire avec les étudiants d’une école de mode, étudier le marché économique du textile avec la visite d’entreprises, faire des découvertes culturelles telles que les souks ou bien de Musée Yves Saint Laurent.
Financement de ce projet
Le coût total du voyage s’élève tout compris à 620 euros par étudiant.
Cela représente une certaine somme pour chacun d’entre nous, nous travaillons également pour financer nos études. Nous avons déjà mis en place un certain nombre d’actions pour autofinancer notre projet (ventes de chocolats/gâteaux/trousses, …) mais cela ne suffit pas.
C’est pourquoi nous avons lancé une cagnotte en ligne Leetchi, où vous pourrez y trouver plus d’informations
Ophélie GALERNEAU.BTS Métiers de la mode,
La Baugerie, Nantes.
www.lyceebaugerie.fr
Les hypokhâgneux de la Perverie à Prague
Dans le cadre de son année de Lettres supérieures, toute la classe d'hypokhâgne de la Perverie est partie pour une semaine à Prague, capitale de la République Tchèque.
Un patrimoine culturel d'une rare richesse.
Ce séjour intense en émotions et découvertes nous a permis de renforcer les liens d'amitiés dans une classe déjà très soudée, mais aussi de partir à la rencontre d'une ville à l'héritage culturel d’une rare richesse.
En effet, grâce à notre professeur d'histoire des arts, Mme. Cardin, nous avons pu découvrir les différentes facettes de la ville, comme les trésors architecturaux que sont la Maison municipale, joyau de l'art nouveau, la villa Müller, les bâtiments cubistes uniques en leur genre, ou encore la magnifique église de Tyn.
Cette villégiature architecturale à travers une ville surprenante et au si riche patrimoine, était ponctuée d'anecdotes intéressantes sur l'histoire de ce pays et son passé impérial par notre professeur d'allemand M. Mathieu.
Nous avons également eu l'occasion, lors des temps libres d'explorer la culture culinaire de Prague, ainsi que différents musées comme celui dédié au célèbre graphiste et peintre Alfons Mucha. Tout ceci nous a donc beaucoup apporté et vient compléter les apports des enseignements dispensés en classe.
Une expérience propice à la cohésion du groupe
Enfin, bien évidemment et comme dit précédemment, ce voyage a été un moment convivial qui a permis à notre classe de construire une expérience et un souvenir communs forts, grâce à une excellente ambiance collective.
C'est dans cette ville que nous ne connaissions pas que nous avons pu compter sur notre esprit d'équipe pour nous y repérer (avec plus ou moins de succès). Chaque soir était l'occasion de tous nous rassembler pour profiter d'un repas animé par la bonne humeur de tous autour de spécialités tchèques comme le traditionnel Goulache.
Nous avons eu l'occasion de prendre de nombreuses photos qui resteront pour nous des souvenirs inoubliables de ce séjour. Nous remercions aussi nos professeurs accompagnateurs Madame Cardin et M. Mathieu, qui par leur patience et leur gentillesse à notre égard ont rendu ce voyage mémorable.
Brice MERGNY,
Oskar JOSEPHAU.
Lettres supérieures,
la Perverie, Nantes.
www.perverie.com
Rencontres Pros à La Joliverie
Rencontrer
Les étudiants de BTS MUC ont rencontré des dirigeants d'Entreprises nantaises comme Efficonnect, Caron Piscines, Harmonie Mutuelle, JobMania représentant l'association DCF (Dirigeants commerciaux de France) dont l'objectif est de partager leur motivation à être fier d’être commercial. Recruter
Cette profession souvent dévalorisées et boudées par les étudiants, ne l'est pas pour 48 % des entreprises qui prévoient de recruter au moins un commercial en 2018. Les étudiants ont apprécié les échanges ; "on se sent plus concerné par le professionnel qui nous parle", "on a pu avoir quatre visions différentes des commerciaux". Un partage d'expérience, avec spontanéité, naturel, honnêteté et transparence.
Partager
M. Evin, chef de secteur à Auchan Saint Sébastien a partagé son expérience de « Manager » et sa vision du management : « Il y a des managements et non un management ! on ne peut pas calquer sur son voisin !"
