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N° 35 - Février 2019 | www.stfrancoislaroche.fr |
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Le gothique à l'honneur chez les terminales
Les terminales L1 et L2 ont achevé leur cours de littérature anglaise par un exercice d'écriture gothique.
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Émilie, 16 ans, et déjà auteure
Émilie Francisco, élève de première, vient d'achever sa 5è histoire. Son objectif : journaliste ou professeure.
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Banque alimentaire, 110 élèves mobilisés
110 élèves du lycée ont participé à la collecte de la Banque alimentaire. Plus 15 % par rapport à 2017.
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Des lycéennes venues du bout du monde
Chiara (photo) et Amelia, deux Australiennes, viennent de passer plusieurs semaines au lycée. Rencontre.
Antoine Ditta, une fierté de Saint-François
Ancien élève, Antoine Ditta s'est distingué lors des Olympiades des métiers (médaille d'or). Il revient sur son expérience.
Le matin du 27 novembre, Antoine Ditta se préparait à concourir dans la finale nationale des Olympiades des métiers, à Caen. La plus grande compétition internationale de formation professionnelle réservée aux jeunes apprentis de moins de 23 ans.
« C'était très intense »
Issus de différentes voies de formation, les concurrents devaient réaliser une démonstration technique de haut niveau dans le domaine de leur apprentissage, aux couleurs de leur région.
Antoine s’apprêtait, donc, ce jour-là, à réaliser une performance de vingt heures. Au bout, le titre de meilleur apprenti de France en “froid et climatisation”, grâce à l’exécution parfaite de son montage, épreuve incluant l’entretien, le dépannage et l’amélioration d’un ensemble technique permettant de maintenir au froid une chambre froide et une patinoire.
Afin de donner le meilleur d’eux-mêmes, lui et tous les participants ont suivi un véritable entraînement physique et mental pour favoriser la cohésion d’équipe, être en pleine forme. « C’était très intense », confie-t-il. Cette médaille lui a procuré une grande fierté, mais aussi la garantie de nombreuses opportunités d’embauche. Comme un passeport pour l’avenir !
Sur les pas de son père
Son choix d’orientation suit une direction familiale, une passion riche que son père lui a transmise :« Mon père est, lui aussi, frigoriste, et je me suis dit pourquoi pas moi ? ».
C'est ainsi qu'il décide de faire ses études en tant qu'élève de Saint--François--d’Assise (à l’époque Saint-Louis) et s’engage dans trois ans de bac, puis deux ans de BTS Fluides, énergies, domotique, option froid et conditionnement d'air. Aujourd’hui, il poursuit sa formation à l’IFFI (Institut français du froid industriel), à l’école du CNAM, à Cholet : « C’est une formation purement théorique et c’est la plus poussée en réfrigération », précise-il.
Après avoir obtenu la médaille d’or, Antoine voit se profiler un nouvel objectif : désormais, il ira porter les couleurs tricolores à Kazan en Russie ou en Autriche, en août 2019. Mais, ce concours, c'est plus de monde et plus de stress, car, cette fois-ci, il devra concourir sur quatre jours d’épreuves. Il dit avec une pointe d’ironie : « Ca s’intensifie un peu ». Autrement dit : ça va chauffer !
Elena FLEURET, terminale L1, Juline SOUCHET terminale 2 et Lucie JOUSSE terminale L2.

Et pour le bac général, qu'en est-il ?
Depuis maintenant plusieurs mois, la réforme du baccalauréat 2021 se met en place au sein du lycée. Explications.
Sylvie Durandet, responsable des secondes et Johann Hériteau, directeur adjoint et responsable des terminales, donnent des précisions sur le nouveau baccalauréat.
Voeux décisifs en mai
Des changements vont avoir lieu avec, tout de même, un tronc commun.
L'un des plus grands changements consistera pour les élèves à choisir 3 spécialités en première, puis 2 en terminale parmi 12 au total. Ce choix peut générer du stress et de l'appréhension.
En revanche, « plusieurs temps vont être mis en place pour aider les jeunes à faire ce choix qu'il ne faut, en aucun cas, prendre à la légère ».
Tout d'abord, une réunion entre parents, professeurs ainsi que l'élève concerné a eu lieu en janvier. Par la suite, chacun pouvait, s'il le souhaitait, participer à des portes ouvertes dans les écoles supérieures pouvant l'intéresser. Pour finir, les vœux décisifs se feront en mai avec l'approbation des professeurs.
Un autre changement pouvant aussi perturber les élèves est que la notion de classe va disparaître : « Il est vrai que cela va être compliqué d'en constituer vu qu'à l'heure actuelle il n'y a plus le choix entre 3 filières (L, ES, S), mais 300 parcours différents ».
Sylvie Durandet pense que cela est très enrichissant d'avoir beaucoup de choix : « Effectivement, chacun peut créer son propre parcours en fonction de ses goûts, ses compétences et ses aptitudes ».
