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Enzyme, terreau de projets engagés
L'incubateur de The Land voit naître des projets de petites entreprises depuis 2019.
Depuis 2019, l’incubateur Enzyme permet de poser les bases de la création de l’entreprise en proposant une formation entrepreneuriale gratuite.
Anaïs Guéguen, la responsable, suit chaque année une promotion de huit porteurs de projets durant neuf mois, en collectif ou en individuel. Ses missions consistent à gérer les entretiens de sélection, les candidatures, à s’occuper de la communication vers l’extérieur de l’incubateur et aussi du recrutement d’intervenants. Ces derniers permettent d’accompagner les porteurs de projets suivant les envies de chacun. Anaïs permet aussi d’être le lien entre les entrepreneurs et le Campus de The Land, qui héberge Enzyme.
Un projet d'équithérapie adaptée Pour qu'une idée prenne vie, elle doit répondre à quelques critères. "Il doit être au stade de l’étude de marché pour que l’incubateur vérifie qu’il y ait bien un besoin derrière le projet. Le but est d’avoir un impact social, sociétal et environnemental au cœur des territoires ruraux de Bretagne. Aucun critère social, de parcours, de formation ou d’âge n’est requis", précise Anaïs Guéguen
« Le Gorille joueur » est l’un des projets qui a éclot à Enzyme. Créé par deux amis, c’est un café ludothèque ambulant qui sillonne les routes d'Ille-et-Vilaine et s’arrête dans des structures de petite enfance, des Ehpad, des foyers. Leur objectif est, plutôt que de faire venir leur public, d’aller à sa rencontre afin de leur faciliter l’accès aux services, qui sont adaptés à chacun. . Exemple : avec des gros dés pour faciliter la motricité des petits, ou des cartes de jeu conçues pour les malvoyants.
Anaïs Guéguen a été particulièrement marquée par le projet « L’Equipier » de Camille Roger. Cette dernière a fait une formation en design global. Elle est aussi passionnée par les chevaux et dédie son mémoire autour de ce domaine : « Comment utiliser le design pour faciliter l’équithérapie ? ». L’objectif est d’utiliser ses compétences en design pour accompagner les thérapeutes en équithérapie, car pour l’instant aucun matériel ou outil n’existe pour la discipline, mais Camille compte bien y remédier. Elle a alors créé des gants, une brosse, des tapis, des montoirs pour les personnes porteuses de handicap, et d'autres outils conçus spécialement pour répondre à différentes problématiques.
Flore Garsmeur et Lila Jouin
Anaïs Guéguen, la responsable, suit chaque année une promotion de huit porteurs de projets durant neuf mois, en collectif ou en individuel. Ses missions consistent à gérer les entretiens de sélection, les candidatures, à s’occuper de la communication vers l’extérieur de l’incubateur et aussi du recrutement d’intervenants. Ces derniers permettent d’accompagner les porteurs de projets suivant les envies de chacun. Anaïs permet aussi d’être le lien entre les entrepreneurs et le Campus de The Land, qui héberge Enzyme.
Un projet d'équithérapie adaptée Pour qu'une idée prenne vie, elle doit répondre à quelques critères. "Il doit être au stade de l’étude de marché pour que l’incubateur vérifie qu’il y ait bien un besoin derrière le projet. Le but est d’avoir un impact social, sociétal et environnemental au cœur des territoires ruraux de Bretagne. Aucun critère social, de parcours, de formation ou d’âge n’est requis", précise Anaïs Guéguen
« Le Gorille joueur » est l’un des projets qui a éclot à Enzyme. Créé par deux amis, c’est un café ludothèque ambulant qui sillonne les routes d'Ille-et-Vilaine et s’arrête dans des structures de petite enfance, des Ehpad, des foyers. Leur objectif est, plutôt que de faire venir leur public, d’aller à sa rencontre afin de leur faciliter l’accès aux services, qui sont adaptés à chacun. . Exemple : avec des gros dés pour faciliter la motricité des petits, ou des cartes de jeu conçues pour les malvoyants.
Anaïs Guéguen a été particulièrement marquée par le projet « L’Equipier » de Camille Roger. Cette dernière a fait une formation en design global. Elle est aussi passionnée par les chevaux et dédie son mémoire autour de ce domaine : « Comment utiliser le design pour faciliter l’équithérapie ? ». L’objectif est d’utiliser ses compétences en design pour accompagner les thérapeutes en équithérapie, car pour l’instant aucun matériel ou outil n’existe pour la discipline, mais Camille compte bien y remédier. Elle a alors créé des gants, une brosse, des tapis, des montoirs pour les personnes porteuses de handicap, et d'autres outils conçus spécialement pour répondre à différentes problématiques.
Flore Garsmeur et Lila Jouin