M. Evin a conclu son intervention et résumé en trois mots ce qui le motive dans son métier : commerce, équipe, plaisir ! Professionnaliser
La classe a apprécié les parallèles avec « le coaching d’une équipe de sport », la parole sans « langue de bois » de M. Evin qui partagé ses façons de faire ou de ne pas faire, ses façons d’être, dont on ne parle pas dans les livres de management comme « l’humilité » ou encore « qu’il faut savoir s’entourer de personnes complémentaires et plus fortes que soit car elles nous font grandir. »
Toutes ces rencontres contribuent à la professionnalisation des étudiants.
La classe de BTS1 MUC. Lycée La Joliverie,
Saint-Sébastien-sur-Loire.
www.la-joliverie.com
Cinq regards sur Amsterdam
Début mars, les étudiants de BTS1 MUC sont allés à la découverte d'Amsterdam. Ils nous livrent leur ressenti au travers des différentes visites (toujours en anglais !).
Recette pour un bon voyage et une ouverture à l’international
Commencez par un départ au lycée La Joliverie ; liez avec des étudiants fort sympathiques et des professeures géniales.
Prenez un zeste de bonne humeur ; ajoutez-y des moments inoubliables ; versez le tout dans une magnifique ville comme Amsterdam.
Incorporez les musées Heineken, Van Gogh, le stade de l’Ajax ; insérez également le marché aux fleurs ; saupoudrez de street’art et décorez avec le port de Rotterdam.
Vous obtiendrez une expérience exceptionnelle vécue par la classe de BTS 1 MUC de la Joliverie et leurs professeures
Océane, Ameline, Manuela et Cassandre. Etudiantes de BTS 1 MUC
In de ogen Van Gogh (dans les yeux de Van Gogh)
L'art se regarde, se dévoile, se partage, s'admire... C’est l’expérience que j’ai vécue en découvrant le musée Van Gogh à Amsterdam.
Chaque couleur, chaque trait de pinceaux, chaque détail nous donnent envie de nous introduire dans l'œuvre pour flâner le long de la Seine (Langs de Seine, 1887) s'évader dans la voie lactée (Melkweig 1890) déguster les fruits du péché (Appels, 1887) sentir les tournesols (Vase with fifteen sunflowers, 1889) se perdre dans les champs de blé (Korenveld met kraaien, 1890).
Tout nouveau pas dans le musée est une facette du peintre, sa vie se dévoile à nous d'œuvre en œuvre.
Ses toiles évoluent avec lui et nous transmettent des émotions.Il ne faut pas être expert en art pour les ressentir, simplement ouvrir les yeux et se laisser guider par le pinceau de l'artiste...
Alyssa BOULLIER. Etudiante de BTS 1 MUC
AMSTERDAM ARENA
Une de nos visites : le mythique stade de l’AJAX Amsterdam.
Depuis 1996, le stade peut accueillir des matches ainsi que des concerts ou des festivals.
C'est un stade ultra moderne grâce à son toit rétractable capable de s'ouvrir ou de se fermer en une demi-heure, même au cours d'un match. Incroyable, une voie routière passe sous la pelouse du stade !
Ce bijou de la capitale au coût d'environ 140 millions d’euros, a une capacité de 53 892 personnes pour les matches de football et de 68 000 pour les concerts.
Accompagnés d’un guide, nous avons visité les vestiaires du club, la salle des trophées, la pelouse, la salle de conférence, la salle d’interview et les coulisses du stade.
Moment exceptionnel, nous avons pu prendre la place du capitaine d’équipe et du staff pour un interview virtuel d’après match.
Expérience amusante pour une classe de sportifs !
Gabriel SAUBIEZ. Etudiant de BTS 1 MUC
Les Oeuvres d’Art cachées d’AMSTERDAM
Amsterdam est une ville très créative. Les Amstellodamois sont nombreux à la personnaliser et à s’y exprimer par le Street Art.
Nous sommes donc partis à la recherche d’œuvres d’Art cachées.
Au détour des rues, s’offrent à nous des mosaïques, des graffitis, des collages … Autant d’œuvres d’Art.
Le Street Art est bien un Art, un Art clandestin. C’est un Art qui a connu un âge d’Or à Amsterdam, désormais révolu. Dans une partie de la ville, les œuvres sont effacées pour faire place à des murs propres destinés aux hôtels qui accueilleront des touristes.
