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N° 34 - Décembre 2018 | www.stfrancoislaroche.fr |
A l'Aubépine, une construction pour l'avenir
Le 4 octobre, le jour de la Saint-François, Bertrand Potier, directeur du lycée Saint-François-d'Assise, a posé la première pierre du futur lycée, sur le site de l'Aubépine, en présence des autorités civiles et religieuses. Un établissement innovant à bien des points de vues qui ouvrira à la rentrée 2020. Pages 4 et 5
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La course des 20 Joséphine
Le 30 septembre, une vingtaine d'élèves du lycée ont participé à la Joséphine, une course organisée contre le cancer du sein. Sur près de 12 000 concurrents. Recette de la journée : environ 60 000 € versés à la Ligue contre le cancer.
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Robin assistante d'anglais
Robin Watt est arrivée à la rentrée de septembre pour assurer la fonction d'assistante d'anglais. Elle restera six mois au lycée. Pour elle, la France est un pays cool où on mange bien et où, selon elle, les habitants ont un bon niveau d'anglais. Etonnant ! Isn't it ?
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Bibi, une visite suédoise
Bibi est suédoise d'origine chinoise. Elle va rester au lycée jusqu'en juin. Elle parle quatre langues, le chinois, le suédois, l'anglais et le français. Un beau bagage. Elle a choisi la France' parce que, dit-elle, c'est un pays "élégant".
Au Québec pour muscler le partenariat
Une délégation, conduite par Bertrand Potier, s'est rendue au Québec. Bertrand Potier explique les raisons de ce voyage.
Bertrand Potier, directeur du lycée Saint-François-d'Assise, accompagné de Christine Guignardeau, responsable des relations internationales et d'Olivier Couteau, professeur de physique en BTS, sont partis en voyage professionnel au Québec.Les objectifs de ce voyage ?
1er objectif : Signer une convention avec le CÉGEP de La Pocatière, au nord de Québec. Ce partenariat permettra aux étudiants de BTS TPIL (Techniques physiques pour l’industrie et le laboratoire) de passer une année au Canada après le BTS, pour poursuivre leurs études et obtenir le diplôme québécois, qu’ils ne peuvent avoir en France.
2ème objectif : Relancer le partenariat avec le collège d'enseignement général et professionnel (CÉGEP) de Drummondville, ville jumelée avec La Roche-sur-Yon.
3ème objectif : Visiter des entreprises qui accueillent nos stagiaires et en démarcher de nouvelles.
4ème objectif : Rencontrer nos quatre étudiants actuellement présents à La Pocatière jusqu'en juin prochain.
Quelle conséquence sur les élèves de notre lycée ?
Le but de ce projet était vraiment d'établir des partenariats avec plusieurs entreprises et le lycée de la Pocatière. Cela va permettre à nos étudiants de passer un diplôme québecois, le DCT, de trouver plus facilement des stages au Québec, de découvrir d’autres réalités et de mieux préparer son avenir professionnel. C’est un vrai plus pour le CV. Cela n’a donc pas d’impact sur nos lycéens en filière générale. Un certain nombre d'étudiants ont déjà eu une proposition d'embauche suite à leur stage dans les entreprises et d'autres se sont proposées pour accueillir de nouveaux élèves.
Vos impressions...
Nous sommes ravis de l'accueil que nous avons reçu à notre arrivée et nous avons constaté que les enseignants comme les élèves étaient très volontaires. Nous avons également visité un centre de recherche laser. Cela peut, donc, déjà donner une idée à nos étudiants en BTS, qui ont de grandes chances d’être embauchés après cette troisième année.
Quel bilan tirez-vous de ce voyage ?
Un bilan très positif. Nous n’avons pas chômé ! Le voyage s’est très bien passé. L’échange avec les nombreuses entreprises était excellent. Les étudiants présents là-bas ont également donné une très bonne image de notre lycée, ce qui est très satisfaisant. Nous n'avons pas eu beaucoup de temps pour du tourisme ! Oui, vraiment ce voyage était passionnant..
Dorian ROCHEREAU,
terminale ES1
et Aurore FRETAY, seconde B.
« Des tests assez faciles »
Comment avez vous ressenti ces tests, nouveaux pour vous ?
C'était assez long, car il y a eu certains problèmes d'ordinateurs, mais, globalement, l'organisation était assez bien. Les tests étaient assez faciles. Certaines questions étaient "bizarres", mais cela s'est bien passé.
Ces tests sont-ils utiles ?
Pour notre part, ces tests ne se sont pas révélés très utiles. Nous ne nous en servons pas en cours par exemple. Après, peut être que nous les utiliserons plus tard dans l'année...
La rentrée des secondes
Le lundi 3 septembre, les nouveaux élèves de seconde ont vécu leur premier jour en tant que lycéens.
