Nouveau : stages à l'étranger pour des lycéens pro.

En attendant l'avion pour Prague, les élèves prennent la pause.

Affluence des youtubeurs aux jeux vidéo, manga et Culture pop

Jean, ex Bac ES, a choisi la musique.

L'équipe de rédaction des élèves du lycée général et professionnel redémarre 2018 pour mieux vous informer.

Proposé depuis 2016 aux soixante élèves de seconde et de première professionnelles, le module Euro espagnol ou anglais permet d’aborder autrement la LV2 et de découvrir une culture. L'objectif : atteindre un niveau et une aisance en langue étrangère pour intégrer une équipe professionnelle (commerce, accueil et gestion administration) dans un pays européen.

Les groupes hebdomadaires participent à des événements : visite Château des ducs de Bretagne en anglais, découverte du Festival du film espagnol, accueil de sportifs étrangers et témoignages d'étudiants ou de professionnels.

En classe, les élèves réalisent diaporamas, vidéos ou articles de presse. Une assistante d’Almeria anime régulièrement des séances. Les élèves du module anglais ont été à Euradionantes( radio associative européenne). En tant que citoyens européens ils ont pris conscience de l’importance de l’Anglais.

Le projet 2018 avance avec succès en Espagne et à Malte. Dix élèves de première en reviennent après trois semaines de formation professionnelle en magasin, hôtellerie ou gestion administration. Un challenge qui les motive et renforce la section Europro pour l'avenir.

Quentin Tourneux sec1

Le Père Petitclerc qui est intervenu cette année devant les élèves et les parents écrit dans un livre que Marc résume dans une phrase son Evangile : « les temps sont accomplis ». Cela veut dire « n’attendez pas demain, c’est aujourd'hui qu’il faut vous bouger. »

Suivons donc le conseil du Père Petitclerc et bougeons-nous !

Je vous souhaite la bienvenue au lycée, vous qui venez nous visiter dans le cadre des portes ouvertes.

Découvrir un nouveau lieu, de nouvelles façons de travailler, sont toujours une source d'enrichissement et d'échanges fructueux pour nous comme pour nos visiteurs.

Je salue nos futurs lycéens.

Les différents sujets abordés dans ce numéro montrent le dynamisme du lycée et de la rédaction à travers les échanges, la section Europro,

l’orientation, et l'association sportive.

Pour sa vingt-cinquième année d'existence, Chahut-Bahuts se renouvelle avec une équipe de rédaction mixte.

Il accueille, comme son nom l'indique, des élèves "journalistes débutants et expérimentés" du lycée professionnel comme du lycée général.

Une équipe sympathique qui compte dix sept membres dont deux professeurs rédacteurs en chef autour d'un référent journaliste sous la responsabilité de la publication que représente le chef d'établissement.

N'oublions pas qu'il s'agit d'un vrai travail d'apprentissage pour nos journalistes en herbe qui ont la volonté de bien faire et l'enthousiasme de la jeunesse.

Je salue donc le travail de notre nouvelle rédaction et je remercie les petits nouveaux que je confie aux anciens.

Bonne année 2018 !

Yann Léandre

Chef d’établissement

Solange Lucas a toujours voulu enseigner l'allemand. Passionnée de littérature, d'écriture et de chant (car elle a fait partie d'un choeur polyphonique), elle aime entre autres la musique classique.Mme Lucas accorde une attention particulière aux différentes expressions artistiques dans ses cours. Elle apprécie de voir "la curiosité qui s'éveille dans les yeux des élèves". C.LB

Cette adepte de comédies romantiques n’a pas toujours travaillé dans l’enseignement, même si ce domaine lui suscitait un intérêt depuis son plus jeune âge.Gwenaëlle Doussot est prof de SVT après avoir travaillé pendant dix ans en laboratoire. Même si la biologie était sa matière préférée en lycée, plusieurs 4/20 d'une enseignante très exigeante, l'ont poussée à persévérer dans la matière qu’elle aime enseigner.

Jean-Richard Gankou prof de physique-chimie a déjà une classe préférée :les premières S4. Mais le classement n’est pas figé ! Il aime la musique et le foot. L’enseignement a toujours été une vocation. A l’origine il souhaitait travailler à l’université et faire de la recherche. Sérieux, il est également fan de cinéma. Son film préféré est John Q, une transplantation du cœur.