10 % de la note finale
Néanmoins, cela engendre du travail et de l'organisation, puisque le contrôle continu vaut 10 % de la note finale. De plus, certains secondes risquent d'hésiter au niveau des choix de spécialités.
Mais, finalement, d'après Sylvie Durandet et Johann Hériteau, « ils ne seraient pas totalement décisifs pour les futurs métiers envisagés par les jeunes ». En conclusion, disent-ils : « Choisissez les matières qui vous plaisent et dans lesquelles vous réussissez ! »
Andréa LALONNIER et
Justine LOTIN, seconde A.
Quid du futur bac professionnel ?
Franc'infos est allé à la rencontre d' Yvonnick Malary, responsable du lycée professionnel, pour en apprendre un peu plus sur la réforme des lycées.
En quoi consiste la réforme du lycée professionnel ?
Le premier point important est l'accès aux différents corps de métiers. Avant cette réforme, le jeune rentrait directement dans sa filière. Avec celle-ci, les troisièmes professionnels auront une année commune autour d'un même domaine (les familles métiers). Ce qui est intéressant, c'est que cette réforme permet au lycéen de se donner plus de temps pour son avenir, en ayant une année pour découvrir et faire le choix de son orientation, contrairement à l'ancien système.
Le deuxième point majeur de la réforme, c'est que les jeunes sortis de secondes, ayant fait leur choix de filière, peuvent choisir de rester dans un lycée pour une formation d'apprentissage, ce qui n'était pas possible aujourd'hui.
Comment va se passer cette réforme à SFDA ?
A la rentrée prochaine, toutes nos filières de baccalauréat professionnel vont être en "famille métiers". On anticipe la réforme qui doit être appliquée, pour nous, en 2020-2021. Il y en aura trois : une destinée aux techniciens d'études du bâtiment, une famille métiers de l'automobile, et une autour de la maintenance, du numérique et de la transition énergétique. Ce test se fera sur un semestre, et non pas une année complète.
En 2020, les élèves auront également une possibilité d'avoir une formation sous statut scolaire ou en apprentissage à Saint-François-d'Assise. Les élèves ayant déjà commencé leur cursus professionnel ne sont pas concernés par cette réforme. Seulement quelques modifications apparaissent : le professeur de mathématiques et celui de français vont co-enseigner pour rendre concret l'enseignement.
En classe de première et de terminale, les élèves auront à créer un chef-d'oeuvre, qui sera soutenu à l'oral pour le bac. Celui-ci consiste à réaliser une oeuvre, une activité reconnue par des professionnels de la filière, qui vont évaluer la qualité du travail.Les avantages et inconvénients ?
Cette réforme va permettre au jeune d'avoir un temps de recherche et d'approfondissement de sa propre filière. Quand on voit aujourd'hui l'évolution des technologies et des métiers, il est important "d'apprendre à apprendre".
Néanmoins, certaines inquiétudes persistent : l'image que va avoir la profession de ce nouveau baccalauréat. On est moins dans le savoir faire mais plus dans la capacité d'apprendre. Le lycéen sortant va paraître moins productif et moins opérationnel en entrant sur le marché du travail. Pour autant, la capacité à intégrer les nouvelles technologies est un atout indéniable.
Dorian ROCHEREAU,
terminale ES1.
L'american dream !
Des élèves de Saint-François-d'Assise sont allés aux States. Voici leur récit.
« Au mois d'octobre avec 21 autres élèves de première du lycée Saint-François-d’Assise, nous avons eu la chance de participer à un voyage de deux semaines aux États-Unis. Nous étions accompagnés par Sean Morris et Annabelle Fouquet-Audigé.
Ce voyage scolaire s’est déroulé dans le cadre d'un échange avec l'école Triton Regional High School, située à Newbury, une ville proche de Boston. C’est un échange qui prend place, depuis déjà plusieurs années, au lycée Saint-François-d’Assise.
Nous avons été accueillis chaleureusement par nos correspondants dès notre arrivée à l'aéroport. Ce voyage culturel et linguistique très enrichissant nous a permis de nous immerger dans la vie quotidienne d’une famille américaine.
Nous avons pu faire la découverte de nombreux lieux symboliques du Massachusetts tels que Boston, Salem... Et réaliser des sorties avec les familles d'accueil.
« C'était une aventure dont nous garderons tous un très bon souvenir ! », souligne un élève qui faisait partie de l'échange.
Nous attendons maintenant avec impatience l'arrivée de nos correspondants afin de vivre la deuxième partie de cet échange, cette fois-ci en France ! »
Pacôme MONNIER, première S, Anaïs THOMAS et
Clémence RAINTEAU, première L.
Le voyage en Allemagne
Du 13 au 21 décembre, 26 élèves germanistes de seconde se sont rendus à Gummersbach, ville près de Cologne, jumelée avec La Roche-sur-Yon, afin de passer une semaine chez leurs correspondants dans le but d'un échange scolaire. Ce voyage, à l'approche des fêtes de fin d'année, était l'occasion, pour les élèves français, de découvrir les traditions de Noël allemandes et de partager le quotidien des familles en cette période particulière.
