Des mobilités du personnel en octobre.

Tiphaine Goislot enseignante en mathématiques est allée en Irlande en stage d'observation dans sa matière.

Fabiola Martin, Laurence Le Luec et Dorothée Retière étaient en Angleterre pour suivre des cours d'anglais.

Un petit retour sur une expérience, celle de Fabiola Martin qui nous dit :

"Je suis partie pour parfaire et améliorer mes compétences en langue anglaise que j’enseigne. Il me semble en effet essentiel de continuer à me former, d’autant plus que les élèves effectuent beaucoup de longs séjours à l’étranger. Par conséquent, il est très important de maintenir un très bon niveau de langue. Je souhaitais travailler la fluidité de langage et être immergée, c'est une condition indispensable pour travailler cette compétence, et aussi me remettre en confiance. Cette expérience et les retours m’ont effectivement aidée à me mettre en confiance."

Attendons maintenant les prochains départs au cours du 2ème trimestre.

Vous êtes arrivée en septembre au Lycée pour quelles missions ?

Je suis arrivée à Charles Péguy pour assurer des missions de développement au sein du service de formation continue, sous la responsabilité de François Robin. Il s’agissait dans un premier temps de définir les secteurs et le type d’actions à mettre en place, car la formation continue regroupe des dispositifs très différents en fonction du public auquel il s’adresse (demandeurs d’emploi, salariés, jeunes, adultes).

Avant le Lycée Charles Péguy quel a été votre parcours ?

Je remonte le temps… J’ai vécu 13 ans en Amérique du Sud au Vénézuéla (de 4 à 17 ans), où j’ai eu mon bac. Puis, je suis arrivée en France (choc culturel !) et j’ai intégré l’Université pour une licence puis une maîtrise en Sciences de l’Education. Pendant ces 4 années j’ai été animatrice périscolaire, afin de pouvoir financer une partie de mes études.

J’ai commencé mon parcours professionnel, en tant qu’enseignante suppléante en école primaire, pendant 3 ans. Puis j’ai été formatrice sur des actions d’orientation pour des personnes en réinsertion professionnelle au CFPPA Edgard Pisani, à Montreuil Bellay, pendant 6 ans. Et dernièrement je travaillais au sein d’un organisme de formation « Retravailler dans l’Ouest », où je construisais et rédigeais des propositions pédagogiques, pour des réponses à des appels d'offres (pendant 6 ans).

J’ai toujours été attirée par l’éducation en général et la pédagogie en particulier.

C’est exaltant de faire avancer les autres !

Quels sont les projets en cours ou à venir en formation continue ?

Nous avons de nombreux projets, au sein du CFC, mais c’est un travail de longue haleine. Nous espérons pouvoir mettre en place nos premières actions de formation en 2018.

Trois grands projets sont au cœur de notre activité :

De la formation courte (2 à 3 jours) à destination des professionnels agricoles dans les domaines du : commerce et du web-marketing - de la gestion - du management - des techniques d’équitation - de la dégustation

De la formation en orientation et en insertion professionnelle, pour des jeunes décrocheurs notamment. Pour cela nous avons répondu à l’appel d’offre « Parcours de la 2ème chance » porté par la MDEDE et le Conseil Départemental de Vendée (nous attendons une réponse en fin d’année)

De la formation qualifiante en alternance, dans le domaine du commerce spécialisé en petite, moyenne et grande distribution.

Nous réalisons actuellement une étude de marché afin d’identifier les besoins des professionnels du secteur. Nous étudions également l’opportunité de mettre en place une action qualifiante en alternance en lien avec le secteur équestre.

Propos recueillis par
Christine Cauchon

Arrivée en septembre 2017, Alexandra Forget remplace Chantal Pallier en tant que documentaliste

Quel est votre parcours depuis votre collège ?

Après un baccalauréat littéraire, je me suis engagée dans un cursus de Lettres à la faculté de Nantes. J'ai obtenu une licence puis une maîtrise de Lettres Modernes. Parallèlement à mes études, j'ai effectué un certain nombre de suppléances en tant que professeur des écoles dans différents niveaux de classe et cela, jusqu'en 1995. J'ai travaillé également en tant que surveillante d'internat pendant six ans. C'est en 1998, que j'ai commencé le métier de professeur documentaliste en collège. En 2010, j'ai passé un Master 2 de Lettres Modernes Option Littérature jeunesse. J'ai travaillé dix neuf ans en collège et je suis arrivée à Charles Péguy à la rentrée de septembre 2017.

Lorsque vous étiez lycéenne, quel métier vouliez vous faire et pourquoi ?

Très franchement, je n'avais pas d'idée très précise. Après mes études de lettres, j'ai dû faire un choix. Ce dernier a été guidé par l'intérêt que je portais à la littérature, et à la littérature jeunesse en particulier. J'ai donc opté pour le métier de professeur documentaliste car il me permettait d'allier cet intérêt à un autre domaine que j'affectionnais, l'enseignement. Et je ne regrette pas mon choix ! Outre le fait de former les élèves à la recherche documentaire, cette profession me permet de transmettre le goût pour la lecture et d'échanger autour des livres. Ce qu'il y a aussi d'exaltant est la diversité des projets qui peuvent être organisés dans le cadre d'un CDI.

Pourquoi vouliez vous venir à Charles Péguy et quels en sont les critères ?

Le lycée Charles Péguy était pour moi l'occasion de découvrir un nouveau public : celui des lycéens. Aussi me suis-je lancée dans l'aventure. Après un mois et demi en poste, je prends peu à peu mes marques et me sens plutôt bien !

Pierre Lebrun seconde

Manon Maisonneuve responsable de la communication au lycée parle de son rôle au quotidien

Quel est votre rôle au sein du service communication ?

Avant mon arrivée ce service était composé de deux infographistes : une personne qui s'occupe du site Internet et l'autre de la page Facebook.