La journée s'est déroulée en plusieurs temps : premièrement, après l'arrivée des élèves, vers 9 h, le directeur, Bertrand Potier, a prononcé son discours de bienvenue avant d'effectuer le traditionnel appel des élèves lors duquel les secondes ont été répartis en onze classes.
A la découverte du lycée
Ensuite, les élèves ont pu rejoindre leur classe principale en compagnie de leur professeur titulaire. Celui-ci leur a expliqué le fonctionnement du lycée, les APO, les professeurs ressources, et leur a distribué leur carnet de correspondance. Puis, les élèves sont allés à la découverte du lycée (CDI, self, etc...) avec un de leurs professeurs.
L'après-midi, ils sont allés prendre leurs nombreux manuels avant de partager un goûter sur la cour. Les externes sont, ensuite, rentrés chez eux et les internes se sont retrouvés pour découvrir l'autre facette du lycée, l'internat. Ils ont pu déposer leur valise dans leur box et sortir du lycée, avant d'aller en étude obligatoire.
Après le dîner, les élèves ont eu une réunion avec Olivier Emerit, le responsable des internes, qui leur a expliqué le fonctionnement des heures de sortie et de contrat d'étude. Puis, ils ont pu regagner leur chambre et se coucher avant d'attaquer une nouvelle journée.
Léonie BOISSELEAU, seconde C.
« Utile mais... »
Que penses-tu de ces tests ?
C'était vraiment facile. Donc, forcément, les résultats sont là. Les questions étaient simples dans la majorité .
Trouves-tu ces tests utiles ?
Pour les profs, je pense que c'est utile, pour voir où sont et quelles sont les lacunes dans les classes. Maintenant, pour les élèves, je pense que ça ne sert à rien, car ce sont des acquis que l'on a déjà avant d'arriver au lycée .
Enquête : Dorian ROCHEREAU, terminale ES1.
Les résultats du bac 2018
Du 18 au 25 juin, les premières et les terminales de France se lançaient dans les épreuves du baccalauréat. En France, ce sont 753 148 personnes qui ont passé les épreuves avec 88,3 % de réussite. Mais qu’en est-il du lycée Saint-François-d'Assise ?
En ce qui concerne le bac général, le lycée compte 96,7 % d'admis dont 70 % avec une mention. C'est un meilleur résultat que l'année dernière qui avait connu 95 % de réussite. La filière L obtient le pourcentage d'admission le plus élevé avec 97,9 %, suivie des ES 97,5 %, des S-SVT avec 96,9 % (filière ayant obtenu le plus de mentions très bien) et enfin des S-SI avec 93,2 %.
Pour le bac technologique, les résultats sont encore plus satisfaisants avec 98,2 % d'admis : 97,6 % pour la série STI2D, et une belle performance de 100 % pour les STL qui prolongent cet exploit depuis 2014 !
Les bacs professionnels obtiennent une bonne moyenne de 90,1 % d'admis avec 100 % dans les séries Maintenances équipes industrielles ; Carrosserie ; Froid et conditionnement de l'air.
Bac : 95 % d'admis
Pour le pôle supérieur, le pourcentage d'admission des différents diplômes oscille entre 70 et 100 %. Enfin, pour ceux qui suivaient la prépa Sciences politiques, sachez que le pourcentage d'admis est de 33,3 %, plus bas que les deux années précédentes (37,5 % en 2016 et 38,9 % en 2017).
Le lycée obtient, donc, pour ses différents baccalauréats 95 % d'admis. Espérons que les résultats seront aussi bons cette année !
Eléna FLEURET, terminale TL1.
Tests de rentrée : premier bilan
Le ministère de l'Education a demandé aux établissements d'organiser des tests auprès des secondes, afin de connaître leur niveau. Sylvie Durandet, responsable des secondes, explique la démarche.
« Les tests de positionnement sont deux épreuves, de maths et de français, de 50 mn chacune, que passe chaque élève de seconde. Ces tests servent à vérifier les acquis. Les deux épreuves se font sur ordinateur.
L'organisation fut un problème pour le lycée. Notamment dans les premiers jours, le réseau était saturé en raison du grand nombre de connexions partout en France. Ainsi, nous avons donc arrêté le wifi.
Grâce à çela, l'organisation s'est améliorée. Coté résultats, ils sont bons et c'est normal, puisque ces tests s'appuyaient sur des connaissances de classe de troisième. Globalement, les élèves ont réussi. Ces tests ont monopolisé les salles informatiques et les heures de modules des secondes. Chaque élève va recevoir son compte-rendu identifiant ses points faibles. Néanmoins, ces tests posent des questions d'efficacité, car les points faibles des élèves ne vont pas forcément être résolus, faute de temps. Ces tests seront-ils renouvelés chaque année ? Nous n'en avons pas la moindre idée. Maintenant, il semblerait qu'ils seront probablement renouvelés, peut être avec une organisation différente ».