Ils ont ainsi pu participer à des ateliers autour des fêtes et traditions allemandes. En famille, les jeunes ont pu décorer le sapin de Noël ou découvrir la tradition de la "couronne de l'Avent", "die Adventkranz". Cette tradition consiste à allumer une bougie chaque dimanche de l'Avent pour attendre Noël. Des sorties et... de la neige ! Un voyage sous le signe des fêtes.
Les lycéens français ont également effectué un certain nombre de sorties notamment à Cologne, où ils ont visité le musée de l'eau de Cologne ou encore à Bonn où, accompagnés de leurs correspondants, ils ont découvert un musée retraçant l'histoire de l'Allemagne de 1945 à 1989.
La patinoire du samedi a aussi remporté un franc succès, mais ce que les jeunes retiendront certainement, c'est la bonne surprise du dimanche matin. En effet, Gummersbach s'est parée de son manteau blanc et tout le monde a pu profiter de la neige.
Les jeunes et leurs correspondants vous disent "Bis Bald" et rendez-vous en avril pour la suite de l'échange !
Léonie BOISSELEAU, seconde C.
L'Australie au rendez-vous de St-François !
Cette année, des lycéennes australiennes sont, à leur tour, venues découvrir la France. Nous avons interviewé Amélia Stewart et Chiara Rice.
D'où viens-tu ?
Chiara : Je viens de Melbourne, au sud-est de l'Australie.
Pourquoi avoir choisi la France ?
Amélia : J'ai toujours aimé ce pays !
Chiara : J'apprends le français dans mon lycée, j'aime la langue et la culture, j'ai donc pensé que ce serait une bonne idée !
La France est-elle comme vous l'attendiez ?
Chiara : Je suis déjà venue en France quand j'étais petite et en échange mais, bien sûr, il y a beaucoup de choses qui m'ont surprise.
Quelles sont les différences au niveau scolaire ?
Chiara : Il n'y a pas beaucoup d'interaction entre les professeurs et les élèves et, pendant le déjeuner, il y a beaucoup de pain, de beurre et de fromage.
Amélia : Je dirai la même chose au niveau de la quantité de pain. Je n'en mange presque jamais, voire pas du tout.
Comment ont été les premiers jours ?
Amélia : J'étais stressée, car je ne connaissais personne et j'avais peur de ne rien comprendre. En plus, il n'y a pas de garçons dans mon lycée. Donc, j'étais étonnée dans le bon sens !
Chiara : Ils ont été très bien, tout le monde était gentil, mais les journées sont assez longues.
La langue est- elle difficile ?
Chiara : Bien sûr, la langue est très difficile, et je passe beaucoup de temps à essayer de comprendre en classe, mais je ne comprends pas grand chose.
Tu aimes ta classe et tes professeurs ?
Chiara : Oui, j'aime bien ma classe, mais en arrivant je pensais que les professeurs seraient très stricts et méchants, c'est un peu le stéréotype français, mais ils ne le sont pas du tout.
Depuis quand es-tu là ?
Chiara : Je suis arrivée il y a environ deux mois.
Quand est-ce que tu pars ?
Je pars le samedi 26 février, je vais à Paris pendant quelques jours avec ma famille, avant de repartir en Australie.
Aurore FRETAY, seconde B et Chloé GUILBERT, première L.
En route vers le futur !
En terminale, chaque élève doit faire partie d'au moins un parcours. Ces derniers vont de la participation au journal du lycée à l'entraînement aux entretiens de motivation, ou bien encore, des préparations à des certifications.
Les parcours de terminale ont pour objectifs de préparer les élèves au post-bac, de donner une plus-value à leur dossiers. Ce sont des moyens d'acquérir de l'expérience. Il y a des parcours universitaires durant lesquels les élèves suivent un cours de licence pendant un semestre et passent l'examen dans cette matière : « Cela permet de vraiment vivre dans l'ambiance université », raconte Solène Orizet, qui a suivi le cours "Grandes problématiques de la culture générale", à l'ICES. En effet, cela permet d'apprendre les mécanismes universitaires comme l'organisation, l'autonomie, la prise de notes...
Un autre parcours de préparation au CV, lettre et entretien de motivation a aussi été mis en avant. En effet, celui-ci donne des savoirs utiles pour l'université mais aussi toute la vie professionnelle qui suit. La finalité de ce parcours consiste en une simulation d'entretien de motivation. Les élèves parlent d'eux-mêmes, de leur parcours et projets futurs. Clara Danieau témoigne : « Ce parcours m'a permis d'apprendre à mieux me connaître ».. Pour elle, c'est aussi un parcours « rassurant puisqu'on a eu les conseils de professionnels ». En effet, ce sont trois intervenantes extérieures qui ont animé les heures d'atelier et conférences.Clara YDIER, terminale L1.
