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L'égalité au théâtre
Dans le cadre des 40 ans de l'association Solidarité Femmes, 300 étudiants ont assisté à deux représentations théâtrales sur le thème de l'égalité femmes-hommes. La première pièce, « Louises Coquelicots », sur les traces de Louise Michel, a permis de découvrir les grandes étapes historiques de la lutte pour l'égalité. Mais elle a aussi suscité un sentiment d'inachevé. La seconde œuvre, « La part égale » dénonce préjugés et comportements sexistes. Cette représentation a procuré une réelle prise de conscience. C’est une pièce très intéressante, dont l’humour a permis de faire passer le message plus facilement. » Louise FAIST, Nawelle ABSALSSA et Adélaïde BONNET Lycée Talensac, Nantes.
A la découverte de l'épigraphie
Les prépas littéraires de la Perverie visitent le Centre d'études supérieures de civilisation médiévale de Poitiers.
Dans le cadre de la spécialité histoire et géographie, élèves de Première et Lettres supérieures ont visité le Centre d'études supérieures de civilisation médiévale (CESCM) de Poitiers.
Ils y ont découvert l'épigraphie médiévale grâce à Estelle Ingrand-Varenne, chercheur attaché au CNRS
L'épigraphie consiste à étudier les inscriptions présentes sur différents supports.
ls ont appris comment déchiffrer des inscriptions sur des monuments ou objets datant du Moyen-Age, comment ces inscriptions éclairent le contexte historique de l'objet et surtout ce qui est à retenir du siècle de l'objet. Chacune des inscriptions est en effet porteuse d'un message, particulièrement pour les objets datant du XIIIe siècle puisque c'est le moment où les écrits prennent de l'ampleur
Ainsi l'épigraphie croise les chemins de la paléographie (études des écritures anciennes), de la numismatique (étude des monnaies et médailles) et de la sigillographie (étude des sceaux).
Dans un second temps, les étudiants ont visité le centre de recherche qui réunit 50 000 ouvrages et 160 000 clichés, puis le centre d'édition de la revue Cahiers de civilisation médiévale.
Claire GRANDEAUPremière supérieure la Perverie, www.la-perverie.fr
Cap sur les 10 ans de CAP SUP
Le journal CAP SUP est né en 2010 de la volonté des 18 établissements du réseau RENASUP 44 et de l'aide de l'association Journal des Lycées.
Le réseau de l'enseignement supérieur privé en Loire-Atlantique se compose de 18 établissements d'enseignements supérieurs. Dix sont implantés à Nantes et agglomération : Lycée Saint-Félix, Lycée Saint-Joseph du Loquidy, Lycée la Perverie, Campus de Talensac, Lycée Saint-Stanislas, Lycée du Sacré coeur, Lycée de l'Externat des enfants nantais, Lycée Blanche de Castille, Lycée La Joliverie et Lycée La Baugerie.
Et huit sont répartis dans le département : Lycée Saint-Clair à Derval, Saint-Joseph d'Ancenis, Lycée Saint-Joseph-de Nazareth à Châteaubriant, Lycée Gabriel Deshayes à Saint-Gildas des bois, Lycée hôtelier Sainte-Anne et Lycée Notre-Dame-de l'Espérance à Saint-Nazaire, Lycée Briacé au Landreau, Lycée Charles-Péguy à Gorges-Clisson.
Les formations Post-Bac proposées sont nombreuses : commerce, tourisme, aide à la personne, valorisation du territoire et des espaces, agriculture, environnement, hôtellerie, informatique, comptabilité et gestion, arts, mécanique, nouvelles technologies, mode... Du bac + 2 à la classe préparatoire aux grandes écoles, en passant par des bachelors, les étudiants trouvent leur chemin de formation par voie scolaire, par apprentissage...
Ainsi, deux numéros paraissent par an et rythment l'année : CAP SUP de septembre pour accueillir et informer, CAP SUP de janvier pour témoigner et orienter. Ce numéro 16 prend le format magazine et propose 32 articles rédigés par des actuels - anciens étudiants ou acteurs des établissements.
Ils témoignent concrètement de la richesse des formations dispensées dans le réseau ainsi que leur complémentarité. Bonne lecture !Françoise PAVOUX, Pilote du journal Cap Sup.

30 ans au CFA de la Joliverie
Le CFA La Joliverie a fêté le vendredi 9 novembre ses 30 ans, en présence d'André Martin, vice-président du Conseil régional des Pays de la Loire, Philippe Cleac'h, notre directeur diocésain, devant 600 personnes.
A la Rentrée 1988, La Joliverie a été pionnière dans l'enseignement supérieur en ouvrant la 1ère section de BTS par apprentissage. Le responsable du Centre, s’appuyant sur la loi de 1987 est allé "frapper" à la porte du Conseil Régional des Pays de la Loire pour exposer son projet, visionnaire à l'époque : expérimenter l’apprentissage en enseignement supérieur en ouvrant le BTS Mécanique et Automatismes Industriels. Réponse du Conseil Régional : « allez-y ! »
30 années se sont écoulées depuis, et le CFA La Joliverie c’est : L’ouverture de 8 sections du post-bac au master depuis 1988 en BTS industriels et dans la filière expertise comptable, l’évolution d’un effectif d’apprentis de 14 en 1988 à 473 à cette dernière rentrée, une équipe dédiée au fonctionnement du Centre constituée de 50 personnes (nous étions 4 en 1988), 450 entreprises et cabinets d'expertise comptable qui accueillent, aujourd'hui, nos 473 apprentis. Fort de cette expérience le CFP La Joliverie a également ouvert 8 formations de niveaux III et II en alternance, dont 5 licences en partenariat avec le CNAM des Pays de la Loire. La mise en place d'un système Qualité. Journées portes ouvertes du vendredi soir 1er et samedi 2 février. François BENOIST Directeur Adjoint CFP-CFA
La Joliverie - centre de formation par apprentissage.
Dix ans à Blanche de Castille
Elle ne dure en général que deux ans pour les élèves, mais pour les professeurs et l’équipe pédagogique de Blanche de Castille, cela fait déjà dix ans qu’ils encadrent et épaulent leurs étudiants dans la réalisation de leurs projets et la formation de leur esprit. 2008-2018 Et des projets, ils en ont beaucoup ! École Normale Supérieure, Écoles de Commerce, Écoles de journalisme, Écoles d’ingénieur informaticien, Fonction publique, Relations internationales...
