Pascal Manoukian a rencontré les lycéens en octobre dernier.

+ De Vie...

Des lycéens standardistes au coeur de France 3

Les anciens élèves sont venus chercher leurs diplômes au lycée.

Ce groupe de musique pas comme les autres se réunit tous les jeudis pour jouer ensemble. Basse, guitare électrique et batterie résonnent dans tout le lycée le temps d'une répétition.

Après un an de travaux, le chantier du gymnase touche à sa fin.

Deux groupes s'entraînent au lycée tout au long de l'année pour la soirée des talents.

Le premier groupe réunit le mercredi de 13h à 15h des élèves de 1° : Chloé Bigot et Julie Arman au chant, Loïck Godefroy à la basse, Louison Bechu à la batterie, Alix Maugendre à la guitare électro-accoustique et une élève de 2de : Louanne Pottier (chant). Ils sont accompagnés de professeurs : M. Lecomte à la guitare électrique et Mme Roche au chant, pour former un groupe rock. Ils jouent Nirvana, System Of a Down ou encore Dionysos. Nous avons posé la question à Louison : "Pourquoi viens-tu dans le groupe du mercredi ?"

"J'aime jouer de la musique, c'est agréable de jouer au lycée surtout quand on fait de la batterie car on ne peut pas en jouer partout et c'est sympa de rencontrer de nouvelles personnes qui ont les mêmes goûts musicaux que nous. Il y a de quoi s'éclater !"

Le deuxième groupe, composé de trois élèves de 1° et de Jean-Pierre Rousselle, technicien polyvalent au lycée, répètent tous les jeudis de 13h à 14h dans le but de se produire eux aussi lors de la soirée des talents en fin d'année.

Clément Hibon à la batterie, Chloé au chant, Loick à la basse et Jean-Pierre à la guitare électrique, font trembler les murs avec une musique plus "Hard Rock". Au programme : AC/DC, Krokus ou encore Evanescence. Le but est simplement de faire découvrir cet univers peu abordé, pour le plaisir. Nous avons posé la question à Jean-Pierre : "Quel plaisir avez-vous à jouer dans un groupe d'Hard Rock avec des élèves ?"

"C'est un plaisir de jouer entre musiciens, il n'y a pas d'élèves ou d'adultes, il y a juste des musiciens. Je baigne dans cet univers depuis tout petit. Le Hard Rock est un environnement puissant que j'apprécie parce que tu peux y rencontrer n'importe qui et avoir directement un feeling, c'est comme le monde de la moto."

Vivement la soirée des talents ! Loïck Godefroy, Mylène Landier et Chloé Bigot

Vendredi 17 novembre, les lauréats sont venus chercher leur diplôme.

Les élèves ont été accueillis par les bac pro ARCU (Accueil Relation Clients Usagers) et dirigés vers la chapelle pour la cérémonie. Un invité d'honneur, Willy Fourreaux, ancien élève et gérant de " Plan B conciergerie", est venu parrainer la soirée. La remise des diplômes concernait les anciens de Terminale de Bac généraux : L/ES/S, technologiques : STMG, professionnels : GA et ARCU, ainsi que ceux des BTS (SIO/CG/MUC/AG/CI/SP3S).

M. Martineau, CPE, a appelé les élèves sur l'estrade pour une remise de diplômes factices comme aux Etats-Unis, dans une ambiance très festive ! Marie, Bac ES, a adoré ses années lycée et la relation avec les professeurs, "ça me manque", nous confie-t-elle. Elle est actuellement en 1re année de licence de droit et cela lui plaît, mais, "il y a beaucoup de travail !" Maxime, Bac S SVT, tente une 1re année de Médecine. Gillian, Bac L, est actuellement en BTS Tourisme. Maxence, Bac STMG, fait un BTS NRC alternance. Seren, BTS, est en Licence pro management. Autant de parcours variés qui font la richesse de notre établissement. Ce moment est aussi l'occasion pour les professeurs de retrouver leurs anciens élèves comme pour Mme Fonteneau, enseignante d'espagnol : " Je suis fière de mes élèves, je les adore !"