Des élèves engagés
Cette année, la commission environnement fait son grand retour tandis qu'une nouvelle fait son apparition : la commission harcèlement. Franç'infos a interrogé Jean-Marc Enfrein, responsable de ces commissions.
En quoi consistent ces commissions ?
La volonté de ces commissions est de rassembler les élèves du lycée pour mettre en place le rapport à l’environnement au lycée.
Pour le harcèlement, les jeunes voient plus vite que les adultes quand un élève est intimidé par ses camarades et, donc, de pouvoir avoir un réseau qui fasse remonter de l’information.
Pourquoi avoir choisi ces sujets ?
L’environnement est un sujet qui me tient à cœur et un certain nombre de jeunes m’en parlent. Il y a des cas de harcèlement au lycée et il faut agir pour que ça n’ait plus lieu.
Y a-t-il un rapport avec le CVL ?
Plus ou moins. Ce serait bien que ces commissions s’y rattachent. Mais, le CVL est plutôt orienté vers l’animation de la vie lycéenne et moins sur le quotidien dans l’école.
Qu’avait mis en place la commission environnement les années précédentes ?
Les bacs tri du papier dans les classes, des petits mots sur l’environnement dans les Croc’infos, un site de co-voiturage et les poubelles pour les emballages dans la cour.
Julie ROLLIN, première L.
La prépa Sciences Po : une clé pour réussir
Instaurée depuis cinq promotions, la formation propose aux élèves motivés la possibilité d'intégrer un enseignement supérieur pluridisciplinaire.
La prépa Sciences politiques de Vendée du lycée Saint-François-d’Assise a été créée en 2014 en collaboration avec l’ICES. Ouverte à tous les élèves de terminale (ES, L et S), cette dernière offre des clés pour réussir à intégrer l’un des instituts d’étude politique (IEP), l’année du baccalauréat.
« Des méthodes de travail »
Angèle Duret, ancienne élève du lycée qui a intégré la préparation, puis Sciences Po Paris, témoigne : « La prépa est un moyen pour réussir, mais pas la clé de la réussite : elle offre des méthodes de travail, des supports de cours. Toutefois, l’envie et la motivation m’ont aussi beaucoup aidée ».
La formation, d’environ 180 heures de cours, est répartie sur quatre semaines de vacances scolaires et quelques mercredis après-midi. Selon les promotions, entre 30 à 40 % des élèves de la prépa Sciences Po intègrent un IEP, contre une moyenne nationale qui vacille entre 10 et 20 % en fonction des instituts.
« Avec une certaine autonomie »
Les élèves de la préparation sont suivis et accompagnés. C'est ce que confirme Sarah Tessier, élève au lycée Jean de Lattre-de-Tassigny à La Roche-sur-Yon. : « Il est possible, à tout moment, de contacter un intervenant de la préparation pour nous aider. On garde, néanmoins, une certaine autonomie sur notre travail ».
Angèle affirme également : « Les professeurs de la prépa nous encadrent, cela permet de rester motivé. Cela a été pour moi très important : j’avais besoin du cadre qu'offre la formation pour réussir ».
Plus efficaces en groupe
La préparation rassemble des individus qui ont le même objectif, et les méthodes qu'ils acquièrent leurs sont utiles dans le supérieur. « Les petites promotions nous apprennent à travailler en groupe pour être plus efficaces » . Cela a été bénéfique pour Angèle : « J’ai eu l’opportunité de créer un binôme de travail avec quelqu’un qui a le même rythme que moi ».
Cependant, il est nécessaire de trouver un équilibre entre son année de terminale et la formation. Angèle souligne : « La quantité de travail est non négligeable. Cela a nécessité un investissement personnel essentiel ».
Cours ouvert le 3 avril
En intégrant Sciences Po Paris, Angèle a pu se rendre compte qu’il y avait de nombreux étudiants qui venaient de province, comme elle. Ainsi, elle s'est engagée dans une association qui lutte contre l’auto-censure des lycéens : « Il est important de promouvoir l’égalité des chances ».
Avides de connaissances ou curieux, vous pouvez participer à un cours ouvert le 3 avril , au lycée Saint-François-d’Assise.Colette JOULIÉ, terminale ES3.
Une écrivaine au CDI
Le mardi 22 janvier, à l'occasion de la semaine de la lecture et en compagnie des lycées du Roc, de Sainte-Marie-du-Port aux Sables-d'Olonne et Saint-Joseph à Challans, une dizaine d'élèves ont assisté à une conférence par Skype avec Laetitia Colombani, auteure de La Tresse, paru aux éditions Grasset.
A travers cette visio-conférence, les élèves ont pu découvrir qui était Laetitia Colombani et en apprendre plus sur son livre, ses inspirations et son parcours. Cette auteure française est née en 1976 à Bordeaux et est, avant tout, scénariste pour le cinéma. La Tresse est son premier roman et raconte l'histoire de trois femmes qui ne se connaissent pas mais qui sont unies par leurs cheveux, l'une portant les cheveux d'une autre qui ont été tressés par la troisième.