Manon DERAME. Etudiante de BTS 1 MUC
Le marché aux fleurs d’Amsterdam, une visite animée
Quelle surprise de découvrir ce grand lieu, parsemé de milliers de fleurs à l'immense palette de couleurs : des roses aux tulipes, des frangipaniers aux reine-marguerite, et bien d’autres encor ! Éblouissement visuel mais sans aucune perception olfactive… dans cet immense marché.
Ce marché est le pôle majeur du commerce international des fleurs, où tous les traders européens négocient les prix en fonction de leur besoin avec l'objectif d'obtenir la meilleure offre : loin d’incarner beauté et féminité elles ne sont que marchandises. Aalsmeer reçoit désormais le surnom de "Wall Street de la fleur".
M.A. AVEZARD-DELHOMMEAU, B. BOURGEAIS, M. TREDUP,
C. HOUSSAIS, I. PERRAIS.
Étudiants BTS1MUC,
Lycée La Joliverie,
Saint-Sébastien-sur-Loire.
www.la-joliverie.com
L’œno Rando, marcher au cœur des domaines du vignoble
En 2e année de BTS Technico Commercial Vins et Spiritueux au lycée Charles Péguy, à Gorges-Clisson, nous avons réalisé un événement insolite et innovant dans le vignoble nantais : « L’œno-rando » le dimanche 11 mars.
Dans le cadre d’un Projet d’Initiative et de Communication, nous avons bâti des partenariats avec une association de randonnée : Vélo Loisir De l'Etang (VLDE) à Gétigné, et deux domaines viticoles intéressés par notre proposition de créer un parcours de randonnée dans les coteaux de Château-Thébaud, au cœur du vignoble nantais, avec des étapes de visites de domaines et dégustation des gammes du muscadet.
Nos objectifs ?
Associer le plaisir de la marche dans des paysages de vigne et le plaisir de faire découvrir de bons vins ! Mais aussi mettre en avant les domaines partenaires : La Chauvinière (Jérémie Huchet) et le domaine Poiron Dabin, tous deux acteurs dynamiques de l’oenotourisme castelthébaldais.
Avec un départ et une arrivée à la Chauvinière, nos marcheurs - ou coureurs - ont parcouru une dizaine de kilomètres sous le soleil printanier avec deux étapes de rencontres et dégustations.
Un projet à poursuivre
Nous espérons que ce projet pour le moins original sera repris par d’autres étudiants après nous, afin de le développer et permettre sa continuité au cœur du vignoble nantais. Un vignoble qui, incontestablement, le mérite plus que bien !
Lara GRANDSIRE, Yvanna LEROY et Julie POLITI-HOUCKE.
BTS2 Technico-commercial Vins
et spiritueux,
lycée Charles Péguy, Gorges.
www.charles-peguy.net
Automatiser en autonomie
En deuxième année de BTS Génie des équipements agricoles au lycée Saint-Clair, les étudiants innovent en automatisant des modèles réduits de machines agricoles.
Sébastien Floquet, enseignant en machinisme, responsable de ce projet explique la démarche : "Les étudiants ont 40 heures de cours et travaux pratiques pour le module d'initiative locale (MIL) Automatismes afin de réaliser des automatismes utilisant des composants électroniques les plus proches de ceux utilisés sur des machines réelles". Un MIL original En effet,c'est une proposition unique au lycée Saint-Clair. Les projets sont réalisés par petit groupe autour d'une maquette choisie en fin de première année. Les objectifs principaux visés sont multiples et permettent d'apprendre à travailler en équipe, de faire des recherches d’informations en autonomie, de gérer un budget et un planning, de respecter un cahier des charges et d'utiliser des composants électroniques avec les contraintes associées. Le MIL Automatismes se réalise en deuxième année de BTSA GDEA car certaines notions vues en première année sont mises en application. "Le bilan de l’année scolaire 2017-2018 est plutôt bon. En effet certains groupes ont dépassé les attentes du module (programmation, création de cartes électroniques…) et d’autres ont privilégié l’aspect esthétique de leur machine. Dans tous les cas, les étudiants étaient motivés par ce module pour créer une machine qui soit la plus fonctionnelle possible" précise Sébastien Floquet. Une pédagogie inversée D’un point de vue innovation pédagogique, les étudiants apprennent les rudiments de l’électronique par eux-mêmes, à travers une pédagogie du concret et de terrain. Cette méthode utilise le système de la classe inversée. Les étudiants sont acteurs de leur formation car, en fonction des projets qu’ils mènent au cours du module. Ils sont amenés à se poser des interrogations diverses et à formuler des demandes théoriques qui sont alors abordées lors de cours communs.