Le service de communication coordonne la lettre d'information "À la Une" et produit les affiches pour la saison culturelle, par exemple.

Mon rôle est d'organiser les informations pour qu'il y ait de la cohérence et donc, au quotidien, de produire sur tous les supports, comme le livret d'accueil ou la signalétique.

Je coordonne, organise et suis la stratégie du directeur d'établissement.

Presque toute la communication qui émane du lycée en interne ou externe, passe par le service de communication.

Quel a été votre parcours ?

Je suis titulaire d'un bac littéraire, et j'ai enchaîné à la fac. Je possède, une licence en information et communication, un master en communication des organisations et donc un bac +5. J'ai également passé deux ans à la Caisse d' Epargne Bretagne Pays de la Loire en tant que chargée de communication interne, avant d'être responsable du service de communication du lycée Charles Péguy.

Pourquoi avez vous choisi le Lycée Charles Péguy ?

J'ai postulé ici car c'est un établissement dynamique. Il s'y passe plein de choses, on ne s'ennuie jamais. La direction impulse en permanence un mouvement. Il faut suivre, mais on propose aussi des initiatives variées, que ce soit à l'international ou dans le cadre de la saison culturelle.

Comment s'est passée votre rentrée ?

Très bien, je suis rentrée en même temps que les professeurs à la fin août j'ai eu ainsi le temps de prendre connaissance des contenus pédagogiques et de commencer à préparer le forum des métiers le 13 janvier.

Margaux MENAND et Pierre LEBRUN

Classe de seconde

La réécriture de notre projet éducatif annonce clairement cette volonté de pouvoir mettre en œuvre des organisations, des structures où la lycéenne, le lycéen pourra partager ses passions.

Et c’est pour cela que nous avons décidé de créer l’École des Arts et du Spectacle.

Exprimer ses dons

Cette école ouverte aux élèves du Lycée Charles Péguy et du Lycée St Gabriel Nantes Océan va permettre aux inscrits d’exprimer leur don.

Beaucoup considèrent que le don artistique n’existe pas. D’autres nous disent que le don ne se manifeste qu’à la faveur d'un intense travail. Le don est l’acte de donner sans contrepartie ; il est désintéressé !

Nous, nous considérerons que cette école sera accessible à nos élèves ayant une vocation artistique.

Le travail de nos différents enseignants et organisateurs de spectacle sera de les réunir, de les faire travailler ensemble, de partager leurs expériences, leurs compétences, de les mettre en harmonie afin de faire naître de nouveaux sentiments où l’épanouissement, l’ouverture, la relation à l’autre et l’envie de se projeter seront au cœur.

Donner et recevoir

Il y aura donc bien une contrepartie : être en pleine possession de ses moyens et découvrir ce dont nous sommes capables permettra à nos lycéennes et lycéens « de donner et de recevoir » de l’autre.

Un lien étroit entre cette école et notre saison culturelle programmée au sein de la Stella Auditorium existera. Des premières parties de spectacle réalisées par nos élèves, des rencontres avec les artistes, les idées ne manquent pas.

Un nouveau projet ambitieux est donc né ; alors longue vie à l’École des Arts et du Spectacle.

Sylvain Olivier

Directeur

Lorsque les élèves étrangers intègrent le système scolaire du lycée pendant tout le temps qu’ils sont ici, leur présence est enrichissante pour le lycée, mais pas uniquement. L’école primaire Pie X de Gorges profite également de la présence de ces élèves étrangers. Ce partenariat avec l’école Pie X donne lieu à de formidables moments de partage. Les élèves étrangers sont allés le 19 septembre dernier à l’école Pie X pour se présenter dans leur langue puis en français. Ils ont tous fait cela très bien. Quant aux enfants, ils ont pu entendre parler en anglais, espagnol, allemand, finlandais, et letton, et les maternelles se sont présentées elles aussi aux élèves étrangers. Les élèves de CM se souvenaient bien de Molly avec qui ils avaient partagé beaucoup de choses l’année dernière. Les garçons de l’école ont invité Martins (letton) et Aaron (espagnol) à jouer au foot avec eux à la récréation et Livia (allemande), qui a eu des bons résultats à des concours nationaux et internationaux de corde à sauter, a ravi les jeunes filles en leur accordant plusieurs démonstrations.

Début octobre, les élèves étrangers les ont aidés à préparer un marché gourmand avec au menu du pain d’épice, du gaspacho...

Prochainement en vue dans le cadre de ce partenariat : des leçons d’anglais effectuées par les élèves étrangers, et une présentation plus poussée de leur pays au travers d’un diaporama.

Théophane Airiau

Service civique à l'international

Le vendredi 13 octobre, dans le cadre des 30 ans d'ERASMUS+, les neuf élèves étrangers scolarisés depuis le mois de septembre ont témoigné devant les élèves du lycée.

Chaque élève en autonomie ou accompagné, a préparé une présentation permettant à chacun de s'exprimer sur : son pays, son école, les coutumes, ... et aussi sur son intégration au lycée et à la vie française.

Ce que l'on peut retenir, c'est leur capacité à tous de s'adapter rapidement à la vie française, certains parlent trois à quatre langues. Avec humour, ils savent dire que nos journées de travail sont plus longues que dans leur pays respectif.

Pour cette manifestation nous avons eu le soutien de l'agence ERASMUS+, qui a fourni des documents sur la mobilité européenne aussi bien pour les élèves que pour le personnel. Des ballons et des fanions ont donné l'ambiance internationale.

Un événement qui a suivi notre semaine des langues réalisée fin septembre, et qui donne en ce début d'année une belle dynamique à l'ouverture sur le monde.

Christine Cauchon Adjointe de direction

The group of international exchange students recently had a wonderful experience at the local Primary school that has made me think a lot about the inquisitive children we presented our countries to. They are so young and innocent. Unknowing of the world and its problems.

These children, of who were as young as three, had so much curiousity and compassion within themselves. They didn’t have any prejudices or grudges against us and our countries.