Pour écrire cette histoire, Laetitia Colombani a expliqué qu'elle en avait eu l'idée en accompagnant une de ses amies atteinte d'un cancer chez le perruquier et qu'elle s'était demandé qui étaient les femmes qui se cachaient derrière cette perruque.
Les élèves et l'écrivaine ont aussi discuté du féminisme, l'auteure se disant profondément féministe, de l'envie d'écrire ou encore de la manière de trouver un éditeur quand on n'a pas de relations dans le milieu de l'écriture
Les élèves présents se sont montrés très intéressés par le discours de Laetitia Colombani et, malgré quelques problèmes de connexion, ils ont passé un très bon moment en sa compagnie.
Léonie BOISSELEAU, seconde C.
L'aide aux devoirs
Depuis le début de l'année pour les premières et terminales et depuis le retour des vacances pour les secondes, les élèves du lycée ont la possibilité d'aller faire de l'aide aux devoirs auprès des primaires des écoles de la Sainte-Famille, Jeanne-d'Arc et Saint-Louis et des collégiens du collège Saint-Louis.
Une aide précieuse
Les lundis, mardis et jeudis, une quarantaine d'élèves du lycée se rendent dans les différents établissements scolaires pour permettre aux primaires et collégiens de faire leurs leçons. Ils officient auprès des garderies ou de l'étude du soir et ont en charge un ou plusieurs élèves qu'ils aident à faire leurs devoirs ou expliquer les notions mal comprises. Cette aide permet de décharger les surveillants en prenant en charge les enfants et à ceux-ci de profiter d'une aide de qualité.
Un engagement valorisé
Ces lycéens tirent aussi un grand bénéfice personnel de cette expérience. En effet, les élèves apprennent à gérer un groupe, développant ainsi leur capacité à s'exprimer et leur autorité. Cette activité apporte aussi une plus-value sur les CV, car le lycée appose une attestation de participation dans les dossiers scolaires. Le dispositif peut aussi faire partie des parcours obligatoires à faire valoir sur Parcoursup. Cet engagement est donc gagnant-gagnant, puisqu'il apporte autant aux écoliers qu'aux lycéens.
Léonie BOISSELEAU, seconde C.
Une mobilisation record des élèves !
Durant quatre jours, les lycéens ont participé à la collecte annuelle de la banque alimentaire dans les grandes surfaces des alentours de La Roche-sur-Yon.
Depuis près de 20 ans, l’engagement des élèves du lycée Saint-François-d’Assise, lors de la collecte de la banque alimentaire, se réitère. Cette année, l'établissement a enregistré un record : 110 élèves, tous niveaux confondus, se sont mobilisés.
Organisé par les professeurs de Sciences économiques et sociales, ce partenariat rassemble, chaque année, bénévoles, lycéens, mais aussi amis et proches venus aider.
Ces derniers, partageant les mêmes valeurs de don et de partage, réalisent cette collecte de denrées pour approvisionner les épiceries solidaires et, ainsi, subvenir aux besoins des bénéficiaires.
Des moments de partage agréables
En participant à cette action de solidarité alimentaire, les élèves se sentent « utiles » et offrent allègrement de leur temps. Ainsi, Annabelle Lardière, élève de première ES1, avoue : « J'aime bien le contact avec les gens, donc ça me plaît de faire cette action, surtout pour une cause comme celle-ci ».
De plus, l'ambiance y est chaleureuse : « Les bénévoles sont bienveillants et accueillants » , comme l'indique Chloé Janière, élève de terminale ES3.
« Chaque don est important »
Les élèves sont toujours étonnés et touchés par les dons généreux. Chloé, surprise, témoigne : « Une femme a donné un charriot entier, rempli de denrées, mais aussi de produits hygiéniques. Cela représentait une somme importante et, pourtant, elle n'a pas hésité ».
Alexandre Baudry, élève de terminale ES1, déconcerté lui aussi, souligne : « Chaque don, qu’il soit petit ou grand, est important ».
Une collecte en hausse de 15 %
Au cours de la grande collecte automnale de la banque alimentaire, ce ne sont pas moins de 180 900 euros de denrées qui ont été collectées, soit 15 % de plus que l'année précédente.
Une belle réussite pour cette association qui lutte contre le gaspillage alimentaire et aide les plus démunis. Chloé déclare : « Ça fait plaisir d'être remerciée et valorisée par les bénévoles. Notre participation à cette collecte est importante à leurs yeux. Ça nous fait également prendre conscience que tout le monde pourrait un jour en avoir besoin ».
Les dons sont majoritairement alimentaires : il ne faut pas oublier que les bénéficiaires manquent de protections hygiéniques, de couches pour bébés...
Colette JOULIÉ, terminale ES3.
L'esprit de Noël !