Retrouvez toutes les infos sur le lycée sur www.stcharles-stecroix.org Eugénie Pouillaude, Alix Maugendre

Lundi 16 octobre s'est déroulé le vernissage de l'exposition photo sur le thème de New York au campus Saint Charles, à l'initiative d'Annie Mézière.

Les élèves de BTS MUC (Management des Unités Commerciales) ont organisé cet événement avec leurs professeurs d'éco-gestion, Annie Mézière et Sandra Beuvière, pour pouvoir partir du 29 novembre au 4 décembre à New York en emmenant une partie de la classe.

Ronan Mézière, étudiant en 4°année d'école d'Architecture, passionné par la photographie et la sculpture sur pierre, a confié ses tirages aux étudiants en deuxième année de BTS MUC. Ses photographies représentent la vie quotidienne à New York avec ses avenues, ses grattes-ciel, et ses habitants, en noir et blanc et en couleurs. Une bien jolie exposition qui nous transporte au coeur de New York. Une quarantaine de ventes ont été effectuées ce jour-là, ce qui leur a permis de réaliser des bénéfices. Ils sont également allés sur le marché place des Jacobins (le mardi et le dimanche) pour vendre ces photographies. Mais les élèves ont aussi prévu un vide-dressing, un disco-smoothie ainsi qu'une intervention au sein d'Europa Jazz. Toute l'équipe du journal suit avec attention leur parcours et attend avec impatience des nouvelles de leur voyage.

Angéline Potot, Eugénie Pouillaude

Nous sommes partis du 24 au 28 novembre dans la ville de Salamanque, surnommée la ''ville dorée'', en Espagne.

Ce voyage a réuni des élèves de Seconde, de Première, de Terminale, ainsi que leur professeur d'Espagnol, Mme Fonteneau, accompagnée d' Annie, la cameraman. Nous avons été accueillis par le Colegio Delibes, un établissement consacré à l'apprentissage de la langue et uniquement réservé aux étudiants étrangers qui souhaitent apprendre celle-ci.

Les plus du séjour

La salsa est l'une des activités proposées par le directeur en plus des visites guidées. Nous avons aussi pu profiter d' une initiation à la cuisine espagnole, en fonction du planning de nos journées comportant également des cours le matin, de 9h à 13h. Ces activités nous ont marqué par le partage d'un moment agréable avec le professeur de salsa notamment. Cela a rendu la communication possible à travers la danse.

Ce voyage nous a permis d'améliorer notre niveau d'Espagnol de manière agréable.

www.colegiodelibes.com

Louis Martinier, Justine Garnier

La rénovation du gymnase était à l'étude depuis 2013.

Cela n'a pas pu vous échapper : les travaux tant attendus du gymnase, commencés fin 2016, viennent de se terminer au retour des vacances de la Toussaint 2017. Finis les vestiaires en bâtiment S !

Dorénavant, les lycéens et lycéennes disposeront de nouveaux vestiaires, dont certains spécialement prévus pour le rugby ! Ils profiteront aussi de sanitaires et de douches et surtout d'un chauffage (ce n'est cependant pas une raison pour rester dans les vestiaires plus longtemps !) et pour finir d'une salle de gymnastique.

Retrouvez toute l'actu de l'option sport sur StCharles SteCroix Eps | Facebook

Matéo Canonville, Alix Maugendre

Le mardi 10 octobre 2017, les trois classes de maternelle et toutes les classes de primaire se sont réunies pour une journée " sans cartable" sur le thème de l'Espagne.

