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MFR 35, Saint-Grégoire, le 24/11/2025.
À la MFR de Saint-Aubin-d’Aubigné, les élèves imaginent leur ville utopique
Des villes idéales et futuristes imaginées par les élèves de 4e prêts à relever le défi d'un monde plus juste, soutenable et agréable.
Les quatorze élèves de la classe vont devoir faire preuve d'inventivité et travailler la prise de parole publique pour convaincre et persuader de potentiels cobayes de venir s'installer dans leurs villes utopiques.
Un défi de taille
À la MFR de Saint-Aubin-d’Aubigné, les élèves de 4e ont du pain sur la planche. Leur mission : imaginer une ville utopique, concevoir une maquette et préparer un discours en tant que futur maire. Et le temps presse : ils n’ont que quelques semaines pour relever ce défi ambitieux.
Des villes aux noms évocateurs Solaria, Utopic City, Givrebois ou encore Super Island… Les idées fusent pour baptiser ces cités idéales où il fera bon vivre. Les élèves rivalisent de créativité pour donner vie à leur vision d’un monde meilleur.
Des problématiques bien réelles Mais, derrière l’imagination, les préoccupations sont sérieuses. « Nous avons tout un tas de problèmes à résoudre, comme la pollution, le manque de nourriture et la pauvreté », explique Lohan. « Il y a aussi les discriminations, le harcèlement, les moqueries, la violence et le dérèglement climatique », ajoutent Thomas et Gabrielle.
Entre intelligence artificielle et créativité Face à la complexité des enjeux, certains ont tenté de s’appuyer sur la technologie. Ismaël a ainsi sollicité l’intelligence artificielle pour l’aider dans sa réflexion. « C’était moyen, je n’ai pas trouvé de vraies bonnes solutions à tous ces problèmes comme je l’espérais », confie-t-il. Finalement, ce sont les idées personnelles qui prennent le dessus : potagers privatifs chauffés, pilules nutritives, gratuité, sport obligatoire pour tous, prisons-écoles ou encore notation sociale, démocratie participative. Les propositions sont aussi originales que variées.
Des maquettes avec les moyens du bord Quoi de mieux que de proposer aux curieux une maquette faite maison pour illustrer le projet de ville utopique en version miniature. C'est à coup de rouleaux d'essuie tout, de grattoirs, d'éponges et autres bouteilles en plastique que nos architectes en herbe devront confectionner leurs chefs d'oeuvre. Bientôt l’heure de défendre leur projet Une fois les maquettes terminées, chaque jeune devra défendre sa ville pour convaincre de futurs habitants. « Quand les maquettes seront prêtes, viendra le moment de défendre nos villes », précise Ilayda, qui se prépare à endosser le rôle de maire devant ses camarades et formateurs.
Une expérience enthousiasmante Si certains redoutent l’exercice, d’autres l’attendent avec impatience. Nélina, elle, ne semble pas stressée à l’idée de prendre la parole : « Je suis même enthousiaste », confie-t-elle. Ce n'est entre autres par le cas Hylann qui "stress rien que d'y penser".
Rendez-vous le 11 juin Le verdict tombera le 11 juin prochain, date à laquelle seront dévoilées ces villes utopiques et leurs maquettes, promesses de belles surprises et d’un monde meilleur version 2.0
Les élèves de 4e d'orientation MFR Saint-Aubin-d'Aubigné
Des villes aux noms évocateurs Solaria, Utopic City, Givrebois ou encore Super Island… Les idées fusent pour baptiser ces cités idéales où il fera bon vivre. Les élèves rivalisent de créativité pour donner vie à leur vision d’un monde meilleur.
Des problématiques bien réelles Mais, derrière l’imagination, les préoccupations sont sérieuses. « Nous avons tout un tas de problèmes à résoudre, comme la pollution, le manque de nourriture et la pauvreté », explique Lohan. « Il y a aussi les discriminations, le harcèlement, les moqueries, la violence et le dérèglement climatique », ajoutent Thomas et Gabrielle.
Entre intelligence artificielle et créativité Face à la complexité des enjeux, certains ont tenté de s’appuyer sur la technologie. Ismaël a ainsi sollicité l’intelligence artificielle pour l’aider dans sa réflexion. « C’était moyen, je n’ai pas trouvé de vraies bonnes solutions à tous ces problèmes comme je l’espérais », confie-t-il. Finalement, ce sont les idées personnelles qui prennent le dessus : potagers privatifs chauffés, pilules nutritives, gratuité, sport obligatoire pour tous, prisons-écoles ou encore notation sociale, démocratie participative. Les propositions sont aussi originales que variées.
Des maquettes avec les moyens du bord Quoi de mieux que de proposer aux curieux une maquette faite maison pour illustrer le projet de ville utopique en version miniature. C'est à coup de rouleaux d'essuie tout, de grattoirs, d'éponges et autres bouteilles en plastique que nos architectes en herbe devront confectionner leurs chefs d'oeuvre. Bientôt l’heure de défendre leur projet Une fois les maquettes terminées, chaque jeune devra défendre sa ville pour convaincre de futurs habitants. « Quand les maquettes seront prêtes, viendra le moment de défendre nos villes », précise Ilayda, qui se prépare à endosser le rôle de maire devant ses camarades et formateurs.
Une expérience enthousiasmante Si certains redoutent l’exercice, d’autres l’attendent avec impatience. Nélina, elle, ne semble pas stressée à l’idée de prendre la parole : « Je suis même enthousiaste », confie-t-elle. Ce n'est entre autres par le cas Hylann qui "stress rien que d'y penser".
Rendez-vous le 11 juin Le verdict tombera le 11 juin prochain, date à laquelle seront dévoilées ces villes utopiques et leurs maquettes, promesses de belles surprises et d’un monde meilleur version 2.0
Les élèves de 4e d'orientation MFR Saint-Aubin-d'Aubigné