En ce mois de décembre, l'euphorie se faisait ressentir chez les élèves. Et, bien évidemment, en ces périodes de fêtes, la cabane a été installée. Cette année, l'argent récolté, dont le montant s'élève à 557 €, va directement aller à l’association Soleil pour Haïti. Les organisateurs remercient particulièrement les élèves qui se sont occupés de la préparation et de la vente des gâteaux, mais aussi les gourmands qui ont consommé pour la bonne cause !
Ce dernier jour avant les vacances de Noël a été une réussite. Après le déjeuner et une heure de cours, les élèves de l'option musique ont joué un morceau, puis, ce fut au tour des professeurs de chanter. Après cela, le directeur a fait un discours par rapport à la vie au lycée et au montant total de l'argent récolté pour le parrainage.
Des activités
Au même moment, sur la passerelle, un élève par classe avait une lettre dans la main. Le tout formait la phrase "Joyeux Noël à la communauté SFDA". Par la suite, diverses activités furent proposées : un concert organisé par l'option musique, qui a beaucoup plu aux élèves et qui a permis à chacun de découvrir ou de redécouvrir des talents, chanteurs/chanteuses ou musiciens/musiciennes, et un jeu Mysterium au CDR. Et, bien sûr, pour finir la journée avec excellence, rien de mieux qu'un goûter proposé à la cafétéria afin de régaler les plus gourmands.
On attend avec impatience l'année prochaine !
Amanda SARRAZIN, première EL.
Ils l'ont fait !
Le samedi 15 décembre a eu lieu le cross national UGSEL à Reims. Six élèves y ont participé pour la fierté du lycée. L'équipe cadette garçons termine avec l'argent. Témoignage de Victor Gaboriau, élève de seconde E.
Pourquoi as-tu voulu faire le cross ?
J'aime courir, faire des cross et cela peut toujours rapporter des points pour le bac.
Quelles ont été tes impressions concernant le niveau et le terrain ?
J'ai trouvé que la course était dure et le niveau des coureurs élevé. C'était assez difficile, car il y avait des montées très raides, le terrain était gelé et il faisait froid (1°C).
Tu t'en es quand même bien sorti avec une cinquième place sur 159. Quelles ont été tes qualités et celles requises pour réussir ?
Il ne faut jamais lâcher et connaître les techniques de course. Mais, je n'ai pas forcément toutes ces qualités (rires).Recommanderais-tu cette expérience aux autres ?
Oui, pour toutes les personnes qui courent, qui pratiquent le cross, le trail, voire la course sur route.
Félicitons également Claire Fréville qui a terminé 64é sur 130, ainsi que tous les élèves ayant participé aux différents cross UGSEL.
Carla DUGUET, seconde K.
Les faces cachées du lycée
Vous parcourez chaque jour le lycée, mais le connaissez vous vraiment ? Quels sont ses secrets ?
Le bâtiment existe depuis 1885. Durant toutes ces années, il a subi de multiples changements.
Après être devenu un lycée, il s’est agrandi jusqu’à la construction de la salle polyvalente en 1988. Depuis, certains endroits sont devenus inaccessibles. Sylvie Durandet, responsable des secondes, a accepté d’ouvrir ces lieux à Franç’infos.
Ancienne Kommandantur
A l’époque de la seconde Guerre mondiale, le bâtiment a joué un grand rôle. Achevé en 1938, avec cinq étages, l'armée allemande, dès 1940, a profité du plus haut bâtiment de La Roche-sur-Yon pour y installer la Kommandantur.
Malgré sa haute position et le confort d'un bâtiment quasi neuf, l'armée allemande n'y est pas restée longtemps : en novembre 1944, elle quitte les lieux, laissant aux Soeurs de Mormaison la possibilité d'enseigner librement.
De l'école Saint-Joseph au lycée
Avant de devenir le lycée Saint-François-d’Assise, le bâtiment a accueilli plusieurs institutions : d'abord, l’école Saint-Joseph de 1885 jusqu’en 1968. Elle regroupait une école primaire et maternelle et des classes de la 6e à la terminale qui comptaient 288 élèves.
Après 1968, le bâtiment a accueilli l’ISCA (Institution secondaire catholique), de 1968 à 1978. De là est née la fusion de Jeanne-d’Arc et Saint-Joseph. Elle était uniquement réservée aux filles.
Dès 1978, un grand changement s'opère : le lycée Saint-Joseph devient mixte ! Depuis, le lycée accueille des élèves de seconde jusqu'à la terminale.
D’autres secrets visibles ou figés dans les murs
Le bâtiment C est le lieu qui regorge le plus de secrets. Le grenier du dernier étage était autrefois, composé de chambres destinées aux professeurs. Il n'y a pas très longtemps, des remplaçants y dormaient encore. Aujourd’hui, cet endroit sert de débarras.
Certaines salles du lycée ont changé de fonction. La salle de réunion 2, qui était un bureau, est ensuite devenue une salle d’art plastique. Le foyer, au sous-sol, fut pendant des années une salle de théâtre. L'entrée du bâtiment se faisait au garage à vélos. La salle de réunion 1 était une infirmerie. Les deux portes dans le couloir de la salle de musique, mènent, quant à elles, aux anciens logements du concierge.