Pose de la première pierre à l'Aubépine
Les travaux du nouvel établissement ont été lancés début octobre.
La première pierre du futur établissement Saint-François-d’Assise a été posée ce jeudi 4 octobre sur le site de l’Aubépine, à La Roche-sur-Yon. Ce temps convivial, qui a réuni tous les acteurs de ce projet immobilier, est l’aboutissement d’un travail commencé depuis plus de 10 ans.
Cette « petite action mais néanmoins très symbolique », comme le souligne Dominique Cessou, président de l’OGEC, annonce le début de la construction du lycée. Ce dernier, grand de 25 000 m2, accueillera 1 800 élèves à la rentrée de 2020 dans cinq pôles de formation diversifiés : un lycée général, technologique et professionnel, un centre de formation d’apprentis (CFA) ainsi qu'une section d'études supérieures.
Le projet collectif de l’établissement, soulignant de nombreux partenariats, est un outil qui assurera une efficacité et un avenir de l’enseignement. Ce futur espace pédagogique innovant, favorisant le travail collaboratif, accompagnera chaque jeune dans son parcours professionnel.
Bertrand Potier, chef d’établissement du lycée, souligne que ce dernier « offrira un environnement de qualité, un espace pédagogique audacieux et un bien-être quotidien ». Concrètement, les élèves ainsi qui ceux qui travailleront au sein de l’établissement auront accès à Internet en haut débit, à une restauration adaptée à tous, à des espaces de relaxation et de repos et à une aumônerie. Ce lieu de travail, d’échanges et d’épanouissement favorisera la mixité sociale et impulsera de nouveaux projets. Cette audace éducatrice permettra au plus grand nombre de jeunes, confiés aux enseignants et au personnel, de réussir.
Luc Bouard, maire de La Roche-sur-Yon, indique que la construction de cet établissement est un grand moment pour le territoire et qu’il s’inscrit dans ce qu’il souhaite pour l’enseignement : « un travail de qualité pour tous, pour que le lycée soit fier de sa ville et que la ville soit fière de son lycée ».
L'évêque de Luçon a conclu sur l’esprit d’entreprendre des Vendéens. Il admire les architectes au service de la rencontre de tous, ainsi que de la communauté éducative pleine de dynamisme, d’attentions à tous et à chacun. Colette JOULIÉ, terminale ES3.
Maquette 3D : un outil innovant
Les bâtiments du futur lycée Saint-François-d'Assise harmoniseront, d'ici 2020, fonctionnalité et innovation.
Dans cette dynamique, une maquette graphique en 3D du futur établissement a été réalisée par l'entreprise Duret et la start-up Bloc in Bloc. Cette dernière, basée à Nantes, exploite la technologie Building Information Modeling (BIM).
En cohésion avec une volonté de tous les acteurs de ce projet d'innover, elle a développé une application permettant de visualiser les bâtiments du nouveau lycée. Cette innovation permet aux équipes de concevoir ainsi que de visualiser plus facilement le projet tout au long de sa réalisation.
Complètement immergé
L'application de réalité augmentée mixte offre la possibilité de suivre et de contrôler la construction du nouvel établissement en superposant la maquette numérique dans son futur environnement. A l'aide d'un casque de réalité virtuelle, l'individu est complètement immergé dans les futurs bâtiments : il peut se déplacer et observer, en fonction des périmètres choisis, les différentes couches de l'établissement.
Ainsi, cette réalité augmentée mixte est d’une grande aide à la maintenance. Camille Foucher, ingénieure en informatique, indique que les équipes peuvent "accéder à l'intérieur des murs" et ainsi faciliter leurs interventions en cas de problèmes techniques. La start-up, dont l'outil innovant facilite la construction et la maintenance, multiplie les projets dans toute la France. Colette JOULIÉ, terminale ES3.
Les Times Capsules
En fin d'année 2017-2018, sur une idée de Sean Morris et Cindy Auguste, professeurs d'anglais, toutes les classes de seconde ont réalisé une "Time Capsule" destinée aux futurs élèves de Saint-François-d'Assise.
Enterrées à l'Aubépine
A l'intérieur, les élèves ont mis leurs photos de classe, la liste des métiers qu'ils comptent faire plus tard mais aussi des lettres (en anglais bien sûr ! ) à destination des futurs lycéens, des photos de l'IPhone X ou encore la photo de l'équipe de France brandissant la Coupe du Monde de football.
Le 4 octobre, à l'occasion de la pose de la première pierre du nouveau lycée et jour de la fête de la Saint François, les "Times Capsules" ont été enterrées sur le nouveau site.
Les délégués de seconde de l'année dernière ont déposé la production de leur classe dans une grande boîte en fer avant de l'enterrer au pied d'un arbre.
Un passage de témoins
Cette boîte sera déterrée à la rentrée 2020 par la première génération d'élèves à suivre sa scolarité dans les nouveaux locaux en présence des élèves qui l'ont enterrée.