En effet, la CPGE B/L, classe préparatoire aux grandes écoles Lettres et Sciences Sociales (et mathématiques), est à la fois une des filières les plus diversifiées, mais aussi l’une des plus exigeantes. Elle allie l’excellence des humanités avec une curiosité sur le monde actuel, et un enrichissement par le travail personnel. Les étudiants reçoivent ainsi les meilleures armes possibles pour devenir acteurs du monde de demain.
Le lycée Blanche de Castille a fait peau neuve cette année pour accueillir dans l'ancien château du Plessis Tison ses classes préparatoires.
Dans ces anciens locaux restaurés, les élèves sont plongés dans une atmosphère studieuse, propice à l’élévation intellectuelle. Venus de milieux et d’horizons différents, les étudiants s’entraident et progressent, guidés par leurs enseignants, vers les sommets et la réussite.
Constance WIBAUX, BL2.
(R)éveiller la mémoire des papilles
Trois étudiantes proposent des ateliers dégustation vins, jus de raisin en accord avec des fleurs culinaires.
Trois étudiantes en deuxième année de BTS Technico-Commercial réparties dans deux options différentes : Jardin et Végétaux d’ornement (Pauline et Emeline) et Vins et Spiritueux (Hélène) au sein du lycée de Charles Péguy à Gorges-Clisson, réalise un projet atypique associant les deux options. L'objectif : organiser des animations de dégustations de vins et fleurs culinaires en Maison de Retraite (EHPAD), histoire de réveiller la mémoire des papilles. Le partage de savoir faire « Nous voulions faire un projet qui ne ressemblerait pas aux autres, quelque chose dans lequel on s’investirait autant qu’on en apprendrait, expliquent-elles. Nous trouvions intéressant de partager les connaissances spécifiques à nos deux options, dans un premier temps entre nous trois, puis avec un public visé. Nous avons eu envie d’adresser cette animation à un public que l’on a moins l’habitude de côtoyer : des personnes âgées en structure d’hébergement. Nous souhaitons leur faire découvrir de nouvelles saveurs, leur faire savoir que certaines fleurs se mangent et surtout passer un moment ludique ».
L'entreprise Méchinaud a soutenu le projet en fournissant les fleurs culinaires. La Cavanaise à Sainte Pazanne et le Marché aux Vins aux Sables d’Olonnes ont été sollicités pour les vins et jus de raisin. Les premières dégustations auront lieu en février. D’autres suivront sûrement.
Pauline BABIN, Emeline POYER et Hélène MIGNEN Étudiantes en BTS2 Technico-commercial, Lycée Charles Péguy Gorges-Clisson.
Le futur sera-t-il sans l'homme ?
Les innovations des professionnels dans le domaine de l'intelligence artificielle interrogent les milieux scientifiques, mais pas uniquement. Le lycée Blanche de Castille a ainsi organisé l'an passé un colloque de réflexion sur l'intelligence artificielle, son influence grandissante sur le monde actuel, et ses conséquences éthiques et juridiques qui sont encore trop peu étudiées. Qui vivra pour toujours ? Les élèves de Classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) y furent conviés, en compagnie du public lycéen, dans la continuité du cursus des humanités qui lie actualité, curiosité, culture et esprit critique. Cette réflexion sur l’éthique et la technologie s'est déroulée sur une après-midi entière, sous la direction du professeur agrégé de philosophie J-M Vernier, assisté d’un professeur de médecine de la faculté de Nantes, d’un religieux et d’un philosophe. Pour les plus courageux et les plus passionnés, elle fut suivie de conférences le soir à l'attention d’un public d’esprits éclairés. Au menu : les voitures intelligentes, les développements de l’Intelligence Artificielle, les théories sur les progrès technologiques, et l’attirail juridique mobilisable. Quelle conclusion en tirer ? Le dernier mot est laissé aux esprits libres. Toujours est-il que ce cycle sera prolongé cette année par une réflexion sur les applications de la technologie et de la médecine à l'homme futur. Que sera l'homme “augmenté” ?Gabrielle SAUGER, BL2.Blanche de Castille Nantes.
Théâtre : quand "Mon cœur" ne laisse pas de marbre
Une petite troupe d'étudiants de BTS1 Comptabilité-Gestion a assisté à la représentation de "Mon Coeur" de Pauline Bureau, au Théâtre de Saint-Nazaire. Ronan Le Meur, étudiant et comédien amateur, raconte cette expérience.
Une histoire vraie Le spectacle met en scène le combat de Claire Tabard et d'Irène Frachon contre la vente du médiator en France. Le metteur en scène prend position par le choix de personnages forts et faibles, opposant avec brio l'utilisateur abusé puis désabusé à ses adversaires - politiques - prêts à tout pour le décrédibiliser, et dont les alliés tentent difficilement de saper l'organisation des laboratoires Servier. La qualité des comédiens est au service de ce parti pris, comme à l'image de l'avocat des laboratoires, dont le personnage est exécrable à souhait.
Une écriture sans complaisance L'écriture fait ressortir l'abus exercé par le laboratoire sur les personnages, représentants des utilisateurs quotidiens, avertis ou non, cherchant de simples solutions à leur problème de poids et qui finissent avec une machine qui pompe le sang. La violence et la puissance écrasante de cette pièce, vive en émotions, n'empêche pas des moments de légèreté.
Une pièce riche d'enseignement Être lanceur d'alerte, comme Irène Frachon, est une position très fâcheuse, et c'est pourquoi, en tant que citoyen, nous devrions soutenir ceux qui dénoncent clairement les abus, avec preuves à l'appui. "Mon Cœur" est instructive à ce sujet et contribue à une prise de conscience.
Ronan LE MEUR Étudiant en BTS CG1, Lycée Notre-Dame-de-l'Espérance à Saint-Nazaire.
Dans l'univers des pros du commerce
Les BTS Management des Unités Commerciales du Sacré-coeur ont reçu Yannick Plançonneau, responsable d’univers dans le secteur électro-ménager chez Boulanger.
