Dans ce numéro, vous pourrez découvrir différents articles qui montrent que ce vivre ensemble se décline de nombreuses manières. Il est un élément essentiel d’intégration dans la vie collective et d’ouverture aux autres. Vivre ensemble ne va pas de soi. Cela s’apprend et ce n’est pas toujours facile. Vivre ensemble signifie se supporter, s’entraider, se respecter, se comprendre, s’apprécier. Réussir la vie en société, c’est acquérir de l’autonomie, de la responsabilité, d’être ouvert aux autres, montrer du respect de soi et d’autrui.

- La connaissance de l’Histoire par des visites de lieux historiques permet de connaître le passé pour mieux appréhender le présent et mieux se projeter et s’investir dans l’avenir.

- Les séjours à l’étranger et les chantiers humanitaires sont l’occasion de découvrir d’autres cultures, d’autres modes de vie et d’accueillir ces différences comme des richesses à partager.

- La création et la fabrication d’objets ou équipements concourent à un travail en équipe pour réussir un projet commun.

- La pratique de sport et les activités de bien-être apportent tolérance, courage et dépassement de soi.

- Les visites d’expositions, l’accueil d’artistes et d’auteurs ouvrent la curiosité, l’esprit et l’âme vers le beau et le bien.

- Les rencontres intergénérationnelles sont l'occasion de témoignages de tranches de vie, de partage d’expérience, de développer la solidarité, de créer du lien social.

- Les visites d’entreprises et les stages permettent de découvrir le monde du travail et de se préparer à la vie d’adulte.

Le vivre ensemble : le cœur de nos MFR.

Bertrand LÉCRIVAIN.

Portes Ouvertes : les 2 février et 30 mars 2019 de 9 h à 17 h.

Les relations entamées il y a une vingtaine d'années par des MFR de Maine et Loire se sont petit à petit resserrées  : de l'accompagnement direct sur le terrain pour la mise en place de deux MFR en 1998, le partenariat a évolué vers des relations contractuelles avec une Union nationale de MFR burkinabé qui compte 12 MFR actives. De 600 à 1000 personnes par an peuvent s'y former, en agriculture-élevage, ,en transformation de produits agricoles, ou en métallerie/soudure et électricité/bâtiment.

Cette année, le partenariat a bénéficié des apports critiques et constructifs d'une évaluation externe, dont les résultats ont été restitués à l'un des fidèles partenaires technique et financier, le Conseil Régional des Pays de la Loire. Il ressort de cette évaluation que les formations menées  :

- ont des effets importants sur les familles des agriculteurs adultes qui se perfectionnent car ils sécurisent leurs productions-

- ont une grande pertinence concernant l'insertion socio-économique des jeunes car les formations s'adaptent au territoire et au contexte social.

L'efficacité des formations pourrait être accrue en intégrant plus de thèmes transversaux (gestion, entreprenariat, coopération), en suivant plus longtemps les bénéficiaires après leur formation et en équipant mieux les MFR.

Par ailleurs, le réseau et la vie associative des MFR et de l'Union Nationale se renforcent progressivement. Les MFR sont de plus en plus reconnues pour leur participation aux réflexions de l'Etat et de la société civile en matière de politique de formation agricole et rurale. Les équipes se sont bien professionnalisées ces dernières années et les capacités de gestion se sont améliorées.

Pour pallier la rareté des ressources et des compétences, l'Union nationale développe une stratégie de partage et de mutualisation qui bénéficie à l'ensemble du réseau, tout en se positionnant sur les financements de formation qui lui sont accessibles.

Forts de ces constats, le séjour de nos collègues burkinabé a donc été l'occasion de définir de nouvelles perspectives à partir de souhaits partagés. Des axes de travail, prenant plus particulièrement sens pour les uns et les autres, ont été définis ; continuer à apprendre les uns des autres, favoriser l'insertion professionnelle, économique et sociale des personnes formées au Burkina Faso et mieux ancrer le partenariat au sein des MFR du Maine et Loire.

Pascal Cluseau, chargé de missions

Entre le lundi 11 et le vendredi 15 juin 2018, dix-neuf aînés et dix-huit jeunes en formation SAPAT ont pris le départ vers le Croisic pour vivre une aventure hors du commun en bord de mer : un voyage intergénérationnel !

Quatre accompagnateurs du service médical de la structure ainsi que deux formatrices de la MFR Le Vallon étaient présents pour encadrer le séjour et lui permettre de se dérouler dans les meilleures conditions.

Un séjour ouvert largement

Organisé à l'initiative de la maison d'accueil rurale pour personnes âgées (MARPA), de Saint-Crespin-sur-Moine, ce séjour a été élargi aux autres structures.

C'est ainsi que des pensionnaires de différents établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) des Mauges, ont pu prendre part à ce projet. La Mutualité Sociale Agricole (MSA) est partenaire de ce projet qui répond aux attentes de formation des jeunes, des résidents et des structures.

Annabelle Sicard, de l'antenne des Mauges du choletais, suit cette expérience avec les responsables des structures pour personnes âgées : "Nous accompagnons les projets des MARPA. Cette initiative intergénérationnelle est une première et sera un enrichissement mutuel".

Plusieurs rencontres

Les jeunes de Seconde ont également organisé un speed-dating générationnel à la MFR au mois de janvier ; une occasion de créer une première rencontre.

En amont, de ce voyage, et pour faire plus ample connaissance, tous ensemble, les participants se sont rencontrés à plusieurs reprises.

Un après-midi d'échanges sous forme de jeu a permis une première rencontre où la glace fut rapidement brisée par la bonne humeur et l'enthousiasme de chacun.

Les aînés se sont livrés avant le départ et n'ont pas caché leur enthousiasme. Christiane, du foyer-logement du Longeron, était très heureuse d'aller à la mer : "Avec mon mari artisan, nous n'avons jamais pris de vacances. On a attendu la retraite pour voyager".

Jean, de Tillières, qui conduit un peu, mais pas très loin : " La mer me manque et je vais rester à l'admirer".

A la rentrée, une rétrospective sur le voyage et un pot de l'amitié ont eu lieu à la Maison Familiale Rurale.

Tous se sont retrouvés avec de bons souvenirs plein la tête.

Les élèves de Première MFR La Romagne

Grâce au partenariat MSA / AVMA / MFR, ainsi que celui des donateurs privés, notre classe de seconde et des personnes âgées ont vécu, fin avril, une expérience unique : une semaine d'échange et de partage intergénérationnel dans le cadre d'un "séjour part'âge".

Nous sommes partis au Domaine du Port aux Rocs, au Croisic, avec des résidents de l'EHPAD Clairefontaine de Noyant, du Foyer logement de Parçay les Pins, de l'amicale des Amis réunis de Noyant et d'autres joyeux retraités !

Durant toute la semaine, nous avons visité des lieux uniques : Guérande et sa collégiale, les marais salants, la Brière et ses canaux que nous avons parcourus en chalands. Nous avons accompagné nos aînés durant toute cette semaine, pendant les repas, mais aussi dans les jeux et les activités. Tous ces moments de partages furent l'occasion de nous découvrir mutuellement.