I felt pressure and pride to represent my country. For these children it was their first exposure to the world and its wonders.

I received all kind of questions such as :

“Est-ce que vous avez les trains en Australie ?”

“Parlez-vous français en Australie ?”

“Est-ce qu’il y a des céréales en Australie ?”

These were very surprising questions as they were different from the endless questions about kangaroos and beaches that I commonly receive from adults. These questions came from a genuine place of curiosity. I loved that I was the person who was painting the picture of Australia in the minds of these young people.

For them, my country was a dream of an unknown land. When I talked about the amazing landscapes of Australia it all sounded so idealistic.

I was giving the children an imagination. It is so important to get out and talk to real people about their experiences in the world. This would mean that we would all be so much more cultured, more accepting and more knowledgeable of all the exquisite places that there are on this earth of ours.

Molly Spencer (Australienne en premiere)

Martins est letton, il reste cinq mois en France. Rosita finlandaise et Sebastian mexicain, eux vont passer une année complète.

Tous les trois ont choisi notre pays pour différentes raisons mais sont curieux de le découvrir.

Pour Martins, cet échange lui permet principalement d’améliorer son français. « J’étudie le français depuis 9 ans et ma sœur est déjà venue en échange à Nantes » explique-t-il.

Rosita , elle, souhaite découvrir une nouvelle culture et faire de nouvelles rencontres.

Enfin, Sebastian a passé une année d’échange en Nouvelle Zélande et a adoré cette expérience. Déjà bilingue, il indique : « J’ai choisi la France car ce n’est pas un pays anglophone ».

Adaptation

Après une première semaine difficile à cause de la barrière de la langue, ils se sont tous bien intégrés au lycée . « Au début je comprenais 50 % des discussions maintenant c’est plus facile » affirme Martins. Pour Rosita, ce sont les gens de sa classe qui l’ont aidée à s’intégrer et suivre les cours. « Rencontrer les autres élèves étrangers m’a aidé car nous vivons la même chose » explique Sebastian.

Ils sont tous les trois d’accord pour dire qu’il est difficile de s’habituer aux longues journées françaises. « En Lettonie, je finis les cours à 15h45 et j’ai donc plus de temps pour faire du sport » dit Martins.

Ils nous ont également fait part de ce qui les avait le plus surpris à leur arrivée en France. Martins pensait qu’il allait habiter dans une grande ville comme Nantes et il a été étonné de découvrir Remouillé, commune de 1500 habitants. Rosita trouve de nombreuses différences entre les systèmes éducatifs français et finlandais : la distinction entre les écoles privées et publiques, l’appel des professeurs par leur nom de famille, le vouvoiement … sans oublier les longues vacances.

Au final le séjour est positif pour les élèves étrangers et français, car il offre une ouverture partagée sur le monde.

Ellyn Goyaux , Classe de seconde

Molly Spenser, Aude Bontemps, Classe de première

Authenticité, Terroir, Proximité est une entreprise fictive à l’activité bien réelle, créée par les BTS 1 et 2 TC JVO.

Elle est présidée par Gaël de Kerdanet et Mélanie Durassier , vice présidente.

Elle propose à plus de 110 comités d’entreprise des produits essentiellement du terroir.

Gamme de produits élargie

Pour cela un catalogue est disponible, comprenant une gamme élargie, de quoi bien confectionner son propre panier garni. De la compote, à la confiture, en passant par les vins et les produits festifs, mais également les chocolats et confiseries, ainsi qu’un panel BIO etc...

ATP, c’est le respect de l’environnement, mais également des produits essentiellement locaux.

Pauline Babin BTS 1 Technico commercial

Une nouveauté

Cette année, un nouveau projet prend place au sein du lycée : la comédie musicale.

À chaque parution, nous allons vous faire vivre ses grandes étapes.

Cette idée, venue d'Irlande, transmise par une élève puis partagée avec Christine Cauchon, est devenue le projet de l'année.

92 élèves et des personnes de l'équipe éducative participent à ce nouveau défi. Des castings auront lieu pour déterminer le rôle de chacun. On retrouvera entre autres des danseurs, des chanteurs, des ingénieurs, des maquilleurs, des coiffeurs...

Les élèves se mobiliseront quelques mercredis après-midi, selon leurs rôles et la scène du jour.

Tous les participants au projet sont appelés à aider à la mise en scène, aux décors et aux costumes de la comédie.

Audrey et Julie s'occupent de la logistique tandis que Sarah et Véronique, toutes les quatre éducatrices vie scolaire, écrivent l'histoire de la pièce, qui sera représentée le 25 mai 2018 à l'auditorium du lycée.

Diane Breton et Ellyn Goyaux (seconde)

La classe ULIS nous présente deux activités réalisées en début d'année.

Escalade

Avec la classe des 1ères SAPA, l'escalade c'était trop bien, on est monté assez haut voire même, pour certains d'entre nous, tout là-haut.

Nous sommes fiers de cette réussite. Lors de l’ascension sur le mur, nous avons ressenti comme une chaleur dans le cœur, un petit peu d'angoisse aussi mais les encouragements nous ont rassurés. C'était une formidable expérience. "On s'est senti accueilli".

Jardin Potager

Dans le jardin potager, nous faisons plein de choses depuis la rentrée :

- ramasser les légumes (pommes de terre, tomates cerises, poivrons, citrouilles) et les fruits (framboises et fraises) - enlever les mauvaises herbes (nous n'aimons pas faire ça)
- couper les fleurs fanées
- arroser

Ce que nous aimons le plus, c'est goûter les fruits et ramener des légumes chez nous.

Nous avons ramassé une citrouille de 10.9 kg. Avec celle-ci, nous ferons une belle soupe en atelier cuisine.

Charlène, Jason, José, Eloïse, Dominyka, Laura Classe Ulis

Chaque début d’année, le lycée Charles Péguy envoie ses élèves de terminale en séjour pédagogique. Au programme : excursions, visites culturelles, activités sportives, quartiers libres, soirées à thème. De bons moments garantis !

