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à un self ouvert !
D’un self à l’assiette à un self ouvert !
Le projet de rénovation de self, au lycée, devrait permettre de se servir soi-même, en 2025. C’est ce qu'Olivier Pottiez et Didier Marais s’apprêtent à mettre
en place.
Le projet de « self à l'assiette » a été créé de A à Z par Olivier Pottier, agent comptable du lycée Pierre et Marie Curie et ancien gestionnaire général du lycée Blaise Pascal, à Segré-en-Anjou-Bleu.
Le projet avait alors permis de réduire le gaspillage alimentaire.
« Si je propose la mise en place de ce système ici, au lycée Pierre et Marie Curie, c’est tout simplement parce que je l’ai déjà mis en place dans un autre établissement avant et que j’ai bien vu que ça fonctionnait, explique Olivier Pottier. Ça satisfaisait tout le monde, et ça fonctionnait suffisamment bien pour que la région ait repris le projet. » Il est d'ailleurs désormais demandé à la plupart des établissements de tendre vers ce système, quand cela est possible.
Vers un self autonome « Le premier projet, c’est la réfexion de la grosse plonge », annonce Didier Marais, le chef cuisinier du lycée. Cela signifie que, dès le 1er septembre 2025, les lycéens ne déposeront plus simplement les plateaux, mais ils devront les débarasser (assiettes, couverts, etc.).
« Le deuxième projet, au niveau du self, c'est avoir un turbo self, c’est-à-dire un système de carte », reprend le chef cuisinier. Chaque lycéen ne sera dont plus « pointé » par la vie scolaire, mais devra passer sa carte à une borne, directement. Les élèves ou les familles devront aussi réserver le repas, sur des bornes.
« Le 3e projet, enfin, c'est d'avoir un self autonome. » Chacun se servira seul. Pour que cela soit possible, il y aura une ou deux personnes derrière les lignes de self, afin de conseiller les élèves et de surveiller qu’ils ne se servent pas de trop grosses quantités.
Pour le moment, la mise en place de ce self autonome n'a pas de prévision budgétaire exacte, mais le projet coûtera « au minimum 10 000 € ». Evan MALFROY
Le projet avait alors permis de réduire le gaspillage alimentaire.
« Si je propose la mise en place de ce système ici, au lycée Pierre et Marie Curie, c’est tout simplement parce que je l’ai déjà mis en place dans un autre établissement avant et que j’ai bien vu que ça fonctionnait, explique Olivier Pottier. Ça satisfaisait tout le monde, et ça fonctionnait suffisamment bien pour que la région ait repris le projet. » Il est d'ailleurs désormais demandé à la plupart des établissements de tendre vers ce système, quand cela est possible.
Vers un self autonome « Le premier projet, c’est la réfexion de la grosse plonge », annonce Didier Marais, le chef cuisinier du lycée. Cela signifie que, dès le 1er septembre 2025, les lycéens ne déposeront plus simplement les plateaux, mais ils devront les débarasser (assiettes, couverts, etc.).
« Le deuxième projet, au niveau du self, c'est avoir un turbo self, c’est-à-dire un système de carte », reprend le chef cuisinier. Chaque lycéen ne sera dont plus « pointé » par la vie scolaire, mais devra passer sa carte à une borne, directement. Les élèves ou les familles devront aussi réserver le repas, sur des bornes.
« Le 3e projet, enfin, c'est d'avoir un self autonome. » Chacun se servira seul. Pour que cela soit possible, il y aura une ou deux personnes derrière les lignes de self, afin de conseiller les élèves et de surveiller qu’ils ne se servent pas de trop grosses quantités.
Pour le moment, la mise en place de ce self autonome n'a pas de prévision budgétaire exacte, mais le projet coûtera « au minimum 10 000 € ». Evan MALFROY