La date, bien que très prochaine, a été vue comme un passage de témoins entre les derniers élèves à passer leur bac sur le site Victor-Hugo et les premiers à le faire dans les nouveaux bâtiments.Léonie BOISSELEAU, seconde C
Que pensent-ils du projet ?
En 2020, Saint-François-d'Assise sera regroupé en un seul pôle. Il sera localisé sur le site de l'Aubépine, près des Terres-Noires. Certains élèves d'aujourd'hui, et plus particulièrement les secondes, connaîtront ce nouvel établissement.
Nous avons donc interrogé deux secondes, Aubin Sionville et Thibaut Deslandes, pour connaître leur point de vue sur ce nouveau lycée. D'après eux, il sera plus moderne, mieux équipé et plus important. Thibault espère un self plus conséquent avec une meilleure organisation pour aller manger. Il imagine aussi une cour plus grande avec un terrain de volley et de basket. Tous deux espèrent que ce lycée sera digne de leurs attentes et sont pressés de vivre leur dernière année là-bas. Si bien que, d'après les propres mots d'Aubin : « C'est même dommage que l'on y soit que pendant une seule année ! »
Justine LOTIN et Andréa LALONNIER, seconde A.
Qui était St-François-d'Assise ?
En 2014 le nouveau lycée, Saint-François-d'Assise a remplacé les lycées Saint-Joseph et Saint-Louis.
Amoureux du Christ
Beaucoup ignorent qui est ce saint patron. Franç'infos a interrogé Laure Pichot, responsable de la pastorale, afin d'en savoir plus à son sujet.
Choisi par la communauté éducative, l'image de Giovani di Pietro Bernardone semblait adaptée pour désigner le nouvel établissement scolaire.
Né en 1181 à Assise, en Italie, il était issu d’une famille de très riches commerçants et utilisait l’argent de son père pour le donner aux plus démunis.
Protecteur de l'écologie
Amoureux du Christ, il choisit de vivre comme lui.
Il renonça aux biens de sa famille pour un amour universel et choisit la pauvreté matérielle pour une plus grande liberté intérieure et une disponibilité aux pauvres.
Étant aussi proche des autres que de la nature, Saint-François-d'Assise fut proclamé protecteur de l'écologie.
Il sera le premier catholique à recevoir les stigmates, marques miraculeuses du Christ et devint ainsi son semblable.
Saint-François-d'Assise a été proclamé saint en 1228 par le pape Grégoire IX.
Julie ROLLIN, première L.
« Créer une bonne cohésion de groupe »
Le 4 octobre, les élèves de Saint-François-d'Assise ont célébré la fête de leur saint patron, accompagnés du nouvel évêque Mgr Jacolin, sur le site du futur lycée.
C'était un jeudi pas comme les autres. Après avoir traversé La Roche-sur-Yon en car, les élèves du site Victor-Hugo sont arrivés dans la joie et la bonne humeur, retrouvant à Pierre-Brossolette, leur « deuxième moitié". Ils ont été accueillis par des musiciens sur des airs entraînants.
Le directeur, Bertrand Potier, a présenté le déroulement de la fête et, à ses côtés, s'est avancé le nouvel évêque de la Vendée, Mgr François Jacolin. Ce dernier, honorant la fête de sa présence, a prononcé un discours construit autour de Saint-François, son propre saint patron, dont il a exposé les grandes lignes de la vie. Notamment sa découverte de l'Evangile, qui lui a apporté une véritable joie.
Un logo géant
L'évêque a invité les présents à partager ce bonheur et cette allégresse, tel Saint-François, ensemble, toute la journée.
Louise Lafond une élève de terminale L confie : « La fête du lycée est un bon moyen de créer une bonne cohésion de groupe pour le nouveau lycée qui se prépare ».
C'est donc dans cet état d'esprit que les élèves se sont mis en place afin de réaliser le logo géant à l'effigie du nouveau lycée. Afin de le réaliser, les élèves ont utilisé une feuille cartonnée de couleur différente, en fonction de leur niveau scolaire.Les jaunes pour les secondes, les vertes pour les premières et les rouges pour les terminales. Ils devaient se rendre dans un espace prévu. Ce logo représente l'union des deux coeurs du lycée, Victor-Hugo et Pierre-Brossolette.
Il était grand temps pour les lycéens de pique-niquer tous ensemble, joyeusement accompagnés, comme toujours de musique. Le soleil ce jour-là était au rendez-vous pour le plus grand bonheur des élèves qui ont pu s'asseoir dans l'herbe. Et comment oublier, à la fin du repas, la très attendue brioche, dont tout le monde s'est régalé ? Cependant les meilleures choses ont une fin, même la Saint-François. C'est le coeur inspiré des retrouvailles et de l'ambiance de fête que élèves et professeurs sont retournés à leurs études.