Que l’hébergement se fasse en auberge de jeunesse ou en famille d’accueil, les objectifs restent les mêmes. Il s'agit d'améliorer et de consolider la cohésion de groupe, dans la bonne humeur. Découvrir de nouveaux lieux et de nouvelles cultures. Les élèves ont déjà voyagé dans le sud de la France, en Slovénie, en Croatie, au Portugal, en Allemagne, ou encore en Angleterre.

D'autres buts sont ainsi atteints, comme développer l’autonomie, le sens des responsabilités et la capacité d’organisation.

Chaque classe de terminale se fixe un projet commun en choisissant sa destination dès la classe de première et en mettant en place des recherches de financements par diverses actions. Ces démarches font prendre conscience de l’aspect matériel et financier du voyage.

Marine Naret Terminale

Séjour à Perpignan

21H, dimanche 10 septembre 2017. Un dernier au revoir à nos proches, et c'est parti ! Dès la montée dans le car, la bonne humeur est au rendez-vous. Quoi de mieux que de passer une semaine tous ensemble ? Ce séjour avait pour but de nous rapprocher... Pari réussi !

Nous sommes revenus plus soudés que jamais... Nous avions des journées sous le soleil, et bien chargées ! Perpignan n'est pas une destination très exotique mais cela n'a pas empêché les crises de fous rires, la découverte de quelques lieux historiques tels que Carcassonne ou le château des rois de Mayorque, ou encore l'exploration des hauteurs à travers l'ascension du Mont Canigou et de la mer méditerranée sur la magnifique plage de Collioure... Entre les parties enjouées de bowling, l'enchaînement des restaurants, la visite du Musée Dalí, tous les temps libres, les karaokés improvisés dans le car et les soirées jeux de société passées tous ensemble, il n'y a eu aucun instant sans que l'on s'amuse. Le voyage est la chose qu'on achète et qui nous rend plus riche. La fin d'un voyage est toujours le début d'une nouvelle aventure... On a créé des moments et des souvenirs impérissables, entre amis. À refaire impérativement !

Trifina Sanson Terminale

Depuis cinq ans maintenant le lycée Charles Péguy connaît une augmentation de plus de quatre-vingt élèves par an et cette année ce sont même plus de 100 nouveaux élèves M.Olivier nous dévoile le secret de la réussite.

Pourquoi choisit-on ce lycée ?

Le Lycée Charles Péguy attire de nouveaux étudiants du fait de sa réputation, due à la qualité des formations et des activités proposées. Mais ce n'est bien sûr pas tout. Les projets satellites tels que la saison culturelle ou encore la modernisation de l'internat poussent les familles à faire confiance au Lycée.

Comment gérez-vous un tel lycée en tant que directeur ?

Gérer un lycée de cette taille nécessite une équipe organisée (200 membres ) où chacun a sa mission. Par ailleurs, pour coordonner cette équipe, il est nécessaire de mettre en place une organisation particulière qui permet de suivre les emplois du temps de chaque membre en fonction de chaque personne. Les notions d'équipe et d'organisations sont pour moi primordiales.

D'un point de vue statistique, cette rentrée s'est-elle bien passée ?

Bien sûr, cette année un record est tombé celui du plus grand nombre d'élèves en seconde générale (plus de 420 inscrits). Plus de 160 jeunes suivent également le parcours international et 15 élèves étrangers présents au lycée. Pour que nos élèves continuent de s'épanouir de nouveaux projets importants, que je ne peux vous dévoiler, sont prévus pour l'année prochaine.

Mathieu et Julien Classe de seconde

Vendredi 6 octobre, l'ensemble des élèves du lycée Saint Gabriel s'est réuni pour soutenir l'association ELA.

Ils ont participé à un cross de 2,3km alliant endurance et course d'obstacles.

L'objectif n'était pas de faire une belle performance mais d'aller jusqu'au bout du parcours. Pari osé mais pari gagné !

2000 € récoltés en 2016

Leur engagement pour cette association ne se résume pas qu'à cette participation sportive.

Les élèves peuvent aussi récolter des dons et ce, jusqu'aux vacances de la Toussaint.

Notons que l'année dernière, cette quête avait permis de récolter près de 2000 €.

Alors un grand merci à l'ensemble des élèves, à Mr Stephan et aux bénévoles sans qui, ce cross n'aurait pu avoir lieu !!

Eline Bretin Vie scolaire

Cinq élèves expérimentent le journal du lycée

Je m'appelle Soline, j'ai 15 ans, je suis en seconde GT (générale et technologique) et plus tard je voudrais devenir Groom. J'ai voulu faire partie du Péguy Mag car j'ai trouvé ça très intéressant et constructif.

Je m'appelle Louane, j'ai 15 ans, je suis en seconde GT (générale et technologique) au lycée St Gabriel. J'aimerais devenir ostéopathe équin et en parallèle, éducatrice canine. J'ai voulu faire partie du Péguy Mag car j'ai trouvé le concept intéressant et me suis dit que ça pourrait me plaire.

Je m'appelle Lucie, j'ai 14 ans et je suis en seconde PA (production animale). J'ai décidé de faire cet article car c'est un sujet intéressant et qui me passionne. Plus tard, j'aimerais être responsable du secteur des grands singes au zoo de la Boissière du Doré et avoir ma ferme pédagogique avec des animaux qui ont été maltraités et abandonnés.

Je m’appelle Félicie, j’ai 16 ans je suis actuellement en première CGEH (Conduite et Gestion de l'Entreprise Hippique) .

Je m’appelle Lisa, j’ai 16 ans et je suis dans la même classe que Félicie.

Plus tard, nous souhaitons travailler dans le monde du cheval. Nous avons décidé de faire cet article parce que nous avons voulu partager notre expérience sur ce concours.