Sébastien Floquet conclut : "C'est très intéressant pédagogiquement car cela correspond à la nouvelle génération d'étudiant demandeuse de concret. L'apport théorique se fait en fonction de leur besoin et demande. La seule limite est l'aspect chronophage autour de la gestion des commandes des différents groupes qui n’arrivent pas au même moment. Mais le rapport avec les étudiants est tellement riche qu'on oublie cet aspect".
Alan FADET, Pierre LOQUAIS et Cédric PRIGENT.
Étudiants de BTS GDEA1,
lycée Saint-Clair de Derval
www.lyceesaintclair.fr
"Objectif BTS" : réussir son année
Depuis septembre 2017, le lycée Saint-Clair accompagne les lycéens et les étudiants pour favoriser leur parcours en études supérieures. Zoom sur la deuxième action "Réussite".
Cet atelier de tutorat, proposé aux étudiants de première année de BTS au lycée Saint Clair de Derval, permet de détecter les risques de décrochage scolaire et de réfléchir sur leur projet professionnel. Des ateliers sont proposés en fonction du BTS. Ainsi, un renforcement disciplinaire en français est proposé à travers la participation au comité de rédaction « Cap Sup », la rédaction d'article de presse et un "coaching" sur la plateforme "Projet Voltaire" accessible pendant un an pour progresser en expression française. Le projet « Voltaire » Dotée d’une application mobile, la plateforme permet aux élèves inscrits, d’améliorer leurs capacités de rédaction, d’orthographe et de syntaxe. Elle propose une évaluation de base qui permet de repérer les difficultés de l'étudiant et de personnaliser le coaching. Ce "serious game" propose plusieurs niveaux à valider afin que l'étudiant progresse et développe ses capacités. L’atelier « CapSup » Ce journal est réalisé par les étudiants du réseau RENASUP 44 dont le lycée Saint-Clair. Les étudiants intégrés au projet "Objectif BTS" ont rédigé tous les articles en 2017-2018. Ils se sont réunis pour choisir les sujets, puis ils les ont présentés au comité de rédaction et se sont lancés le défi de rédiger les articles de presse. Cet exercice - très concret - prépare également à l'examen de BTS (épreuve terminale 1). D’autres ateliers "techniques" sont proposés comme un atelier d’anglais et de machinisme aux étudiants de BTS Génie des équipements agricoles et un atelier comptabilité aux étudiants de BTS Analyse, conduite et stratégie de l'entreprise agricole. Engagement et réussite Cet accompagnement se base sur le volontariat et la motivation des étudiants "repérés" par les enseignants dès le début de l'année scolaire. Un contrat d'engagement est ensuite proposé afin de consolider la motivation.
Mark Hénaff conclut : "En cette fin de première année riche en rencontres et en échanges, l'ensemble des étudiants "coachés" passent en deuxième année. C’est un bilan positif et les retours des participants - élèves, étudiants, intervenants - encouragent la poursuite de l’aventure avec des perspectives d’évolution et de nouvelles idées pour la suite !" Une belle réussite pour tous ! Amélie AUGER, Marie BARREAU et Benoît MONNERIE. Étudiants de BTS ACSE1,
lycée Saint-Clair de Derval
www.lyceesaintclair.fr
En route pour le Saumurois !
La classe de 1re année de BTS Tourisme organise un Eductour dans les alentours de Saumur
Le 30 janvier dernier, notre classe s'est rendue dans le Saumurois pour l'Eductour organisé, chaque année, par la classe de 1re année de BTS Tourisme. "Eductour" ? Quel terme barbare !
Cela consiste en la préparation d'un court séjour axé sur les fonctions d'accompagnateur et de médiateur touristiques. Lors d'ateliers professionnels, toute la classe organise un séjour. Il a pour but de leur permettre de découvrir ces métiers du Tourisme.