Le mystère du bus rose

En pleine préparation de ce voyage, nous avons écrit, en quatre heures, une petite nouvelle policière qui met en scène ce séjour intergénérationnel. Le héros de l'histoire est le bus qui nous a accompagnés tout au long de la semaine. Nous avons dédicacé ce livret aux personnes âgées qui nous accompagnaient et nous avons, même, présenté le "bus rose" devant un jury pour valider un examen comptant pour notre BEPA. Découvrez "Le bus rose" en intégralité ici : http://lebusrose.over-blog.com/

La classe de seconde 2017/2018.

MFR Noyant.

Le temps d’un après-midi, une cinquantaine d’enfants âgés de 3 à 11 ans s’est transformée en petits génies pour participer à un grand jeu mené par les « animatrices » du jour, les élèves de CAPa. Sur le thème d’« Ali Baba et les 50 génies », les enfants, par groupes de 4 ou 5 et accompagnés de 2 « animatrices » devaient se rendre sur 8 ateliers différents afin de récolter des pièces de puzzle. Ainsi, chaque équipe obtenait un chiffre sur son puzzle terminé. L’ensemble des chiffres des différentes équipes formait la combinaison d’un coffre aux trésors.

Des ateliers ludiques...

Pour embarquer les enfants dans le monde d’Ali Baba, les élèves étaient déguisées et chaque activité rappelait la magie orientale. Les enfants ont dû résoudre des énigmes, reconnaître des odeurs et des sons, jouer au morpion et au memory, réaliser un parcours d’agilité…

Les filles de CAPa avaient pour mission d’amuser les enfants, de les motiver, de les aider et de les accompagner durant cette grande chasse au trésor. "C'était stressant car on ne connaissait pas les enfants et certains étaient agités, mais finalement, c'était amusant et on s'est vraiment amusées". Les "animatrices" ont toutes pris leur rôle à coeur afin de réussir leur mission : que les enfants du centre de loisirs s'amusent tous ensemble en se laissant porter par une fabulation créée spécialement pour eux.

Après avoir découvert tous les ateliers et récolté toutes les pièces de puzzle, les petits génies se sont rassemblés pour recomposer le code du coffre d’Ali Baba et ainsi partager un goûter géant.

Des semaines de travail...

Cette journée, préparée pendant plusieurs mois pour valider le module "développer le lien social par l'animation", a été enrichissante autant pour les enfants que pour les « animatrices ». Les enfants étaient contents et participatifs mais fatigués à la fin !

CAPa2 SAPVER MFR de Gée

« C’était génial » dit Idriss «  on a pu passer du temps ensemble  ». Tous les jeunes, parents, administrateurs, formateurs étaient invités à découvrir chaque soir un spectacle différent. Cet événement, organisé en juin 2018, est né voici trois ans, sous l’impulsion de formateurs et de parents engagés dans la Commission d’Animations Culturelles, « c’est chouette, on a découvert des activités artistiques inconnues ! » souligne Lison. Lundi, la Ligue d’IMprovisation Angevine a endiablé le public. Mardi, « Footloose » a initié le public à la danse country. « Au début, on avait de l'appréhension car il fallait danser devant tout le monde et on avait des clichés sur cette danse. Mais tout le monde s’est mis à apprendre la chorégraphie ». Mercredi, « Super 8 » nous a régalé d’un concert « rock’n’roll ». « Le groupe était jeune et en plus, comme c’était dehors, on avait plus d’espace. On s’est mis à danser, chanter, c’était trop cool ! Malheureusement on n’a pas pu essayer leurs instruments car trop fragiles » nous dit Lison. Enfin, jeudi soir, la Chorale Locustelle a emmené le public dans un tourbillon d’émotion. Lison termine : « J’avais déjà vu ce spectacle dans une salle et j’avais aimé. Ce soir-là, c’était dehors ; il faisait beau et le son était magnifique. Les chanteurs nous ont fait partager une vraie joie de vivre, tout le monde chantait et levait les mains ! ».

Lison et Idriss. Premières Bac Pro SAPAT.

Claire et David, spécialistes de la relaxation, des massages, de la gestion du stress et des émotions créent leur entreprise "L'Happynous" en 2016 pour partager leur savoir-faire et leur passion.

Les CAPa 2 SAPVER de la MFR « La Bonnauderie » à Cholet ont découvert la réflexologie palmaire lors de cinq séances d’1 heure 30.

Première séance, découverte des zones réflexes des mains qui correspondent à un organe du corps humain : le ventre, la tête, les dents… En les massant, on peut soulager certains maux et apporter du bien-être aux personnes.

Deuxième séance, mise en pratique du protocole du massage des mains entre camarades avec une crème spéciale, le liniment, pour un massage agréable.

Lors des dernières séances, apprentissage de la réflexologie à l’intérieur de la main puis perfectionnement des massages pour la journée intergénérationnelle et les animations Téléthon.

Les séances apportent des connaissances sur les points de la main à masser, la technique de massage, le protocole et une autre façon de communiquer avec les personnes de tout âge.

Moments de partage et de bien-être très appréciés. Merci des conseils pour se relaxer, prendre confiance en soi. Quel plaisir de découvrir de nouvelles techniques de communication !

Les CAPa2 SAPVER MFR Cholet

Dans le cadre d’un partenariat avec la MFR et Terra Botanica, les élèves de 2^nde et sept jeunes en Contrat de Spécialisation (CS) en « maçonnerie paysagère » sont intervenus une première journée fin octobre 2017, après la fermeture du parc Terra Botanica. Ces sept CS devaient encadrer chacun quatre élèves de 2^nde. Les groupes créés, ils les ont dispersés dans les espaces variés du jardin pour découvrir le travail à effectuer.

Nettoyage avant le repos végétatif des plantes

Les jardiniers du parc étaient avec les jeunes pour leur donner des missions et expliquer les démarches à suivre. Chaque groupe faisait principalement de l’arrachage des fleurs annuelles dans les massifs, de la taille des arbustes et plantes grimpantes ou encore ils effectuaient du rempotage dans la serre chaude. Le parc pouvait alors prendre ses quartiers d'hiver avant le retour des visiteurs.

Puis en mai...

La deuxième journée était en mai 2018. Les activités portaient principalement sur la plantation des annuelles dans les massifs. Les annuelles (plantes qui ont leur cycle de vie, du semis à la floraison, sur une année civile) doivent être plantées mi-mai pour fleurir du printemps jusqu'aux premières gelées. Ils ont redonné vie aux massifs en apportant des touches de couleur.

« La deuxième journée était différente de la première puisque le parc était ouvert, nous étions au contact des visiteurs, c’était intéressant » s’exprime Dorian.

Aubin, Maxime et Dorian.

Bac Pro aménagement paysager de la MFR de Beaupréau.

La classe de CAPa Productions Horticoles et Maraîchères ainsi que la classe de CAPa Jardinier Paysagiste ont eu la chance de venir travailler et, ainsi, laisser une trace de leur passage dans le parc végétal d'Angers.

Ils sont venus pratiquer pour effectuer un CCF (Contrôle en Cours de Formation) encadrés par des professionnels. Quelques jeunes ont témoigné de cette expérience .

«  On a planté des bulbes, désherbé, arrosé. Et le professionnel qui nous encadrait nous expliquait bien  » a témoigné Mathieu en CAPa jardinier paysagiste.