Pauline Menet a enseigné en Angleterre mais elle n'a pas toujours voulu devenir enseignante, étant à la base plutôt intéressée par le journalisme et la radio.

C'est au cours d'un stage de fac en collège qu'elle va découvrir un intérêt pour l'enseignement.

Guitariste et cuisinière, elle aime aussi le rock et le hip hop. C.LB

Alice Thébault est une de nos nouvelles profs d’anglais. C'est motivée par ses professeurs qu'elle découvre l’enseignement et spécialement l’anglais. Fan de rock et de métal, Mme Thébault aime également beaucoup voyager. Côté cinéma, sa préférence va aux films réalistes, plutôt dramatiques comme par exemple des films tournés dans des zones de conflit.

C.LB

Pour Ucler Yuksel, être professeur est une voie qui s'est imposée petit à petit. Curieux de nature, il a cherché à comprendre le but d'une démonstration en maths. Mr Yuksel s' intéresse à la musique en général et au sport en particulier en tant qu'arbitre officiel de football. Il s'est précipité pour voir le dernier Star Wars et attend avec impatience la suite d'Avatar.

Lara Bertel est une vraie globe-trotteuse. Enseigner l'anglais a toujours été sa vocation tant aux États-Unis qu'en Turquie. Son caractère dynamique fait d'elle une personne toujours en quête d'expériences. Elle ne s'arrête jamais ! Fan de jazz, particulièrement de Chet BAKER, cette prof d'Anglais apprécie également le cinéma, son film préféré : Lady Hawk, de 1984.

A la question : "quel adjectif vous définit le mieux", Alain Courtois a répondu "rigoureux dans ma vie".

Ce professeur de mathématiques à en effet réalisé des études d'ingénieur avant d'être enseignant.

Il exerce également le chant et aime plus particulièrement la musique classique de Mozart, Haydn ou Mendelssohn.

C. LB

Cette année parmi les nouveaux professeurs arrivés au lycée, Madame LEHY est professeur de communication.

Pourquoi êtes-vous professeure ?

Cette envie est venue petit à petit et s'est imposée comme une évidence.

Je n'ai pas forcément eu la vocation de devenir enseignante mais c'est l'envie de partager mon expérience professionnelle qui m'a amenée à exercer ce métier.Je le vois comme une continuité de ma carrière. L'échange, le contact humain, l'envie de transmettre et de motiver m'ont dirigée vers l'enseignement professionnel.

Comme dans tout métier, ce n'est pas tous les jours facile ; c'est passionnant mais exigeant. Dans mes classes, j'aime à penser que nous travaillons en équipe, et certains jours les élèves ne sont pas très coopératifs. Il faut poursuivre son objectif et motiver son groupe malgré tout.

Quels sont les avantages et inconvénients ?

Les avantages du métier, c'est justement que rien n'est jamais gagné et que chaque jours est différent. C'est important pour moi de valoriser leurs compétences.

Les inconvénients sont comme je le disais que certains jours il faut savoir s'adapter à l'ambiance, mais c'est ce qui fait pour moi toute la richesse de ce métier.

Hellia BOURDEL, 1CAP

On november 16th, we had the visit of Michael Parkinson, a volley-ball player of Rezé team. He has visited many countries but he loves Nantes. Very tall(2,03m), he is 22 years old, born in England, he lives in the Netherlands and plays for the National team of this country. He doesn’t see his family very often. In France, he has discovered the “boulangerie”, French bread and pastries ! We enjoyed that moment, thank you Mr Parkinson !

Sergio, 30 ans, est né à Cuba où il a commencé le volley dès 8 ans. Il a évolué en Italie, Espagne, France et Pologne où il a rencontré sa femme. Leur fils de 18 mois sera polyglotte ! Les entraînements sont en anglais. Les matchs ont lieu dans différentes villes de France. Avant de repartir Sergio nous a sympathiquement offert des places !

Les 2ndes Europro anglais et espagnol

L’aventure a commencé en septembre 2017, dans le cadre du projet « Envie d’entreprendre, envie de créer » et une mini entreprise a vu le jour ,en partenariat avec l’association "Les Paralysés de France". Toute l'année, les élèves de seconde commerce A vont commercialiser des t-shirts, des tote-bags, des casquettes et des mugs au lycée professionnel pour l'entreprise « On Dit Cap’ ». La classe, investie dans ce projet a créé un organigramme et un site internet. Un chèque sera remis à l’association apa« les Paralysé de France », qui s’occupe des personnes à mobilité réduite.