Maintenant que ces secrets n'en sont plus, à nous d'en recréer.
Matthias RISPAL, terminale S4 et Julie ROLLIN, première L.
Emilie, une jeune auteure
Emilie Francisco, est écrivain à seulement 16 ans. Au delà d'un passe-temps, elle en a fait une véritable passion !
Depuis quand tu écris ?
J'écris depuis toujours, ça fait partie de moi, mais c'est en troisième que j'ai vraiment commencé à m'investir dans l'écriture notamment dans le style romancier.
Comment s'appelle ton histoire ? Où on peut la trouver ?
J'ai écrit cinq histoires, ma plus populaire étant "Seven Demons". On peut toutes les trouver sur Wattpad.
Envisages-tu d'en faire ton métier ?
J'aimerais beaucoup devenir écrivain, en plus d'être soit journaliste soit professeur.Quels sont tes futurs projets concernant l'écriture ?
J'ai été contacté par la maison d'édition Hachette. Je prévois, bientôt, de mettre sur papier "Seven Demons".
C'est impressionnant d'écrire un livre à seulement 16 ans. Comment tu te sens face à ça ? Les réactions de tes proches ?
J'ai toujours écrit, j'aime ça et ma famille en est fière. Ils m'encouragent, mes amis également.
Ton jugement personnel ?
Mon début est à réécrire, car, depuis, je me suis améliorée !
Chloé GUILBERT, première L
A la conquête de la capitale !
Du 28 au 30 novembre, les élèves de première et de terminale de l'option arts plastiques et musique ont effectué un voyage au coeur de Paris.
Le premier jour, ils sont allés à la découverte de la fondation Louis Vuitton pour l'exposition de Jean-Michel Basquiat et Egon Schiele. Puis, les élèves ont poursuivi par la visite du musée Rodin, un musée qui conserve les oeuvres d'Auguste Rodin ( des sculptures, des peintures, des photographies...)
Visites et shopping
Ensuite, ils ont eu droit à une séance de shopping près de la Seine, dans le Marais, dans le 4è arrondissement. Le jeudi, les élèves ont visité le Louvre, puis deux groupes ont été formés, un qui visitait l'exposition Picasso, et l'autre le Palais de Tokyo et plus particulièrement l'exposition "Spider Web", où se trouvait une salle plongée dans le noir avec de la musique. Suite à cela, une nouvelle séance shopping s'offrait à eux.
Le jour du départ, ils ont profité d'une visite guidée au centre Pompidou, où ils ont pu admirer diverses peintures contemporaines et surréalistes. L'après midi, un des deux groupes a visité ce qu'il n'avait pas fait le jeudi entre l'exposition Picasso et le Palais de Tokyo. Les terminales sont allés à l'atelier Brancusi, pour y découvrir une exposition de sculpture.
Puis est venu le temps de quitter notre belle capitale et, pour les élèves, de retrouver notre charmante ville napoléonienne. Pour eux, ces quelques jours à Paris furent riches de découvertes !
Charlotte SEGURET,
première ES.
Qui a la plus belle plume gothique ?
Dans le cadre des cours de littérature étrangère en anglais, Btissam Ihbane, professeure d'anglais, a organisé un concours d'écriture avec ses élèves de terminale.
Les terminales L1 et L2 ont écrit des histoires, du genre littéraire gothique, de leur propre invention en tant que tâche finale de leur cours sur la-dite littérature.
Btissam Ihbane raconte : « Il s'agissait d'un projet à visée culturelle, linguistique, pragmatique, collaborative et actionnelle pour les deux groupes de terminale en option littérature étrangère ». Chacun a, ensuite, voté pour l'histoire qu'il préférait dans sa classe.
L'objectif était aussi d'étendre le projet à la publication dans le journal du lycée : « C'est aussi une façon de montrer concrètement à un peu plus de monde ce dont les élèves sont capables et cela permet aux lecteurs de (re)découvrir le gothique à travers des productions d'élèves », explique Btissam Ihbane.
Les élèves gagnants en terminale L1 sont Lucile Boissonneau, Louise Lafond et Katell Bourbasquet. Dans l'autre classe, en terminale L2, les gagnants du défi sont Lucas Desbancs, Blandine Klein et Matthieu Mateus.
Lucile explique : « J'ai trouvé sympa de faire ce projet, et de le faire en groupe. On n'avait pas créé d'histoire depuis longtemps ! » .
Blandine aquiesce : « Travailler en groupe permet de mélanger des idées et des styles d'écritures différentes ».
Extrait des productions d'élèves
ELECTED TEXT IN TL1
"Doctor Lecter :
It was a dark night in Saint James hospital. I, Doctor Lecter, fancied the hollers of my patients. I wanted that night to be a great one, it had to be the special night I had been yearning for a long time. I could never get enough of that, I had always needed it. Room 235 was my favourite, the patient was the perfect one, she responded to all my desires. The Pulsion of that night was the biggest I had ever felt, I couldn’t help it. The beast inside me was waking up, and I was not Doctor Lecter anymore, I was only Hannibal Lecter.