«  J'ai adoré toutes les fois où nous y sommes allés, j'ai appris beaucoup de choses et c'était très agréable de travailler avec les professionnels" a confié Dimitri en CAPa horticole ; "J'ai adoré planter des bulbes, découvrir des nouvelles plantes" a souligné Antoine, en CAPa jardinier paysagiste ; "On a mis en place des dahlias pour un CCF de plantation, une bonne ambiance et bien encadrés par les pros, ils nous ont donné quelques techniques de plantation" a dit Victorien en CAPa jardinier paysagiste.

Le contact avec des professionnels sur le parc a eu une grande importance pour les jeunes. Ils ont pris conscience que leur activité sur place sera regardée par les visiteurs du parc.

En effet, quelle fierté de planter différents végétaux pour le bonheur des visiteurs !

Dimitri NEYRET.MFR Chalonnes

Les Bac Pro commerce du CFA de la MFR de Segré sont allés à la rencontre des clients.

Dans le cadre de nos cours de mercatique et de communication-vente, nous avons réalisé des enquêtes pour des commerçants. Préparation au préalable des questionnaires avec leur aval à la MFR puis journée dans la rue.

Le but : connaître les satisfactions et les insatisfactions des clients.

Suite à cette journée, dépouillement des enquêtes et réalisation d'un diaporama que nous avons remis aux employeurs.

Chacun a pu faire le bilan avec ses employés pour pouvoir améliorer ses services, comme diminuer l'attente aux caisses.«  C'était sympa de savoir ce que pensent les clients du magasin et ainsi concrétiser ce que l'on a appris en cours » pense Camille. Viviane, quant à elle, a appris plus de choses sur son magasin. Léo et Tristan comprennent mieux le ressenti des clients afin d'améliorer les points négatifs. Enfin, Aphrodite a conclu : «  Ce n'était pas mon magasin, mais j'ai pu comparer avec mon enseigne ».

Les élèves de Term Bac Pro Commerce.MFR-CFA Segré

Venus de tous les horizons, une douzaine de demandeurs d'emploi sont venus se former pour pouvoir intégrer le milieu professionnel rapidement. Ils sont venus apprendre les compétences nécessaires en entreprise. Qui sont ces jeunes ? d'où venaient-ils ? à quelle période se situent ces cinq semaines ? Où se sont-ils formés ? Après avoir été formés dans divers métiers comme la boulangerie, la menuiserie, opticien, hôtesse d'accueil, horticulteur, dans le bâtiment, ils suivent une formation à la MFR de Chalonnes pour intégrer ensuite une entreprise dans le monde viticole.

Une formation pour un emploi

Cette formation permet d'aborder plusieurs points, tels que la découverte de la culture de la vigne, l'initiation aux travaux de la taille d'hiver, la sécurité au travail ainsi que des techniques de recherche d'emploi. Ils se sont également exercés à la conduite des chariots élévateurs et des engins viticoles et ont passé les examens des CACES R389 (3) (charriot élévateur) et R 372M (8) (engin de chantier).

Cette formation permet de répondre à la demande du territoire en matière d'emplois viticoles.

Selon les formateurs Pascal, Pierrick et Noël, « le groupe est formé de personnes motivées et dynamiques cherchant à acquérir des compétences techniques ».

Agathe, Léa.(en service civique)

Les élèves de la classe de première de la Maison Familiale Hippique de Pouancé ont organisé un concours de modèle et allures sur l'hippodrome de Sennones.

Madame Catherine Vaucher Loisel, monitrice à la Maison Familiale, forte de son expérience, a appris comment présenter un cheval lors d'un concours. Les élèves ont élaboré le projet de A à Z. Ils ont fait appel à des éleveurs et des entraîneurs.

Ce concours a permis d'apprendre à gérer des jeunes chevaux, à organiser un événement. Les chevaux présents étaient des poulinières suitées, pur-sang anglais et trotteurs, du poulain aux 3 ans.

"Ce fut un succès, une expérience enrichissante, importante pour notre projet professionnel", ont dit les élèves. "Elle nous a permis d'ouvrir d'autres horizons et de découvrir d'autres disciplines".

Clémentine et Emma.MFR Pouancé.

Dans le cadre de leur formation, les jeunes des classes de terminale Bac Professionnel agroéquipement de la Maison Familiale de Chemillé se sont rendus à Outarville dans le Loiret pour participer au salon Innov-agri.

Cet événement est le plus grand salon agricole plein champ d’Europe, avec 160 hectares de démonstration de matériels agricoles.

Rencontre avec des professionnels

Ainsi, les élèves ont pu découvrir pendant toute une journée les nouvelles machines en exposition des différents constructeurs mais ils ont également assisté à de nombreuses démonstrations sur des parcelles d’essais ou à des conférences sur des thématiques comme l'agro-environnement.

Ce salon est, pour eux, une formidable opportunité d'aller à la rencontre des professionnels de l'agriculture et de s’immerger un peu plus dans leur univers professionnel.

Les terminales agroéquipement.

MFR Chemillé

Située à proximité de la MFR de Jallais, la Maison de l'Enfance comprend différentes structures internes : la péri scolaire, le multi-accueil (halte-garderie et crèche), la ludothèque, le relais assistants maternels et l'accueil de loisirs. L'échange avec les professionnels est privilégié.

Emma et Sahel apprécient cet échange : "Lors des visites, nous prenons note de chaque information, afin de faire un bilan qui pourrait nous servir plus tard. Cela nous permet de nous orienter dans notre futur métier, d'apprendre de nouvelles choses, de découvrir différents métiers. En arrivant à la MFR, certains ne savaient pas vers quel domaine se diriger. Grâce aux explications des professionnels, nous apprenons des choses nouvelles sur les métiers".

Emma et Sahel

CAPa 2 SAPVER

« La Boulangère » a été créée en 1985 par Jean et Marie Denise Fillon aux Herbiers (85) puis déménage en 2000 à Mortagne sur Sèvre (85) sur un site de 20000 m2. Cinq lignes de production ont été créées depuis 2001 d’où sortent principalement des pains au chocolat, pains au lait et brioches tranchées, confectionnés avec 270 tonnes de farine, 90 tonnes de beurre, 40 tonnes d’œufs, 55 tonnes de sucre et 60 tonnes de chocolat. Au total 800 tonnes de produits finis sont expédiés chaque semaine par 100 camions. L’entreprise fabrique également une gamme de produits bio. Pour connaître la date limite de consommation, des tests de vieillissements sont effectués. La production est vendue dans les grandes surfaces. Les invendus sont à disposition des salariés ou servent à nourrir les animaux.

L’entreprise fonctionne avec 290 salariés qui travaillent en équipe en 3/8 du lundi au samedi et se relaient 24 heures sur 24 pour faire tourner les ateliers de production. 46 % sont des boulangères et 54 % sont des boulangers. Il existe neuf services : qualité, technique, de produits process (création de nouveau produit), responsable de lignes, sécurité, logistique, contrôle, ressources humaines et comptabilité. Pour travailler en production, l’entreprise recrute des boulangers qualifiés qui ont un CAP « Boulangerie ». Elle prend des stagiaires, toutefois ils doivent être majeurs. Des règles d’hygiène sont à respecter : se laver les mains et avoir une tenue propre. De plus il faut avoir une tenue professionnelle spécifique : une blouse ou une combinaison, une charlotte, des bouchons d’oreilles et des chaussures de sécurité.