Les bénéfices serviront aussi à financer un voyage à l’étranger en classe de première. Professeurs et élèves sont invités à contribuer à l’essor de l’entreprise.

Nathan, Leïa, Angelo, Henda, David, Florian et Téo

Nous avons tous aperçu en début d’année les prospectus ou les affiches de la chorale dans le hall.

Elle existe réellement, mais peu ont passé la porte de la salle info 3 le mardi midi. Présentons-la : "On est loin d'être des professionnels puisqu’au total nous ne sommes qu’une dizaine de chanteurs, élèves et professeurs du lycée pro et général", explique l'une des membre de la chorale.

"Il y a toujours une super ambiance, liée sans doute aux repas qu'on prend toutes ensemble.

Après un peu d’échauffement vocal, les choses sérieuses commencent".

Divisées en deux groupes selon nos voix, nous travaillons une grande variété de chants, du gospel à l' Hallellujah de Léonard Cohen ou Papaoutai de Stromae en passant par le canon de Scats et des chants de Noël.

Qu'ils soient en anglais en français et parfois même en allemand, nos morceaux sont choisis ensemble, ce qui fait la diversité de notre répertoire.

Clémence LB, TL

Depuis 25 ans, le lycée organise le dernier jour avant les vacances de Noël une matinée pour nous réveiller à la solidarité

En 1992, Madame Bichet alors responsable pastorale récoltait des jouets pour les redistribuer dans des associations. Désormais, cet événement pastoral est devenu un moment de partage général pour découvrir de nouvelles associations et s’investir pour le bonheur des autres. «  La matinée de Noël est un échange, un donner-recevoir », nous explique Madame Beaugé, adjointe en pastorale. Donner de notre temps pour les autres est une belle leçon !

Logan BROSSAUD sec 8

Le jeudi 16 novembre, dans l’amphithéâtre du collège Saint Paul, le père Jean-Marie Petitclerc posait aux Terminales du lycée général une question les intéressant particulièrement : faut-il avoir pour but de réussir dans la vie ou de réussir sa vie ?

En effet, les lycéens sont confrontés à de nombreux choix concernant leur futur, et ils se voient souvent influencés par des sources diverses (médias, réseaux sociaux, professeurs, famille...) qui leur annoncent que l’intérêt serait le gain d’argent, la célébrité, et le succès en général. C’était l’idée de la vie qu'il se faisait, lui le jeune Jean-Marie, lorsqu’il était élève à Polytechnique.

Renversement

Une blessure grave en athlétisme changea radicalement sa vie. Pendant les dix-huit mois qu’il passa dans son lit d’hôpital, n’étant pas sûr de pouvoir un jour marcher à nouveau, il eut le temps de se rendre compte que sa vraie passion n’était pas ce qu’il faisait en tant qu’ingénieur, mais plutôt ce qu’il faisait en tant que scout lors de ses week-ends.

Ainsi, de façon surprenante, il devint un prêtre salésien suivant l'ordre de François de Sales et Don Bosco dans un réseau d'écoles, de paroisses et de maisons d'action sociale comme l’association Valdocco où il travailla en tant qu'éducateur spécialisé.

Dans les quartiers difficiles d’Argenteuil(région parisienne), il expliqua que connaître le succès, être riche... réussir dans la vie", n’est pas forcément synonyme de bonheur à long terme.

Réussite

Pendant son intervention, il a cité un collégien, qui cherchait un métier pour gagner beaucoup d’argent même si ce métier ne lui plaisait pas.

Pour le père Petitclerc réussir sa vie, c'est être heureux et passionné par ce que l’on fait une chose à souhaiter pour le futur de chaque jeune.

Ce témoignage impressionnant du père Jean-Marie Petitclerc a vraiment été apprécié par les Terminales.

Maya TS2

Gilles Le Druillennec est un IMC : c'est dire un Infirme Moteur Cérébral.
A sa naissance, le manque d'oxygène vers le cerveau a provoqué son handicap.
Celui-ci est visible au premier regard : Il a une posture désarticulée, du mal à parler et sa poigne est limitée.

Sensibiliser

Son association “Barrez la différence ” a pour but de sensibiliser les élèves à la situation de tous les handicapés, chez eux comme dans le milieu professionnel.