Reporter Péguy Mag'

Pour leur formation, la classe de 1ère CGEH a eu le plaisir de participer, bénévolement, à un concours international de dressage. Ce concours s’est déroulé du 20 au 24 septembre 2017 à l’Ecole Nationale d’Equitation à Saumur. Cela fait 17 ans que monsieur Eric Babonneau emmène ses élèves sur ce concours.

La particularité de cette année, c’est que nous avons eu la chance de pouvoir présenter un jeune cheval de 2 ans, Fandreo de la Blanche, que nous avons nous-mêmes entraîné.

Les 18 élèves étaient répartis sur deux groupes différents. Un groupe « France Dressage » présentait les jeunes chevaux d’élevage. Le deuxième groupe « SHF » (société hippique française), participait à l’organisation du concours.

Petit zoom sur le groupe d’élèves « France Dressage » :

Au sein de ce concours international, un championnat d’élevage appelé « France Dressage » était organisé. Les élèves bénévoles devaient présenter, en liberté, les jeunes chevaux et poulains d’élevage dans un rond de sable, nommé aussi, rond d’Havrincourt. Leur mission était d’accompagner les chevaux dans le rond à l’aide de chambrières.

Fandreo de la Blanche était présenté par un élève du Bois Tillac, Maxime Dorchy. Notre cheval a été qualifié 4ème sur 9 de son épreuve « 2 ans mâle » et classé au Stud Book Selle Français. Une belle récompense pour ce cheval.

Retour des élèves sur ce séjour :

« Ce séjour était intéressant car j’ai appris plusieurs choses dont la notation des jurys par rapport aux chevaux de dressage. Notre classe s’est soudée grâce à ce séjour. » (Lisa R.)

« C’était une semaine assez intéressante même si la répartition des bénévoles est restée inchangée. Les CDI (Concours Dressages Internationaux) étaient vraiment jolis à voir. » (Roxane G.)

« C’était un super séjour. On était vraiment au cœur du dressage. Je suis heureuse d’avoir participé en tant que bénévole à Saumur Dressage car pour moi c’était vraiment une expérience à faire. » (Félicie C.)

Félicie et Lisa

Nous sommes Soline, Lucie et Louane, en classe de 2GT ET PA et avons observé le cour d’équitation TCGEH avec Monsieur Blanvillain.

Au lycée Saint Gabriel, nous avons la chance d’avoir une structure équestre que nous avons choisie de présenter, car le cheval est la principale motivation de notre venue dans l’établissement.

Interview de Monsieur Babonneau

Nous avons rencontré Monsieur Babonneau, professeur d’équitation et coordinateur de la structure. Il travaille en collaboration avec : Mme Marie Bichon, professeur d’équitation et chargée du développement, Mmes Auboiron et Cornichet professeurs d’équitation, puis les palefreniers-soigneurs, Jérémy Bensliman, Alexandra Hamelin et Hélène Martin (sans oublier les chiens, Delta et Vénus…)

Nous avons posé trois questions à Monsieur Babonneau :

Quel est le programme des cours d’équitation pour les terminales CGEH ?

Avec les TCGEH, je revois tous les acquis des années précédentes en les consolidant. Il faut que les élèves acquièrent plus d’autonomie avec leurs montures.

Quelle est la répartition du travail du cheval tout au long de la semaine ?

Chaque cheval est unique. Par exemple, pour un jeune cheval en apprentissage, il sera monté moins fréquemment qu’un cheval d’école, déjà endurci par son travail répétitif.

Comment s’est passée la semaine à Saumur Dressage ?

Très bien, ça fait 17 fois que le Bois Tillac y participe. Les élèves étaient répartis en 2 groupes : un avec l’association France dressage où la mission était de présenter les jeunes chevaux d’élevage (2/3 ans) et l’autre groupe, il était avec la Société Hippique Française (SHF) pour évaluer les performances des cavaliers (comprendre et observer la notation du jury).

Nous remarquons que la découverte du monde équin se situe, non seulement, au sein du lycée, mais aussi lors de manifestations nationales et internationales. (Saumur, Le Lion d’Angers, La Baule, etc.). En effet, le regard est l’élément clef de la réussite en ce début d’année scolaire ; cela permet de mieux calculer nos tournants, aussi bien à cheval que dans la vie.

Donc, ouvrons l’œil et bonne année à tous !

Louane, Lucie et Soline

Au cours de cette formation, nous devons effectuer 15 semaines de stage dans la structure de notre choix pour réaliser un projet.

La structure que j’ai choisie est Pat’mouille/EcoCyclerie du Vignoble Nantais car en effet en 2015 j’avais fait mon stage d’observation professionnel au sein de celle-ci, durant ma formation passée en Bac Sciences Technologiques de l’Agronomie et du Vivant.

Depuis ce temps, je suis bénévole dans cette structure et je suis passionnée par leur mode de fonctionnement qui correspond parfaitement au développement durable, l’univers professionnel dans lequel j’aimerais travailler plus tard. Ce projet me tient donc particulièrement à cœur.

Pat’mouille/ECVN est une structure d’insertion qui se situe à Vallet. Elle se bat au quotidien pour deux finalités : le réemploi des objets et textiles d'occasion et l'insertion professionnelle. Mon projet est la création d'une vidéo/documentaire promotionnelle avec le concours d'un réalisateur professionnel talentueux, Aurélien Boule.

Un projet social pour une meilleure connaissance des entreprises du Vignoble accompagnant les personnes à la réinsertion pour l'emploi

Cette collaboration est financière et j’ai choisi d’autofinancer le projet pour que celle-ci n’ait rien à sa charge. Nous avons donc besoin de 1600 euros pour payer le réalisateur et les frais engagés dans la campagne de communication.

Pour cela, j’ai lancé une cagnotte en ligne sur Leetchi.