At midnight, the appeal of room 235 totally hypnotized me. I entered and all began.
The moonlight reflected onto the pale face of my sublime patient. I knew exactly what I needed from her. The sweet smell of her naked neck mesmerized me. The Pulsion told me to kill her, even if the human part of me was disgusted by what I became two years ago." La suite et le reste dans le lien qui suit, sur la plateforme Internet du journal !
https://www.wattpad.com/690978662-histoires-gothique-elected-texts
Clara YDIER, terminale L1.

Musique : Parcels
Parcels est un groupe de musique australien fondé en 2014. Le groupe a percé grâce à sa participation aux premières parties de concert du groupe Pheonix.
Le premier album, éponyme, est sorti en 2018. Parcels a collaboré avec Daft Punk, notamment, pour la musique Overnight qui est, comme toute les musiques de l'album, motivante et entraînante.
Le groupe est aussi très penché sur le design, avec des pochettes très élaborées pour chaque EP, mais aussi dans la création d'une ligne de vêtements.
Clara DANIEAU, terminale L1.
Théâtre : Festen
Le mercredi 9 janvier, les élèves de l’option théâtre se sont rendus pour la seconde fois au Grand R afin d’assister, cette fois, à la représentation de Festen.
Issue du film danois de Thomas Vinterberg sorti en 1998, cette adaptation théâtrale de Cyril Teste nous plonge dans l’histoire tourmentée d’une famille en apparence unie.
Cette pièce étant tirée d’un film, les acteurs ont été filmés en direct et les images retransmises sur un écran au-dessus de la scène permettant ainsi au spectateur de suivre la pièce de deux manières différentes. Rendez vous en mars pour le prochain spectacle !
Léonie BOISSELEAU, seconde C.
Podcast : Laisse-moi kiffer
L’équipe de Madmoizelle, un journal sur Internet, est à l’origine de ce podcast. On y retrouve Mymy, Kalindi, Cédric et Louise qui l'animent. On écoute ainsi ces collègues discuter, pendant une heure ou plus, de choses qu’ils ont aimé, de ce dont ils ont envie de parler et de partager. L’émission se compose de gros kiffes, puis de petits kiffes, même s'ils ont tendance à diverger vers d’autres sujets parfois. Finalement, cette émission, c’est surtout une discussion entre amis.
Clara YDIER, terminale L1.
Série : L'Amie prodigieuse
L'amie prodigieuse ou L’amica geniale est une série italienne et américaine réalisée par Saverio Costanzo et adaptée du livre écrit par Elena Ferrante.
Cette série retrace l’histoire de deux meilleures amies habitant le quartier populaire de Naples des années 50. Lila Cerullo est prodigieuse à l’école, mais ne peut pas accéder au collège. Elena Greco est une élève intéressée, malgré quelques difficultés, et a la possibilité de rentrer dans le supérieur.
Chacune des deux vont alors grandir dans leur environnement distinct avec quelques rivalités entre elles et des difficultés. Notamment pour Lila qui travaille dans la boutique de chaussures de son père, et vit dans leur village, ce lieu mêlant crimes, affaires entre familles rivales et pauvreté.
Le spectateur est alors transporté dans la vie tremblante de ces jeunes filles différentes mais indispensables l’une à l’autre. Il voyage également dans le vieux Naples aux couleurs vives de l’Italie et croise l’identité unique de ses habitants. La bande originale, composée par Max Richter, est représentative des années 50 et emmène le spectateur vers les émotions perçantes des personnages.
La version originale en italien permet d’être entièrement intégré à l’univers napolitain. Bon visionnage !
Solène ORIZET, terminale L1.
Film : Battle
Ce film, tout droit venu de Norvège, suit la vie d'Amalie, passionnée de danse moderne. Un jour, le directeur d’un établissement de danse réputé, vient annoncer qu’il offre une place à une danseuse dans son école. Seulement, un événement dans la vie d’Amalie la chamboule complètement et la fait changer de monde. Elle rencontre Mikael, un danseur de hip-hop freestyler, et se met à danser avec lui. Elle découvre, alors, une nouvelle façon de danser et de s'exprimer par le corps.
Cependant, de l’autre côté, Amalie continue à s’entraîner pour essayer d’entrer dans cette école prestigieuse, et de rester proche de ses amis et de son petit ami. Amalie pourrait-elle prendre goût à cette nouvelle vie qu’elle découvre ? Qu’en sera-t-il de la danse et de sa vie, balancées entre deux mondes ? On assiste au changement de vie brutal d’Amalie, on se voit compatir avec elle, ressentir ce qu'elle vit. On peut, aussi, à travers ce film, découvrir des émotions et déclarations à travers des danses.
Clara YDIER, terminale L1.