Les nouveaux sports aux Jeux de Paris

Quatre nouvelles disciplines seront proposées aux JO de Paris à l'été 2024.
Le surf est une nouvelle discipline aux JO. (Crédit photo : Pixabay.com - andyperdana69)
Le breakdance.
Ce sport s'est développé aux États-Unis pendant les années 1870. Issu de la culture Hip hop, il se démarque par sa dimension acrobatique, ses figures au sol ainsi que par le rôle du DJ et du maître de cérémonie lors des battles.

L'escalade sportive.
Cette discipline est un sport moderne, jeune et mixte qui se pratique à la fois en pleine nature et sous une forme plus urbaine, en salle. Au programme olympique de l'escalade sportive, les épreuves regroupent trois disciplines : le bloc, la vitesse et la difficulté. Le bloc consiste à escalader des structures de 4,5 m de hauteur dans un temps contraint. L'épreuve de vitesse consiste en une course contre la montre en duels élimatoires. L'épreuve de difficulté demande aux athlètes de grimper le plus haut possible un mur de 15 m en six minutes.

Le skateboard. 
C'est un sport jeune et spectaculaire qui s'est développé aux États-Unis dans les années 1950, alors que la culture surf prend également son essor dans le pays. L'élite du skateboard mondial s'affrontera aux Jeux Olympiques dans deux disciplines : le park et le street, où les athlètes devront réaliser les plus beaux tricks, répondant à des critères de technique, de vitesse ou encore d'amplitude de leurs figures. Les épreuves seront composées de deux manches : une de qualification et une manche finale.

Le surf.
Il trouve ses racines à Hawaï où, dès le 15e siècle, sa pratique est courante. Dans les années 1950, le surf se développe et explose, de nouveaux formats de planches rendant sa pratique plus accessible au grand public. Aujourd'hui, ce sport spectaculaire se pratique dans un environnement naturel sur les cinq continents par plus de trente-cinq millions d'adeptes.
Les surfeurs effectuent des manœuvres et des figures sur une vague, et sont ensuite notés par cinq juges en fonction de la variété de leur enchaînement, du type de figures réalisées et de leur difficulté. La vitesse, la puissance et le flow des surfeurs entrent également en ligne de compte dans les notes délivrées par les juges. Louane et Salina (2CTRM).
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