Voici le lien : https://www.leetchi.com/c/association-de-patmouille

Cette vidéo a pour but de sensibiliser le grand public : au réemploi d'objets d'occasion ainsi montrer l'impact positif d'un don et/ou d'un achat éco-responsable ; à l'Economie Sociale et Solidaire, à l'éducation au Développement Durable ; à démontrer l'intérêt social grâce à la création d'emploi d'insertion polyvalent…Et faire la promotion des postes de travail de Pat’mouille : la Blanchisserie, l’Atelier couture, la boutique de vente de vêtements et l’ECVN.

Cette vidéo servira de support visuel accessible au grand public (jeunes et adultes) et permettra d’améliorer la visibilité de la structure auprès du grand public, des partenaires, des élus locaux...

Elle sera diffusée sur le site internet de la structure, les réseaux sociaux (Facebook), dans les deux boutiques (à Pat'mouille et l'Ecocyclerie) et au cours des visites de groupes.

Marine BODINEAU BTSA 2 Développement et Animation des Territoires Ruraux

Le cinéma Le Cep à Vallet est un cinéma privé constitué de quatre-vingts bénévoles et d'un salarié. Pour que chaque séance se déroule convenablement, quatre bénévoles sont nécessaires : une personne à l'accueil, un responsable de salle, une personne au stand confiseries, un projectionniste et un ouvreur. Ce cinéma ne fonctionnerait pas sans le bénévolat. En plus des séances, les bénévoles du cinéma animent des ateliers pour les enfants le mercredi après midi, ils se chargent aussi de distribuer les prospectus et mettent en place les affiches publicitaires du cinéma.

Avec un besoin de cinquante bénévoles par semaine, il faut un engagement solide, une régularité de présence de la part de tous. Grâce au service rendu, ils obtiennent une "carte rouge " qui leur permet de voir les films gratuitement.

Le cinéma Le cep a des films tout public mais ne possède qu'une salle de projection. Par apport à l'année précédente, le nombre de clients a augmenté avec l'organisation de sorties cinématographiques pour les personnes en maison de retraite.

Le cinéma Le cep est une cinéma chaleureux et accueillant grâce aux efforts de tous les bénévoles qui oeuvrent pour notre plaisir. Merci à eux !

Justine Poulain et Manon Coupry classe de seconde

Eh oui, dès la première, le BAC ! :-(

Alors bien sûr, il y a les épreuves écrites et orales de français mais n’oublions pas que les TPE concernent toutes les filières générales et technologiques. Mais qu’est-ce que les TPE ?! TPE est l’abréviation de Travaux Personnels Encadrés. Travaux pour la réalisation d’une étude pour améliorer l’autonomie de l’élève ainsi que sa capacité à travailler en groupe ; Personnels pour la proposition d’un sujet par les élèves et Encadrés pour le suivi des professeurs tout au long de la recherche.

Dans un premier temps, nous devons trouver un sujet qui rentre dans un des thèmes et axes de travail proposés, puis formuler une problématique qui guidera notre travail. Deux matières dominantes sont choisies. Les recherches débutent dès septembre jusqu’au mois de Mars. Deux heures par semaine sont inclues dans l’emploi du temps afin de réaliser les recherches au CDI, où les lycéens ont à disposition des ordinateurs et documents (livres, encyclopédies, revues, DVD…). C’est par groupe de deux ou trois que les élèves se répartissent les différentes tâches en prenant en compte le calendrier imposé par les professeurs. Dans le cas où le sujet choisi n’a pas été vu en cours, ils peuvent faire appel à l’extérieur (entreprises, associations, écoles…), de même pour les expériences (c’est même recommandé). Afin de concrétiser et d'illustrer le travail réalisé,ces expériences sont conseillées.

Deux jurys évaluent l'oral correspondant aux deux matières dominantes. Cet oral aboutit à une note sur 20. Seuls les points au dessus de 10 sont retenus et multipliés par deux.

Il existe des challenges pour les élèves les plus motivés tel que le “Challeng’Icam” ou le “Défi Loq’TPEco”. Des élèves du lycée Charles Péguy y ont participé et ont présenté leur TPE notamment “Le sang artificiel”, “les textiles intelligents”, “les problèmes d’addiction aux jeux d’argent en Australie”, “la décroissance” ...

Au final, cette épreuve permettra de gagner des points pour le BAC donc profitez-en.

Louise Turpin et Alexis Toublanc En classe de Première

Après 27 ans d'attente le remake du film culte, tiré du best-seller de Stephen King, "Ça" est de retour !

Nous sommes donc allées nous faire notre propre opinion du film, âme sensible s'abstenir.

L'histoire prend place dans la ville de Derry dans le Maine, qui est en proie à des phénomènes plutôt angoissants. Des personnes disparaîtraient mystérieusement, surtout les enfants. Une entité malveillante à l'apparence clownesque prenant la forme de nos pires craintes.

Lorsque ce clown enlève le petit Georgie, son frère Billie ne se laisse pas abattre et, avec ses amis, est prêt à détruire ce monstre.

Clara Boterf et Agathe Basselier-Guillet Première

Combien de séries as-tu regardé ?

Neuf environ dont trois séries dans lesquelles je suis à jour et dont toutes les saisons ne sont pas sorties : The Walking Dead, Fear The Walking Dead et The 100 et six en cours de visionnage : Game of Thrones, Flash, Lethal Weapon, Zoo, Colony et Daredevil.

Quelle est ta série préférée ?

Ma série préférée est "The Walking Dead". J'aime surtout regarder des séries car ça dure plus longtemps et on reste plongé dans l'univers de la série.

Pourquoi préfères-tu les séries aux films ?

Je pense que les séries peuvent être plus intéressantes par le fait qu'elles durent plus longtemps, donc d'avoir plus de suspens que dans un film.
Tout ne se passe pas en 1h30 mais en plusieurs jours de visionnage, pour certaines séries.