Notre invité nous a présenté son parcours professionnel qui s’inscrit dans la continuité puisqu’il travaille depuis 25 ans pour cette enseigne et ce, dans 3 magasins différents de l’agglomération nantaise. De plus, notre invité a pris le temps d’évoquer l’histoire de l’enseigne, les différents points de vente et modules, le travail et la fonction des collaborateurs ainsi que les différents métiers à l’oeuvre dans les magasins « Boulanger ».Échanges d'expérience Après ces explications très précises, M. Plançonneau a pris le temps d’échanger avec nous sur nos études et sur les métiers que nous pouvions envisager à l’issue de notre BTS. Sur le mode de la conversation, notre interlocuteur a répondu à nos nombreuses questions car en tant qu’étudiants de 1e année, elles sont nombreuses ! Enfin, 6 d’entre nous lui ont confié leur CV et leur lettre de motivation pour le stage que nous devons effectuer. M. Plançonneau leur a indiqué qu’ils seraient reçus pour des entretiens afin d’évaluer les besoins de l’enseigne dans ce domaine.
C’est aussi cela partir à la rencontre des professionnels : profiter des opportunités qui se présentent pour adopter une posture d’étudiants et anticiper !Johanna BAUDRY
et Tiphanie GOUZIEN Étudiantes en BTS1 MUC
Stages à la campagne, ça vous gagne !
En espaces jeunes, en événementiel touristique ou patrimonial, les stages de BTSA Développement et Animation de Territoires sont variés
Emma Rebelo en stage à l'Espace Jeunes d'Aigrefeuille.
« Le Décibel » est l’Espace Jeunes dans lequel j’ai effectué mon stage BTSA Développement et Animation des Territoires Ruraux (DATR).
L’objectif était d’organiser un parcours citoyen pour découvrir les différents lieux citoyens. J'ai conçu les animations de l'Espace Jeunes pour accueillir les 130 élèves attendus et leur faire découvrir la structure. J’ai imaginé 4 animations sous forme de jeux avec quizz. J’ai aussi réalisé une vidéo montrant les différents espaces jeunes du territoire.
Cette expérience m’a appris à créer une animation dans le cadre d’un événement plus large, mettre en place des partenariats et animer une équipe de travail.
Emma Barré, à la Maison de Pays du Vignoble de Nantes
La 7ième édition des Muscadétours a été le cadre de mon stage que je réalisais à l’Office de Tourisme,à Clisson.
Les Muscadétours ont lieu début octobre, dans tout le vignoble de Nantes pour permettre aux publics de (re)découvrir leur territoire. Il y a un panel d'animations : démonstrations culinaires, dégustations, vendanges en famille, balades gourmandes en bateau, randonnées dans les vignes, brunch dans un château, visites guidées etc...
J'ai appris à travailler la communication événementielle : le site Internet, les réseaux sociaux, les programmes et flyers, j'ai également eu beaucoup de contacts avec les professionnels. J’ai pu développer le travail en équipe, j'ai pris des initiatives,ai été autonome et polyvalente. J’ai gagné énormément de compétences en informatique.
Tout cela va m’aider à définir mon projet professionnel vers la communication.
Mathilde Lequeux au moulin à papier du Liveau de Gorges
Au moulin du Liveau, j'ai dû m’adapter à la médiation existante pour ensuite faire les visites guidées seule tout en adaptant mon discours aux différents publics : enfants, adultes, touristes... J'ai animé des stages pour enfants pendant les vacances. Je me suis également occupé de l’organisation de la semaine bleue et des journées du patrimoine. J’ai aussi animé des ateliers de fabrication de papier artisanal, des origamis, des cartes pop-up.
J'ai ainsi développé surtout des compétences en communication orale tout en intégrant l’histoire du moulin et les informations clés liées à la fabrication du papier. Ce stage confirme mon projet professionnel orienté vers le tourisme. Propos recueillis par AC Lycée Charles Péguy,
Gorges-Clisson.
Passerelle vers la mobilité
Une soirée rencontre entre terminales Bac pro Conduite et Gestion de l’Entreprise Agricole (CGEA) et BTS Analyse, Conduite et Stratégie de l’Entreprise Agricole (ACSE) 1 et 2, sur le thème des stages à l’étranger s'organise au Lycée Saint-Clair.
Quatre élèves de Terminales, Yuri, Tony, Florian et Valentin présentent leurs voyages aux Pays-Bas. Partis dans le cadre d’Erasmus leur voyage est financé. IIs reviennent enrichis et prêts à repartir. L’opportunité leur est donnée en BTS ACSE avec un stage de quatre semaines minimum à l’étranger.
Cinq étudiants témoignent à leur tour. Claire, découvre la Belgique dans une pension équestre où elle s’occupe des chevaux et participe à des compétitions le week-end. Emmanuel s'envole en Irlande, s'investit dans l'exploitation laitière la semaine et visite le pays le week-end. Benoît intègre une importante ferme laitière avec une unité de méthanisation au Pays-Bas et visite une exploitation caprine qui lui permet de développer son projet professionnel. Amélie intègre une pension pour chiens et chats au Pays-Bas et envisage déjà de repartir. Enfin, Marie, expérimente en Allemagne trois exploitations différentes : une exploitation porcine, une exploitation poules pondeuses bio et une exploitation en vaches laitières. Aguerrie à la conduite du tracteur, elle a impressionné les exploitants allemands. Ces expériences riches ouvrent sur d'autres modes d’agriculture et renforcent les projets professionnels.
Hésitants à partir, ils rêvent tous de repartir.
Chloé DROUIN, Johan GRIMAULT Étudiants en BTS ACSE1,
Lycée Saint-Clair de Derval.
Séjours à l'étranger : comment ne pas naviguer à vue ?
Le stage à l'étranger est obligatoire pour valider le BTS Commerce International dispensé au lycée… Pour s'y préparer, les étudiants de 1ère année ont interrogé quelques anciens. Une recherche fastidieuse Il faut souvent entre 4 à 6 mois pour trouver un stage. Comme le note Joseph, "la plupart des entreprises ne sont pas intéressées par des étudiants non qualifiés pour faire de la prospection. Et avec la distance, les rendez-vous sont plus délicats. Les employeurs ont du mal à se décider, surtout pour une période de deux mois." La barrière de la langue peut être aussi un frein. Romane insiste sur l'importance d'avoir un stage qui correspond aux critères de prospection. Un coût non négligeable Les étudiants ne doivent pas trop compter sur une rémunération de la part des entreprises. Il leur faudra payer les frais du quotidien, souvent un loyer et éventuellement le transport. Cela représente un budget moyen de 2000 euros pour les deux mois mais il est préférable de prévoir quelques centaines d'euros de plus. Une expérience riche Si tous les étudiants s'accordent sur leur enrichissement personnel, "on s'améliore considérablement en langue" - certains regrettent, comme Charlotte, le manque d'autonomie dans l'entreprise ou comme Sarah, l'absence de tâches variées. De plus, d'autres n'ont pas assez profité du pays faute de moyens ou de temps pour lier des relations prêtes à le leur faire découvrir. Les étudiants du BTS CI
Lycée Notre Dame-de-l'Espérance à Saint-Nazaire.