Cette journée avait pour but l'entraide entre les élèves et le vivre ensemble. Le matin, les enfants étaient rassemblés dans la cour pour commencer la journée en musique... espagnole bien sûr ! Encadrés par leurs maîtres, les enfants ont eu le droit de venir déguisés et plusieurs ateliers cuisine ont été organisés pour l'occasion.

Les jeunes cuisiniers ont participé à l'élaboration de Tapas (en Espagne, ce sont de petites assiettes de fruits de mer frais, par exemple) et de sucré-salé. Les élèves de maternelle ont fabriqué des éventails aux couleurs espagnoles et plusieurs dessins ont été réalisés par les primaires.

Les plus grands se sont même inspirés des peintres espagnols comme Miro et Picasso pour créer leurs dessins.

Pour le reste de l'année, deux autres journées seront mises en place, sur les thèmes de l'Angleterre et de l'Allemagne.

Vous retrouverez toute l'actu de l'école primaire sur : steanne-stecroix.fr

Alix Maugendre, Eugénie Pouillaude

Nous avons rencontré Brunor, auteur de bande dessinées mélangeant philosophie et religion.

Le Journal : "Bonjour Brunor, dans vos bandes dessinées vous représentez la philosophie et la religion. Est-ce compatible dans la vie de tous les jours ?

Brunor : Depuis l'Antiquité, des hommes ont essayé de nous expliquer comment était fait le monde. Ils pouvaient nous raconter tout ce qu'ils voulaient et les gens choisissaient leur philosophie ou leur religion. Moi, ce que je raconte dans Les Indices pensables, c'est qu'on ne peut plus nous raconter n'importe quoi puisqu'il y a eu une sorte de révolution grâce aux sciences expérimentales. On transmet les expériences acquises à nos enfants, c'est la culture donc il y a une confrontation, on peut comparer ce que disaient les courants philosophiques avec ce que disent les sciences.

LJ  : Pourquoi avoir écrit et dessiné sur ce sujet en parlant de sciences et pas de la Bible ?

Brunor : Alors, tout d'abord j'ai entendu des questions de lycéens qui me disaient " Monsieur vous ne trouvez pas que la Bible c'est peut être beau mais c'est quand même très dépassé avec tout ce que l'on sait aujourd'hui ?" Alors, j'ai voulu montrer l'évolution des perceptions grâce aux sciences expérimentales.

Et comme je suis illustrateur, j'ai voulu le raconter en BD, pour que les gens me lisent.

Emma Dujardin, Léa Houdbine

"Je suis incapable d'écrire une belle histoire, je dois témoigner de la férocité des guerres civiles"

Les 1° L-ES et S SI de Mme Viot, professeur de français, ont rencontré Pascal Manoukian, ancien reporter de guerre et auteur des Echoués témoignant des difficultés de la guerre dans les pays du Moyen-Orient comme la Syrie. Durant 4 heures, Pascal Manoukian a parlé de son parcours professionnel, loin d'être classique ! Il a également répondu à toutes nos questions sur son livre et sur son travail de reporter et d'écrivain.

Son roman, Les Echoués est l'histoire de quatre migrants d'horizons différents qui se rencontrent dans leur errance. Ce livre émouvant donne à réfléchir sur ce sujet d'actualité et nous informe sur les conditions de vie des sans-papiers. L'auteur s'est inspiré de faits réels, vus pendant ses périples dans les pays en guerre, pour ces articles de guerre. Il nous a fait part de quelques anecdotes qui l'ont profondément marqué et décidé à abandonner sa vie de reporter de guerre pour une carrière d'écrivain.

A travers ses romans, il explique la difficulté de s'intégrer en tant que réfugié en France. Son rôle d'écrivain sert à témoigner et éclairer les esprits à travers cette polémique.

Emma Dujardin

Le Forum Jeunes est un festival gratuit qui, comme chaque année, a réuni énormément de monde le week-end du 23 septembre aux Quinconces du Mans.