Une série dure plus longtemps qu'un film

On a donc une histoire approfondie sur les personnages ou sur la situation de leur monde. Quand on regarde une série, on met plus de temps que pour un film donc c'est plus intéressant.

Dans une trilogie, il y a un film qui sort tous les 2-3 ou 4 ans voire plus, c'est beaucoup trop long, alors que pour les séries cela dure beaucoup moins longtemps pour plus de visionnage, 1 ou 2 ans à peu près pour 12-13 heures d'épisodes pour certaines séries.

Lucie Clémot et Léonie Wersand- Première

Retour sur un succès

Très belle première soirée d’ouverture de saison où nous avons affiché complet depuis début septembre. Anne Roumanoff nous a confié à l’issue du spectacle qu’elle trouvait « le public chaleureux et la salle très agréable ».

Huit étudiants de 1ère année de BTS DATR (Développement et animation des territoires ruraux) ont été missionnés vendredi dernier pour aider à l’organisation au spectacle d'Anne Roumanoff.

« J'ai participé à l'événement et je devais accueillir le public. Je devais avec une tablette, flasher les billets des spectateurs abonnés. J'ai bien aimé cette mission qui nous a permis de rencontrer Anne Roumanoff et de découvrir "l'envers du décor" d'un événement ». Emma, étudiante en BTS1.

« J'avais comme mission de placer les gens aux places indiquées. Ma tâche s'est très bien passée, j'étais à l'aise. Cela m'a permis d'avoir une première expérience dans le domaine de l'événementiel ». Fanny et Alizée, étudiantes en BTS 1.

En effet, cela permet aux étudiants du lycée Charles Péguy de découvrir les métiers de l’événementiel, de développer les références culturelles, d’affiner la sensibilité artistique et percevoir le lien étroit entre développement culturel et développement local d’un territoire. Concrètement les étudiants participent à l’organisation de la soirée (accueil public, billetterie, placement..) et réalisent des supports de communication avant / pendant / après le spectacle (interview artistes, recueil avis du public, photos, vidéos…).

Excellent retour du public qui a beaucoup apprécié la qualité de la soirée. Le spectateur apprécie la proximité avec l’artiste. Avis d'une spectatrice : « J'ai été étudiante au lycée Charles Péguy il y a plusieurs années et je suis enthousiasmée de voir cette superbe salle et cet accueil chaleureux. Le spectacle a été d'une grande qualité ».

Emmanuelle Proust

Chargée de mission pour la programmation culturelle

Quel est votre parcours professionnel ?

Après un BTA Comptabilité-Gestion à Charles Péguy, j’ai fait un BTS Action commerciale en alternance. Je me suis orienté dans la nutrition animale, avec un poste de technico-commercial dans l’entreprise Mercier à Beaulieu-sous-la Roche (85), puis j'ai travaillé dans diverses sociétés, toujours en lien avec l’agriculture et l’agro-alimentaire. En mars 2006, je me suis installé comme éleveur laitier, en famille, à Montbert. Nous avons repensé tout le modèle de l’exploitation, alimentation des animaux, cultures … dans l’objectif de transformer nos produits plus tard … En 2011, accompagné de mon frère et de 4 autres éleveurs, nous lançons le projet « En Direct des Éleveurs », il s’agit de produire, transformer et vendre nous-mêmes notre lait. Produire un lait de qualité (changer le modèle de production), le transformer (via notre outil) et le vendre (changer la relation commerciale avec les GMS) 2015, levée de fond de 1,6 millions d’euros permettant de lancer la construction de la laiterie à Remouillé. Je suis élu par l’ONG Ashoka, « entrepreneur social mondial ». Notre projet reçoit le prix de l’innovation mondiale lors du SIAL à Paris. En septembre 2016 le produit est dans les magasins U et Leclerc de la Région Pays de la Loire. En octobre, nous recevons le prix de « La France s’engage » pour notre projet Économie Sociale et Solidaire et nous lançons le produit en Nouvelle Aquitaine. 2017, nous recevons 2 prix internationaux à Dublin : le meilleur design en produits laitiers et la meilleure marque et entreprise laitière mondiale.

En quoi votre filière vous a été utile dans votre profession au poste actuel ? Je suis aujourd’hui éleveur laitier et président de la société « De Nous à Vous » qui porte la marque « En direct des Éleveurs ». L’ensemble de la gestion de l’entreprise et les décisions sont prises par les éleveurs. Nous nous sommes formés et fait accompagner pour cela. Ma formation de comptabilité, gestion, droit et commerce tout comme mon expérience m’ont été très importantes dans la création du projet. Nous avons créé le projet dans son ensemble, en partant d’une feuille blanche.

Quels souvenirs gardez-vous de vos années lycée ?

J’ai passé 4 années à Charles Péguy, j’ai d’excellents souvenirs de cette période où j’ai rencontré Sophie, mon épouse. J’ai un souvenir très précis de chaque professeur, une anecdote, un cours ou une sortie. Je me rappelle les heures d’entraînements dans notre « salle de sport », un garage pour préparer les concours STAPS et IFEPS, la construction de canoës pour les sorties sur la Sèvre, la semaine d’étude biologique en Brière. Les rencontres entre toutes les filières, de la 4ème au Bac, en passant par les filières professionnelles. Je passe régulièrement, saluer des anciens professeurs, voir ce que devient le lycée. Celui-ci a été une étape importante dans ma vie d’aujourd’hui. Et je suis très heureux, que notre fils ait choisi le lycée de ses parents.

Quel message avez-vous envie de faire passer aux élèves ?

Nous n’avons de limites que celles que l’on se fixe et que rien n’est impossible. La vie réserve plein de surprises, rien n’est figé, tout est à écrire. Et c’est au lycéen d’aujourd’hui d’écrire demain, il faut inventer notre avenir où chacun à une place.

Propos recueillis par Marie Robin

Il est monnaie courante d'entendre que les médias ont pour but de manipuler l'opinion publique pour imposer diverses choses, c'est précisément l'idée que Christophe Barbier veut défaire en démontrant qu'ils reflètent également notre société.

