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La Fast fashion, fléau d'actualité
Vite acheté, vite jeté, tel est le destin de la fast fashion.
Depuis quelques années, la mode est de plus en plus éphémère, avec l'objectif de vendre à des prix toujours plus bas. Cela favorise la surconsommation et fait de l'industrie textile l'une des plus polluantes au monde. Néanmoins, ces enseignes qui défient toute concurrence mettent en péril la vie de milliers d'individus, considérés comme de la main d’œuvre à bas prix.
Scandale des Ouighours La grande majorité de cette "main d’œuvre" provient de pays dits en développement, notamment en Asie (Bangladesh, Pakistan, Thaïlande, Turquie, Inde, Vietnam, Indonésie, Chine…).
L'année dernière, un scandale a éclaté sur la scène internationale à propos de plusieurs marques comme Shein, Zara, Adidas et même Nike, accusées d'exploitation de la population minoritaire des Ouïghours. Ce scandale fait même l'objet d'un rapport de l'ONU où au Haut-Commissariat des Droits de l'Homme, Michelle Bachelet a évoqué de possibles « crimes contre l'humanité ».(site des Nations Unies)
On remarque que pour un tee-shirt vendu 29 € en Europe, l'ouvrière asiatique touche seulement 0,18 centimes.
De plus, la fast fashion représente un véritable désastre écologique. En un an ce sont quelques 4 milliards de tonnes de CO2 de générées par l'industrie de la mode, soit plus que les vols internationaux et le trafic maritime réunis !
Éviter ce désastre ? On peut tout d'abord conseiller des sites de revente en ligne tels que Vinted, Leboncoin, Vestiaire collectif, etc.
Il existe aussi des marques avec une forte conscience écologique, très engagées comme Fairytale, Patagonia, Wedressfair...
Se présentent chez nous aussi diverses possibilités. Par exemple quelques friperies se sont installées.On peut citer "Atout fripe" ou encore "Les chats-nippés". Il existe aussi des boutiques à des fins associatives notamment Emmaus, Tri marrant, etc.
"En ai-je vraiment besoin ?" une question que nous devrions toujours nous poser avant d'acheter Mathilde DELABROUSSE
Scandale des Ouighours La grande majorité de cette "main d’œuvre" provient de pays dits en développement, notamment en Asie (Bangladesh, Pakistan, Thaïlande, Turquie, Inde, Vietnam, Indonésie, Chine…).
L'année dernière, un scandale a éclaté sur la scène internationale à propos de plusieurs marques comme Shein, Zara, Adidas et même Nike, accusées d'exploitation de la population minoritaire des Ouïghours. Ce scandale fait même l'objet d'un rapport de l'ONU où au Haut-Commissariat des Droits de l'Homme, Michelle Bachelet a évoqué de possibles « crimes contre l'humanité ».(site des Nations Unies)
On remarque que pour un tee-shirt vendu 29 € en Europe, l'ouvrière asiatique touche seulement 0,18 centimes.
De plus, la fast fashion représente un véritable désastre écologique. En un an ce sont quelques 4 milliards de tonnes de CO2 de générées par l'industrie de la mode, soit plus que les vols internationaux et le trafic maritime réunis !
Éviter ce désastre ? On peut tout d'abord conseiller des sites de revente en ligne tels que Vinted, Leboncoin, Vestiaire collectif, etc.
Il existe aussi des marques avec une forte conscience écologique, très engagées comme Fairytale, Patagonia, Wedressfair...
Se présentent chez nous aussi diverses possibilités. Par exemple quelques friperies se sont installées.On peut citer "Atout fripe" ou encore "Les chats-nippés". Il existe aussi des boutiques à des fins associatives notamment Emmaus, Tri marrant, etc.
"En ai-je vraiment besoin ?" une question que nous devrions toujours nous poser avant d'acheter Mathilde DELABROUSSE