Show professionnel par les étudiants
Retour sur une sortie professionnelle enrichissante, les étudiants de BTS1 Génie des équipements agricoles du Lycée Saint-Clair de Derval partagent leur expérience.
Suite à la journée professionnelle « OptiMaize days » de Krone France sur le thème de l’ensilage au mois de septembre à Loudéac, les 21 étudiants de BTS GDEA1 partagent cette enrichissante journée avec leur lycée lors d'une soirée. 70 invités présents : professionnels, enseignants, étudiants et lycéens.
Les étudiants se répartissent le contenu de la journée. Un groupe lance, clôture et anime la présentation. Romain, passionné de vidéo, présente son clip de 2 minutes réalisé à partir d'images d'étudiants et d'Hugo Lucas (HLG Machinery). Six autres groupes se succèdent sur la scène. L'historique, les gammes de matériels Krone, les différents systèmes de hachage du maïs proposés sur leur ensileuse sont abordés par les étudiants. Ensuite ils présentent les démonstrations des différentes longueurs de coupe de maïs et les intérêts pour la méthanisation, la production de biogaz et pour l’alimentation animale. Puis, ils abordent les interventions des spécialistes des semences pour sélectionner les grains, les semis et les longueurs de coupe les mieux adaptées à chaque client. Enfin, un groupe intervient sur la nutrition animale et le stockage optimal grâce au tassage.Echange et partenariat La présentation se termine par l'interview, réalisée par Pierre, d'un client - Xavier Briand et un échange avec le public. Remi Chenevière, responsable Marketing Krone France, rejoint les étudiants pour échanger et répondre aux questions du public. Un cocktail convivial au foyer des BTS puis un dîner clôture cette belle soirée. Un partenariat entre l'entreprise Krone et le Lycée Saint-Clair de Derval se concrétise. Remi Chenevière conclue : "Très satisfait du travail réalisé par les étudiants de BTS GDEA. Ils ont su analyser les innovations Krone qui font la différence sur le terrain. Ils ont également su travailler en groupe, de manière professionnelle, en allant plus loin : interview de client, vidéo... Leur qualité de prestation, orale, diaporama, organisation, repas était au rendez-vous et leur apportera beaucoup dans le futur. A bientôt sur le terrain ou à l'usine avec Krone !". Rendez-vous est pris par les BTS GDEA2 pour visiter Krone en Allemagne en mai 2019. Martin LOYER, Kiliann HOUIZOT et Johann DOLLO Etudiants BTS GDEA1
Agriculteur : diplômé et impliqué
Les étudiants de BTS1 Analyse et Conduite de la Stratégie de l’Entreprise agricole du Lycée Saint-Clair présentent leurs travaux de recherche sur les organismes professionnels agricoles (O.P.A.) devant trois agriculteurs.
Ces derniers - tous titulaires d'un BTS ACSE - échangent sur leur métier, leur parcours et leur implication dans la société.
Olivier Delaunay, éleveur de vaches allaitantes est président de la caisse locale du Crédit agricole de Derval. Il est titulaire d'un BTS ACSE obtenu au Lycée Saint-Clair et complété par la formation Agricadre de l’ESA d’Angers.
Frédéric Richard est éleveur de chèvres laitières biologiques et administrateur au Groupement d’Agriculteurs Biologiques de Loire-Atlantique. Après l’obtention du BTS ACSE, il s'implique deux ans au Burkina Faso pour une action humanitaire.
Et Ludovic Trolard est éleveur de vaches laitières en GAEC avec son frère, emploie deux salariés, est administrateur dans le groupe Seenovia et est aussi élu municipal de la mairie de Plessé.
Cette rencontre professionnelle montre la forte implication des agriculteurs dans les organismes agricoles, les organisations territoriales, les communes et les associations. Ils s’engagent pour le collectif en plus de leur activité principale.
Gilles Gautier, enseignant de gestion, explique : « Il faut dépasser la notion d’agriculteur essentiellement producteur car aujourd'hui ils ont une activité dans et hors de leur exploitation. L’une nourrit l’autre et vice-versa ».La classe de BTS ACSE1
Apprendre à la Digital Week
Le 18 septembre, les premières années de BTS Support à l’Action Managériale (SAM) ont participé à des ateliers lors de la « Digital Week » avec leur professeure, Mme Bretesché.
Lors de cette journée au CIC de Nantes, nous avons réfléchi sur les différents sens que recouvre le mot « digital » mais nous avons surtout assisté à plusieurs conférences avec des entrepreneurs du digital qui nous ont exposé comment ils envisageaient concrètement l’utilisation du numérique dans leurs activités professionnelles.
Réactivité et autonomie Non seulement ce fut l’occasion pour nous, étudiants de première année de prendre conscience de l’impact du numérique dans nos apprentissages en cours et de leur mise en pratique, notamment dans le cadre de futurs stages mais ce fut également un moment d’échanges riches sur ce que les entreprises attendent de nous dans ce domaine : maîtrise des outils et des systèmes, réactivité et autonomie.
Enfin, cette journée « hors les murs » du lycée nous a permis de prendre des contacts avec un certain nombre de professionnels dans l’optique de nos futurs stages.
Pour résumer, un début d’année sur les chapeaux de roue ! La classe de 1e année
de BTS SAM Lycée Sacré-Cœur, Nantes.