"La « Boulangère » est une entreprise très surprenante", raconte Coralie qui a aimé cette entreprise car elle est familiale.

Pour Jeanne ce sont les machines de fabrication impressionnantes et les énormes quantités de matières 1res qui l’ont marquée.

Quant à Baptiste, il a retenu que cette production industrielle ne concurrence pas les boulangeries artisanales car elle ne propose pas les mêmes produits.

"C’était une visite très intéressante où j’ai pu découvrir la fabrication des pains au chocolat en grosse quantité" dit Enzo.

Le patron de la Boulangère est satisfait des produits préparés dans son entreprise ce qui le pousse à aller plus loin pour proposer des produits novateurs a retenu Lorenzo.

En parallèle la classe de 3e A a découvert l'entreprise "Pasquier" aux Cerqueux de Maulévrier. Les objectifs étaient de découvrir la production industrielle et de la comparer avec la production artisanale. Les 3e A ont aussi apprécié cette visite car ils ont également été surpris par les règles d'hygiène et le volume de production. Merci aux deux entreprises pour leur accueil lors des visites.

Les classes de 3ème MFR Cholet

Nous avons tous été accueillis dans des exploitations impressionnantes  : cour pavée et très propre. Beaucoup de matériel et de technologie  : ils disposent de tout ce qui est nécessaire pour les différents travaux ou alors ils font tout faire par des entreprises agricoles. Le système est très intensif, les journées commencent parfois tôt (5h) et finissent tard (22h), mais ils sont plutôt organisés. Les champs sont immenses entre 55 et 700 ha.

La vie quotidienne

La vie est rythmée par cinq ou six repas par jour, avec de la charcuterie dès le petit déjeuner et beaucoup de mélange sucré-salé. Des gros repas le midi mais pas le soir ou l'inverse et ils boivent beaucoup de boissons gazeuses. Les grands-parents sont très présents dans la vie de la famille. Mais peu de contacts physiques sont échangés  : pas de poignée de main ou de bises, mais juste des accolades si c'est la famille. Les maisons, qui sont très propres et toutes en brique, sont très accessibles, on y entre sans frapper ! Les discussions tournent beaucoup autour du football et ils s'expriment très bien en anglais (mieux que nous !). Les enfants ont cours le matin de 8h à 14h, mais pas le jeudi. Et pour les plus grands, c'est 4 jours d'école et 1 jour de stage.

Cette période de stage fut très enrichissante  : sur le plan professionnel, mais aussi personnel car partager la vie des familles nous a permis de comparer avec nos propres vies.

Les élèves de 1re Bac Pro CGEAMFR de Segré

"Nous sommes toutes d'accord : préparer un voyage à l'étranger est essentiel". Les élèves de Terminale SAPAT ont utilisé la plateforme "e-twinning" pour échanger à distance avec le lycée professionnel BBS à Osnabrück. "Le programme Erasmus nous a permis d'échanger avec des jeunes de notre âge qui suivent les mêmes formations que nous" répondent unanimement toutes les élèves. Nous avons parlé de notre formation, de nos stages sur les réseaux sociaux et en vidéo-conférence.

Une première rencontre en Allemagne

Nous avons effectué un voyage en Allemagne du 24 novembre au 8 décembre. Nous étions logées dans des appartements. Nous avions chacune un budget pour faire les courses et les sorties. Les lycéens allemands nous ont très bien accueillis et nous avons appris à les connaître encore plus. Ils commencent les cours très tôt le matin et terminent à 13h tous les jours. Par contre, ils ont moins de vacances que nous !  Nous avons effectué des stages dans des Kindergarten qui ressemblent à nos écoles maternelles et une maison de retraite. Ce voyage nous a permis de découvrir les habitudes de vie, leur alimentation, leur façon de travailler.

Laura Relion et Charlotte Penot, classe de Terminale Sapat

MFR La Meignanne

Notre séjour d'intégration de début d'année nous a permis de découvrir le marais poitevin où nous étions hébergés. Et nous avons pu faire de l'équitation.

Nous avons préparé nos montures et nous avons suivi le guide à cheval pour qu'il nous explique les différents espaces naturels du parc pour nous faire apprécier cet environnement naturel. Nous avons beaucoup aimé cette sortie combinant activité équestre et découverte de la nature. Nombreux de nos camarades n'avaient jamais fait du cheval. 

Les Bac Pro CGEAMFR Montreuil Bellay

Dans le cadre de l'accueil des nouveaux élèves de seconde baccalauréat professionnel agricole, l'équipe de la Maison Familiale Rurale de Montreuil Bellay a organisé une semaine d'intégration dans le marais poitevin. Nous avons, durant une semaine, réalisé des activités sportives et découvert le milieu naturel du marais mouillé. Nous avons fait de la barque avec des guides spécialisés. Ils nous ont expliqué ce qu'est le marais. Ils nous ont commenté son histoire à travers ses activités agricoles, sa faune et sa flore. Cette visite nous a permis de nous connaître et nous avons pu apprécier cet environnement naturel à protéger.

Les Bac Pro CGEAMFR Montreuil Bellay

En partenariat avec l'association noyantaise Assikoi, qui oeuvre au profit du village du même nom, les jeunes de la classe de terminale sont partis en Côte d'Ivoire du 10 au 20 septembre dernier. Au programme : échanges culturels, découvertes humaines et chantiers humanitaires.

Castelfréo se met à la mode ivoirienne

Voici maintenant 2 ans que nous préparons ce voyage, car c'est dès la classe de seconde, dans le cadre de l'E.I.E (Enseignement à l'initiative de l'établissement) que nous avons travaillé le projet. Grâce à Germaine et Daniel Brou, président de l'association, ainsi que d'autres bénévoles, nous avons pu approfondir notre connaissance des particularités de ce pays et de ses coutumes.

Des chantiers porteurs d'espoirs

Dès notre arrivée, nous nous sommes rendus à Assikoi, un petit village à près de 130 kilomètres d'Abidjan. Nous avons reçu un accueil incroyablement chaleureux là-bas. Les paysages sont beaux, très forestiers et, en dépit de la chaleur accablante et humide, nous avons donné le meilleur de nous-mêmes pour les missions à accomplir. D'abord la bibliothèque, à ranger, classer, nettoyer. Puis nous avons nettoyé et carrelé une fontaine qui sert à offrir de l'eau potable aux élèves de l'école. Enfin, nous avons effectué des travaux de peinture et de carrelage dans des chambres du dispensaire. Les enfants du village ont été très gentils, et nous ont aidés à ramasser les déchets : là-bas, le tri sélectif n'existe pas. Tous ces travaux ne seront peut-être pas suivis d'effet, malgré les promesses de Madame la Sous-Préfète que nous avons rencontrée, mais peu importe : nous nous étions promis de le faire, on l'a fait.

La découverte des contrastes africains.