Tandis que le vendredi était réservé aux humoristes, le samedi c'était musique et danse ! Amateurs ou professionnels, de 14h à minuit s'en sont donnés à coeur joie : Rocky, The Shougashack et aussi Willy William.

Plus connu sous le nom de BlastGhost, Clément Hibon élève de Première S SI à Saint-Charles Sainte-Croix a participé à ce Forum accompagné de son launchpad et de ses platines. Il a joué pour la première fois sur la scène de la Pelouse puis a donné une interview pour Radio Alpa. Nous lui avons également posé quelques questions : "J'ai débuté l'électro à l'âge de douze ans à l'écoute d' Animals de Martin Garrix. A cette écoute, je me suis dit pourquoi pas moi ? Et c'est là que tout a commencé. Je fais partie d'un groupe 'Galshi Revolution'. On développe notre propre style tout en restant dans l'électro. Avant de m'inscrire au Forum Jeunes, j'avais déjà joué au Bus Jeunesse, et ils m'ont proposé de rejouer mais sur une petite scène." Chloé Bigot, Mylène Landier

Le samedi 23 septembre s’est déroulée pendant le week-end du Forum Jeunes au Mans une course haute en couleurs.

Sur 3 tours de pistes, environ 1300 personnes ont couru au rythme des nuances de poudres.Ils se sont fait asperger de jaune, de rouge, de rose, de bleu tout au long des 4 km de parcours. Cette course, plutôt considérée comme une ballade, a récolté beaucoup de rires et a vu passer de nombreuses personnes déguisées, défilant heureuses et enthousiastes. Nous avons pu apercevoir des cheerleaders, des schtroumpfs ou encore d'autres déguisements encore plus farfelus.

A l’arrivée aux Jacobins, les coureurs ont été accueillis par de la musique et un grand jet de poudre collectif. De quoi danser et fêter cet événement au bénéfice des plus démunis. Sur les visages, on a lu beaucoup de sourires et de joie d’avoir couru pour une bonne cause. Car oui, l’inscription était gratuite, mais il fallait rapporter un produit hygiénique, comme un gel douche ou bien du dentifrice pour venir en aide à ceux qui sont dans le besoin. Un beau moment de générosité festive.

Laura Michelin

Le vendredi 29 septembre, 50 lycéens bénévoles se sont rendus au centre de Téléperformance du Mans avec pour mission d'enregistrer un maximum de promesses de dons venant de la France entière pour l'association Hôpitaux de Paris Hôpitaux de France.

Encadrés par l'équipe éducative, et notamment par la CPE Peggy Delière, à l'origine de la participation du lycée à + De Vie,  les lycéens ont répondu au téléphone pendant toute la soirée. L'émission présentée par Wendy Bouchard, Michel Drucker et en duplex au Mans par Marine Vigne s'est déroulée en direct sur France 3.

La fondation présidée par Bernadette Chirac a pour but de lutter contre la douleur au quotidien, de favoriser le rapprochement des familles à l'hôpital pour limiter l'isolement, améliorer les conditions d'accueil et développer les activités pour casser le quotidien des patients souvent rythmé par de multiples soins.

Contrairement à l'an passé où les dons s'élevaient aux alentours de 250 000 euros, cette année ce n'est pas moins de 350 000 euros qui ont été récoltés par les bénévoles. Bravo à eux !

Enzo Vavasseur, Alix Maugendre

C'était dans la cour du lycée, le 29 septembre, en l'honneur des élèves ayant contribué au projet Haïti qui a rassemblé 4700 € en juin 2017 ! Cet argent a permis de soutenir l'école ''Petit Coeur de Jésus'', à Port-au-Prince. Christine Guillard, animatrice en pastorale, a réuni écoliers, lycéens et professeurs dans une ambiance festive. Pour remercier chacun, Christine et Véronique nous ont offert des bracelets aux couleurs des Philippines confectionnés par les Seconde. En effet, cette année, c'est une école des Philippines qui bénéficiera du soutien du lycée.