De la prépa BL à l'EDHEC
Claire expérimente cette année le passage de la prépa à l'École des Hautes Études Commerciales. Elle témoigne : "Après un bac Scientifique, je me suis orientée vers une hypokhâgne B/L au lycée Blanche-de-Castille. Expérience que je ne regretterai jamais, de par la richesse des cours mais aussi les liens forts que ces études permettent de nouer. C’est lors de cette formation que j’ai opté pour le concours des écoles de commerce. Je recherchais une formation stimulante permettant de créer divers projets, d’innover. J’ai intégré l’EDHEC cette année après le stress des concours et les surprises des résultats. L'ambiance est totalement différente de la prépa, les cours moins nombreux, et le propre de l’EDHEC est son environnement associatif. L'organisation étudiante dont on fait partie nous définit, et tout le monde s’y implique. . Personnellement, j'ai participé à l’organisation d’un festival de musique et d’un week-end au ski pour des enfants de centres sociaux. C’est presque un événement par jour (soirées à thème, dégustations…). Il ne faut cependant pas se laisser déborder, j’expérimente déjà la panique des partiels qui arrivent plus vite que prévu ! Les cours sont assez intenses, et le travail personnel important. Certaines matières n'offrent que des TD, les cours devant être suivis en e-learning". Claire SCREMIN. Étudiante à l'EDHEC
Lycée Blanche-de-Castille, Nantes.
L'irish rose : la recette
Ingrédients : Whiskey Jameson Black Barrel, purée de fraise Ponthier, jus de citron jaune, lamelles de gingembre, blanc d’œuf, sirop de sucre. On place les ingrédients des moins alcoolisés aux plus alcoolisés : gingembre pilé, blanc d'oeuf, jus de citron, purée de fraises, sirop de sucre, whisky. On fait un dryshake (sans glace) pour émulsionner le blanc d'oeuf. On met la glace, on reshake. On double filtre pour ôter la glace et les dépôts de gingembre. Pour décorer, on met une lamelle de gingembre ou de fraise et on sert.
Victor TRUFFERT
Cocktail gagnant pour Victor !
Victor Truffert est le nouveau Meilleur Apprenti de France Barman issu de la Mention Complémentaire Barman du Lycée des métiers Ste Anne. Il raconte son expérience.
« Victor c’est fini pour vous… », ces mots de mon professeur de bar, Mme Le Roy, tournent en boucle dans ma tête après avoir déjà accompli la moitié des épreuves.
Le stress est omniprésent et ces paroles vont finalement m’aider à lâcher prise face au concours. Ce concours de Meilleur Apprenti de France Barman a lieu au CFA Médéric, à Paris. La journée commence à 8h30 avec un QCM pointu sur les alcools. Nous poursuivons avec un test de verse à l’œil nu :1cl, 2cl, 4cl, 8cl et une purée de fruits très dense. Suit une dégustation à l’aveugle de cinq produits : il faut reconnaître la famille du produit et même sa marque ! Ensuite, nous devons réaliser un cocktail chef d’œuvre. Le mien s'appellera l'Irish Rose. Vient l'épreuve de vitesse, Need for speed. Nous devons servir trois boissons et un cocktail en sept minutes.
Le cocktail minute nécessite une grande rapidité
La dernière épreuve est le cocktail minute. Il s'agit de réaliser une fiche technique en moins de dix minutes, avec un produit imposé, le Cognac, et une thématique : le cocktail est à base de liqueur et se boit après le dîner. Cette épreuve nécessite une grande rapidité. J’ai souhaité faire un mélange de deux recettes : le Last Word et le Champs-Elysées cocktail. Mon cocktail le First Word est donc composé de Cognac, de liqueur de Marasquin (liqueur de cerise), de jus de citron jaune et d’élixir de grande chartreuse (un concentré de plantes) . Par la suite, je le goûte, et là ... Un délice ! A 18H30, 4 médaillés d’or sont annoncés. Les 3 premiers tombent. Puis, j’entends mon nom. Quel soulagement après une année de travail ! Je ne regrette absolument pas mon inscription à ce concours. Je voulais me prouver à moi-même que j’en étais capable, je voulais faire partie des meilleurs.Ce titre est aussi un bon atout pour le CV et permet d’être recruté dans les plus beaux établissements. Pour me préparer au concours, j’ai énormément révisé mes cours théoriques, car je devais être au point sur chaque produit du bar. Mais j’ai aussi demandé l’aide de mes professeurs, pour le cocktail chef d’œuvre au niveau des accords, et je me suis entraîné régulièrement sur les diverses épreuves pratiques.
Je n’ai pas obtenu ce titre par hasard
J’ai beaucoup travaillé pour l’obtenir mais je n’ai jamais considéré comme un fardeau la révision de mes cours car c’est le domaine qui me passionne. L’obtention du titre MAF Barman est donc le fruit d’une année de travail acharné et de ma passion pour le bar, et bien sûr, de l’aide et du soutien de mes professeurs, Mme Le Roy et M. Duverger, présents tout au long du concours.Victor TRUFFERTBTS1 MHR
Lycée des Métiers Ste Anne,
St Nazaire.
Du BTS à un job chez Aston Martin
Julien Baudon en rêvait. Il l'a fait. Après un BTS Après-Vente Automobile, le Nantais a suivi le Bachelor of Coventry à La Joliverie en un an et a terminé son cursus par un master à Coventry en Grande Bretagne. Dès la fin de sa formation, Julien a été embauché par Aston Martin en tant que Junior Press Officer. Aujourd'hui, il réalise son rêve : organiser le lancement de produits, de photoshoot, d’événement dans le monde entier pour les journalistes. Son profil sur Linkedin en témoigne. D'autres étudiants nantais ont aussi le bonheur de suivre cette voie royale. Depuis six ans cinq établissements ligériens accompagne la création d'un Bachelor avec l’université de Coventry et RENASUP. Chaque année, plus d’une vingtaine de jeunes suivent un cursus en anglais à La Joliverie avec des professeurs anglophones et se rendent à Coventry en Grande Bretagne pour recevoir leur diplôme. Après les options « Global business » ou « International Hospitality & Tourism Management », les jeunes intègrent des entreprises ouvertes à l’international, l’hôtellerie de luxe, poursuivent leurs études en Grande Ecole de Commerce, ou en master. Déjà, plusieurs d'entre eux ont été embauchés dans de prestigieux établissements comme le George V à Paris, le Carlton de Londres, le Sofitel de Shanghai et l'Intercontinental de Bora-Bora... La réussite de ces projets personnels a amené l'établissement nantais à ouvrir à la rentrée 2018, une troisième option : Global Marketing. Avec cette spécialité, les étudiants pourront acquérir des compétences en Digital Marketing, Advanced Marketing Strategies, Marketing Communication… Julien BAUDON, ancien étudiant et Catherine VIARD-GAUDIN, Directrice adjointe Lycée La Joliverie.