Des faubourgs d'Abidjan à la basilique de Yamoussoukro, le contraste fut saisissant. Nous sommes passés en car dans des quartiers de la capitale économique du pays, et constaté une misère effrayante. Tout au long de cette route, des bidonvilles, des chantiers de démolition de voitures, des petits ateliers de menuiserie, des commerces, l'ensemble étant entouré par des tas de gravats et d'immondices. Puis c'est l'autoroute vers Yamoussoukro, la capitale politique du pays. Là-bas, un palais présidentiel entouré par un lac artificiel où nagent quelques crocodiles, et surtout la masse imposante de la basilique. Edifiée à la demande (et sur les deniers personnels) de l'ancien président Felix Houfouet Boigny, ce monument est plus grand que la basilique Saint Pierre de Rome.

Les jours suivants, nous avons séjourné à Abidjan, la capitale économique. Nous avons visité deux écoles, parcouru les étals des marchés, négocié âprement les objets que nous rapporterons en souvenir. C'est enfin l'heure du retour, et l'embarquement pour Roissy, puis Le Mans en TGV.

Une grande fête pour remercier l'association Assikoi

Tous les ans, l'association organise une soirée festive à Noyant, destinée au recueil des fonds pour les habitants d'Assikoi. Nous avons participé à l'organisation de cette fête, présenté un concours de photos et proposé aux 200 participants une chorégraphie sur une musique africaine.

Ce voyage a duré 10 jours. Mais il nous a transformés, enrichis. Bien plus (et c'est déjà beaucoup) que la découverte d'un nouveau pays, d'un nouveau continent, de rencontres avec des personnes et des destins, cette expérience, que la MFR et nos parents nous ont permis de vivre, restera à jamais comme une étape fondatrice de notre parcours personnel et professionnel.

La classe de Terminale.

MFR Castelfreo.

Dans le cadre de la mobilité européenne, les quarante-sept CAPa Métiers de l'Agriculture de la MFR de Chemillé en Anjou sont partis à la découverte de notre pays frontalier et ami, la Belgique. Ce temps fort de la formation s’est déroulé du 15 octobre au 19 octobre.

Cette semaine, marquée par des visites diverses et variées, a permis à nos apprenants de s’ouvrir à des thèmes tels que l’agriculture urbaine, le machinisme, la découverte de l'Europe et de ses institutions et les spécialités locales.

Ainsi, les jeunes ont eu l'opportunité de rencontrer une association de quartier développant la production maraîchère de produits biologiques. Autre moment très apprécié, la visite de l’usine de construction de New Holland, spécialisée dans le matériel de récolte (moissonneuse, ensileuse, presse carrée). Les jeunes ont ainsi pu en apprendre davantage sur les conditions de fabrication d’un produit.

Mais que serait Bruxelles sans tous ses symboles européens  ?

Les visites de la Mini-Europe, de l'atomium et du parlement européen ont été l'opportunité d'apporter à chacun des notions historiques et les sensibiliser sur le rôle de la politique européenne qu'elle soit agricole ou générale. Pour finir en beauté ce séjour, les CAPa ont effectué une magnifique balade sur les canaux fluviaux de Bruges.

Les CAPa2 métiers de l'agriculture

MFR Chemillé



Les Premières et les Secondes Aménagements Paysagers de la MFR de Beaupréau sont partis à la découverte de la capitale : Paris.

L’objectif de ce voyage était de découvrir les jardins à la Française, des sites culturels et les monuments historiques de la ville.

Les jeunes sont partis le 3 avril de la MFR de Beaupréau, pour se diriger vers Paris. Une fois sur place, ils sont passés devant beaucoup de monuments de la capitale. Puis, le lendemain, la matinée a été sportive, en visitant le Stade de France et ses coulisses. L’après-midi les jeunes se sont intéressés aux cultures anciennes des continents africain, américains et asiatique en découvrant le musée du Quai Branly de Jacques Chirac.

Le 5 avril, les jeunes sont ensuite allés à Versailles pour découvrir ses jardins. Enfin, le dernier jour, le groupe s’est instruit en allant à la cité des sciences, regarder un film à 180 degrés sur l’univers suivi d’une visite libre à l’intérieur de la cité. Pour terminer cette aventure, les jeunes ont repris la route. Ils garderont ce voyage en mémoire.

A leur retour à la MFR, les jeunes ont beaucoup partagé et exprimé leur ressenti vis-à-vis de ce voyage !

Laurine AUBRON.

Première Bac Pro Am. Paysagers.

C’est ce qu’a écrit P. Colize, écrivain Bruxellois, suite aux attentats de 2016, et c’est ce que sont allés découvrir les CAP2 Agent Polyvalent de Restauration et les 1^ère Bac Pro Services Aux Personnes et Aux Territoires de la MFR La Sablonnière de Brissac.

Des visites culturelles ..

Impossible de venir à Bruxelles sans flâner sur la Grand Place, photographier le Mannekhen Pis, ou visiter l’Atomium. Impossible de ne pas s’intéresser à la fabrication de la bière traditionnelle belge (à la brasserie Cantillon), du chocolat belge (au Musée du Chocolat), ou de ne pas déguster LA frite belge à la Maison Antoine, baraque à frites fondée en 1948.

Des visites pédagogiques...

Afin de mieux comprendre le fonctionnement de l’Union Européenne et les liens qui unissent ses 28 pays, les élèves ont visité le Parlamentarium. Ensuite, ils se sont rendus dans l’hémicycle du Parlement Européen et ont participé à une séance d'information animée par un membre du personnel axée sur le rôle et les pouvoirs de ce Parlement.

Et des visites professionnelles...

Les 1^ère SAPAT ont rencontré des professionnels de la résidence « Les Eglantines », au coeur de la capitale belge : des locaux spacieux , un personnel en nombre suffisant, des techniques de travail spécifiques, l’occasion de comparer le système belge d’accueil de la personne âgée à celui de la France.

Les apprentis APR ont quant à eux participé, à Concept Chocolate, à un atelier de fabrication de chocolats pralinés. Ils en ont appris les différentes étapes telles que la cueillette des cabosses, la fermentation, le séchage, la torréfaction, le broyage, le malaxage, le conchage, le tempérage, le moulage et l’enrobage !

Bruxelles, une capitale décidément très belle ! Les 1re BAC PRO SAPAT.

Nous sommes arrivés au musée du débarquement d’Arromanches dans la matinée. Direction le cinéma 360°. « C’était trop bien ! mais ça nous faisait tourner la tête » dixit Nina. Ensuite balade sur la plage d’Omaha Beach puis visite du cimetière américain de Colleville. « Pas du tout comme nos cimetières, organisé au millimètre près, avec de beaux massifs. C’était majestueux et émouvant. » souligne Léo. « On pense au sacrifice qu’ils ont fait » confie Benjamin.

« Y a tant, c’est impressionnant » ajoute Nathan. C'était une belle expérience, à refaire. 

Lantelme, Benjamin, Nina,
Léo et Nathan.Seconde GT

Comme chaque année depuis 2012, les élèves de deuxième année en CAPa jardinier paysagiste et productions horticoles de la MFR s'activent pendant quinze jours sur un chantier dont ils sont initiateurs.

Depuis le début d'année, ils réfléchissent à un projet qui est validé par le conseil d'administration.

Ensuite ils le réalisent. Cette année le chantier a consisté à créer des espaces de pique-nique paysagers sur le terrain de l'école.