Gilles et sa femme Agnès nous ont racontés par le biais de jeu de rôle avec les élèves, la vie extraordinaire de Gilles.

C’est la seule personne handicapée à ce jour a avoir son brevet d’Etat d’éducateur sportif en voile et son permis de car.

Apprivoiser

Son but est de nous amener à remplacer, petit à petit, notre gêne envers les handicapés par une empathie, des sentiments, mais aussi beaucoup de joie.

Le concept de monter sur scène avec Gilles nous a beaucoup plu dans l'ensemble.

Humaniser

Ce qui est étonnant chez lui, c’est non seulement qu’il accepte son handicap, mais qu'il réussisse à nous partager des situations avec humour et bien vivre avec.

Il nous a prouvé que ça peut être une situation très difficile pour ceux qui la vivent mais ce n’est pas pour cela qu’il faut renoncer à ses projets de vie !

Pour plus d'infos : https://www.barrezladifference.fr/

Logan BROSAUD 2DE 8

Les tensions ne font que s'accroître par de successives déclarations belliqueuses, que cela soit du côté américain "le feu et la fureur", qui ressemble étrangement au "feu et la furie" de Kim Jong Un. Des joutes verbales effrayent l'ONU, qui tente en vain de trouver une issue diplomatique à la crise nord-coréenne.

Répliquer

Cependant on imagine difficilement que la dictature nord-coréenne prendrait le risque d'une guerre nucléaire, sous peine de voir le régime tomber, sauf si la crédibilité de l'un des deux pays se trouve engagée. Seulement dans ce cas alors, l'un des deux belligérants devra traduire les paroles en actes, ce qui contraindrait le deuxième à répliquer, marquant le début d'une période sombre pour l'histoire.

Ainsi un seul faux pas pourrait mener à une tragédie, d'autant plus que le présidant américain est encore plus imprévisible et impulsif que ses prédécesseurs.

Historique

Il faut chercher jusqu'à la guerre de Corée(1950-1953) qui oppose la Corée du Sud à celle du Nord durant la Guerre Froide. Le Sud est soutenu par les Etats-Unis et le Nord par l'URSS( l'ex Russie), avec chacune des parties du pays prétendant représenter l'ensemble de la nation.

La Corée du Nord mieux armée prendra Séoul, en réponse les américains constitueront une force multinationale( opération Chromite) qui repoussera l'armée nord-coréenne jusqu'à l'actuel frontière en 1950, le fleuve Yalou.

Finalement l'intervention chinoise finira par mettre fin au conflit à l'été 1953.

Du passé les tensions et prétentions subsistent toujours, avec les mêmes camps et alliés qui s'affrontent encore.

C'est pourquoi la crise nord-coréenne est un des exemples qui prouve une fois de plus que le présent découle de l'histoire.

Paul Pennel et Maxime Soloviev 1èreS4 et 2nde7

Dans le prochain Chahut-Bahuts, une nouvelle de Acéleus Karmian : suite d’un mythe grec antique. Un homme nommé Sisyphe, osa défier les Dieux, et parmi eux la mort elle-même : Hadès. Il dénonça un nouvel adultère du roi des dieux, qui avait encore kidnappé une nymphe. Zeus profondément offensé demanda alors à son frère la capture et l’envoi de cet effronté aux enfers. C'était sans compter que les dieux même s’ils sont puissants, ne sont pas forcément malins. Hadès trompé par Sisyphe, roi de Corinthe, enfila ses propres menottes pour tester leur efficacité… Il se trouva pris à son propre piège dans une cellule digne de sa malice. Zeus, soucieux de sa réputation à l’Olympe, commanda à Arès, grand guerrier, de libérer son frère Hadès qui faisait vraiment tâche à son honneur. Sisyphe, sachant qu'il allait être tué ordonna à sa femme de ne pas enterrer son corps pour qu’il obtienne du maître des enfers, un sursis. L’habile eu une merveilleuse vie, mais à sa mort…les dieux, après maintes délibérations sur le châtiment de Sisyphe, s'entendent sur une sentence, la plus atroce : pousser un rocher qui tombe indéfiniment d'une colline aux enfers.Pour un terrien c’est un truisme, châtiment absurde. Sous le joug d'une éternelle pénitence, l’accommodement pour le moins étrange de notre cher Sisyphe, lui fait oublier et ses origines et sa condition.