Nouveau diplôme pour le design
Le « DN MADE », Diplôme National Métiers d’Art & DEsign - remplace à la rentrée 2019 l’ensemble des formations post-bac en métiers d’art et design. Il permet d’obtenir en trois ans le grade de Licence (L3) et de s’aligner sur les cursus équivalents en Europe.
La première année permet d'acquérir les fondamentaux et contient un stage de 4 à 6 semaines.
Le choix de spécialité se fait en seconde année.
La dernière année fait l’objet d’un projet professionnel amenant à la soutenance d’un mémoire. Un stage de 12 à 16 semaines est prévu au cours de ces deux années. Deux nouveautés sont à noter : la possibilité de faire une partie du cursus en alternance et l’ouverture du diplôme à tout bachelier.
Solange CAILLON
et Noémie HACHET
STD2A Pôle des Arts Graphiques
Trouver sa voie... Tout un programme
Confronter ses envies à la réalité en terme de formation n’est pas une mince affaire. Milan explique ses choix et ses bénéfices.
"Certains d’entre nous savent tout de suite où leurs études les mèneront. Pour d’autres, le chemin est plus sinueux mais pas moins enrichissant. Je me suis retrouvé dans la deuxième situation. Actuellement étudiant en première année de BTS Tourisme, je suis la preuve qu’il faut parfois prendre son temps ! Après un Bac ES, j’ai intégré une double licence Droit/Langues Étrangères Appliquées (L.E.A) à l’Université de la Roche-Sur-Yon. Mais, le droit ne me motivant pas, j’ai opté pour une réorientation en L.E.A. Malgré mon attrait pour les langues, j’ai du me rendre à l’évidence : j’étais alors à la recherche d’une « formation plus professionnalisante ». C’est ainsi qu’après de sérieuses recherches, j’ai finalement intégré un dispositif appelé « Prépa Et’Sup » au Lycée Sacré-Coeur de Nantes. C’est une année de remise à niveau des bases (Maths, Économie, Français) tout en laissant un peu de temps pour préciser la prochaine étape d’un parcours et ce, au sein d’un effectif réduit (une dizaine d’étudiants). De plus, cette formation m’a permis de découvrir la Mercatique, matière phare du BTS Tourisme et de participer à une journée d’immersion dans cette formation ce qui fut déterminant dans ma nouvelle orientation.
Désormais étudiant en première année de BTS Tourisme dans ce même lycée, je me sens à ma place. Mon projet professionnel est affiné ; je compte intégrer à l’issue du BTS un Office de Tourisme ou devenir guide. D’ailleurs, mon premier stage dans le cadre de cette formation se déroule au « Maillé-Brézé », un navire de guerre amarré à Nantes et dans lequel j’effectue des visites guidées. Finalement, je vous recommande cette démarche lorsqu’on n’est pas certain de son orientation. Prendre un peu de temps pour finalement trouver sa voie n’est jamais du temps perdu !" Milan BELORDE-FORNS Étudiant en BTS Tourisme,
Lycée Sacré-Coeur, Nantes.
BTS après mention complémentaire
"Actuellement dans la même formation que Milan, j'ai moi aussi un Bac ES mais je me suis lancé dans une Mention Complémentaire Accueil dans les Transports (MCAT) avant d'intégrer le BTS Tourisme. En règle générale, cette formation qualifiante intervient après l'obtention d'un BTS. En intégrant MCAT, j'ai pu bénéficier de 17 semaines de stage dans le domaine du transport aéroportuaire chez Air France Nantes puis à Nice chez Avia Partner. Cette formation courte d'une année m'a permis de développer une posture professionnelle qui me sert désormais énormément dans mon BTS Tourisme. Aucun regret. Je n'ai peut-être pas fait les choses dans l'ordre, mais mon parcours est cependant cohérent et me satisfait pleinement. Prendre un peu de temps pour finalement trouver sa voie n’est jamais du temps perdu !"
Maxime EDELINE Étudiant en BTS Tourisme
Lycée Sacré-Coeur, Nantes.
Triathlon relais de La Baule
Depuis 5 ans, sous l'impulsion de membres du Bureau de Vie Etudiante et d'enseignants, le triathlon a fait son entrée à la Joliverie.
La Joliverie relève le défi
Le projet Triajol permet aux étudiants de l'Enseignement Supérieur et du CFA de se préparer tout au long de l'année à la pratique du triathlon qui regroupe trois sports, natation, vélo et course à pieds.
A la suite, de cet entraînement, l'objectif est de participer à l'épreuve de St Julien-de-Concelles. M. Rousseau, l'un des piliers du projet, a proposé à l'ensemble de l'équipe de participer au triathlon relais de La Baule, au mois de septembre 2018. Grâce au soutien de l'établissement et de l'entreprise Manitou, deux équipes de trois personnes seront au départ de l'épreuve le samedi 22 septembre.
Dans chaque équipe, trois spécialistes de la natation, du vélo ou de la course se relaient sur les trois disciplines afin d'obtenir le meilleur temps possible. Plus de 2000 personnes participent à cette matinée sportive. L'organisation gérée par l'école Audencia permet à tous de vivre un moment convivial et sportif. Malgré un temps maussade, l'ambiance entre les deux équipes restera au beau fixe et permettra à chacun de se dépasser sous les encouragements de ses partenaires d'un jour. Pour une première participation, les deux équipes de la Joliverie se classeront 56eme et 73eme sur plus de 700 trios au départ.
Une expérience riche et conviviale, appréciée par tous qui devrait se poursuivre sur les années à venir. Simon LE LARDOUX Lycée La Joliverie.
La "Tête et les jambes" au Loquidy
Huit étudiants de Classe préparatoire aux grandes écoles du Loquidy participent au Triathlon Audencia à la Baule.
C'est dans des conditions météo dantesques que nos triathlètes en herbe se sont lancés dans l'épreuve de relai réservée aux étudiants.
La CPGE deuxième année du Loquidy a présenté trois équipes au départ de cette épreuve mythique sous l'œil attentif du président, Jérémy, étudiant à Audencia et ancien Prépa du lycée.
Il a fallu beaucoup de courage aux trois nageurs pour plonger dans un océan déchaîné. Il y avait de quoi redouter la fameuse « machine à laver » du départ lorsque 600 sportifs s'élancent en même temps dans les premiers rouleaux.