Les élèves sont encadrés par les moniteurs qui mettent aussi la main à la pâte, ce qui crée une véritable cohésion de groupe.

Compétences et comportements jugés.

Les compétences des jeunes sont évaluées lors de ce chantier.

C'est un projet qui permet aux jeunes de mettre en valeur l'extérieur et de favoriser la convivialité au sein de la MFR.

Au bout de quelques mois de notre projet, on se rend compte que les aires de pique-nique c'est trop bien, "on peut s'asseoir et se retrouver à discuter dans un espace de détente et de tranquillité" s'exclament les filles.

Les CAPa 2 et Première Bac Pro

Les 4e de la MFR de Segré s'associent à l'association « Rêves » pour aider les enfants malades à réaliser leurs rêves.

Nous avons rencontré un bénévole de l'association « Rêves » qui nous a présenté tout ce qu'ils font pour aider les enfants gravement malades : nager avec les dauphins, rencontrer leurs joueurs de foot préférés ou aller à Disney Land Paris.

Mise en place du projet

Avec Guy Letourneux, le bénévole de l'association, nous avons décidé de participer à la brigade d'écriture. C'est-à-dire récupérer des crayons, des souris... Ensuite, le tout est envoyé en recyclage.

Au sein de la MFR, nous avons préparé des cartons pour la récolte et des affiches que nous avons installés dans les classes après avoir présenté notre projet à chaque groupe.

Nous avons aussi décidé d'en parler à nos proches et, même, à nos maîtres de stage.

Pour récupérer 3 kg, d'ici le mois de juin, nous sommes très motivés !

Rendre des enfants heureux est notre principal but !

Les 4e. MFR de Segré

Les 3e de la MFR de Gée ont révisé le code de la route avec les séniors du territoire.

Chaque année, le territoire de Beaufort-en-Anjou organise une semaine spéciale pour les habitants de plus de 60 ans. La semaine ESCALE propose des activités en partenariat avec des associations et entreprises locales. La MFR a participé, avec les élèves de 3e, à l'une de ces activités.

Les élèves ont accueilli une vingtaine de personnes à la MFR et les membres de l'auto-école Taka rouler. Ils ont ainsi commencé par faire connaissance, avant de constituer des binômes élève/visiteur. Sarah raconte :"j'étais avec Paulette, elle me racontait sa vie et moi je lui parlais de mon projet professionnel".

Réponse A, B, C ou D ?

Quarante questions étaient projetées sur écran et les duos devaient trouver la ou les bonnes réponses parmi quatre propositions. Ils avaient pour cela 35 secondes à chaque fois. "C'était facile au début puis ça a commencé à devenir un peu difficile", explique Théo. Les participants ont terminé par une correction commune et ont totalisé leurs points. Cet échange a permis aux plus jeunes d'apprendre certaines règles du code de la route et aux plus anciens de chercher dans leur mémoire.

Classe de 3e, MFR de Gée

L’utilisation de bois de palette est un moyen simple et pas cher de fabriquer du mobilier de jardin déco qui résiste dans le temps. Pour avoir quelques idées et connaître les étapes de fabrication, suivez donc les conseils de nos experts de la classe de 3^e.

« Si on a la main bricoleuse, on peut se lancer dans la fabrication d’un salon de jardin » nous dit Lantelme, quelques palettes, des vis, des clous, du vernis et beaucoup de passion aussi. Eh bien, voilà, notre chef de chantier est tout désigné !

C’est la fureur ces dernières semaines au sein de la classe de 3^e et du « projet techno ». Après l’étude de plan et dessin du concept les élèves ont opté pour la réalisation d’un canapé d’angle, d’un fauteuil et de deux tables basses. « L’utilisation du matériel n’est pas aisée » nous confie Nina, « il faut être précis bien suivre les tracés, prendre son temps et respecter impérativement les règles de sécurité ». De son côté Benjamin est devenu le roi de la ponceuse « il faut bien poncer les arêtes au niveau des découpes pour retirer tous les éclats de bois qui dépassent » nous dit-il.

Afin de protéger le bois de la pluie, il est important de le peindre, peinture spéciale extérieure ou de le lasurer. Le chef de chantier adjoint, Léo, lance l’équipe peinture. « C’est du travail de minutie et de toute attention  » nous signalent Anaya, Elisa, Léonie. Nous mettons la touche finale pour que ce salon « en jette plein les yeux »

Lantelme, Nina, Benjamin, Anaya, Elisa, Léonie.

Anciens élèves de 3e
MFR Le Cèdre.

Chaque année, les élèves de 2nde SAPAT abordent le thème "sport et bien-être".

En dix séances, nous participons à plusieurs activités encadrées par Anthony Chauviré, éducateur sportif au Comité Départemental Sport pour tous. De novembre à mai, nous pratiquerons de la boxe française, du handisport, des sports de raquette, faire un raid multisports, du kayak et du paddle...Lors de notre 1re séance, nous avons fait un test de condition physique.

L'intervenant était motivant, rassurant, très humain et pédagogue.

Il a expliqué que les activités étaient adaptées à tous les niveaux. Nous apprendrons à mieux gérer notre corps, à mieux éviter les blessures...Nous ferons aussi de la relaxation.

Un programme très complet !

La classe de Seconde SAPAT

MFR La Meignanne

Depuis le début de l’année, les 4^ème et 3^ème de la MFR-CFA La Pommeraye sont lancés sur une action pour organiser une « Journée sportive ». L’objectif est de leur faire monter un projet concret d’une grande envergure et d’appréhender les enjeux de l’organisation d’un événementiel.Il s’agit de bien tout organiser et de se responsabiliser, un exercice compliqué mais formateur. En effet, le jeudi 22 novembre, ils encadrent une après-midi conviviale pour quatre-vingts élèves, regroupant des Bac pro SAPAT et Commerce, des plus « grands » qu’eux et ils seront évalués sur la manière dont ils vont mener cette animation. Le but, pour tous les participants est de proposer une demi-journée conviviale, de découverte sportive et aussi de vivre ensemble dans la mesure où les activités sont interclasses.

La classe de 4ème-3ème MFR-CFA La Pommeraye

Les élèves de la classe de 4e de la Maison Familiale Hippique de Pouancé ont réalisé des panneaux afin de retrouver le balisage d'un ancien sentier et de l'autoriser aux chevaux.

Ils ont réalisé ce projet dans le cadre d'un EPI (Enseignement Pratique Interdisciplinaire) afin de faire connaître leur région. Différentes activités ont été menées. Les élèves ont débuté par un schéma afin de se représenter le travail à réaliser, puis ils se sont répartis le travail. Ils sont allés sur le terrain afin de visualiser l'ancien sentier. Ils se sont équipés de papiers, de mètres, de crayons afin de prendre les dimensions. Ils ont découpé des panneaux, les ont peints, puis les ont percés et les ont fixés. Enfin ce fut le moment de poser les panneaux sur le sentier du Roy. La classe s'est fait aider de bénévoles. L'activité s'est conclue par la randonnée à cheval.

Les élèves ont bien aimé. "La classe s'est un peu rapprochée, il y a moins de disputes" pense Océane. "On a appris à s'orienter avec une carte" précise Paola.