Paul 1S4

Nous avons visité la synagogue de Pest. Ce fut un moment très émouvant pour les élèves. Il reste 80 000 juifs dans la capitale Hongroise contre un million avant la guerre. Le quartier juif reste un lieu très fréquenté par les touristes aujourd'hui car on y trouve les restaurants et les bars les plus tendances de la capitale. Ce fut une très belle découverte pour les élèves de la seconde 4 du Lycée Notre Dame. Nathalie Aron, accompagnatrice

Le Art to Play est un festival de culture geek japonaise organisé par l'association Bulle Manga.

Cette année, les nantais ont eu la joie d'y recevoir en scène Dean-Charles Chapman, l’acteur de Tommen Baratheon de Games of Thrones pour une série de questions-réponses ainsi que des séances de dédicaces et de selfies.

Youtubeurs

Comme chaque année, un concours de cosplay a été organisé à Nantes pour l’occasion, puis un autre pour les qualifications régionales et la coupe de France. Beaucoup de Youtubeurs et Youtubeuses étaient présents pour rencontrer leurs abonnés, Amixem ou bien VodK, David la Farge en passant par Iconoclaste, Eagle States et Bronol de Trash et Bob Lennon.

Des groupes de musiques ont fait le buzz comme Loka et Goldarock ou encore les Vox Makers pour un dernier show avant leur séparation.

Tout ce beau monde était là pour la plus grande satisfaction les fans déchainés.

Les boutiques avaient rempli leur stock.

On pouvait acheter toute sorte de mangas, des dessins, des vêtements, des bijoux, des figurines, des jeux ou encore des répliques d’épée de jeux vidéos.

Mais tout ceci n’est que la partie visible du festival...

BROSSAUD Logan Sec 8

Objectif : rassembler des élèves de capacités différentes. Plusieurs options sont proposées aux élèves de seconde qu'ils conservent trois ans au lycée.

Monsieur Poirier, professeur de sport, a bien voulu répondre à nos questions :

L- Depuis quand l’option Volley a elle été crée  ?

P- Il y a 20 ans car lorsque je suis arrivé au lycée, durant l’inauguration du gymnase, l’option existait déjà depuis quelques années.

L- Pourquoi l’option a elle été mise en place par le lycée ?

P- On a voulu enrichir les contenus des options proposées aux lycéens et donner des points dit «  bonus  » au BAC (car avec les options nous n' en perdons pas !)

L- Donc il y a un lien avec l'A.S ?

P-Oui l’option les entraîne pour le BAC et la section sportive les perfectionne. Ce qui est bien avec le volley c’est l’entraide et la diversité. Deux élèves peuvent se retrouver à jouer l'un contre l'autre un week-end alors qu'ils jouent dans la même équipe en option. Le but est aussi de rassembler des élèves ayant des capacités différentes.

Logan BROSSAUD 2DE 8

Dans les coulisses d'Art To Play nous avons rencontré Eileen, une des plus jeunes participantes.

Son cosplay de Wonder Woman, fut réalisé en trois mois à partir majoritairement de mousse et de papier mâché et une structure en fil de fer. Avec sa performance sur scène ils seront inclus dans son projet d’arts plastiques pour le baccalauréat 2018.

Les participants se présentent le matin à l'entrée réservée. Ils assurent leur présence au stand de Bulle Japon, association organisant le concours.

On leur remet un bracelet d'accès aux vestiaires où ils vont commencer à se préparer (certains cosplay nécessitent plusieurs heures) pour le pré-judging (observations et questionnement sur les costumes par les juges).

L’attente peut être longue une fois l'ordre de passage donné, mais l’ambiance qui règne en coulisse est plutôt chaleureuse.

Les cosplayers sont bienveillants les uns avec les autres.

Les costumes proviennent tous d’univers très différents : beaucoup des mangas, des jeux-vidéos et d’autre dessins animés, films, séries.

Clémence LE BRIS TL

L’histoire retrace l’épopée d’un duo de rescapés : Albert Maillard joué par A.Dupontel, Edouard Pericourt joué par Nahuel Perez Biscayart, l’un modeste comptable, l’autre dessinateur de génie, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts. Ils nous font vivre leur histoire émouvante et nous plongent dans un univers touchant et plein d’inventions à travers une histoire passionnante de complicité et aussi dangereuse que spectaculaire.