Chaque étudiant a une mission : conception du journal de voyage en français et en anglais, planification des visites et des horaires, organisation des visites et de leur contenu, gestion des groupes, etc.
Cette année, direction Saumur et sa région avec, comme point d'orgue, la visite de l'Abbaye Royale de Fontevraud, sur les traces d'Aliénor d'Aquitaine. La visite de ce lieu marqué par Aliénor d'Aquitaine fut une découverte tant culturelle que professionnelle.
Cette visite fut l'occasion de rencontrer des professionnels du Tourisme : la responsable du service marketing du site et la médiatrice de l'abbaye.
Nous avons également profité de cette journée pour visiter la distillerie artisanale COMBIER, fondée en 1834, productrice de sirops et liqueurs à Saumur, et découvrir une somptueuse visite panoramique de Saumur.
La diversité des aspects patrimoniaux de ce voyage firent la force de cet Eductour.
Nous avons pris conscience concrètement des fonctions qui seront les nôtres dans quelques mois, évalué nos capacités linguistiques en pratiquant l'anglais, envisagé les aspects techniques et pratiques d'un Eductour (déroulement, sécurité, informations, ambiance) et testé, sur le terrain, ce que nous avions pu étudier en cours.
Rendez-vous l'an prochain pour l'organisation d'un séjour à l'étranger, cette fois !
Claire MAGREZ,
Célestin SAVOURE,
Natacha LEDROIT.Étudiants en BTS1 Tourisme,
Lycée Sacré coeur de Nantes,
sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr

Un étudiant à l’honneur aux Olympiades des métiers
Théo Favry, étudiant de BTS1 Maintenance des Véhicules s’est qualifié lors des sélections régionales des 45e olympiades des métiers à Angers, vendredi 16 et samedi 17 mars.
La compétition a réuni au parc des expositions d’Angers plus de 250 concurrents répartis dans 50 métiers les plus divers : l’hôtellerie-restauration, la création, le numérique et le BTP et l’Industrie. C’est dans cette catégorie que s’est illustré l’étudiant du lycée la Joliverie, en se confrontant à quatre participants des autres départements de la région.
Le concours se déroule sur 6 épreuves d’une demi-heure à 2 heures exigeant chacune de la concentration et beaucoup d’application : « le plus stressant, ce n’est pas tant les consignes strictes de l’épreuve comme l’interdiction de parler, les exigences liées à l’organisation, la propreté… c’est le chronomètre ! ».
Chaque tâche est rigoureusement minutée : diagnostic essence, électrique, schéma de maquette, démontage moteur et boîte… mais surtout cette dernière partie fait l’objet d’une rédaction exposant le déroulement de sa réalisation. L’exercice développe donc des compétences pratiques et théoriques.Une expérience richeLe jeune « ouvrier » est donc placé dans une posture réflexive sur les gestes de son futur métier.L’étudiant confie que cette compétition le tentait et c’est sur les incitations de son professeur Stéphane Loury, ancien membre du jury qu’il a passé le pas. L’expérience ne consiste pas seulement à récolter « une ligne de plus sur mon CV » nous explique Théo « c’est surtout l’occasion d’expérimenter ses propres méthodes de travail et de s’astreindre à des consignes de rigueur très strictes ». Pari réussi pour notre étudiant qui se prépare à une session d’entraînement du 18 au 21 mai afin de concourir en novembre prochain à la finale nationale qui se déroulera à Caen.
Tout le lycée la Joliverie soutiendra son étudiant et à travers lui le goût de l’excellence du travail bien fait !
Lycée La Joliverie. www. la-joliverie.com
A noter sur vos agendas
Voici des rendez-vous qui permettront aux lycéens et aux étudiants de s'orienter.
Nouveau
OUVERTURE Rentrée 2018 au Lycée La Joliverie (en partenariat avec les lycées Sainte Anne de Saint-Nazaire, le Sacré Cœur, Briacé et Hautes Folis) du Bachelor Coventry : Global Marketing, accessible à des BAC + 2.