Mathilde, Lisa et Raphaël ont dompté les éléments pour donner le relai aux cyclistes dans d'excellentes conditions. Lancés à plus de 40 km/h sur l'asphalte, les cyclistes ont dû affronter un remblai de La Baule rendu glissant par les trombes d'eau.
Plusieurs ont été victimes de chutes dont Tristan, qui a pu se relever et finir son relai en 36 minutes !
C'était alors au tour de Pauline, Antoine et Raphaël de s'élancer pour 5 km de sprint. Ce qui a positionné l'équipe dans les 100 premiers.
Au-delà du résultat, les étudiants se sont fait plaisir et se sont promis de renouveler l'expérience l'année prochaine, avec l'équipe d'Audencia cette fois !".Loïc PICOUL Professeur de la CPGE du Loquidy.
500 lycéens courent contre le cancer
En tant qu’étudiants BTS technico-commercial au lycée Charles Péguy, nous réalisons un Projet d’Initiative de Communication (PIC) : nous organisons une course solidaire contre le cancer du sein !
Ayant toutes les deux été confrontées à cette maladie dans notre famille et même perdu ces êtres chers, défendre cette cause nous paraissait important et évident.
Nous sommes donc en partenariat avec l’association nantaise Europa Donna qui lutte contre le cancer du sein, et le jeudi 31 janvier nous allons faire courir tous les secondes de notre lycée, soit environ 500 élèves. Chacun devra trouver un parrain ou une marraine qui acceptera de faire un don pour cette association. Au programme : musique, bonne humeur et dépassement de soi afin de prouver une solidarité sportive, financière et humaine face à la maladie ! Thifaine LAINE et Léa FONTANEL BTS 2 Technico-Commercia Lycée Charles Péguy Gorges-Clisson.
Le Trollball, match fantastique !
Temps fort aux vacances d’Avril à Clisson : nous y organiserons un Trollball avec ANIMAJE (animation jeunesse) et l'association nantaise « Le Bazar Korrigans ».
Mais alors, qu'est ce donc que le Trollball ? Un singulier défi, collectif et bien amusant. Il s’agit d'utiliser ses neurones et ses muscles en affrontant ses adversaires avec des armes en mousse. Le tout avec un ballon au milieu. Il faudra élaborer une stratégie capable de mener à la victoire. Une bonne dose de rires et d'émotions donnant place à une belle baston conviviale. Au programme, du sang, des cris, des larmes et des morts (vivants).
Alexandre PREVAULT,
Pierre BROSSIER,
Julien BLOYET, Eléni MOREAU
BTSA Développement et Animation des Territoires
Lycée Charles Péguy
Gorges-Clisson.
Une île pour s'intégrer
En ce beau mercredi ensoleillé du 19 septembre, tous les étudiants de DCG (Diplôme de Comptabilité et de Gestion) se sont rendus à Noirmoutier pour une journée d'intégration.
Le programme de la journée est le résultat d’une préparation qui associe les enseignants et un groupe d’étudiants de DCG3 volontaires.
Pour la matinée, l’aspect pédagogique prédominait avec des visites d’entreprises dans des domaines très divers.
Pour les contacts sur l’île, les enseignants bénéficient du réseau de relations de M. G. Moreau, adhérent de l’AICP, association d’anciens de La Joliverie, soucieuse (entre autres) de la bonne intégration des « nouveaux » étudiants.
Cette journée nous a permis de nous connaître à travers la visite du matin, et surtout grâce aux jeux de l'après-midi qui ont favorisé la communication et la rigolade...
Le bonus de la journée ? Un joli coup de soleil...
F. V-GUILLET et G. HASLE
Etudiantes DCG1 au lycée la Joliverie. www.la-joliverie.com
Une ville pour nous rassembler
Du 15 au 19 octobre, les étudiants de BTS1 Management des unités commerciales et de BTS1 Comptabilité et gestion sont partis à Lisbonne.
Ce voyage avait pour objectifs de mieux se connaître et de visiter des entreprises.La première entreprise, un parc éolien, a permis d’en comprendre le fonctionnement et l’impact des éoliennes sur l’environnement. Le groupe a eu la chance de visiter l’intérieur d’une éolienne. La deuxième entreprise était une entreprise de transformation de la morue, ce qui a permis découvrir les étapes de fabrication, la provenance des produits, la durée de travail des salariés et le type de clients.
La délégation a pu découvrir aussi de nombreux endroits historiques comme le monastère des Hiéronymites, ou le quartier d’Alfama, le plus ancien de Lisbonne, la statue du Christ roi et des lieux contemporains comme le parc des Nations, un quartier moderne très populaire. Malgré les quelques désagréments, les participants ont pu nouer des liens importants pour la cohésion de groupe quand il s'agit de travailler.
La classe de BTS MUC1 Lycée Notre Dame-de-l'Espérance
à Saint-Nazaire.
L'internat, un plus pour les prépas
L'humain au coeur de tout
Intégrer l'internat en classe préparatoire est, pour la plupart d'entre nous, un choix purement pratique. Les répercussions peuvent en être bien plus fortes que ce q'un raisonnement premier nous aurait laissé penser : l'internat favorise à la fois la cohésion du groupe, l'entraide et permet aussi d'assurer une ambiance de travail à la fois détendue et sérieuse.
A mi-chemin entre autonomie et tutelle, l'internat de la Perverie recouvre plusieurs aspects, mais s'il en est un qui est bien plus important que les autres, c'est évidemment l'aspect humain. La vie en communauté peut en rebuter plus d'un, surtout les plus casaniers mais on ne peut qu'en découvrir les avantages au fil du temps Apprendre à vivre ensemble, recevoir du soutien - et en apporter aussi parfois - dans les moments difficiles, et, en un mot, s'entraider : c'est bien là une leçon qui en vaut mille. L'humain est au coeur de tout, et non l'homme après tout ; c'est là que se trouve une clé de la réussite en prépa : être ensemble dans les épreuves, et non face à face. Rencontrer nos futurs compagnons de labeur, venus de toute la France, et qui ont tous quelque chose à nous apporter : voilà une première étape.