J'ai tout d’abord été frappée par la reconstitution de la scène « in medias res » de la 1ère Guerre Mondiale qui est une réussite très impressionnante : les images avec un grain et un filtre sépia nous font oublier le numérique et nous plongent au début du XXe siècle dans la scène de guerre et les bruits des bombardements semblent tellement réels. De plus, la scène des Années folles dans l’hôtel Le Lutetia, pouvait apparaître fantasque dans la bande annonce mélange parodie de tribunal et jeu de massacre et ajoute du burlesque. C’est une terrible dénonciation des horreurs de la guerre et du cynisme des puissants.

En outre, les masques d’Edouard, gueule cassée, sont d’une beauté incroyable, de véritables œuvres d’art tant par les couleurs que par les matières choisies. Ils nous font découvrir l’itinéraire mental du héros.

L’esthétique est soignée et les costumes nous révèlent l’élégance à la française du début du XXe siècle. Les différents costumes et décors nous offrent une beauté vraisemblable. Un vrai travail d'anticipation a été fait car tous les décors comme celui du vieux Paris sont très réalistes. De plus, le choix du point de vue interne à travers le personnage d’Albert contrairement au roman est pertinent car il renforce le processus d’identification du spectateur. Le jeu des acteurs est extraordinaire. Chacun épouse son personnage à la perfection et délivre une palette d’émotions d’une richesse étonnante. Tous les registres sont présents, le spectateur ne peut y rester indifférent : il les aime ou les exècre comme Laurent Laffite dans le rôle de Pradelle : une vraie ordure !

Pour conclure, si le film est un condensé passionnant du roman (durée 177min), Dupontel reste fidèle à l’œuvre originale mais a su avec brio prendre la liberté de l’adapter à son propre univers. Il fallait oser changer la fin de l’histoire sans en trahir l'émotion, la surprise et y ajouter un supplément d’âme. Après le Goncourt, la nomination aux Césars est attendue…

Alors n’hésitez pas, allez voir ce film et lisez le roman. Peu importe dans quel ordre, vous ne serez pas déçus !

Cléo Belz 1ES1

En décembre les élèves ont découvert Prague, la seule ville au monde où se trouvent des maisons et des immeubles cubistes et baroques. Ils ont suivi trois visites guidées : au musée Franz Kafka, à Veletrzni Palač, et au musée du communisme. Ils ont aussi assisté à TOSCA, un opéra de Puccini avec l’orchestre national de Prague. Enfin, ils ont pu admirer tous les monuments emblématiques de la ville : le château, le pont Charles, l’horloge astronomique... Ils sont aussi allés en cours à l’English College.

Sophie Lagarde professeur de français

Tous les messages que nous ont envoyés les élèves au retour du séjour à Guadalajara en octobre reflètent le même enthousiasme.

Voici quelques échantillons de leur bonheur :

Joris : "Un voyage inoubliable au cours duquel je me suis fait pleins de nouveaux amis !"

Clémence, "Un voyage magique",

Alice, "Un voyage top,le Mexique est un pays fabuleux où l'on fait de belles rencontres !

Chaharazed "Des gens fabuleux avec une mentalité en or, un voyage inoubliable et magique !

Clémence "Au Mexique j'ai découvert une culture incroyable et rencontré des gens exceptionnels".

Et pour le confirmer, le Concours photos dans le hall du lycée leur a permis de partager avec tous les élèves de Notre-Dame quelques symboles mexicains.

Colette Lefebvre professeur d'espagnol

Pour la première fois, en février prochain, 16 élèves de seconde Euro Math embarqueront pour un échange en Australie.

Au programme de ce voyage de 16 jours : découverte de Singapour, 10 jours d’immersion à Sydney dans les familles du William Clarke College, notre lycée partenaire. Fin de séjour par deux nuits à Melbourne pour découvrir la deuxième ville la plus importante d’Australie après Sydney. Puis en septembre 2019, à notre tour, nous accueillerons nos correspondants australiens. Laissons passer la grisaille de notre hiver et plein feux sur l’été australien !

Barbara Gillet

professeure d'anglais

Nous avons eu le plaisir de rencontrer Meidi, Anushka, Mariam et Sangnan, lycéennes de Tenerife, île de l'archipel espagnol des Canaries, au large de la côte ouest de l'Afrique.

En quatre mois, non seulement elles se sont améliorées en français mais elles ont également enrichi leur cercle amical. Selon elles, les cours dans notre lycée français sont plus sympathiques car ils sont plus interactifs.