Juline SOUCHET et Lucie JOUSSE élèves de terminale L.

Parcoursup, comment ça marche
La plate-forme Parcoursup a été inaugurée cette année pour les élèves de terminale. Objectif : les aider dans leurs choix pour les études supérieures. Témoignages.
Théo Quintard, étudiant en double licence droit-histoire, à Cholet, indique : « Le temps d’attente de la validation de mes voeux n’a pas été long. J’ai reçu toute mes réponses dès l’ouverture de la procédure ».
Romain Heraud, lui aussi en ES l'année dernière, tempère : « Certains amis ont été durant tout le mois d’août sur liste d’attente - dans les 10 premiers. Étant finalement reçus, ils ont eu des difficultés à trouver des logements dans de grandes villes comme Nantes ou Rennes ».
« Avoir toujours un plan B »
Les élèves mis sur liste d'attente n’étaient pour la plupart qu’en stand by avant d’être acceptés. Elise Préault, par le passé en terminale littéraire, conseille : « Je pense que le mieux, c’est de toujours avoir un plan B en attendant d’être pris là où l’on souhaite, mais de ne pas accepter ». Théo a d'abord accepté une licence droit et sciences politiques à Lille de peur de ne pas être pris là où il voulait.
Concernant les sélections, les élèves interrogés n’ont pas eu le sentiment qu’elles étaient discriminantes. Elise partage son expérience : « Mes souhaits sur la plate-forme Parcoursup étaient des licences et des parcours sélectifs tels que des préparations littéraires. J’ai été acceptée dans toutes les licences que je souhaitais intégrer. Cela a été rassurant, puisque j’ai été refusée dans plusieurs préparations ».
Théo, lui, a fait une demande via la procédure complémentaire. Il partage : « J’ai rencontré des difficultés puisque j’ai été refusé dans beaucoup de formations très sélectives auxquelles je candidatais. Ces nombreux refus sont dus à une forte baisse de mes résultats au second trimestre » .
« La plate-forme devient accessible »
Les trois anciens élèves s'accordent : un temps d'adaptation est nécessaire à la plate-forme.
Elise témoigne : « Le site Parcoursup est un peu complexe, mais le lycée Saint-François-d’Assise simplifie les démarches en nous expliquant chaque étape. Dès lors qu’on comprend la plate-forme, c’est moins stressant : elle devient accessible ».
« Tout est cadré »
Romain, lui, convient que : « tout est cadré pour remplir les CV et les lettres de motivation, ce qui facilite l’utilisation ». Mais, Théo reconnaît un défaut au site : « On ne peut pas chercher des formations par leurs intitulés, car les catégories sont trop restrictives ».
Les terminales de cette année pourront, eux, mieux appréhender la plate-forme dès l'ouverture du site le 15 janvier. Théo conseille de « naviguer sur le site et regarder les tutos vidéo sur l'utilisation de Parcoursup ».
Colette JOULIÉ, terminale ES3 et Clara YDIER, terminale L1.
Bineta, employée de restauration
Au lycée, vous avez l'occasion de les rencontrer tous les jours. Pourtant, leur métier reste dans l'ombre.
Le site Victor-Hugo du lycée Saint-François-d'Assise compte neuf employés de restauration polyvalents, Freddy Bret, le chef cuisinier y compris.
Parmi eux, Bineta Top, a accepté de parler à Franç'Infos de son expérience.
Aide cuisinière
Bineta exerce cette profession depuis 2005. Elle travaillait, auparavant, dans un restaurant traditionnel.
Ce n'est qu'en avril 2016 qu'elle a commencé son activité au sein du restaurant scolaire du lycée Saint-François-d'Assise.
Elle y travaille 35 heures par semaine. Les horaires de ce nouveau mode de vie s'accordent davantage à sa vie familiale.
Bineta Top exerce la fonction d'aide cuisinière. Il s'agit de préparer les repas et les sandwichs du snack : un rôle important qui la met en contact direct avec des élèves impatients de se restaurer.
Bonnes relations
Dynamique, agréable et souriante, Bineta Top a souhaité travailler dans un restaurant scolaire pour participer à une ambiance conviviale. En effet, elle a confié avoir une très bonne relation avec le personnel du lycée ainsi qu'avec les élèves qui se montrent le plus souvent respectueux.
Julie ROLLIN, première L.
Qu'est devenu Benoît ?
Nous nous rappelons tous de ce documentaliste... Souriant et à l'écoute de tous, Benoît Michot-Baguenard est resté deux années à Saint-François.
Suite à l'obtention du CAPES en mars dernier, il a été amené à exercer dans un autre établissement pour l'année scolaire 2018-2019. Actuellement professeur documentaliste dans deux établissements au Mans, il a dû se familiariser avec un nouveau public.