Troisième spécialité en Bachelor au lycée La Joliverie après Bachelor International Hopitality and Tourism Management et Bachelor Global Business. Salons
Salon Studyrama - Grandes écoles de Nantes/Formations Art Mode Design et Luxe - samedi 17 novembre 2018 de 9h à 17h - La Carrière, Saint-Herblain.
Salon du Lycée et de l'Etudiant - Vendredi 30 novembre et samedi 1er décembre 2018 de 9h à 18h - Parc Expo de La Beaujoire, Hall XXL - Nantes.
Formathèque - vendredi 18 et samedi 19 janvier 2019 de 9h à 17h - Parc des expositions de la Beaujoire, Nantes.
Portes ouvertes dans le réseau RENASUP44
Lycée Saint-Joseph, Ancenis : Vendredi 18 janvier 2019 de 18h00 à 20h00 et samedi 19 janvier 2019 de 9h00 à 12h30. www. st-joseph-ancenis.loire-atlantique.e-lyco.fr
Lycée Saint-Félix-Lasalle, Nantes : Samedi 26 janvier 2019 de 9-16h - Samedi 2 mars 2019 de 9h à 12h30. www.stfelixlasalle.fr
Lycée Saint-Joseph-Nazareth, Châteaubriant : www.stjo-chateaubriant.fr
Lycée Sacré Cœur, Nantes : Samedi 2 février 2019 de 9h à 16h30 - Mercredi 27 février 2019 de 14h à 18h. www.sacrecoeur.nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
Lycée Gabriel Deshayes, Saint-Gildas-des-Bois : Samedi 2 février 2019 de 10h à 16h. www.gabriel-deshayes.org
Groupe Talensac, Nantes : Samedi 26 janvier 2019 de 9h à 17h - Samedi 16 mars 2019 de 9h à 13h. www.talensac.com
Lycée hôtelier Sainte-Anne, Saint-Nazaire : Vendredi 1er mars et samedi 2 mars 2019, ainsi qu'une demi- journée le mercredi 3 avril 2019.
Lycée Notre Dame de l'Espérance, Saint-Nazaire : Vendredi 1er février 2019 de 16h30 à 19h - Samedi 2 février 2019 de 10h à13h.
Lycée La Joliverie, Saint-Sébastien-sur-Loire : Vendredi 1er février 2019 de 16h à 20h - Samedi 2 février 2019 de 9h à 17h. www.la-joliverie.com
Lycée La Baugerie, Saint-Sébastien-sur-Loire : Vendredi 1er février 2019 de 17H à 20H et Samedi 2 février 2019 de 9H à 16H. www.lyceebaugerie.fr
Lycée Charles Péguy, Gorges - Clisson : Vendredi 25 janvier 2019 de 18h30 à 21h - Samedi 26 janvier 2019 de 9h à 12h00. Pôle équestre, Pèlerin : samedi 2 février 2019 9-12h. www.charles-peguy.net
Lycée Saint-Clair, Derval : Dimanche 3 Février 2019 de 10h à 17h30 - Mercredi 20 mars 2019 de 13h30 à 18h - Vendredi 17 mai 2019 de 16 à 20h. www.lyceesaintclair.fr
Lycée de Briacé, Le Landreau Samedi 26 janvier 2019 de 9h à 17h - Samedi 23 mars 2019 de 9h à 17h. www.briace.org
Lycée Blanche de Castille, Nantes : Samedi 17 novembre 2018 de 9h30 à 12h30 - Samedi 19 janvier 2019 de 9h30 à 12h30. www.blanchedecastille.com
Lycée Externat des Enfants Nantais, Nantes : Samedi 1er décembre 2018 de 9h à 13h - Samedi 2 février 2019 de 9h à 13h. www.eden-fa.e-lyco.fr
Lycée Saint-Joseph du Loquidy, Nantes : Samedi 1 décembre 2018 de 10 h à 13 h - Samedi 2 février 2019 de 10 h à 13 h. www.loquidy.net
Lycée Saint-Stanislas, Nantes : Samedi 26 janvier 2019 (CPGE) de 10h à 17h30. www.saint-stanislas-nantes.paysdelaloire.e-lyco.fr
Lycée La Perverie, Nantes : Samedi 26 janvier 2019 de 9h à 13h - Samedi 9 mars 2019 de 9h à 13h. www.perverie.com