Les élèves de 4e

MFR Pouancé

Depuis le début de l’année, les Secondes SAPAT (Service à la Personne et aux Territoires) participent à un concours visant à promouvoir la lutte contre le sexisme. Dans le cadre de l’E.I.E. (Enseignement à l’Initiative de l’Etablissement) nos jeunes prennent part à ce concours lancé par « Mathilda », une plateforme coopérative luttant pour l’égalité des sexes dans tous les domaines. L’objectif de ce concours national est que les élèves montent une vidéo qui dénonce le sexisme, une vidéo qui sera présentée en Mars 2019.

Cette compétition est l’occasion de susciter des débats, de sensibiliser sur les relations fille/garçon et les différentes formes de violence qui en découlent. Après avoir évoqué les différentes formes de sexisme, 4 groupes ont été constitués. Ils élaborent un scénario, tournent et montent leurs vidéos.

Les projets prennent différentes formes : sketches, séquences avec des dessins d’élèves, défilé de mode où des jeunes filles défilent en vêtements de travail perçus comme « masculins ». Cette initiative est l’occasion pour nos jeunes d’être créatifs, d’apprendre à scénariser, à maîtriser la vidéo et de lancer un message militant.

Seconde SAPAT, MFR-CFA La Pommeraye

En avril 2018, le projet qui se préparait, depuis quelques semaines déjà, a pu commencer.

Grâce aux compétences et selon les envies de chacun, les rôles ont été distribués pour ce travail de construction. L'idée de réaliser un four est née de l'envie de disposer d'un élément, d'un endroit, capable de fédérer les jeunes de la MFR le temps d'une soirée fouaces ou pizza.

La dalle et les murs avec Idée d'en faire

Dans la classe de quatrième, plusieurs élèves étaient en stage dans une entreprise de maçonnerie et ce sont eux qui ont réalisé la dalle et les murs de notre four, aidés par les conseils de Michel Mouillé, créateur de l'entreprise Idée d'en faire. Ce dernier met son savoir au service de personnes désireuses d'être éduquées à l'environnement et au développement durable à travers la construction de fours en argile, bien-sûr, mais également à travers la découverte d'une cuisine alternative, plus proche de la nature, de la formation à la vannerie buissonnière ou encore à certaines techniques permettant de cultiver son jardin au naturel.

Construire le dôme demande un vrai doigté

Sans son aide, il eût été impossible de réaliser le four, car personne parmi les élèves et les moniteurs ne savait comment faire.

Une fois que le dôme a été construit, il a fallu faire preuve d'autonomie et prendre l'initiative d'aller humidifier régulièrement la partie argileuse et de lisser la terre du bout des doigts afin que ce dernier ne présente pas de fissures trop importantes, au risque de se fendre totalement à un moment donné. Il ne fallait surtout pas que cela arrive, car un tel incident aurait pu sérieusement menacer notre édifice et son bon fonctionnement.

Les moniteurs avaient laissé des seaux d'eau à proximité pour faciliter le travail. Eux aussi y sont allés de temps en temps. Il faisait vraiment très chaud et cela a nécessité un entretien des plus réguliers.

Il a fallu protéger cet ouvrage du soleil et de la pluie grâce à une tonnelle.

Premier fonctionnement cet été

C'est une fierté que de l'avoir vu fonctionner pour la première fois, le premier jour de l'été 2018, à l'occasion d'une veillée très spéciale pendant laquelle les élèves ont mangé,dormi dehors, dans des tentes et accueilli Kalifa TRAORÉ, un membre de l'Union des MFR au Burkina-Faso.

Pour cette première dégustation, la pâte pour les fouaces ainsi que la partie "garniture sucrée"a été confectionnée par les jeunes.

En terre crue

La construction a été réalisée en béton, en briques, en paille et en argile. On appelle cela de la terre crue, parce qu'il n'y a pas eu de cuisson, mais plutôt un lent séchage.

Rentrée 2018, le four est toujours en place. Les bâtisseurs sont heureux d'imaginer qu'il servira encore à beaucoup de classes à venir pour des soirées inoubliables. Ils sont dans l'attente de pouvoir participer à l'une d'entre elles dès les beaux jours de 2019.

Les élèves de troisièmeMFR La Romagne.

Avec ce slogan, les MFR affirment que c'est possible d'accompagner des jeunes en situation de handicap, souvent invisible. Qu'il soit dyslexique, dyspraxique, dysorthographique, dyscalculique, dyspasique, porteur de troubles du spectre autistique, etc., des aménagements sont mis en oeuvre pour que le jeune suive une scolarité inclusive, aussi bien à la MFR que dans l'entreprise qui l'accueille en stage ou en apprentissage.

Quelques exemples d'astuces et outils - utilisés dans des MFR - sont relatés dans les articles de cette page. Ils ont tous pour objectif de "réussir autrement".

Blandine CLOEST

FD des MFR

Ce test - Repérage Orthographique Collectif - permet de détecter les élèves en difficultés scolaires.

Il repère les élèves qui ont des soucis d’identification des mots en lecture et en orthographe.

Il se compose d'une épreuve chronométrée où il faut repérer des erreurs d'orthographe, puis d'une dictée et en fonction des résultats d'un test individuel de lecture.

Les résultats sont communiqués aux jeunes ainsi qu’aux parents. Ils peuvent alors contacter un spécialiste, afin de mettre en place des aménagements pour la scolarité du jeune, en cours et lors des examens.

Françoise Veillé

Monitrice
MFR Pouancé - Ombrée d'Anjou

Accueillant des jeunes diagnostiqués "dys", l'équipe élabore, avec et pour tous les élèves lors des temps d'accompagnement individualisé, des outils adaptés aux besoins de chaque jeune : cartes mentales en Français et en Histoire, des fiches de rappel individualisées pour sept règles sont utilisées.

MFR La Pommeraye

Depuis la rentrée les feuilles de cours se classent avec une couleur par matière. Cette couleur se retrouve aussi sur le planning. "Pour différencier les cours c'est mieux" selon Mathis. Pour Landry, "les couleurs sont bien visibles et on les retrouve sur les feuilles de cours".

Un premier bilan encourageant... à suivre.

L'équipe des 4/3.MFR Beaupréau

Voici un texte original volontairement non corrigé pour mettre en lumière les difficultés des dys.

Je suis de dyslexique depuis toute petite j avais des mauvaise note.

je suis rentré à la MFR l année dernière mes note on vite remonté car les enseigne nous explique bien les question avant on n'a vais pas de cahier tout était sur classeur en devais tout écrire à la main mais cours était plein de vote d orthographe.

Cette année tout à change on a des cahier et les profeseur nous photocopie tout les cour .

Les écriture son plus grosse pour lire c est plus facile comme sa on se trompe pas de ligne. Utiliser des cahiers c'est mieux ça évite de perdre les feuilles et d'être bien organisés.

Une élève de 3e

Tous à vos tablettes !

Lors d'un soutien en Français, les secondes, munis d'oreillettes, se sont familiarisés avec la tablette numérique. Ils ont utilisé l'application 1001 lettres pour revoir des notions de base les éléments d'une phrase. L'application leur a permis d'entendre et de visualiser la notion ainsi que de s'entraîner grâce aux exercices. Quelques réactions suite à ce 1er temps : " ça fait du bien de revoir ces notions de façon individuelle, pas besoin d'écrire. On peut mieux se concentrer. On n'est pas perturbé par les autres." Les notions sont simplement expliquées. Le jeune peut solliciter le cours durant les exercices s'il sent qu'il n'a pas bien compris. Il est maître de son temps. Les jeunes ont hâte de faire la même chose en mathématiques.