En début d'année, il a proposé en collaboration avec la vie scolaire, une exposition pour sensibiliser tout particulièrement les collégiens sur les dangers des réseaux sociaux. Avec son établissement, il a également créé un club radio en partenariat avec RCF de la Sarthe. Le but de ce projet est de faire découvrir les métiers du journalisme et le monde de la radio, tout en travaillant l'exercice de l'interview.
Aujourd'hui, il semble s'être bien intégré dans son nouvel environnement. Il a même pu visiter divers monuments telle que la cathédrale Saint-Julien. « Ce qui n'est pas comparable avec la ville napoléonienne de La Roche-sur-Yon qui n'a aucun charme ! » dit-il.
Bien évidemment, notre magnifique lycée lui manque et c'est avec regret qu'il nous a quittés. Nous espérons donc le revoir le plus tôt possible.
Amanda SARRAZIN, première EL et Charlotte SEGURET,
première ES2.
Des lycéennes engagées tout en rose
Une vingtaine de lycéennes du lycée Saint-François-d'Assise étaient dans le peloton de la Joséphine, la course organisée contre le cancer du sein. Récit.
Le dimanche 30 Septembre a eu lieu la Joséphine, la course organisée depuis quatre ans par la ville de La Roche-sur-Yon à l'occasion du début du mois rose, mois de lutte contre le cancer du sein.
Cette année 11 738 “Joséphine” étaient sur la ligne de départ de la course et de la marche à 10 h 30. Et, parmi elles, une vingtaine de lycéennes de Saint-François.
Arborant leurs maillots roses, elles expliquent les raisons de leur engagement et leur ressenti d'après course : « Il y a vraiment une bonne ambiance : on encourageait et motivait les autres, on tapait dans la main des gens derrière les barrières. Un bon moment pour une bonne cause », explique Juline Souchet en terminale L.
Chaque année, 54 062 nouvelles personnes sont touchées. Un nombre impressionnant. C’est pourquoi il est important de sensibiliser au dépistage.
« Pas une fatalité »
Lisa Bleteau, une terminale S confie : « Le cancer du sein ce n’est pas une fatalité, il faut se battre, avancer... et surtout ne jamais arrêter de courir ».
Mais, le cancer du sein n’est pas uniquement réservé aux femmes. Les hommes, eux aussi, peuvent être touchés. C’est pourquoi il est important de soutenir cette cause. Simon Ducept, un professeur d’anglais ayant assisté à la course, assure « qu’une marée humaine qui court pour une cause réchauffe le coeur ».
Les personnes ayant subi un cancer du sein peuvent suivre différentes rééducations, comme l'exercice du sabre, explique Louise Gabard, une escrimeuse de terminale S.
Un bilan positif : près de 60 000 €
Cette année, c'est un bilan plutôt positif dressé par les Joséphine puisque c'est la belle somme de 59 830 € qui a été reversée à la Ligue contre le cancer.
Eléna FLEURET et
Lucie JOUSSE, terminale L.
Sports : débuts prometteurs !
Cette année, l'association sportive a débuté avec du futsal. Les quatre équipes, deux équipes cadets et deux équipes juniors, se sont qualifiées pour le second tour, du 21 novembre et du 19 décembre. Une équipe a réussi à décrocher une place pour la finale régionale du 16 janvier.
Six élèves du lycée ont participé à l'athlétisme en salle régional. Quatre d'entre eux ont atteint la première place et sont devenus champions dans leur discipline (en hauteur, au 200 m, au poids et à la perche). Les deux autres lycéens ont terminé 3 ème à la perche et 4 ème en hauteur. L'équipe challenge saut obtient la troisième place. La suite se déroulera au championnat de France Indoor à Val-de-Reuil, en février.
Seize engagés au cross UGSEL
Également, seize élèves ont couru pour l'honneur du lycée au cross départemental UGSEL. Trois minimes finissent 6 ème, 80 ème et 86 ème, trois cadettes arrivent 3 ème, 5 ème et 37 ème et un junior termine à la 4 ème place. L'équipe 1 cadets remporte le titre de champion de Vendée UGSEL. L'équipe 2 finit 9 ème du classement.
Six lycéens et lycéennes ainsi que l'équipe 1 se sont qualifiés pour le cross régional du 28 novembre, aux Terres Noires. Ces très bons résultats annoncent une suite de l'année encourageante !
Carla DUGUET, seconde K.
La nouvelle assistante anglaise !
Chaque année, le lycée Saint-François-d'Assise fait intervenir des étudiants étrangers. Cette fois, c'est au tour de Robin Watt, une jeune étudiante anglaise, de venir en aide à des professeurs d'anglais.
« Un pays cool »
La jeune étudiante est venue au lycée pour un stage d'assistante afin de compléter son parcours à l'université. Elle restera six mois. Robin n'a pas exactement d'idées fixes sur son futur métier mais elle envisage, peut-être, de devenir professeur d'anglais, en France.