Justine Garnier

Le Journal  : Bonjour Emma, qu'entendez-vous par "une association interconvictionnelle" ?

Emma : Cette association a pour but de promouvoir le dialogue inter-religieux, c'est-à-dire entre les personnes croyantes et non croyantes. Chacun peut venir échanger et partager des moments avec des personnes de confessions différentes.

LJ  : Que faites-vous pour promouvoir ce dialogue ?

Emma : Nous visitons différents cultes, nous organisons des kawaa (café-débat) sur un thème pour échanger : débats, conférences... On peut partager des repas lors de fêtes religieuses, organiser des collectes de vêtements, faire des sensibilisations dans des écoles, collèges ou lycées et parler de l'Interfaith tour.

LJ : Qu'est ce que l'Interfaith tour ?

Emma : Il s'agit d'un tour du monde proposé par le bureau national pour rencontrer les grands représentants religieux avec 4 ou 5 jeunes coexistants de différentes convictions, c'est ce que l'on appelle Interfaith tour.

LJ  : Vous avez 16 ans, n'est-ce pas une trop grosse responsabilité ? Comment vous organisez-vous avec votre vie de lycéenne ?

Emma : Effectivement, ça demande un peu de travail, mais je suis heureuse d'avoir cette responsabilité car je crois au dialogue inter-religieux. Quant à l'organisation, je me débrouille pour trouver du temps libre dans mon emploi du temps.

LJ : Qui participe à cette association ?

Emma : Nous sommes 8 sur le groupe local dont 3 jeunes qui viennent de lycées différents. Nous nous retrouvons pour discuter une fois par mois et cette année nous accueillerons peut être 5 jeunes qui ont fait l'Interfaith tour pour une conférence et le visionnage du film qu'ils ont créé pendant leur voyage qui a duré 1 an.

Léa Houdbine

Le 4 octobre, des jeunes de seconde et première sont allés à Nantes pour suivre une formation professionnelle pour devenir juge officiel lors de compétitions organisées en départemental, en régional, et en national !

Accompagnés de M. Rey, professeur d'E.P.S., une dizaine d'élèves sont allés en formation Badminton, 2 en rugby et 1 élève en escalade. Devenir Juge Officiel, c'est prendre des responsabilités, avoir une parfaite connaissance des règles de l'activité que l'on arbitre, et être impartial.

Alix, en formation Escalade : " C'était très enrichissant et instructif. Bien qu'il y ait beaucoup d'infos à mémoriser, j'ai pris un réel plaisir à suivre cette formation."

Eloi, en formation Badminton : " C'était intéressant, faire cette formation permet de mieux comprendre certaines situations de jeu"

Edwin et Vincent, en formation Rugby : "Pendant une après-midi, on a appris les règles de base du rugby à 7, puis lors d'un match, on est passé de joueur à arbitre. Cependant maintenant on me demande d'arbitrer à chaque tournoi et c'est parfois difficile de se faire respecter !"

Après cette formation, nous avons fait un debriefing dans le car dans une ambiance très festive et rythmée par les éclats de rire !

Alix Maugendre

Ce Mercredi 20 Septembre s’est déroulée une rencontre sportive entre les Secondes et les Terminales pro SN (Systèmes Numériques).

Afin de créer une cohésion entre les deux classes, M.Rey, professeur d'E.P.S., avec les responsables des classes, Nathalie Porteboeuf et Charline Jacquinot, ont organisé une série d’épreuves sportives. Au programme, tir à la corde, parcours du combattant puis escalade avec un saut dans le vide et un match de foot pour terminer.

Sauter dans le vide

Comment rester calme quand on vous dit de sauter dans le vide ? C’est tout d’abord le stress avant de sauter, puis la peur qui dure une fraction de seconde, et enfin la joie quand on se rend compte qu’on est encore vivant !

