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Un lycée engagé au côté des Ukrainiens
Depuis l’année dernière le lycée Simone Veil soutient pleinement les Ukrainiens et a déjà accueilli plusieurs élèves du pays. Cependant,
en cette nouvelle année, l’établissement souhaite en faire davantage…
Notre établissement accueille, pour une nouvelle année scolaire, deux élèves ukrainiens. Après le départ de Nazar, il y a maintenant trois mois, ils ne sont plus que deux. Soucieux de faciliter leur insertion scolaire, le lycée leur offre un accompagnement personnalisé.
Des cours de FLE
avec Perrine L'établissement a d'abord sollicité une surveillante capable de leur faire acquérir les rudiments de la langue française. Ainsi, Perrine, qui a déjà exercé le métier de professeur des écoles, leur a dispensé des cours de français en langue étrangère à raison de trois cours de deux heures par semaine. Grâce à elle, Ilya et Yuliia ont découvert les subtilités de la grammaire française, se sont familiarisés avec les temps verbaux et ont étoffé leur vocabulaire. Loin de partir de zéro, Perrine a travaillé avec des élèves volontaires qui savent déjà lire notre alphabet et dont la maîtrise de l'anglais est très bonne, ce qui facilite les échanges. Si elle leur apporte beaucoup, elle bénéficie, elle aussi, de cette expérience. Elle conserve ainsi un pied dans le métier qu'elle souhaite toujours exercer mais surtout, elle mesure le grand enrichissement personnel que ses cours lui apportent. Ces Ukrainiens ne sont pas seulement des élèves mais aussi des jeunes, fiers de leur culture qu'ils souhaitent transmettre.
Le collectif LISAA,
nouvel intervenant Toutefois, depuis la rentrée des vacances de la Toussaint, le départ de Perrine du lycée a forcé l'établissement à trouver une nouvelle solution. Après avoir contacté le Centre Communal d'Actions Sociales de Liffré, il est mis en relation avec le collectif LISAA. Très vite, trois membres de ce collectif, Christian, Marie-Pierre et Georges acceptent de poursuivre l'accompagnement des ukrainiens. Assurant chacun 2 heures par semaine, les enseignements qu'ils dispensent restent dans la continuité de ceux reçus auparavant et semblent porter leurs fruits puisque ces nouveaux accompagnateurs constatent leur bon niveau de français. Ce n'est donc plus qu'une question de temps pour que la langue ne soit plus un obstacle à l'intégration de Ilya et Yuliia au lycée.
Nathan Bataille
Des cours de FLE
avec Perrine L'établissement a d'abord sollicité une surveillante capable de leur faire acquérir les rudiments de la langue française. Ainsi, Perrine, qui a déjà exercé le métier de professeur des écoles, leur a dispensé des cours de français en langue étrangère à raison de trois cours de deux heures par semaine. Grâce à elle, Ilya et Yuliia ont découvert les subtilités de la grammaire française, se sont familiarisés avec les temps verbaux et ont étoffé leur vocabulaire. Loin de partir de zéro, Perrine a travaillé avec des élèves volontaires qui savent déjà lire notre alphabet et dont la maîtrise de l'anglais est très bonne, ce qui facilite les échanges. Si elle leur apporte beaucoup, elle bénéficie, elle aussi, de cette expérience. Elle conserve ainsi un pied dans le métier qu'elle souhaite toujours exercer mais surtout, elle mesure le grand enrichissement personnel que ses cours lui apportent. Ces Ukrainiens ne sont pas seulement des élèves mais aussi des jeunes, fiers de leur culture qu'ils souhaitent transmettre.
Le collectif LISAA,
nouvel intervenant Toutefois, depuis la rentrée des vacances de la Toussaint, le départ de Perrine du lycée a forcé l'établissement à trouver une nouvelle solution. Après avoir contacté le Centre Communal d'Actions Sociales de Liffré, il est mis en relation avec le collectif LISAA. Très vite, trois membres de ce collectif, Christian, Marie-Pierre et Georges acceptent de poursuivre l'accompagnement des ukrainiens. Assurant chacun 2 heures par semaine, les enseignements qu'ils dispensent restent dans la continuité de ceux reçus auparavant et semblent porter leurs fruits puisque ces nouveaux accompagnateurs constatent leur bon niveau de français. Ce n'est donc plus qu'une question de temps pour que la langue ne soit plus un obstacle à l'intégration de Ilya et Yuliia au lycée.
Nathan Bataille