Trois d'entre elles avaient un correspondant venant de Notre-Dame et une du lycée des Bourdonnières. Sagnan Yao Yu qui veut travailler dans l'’architecture et design intérieur a beaucoup apprécié notre travail sur l'orientation : elles n'ont pas le même suivi à Tenerife.

Avec leurs familles françaises elles ont visité Nantes et voyagé dans d'autres villes comme Paris. Leur séjour a été très positif et elles conseillent à tous de vivre la même expérience. Meidi, Anushka, Mariam et Sangnan avaient bien sûr hâte de revoir leur famille mais elles étaient aussi tristes de quitter tous leurs amis de Nantes.

Après ce séjour en France elles tenaient à remercier les professeurs qui les ont beaucoup aidé à "s'acclimater plus vite" aux programmes scolaires et à la vie du lycée.

M.P et F.D

Les élèves de seconde ayant choisi l'enseignement d'exploration littérature et société vont pouvoir présenter un projet préparé pendant plusieurs mois : un journal contenant neuf articles. Ces articles devront décrire Nantes de nos jours et traiter d' un événement sportif, un événement culturel, la présentation d'un auteur nantais connu, une place de Nantes, ainsi qu'une fête ou un événement nantais actuel.

Ces travaux, qu'ils réalisent déjà depuis le début de l'année scolaire par groupe de quatre, leur permettent de mieux connaître Nantes au XXIe siècle à travers ses activités culturelles et artistiques. Ce projet enthousiasmant est animé par Mesdames Legall et Lagarde. et sera définitivement terminé en janvier. Nous consacrerons un dossier spécial du projet dans le prochain numéro de Chahut-Bahuts prévu en mars.

Camille B première ES

Des élèves de 1ères ES4, ES3 et de 1ères L sont allés 3 jours, du 19 au 21 décembre à Charleville et à Paris. Ils y ont découvert le musée Rimbaud ainsi que la maison de Victor Hugo, aujourd'hui organisée en musée.

En allant sur les traces de cet écrivain du XIX ème siècle, ils ont pu découvrir la vie parisienne de cette époque.

Un auteur célèbre

Victor Hugo, célèbre écrivain, a vécu et écrit pendant ce siècle ses romans les plus populaires comme Notre Dame de Paris en 1831.

Pendant 16 ans de 1832 à 1848, il a habité dans un appartement de la Place Royale.

En 1851, il s'exile sur l'île de Guernesey, et ne revient à Paris que 20 ans plus tard.

Une urbanisation repensée

La ville est alors en pleine transformation culturelle et urbaine.

Paris n'a pas toujours été la ville moderne à l'architecture rayonnante que l'on connaît aujourd'hui. Avant ce siècle, Paris était encore considérée comme une ville médiévale. Malade, elle a abrité des bidonvilles et subi une épidémie de choléra. Les rues étaient étroites et insalubres. Malgré tout, la capitale se modernise.

Le baron Haussmann en dirigea la transformation en créant des espaces verts et en bâtissant de nouveaux monuments. Les Champs Elysées ainsi que des lieux de promenades sont aménagés .

La culture devient aussi un élément important de la vie parisienne. Le théâtre, l'art, l'opéra ou encore la lecture sont des loisirs importants pour la bourgeoisie parisienne. Victor Hugo a donc participé au regain culturel de notre capitale à la renommée mondiale.

Camille B, première ES

En octobre 2017, un groupe d'élèves est parti visiter le pays du "Céleste Empire", la Chine.

Une trentaine d'élèves de premières et de terminales, faisant pour la plupart option Chinois LV3 sont partis à la découverte de la Chine avec M. Legars, M.Hunault et Mme Prin en tant que professeurs accompagnateurs. Arrivés tout d'abord à Pékin puis à Qingdao, les élèves ont pu s'imprégner de cette culture. En effet, la vie en Chine est bien différente de la nôtre, comme le précise Anaïs Coquet participant au voyage de deux semaines : "On se sent dans un autre monde, tout est différent. Nous sommes littéralement dans un bain de culture riche."

Les élèves sont revenus avec des souvenirs plein la tête et ont retenu certaines anecdotes qu'ils ont bien voulu nous faire partager, Aurélie : "On a rencontré des chinois qui apprenaient le français, c'était très amusant ! Nous avons beaucoup parlé avec eux.".