Avec autant d’émotions les élèves se sont rapprochés et sont prêts à démarrer une année scolaire ensemble. Nathanaëlle Combes

Le Mans Sarthe Basket commence très bien la saison. En effet, les joueurs d'Eric Bartecheky, premiers de pro A, ont cumulé 6 victoires consécutives au début de la saison.

La pre­mière jour­née com­mence fort avec une grosse vic­toire 103-63 face à Gra­ve­lines, en offrant un beau spec­tacle au public d'An­ta­rès.

Ils enchaînent avec une vic­toire sur le fil face à Monaco, 67-66. Dis­tan­cés au 3ème quart-temps, ils ont repris l'avan­tage durant le der­nier pour finir sur une défense héroïque de Roméo Tra­vis dans les der­nières secondes.

Ce fut au tour des palois d'être bat­tus par les man­ceaux, 73-56, avec une équipe bien en place qui a su tenir la dis­tance durant tout le match.

La qua­trième jour­née, le MSB avait ren­dez-vous à Stras­bourg où ils ont gagné de deux points, 78-76, avec une petite frayeur en voyant la SIG reve­nir à la fin du der­nier quart-temps.

Bourg-en-Bresse a été la vic­time sui­vante d'un MSB et sur­tout d'un Phi­lippe Ama­gou en feu avec une large vic­toire, 91-70, assez tran­quille tout en offrant une nou­velle fois un beau show.

Les der­niers de cette belle série de vic­toires ont été les joueurs d'An­tibes, bat­tus de trois petits points, 72-69, avec une deuxième mi-temps dif­fi­cile.

La série s'est ache­vée sur une défaite à domi­cile face à Cha­lon-sur-Saône à 63-66.

Pour plus de renseignements, rendez-vous sur le site du MSB : www.msb.fr

#GoMSB !

Matéo Canonville

Du 24 au 29 septembre, les option sport de Terminale S ont participé à un stage d’escalade en Ardèche.

« Nous avons été impressionnés par les 40 mètres de hauteur des voies » s’exclame Cyril. Nous avons pratiqué trois types d’activités : l’escalade en moulinette (corde tendue par le haut, faible risque de chute), l’escalade en tête (le grimpeur monte avec sa corde, risque de chute plus élevé) et la via-corda et via-ferrata (le grimpeur évolue de manière horizontale tenu par une corde ou un câble métallique). L’escalade en moulinette nous permet de travailler les pas et l’escalade en tête de les mettre en application. « Ce stage m’a permis d’améliorer mes compétences techniques, physiques et mentales en escalade. » témoigne Antoine, « J’ai augmenté mon niveau tout en profitant des vues extraordinaires que nous avions en haut des voies. » conclut Paul. Nous tenons à remercier les professeurs, M. Rey et M. Prémartin, qui nous ont accompagnés tout au long de ce stage. Cyril Dugenet

Primé au festival de Cannes, ce film traite d'un sujet tabou en France. Le chef d'orchestre de cette petite perle d'une durée de 2H est Robin Campillo.

Le film est si bien orchestré qu'il nous est impossible de nous ennuyer une seule petite minute. Il présente l'association militante "Act Up", active dans les années 90, un groupe activiste, qui vise à défendre les droits de toutes les personnes touchées par le SIDA. On assiste aux rendez-vous hebdomadaires de l'association, à leurs débats, etc... Nous sommes tout simplement captivés par Sean, malade, présent dans l'association et sur tous les fronts..! Le spectateur le suit tout au long de sa maladie, jusqu'à sa mort...

On ne peut que ressortir de cette salle juste bouleversé par ce film qui en dit tant sur le sujet...

Les élèves de BTS ont vu le film : « Nous avons apprécié la relation entre les deux hommes, l’un séropositif et l’autre séronégatif. » (selon Anna, Eva et Marion, en BTS SP3S).