Les 2ndes MFR Doué la Fontaine.

Une carte mentale ou mind-map est un outil qui permet d'apprendre d'une manière différente. On part d'une idée centrale et on organise les idées autour. Chaque jeune dessine sa carte avec ses mots et ses idées. C'est une approche ludique qui permet de sensibiliser l'intellectuel et la créativité.

La carte mentale peut être utilisée en classe pour organiser les idées en vue de rédiger un travail, - résumer un livre, - prendre des notes, - mémoriser des éléments ou des faits.

MFR Chalonnes sur Loire

En classe de 4ème, un nouveau planning journalier très visuel. Y figurent le nom de la matière ainsi que le logo apparenté. Selon la période de la journée, les couleurs varient. Elles sont différentes le matin et l'après-midi. Les polycopiés sont agrémentés du logo relatif à chacune des matières.MFR  La Romagne.

Les élèves de 4e de la MFR ont pu découvrir lors d'une exposition photographique le travail d'une artiste : Christine Lefebvre. Les photos exposées avaient la particularité d'être toutes en noir et blanc. De plus, elles étaient développées sous un format carré. Après un premier travail lors de cette visite, ils ont ensuite joué les artistes en prenant à leur tour des photos qui respectaient les mêmes critères que ceux de l'artiste.

Chacun a pu réaliser deux clichés en mettant en avant un point précis du paysage de la MFR. Travailler le détail et non un grand paysage n'a pas toujours été simple mais la consigne a été respectée.

Venez découvrir leurs clichés à la MFR !

Les 4e de Beaupréau.

A l'initiative de la MFR de Gée et de la médiathéque de Mazé, Le Prix littéraire a vu le jour en 2006. Il est proposé à tous les élèves et apprentis des MFR du département, de la 4ème à Terminale Bac Pro. Cinq romans de littérature jeunesse sont retenus par un comité de lecture et lus de septembre à mars. Le 28 mars 2019, les jeunes rencontreront les auteurs à la MFR de Cholet. Les élèves de CAPa SAPVER sont ravies de préparer cet accueil.

Blandine CLOEST FD des MFR

Gaspard, brillant trisomique de 31 ans, très curieux, vit un quotidien tout à fait banal pour le commun des mortels. Il habite chez ses parents et travaille dans une boutique de souvenirs (Made in China) qu'il décrit d'un ton sarcastique. Il est aussi renifleur d'aisselle pour un fabricant de déodorants.

Suite à un accident il se retrouve sans emploi... Il souhaite devenir détective privé. Pourquoi pas ?

Il se fait embaucher par un cabinet afin d'enquêter sur la mort d'un patient dans un centre spécialisé. Son récit prend une allure cocasse et improbable.. On se laisse surprendre par son incroyable vision des choses, on se retrouve plongé dans ses pensées. Tous nos préjugés sur les handicapés s'envolent... Il est plus intelligent que nous !

Auteur : Romain Puertolas, 144p, Éditions : La joie de vivre, 15 €

Melissa et Cathie - Bac Pro MFR Chalonnes

Qui sont les bêtes sauvages ? Une famille d'orques vit en harmonie avec son environnement : l'océan. Leur quotidien bascule quand une bande d'humains, envenimée par le commerce et l'argent, capture les plus jeunes : Oscuro et sa sœur, massacrant ainsi la vie de leur mère.

Julie, embauchée au parc océanographique, découvre les horreurs endurées par les animaux pour s'offrir à nos yeux dans des spectacles dignes des plus grands tortionnaires. Les personnes qui ont cru être aimées par Oscuro compren-dront, trop tard, que les jeux et les caresses sont plus une torture infâme qu'un divertis-sement pour les enfants.
Dans les pages noires, la vérité subsiste. On se place d'instinct dans le camp de l'humain, on prend conscience du mal causé pour de l'argent. S'il y a un titan noir, c'est l'Humain.
185p, 12.50 € Éditions Rouergue
Mélissa Seconde Bac Pro Prod. horticoles
MFR Chalonnes

Rêve ou réalité ? Pouvoir ou invention  ? Une jeune fille rêve d'un étrange petit garçon de 7 ans nommé Yamoto. Il est perdu dans une forêt d'Hokkaïdo dont elle connaît tout, ce lieu lui paraît familier. Elle s'attache à lui, tant si bien que, lorsqu'elle dort, elle se retrouve dans son corps avec le sentiment qu'elle doit l'aider. Ses parents la croient malade mais elle sait qu'elle éprouve toutes les sensations qu'endure le garçon. Elle le guide dans ses mouvements, puis elle apprend qu'il existe réellement et qu'il est recherché par les gendarmes. La forêt dont elle rêve se dévoile à ses yeux. Lors de ses recherches sur internet, elle apprend ensuite pourquoi elle a été choisie pour accompagner le destin du petit... il lui était arrivé une histoire semblable quand elle était petite.

Une histoire qui se répète...mais pourquoi ?

Eric Pessan, 132p, 13 €. Ed. École des loisirs - coll.Médium+

Charlotte Première Bac Pro Prod. horticoles

MFR Chalonnes

Adèle vit à Lille pendant la 1re guerre mondiale. C'est une orpheline âgée de 15 ans, Avec sa sœur, elle se porte volontaire pour soigner les blessés de guerre. Cela ne lui suffit pas.  Elle se sent inutile pour son pays. Grâce à son ami Albert, elle intègre le réseau d'espionnage de Louise de B. Des missions lui sont confiées et elle va devenir une messagère pour essayer de sortir Lille de l'occupation. Comment transmettre des plans militaires aux forces libres françaises et à l’état-major anglais  ?..

Plus le temps avance et plus ces missions sont secrètes et dangereuses... Peut-elle faire confiance à cet inconnu qu'elle rencontre dans ses voyages ?

Malgré les dangers encourus, malgré sa jeunesse, elle fait preuve d’un immense courage et d’un sang-froid incroyable pour mener à bien sa mission !

Florence Cadier 192p, 15 €, éditions talents hauts.

Victor Première Bac Pro Prod. horticoles
MFR Chalonnes

Une jeune fille de 13 ans est kidnappée à Montréal. Son ravisseur l'emmène dans une cabane perdue au coeur de la forêt canadienne enneigée. Nita, une améradienne, arrive à se sortir des griffes de son kidnappeur et se retrouve seule et affolée face à la nature et aux animaux de la forêt.

Ensuite le FBI la retrouve frigorifiée sur le matelas de la cabane près du feu de la cheminée.

Elle a but de l'eau qui provenait de la neige et mange des barres de chocolat. Pour survivre elle a aussi tué et plumé un pigeon.

"J'ai apprécié cette lecture et l'histoire est prenante." C'est un texte qui se lit bien, qui entre bien dans le contexte actuel.

Auteur Nathalie Bernard,
272 pages, 14 €50, Éditions Thierry Magnier

CharlottePremière Bac Pro Vigne et Vin
MFR Chalonnes