Une belle expérience
Vient ensuite l'accomodation. Selon les années, nos habitudes s'installent à des rythmes plus ou moins différents, sans pour autant empiéter sur la vie des autres. Intégrer cette nouvelle vie, être entouré d'amis aux inquiétudes similaires, mais qui restent tout à fait différents quant à leurs ambitions : que peut-il y avoir de meilleur pour forger des souvenirs durables ?
A l'image de la vie à l'internat, la vie des khâgneux et des hypo est ponctuée de hauts et de bas, mais elle est surtout une expérience qui nous grandit.
Hajar OUAHBI et Clément DANIEL
Première et Lettres supérieure à La Perverie, www.la-perverie.fr.
Homosexualité : encore taboue ?
L’homosexualité correspond à une attirance par une personne du même sexe.
Nous avons interviewé deux publics différents : des personnes âgées - entre 70 et 90 ans – et des lycéennes de 15, 16 ans pour recueillir leur point de vue à ce sujet.
X. 15 ans : « Je trouve ça courageux que les homosexuels assument leur sexualité, leur amour en public. »
Y, 16 ans : « Ça ne me dérangerait pas si l’un de mes parents était homosexuel, j’aurais du mal mais, après je comprendrais. Ces personnes ne vont pas se priver. »
"Je suis optimiste sur l'avenir"
Mme A. 71 ans : « Ils veulent vivre comme ça, pourquoi les empêcher ? » Mme B. 70 ans : « il faut que la réalité hommes-femmes continue. Si mes petits-enfants étaient homosexuels, je serais peinée mais, je n’en serais pas étonnée. Je suis optimiste sur l’avenir. »
"Ça nous choque"
M. et Mme C. 79 et 91 ans : « On ne dit rien, mais ça nous choque pour nos âges. »
Il n’empêche que même chez les animaux, l’homosexualité est présente. Cependant, l’homme comparé aux animaux a le pouvoir de critiquer et de juger.
En bref, il semble y avoir une évolution de la pensée au fil des années à ce sujet. La société paraît plus ouverte aujourd’hui là où ce sujet était particulièrement tabou avant.
Ces rencontres ont été l’occasion de discussions et laissent penser que s’il y a du mieux ce sujet reste encore un peu tabou malgré tout !
Justine MENARD et Lucille GADEBOIS Étudiantes BTS DATR, Lycée Charles-Péguy Gorges-Clisson.
Les prépas de la Perverie en journée d'intégration à Clisson
Le 19 septembre , les élèves de Première et Lettres supérieures de la Perverie se rejoignent à la gare de Nantes pour leur journée d’intégration. Les première année, les hypokhâgneux dans le jargon des classes préparatoires littéraires, sont un peu timides, ils ne se connaissent que depuis deux semaines. Cette journée est donc un moyen pour eux de faire plus ample connaissance avec les autres étudiants et leurs professeurs.
Rencontre et culture
Dès le départ du train, les élèves se détendent, se rencontrent dans une autre ambiance que celle du travail. Arrivés à Clisson, les étudiants se répartissent en deux groupes pour des visites très approfondies du château et du domaine de la Garenne Lemot : C’est avant tout une journée d’intégration, mais c’est aussi une sortie culturelle. La fin d’après-midi permet un relâchement après ces heures studieuses. Les khâgneux, c'est à dire les 2ème année, ont organisé plusieurs jeux qui impliquent une confiance nécessaire et renforcent les liens. La confiance et le soutien sont des valeurs essentielles pour réussir ses années de prépa.
À l’issue de cette journée riche en émotions, les hypokhâgneux sont plus en confiance pour commencer leur nouvelle vie. Les souvenirs de cette journée resteront dans les mémoires. Marion BAZIN Lettres supérieures. Lycée La Perverie.
BDE La Joliverie, une nouvelle équipe sur le pont
Pour la deuxième année consécutive, le département d'enseignement supérieur accueil, au sein de la Joliverie, un BDE.
Créé l'an dernier, à l'initiative d'étudiants de BTS SIO, il rassemble aujourd'hui des élèves de formations différentes. Plusieurs actions ont déjà été mené tel que le petit déjeuner au foyer des étudiants ou la tartiflette géante qui a été la plus importante de toutes. Organisée en partenariat avec les fournisseurs de la Joliverie, ce projet a eu un succès conséquent et reste jusqu'à présent l'événement phare du BDE car un grand nombre d'étudiants y ont participé. Une édition 2019 est donc envisagée.
Cette année, le BDE souhaite aller au-delà des événements de l’an dernier et varier les activités afin de permettre des rencontres autour de tournois sportif comme le baby-foot ou encore le volley-ball. Le BDE envisage également de proposer une sortie à la patinoire du petit port avant les périodes de fêtes. Le BDE continue de grandir petit à petit en accueillant des représentants de différentes formations au sein de la Joliverie afin d’être à l’écoute des demandes et remarques des étudiants.
A tous moments, les membres de cette association sont joignables via la page Facebook BDE - La Joliverie pour toutes informations ou demande particulière.
Solène EON
et Alexandre DANDOUAU
Créer du lien pour être forts
Le Bureau des étudiants du lycée saint-Clair de Derval gère le foyer et propose des activités depuis 2015.
Simon, son président en explique la philosophie : "Je voulais m’investir dans la vie étudiante du lycée à travers le BDE. Celui-ci anime le foyer, lieu convivial où on joue au billard, fléchettes, baby-foot et discute en buvant un café. Cette année nous avons organisé un dîner de parrainage pour renforcer les liens entre les 1ere et les 2e années de BTS des filières Génie des équipements agricoles (GDEA) et Analyse, conduite et stratégie de l'entreprise agricole (ACSE). Au cours de la soirée, les étudiants de BTS1 ont tiré au sort le surnom de leur parrain ou marraine et ont dû retrouver ensuite leur véritable identité. Une manière de renforcer les liens et favoriser les rencontres. Le BDE participe aussi à des concours vidéo pour récolter de l'argent qu'il redistribue ensuite aux étudiants lors des voyages d'études ou stage à l'étranger. Nous créons aussi des partenariats avec des entreprises. De plus, cette année nous avons créé une caisse de solidarité pour les étudiants en difficulté. Renforcer la solidarité et créer du lien sont les objectifs principaux du BDE. Enfin, le bureau anticipe la passation avec les 1ere années pour assurer sa pérennité et continuer à s'aider même après le lycée". Yves-Marie LE CORRE, Emmanuel CASSIN,
Ewan LOISON Étudiants en BTS GDEA1