« Il nous fait prendre conscience des précautions à prendre lors des rapports sexuels » (Pour Laura, Angélique et Lucie, en BTS SP3S)

Sacha Mauvignier

Dunkerque est sorti le 13 juillet 2017 en Angleterre. Ce film de Christopher Nolan traite d’un sujet connu du cinéma, la Seconde Guerre Mondiale.

Christopher Nolan a décidé de s’intéresser à une opération qui reste souvent dans l’ombre. En mai 1940, environ 400 000 soldats alliés sont encerclés par les troupes allemandes dans la poche de Dunkerque. L'opération Dynamo est alors mise en place pour évacuer le Corps Expéditionnaire Britannique (CBE) vers l'Angleterre. Nous suivons les destins croisés des soldats, pilotes, marins et civils Anglais durant cette opération. Alors que le CEB est évacué par la mer, trois soldats, Tommy, Gibson et Alex, arrivent à embarquer malgré les bombardements ennemis. Mais un autre périple les attend : la traversée du détroit du Pas de Calais. Durant 1H47, l'angoisse nous prend avec différents rebondissements. Les soldats sont assaillis en permanence par l’armée allemande, que ce soit sur le sol français, sur la Manche par des torpilles ou dans les airs par les chasseurs et bombardiers allemands. C'est une oeuvre cinématographique à ne pas manquer. Vous ne serez pas déçus par ses magnifiques plans, ses effets spéciaux démesurés ni par la bande originale du grand Hans Zimmer.

Emma Legros

Les Jourdain Du Loir est une troupe de comédiens amateurs. Nous avons rencontré Jean-François Bechu, président de l’association et metteur en scène.

Journal : Quand et comment la troupe des Jourdain du Loir a-t-elle été créée ?

J-F Bechu : La troupe s’est créée en juin 2016, grâce à Christophe Barbier, journaliste à L'Express, et passionné de théâtre. Il est venu à la Halle au blé à La Flèche parler de son Dictionnaire Amoureux du théâtre. Cela m’a poussé à créer ma troupe.

Journal  : Quelle pièce avez-vous choisie de mettre en scène pour la première création ?

J-F Bechu : Pour la première création, nous sommes partis sur le Malade Imaginaire de Molière. C’est une pièce qui m’a marqué car je l’ai joué une fois en tant qu’amateur avec le rôle de Thomas Diafoirus puis, une deuxième fois en tant que comédien professionnel avec les rôles de Cléante et de Thomas Diafoirus. Après cela, j’ai décidé que si je montais une troupe de théâtre amateur, ce serait Le Malade Imaginaire.

Journal : Au sein de la troupe, qui participe à ce projet ?

J-F Bechu : La plupart des gens qui participent à ce projet sont des amis et des connaissances qui habitent à La Flèche. Ils sont en tout douze comédiens et parmi ces gens, il y a trois personnes qui n’avaient jamais fait de théâtre et qui ont donc effectué leur baptême théâtral.

Journal : En tant que metteur en scène, quels choix avez-vous fait pour cette première pièce ?

J-F Bechu : J’ai décidé de respecter le texte intégral, mais j’ai choisi de faire une mise en scène contemporaine, en mélangeant théâtre et vidéo entre chaque acte.

Journal : Quels sont les projets pour les années à venir ?

J-F Bechu : Les Jourdain ne s’arrêtent pas là. Nous avons deux pièces en tête. La première sortira en juin 2018, c'est « Le Prénom » d'Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte. La deuxième pièce, «  Chapeau de paille d’Italie » de Labiche, sortira en mars/avril 2019. Les pièces comptent respectivement cinq et dix-huit personnages.

Journal : Enfin, avez vous des informations supplémentaires sur la troupe ?

J-F Bechu : Oui, nous jouerons le 31 mars 2018 à Chateau-Gontier, pour le festival Festhea.

Rdv sur facebook Les Jourdain Du Loir.

Louison Bechu