Avant de poser le pied sur le sol français, Robin voyait la France comme un pays cool, où on mange de la bonne nourriture. Et, grande surprise : « Je suis étonnée du bon niveau d'anglais des Français ».
Des différences
Au début, elle dit avoir été un peu déstabilisée par l'organisation du système d'éducation.
Elle a pu aussi constater plusieurs différences entre les deux pays. Par exemple, en France, on ne porte pas d'uniformes... De plus, elle apprécie les cours variés que donnent les professeurs : « Les thèmes sont intéressants ». Avant d'ajouter : « Les élèves et les professeurs sont très gentils et accueillants ».
Clémence RAINTEAU et
Chloé GUILBERT première L.
L'international, c'est primordial !
Sean Morris, professeur d'anglais, est aussi responsable des relations internationales depuis 2016, au sein du lycée.
Les relations internationales incluent l'accueil de jeunes étrangers pouvant venir de tous pays mais aussi certains départs à l'étranger pour ceux qui le souhaitent.
Etats-Unis en 2019
Cette année, il est proposé aux classes de secondes un projet d'échange avec les États-Unis (prévu pour octobre 2019).
Suivront un autre avec la Nouvelle Zélande (prévu pour février 2020), un échange avec la Hongrie (2019/2020) mais également des voyages vers l'Allemagne et l'Espagne.
Pour les classes de première, les voyages proposés sont : la Chine, la Palestine ou encore la Pologne.
Ouverture d'esprit
D'après Sean Morris, « l'ouverture vers l'international, outre le fait de parfaire l'apprentissage des langues étrangères, apporte de nombreux bénéfices dont une plus grande ouverture d'esprit. »
Pour finir, il explique que cela contribue aussi à « élargir nos horizons, et, notamment, à avoir une meilleure connaissance de l'autre et de sa culture ».
Justine LOTIN et
Andréa LALONNIER, seconde A.
Des regards venus d'ailleurs
Depuis le début de l'année, le lycée accueille une Thaïlandaise, Sirikorn Maneekanont, surnommée Aem, et Zirui Wang, venu de Chine. Ils sont tous deux en classe de seconde A. Ils expliquent qu'ils avaient envie de découvrir un lycée bien différent du leur.
Ils remarquent, tous les deux, que notre mode de vie, l'éducation, la nourriture... sont différents . Aem exprime son souhait de vivre de nouvelles expériences enrichissantes et d'apprendre une nouvelle langue étrangère. Zirui, quant à lui, explique son choix de destination : « J'ai choisi la France, car c'est un pays développé avec un très bon niveau d'éducation. C'est pour cette raison que je désire rester dans ce lycée puis poursuivre ma scolarité dans une université en France. »
Aem, elle, est très contente de pouvoir affirmer : « J'aime ce lycée, car les gens sont polis, gentils et je passe vraiment du bon temps tout en étudiant ».
Justine LOTIN et
Andréa LALONNIER, seconde A.
Une élève suédoise pré-nommée Bibi
Cette année, les élèves de première L ont la chance d'accueillir une élève suédoise, Bibi Meng. Franç'infos est allé à sa rencontre.
D'où viens-tu ?
Je viens de Karlskrona. C'est une ville située sur la côte sud suédoise, mais mes racines sont à Chengdu, la capitale du Sichuan, en Chine.
Combien de langues parles-tu ?
Je parle quatre langues : le chinois, l'anglais, le suédois et le français.
Quelles étaient tes impressions sur la France avant ta venue ?
J'ai toujours trouvé que la France était un pays élégant
Ta rentrée s'est déroulée comment ?
C'était horrible ! Dans le sens où je n'ai presque rien saisi des paroles des professeurs. C'était très dur pour comprendre. Je me suis mise au premier rang... et n'osais pas me retourner.
Le système en France est-il différent ?
Complètement ! Ici, le professeur fait son cours à l'oral et pose des questions, alors qu'en Suède les enseignants préparent des PowerPoint et on fait beaucoup de dissertations. C'est plus strict en France. En Suède, les élèves peuvent devenir amis avec leurs professeurs.
Tu restes combien de temps ?
Jusqu'à la fin de l'année scolaire.
Trop de fromageLa culture française par rapport à la Suède ? Ce qui t'étonne...
Franchement, il y a certaines différences, mais pas tant que ça. J'ai remarqué que les Français disent beaucoup "pardon" et les Suédois plus "merci".
On approche des fêtes de Noël, quelles sont les traditions en Suède ?
Tout d'abord, il neige beaucoup en Suède. Les maisons sont décorées. On a un calendrier de l'Avent comme en France et surtout Sainte-Lucie, qui, chez nous, est très importante. Le 24 décembre, vers 15 h, à la télévision, il y a des films d'animation Disney que tout le monde regarde. Comme plats, on mange des boulettes à la viande, du janssons frestelse, qui est un gratin, des sardines avec des pommes de terre et le lussekatter, qui est une brioche au safran. On réunit tout ça et nous avons nos plats de Noël ! Sans oublier le porrigde avec une amande dedans. Celui ou celle qui a l'amande se marie bientôt.