« On est en train de vivre une révolution médiatique »Christophe Barbier conjecture qu'Internet et les réseaux sociaux jouent un rôle égal à l’invention de l’imprimerie de Gutenberg, ils opèrent un changement de nature qui va formater différemment nos cerveaux et notre façon de vivre ensemble. Ainsi, il espère à terme un « village planétaire » avec des équilibres politiques et humanistes positifs, néanmoins il prévient que le chemin pour y arriver sera certainement long et chaotique.

« Il ne faut pas éviter mais accepter l’influence des médias »

C. Barbier insiste sur le pluralisme, il est nécessaire de ne pas suivre qu’un seul média et de développer sa curiosité - elle est la base de la vocation journalistique et de la santé du citoyen. Aujourd'hui, la difficulté n’est plus de trouver mais de trier l’information, « les générations futures ont besoin d’être formées personnellement » affirme le journaliste. Par conséquent, il conseille à chacun de se faire un corpus de médias qu'il a éprouvé et traduisant ses convictions. Généralement, ce corps est composé d’un journal professionnel, de médias passionnels, et de médias citoyens permettant de se renseigner sur ce qui appartient au partage collectif comme l’affaire « Grégory »

« Il faut lutter contre l’ignorance et évoluer par l’information et la curiosité »

Ignorer cette part du patrimoine national, c'est se couper des autres, or l'histoire nous a appris qu'une société d’ignorants à un moment devient une société de barbares et encourt le risque d’être entraîné par un leader populiste. De ce fait, les médias sont des outils précieux donnant accès à tout, toutefois ils sont à utiliser avec précaution et à bon escient, « c’est un risque que devront gérer les futurs parents ».

Servane Lucas, Marine Naret, (Terminales)
Aude Bontemps (Première)

Une sensibilisation à la langue des signes ouverte au public pendant les vacances

Sarah, éducatrice de vie scolaire au sein du lycée Charles Péguy a, lors de son parcours scolaire, suivi un double cursus avec des élèves sourds au collège. Après son Bac elle a souhaité développer ses compétences en suivant une formation complémentaire dans cette langue. C'est tout naturellement qu'elle a eu envie de nous faire partager sa passion.

Lors de cette journée d'initiation à la langue des signes, Sarah nous a donné les bases tels que l'alphabet, les chiffres, se présenter, nommer les membres de la famille, des verbes employés régulièrement, et une grammaire simplifiée...

Et tout ceci avec des documents imagés pour se remémorer plus facilement les gestes ou mouvements à faire.

Nous avons fait des exercices pratiques ensemble et dans la bonne humeur.

Je vous encourage à venir nous rejoindre, car peut-être qu'un jour ce sera nécessaire pour vos futurs métiers ou vous aurez des élèves malentendants dans votre classe ou tout simplement apprendre une autre langue.

Elle anime, à l'année, un atelier langues des signes pour les élèves volontaires 3 fois par semaine.

Le Lycée Charles Péguy, acteur pédagogique incontournable du vignoble nantais, est résolument tourné vers tous les acteurs de son réseau et le monde professionnel.

L'établissement a donc imaginé des rencontres et des ateliers, que nous avons intitulés nos "RDV PROS" : pour proposer des activités sportives, ludiques ou gustatives, créer mais aussi perpétuer, dynamiser des partenariats avec des interlocuteurs engagés, comme le sont les parents d'élèves, les entreprises du territoire, les associations,... !

Le calendrier ci-dessous récapitule notre programmation 2017-2018 

Programmation RDV PROS dates inscriptions et tarifs

Conférence Christophe Barbier 13/10/2017

19h00 - 21h30 https://conferencechristophebarbier.eventbrite.fr gratuit

Atelier dégustation des vins 20/10/2017

19h30 - 21h30 anne-sophie.bellanger@charles-peguy.net 20 €

Atelier langues des signes 25/10/2017

9h30 - 16h00 anne-sophie.bellanger@charles-peguy.net 30 €

Matinée sportive Zumba 16/12/2017

10h00 - 12h00 anne-sophie.bellanger@charles-peguy.ne 10 €

Conférence Marie-Amélie Le Fur 11/01/2018

19h00 - 21h30

https://conferencemarieamelielefur.eventbrite.fr gratuit

Atelier dégustation de whiskies 19/01/2018

19h30 - 21h30 rdvpros@charles-peguy.net 20 €

Matinée sportive zumba 10/02/2018

10h00 - 12h00 rdvpros@charles-peguy.net 10 €

Atelier dégustation de bière 06/04/2018

19h30 - 21h30 rdvpros@charles-peguy.net 20 €

Atelier dégustation de rhum 29/06/2018

19h30 - 21h30 rdvpros@charles-peguy.net 20 €

Pour l'ensemble des ateliers, nous pouvons réaliser des bons cadeaux, n'hésitez pas à nous en faire la demande

Anne-Sophie Bellanger,

Pour l'équipe des RDV Pros du Lycée Charles Péguy

Jeudi 11 janvier 2018
Marie-Amélie Le Fur
"Motivation" - CONFERENCE


Vendredi 26 janvier 2018
Cali - MUSIQUE


Mercredi 21 février 2018
Cie Qui Va au Piano "Dans la peau de Cyrano" - THÉÂTRE


Vendredi 30 mars 2018
Cie Pockemon crew
"#Hashtag2.0"-DANSE HIPHOP


Samedi 7 avril 2018
Alex Vizorek est une oeuvre d'art - HUMOUR


Vendredi 13 avril 2018
Spectacle élèves option théâtre du lycée - THÉÂTRE


Vendredi 25 mai 2018
Spectacle du lycée -
COMÉDIE MUSICALE






















INFOS & RÉSAS

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02 40 54 48 00
Espace culturel E.Leclerc de Clisson (44)
Super U Gétigné (44)

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