Les élèves ont visité le Temple du Ciel, le mausolée de Mao, des temples bouddhistes, les Champs Elysées chinois ou encore la Cité Interdite. Mais ce qui a le plus marqué les esprits reste la Grande Muraille par la beauté de son paysage et sa vue panoramique.

Le groupe était divisé en plusieurs équipes constituées de trois à quatre élèves et recevait quotidiennement des missions leur rapportant des points pour atteindre diverses récompenses. Finalement, les gagnants ont remporté un coffret de calligraphie ainsi que des t-shirts et des casquettes. Après ces efforts, le réconfort ! Tous les soirs les élèves profitaient des ruelles illuminées de Pékin pour aller manger dans des restaurants typiques et se balader à travers les nombreuses boutiques. Un groupe de cinq filles a pu profiter du voyage pendant un mois. Accueillies chaleureusement, elles étaient logées sur place dans des chambres individuelles et allaient manger avec leur correspondant chaque matin. Les filles suivaient des cours aménagés dans le but d'en apprendre plus sur la culture chinoise et ses traditions. Les élèves auront peut-être la chance de recevoir à leur tour leurs correspondants chez eux d'ici l'été prochain.

Emma GAROFALO et Emilie PIERRARD

Vous rêvez de découvrir la contrée intrigante de la fac ou encore le pays mystérieux des prépas ? N'hésitez plus, faites une journée d'intégration dans l'établissement de vos rêves !

Vous aurez l'occasion de découvrir votre futur quotidien d'étudiant l'année prochaine si vous êtes en Terminale ! Ayant infiltré une classe de prépa BCPST, j'ai pu découvrir ce qu'était un TP de trois heures et assister aux colles tant redoutées. Les élèves et les professeurs que vous rencontrerez pourront répondre à toutes les questions que vous vous posez concernant leur établissement.

Maya, Ts

Entre deux répétitions, Jean Miannay, ancien bachelier ES de 2014, a accepté de me raconter son parcours tout de même atypique.

"J'ai débuté la guitare électrique à Rezé et j'ai eu mes premières expériences de la scène avec des groupes de rock. Au bout de 3 ans de musique actuelle et de chant orientation rock, j'ai approfondi l'univers de la voix et alors j'ai décidé de plonger dans l'inconnu : le chant lyrique au Conservatoire de Nantes pendant 2 ans. Puis en 2014 après mon bac je suis monté à Lille pour étudier Musicologie à l'université et Chant Lyrique au Conservatoire. Deux ans après j'étais admis à la Haute École de Lausanne en Bachelor 1 Chant Lyrique, mais il faut que je vous avoue qu'à cette époque je ne savais pas reconnaître la 5 ème de Beethoven ...

Le chemin a été long et difficile mais j'ai travaillé comme un fou pour tenter de comprendre comme cela fonctionne. En fait : rien à comprendre, juste faire de la musique, des jolies notes, des jolis sons pour le plaisir. Au lycée j'ai passé des années géniales mais je vous confie que j'étais un élève très moyen faute de travail. Et un jour j'ai réalisé que le chant était...ma voie.

Un bon conseil : vous les artistes, agissez, n'attendez pas que ça vienne tout seul, donnez-vous les moyens de réussir, rien n'est acquis : les carrières artistiques sont une perpétuelle remise en question de soi-même. Mais quel bonheur de chanter maintenant à l'Opéra de Lausanne !"

Colette Lefebvre

Ils étaient heureux de se retrouver à nouveau dans leur lycée, mais comme visiteur cette fois !

Beaucoup d'anciens élèves sont venus au mois de novembre chercher leur précieux diplôme.

Autour d'un buffet, ils ont partagé un bon moment avec les copains. Ils en ont aussi profité pour confier leur début d'année d'étudiants à leurs anciens professeurs. Nous leur souhaitons bonne route dans le supérieur.

Colette Lefebvre Professeur d'espagnol

Esther López Alías, 21 años, es de Almería. Estaba en casa de una familia en Rezé. El viaje de Almería a Nantes fue muy largo porque hizo Almería Madrid en seis horas de autobús y terminó en avión. Vino a Francia sola para aprender francés. Se quedó de octubre hasta Navidad. Cuando tiene tiempo le gusta practicar la natación. En España ha estudiado para ser maestra de niños entre tres y cinco años. A lo mejor le gustaría encontrar trabajo en Francia... Esther piensa que los franceses son acogedores.

Carmen y Théo , seconde 8