Ton bilan sur la France ?
Il y a beaucoup trop de fromage et de pain en France et je n'aime pas beaucoup ça ! Mais, dans l'ensemble, un bilan très positif
Chloé GUILBERT première L.
Clémence RAINTEAU première L.

BD : Journal d'un enfant lune
Les lecteurs peu adeptes de bandes dessinées ne pourront que succomber à celle-ci. "Journal d'un enfant de lune", écrit par Joris Chamblain et Anne-Lise Nalin, raconte l’histoire de Morgane, une adolescente qui découvre derrière un radiateur le journal de Maxime, un enfant de la lune. C’est-à-dire un enfant atteint de la maladie Xeroderma Pigmentosum, une allergie mortelle au soleil.
Alternant ses récits, ponctués de poésie solaire et de tristesse lunaire, on s'accroche à ce personnage qui semble irréel. Le personnage de Morgane part à sa recherche. Les pages défilent et l’on se perd entre son histoire à lui et son histoire à elle. On se surprend à être passionné.
Une histoire qui sort de l'ordinaire
Il y a un très beau jeu sur les couleurs froides de la nuit et rosées, comme la vision que Maxime a du monde lorsqu'il doit se protéger du soleil. La fin est surprenante, loin d'être celle à laquelle on peut s'attendre.
"Elle était comme moi, à tenir éloigné du soleil".
Le dessin est très agréable, assez simple. Alors que demander de plus ? Une histoire qui sort de l'ordinaire, des personnages attachants, l'occasion de se pencher de plus près sur une maladie que l'on connaît peu. Foncez ! Il ne vous reste plus qu’à l'emprunter au CDI. Bonne lecture !
Lucie JOUSSE, terminale L2.
Musique : Bruno Major
Ce chanteur venu d’angleterre a sorti l’album “A Song for every moon” en 2017 suite à un défi qu’il s’était lancé une année plus tôt. Son but était de créer une nouvelle chanson à chaque nouvelle lune. Il a d'ailleurs dit : "Le plus grand défi a été d'ignorer mon perfectionnisme". Son album se compose de 12 chansons pop-folk, calmes et romantiques.
Il accompagne sa voix de piano et de guitare. Parfois rajoutant quelques sonorités électroniques à ses textes amoureux.
Clara YDIER, terminale L1.
Film : The Hate U Give
"The Hate U Give" (en français "La haine qu'on donne") est une adaptation du livre de Angie Thomas, du même nom. On y retrouve Starr, 16 ans, issue d'un quartier difficile, où un gang connu règne. Quant à elle, elle fréquente un lycée d'un autre quartier, où les élèves sont majoritairement blancs.
Un jour, après une soirée, elle assiste à la mort de son ami d'enfance, Khalil. Celui-ci s'étant fait tirer dessus par un policier qui pensait avoir vu une arme dans ses mains. De là, Starr change, hésite à témoigner de ce qu'elle a vu, de peur du regard des autres, ou de ce dangereux gang. La population aussi s'embrase, réclame la justice pour Khalil, dénonce ces violences policières. Starr, quant à elle, va essayer de surmonter sa peur et sa colère, tout en essayant de faire son deuil.
Ce film, basé sur la réalité, le rend d'autant plus émouvant. On passe ainsi de la tristesse et du choc lors du meurtre, à la colère et à la peur dans tout ce qui s'ensuivra, et la révolte qui restera toujours.
Clara YDIER, terminale L1.
Podcast : Entre
« Entre » est un podcast de Charlotte Pudlowski, accompagnée de Justine, 11 ans. Elle y raconte ses aventures d'adolescente à venir, sortant peu à peu de l'enfance. Dans les 26 épisodes durant entre 5 et 12 minutes, Juliette répond aux questions de son intervieweuse. Elle aborde sa vie comme nouvelle collégienne, parle de violence, de ses amis, de religion, et de tout ce qu'elle rencontre dans sa vie, des questions qu'elle se pose. Malgré son jeune âge, elle parle de façon très mature.
Clara YDIER, terminale L1.
Théâtre : Soleil blanc
Le 2 octobre, l'option Théâtre s'est rendue au grand R pour voir la pièce de théâtre "Soleil Blanc" de Julie Berès. Elle raconte l’histoire d’un petit garçon élevé par des loups sur une île presque déserte. Il y rencontre un écrivain et un ange, dont il tombe amoureux.
Cette pièce originale utilise une mise en scène époustouflante à base de danse, de chansons mais surtout de séquences filmées en direct sur scène et retransmises sur des écrans géants au-dessus.
Le spectacle a pour but de sensibiliser le public à la beauté de la nature et à l’environnement
Léonie BOISSELEAU, seconde C.

